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Métaux lourds et Métaux lourds et détoxication dans les détoxication dans les troubles du spectre troubles du spectre autistique autistique Dr Anju Usman, M.D. Dr Anju Usman, M.D. Congrès de l’association Ariane Congrès de l’association Ariane “L’autisme en 2007” “L’autisme en 2007” Paris Paris Décembre 2006 Décembre 2006

Métaux lourds et détoxication dans les troubles du spectre autistique Dr Anju Usman, M.D. Congrès de l’association Ariane “L’autisme en 2007” Paris Décembre

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  • Mtaux lourds et dtoxication dans les troubles du spectre autistique Dr Anju Usman, M.D. Congrs de lassociation Ariane Lautisme en 2007 Paris Dcembre 2006
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  • Quasiment toutes les maladies sont le produit dune susceptibilit gntique et de facteurs environnementaux modifiables incluant, au sens large, les infections, les produits chimiques ainsi que des facteurs physiques, nutritionnels et comportementaux. - Office amricain pour la gntique et la prvention des maladies (CDC) Quasiment toutes les maladies sont le produit dune susceptibilit gntique et de facteurs environnementaux modifiables incluant, au sens large, les infections, les produits chimiques ainsi que des facteurs physiques, nutritionnels et comportementaux. - Office amricain pour la gntique et la prvention des maladies (CDC)
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  • Lautisme est une pathologie MEDICALE et non PSYCHIATRIQUE. Les patients autistes sont pour la plupart victimes dune intoxication dorigine environnementale. Lautisme nest pas une fatalit ; il est rversible car il peut tre soign.
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  • Les thories causales : un faisceau dinteractions Gntique Gntique Toxicit environnementale et incidence des mtaux lourds Toxicit environnementale et incidence des mtaux lourds Facteurs biologiques et immunitaires dclencheurs Facteurs biologiques et immunitaires dclencheurs
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  • Facteurs de prdisposition potentiels Facteurs gntiques Facteurs gntiques Groupe sanguin Type de HLA (antigne des leucocytes humains) Terrain auto-immun familial Nombre de variations des nuclotides (SNP) perturbant la dtoxication (COMT, MTHFr, TCII, MTR) Mtaux lourds et toxines Mtaux lourds et toxines Mre (amalgames, consommation de poisson, injection dimmunoglobines anti-D, vaccins, exposition des toxines environnementales, risques professionnels, contraceptifs oraux) Patient (vaccination, toxines environnementales, antibiotiques, susceptibilit immunitaire, permabilit gastrointestinale, mdicaments) Agents infectieux Agents infectieux Virus (rougeole, cytomgalovirus (CMV)) Bactries (streptocoques, clostridies) Levures (candida)
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  • Les lments charge saccumulent Exposition au mercure pendant la petite enfance, orchestre par le gouvernement amricain par le biais des vaccins, et ce largement au-del des normes de scurit fixes par lagence amricaine pour la protection de lenvironnement Exposition au mercure pendant la petite enfance, orchestre par le gouvernement amricain par le biais des vaccins, et ce largement au-del des normes de scurit fixes par lagence amricaine pour la protection de lenvironnement Vaccination de bbs dont le foie et la fonction biliaire sont encore immatures Vaccination de bbs dont le foie et la fonction biliaire sont encore immatures Vaccination denfants sous antibiotiques, dont lon sait quils inhibent lexcrtion du mercure Vaccination denfants sous antibiotiques, dont lon sait quils inhibent lexcrtion du mercure Vaccination denfants sous actaminophne, qui freine lexcrtion du mercure Vaccination denfants sous actaminophne, qui freine lexcrtion du mercure Vaccination, avec des virus actifs, denfants dont le systme immunitaire est dj perturb (voir ci-dessus) ; chez certains patients, les virus peuvent simplanter dans la paroi intestinale et le liquide cphalorachidien (Wakefield, 2001, 2004). Vaccination, avec des virus actifs, denfants dont le systme immunitaire est dj perturb (voir ci-dessus) ; chez certains patients, les virus peuvent simplanter dans la paroi intestinale et le liquide cphalorachidien (Wakefield, 2001, 2004).
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  • Intoxication au mercure (Hg) Neurotoxine puissante Exposition aise Poisson, amalgames, air, thimosral (vaccins) Poisson, amalgames, air, thimosral (vaccins) Symptmes de lintoxication comparables ceux de lautisme (Bernard, 2000) Le glutathion est le principal mcanisme dexcrtion Les patients autistes prsentent des niveaux insuffisants de glutathion (James, 2004) Le paractamol et les antibiotiques diminuent lexcrtion du mercure Lanalyse des dents de lait denfants autistes a rvl la prsence de 3 fois plus de mercure que dans celles de groupes de contrle (Adams, 2005) Lanalyse des cheveux de trs jeunes enfants a permis de dceler de trs faibles niveaux de mercure par rapport aux groupes de contrle, rsultat cohrent avec la thse dune faible excrtion du mercure (Holmes, 2003) Lors de tests de mobilisation au DMSA, il sest avr que les enfants autistes excrtaient 5,8 fois plus de mercure que les enfants des groupes de contrle (Bradstreet, 2003) Une gurison peut tre envisage grce la dtoxication du mercure (Holmes, Buttar).
