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MEG CABOT : UNE REINE PARMI LES PRINCESSES Vous connaissez Helen Fielding et « Le journal de Bridget Jones » ? Vous connaissez Candace Bushnell et « Sex and the city » ? Vous ne connaissez pas Meg Cabot et la série « Journal dune Princesse » ? Le « Journal dune Princesse », en quelques chiffres c est : Plus de 700 000 exemplaires vendus en France depuis 2001 (hors-série et livre de poche jeunesse) Une série traduite en 37 langues, Et un film sorti sur les écrans en 2001 avec Anne Hathaway ( Le diable shabille en Prada ) et Julie Andrews.

MEG CABOT UNE REINE PARMI LES PRINCESSES - … CABOT Leur point commun : la « Chick lit » ! Percutante, désinvolte et terriblement drôle, la « chick lit » est le nouveau genre

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MEG CABOT :

UNE REINE PARMI LES PRINCESSES

Vous connaissez Helen Fielding et « Le journal de Bridget Jones » ?

Vous connaissez Candace Bushnell et « Sex and the city » ?

Vous ne connaissez pas Meg Cabot et la série « Journal d unePrincesse » ?

Le « Journal d une Princesse », en quelques chiffres

c est :

Plus de 700 000 exemplaires vendus en Francedepuis 2001 (hors-série et livre de poche jeunesse)

Une série traduite en 37 langues,

Et un film sorti sur les écrans en 2001avec Anne Hathaway ( Le diable s habille en Prada ) et Julie

Andrews.

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MEG CABOT

Leur point commun : la « Chick lit » !

Percutante, désinvolte et terriblement drôle, la « chick lit » est lenouveau genre qui fait fureur. Sur un ton humoristique, léger etdécalé, c est une littérature par les filles, pour lesfilles, sur fond de problèmes ordinaires. Un genre à part entière,tout droit venu des pays anglo-saxons, dont les couverturesacidulées dépoussièrent les étals des libraires.

Quant à leurs lectrices …

Si celles d Helen Fielding ou Candace Bushnell sont des jeunes femmes en quêtede ll Homme IdHomme Idééalal, le fan club de Meg Cabot est lui composé de jeunes filles,adolescentes elles aussi en quête du Prince Charmant .

Hé oui, il n y a pas d âge pour les rêves de princesses !

Et c est grâce à sa série désormais devenue culte : « Le Journal d une Princesse »que Meg Cabot est devenue l égérie littéraire des adolescentes d aujourd hui .

« Le Journal d une Princesse » c est :

- En quelques mots : le journal intime de Mia, une lycéenne pas comme les autres,qui, est aussi la princesse héritière de Genovia à plein temps ! Et ce n est pas de toutrepos d être une lycéenne et encore moins une princesse appelée à régner un joursur le trône, comme le raconte si bien Mia sur un ton décalé, pétillant et pleind humour !

De son éducation princière à ses amours en passant par ses relations avec sesparents ou ses histoires de copines, tout y passe … !

Et à travers elle, c est Meg Cabot qui parle aux ados de ce qui les préoccupe …

Mais Meg Cabot c est aussi … l auteur prolifique de 47 titres au totaldont nombre de best-seller …. Et avant tout l auteur d une véritablelittérature antidépresseur … !

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Ses études

Titulaire d une Licence ès Lettres en 1991,

elle est également diplômée de l Académie des Beaux Arts. Elle se destinait tout d abord à une carrière d illustratrice

qui fut un échec complet !

Meg Cabot

Elle est née le 1er février 1967 .

Native du signe du poisson, elle est indépendante

et spontanée.

Son travail

Après avoir expérimenté divers petits boulots,

elle a travaillé pendant 10 ans en tant qu assistante manager de la résidence de l université

de New York, une expérience qui lui permettra de s adonner, les jours calmes,

à sa passion : l écriture.

Sa famille

Elle est la fille d un professeur d université et d une mère illustratrice, ce qui lui valut de grandir

directement sur un campus. Cadette de trois enfants,

elle a deux frères dont l un adoptif.

Ses Amours

Meg Cabot a épousé Benjamin Egnatz

un de ses amis d adolescence, rencontré à l âge de 16 ans.

