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Mésothérapie et genou
Tendinopathies
Syndrome rotulien
Lésions ligamentaires
Lésions méniscales
Douleurs projetées d’origine rachidienne
Tendinopathies
Syndrome rotulien
Lésions ligamentaires
Lésions méniscales
Douleurs projetées d’origine rachidienne
I) Tendinopathies
L’Expression Clinique
Les plus fréquentes en milieu sportif sont la tendinopathie patellaire et le syndrome du tractus ilio-tibial.
Les tendinopathies du genou ne concernent pas seulement les sujets sportifs de haut niveau mais aussi tous les sportifs particulièrement les débutants et les vetérans.
Pathologie
tendineuse du genou
Face antérieure
Tendinopathie
rotulienne
Pathologie
tendineuse du genou
Tendinopathie d’insertion du pôle supérieur de la
rotule, voire du corps du tendon.
Douleur face antérieure du genou
Douleur pointe de la Rotule
Douleur à l’étirement du Quadriceps
Douleur à la contraction contre résistance du
Quadriceps
Douleur aux mouvements répétitifs en flexion du
genou et en charge.
Attention aux risques de ruptures faire un bilan de
gravité
Les tendinopathies
rotuliennes
Examen clinique facteurs de
gravité
Critères de Blazina
Nodules palpables du corps du tendon
9
L’Expression Clinique ( classification BLAZINA modifiée ROELS et
MARTENS)
—stade I: douleur après la pratique sportive
mais ne l'empêchant pas,
—stade II: douleur au début de l'entrainement
ainsi qu'à la fatigue
Les tendinopathies
10
L’Expression Clinique ( classification BLAZINA modifiée ROELS et
MARTENS)
—stade III: douleur permanente entraînant une
diminution de l'activité sportive,
—stade III bis: douleur imposant l'arrêt
complet de la pratique sportive,
—stade IV: rupture du tendon.
Les tendinopathies
Evaluation paraclinique
Echographies (diagnostic + et bilan de
gravité) attention opérateur dépendant
IRM (bilan de gravité)
Evaluation I.R.M
hypersignal nodulaire (T2) en
regard de l'insertion du
tendon rotulien
lésion profonde, associée à une
atteinte de la pointe de la
rotule .
Les tendinopathies
rotuliennes
Pathologie
tendineuse du genou
Evaluation I.R.M
Les tendinopathies
rotuliennes
Pathologie
tendineuse du genou
Thérapeutique
Prise en charge Précoce et suivie
Intéret Trt medical pluri factoriel
Rééducation Diététique Mésothérapie
Evaluation et correction du déséquilibre Statique
Les tendinopathies
rotuliennes
Pathologie
tendineuse du genou
Tendinopathies rotuliennes et méso Tendinopathies rebelles souvent anciennes ,
terrain vasculaire en cause , souffrance osseuse associée si tendinopathie d’insertion
Indiquée si stade 1 et 2 (classification Blazina)
Technique superficielle incontournable + quelques points profonds « ciblés » = Technique MIXTE
J0 J7 J15 J30 ….
Premières séances Jà J7 J15 à visée antalgique et anti inflammatoire Lidocaine +Calcitonine+ ou – piroxicam (1 ou 2 seringues)
En regard du tendon (IED) et sur les points positifs à l’examen clinique palpatoire (IDPc IHD)
Surtout pour les premières séances
tendinopathies rotuliennes et méso
PUIS mélange a partir 2° ou 3° séance
Lidocaine + Calcitonine + conjonctyl
(enthèse) ou procaine+ cpv+mag2 (corps
tendon) à visée antalgique et trophique
PUIS à visée trophique quand la douleur
spontané est faible
calcitonine + cpv + mag2
Ou vasodilatateur + calcitoine + conjonctyl
syndrome de friction de la bandelette ilio-
tibiale
Syndrome de l’essuie glace Conflit entre la partie basse du fascia lata avec le tubercule condylien externe
-Les coureurs de fond (genu varum)
-Douleur d’effort /face externe du genou/ sensation d’un ressaut et d’un accrochage externe.
-La douleur à la palpation du tubercule est plus vive à 30
de flexion (test de Noble).
-Le test de Renne est la présence d’une douleur lors du passage à 30
de flexion en appui uni-podal.
Pathologie
tendineuse du genou
syndrome de friction de la bandelette ilio-
tibiale
Le traitement :
Mésothérapie + trt associé
Etirements ++
Correctifs techniques concernant l’entraînement
mais aussi les appui plantaires (varus
pronation).