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  • Intoxication au plomb (Pb) Des carences en protines - Ca, Zinc, Se, Fe ou Vit E ainsi que le fluor favorisent labsorption du plomb, lequel est plus facilement assimil par les enfants que par les adultes. Perturbe la synthse de lhme, diminue les niveaux de glutathion rduit, augmente le stress oxydant et la peroxydation lipidique Diminue la glutamine synthtase et lacide glutamique dshydrognase Freine le rcepteur GABA et augmente les niveaux de glutamate et dammoniaque La synergie avec le mercure renforce lintoxication de manire exponentielle. Les seuils de scurit sont passs de 80ug/dl 10ug/dl de sang Les enfants prsentant des niveaux sanguins de 10 mcg/dl, limite suprieure de la plage de scurit , prsentent un QI moyen de 7,5 points infrieur celui des enfants dont les niveaux de plomb sont de 0-1 mcg/dl.
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  • CDC Symptmes de lintoxication au plomb Signes Signes Labilit motionnelle, irritabilit, changements de comportement Manque de concentration et dattention, comportements rigides Hyperactivit ou apathie Retards de dveloppement, y compris dans le langage Retards dapprentissage Comportements rprhensibles, dlinquance Symptmes Symptmes Douleurs abdominales, perte de lapptit, vomissements, constipation Maux de tte, ataxie, somnolence Lthargie, crises pileptiques, stupeur, coma Faiblesse des muscles extenseurs Dlires, hallucinations Perturbations de la motricit fine Perturbations de la perception visuo-spatiale Troubles de laudition, du traitement auditif Retards de croissance
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  • La synergie mercure-plomb Une publication a dmontr quen associant mercure et plomb une dose ltale de niveau 1 (DL1), on obtenait chez le rat un taux de mortalit de 100%, soit le mme rsultat quavec une dose ltale de niveau 100. Le niveau DL1 est celui auquel, faible concentration, ni le mercure ni le plomb nest lui seul trs toxique (il tue moins de 1% des rats exposs). La mortalit de 100%, alors que 1% plus 1% devrait normalement donner 2%, correspond ce que lon appelle une toxicit synergtique. Une publication a dmontr quen associant mercure et plomb une dose ltale de niveau 1 (DL1), on obtenait chez le rat un taux de mortalit de 100%, soit le mme rsultat quavec une dose ltale de niveau 100. Le niveau DL1 est celui auquel, faible concentration, ni le mercure ni le plomb nest lui seul trs toxique (il tue moins de 1% des rats exposs). La mortalit de 100%, alors que 1% plus 1% devrait normalement donner 2%, correspond ce que lon appelle une toxicit synergtique. Lassociation de deux doses non ltales de mercure et de plomb, donne donc un mlange hautement toxique ! Cette constatation prouve quel point il est illusoire de dfinir un niveau sr dexposition au mercure si lon ignore par ailleurs quels autres toxiques le sujet est expos. La toxicit combine de diffrentes substances telles que le mercure, le thimosral, le plomb, laluminium, le formaldhyde, etc., nest pas connue. Dr. Boyd Haley
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  • Lautisme est-il li une perturbation de la dtoxication, alors mme que la surcharge toxique de lorganisme est toujours croissante ? Lautisme est-il li une perturbation de la dtoxication, alors mme que la surcharge toxique de lorganisme est toujours croissante ?
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  • Dtoxication Processus dlimination de toxines liposolubles aprs transformation en molcules hydrosolubles Processus dlimination de toxines liposolubles aprs transformation en molcules hydrosolubles Ce processus ncessite beaucoup dnergie (ATP)Ce processus ncessite beaucoup dnergie (ATP) Il fait peser une charge sur lorganisme et ncessite de nombreux cofacteurs vitaminiquesIl fait peser une charge sur lorganisme et ncessite de nombreux cofacteurs vitaminiques La premire barrire dfensive est la paroi gastro- intestinaleLa premire barrire dfensive est la paroi gastro- intestinale Une dtoxication perturbe entrane une surcharge toxique de lorganismeUne dtoxication perturbe entrane une surcharge toxique de lorganisme Un excs de toxines entrane un stress oxydant et un tat dinflammation chronique.Un excs de toxines entrane un stress oxydant et un tat dinflammation chronique.