« Nous étions amis depuis des années mais ce n est que vers l âge de 24 ans d un jour,

j ai réalisé que je l aimais. Pourtant, je ne voulais pas gâcher notre amitié.

On se serait cru dans Quand Harry rencontre Sally ! Mais tout est bien qui finit bien,

et nous sommes toujours mariés. »En supporter indéfectible de sa femme,

il l a encouragéedepuis le début

à poursuivre sa passion de l écriture !

Ses hobbies

Les maisons, les plaisirs de la table, les vêtements vintage,

écouter de la pop, faire du vélo, aller à la piscine,

regarder la télé et par dessus tout, écrire !

« Je ne considère pas l écriture comme un art.

Je vois cela comme une énigme, un défi.

Comme ceux qui sont accros au Sudoku ».

Sa ville

Après avoir vécu dans l Indiana, en Californie, à New York

et en France, elle partage désormais son temps

entre New York et Key West, en Floride,

ou elle vit dans une très vieille maison

de style 1860.

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LE DÉMON DE L ÉCRITURE

Petite histoire d une grande passion

Véritable droguée de l écriture, Meg Cabot est l auteur prolifique de 47livres depuis 1998 !

Grande lectrice dès son plus jeune âge, fan de science-fiction, elle dévalisaittous les rayons de la bibliothèque !

En quête de plaisir et de divertissement dans ses lectures, c est en effet à traversce type de livres qu elle trouve moyen d échapper à la vogue de la littératuresociale et moralisatrice de l époque.

« Quand j’étais adolescente, je détestais la littérature jeunesse, dont la majoritédes titres semblaient avoir été écrits pour nous délivrer un message. Voilàpourquoi je me suis vite tournée vers les livres de science fiction. »

Au delà de la lecture, son amour de l écriture ne date pas d hier.

C est d ailleurs grâce à l un de ses professeurs qui, en guise de punition, forçaitses élèves à écrire des histoires, que le talent de Meg Cabot fut découvert. Sesparents eurent alors la bonne idée de lui payer des cours de … dactylographie !Un atout de taille pour une auteur aussi prolifique. C est en effet ce qui lui permetaujourd hui d écrire 3 à 4 livres par an !

Mais la route sera longue avant d en arriver là et il lui aura fallu s armer depatience et faire preuve d une détermination à toute épreuve.

Après 3 ans d attente et des lettres de refus par milliers, qu elle conserve encoreaujourd hui dans un gros sac postal, un éditeur lui donne enfin sa chance etpublie son premier roman d amour ! Six autres suivront avant que lesaventures de la princesse Mia viennent conquérir le cœur de milliersd adolescentes.

Les outils indispensables pour écrire ?

un lit couvert d oreillers

et une stéréo pour écouter

de la musique très fort !

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LA REINE DE LA « CHICK LIT » POUR LESADOLESCENTES

La série « Journal d une princesse »

La série « Samantha »La série « Missing »« Le jour où j ai voulu

devenir populaire »

* Chiffres datant de fin

2006

13 000

ventes !23 000 ventes

!14 000

ventes !

25 000

ventes !20 000

ventes !

Une série qui mêle surnaturel,enquête policière et esprit girly!

Un titre bourré d humouret de bonnes manières ouSteph Laundry, 16 ans, testede vieilles recettes pourdevenir populaire.

Depuis le jour où Samantha asauvé la vie du Président desEtat-Unis, sa vie n est plus dutout la même !

Entre conte de fées moderneet humour décalé, découvrez la vietrépidante de Mia, une jeunelycéenne de New York quiapprend subitement qu elle est laprincesse héritière du royaume deGenovia !

« Star incognito » « L art d êtreuneprincesse »

« Les conseilsd uneprincesse »

40 000

ventes !

Ou comment rencontrer unegrande star de cinéma …

Tout ce qu il estindispensable de savoirpour une princesse.

Princesse de naissance oupar alliance ; être uneprincesse ça s apprend !

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Depuis 1998, le succès de Meg Cabot ne se dément pas, à chaque nouvelleparution, c est la ruée dans les librairies ! Quelles sont les clés d un tel succès ?