Traitement médical favorable dans 80 %
Pas de risque de rupture
syndrome de friction de la bandelette ilio-
tibiale
Le traitement méso : Sujet jeune pathologie aigue
Lidocaine + ains
Lidocaine + ains + étamsylate
Mésothérapie « ciblée » en IHD ou IDPc sur les points positifs à l’examen clinique
J0 J7 J15
Sujet 40 ou plus, pathologie qui se chronicise technique Mixte
Procaine + cpv + mag2 les premières séances (qq points « ciblés » en Idp plus Ids nappage sans l’ains) puis séances suivantes
calcitonine+ cpv + mag2 en Ied
J0 J7 J21 J40
Les tendinopathies de la patte
d’oie
-sportifs souvent vétérans.
-Souvent fausses tendinopathies avec plutôt dermoneurodystrophie
-symptomatiques d’une affection sous-jacente dégénérative du compartiment interne du genou (méniscopathie interne, arthrose).
Attention aux douleurs projetés viscérales ( pelviennes) ou rachidiennes
Pathologie
tendineuse du genou
Les tendinopathies de la patte
d’oie
-trt méso :
Technique superficielle IED de la patte d’oie
procaine + étamsylate
TRT de base lidocaine + cpv + mag2
Trt des lésions associés méniscales, articulaires
mésocaine + calcitonine + conjonctyl
Pathologie
tendineuse du genou
Les tendinopathies poplitées
Coureurs à pied s’entraînant sur terrain accidenté ou terrains en pente.
Rechercher une instabilité rotatoire
-douleurs postéro-externes du genou.
-diagnostic : douleur à la palpation du tendon poplité sur le genou en position du test de cabot.
-test isométrique contrarié ( rot interne tibia ) plus palpation
Le diagnostic dépend de la fiabilité clinique palpatoire
Le traitement est avant tout médical pas de risque de rupture, trt associé proprioception
Pathologie
tendineuse du genou
Les tendinopathies poplitées
Trt méso :
À visée anti- inflammatoire
MPS « ciblée »
Mésocaine + ains
J0 J7 J14
Pathologie
tendineuse du genou
Les tendinopathies du biceps
Rarement « primaire »
Rechercher un blocage péronéo tibial supérieur
Une « chaine » montante ou descendante ostéopathique
Plus rarement laxité péronéo tibiale, arthropathie
péronéo tibiale
Trt médical méso associé au trt ostéo ( péroné-cheville
pied- bassin)
Bien localiser la zone en souffrance par test
tendinomusculaire ( Mrejen)
Pathologie
tendineuse du genou
Les tendinopathies du biceps
Trt méso :
MPS « ciblée »
mésocaine + ains + thiocolchicoside
J0 J7 J14
Traiter la cause biomécanique et pas l’aspect
trophique des tendinopathies
Pathologie
tendineuse du genou
Tendinopathies
Souffrance rotulienne
Lésions ligamentaires
Lésions méniscales
Douleurs projetées d’origine rachidienne
II les syndromes fémoro
patellaires
27
Définitions
Le syndrome fémoro-patellaire est l'ensemble
des symptômes liés à une atteinte des cartilages
de la rotule et du fémur (trochlée),dominée par
les excès de contraintes pures ou liées à une
désaxation (fonctionnelle ou structurelle) .
Le syndrome rotulien est souvent réservé à
l’hyperpression pure (syndrome douloureux
fémoro-patellaire par hyperpression)
La luxation et l’instabilité de la rotule est
souvent considérée comme n’appartenant pas au
syndrome rotulien
Définitions
Hyperpression : c'est un excès de contrainte au niveau de la rotule ou de la trochlée
Chondromalacie : c'est un ramollissement du cartilage.
Arthrose fémoro-patellaire : évolution tardive. Destruction du cartilage
Syndrome rotulien, en
pratique
Démembrer les étiologies possibles
Différentier les causes fonctionnelles et
structurelles
Rotule victime du pied ou du bassin
Maitriser les outils cliniques et les
orientations paracliniques
Démembrement des souffrances
fémoro patellaires
Instabilité rotulienne séquelles de luxation
Malformation de la trochlée et de la rotule
Rotule haute ILMI
Défauts d’axes osseux du fémur et tibia
Patella bi ou tri-partita: maladie congénitale présentant une patella fragmentée en 2 ou 3 segments.
Ostéochondrite disséquante (Maladie de Konig) : c'est une épiphysite touchant le cartilage d’origine vasculaire (nécrose).
Ostéochondrite post traumatique Cette pathologie se rencontre chez le jeune sportif suite à un trauma (direct ou chute GF) ou après 40 ans (microtraumatismes répétés).