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  • Toxines Produits chimiques prsentant un risque excessif pour la sant = xnobiotiques Produits chimiques prsentant un risque excessif pour la sant = xnobiotiques A chaque substance toxique correspond une concentration ou dose toxique A chaque substance toxique correspond une concentration ou dose toxique La synergie entre ces substances abaisse les seuils de risque La synergie entre ces substances abaisse les seuils de risque Llimination des toxines varie grandement dun individu lautre Llimination des toxines varie grandement dun individu lautre Les toxines peuvent induire des perturbations immunitaires et neurologiques en-de mme des doses rputes toxiques Les toxines peuvent induire des perturbations immunitaires et neurologiques en-de mme des doses rputes toxiques Les expositions ne sont pas considrer indpendamment les unes des autres : elles se cumulent, avec pour la plupart un effet de synergie Les expositions ne sont pas considrer indpendamment les unes des autres : elles se cumulent, avec pour la plupart un effet de synergie La plupart des substances toxiques sont liposolubles La plupart des substances toxiques sont liposolubles Ces substances liposolubles saccumulent dans les tissus adipeux, en particulier la gaine de myline, le cerveau et le foie. Ces substances liposolubles saccumulent dans les tissus adipeux, en particulier la gaine de myline, le cerveau et le foie.
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  • Dtoxication du foie Phase I : BIOACTIVATION Toxine liposoluble Intermdiaire toxique Enzyme cytochrome P450 NADH
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  • Dtoxication du foie Intermdiaire toxique- OH Espces ractives de loxygne (ROS) ou radicaux libres Les toxines induisent un stress oxydant sous la forme de radicaux libres Protection par les vitamines C et E, le zinc et le slnium Se lie aux protines, lADN et lARN, provoquant un dommage cellulaire
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  • Dtoxication du foie Phase II : CONJUGAiSON (ncessite lATP et de nombreux cofacteurs) Intermdiaires toxiques Compos hydrosoluble non toxique Glucuronidation Sulfatation Mthylation Conjugaison au glutathion Conjugaison aux acides amins Actylation
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  • Dr J. James, PhD. DAN! octobre 2003 Effets du stress oxydant sur la transsulfuration de la mthionine Mthylation de lADN/ARN, des protines, des phospholipides membranaires, de la cratinine, des neurotransmetteurs
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  • SAM SAH MTase SAHH Homocystine B6 CBS BHMT Choline Btaine Transsulfuration mthionine en cystine et glutathion Cystathionine Cysteine GSH GSSG Mthionine Adnosine B6 5- CH 3 THF THF B12 MS 5,10- CH 2 THF MTHFR Mthylation cellulaire 1 2 3 1 2 3 Cycle des folates Cycle de la mthionine Voie de transsulfuration Potentiel mthylation (SAM/SAH) Potentiel antioxydant (GSH/GSSG)
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  • Le glutathion est le principal antioxydant du corps Mauvaise alimentation Infection Radiations FACTEURS CONTRIBUANT AU STRESS OXYDANT Stress Stress oxydant Radicaux libres Toxines PERTE DE GLUTATHION VIEILLISSEMENT CELLULAIRE MALADIE - DECES Mdicaments Pollution Blessure Traumatisme Vieillissement
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  • SAM SAH MTase SAHH Homocystine B6 THF CBS B12 BHMT Choline Btaine Stress oxydant et mtabolisme de la mthionine Transsulfuration THF : ttrahydrofolate Cystathionine Cystine Glutathion Mthionine AK ADA Inosine AMP B6 Mthylation de lADN, lARN, des protines, catcholamines, phospholipides et de la cratinine Enzymes MS MAT 5-CH 3 THF Adnosine GSSG
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  • Stress oxydant et mtaux lourds Perturbations de la mthylation Perturbations de la mthylation Sous-mthylation, anomalies de remthylation (mthyltransfrase, mthionine synthase) Perturbations de la dtoxication Perturbations de la dtoxication Rduction des coenzymes et cofacteurs de la dtoxification Anomalies de la sulfatation (phnolsulfur transferase, Waring 2001) Carence en glutathion (James, 2003) Carence en cystine (Pangborn, Bradstreet) Rduction des antioxidants, du glutathion Inflammation chronique (cerveau, intestins) Inflammation chronique (cerveau, intestins)
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  • Stress oxydant Dfense antioxydante Superoxyde dismutase ( GSH ( glutathion) peroxydase GSH (glutathion) rductase Vitamine E Vitamine C Acide lipoque GST (glutathion S-transfrase) GSH (glutathion rduit) Radical hydroxyl Peroxyde dhydrogne Superoxyde ONOO- GSSG 4HNE LOO- Mort cellulaire