Si l humour est une des caractéristiques de la chick lit, Meg Cabot en a fait un artet elle y excelle ! Ton, langage, expressions, situations : l humour chez Meg Cabotest omni- présent !Normal pour une enfant que ses parents ont entraînée tel un sportif de hautniveau, dès l enfance.

« Chez moi, si on n’était pas drôle, personne ne faisait attention à nous. […]Nous étions en quelque sorte comme une famille de comédiens en perpétuellerépétition. Le soir, à table, on faisait un petit tour de ce que chacun avait fait dansla journée et il fallait faire rire. Ca a été un bon entraînement pour mes livres. »

Mais l humour n est pas un genre des plus reconnus en littérature …et ce serapour Meg Cabot une barrière de plus à assumer avant de devenir auteur à partentière.

« De peur de ne jamais être prise au sérieux, je me suis longtemps battue contrema tendance à écrire des histoires drôles. Puis, un grand professeur d’écriture defiction qui me donnait des cours, le romancier Judy Troy, m’a fait comprendrequ’être capable d’écrire de manière humoristique est un don, pas une malédictionet que je devrais m’y atteler et non en avoir honte ! Et c’est ce que j’ai fait ! Ce futun grand soulagement quand j’ai finalement réalisé qu’être prise au sérieux, cen’est pas vraiment aussi sensationnel que cela. »

L humour chez Meg Cabot est donc tout simplement aussi sincère que spontané etc est peut-être là encore un des ingrédients du succès : « Si vous écrivez avec humour, sur un sujet qui vous touche profondément, voslecteurs le ressentiront, tout particulièrement les femmes qui ont vécu les mêmesexpériences »

MEG CABOT: LA REINE DE LA « CHICK LIT »POUR LES ADOLESCENTES

L’humour ?

un sport de haut niveau

pratiqué dès l’enfance !

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L inspiration de Meg Cabot est en effet totalementautobiographique !

- La matière première de ses livres : ses journaux intimes

Ses journaux intimes sont véritablement pour elle une source d inspirationinépuisable, où sont consignées toutes ses préoccupations d adolescentes : desrécits de ses journées de collège aux ennuis avec les professeurs, en passant parses flirts avec les garçons, ses disputes avec ses parents ou ses frères …

« Par exemple, ma mère qui était veuve, sortait avec l’un de mes professeurs. J’avais30 ans à l’époque, cela n’avait donc aucun sens d’être bouleversée. J’ai pourtantcommencé à tenir un journal pour raconter à quel point cela était choquant pourmoi.Mes amis me disaient ‘ Ce serait plus drôle si l’héroïne ne semblait pas avoir 49 ans! Alors, j’en ai fait une teenager. Mais cela ne m’a pas semblé être suffisant, alors,j’en ai fait une princesse. C’était aussi simple que cela ! ».

Ainsi est née la série « Journal d une Princesse » ….

« Publier mon propre journal intime ?

Il est hors de question que quiconque

tombe sur ce journal, ce serait trop gênant ! »

Pour éviter toute mauvaise surprise,

Meg Cabot passe régulièrement des morceaux

de son journal à la déchiqueteuse…

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A quelques nuances près « … ça a été bien plus amusant de revivre cettepériode de ma vie quand je le refaisais à travers Lizzie ( « Miss la gaffe) qui estun peu plus aventureuse que moi ».

Comme Mia, l héroïne du « Journal d une Princesse »« Mia est tellement autobiographique. Tout ce qui lui arrive, excepté l’histoire deprincesse, m’est réellement arrivé. La fois ou j’ai vu mon professeur en sous-vêtement (comme Mia, sa mère sortait avec son professeur de Maths) restedéfinitivement le moment le plus embarrassant de ma vie. Je suis aussi un bébécomme elle parfois. Mia a cette manie de s’inquiéter constamment pour son frèreau point de ne pas pouvoir laisser le laisser seul ; je réagis exactement de cettemanière avec mon chat. Vous savez, Mia, à un moment, écrit cette lettre de 3pages : ‘comment prendre soin de mon chat’ et bien, cela vient entièrement demoi. Quand ma cat-sitter a lu le livre, elle m’a dit « Avez vous réalisé que c’estexactement la lettre que vous m’avez laissé quand vous m’avez engagé ?! » »

