16
CENTrE HOSPiTAliEr HENri MONDOr 50 avenue de la république 15000 Aurillac Tél. 04 71 46 56 56 www.ch-aurillac.fr NT IDO T E Avril 2016 - N°76 Visite de cerficaon HAS du 25 au 29 avril 2016 Nouvel IRM installé au Centre Hospitalier

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CENTrE HOSPiTAliEr HENri MONDOr50 avenue de la république 15000 Aurillac Tél. 04 71 46 56 56 www.ch-aurillac.fr

NTIDOTEAvril 2016 - N°76

Visite de

certification HAS du

25 au 29 avril 2016

Nouvel IRM installé auCentre Hospitalier

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NOuvEl irM, SPéCiAliSé EN OSTéOArTiCulAirE P1

AgrilOCAl P2

biEN-êTrE POur lES bébéS - DiSPOSiTif PrADO -ExErCiCE POMPiErS P3

PôlE CArDiO vASCulAirE : la rythmologie interventionelle se développe ! P4

ANTONiO DE SiSTi, CArDiOlOguE SPéCiAliSé EN ryTHMOlOgiE iNTErvENTiONEllEfAbriCE MErCiEr, NOMMé MEMbrE NATiONAl ANCESu

P5

Zoom sur... la Visite de certification P6, 7, 8

le lAbOrATOirE du Centre Hospitalier ACCréDiTé COfrACDéPArT DES DrS CHArMES, évrArD, CArriÈrES

P9

AMéNAgEMENTS PAySAgErS P10

MOuvEMENT MéDECiNSNAiSSANCES, MAriAgES

P11

HôPiTAl DE jOur vigNAlOu - OuvErTurE Du PASA P12

NuiT DE l’OriENTATiONPAiEMENT DES fACTurES EN ligNE POur lES PATiENTSArTHérAPiE - COMPAS

P13

DOCuMENTS D’iNfOrMATiON ArSAMiCAlE

P14

Avril 2016 : visite des experts de la Haute Autorité de Santé !

retrouvez dans ce journal un dossier consa-cré à la Certification mais aussi toute l’actua-lité de notre hôpital.l’installation du nouvel appareil d’imagerie àrésonnance Magnétique va permettre de répondre aux besoins de santé de la popula-tion du Cantal. Notre Pôle Cardiovasculaires’enrichit lui aussi avec des compétences hu-maines et techniques. les patients n’aurontplus à se déplacer sur le CHu. l’ensemble des personnels œuvre quotidien-nement afin d’inscrire le Centre HospitalierHenri Mondor, dans une dynamique, totale-ment orientée vers la qualité, au service du pa-tient.

Édito

Dans ce journal

DirECTEur DE PubliCATiONET DE réDACTiON

Pascal TARRISSON

COMiTé DE réDACTiONEquipe de Direction

Sylvie BOUDOUVirginie CALVET

SECréTAriAT DE réDACTiONMiSE EN PAgE

ET PHOTOgrAPHiESService communication

du Centre Hospitalierimprimerie Albédia

Dépôt légalNuméro iSSN 1268-2012

Tirage : 500 exemplaires

Dessins : Mary Brunet

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Le centre hospitalier se conforme auSROS (schéma régional de l’offre desoins) Auvergne et installe un nou-vel appareil d’IRM qui permettra delibérer des plages sur l’IRM à viséegénéraliste actuellement autoriséet notamment d’ouvrir des plagespour la prise en charge des ur-gences en particulier des urgencesneurovasculaires.

Prise en charge des AVC :les patients suspects d’AVC aigu doi-vent avoir un accès prioritaire àl’imagerie cérébrale. Des protocolesde prise en charge des patients sus-pects d’AVC aigu doivent être forma-lisés et contractualisés entre leservice accueillant ces patients et leservice de radiologie .L'IRM est l'examen le plus perfor-mant pour montrer précocementdes signes d’ischémie récente, etelle visualise l’hémorragie intracrâ-nienne. Il convient de la réaliser defaçon privilégiée.

Dépistages en matière de cancérologieL’objectif est de permettre le rac-courcissement des délais d’accès auxtechniques d’imagerie pour un diag-nostic et un bilan d’extension, etdonc une prise en charge thérapeu-tique plus précoce. Le rapport à la ministre des affairessociales et de la santé et à la ministrede l’enseignement supérieur et de larecherche - Recommandations pourle troisième Plan Cancer préconise :

- «Obtenir des rendez-vous d’IRMpour diagnostic et suivi thérapeu-tique des cancers le plus rapidementpossible et dans tous les cas dans les14 jours suivant la prescription del’examen sur l’ensemble du territoirenational. Si cet objectif n’est pas at-teint d’ici 2015, augmenter rapide-ment le parc d’IRM installées enconséquence.- Avoir comme objectif d’ici 2018 dedisposer de 20 IRM par million d’ha-bitants, en prévoyant le personnelmédical et non médical nécessaire àleur fonctionnement». Réponse aux besoins de santé de la

population du Cantal :Le développement d’une offre desoins dans le Cantal répondant auxévolutions de la pratique médicalepasse par l’accès à l’IRM.De plus, les performances globalesde l’appareil, une IRM 1,5 Tesla per-mettent :• une plus grande rapidité d’acquisi-tion, qui rend routiniers des exa-mens jusque-là pratiqués avecparcimonie,• une plus grande souplesse d’utili-sation afin de prendre en charge des

patients agités ou des enfants.