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  • Prdisposition gntique, toxines, facteurs biologiques un draillage mtabolique Surcharge en mtaux lourds Surcharge en mtaux lourds Carences en minraux (zinc, magnsium, slenium) Carences en minraux (zinc, magnsium, slenium) Stress oxydant (James 2004, Salomon 2004, Pratico 2006) Stress oxydant (James 2004, Salomon 2004, Pratico 2006) Niveaux levs de mercure, de plomb, daluminium Niveaux levs de mercure, de plomb, daluminium Perturbations de la mthylation Perturbations de la mthylation Anomalies de la sulfatation Anomalies de la sulfatation Perturbations de la dtoxication Perturbations de la dtoxication Carences en antioxydants, cofacteurs vitaminiques Carences en antioxydants, cofacteurs vitaminiques Diminution du glutathion rduit Diminution du glutathion rduit Inflammation chronique Inflammation chronique Dysfonctionnements gastrointestinaux Dysfonctionnements gastrointestinaux Drglements immunitaires Drglements immunitaires
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  • Effets biochimiques de la surcharge toxique Mtaux lourds Mtaux lourds destruction des membranes cellulaires augmentation de laction des radicaux libres diminution des enzymes de sulfatation dplacement des cofacteurs enzymatiques oxydation des enzymes attaques organiques (cerveau, systme nerveux, reins) altration de la flore intestinale effets toxiques sur le systme immunitaire dnaturation des protines risque cancreux carences en minraux
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  • Mtaux lourds tableau clinique Mercure (Hg) Mercure (Hg) Ulcres buccaux, trmulations, retards de croissance, distention abdominale, rougeur des lvres, de lextrmit des doigts, salivation excessive, selles dcolores, liquides, non formes, dsintrt, manque de contact oculaire Plomb (Pb) Plomb (Pb) Allergies, dficit dattention, constipation, mauvaise coordination, dlinquence, dyslexie, maux de tte, hyperactivit, hypothyrodie, insomnie, irritabilit, humeur instable, faiblesse musculaire, dyspraxie, faible tonus musculaire, anomalies de la perception visuelle et auditive, pica Aluminum (Al) Aluminum (Al) Anmie, manque dapptit, comportements atypiques, constipation, bouche et peau sches, fatigue, hyperactivit, pertes de mmoire, torpeur, faiblesse des muscles suprieurs.
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  • Minraux et symptmes Zinc (Zn) Zinc (Zn) des carences peuvent perturber le systme immunitaire, le langage, lattention, la concentration Magnsium (Mg) Magnsium (Mg) diminue laluminum ; antagoniste du calcium Calcium (Ca) Calcium (Ca) excs : hyperexcitabilit carences : mauvaise minralisation des os, raideurs musculaires diminue le plomb et laluminum Molybdne (Mb) Molybdne (Mb) diminue le tungstne et le cuivre Cuivre (Cu) Cuivre (Cu) excs : comportements erratiques, hyperactivit, manque de concentration, prolifration de levures diminue le zinc et le molybdne.
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  • Education et modification du comportement Contrle de lenvironnement Rgimes Nutrithrapie Flore intestinale Profil immunitaire et inflammation Dtoxication naturelle Chlation et autres traitements mdicamenteux Intensit des symptmes = intensit du traitement
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  • Stratgie de base Etude des antcdants et examen clinique Etude des antcdants et examen clinique Examens de laboratoire Examens de laboratoire Assainissement Assainissement environnement rgime flore intestinale Nutriments de base Nutriments de base Traitement des problmes immunitaires et de linflammation sous-jacents Traitement des problmes immunitaires et de linflammation sous-jacents Etayage des voies de dtoxication Etayage des voies de dtoxication Eviction des mtaux lourds Eviction des mtaux lourds
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  • Assainir lenvironnement de lenfant Utiliser des dtergents naturels, biodgradables et sans parfum; ne pas laver les vtements sec Utiliser des dtergents naturels, biodgradables et sans parfum; ne pas laver les vtements sec Eviter le chlore : filtrer leau, limiter les baignades en piscine et les bains chauds Eviter le chlore : filtrer leau, limiter les baignades en piscine et les bains chauds Choisir des vtements 100% coton, viter les textiles ignifugs (antimoine) Choisir des vtements 100% coton, viter les textiles ignifugs (antimoine) Opter pour un dentifrice non fluor (fer, titane) Opter pour un dentifrice non fluor (fer, titane) Eviter les surfaces en contreplaqu (arsenic) Eviter les surfaces en contreplaqu (arsenic) Eviter les produits contenant du mercure et du thimosral Eviter les produits contenant du mercure et du thimosral Utiliser un purificateur dair, en particulier dans la chambre Utiliser un purificateur dair, en particulier dans la chambre Eviter toute exposition prolonge des piles (baskets lumineuses) Eviter toute exposition prolonge des piles (baskets lumineuses) Exclure le mobilier en plastique (polychlorure de vinyle) Exclure le mobilier en plastique (polychlorure de vinyle) Levures, dodorants sans aluminum. Ne pas cuisiner dans des feuilles aluminium, exclure les canettes en aluminum Levures, dodorants sans aluminum. Ne pas cuisiner dans des feuilles aluminium, exclure les canettes en aluminum Eviter herbicides et pesticides dans le jardin ou la maison Eviter herbicides et pesticides dans le jardin ou la maison Utiliser des shampoings, savons et maquillages naturels (rouge lvres et fond de teint sans mtaux lourds). Utiliser des shampoings, savons et maquillages naturels (rouge lvres et fond de teint sans mtaux lourds).