Plicae synoviale
Ostéodystrophies de croissance (chez les enfants)
– Maladie de Sinding-Larsen et Johansen:.
Séquelles de fracture de la rotule
Les objectifs du (des) diagnostics Faire un bilan positif de la souffrance rotulienne
– Choc rotulien
– Rabot
– Zohlen
– Palpation des facettes articulaires rotuliennes
Faire un bilan de la laxité et « étiologique »
– Laxité rotule
– Instabilité test de smilie
– Axes osseux (test de NETTER- TTE) axe Q4/TTA
– bilan musculaire
– Posture appui podal
Autres dérangements et instabilités du genou :
– les problèmes méniscaux externes :
– les syndromes ligamentaires (LCA - LCP)
Les tendinopathies latérales :
– Syndrome de l’essuie glace
– Tendinopathie du poplité du biceps fémoral
Tendinopathies rotuliennes et quadricipitale
Douleurs projetées
Diagnostics différentiels : ce qui
n’est pas souffrance patellaire
Diagnostic différentiel : ce qui
n’est pas syndrome rotulien pur
– Malformation congénitale
– Laxité et instabilité rotule
– Ostéochondrites
– Plicae
– ….
Diagnostic + : signes
fonctionnels rotuliens douleur spontanée à la montée et à la
descente (++) des escaliers, en terrain accidenté et à la position assise.
la douleur siège à la face antérieure du genou et est volontiers circonférentielle à la patella.
parfois, le patient se plaint d'une sensation d'instabilité ou de blocage (fugace) du genou.
36
Tests rotuliens cliniques
Recherche d’un épanchement
Palpation des facettes rotuliennes
Manœuvre du Rabot et de Zohlen
Recherche de la mobilité rotulienne (hypo ou
hypermobilité) et d’instabilité (signe de Smilie)
Positionnement des rotules
Appréciation des axes osseux (test de Netter)
Choc rotulien
Signe du glaçon
Recherche d’épanchement
Palpation facettes rotuliennes Mobilisation de la rotule
rabot
Zohlen
Manœuvre de Smilie
41
Syndrome rotulien : Bilan
musculaire
Bilan musculaire Q4 ischio
Tests isocinétique
Syndrome rotulien bilan
biomécanique
Troubles architecturaux des membres
inférieurs (torsion fémorale interne et
torsion tibiale externe – axe Q4/TTA)
A différentier des troubles positionnels
(posturaux)
Angle Q (axe Q4 TTA)
Attention tenir compte de la
position d’extension ou
flexion car rotation
automatique au cours de la
flexion et rotation active
possible genou en flexion
Position de référence 0 ou
15° de flexion
Troubles rotatoires (structurel ou positionnels?)
Torsion = trouble structurel
Rotation = positionnel
Troubles de la torsion fémorale
a) Antétorsion fémorale (ou
torsion fémorale interne) normale:
15° environ
b) Antétorsion élevée : 30° et +
– Situation en R neutre et RI
c) Rétrotorsion :
situation en RI et Rneutre
Analyse clinique des troubles
osseux de torsion
torsion fémorale interne :
– à l'examen clinique: on retrouve une RI > RE (physiologique RI= 30°, RE= 60°)
– Test de Netter:
torsion tibiale : (torsion tibiale externe compensatrice)
– mesure clinique
47
Test de Netter
Torsion tibiale
48
Syndrome rotulien : bilan postural
Appui podal et arrière pied : bilan statique
et dynamique (inspection- podoscope -
marche)
Genou dans le plan frontal (valgus) frontal
(recurvatum-flessum)et rotatoire
(convergence)
ILMI
Bassin rachis tête (examen morphostatique)
Tests posturaux
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Pathologies rotuliennes, bilan para-
clinique
Radiographies
Scanner
– Anomalie morphologique
– Sub luxation, pincement patellaire
– Défauts d’axe osseux
Arthro-scanner et IRM
– Chondropatie fémoro-patellaire
– Fissuration du cartilage
Radiographies
radiographies
Trochlée trop creuse =
hyperpression Trochlée plane =
instabilité
Trochlée trop creuse =
hyperpression Trochlée plane =
instabilité
Désaxation rotule
subluxation
Scanner et syndrome rotulien Engagement rotulien
– A 15° de flexion
– Et en dynamique ( rot neutre / interne /externe avec et sans contraction du Q4)
Morphologie de la rotule et de la trochlée
Luxation de la rotule (radiographie suffit)
Arthrose fémoro patellaire (radiographie suffit)
Ostéochondrite
Chondrite rotulienne et trochléenne (arthroscanner)
Axes osseux MI (troubles de torsion du MI)
Scanner rotulien
Pincement externe)
Subluxationn externe t
rochlée plane)
Ostéochondrite joue interne
de la trochlée
Scanner : axes osseux (troubles de torsion du MI
TA-GT
59
Scanner mesure de la TA-GT
Mesure de la torsion fémorale,
pathologique si supérieure 30° chez l’adulte
Scanner : axes osseux (troubles de torsion du MI)
Mesure de la torsion tibiale, pathologique si sup à 40°
Scanner : axes osseux (troubles de torsion du MI)
ostéochondrite trochlée
. .