Ou encore Steph Landry, l héroïne de « Le jour où j ai voulu devenir populaire »-« C’est la fille la moins populaire dans la ville toute entière. Je n’étaispas aussi mal vue qu’elle au collège, mais je n’avais pas du tout la cote. Je n’avaispas l’esprit d’école. J’avais un coté gothique, sinistre. Ca a été une période trèsdifficile de ma vie. Elle est vraiment inspirée de moi à son âge. »

En dépit des actions héroïques qu elles accomplissent, qui sont de véritablesressorts romanesques, ses héroïnes sont très avisées, conscientes, malignes,volubiles mais elles manquent aussi de confiance en elles, tout comme MegCabot à leur âge ou comme ses lectrices !

Mais… le vrai secret, la touche personnelle de Meg Cabot c est d aller audelà de l identification, de renvoyer à ces adolescentes une image positive,de les encourager !

Sous la plume de Meg Cabot tous les petits travers des adolescentes sontprétextes à des détournements plein d humour qui dédramatisent les situations etles rend terriblement attachantes !Et si Lizzie enchaîne gaffe sur gaffe, incapable de garder un secret, queSamantha est secrètement amoureuse du petit copain de sa sœur, que Miaconfie qu elle aurait plus de mal à se remettre de la mort de son chat que de cellede sa Grand-Mère … tout cela n est jamais bien grave après tout !

- Ses héroïnes : son propre reflet d adolescente

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MEG CABOT ET SES LECTRICES :UNE COMPLICITE SANS FAILLE !

« Je regarde et j’écoute beaucoup de films et de disques recommandéspar mes lecteurs. Ils me font même des cd de leurs groupes préférés ! »

Mais qui sont, au fond, ces millions de lectrices dans le monde entier qui, envéritables fans, dévorent chaque nouveau titre dès sa parution ?

Une littérature anti –deprésseur pour des ados sous pression!

Au delà d une simple lecture de divertissement, les livres de Meg Cabot répondentaux besoins et aux angoisses d une génération d adolescentes confrontée à unmonde compliqué, violent parfois, dans lequel il n est pas simple de se faire uneplace !

Contrairement aux préoccupations des adolescents qui n ont pas changées, lasociété elle, a évolué, notamment avec l arrivée d Internet, qui atotalement modifié les relations humaines et, plus largement, le rapport au mondedes teenagers :

« Si j’avais des enfants, ils n’iraient certainement pas surfer sur internetà moins que je ne sois assise à côté d’eux ! Vous ne savez pas qui ils peuventrencontrer sur le web. Les parents devraient faire plus attention à ce que leursenfants font. »

200 e-mails reçus par jour1 site Internet

et 1 blog où se bousculent

une communauté de fans aguerris400 000 pages

consultées chaque jour ur son site Internet :

www.megcabot.com

Voilà de quoi faire frémir de jalousie plusd un auteur !

Cette interactivité avec ses fans est aussiun des ingrédient qui permet à Meg Cabotd être à l écoute de ses lecteurs et degarder son âme d adolescente.

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Le lycée n est plus le lieu protecteur qu il pouvait incarner autrefois, mais unevéritable reproduction miniature de la société, avec ses leaders, ses boucsémissaires, ses tensions…

C est d ailleurs tout le propos du titre « Le jour ou j ai voulu devenir populaire »La course à la popularité est aujourd hui dans les lycées une compétition digne desplus grands combats sportifs ! La règle d or : chacun pour soi ! Le leit motiv :conserver la tête du peloton et empêcher ceux qui s aviseraient de vouloir rentrerdans le clan des populaires d avancer d avantage. Et bien sur, tous les moyenssont permis : coups-bas, lettres ou e-mail anonymes, harcèlement moral…

En ajoutant à cela la pression des parents, les réalités sociales et économiquesd une société où il faut être le meilleur pour réussir. La confiance et la sensibilitédes adolescentes sont plutôt mises à mal.

Les héroïnes de Meg Cabot, si elles vivent en tout point ce que vivent lesadolescentes d aujourd hui, résistent à cet environnement hostile. Face auxpressions diverses, elles affirment leur propre personnalité, avec humourmais avec assurance, elles refusent de subir !