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  • Assainir lalimentation de lenfant Essayer un rgime sans casine, gluten ni soja pendant 3 6 mois Essayer un rgime sans casine, gluten ni soja pendant 3 6 mois Eviter le sucre et les amidons raffins ; opter pour les lgumes fibreux, riches en antioxidants, les lgumes crucifres, le curcuma, lail Eviter le sucre et les amidons raffins ; opter pour les lgumes fibreux, riches en antioxidants, les lgumes crucifres, le curcuma, lail Eviter les aliments industriels et les conserves ; privilgier les aliments biologiques Eviter les aliments industriels et les conserves ; privilgier les aliments biologiques Eviter les excitotoxines (cafine, monosodium glutamate, aspartame, colorants rouges et jaunes, nitrites, sulfites, glutamates, conservateurs) Eviter les excitotoxines (cafine, monosodium glutamate, aspartame, colorants rouges et jaunes, nitrites, sulfites, glutamates, conservateurs) Limiter les aliments riches en phnols (pomme, raisin, fraise) Limiter les aliments riches en phnols (pomme, raisin, fraise) Limiter les sources de cuivre (chocolat, crustacs, eau du robinet, colorants artificiels) Limiter les sources de cuivre (chocolat, crustacs, eau du robinet, colorants artificiels) Faire boire de grandes quantits deau filtre Faire boire de grandes quantits deau filtre Ne jamais rchauffer au micro-onde dans des rcipients plastique ou polystyrne, conserver dans des rcipients ou du film plastique, ni cuisiner dans des rcipients revtus de Tflon Ne jamais rchauffer au micro-onde dans des rcipients plastique ou polystyrne, conserver dans des rcipients ou du film plastique, ni cuisiner dans des rcipients revtus de Tflon Eviter le poisson et les fruits de mer Eviter le poisson et les fruits de mer Donner des fruits et des crudits en entre Donner des fruits et des crudits en entre Ajouter des huiles bnfiques (olive, noix de coco, lin) ; viter les huiles hydrognes et graisses insatures Ajouter des huiles bnfiques (olive, noix de coco, lin) ; viter les huiles hydrognes et graisses insatures Acheter de la viande et des oeufs biologiques, sans hormones ni antibiotiques Acheter de la viande et des oeufs biologiques, sans hormones ni antibiotiques Eviter les OGM Eviter les OGM Ajouter des aliments ferments (khfir la noix de coco, chou, yoghourts au lait de chvre). Ajouter des aliments ferments (khfir la noix de coco, chou, yoghourts au lait de chvre).
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  • Peptides opiodes Les mtaux lourds et les levures inhibent la dipeptidyl-dipeptidase 4 (DPP4) Les mtaux lourds et les levures inhibent la dipeptidyl-dipeptidase 4 (DPP4) Lenzyme DPP4 digre la casine/le gluten Lenzyme DPP4 digre la casine/le gluten Mal fractionnes, les protines de la casine et du gluten demeurent sous la forme de peptides si lenzyme DPP4 ne fonctionne pas normalement Mal fractionnes, les protines de la casine et du gluten demeurent sous la forme de peptides si lenzyme DPP4 ne fonctionne pas normalement Peptides de la casine = casomorphine Peptides de la casine = casomorphine Peptides du gluten = gliadorphine Peptides du gluten = gliadorphine Ces peptides ont un effet opiode Ces peptides ont un effet opiode Les peptides de la casine et du gluten entranent une excitation du cerveau et une dpendance lgard de ces aliments. Les peptides de la casine et du gluten entranent une excitation du cerveau et une dpendance lgard de ces aliments.
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  • Sans casine/gluten Troubles intestinaux chroniques Rgime sans glucides Rduction de lalimentation Rgime faible en oxalates Rgime dlimination/ rotation daliments Hyperactivit/ comportements rptitifs Eviction des excitotoxines Rgime faible en phnols/ Rgime Feingold Rgime faible en cuivre Rgime dlimination/ Rotation dalimentsRgimes
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  • Assainir les intestins Les selles doivent tre quotidiennes Les selles doivent tre quotidiennes Ajouter des enzymes digestives aux repas Ajouter des enzymes digestives aux repas Utiliser des probiotiques puissants (acidophilus et bifidus) Utiliser des probiotiques puissants (acidophilus et bifidus) Commencer le traitement de la dysbiose en fonction des symptmes et des rsultats du laboratoire. Commencer le traitement de la dysbiose en fonction des symptmes et des rsultats du laboratoire. Si les symptmes persistent : Si les symptmes persistent : Consulter le cas chant un gastroentrologue Eliminer les disaccharides pendant 3 6 mois Rgime sans glucides Rgime sans glucides Envisager un essai de secrtine par voie intraveineuse Ajouter des agents anti-inflammatoires naturels Surveiller attentivement les intestins pendant tout traitement de dtoxication. Surveiller attentivement les intestins pendant tout traitement de dtoxication.