Scanner : lésions osseuses
Fissuration du cartilage ARTRO SCANNER
ARTHRO SCANNER chondropathie
Coupes horizontales (axiales) étude du cartilage rotulien
IRM
Trt méso et rotule
Tenir compte +++ des composantes étio dans les
trt associés
Bonne indication du trt méso, objectif : lutte
contre la douleur , améliorer la trophicité des
éléments ostéo articulaires
Pas d’effet sur l’instabilité (rééducation)
Pas d ’effet sur les troubles architecturaux
Importance de la posture et appui podal (semelle)
Tous les traitements médicaux ont leur limites si
défaut STRUCTUREL d’axe osseux et si luxation
Trt méso
Le + souvent pathologie chronique même si on peut voir le patient au cours d’une poussée douloureuse aigue
Technique MIXTE
Points profonds ciblés autour de la rotule , cul de sac supérieur +++ points superficiels débordent largement la rotule en regard notament de contractures musculaire du Q4
Mélanges :
– Lidocaine + calcitonine (douleur os ) en Idp ciblé
– Lidocaine + thiocolchicoside (en regard Q4) en IDs
– Lidocaine + cacitonine + conjonctyl (visée trophique) en IDs
– Calcitonine + mag2+ cpv (visée trophique) en IDs
Examen du rachis SID
Examen de la peau
– Peau spongieuse: lido + étamsylate en Ids
– Peau cartonnée : lido + calcitonine en IDs
Tendinopathies
Syndrome rotulien
III) Lésions ligamentaires
Lésions méniscales
Douleurs projetées d’origine rachidienne
entorses
Ligaments collatéraux
– Ligament Collatéral médial ( ex LLI)
– Ligament Collatéral latéral (ex LLE)
Ligaments croisés LCA LCP
Ligaments collatéraux
Diagnostic clinique (diagnostic positif et de gravité)
Bonne indication de la mésothérapie dans les entorses stade 1 et 2
Respect des traitements associés
(immobilisation rééducation)
Attention aux séquelles
– Algodystrophie, (mésothérapie)
– Pellegrini Stieda (méso moins efficace)
Pellegrini Stiéda
.
Ligaments croisés
Epanchement (LCA - LCP)
Test de Lachman (LCA)
Recherche des tiroirs (LCA LCP)
Recherche du ressaut rotatoire du plateau
tibial (Jerk Test) pour LCA
Ce n’est pas une bonne indication de la
méso (sauf trt complémentaire de l’œdème
douleur et contracture associés)
Lésion LCA / LCP
Ne pas méconnaître le diagnostic, gravité fonctionnelle des ruptures du LCA
Risque d’instabilité et à long terme d’arthrose fémoro tibiale si rupture ligamentaire
Diagnostic clinique et confirmation IRM
l’instabilité prédomine, intérêt de la rééducation ( LCA / LCP) et de la chirurgie (LCA)
Mésothérapie sans diagnostic = erreur médicale
Recherche d’épanchement LCA
TIROIRS ANT et POST
77
Lésion du LCP : faux tiroir antérieur avalement de la TTA
Laxité postérieure faux tiroir antérieur
LCP
Test du ressaut, Jerk test
IRM
IRM
IRM
IRM
83
Tiroir antérieur, rupture LCA
Trt méso des entorses du genou (surtout
collatéral médial - ex LLI)
Entorse récente J0 J7 J14
– Lidocaine + calcitonine + ains (douleur prédomine) en Idp ciblée en regard des points douloureux ligamentaires à la palpation
– Lidocaine + calcitonine + étamsylate (œdème) en Ids face médiale en regard du ligament
Séquelles d’entorse, J0 J10 J20 J30
– Examen cutané (peau saine / cartonnée / spongieuse)
– Lidocaine + mag2 + cpv (si douleur)
– Calcitonine + cpv + mag2 à visée trophique
– Caine + étamsylate sur peau spongieuse
– Lidocaine + calcitonine sur peau cartonée
Tendinopathies
Syndrome rotulien
Lésions ligamentaires
IV) Lésions méniscales
Douleurs projetées d’origine rachidienne
Lésion méniscales
Trop grande positivité de l’IRM (faux
positifs de lésions méniscales)
On doit différencier les lésions méniscales