Par le biais de ses personnages, Meg Cabot délivre un message d optimisme et deconfiance, de retour à de vraies valeurs, simples et humaines :

« Ce que mon personnage découvre, c’est que la chose la plus importante estd’avoir de vrais amis […] L’une des façons de devenir populaire est d’être soi-même, de profiter des choses que l’on aime, et aussi de faire partager ces chosesaux autres ».

Et l amour dans tout ça ?

Il y a bien une chose qui ne changera jamais chez les adolescentes… le rêve duPrince Charmant, qui est, depuis la nuit des temps et encore aujourd hui, le centrede leur préoccupations.De Tristan et Iseut à « Harlequin » en passant par Mme Bovary et les héroïnes deMaupassant, la littérature féminine est basée sur la quête du grand amour.Aucun livre pour adolescentes ne peut à présent prétendre ignorer laproblématique de la sexualité !

Le lycée ? Une véritable reproduction miniature de la société!

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« Je voulais vraiment écrire un livre dans lequel un de mes personnagesa une relation sexuelle protégée et ne subit pas pour autant de conséquencesdésastreuses, parce que j’étais tellement effrayée en tant qu’adolescente,par ces livres de littérature jeunesse où toutes les filles couchaient et finissaientpar se retrouver enceinte. Alors, j’ai tout simplement écrit un livre inspiréde ma première expérience sexuelle ( « Samantha dans tous ses états » ) ».

«Et Lorsque j’ai décidé de retranscrire mon expérience de lycéenne, j’ai décidéde TOUT retranscrire ( « Miss La gaffe » ). Sérieusement, je pense qu’il arriveun moment dans la vie de toute fille où elle se rend compte que, si elle donnedu plaisir à son partenaire mais ne reçoit rien en retour, sa relation estvouée à l’échec. Si je peux aider qui que ce soit à comprendre ceci, missionaccomplie ! ».

Décidément , Meg Cabot est tellement proche de ses lectrices qu elle lesaccompagne tout au long de leurs vie, du « Journal d une Princesse » à « Miss Lagaffe », de leurs premiers rêves d adolescentes à leur vie de jeune femmeépanouie en tout cas c est, à n en pas douter, tout le bien qu elle leur souhaite !

Une chose est certaine: avec Meg Cabot les mères peuvent être rassurées,leurs filles sont entre de bonnes mains et en plus, elles lisent !

Meg Cabot, fidèle à elle-même, choisit de ne jamais dissocierAmour et Sexualité et de transmettre à ses lectrices, unmessage positif !

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Les grandes dates de la « chick lit » :

2000 : Publication française de « Sex and the City » – Candace Bushnell, Albin Michel.

2000 : « Le Journal intime de Georgia Nicholson » – Louise Rennison,

Gallimard.

Publication du tome 1 « Mon nez, mon chat et moi » et entrée fracassante

de la chick lit dans le monde des ados.

2000 : « TROIS FILLES ET 9 BONNES RESOLUTIONS » – Jacqueline WILSON, Hachette Jeunessse.

2001 : « Le Journal de Bridget Jones » – Helen Fielding, Albin Michel,

arrive en France avec 1,5 million d exemplaires vendu en France, en poche

et grand format

2001 : « LE JOURNAL D UNE PRINCESSE », Tome 1 – Meg CABOT,

Hachette Jeunesse.

2004 : « Le diable s habille en Prada » – Lauren Weisberger, Fleuve Noir.

2004 : « Gossip Girl » – Cécily Von Ziegesar , Fleuve Noir

30 000 ventes au titre.

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Et, voici pour finir quelques ingrédientsindispensables pour réussir un bon livre dechick lit

- Une couverture colorée

- Un ton percutant et humoristique

- Une héroïne jeune, et belle, attachante, spirituelle, gauche et un peupaumée, très anxieuse, très naturelle et très bavarde

- Un ton autobiographique léger, drôle et désinvolte

- Des personnages savoureux et réalistes

- Des problèmes ordinaires

- Un décor urbain branché

- Des confidences futiles à souhait

- L héroïne réussit à surmonter tous ses problèmes et en tire généralementd importantes leçons

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Tél. : 01 43 92 32 10 Fax : 01 43 92 34 78

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