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  • Mesure de lintoxication Les tests de mobilisation sont rarement concluants du fait des difficults de ces enfants pour se dtoxifier. Les tests de mobilisation sont rarement concluants du fait des difficults de ces enfants pour se dtoxifier. La recherche de toxines dans les urines ou les selles et les analyses de cheveux tmoignent de lexcrtion de mtaux lourds, mais ils ne permettent pas dvaluer lintoxication globale. La recherche de toxines dans les urines ou les selles et les analyses de cheveux tmoignent de lexcrtion de mtaux lourds, mais ils ne permettent pas dvaluer lintoxication globale. Les analyses de sang permettent de dceler une intoxication aigu, mais pas de mesurer la surcharge chronique en mtaux. Les analyses de sang permettent de dceler une intoxication aigu, mais pas de mesurer la surcharge chronique en mtaux. Aucun examen nest mme de mesurer une intoxication chronique. Aucun examen nest mme de mesurer une intoxication chronique. Aucun test ne permet de dterminer la charge totale en mtaux. Aucun test ne permet de dterminer la charge totale en mtaux. Le plomb se fixant sur les os et ne pouvant tre mesur que 12 heures aprs une intoxication, le plomb sanguin ne saurait tre considr comme un indicateur dintoxication chronique. Le plomb se fixant sur les os et ne pouvant tre mesur que 12 heures aprs une intoxication, le plomb sanguin ne saurait tre considr comme un indicateur dintoxication chronique. Le mercure a des affinits avec les tissus gras et le cerveau en dveloppement. Il est trs rarement dcelable dans le sang. Le mercure a des affinits avec les tissus gras et le cerveau en dveloppement. Il est trs rarement dcelable dans le sang. Test des porphyrines urinaires Test des porphyrines urinaires
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  • Les enfants autistes prsentent des mcanismes de dtoxication dfaillants. Ils excrtent mal des mtaux lourds tels que le mercure. Une intoxication entrane des troubles neurologiques, immunitaires, gastrointestinaux et psychiatriques. Lorsque que lon recherche les mtaux lourds, ce nest gnralement que le sommet de liceberg que lon peroit. Malgr des tests de mobilisation, lenfant peut mettre des mois avant de commencer excrter des mtaux lourds tels que le mercure. Lhypothse dune intoxication repose essentiellement sur des symptmes. Souvent, les tests de laboratoire initiaux ne sont pas concluants.
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  • Etayer les voies de dtoxication Mthylation Mthylation Sulfatation Sulfatation Conjugaison au glutathion Conjugaison au glutathion Conjugaison la glycine Conjugaison la glycine Conjugaison la taurine Conjugaison la taurine Actylation Actylation Glucuronidation Glucuronidation Les niveaux plasmatiques de sulfate, de glutathion rduit, de glycine et de taurine peuvent tre mesurs.
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  • Etayer la mthylation Trimthylglycine (TMG) Dimthylglycine (DMG) S-adenosyl mthionine (SAMe) Mthionine Co-enzyme NADH Vitamine B2 Folates actifs (acide folinique, mthylTHF) Mthylcobalamine (mthyle-B12) Cratinine, co-enzyme CoQ10
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  • Etayer la sulfatation Sulfate de magnsium (sels dEpsom) Molybdne, biotine Vitamine B1, alliathiamine (crme TTFD), benfotiamine Vitamine C N-actyl cystine (NAC) Glutathion rduit (GSH) Sulfate de glucosamine, chondroitin sulfate
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  • Faiblesse de lenzyme phnylsulfur transfrase (PST) Lenzyme PST aide dtoxifier les composs phnoliques Lenzyme PST aide dtoxifier les composs phnoliques Substances phnoliques : Substances phnoliques : hormones salicylates (raisin, pomme, fraise) neurotransmetteurs agents biologiques (levures) oesticides, herbicides, parfums Une faiblesse de lenzyme PST peut se traduire par de lhyperactivit, de lagitation, de lirritabilit, des comportements erratiques accompagns de rougeurs des joues et des oreilles Une faiblesse de lenzyme PST peut se traduire par de lhyperactivit, de lagitation, de lirritabilit, des comportements erratiques accompagns de rougeurs des joues et des oreilles Le phosphate de pyridoxal-5 est un cofacteur. Le phosphate de pyridoxal-5 est un cofacteur.