traumatiques des lésions dégnrératives
(méniscoses) associées à l’arthrose fémoro-
tibiale
La mésothérapie est indiquée dans les
pathologies dégénératives
Examen clinique (lésions méniscales
traumatiques)
Epanchement
Flessum (irréductible)
Douleur à la palpation de l’interligne
Douleur provoquée lors de manœuvres spécifiques
– Oudart
– Mc Murray
– Grinding test
– Test de Cabot
– Genety
89
flessum
Palpation de l’interligne interne d’avant en arrière
sur un genou fléchi à 90°
Palpation de l’interligne externe d’avant en arrière sur un
genou fléchi à 90°
Test de Oudart : palpation de la
corne méniscale antérieure
au cours de l’extension
Test de Mc Murray : palpation de
la corne méniscale postérieure
au cours de la flexion
Grinding test
Test de Genety
Position du test de Cabot
95
Lésions méniscales, diagnostic
positif
Forte présomption clinique
– Ménisque interne (médial)
Epanchement, flessum, palpation directe, Oudart, Genety
Mc Murray et Grinding test
– Ménisque externe (latéral) Epanchement non constant ,flessum rare, palpation directe, Mc
Murray et Cabot
Attention après 50 ans
– Penser au diagnostic d’ostéonécrose
Confirmation par IRM
– Attention aux faux positifs après 40 ans
– 3 grades de l’IRM
IRM : grades lésionnels
96
97
Grades IRM Grade 3
Grade 3
Grade 2
Grade 3
IRM méniscose ou lésion traumatique?
Corrélation avec la clinique
Grade 3 : lésion traumatique
Grade 1 : méniscose
Grade 2 : doute corrélation clinique (et rx)
– Clinique
lésion traumatique: sujet jeune - flessum
irréductible - Oudart
Méniscose : après 40 ans signes uniquement de
compression (Mc Murray- grinding)
– RX arthropathie débutante
Trt méso Bonne indication dans la méniscose
Grade 1 (et 2) IRM
Patho chronique
– Meso ciba conjonctyl
– Idp ou Ihd en points profonds ciblés( ceux
positifs à la palpation et aux tests spécifiques)
– + nappage (Ids) ou IED
en regard interligne
– Proc dycinone en IEd si oedeme
– Meso ciba si peau cartonnée en IED
Arthrose fémoro tibiale
Bonne indication du trt méso dans formes
débutantes et modérées (stade 1 et 2)
Attention au diagnostic d’ostéo nécrose et
d’osteochondrite
Discuter une ostéotomie de réaxation si
arthropathie débutante sur génum varum
1 2
3 4
Stades évolutifs
Trt méso
Patho chronique avec poussées aigues
Examen de l’interligne - des muscles stabilisateurs
(Q4 – ischio) - de l’intrication avec le rachis (SID
L4L5 racine L4 - SID L3L4 racine L3)
Examen de la peau
Au début Méso ciba ains sur article et méso
thiocolchicoside sur muscle,.
Puis mesocaine-ciba-conjonctyl ou pro mag2 cpv
Puis vasodilateur –calcitonine – conjonctyl à
visée trophique ou calci-mag2-cpv
Osgood schlatter
Bonne indication du trt méso
MAIS Attention au respect du repos sinon
risques de séquelles
Certains patients (vu l’âge) refuse le
traitement par peur des piqûres, ne pas les
forcer
IED toujours la mieux tolérée
TRt méso
Phase aigue : Méso ciba etamsylate si
œdème ou Méso ciba ains si douleur
prédomine
Technique mixte : en Idp 1 ou 2 points
objectifs (palpés) en regard TTA + nappage
loco dolenti
En chronique nappage en regard TTA
– lido calcitonine conjonctyl ou
– Calcitonine cpv mag 2
Tendinopathies
Syndrome rotulien
Lésions ligamentaires
Lésions méniscales
V) Douleurs projetées d’origine
rachidienne
Douleurs projetées
Rachidiennes ( Eliminer les douleurs
rapportées - différentier les douleurs
projetés pures des intrications)
Viscérales (douleurs médiales du genou –
problèmes pelviens et gynécologiques)
Syndrômes myofasciaux (y penser ++)