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  • Etayer le glutathion TMG, acide folinique, mthyle-B12 (Jill James, 2005) Prcurseurs du glutathion N-actyl cystine N-actyl cystine Glycine Glycine Glutamate ( ne pas administrer aux patients) Glutamate ( ne pas administrer aux patients) Vitamine C, vitamine E, slenium, zinc, mtallothionine, acide alpha-lipoique, NADH L-glutathion rduit transdermal, oral, intranasal, nbulis, intrarectal, liposomal, intraveineux transdermal, oral, intranasal, nbulis, intrarectal, liposomal, intraveineux
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  • Modes de dtoxication des mtaux Chlateurs pharmaceutiques Chlateurs pharmaceutiques Agents de clathration/zolites Agents de clathration/zolites TTFD/alliathiamine TTFD/alliathiamine Glutathion Glutathion Acide alpha-lipoque Acide alpha-lipoque N-acetyl cystine N-acetyl cystine Mtallothionine Mtallothionine Injections de mthylcobalamine Injections de mthylcobalamine Herbes, al, coriandre, chlorella, spiruline Herbes, al, coriandre, chlorella, spiruline Traitement ARN Traitement ARN Homopathie Homopathie Sauna infra-rouge Sauna infra-rouge
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  • Chlateurs pharmaceutiques DMSA, EDTA, DMPS DMSA, EDTA, DMPS Neutralisent les ions de mtaux libres en les capturant dans une structure en anneau. Les chlateurs ont des affinits variables avec diffrents mtaux. Ils ne traversent pas la barrire cphalo-rachidienne. Le complexe mtaux-lourds/chlateur est excrt par les reins et le foie, surchargeant ainsi ces organes. Effets secondaires : perturbations des reins et du foie, leucopnie, perte de minraux, dysbiose des intestins, irritations cutanes, nauses, fatigue. Pendant la chlation, surveiller lhmogramme, le foie, les reins, les lectrolytes, les minraux, la thyrode ainsi que les intestins tous les 2 3 mois.
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  • Chlation dun ion de mtal par lETDA
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  • Chlateurs pharmaceutiques DMSA (acide dimercaptosuccinique) DMSA (acide dimercaptosuccinique) Bonne affinit avec le mercure et le plomb, faible affinit avec laluminum Risques extrmement limits Traiter pralablement les intestins Provoque la perte de zinc Oral, transdermal ou sous forme de suppositoires Contre-indiqu en cas dallergie au soufre ou de carence en G6PD ALA (acide alpha-lipoque) ALA (acide alpha-lipoque) Antioxidant, regnre le glutathion, donneur de soufre Ne pas utiliser initialement ou en cas de dysbiose svre Franchit la barrire cphalo-rachidienne Oral ou transdermal
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  • Chlateurs pharmaceutiques EDTA (acide thylnediaminettraactique) EDTA (acide thylnediaminettraactique) Faible affinit avec le mercure, bonne affinit avec le plomb, laluminum et le cuivre ETDA CaNa2 approuv par la FDA pour le plomb ; seul chlateur dont les effets en termes de QI ont t dmontrs LETDA MgNa2 par voie intraveineuse, principalement utilis pour lartriosclrose, prsente un risque dhypocalcmie mortelle en cas dinjection rapide Intressant pour les patients prsentant une dysbiose et une hyperactivit svres Prparations : Orale (ionise,liposomale), transdermale, intraveineuse, intrarectale Orale (ionise,liposomale), transdermale, intraveineuse, intrarectale
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  • Chlateurs pharmaceutiques DMPS (acide dimercaptopropanesulfonique) DMPS (acide dimercaptopropanesulfonique) Excellent chlateur du mercure, faible affinit avec le plomb Approuv par la FDA pour une utilisation sur prescription Excrtion principalement par les reins DMPS transdermal Protocole du Dr Rashid Buttar : Protocole du Dr Rashid Buttar : 1,5 mg/kg un jour sur deux Arrt des minraux les jours de DMPS Oral, intrarectal, intramusculaire, intraveineux
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  • Autres modes de dtoxication Agents de clathration Agents de clathration Capturent les mtaux lourds dans un rseau collodal, les rendant ainsi inoffensifs Certains existent ltat naturel : chlorella et spiruline. Trs forte affinit, ce qui les rend susceptibles dtre dj contamins aux mtaux lourds Peuvent favoriser la dtoxication des polluants organiques persistants (POP). Zolites Zolites Minraux volcaniques naturels prsentant une structure cristalline complexe Structure alvolaire ; captent les mtaux lourds et les toxines au niveau des cellules Peu de minraux prsentent une charge ngative Les zolites attirent les toxines comme des aimants.
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  • Autres modes de dtoxication TTFD/alliathiamine TTFD/alliathiamine (thiamine ttrahydrofurfuryle disulfure) (thiamine ttrahydrofurfuryle disulfure) Forme active de la vitamine B1 Soutient les voies de la sulfatation Soutient la production dATP dans le cycle de Krebs Augmente lexcrtion darsenic et dautres mtaux lourds Diminution des scores dATEC (Lonsdale, 2003) Forme transdermale Effets secondaires : forte odeur de transpiration (odeur de mouffette).
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  • Modes de dtoxication des mtaux Injections de mthylcobalamine (MB-12) Injections de mthylcobalamine (MB-12) Favorisent le cycle de la mthylation Court-circuitent les faiblesses de la voie des folates Mthylent le rcepteur dopaminagertique-4 Amliorent les aptitudes cognitives, la pense abstraite, lattention, la concentration, la conscience, le language, le comportement, allgent les TOC, lanxit. (Neubrander, 2004) A forte concentration dans le tissu fessier sous-cutan ; libration lente et indolore ; aucune toxicit associe la vitamine B-12 fortes doses Aucun test ne permet de dceler les carences en mthyle-B12 Effets secondaires : augmentation de lnergie, hyperactivit, agitation, ractions de dtoxication.
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  • Modes de dtoxication des mtaux Sauna infrarouges Sauna infrarouges Pntration de la chaleur en profondeur Augmentation de la temprature interne du corps Amlioration de la circulation, du drainage lymphatique et de la libration naturelle des toxines stockes Renforcement de lexcrtion des toxines par la transpiration, le foie et les reins Dtoxication des POP (polluants organiques persistants) Complmentaire des autres protocoles de dtoxication.
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  • Prcautions avant dtoxication Mise en place des stratgies dassainissement Mise en place des stratgies dassainissement Nutriments, antioxydants et minraux Nutriments, antioxydants et minraux taux satisfaisant de zinc apports en calcium et en magnsium Traitement de la dysbiose Traitement de la dysbiose selles rgulires probiotiques agents fongicides/antibactriens vise prophylactique
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  • Soutien nutritionnel Minraux Minraux zinc 2-3 mg/kg magnsium 10-30 mg/kg Slnium 100-200 mcg molybnne 100-250 mcg calcium 200-1000 mg per jour Antioxydants Antioxydants vitamine C 500-1500 mg/jour vitamine E 200-800 ui/jour vitamine A 2500-15000 ui/jour EFA EFA omga-3 EFA 1000 mg Epuration du foie et des reins Epuration du foie et des reins homopathie, tisanes, organothrapie, protomorphognes, huiles essentielles
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  • Prcautions avant dtoxication Soutenir les voies de dtoxication naturelles Soutenir les voies de dtoxication naturelles mthylation sulfatation conjugaison au glutathion Soutenir les monctoires Soutenir les monctoires foie/vsicule biliaire reins Soutenir les organes montrant des signes de stress Soutenir les organes montrant des signes de stress glandes surrnales thyrode
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  • Prcautions avant dtoxication Individualisation Individualisation Choix de lagent pharmaceutique Mode dadministration Frquence Recours des chlateurs adjuvants Surveillance Surveillance Hmogramme, enzymes du foie, taux dazote urique (BUN), cratinine, lectrolytes, niveaux de minraux, de fer, fonctionnement de la thyrode et tat des intestins Initialement puis tous les 2 3 mois
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  • Chlateurs pharmaceutiques DMSA, DMPS et EDTA-Ca Excrtion rapide et efficace des mtaux ; confirme lintoxication, court-circuite les intestins Excrtion rapide et efficace des mtaux ; confirme lintoxication, court-circuite les intestins Excrtion modre, cour-circuitent les intestins Excrtion modre, cour-circuitent les intestins Protocoles bien tablis, peu coteux, mdicaments disponibles Protocoles bien tablis, peu coteux, mdicaments disponibles Peu deffets secondaires, chlation lente et continue, court-circuite les intestins Peu deffets secondaires, chlation lente et continue, court-circuite les intestins Aggressive, avec des changements potentiellement trop rapides, cot lev, admnistration sous surveillance mdicale exprimente Aggressive, avec des changements potentiellement trop rapides, cot lev, admnistration sous surveillance mdicale exprimente Aggressive, absence de protocoles bien tablis Aggressive, absence de protocoles bien tablis Frquentes dysbioses de levures et bactries Frquentes dysbioses de levures et bactries Peut ne pas atteindre les tissus en profondeur, cot Peut ne pas atteindre les tissus en profondeur, cot Avantages Inconvnients Voie intraveineuse Voie intrarectale Voie buccale Voie transdermale
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  • Informations complmentaires Biomedical Treatment Options for ASD, Drs Baker et Pangborn Biomedical Treatment Options for ASD, Drs Baker et Pangborn Children with Starving Brains, Dr Jaquelyn McCandless Children with Starving Brains, Dr Jaquelyn McCandless Special Diets for Special Kids, Lisa Lewis Special Diets for Special Kids, Lisa Lewis Evidence of Harm, David Kirby Evidence of Harm, David Kirby Excitotoxins, The Taste that Kills, Dr Russel Blaylock MD Excitotoxins, The Taste that Kills, Dr Russel Blaylock MD Sites web Sites web www.autismresearchinstitute.org www.safeminds.org www.autismone.org www.generationrescue.org www.vaccineawareness.com www.vaccineawareness.com www.ddr.org
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