Délais de RDV réduits :La mise en place d’un nouvel équi-pement fluidifiera les prises encharge, rendra un service de qualitéaux patients et satisfera les prati-ciens adresseurs.

Augmentation de l’activité :L’installation d’un nouvel équipe-ment, adossé à la première autori-sation, permettra une réponse auxdemandes croissantes en libérantdes plages sur l’ancien appareil, no-tamment pour la prise en charge desexamens en urgence comme préciséprécédemment.

Partenariat avec la médecine de villeDepuis le 15 octobre 2001, le CentreHospitalier d’Aurillac a signé uneconvention relative à l’utilisationd’un équipement d’imagerie médi-cale par résonance magnétique avecles médecins radiologues de ville. Ladurée des vacations s’élève enmoyenne à 13 H par semaine. Sur le second appareil, le CentreHospitalier es totalement ouvert à lanégociation avec ses partenaires ducabinet de radiologie privé pour en-visager la répartition la plus harmo-nieuse et pertinente des vacations.Ainsi, le centre hospitalier entendproposer une co-utilisation la pluslarge possible avec les profession-nels privés sur ce nouvel appareil,permettant de renforcer le partena-riat public-privé en la matière. Dans le cadre du partenariat avec lecentre hospitalier de Saint-Flour, lecentre hospitalier d’Aurillac propo-sera une utilisation partagée dont laquotité restera à définir sur l’IRMostéoarticulaire.

ActualitéNOuvEl irM, SPéCiAliSé EN OSTéOArTiCulAirE

1

De gauche à droite : Marc SALAVERT, Cadre su-

périeur, Philippe DURAND, Ingénieur biomédi-

cal, Pascal TARRISSON, Directeur, Dr François

DORCIER, Xavier BIJAYE, Directeur DALT.

Visionnez lavidéo de

l’installationde l’IRM en flaschant ce

code avec votresmartphone.

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Le Centre Hospitalier Henri Mondor fait appel à la plateforme AGRILOCAL depuisdécembre 2015.

C’est quoi ?C’est une plateforme d’achats or-ganisée par le Conseil Départe-mental qui met en relation desproducteurs locaux et des collec-tivités publiques. Une partie desproduits nécessaires à la compo-sition des menus peut être pro-posée en bio comme parexemple le pain.

Quelle est laspécificité ?Cela permet aux collectivitésd’acheter dans le respect du codedes marchés publics et aux petitsproducteurs, de pouvoir propo-ser des produits, grâce à cetteplateforme, sans avoir les incon-vénients administratifs des candi-datures aux marchés publics.

Combien de producteurs sont inscritssur cette plateforme ? 130 producteurs locaux sur unpérimètre à définir, allant de 20 à100 kms autour d’Aurillac. La pla-teforme ne comporte pas tous lesproduits nécessaires à la restau-

ration mais 100 à 150références sont propo-sées et ce sont souventdes produits de saisonfrais.

Quels sont les coûts ?Quelques produits sont moinschers que l’équivalent sur le mar-ché. Par exemple : le Pounti, leCantal .Néanmoins, il faut compter enmoyenne 20 % de surcoût ; celapeut être parfois 3 fois plus cherpour des produits exceptionnelscomme par exemple la Lentilleblonde de la Planèze.

Depuis quand au CH ?Une volonté forte du Directeurdu Centre Hospitalier et l’implica-tion de l’équipe de la restaurationa permis de faire aboutir ce pro-jet, en place depuis décembre2015. Nous devons soulignerqu’il existe une obligation dans lecadre des marchés publics d’inté-grer des produits bio et locauxdans les achats.L’équipe de restauration a pro-cédé à des tests de réactivitépour voir si les livraisons étaientréalisées dans les délais et s’il n’yavait pas de problème d’approvi-sionnement. Les propositionssont fiables.

L’impact budgétaire doit se me-surer à terme afin de définir lespossibilités pour l’avenir.

Au niveau des équipes de pro-fessionnels de la restauration, ilsemble que l’attention est plusforte lorsque le produit est local,le cuisinier est plus juste dans sonapproche du produit, notammentcar il est nécessaire d’adapter lestechniques à la qualité du pro-duit. Les agents du service res-tauration sont très favorables àl’utilisation des produits fournispar AGRILOCAL et apportent uneattention particulière aux platscomportant ces produits.

Depuis décembre ces produitsétaient proposés au self, une af-fiche informait les hospitaliers dela présence de produits issusd’AGRILOCAL dans le menu pro-posé et à partir de fin mars uneextension progressive destinéeaux patients a été mise en place.A terme, l’idée est de proposerautant de produits pour le selfdes agents hospitaliers que pourles patients hospitalisés.Nous sommes pleinement dansle circuit court et il est intéressant

et essentiel de pouvoir rému-nérer le producteur directe-ment. Les produits proposéssont compétitifs à qualitéidentique.Soulignons aussi l’intérêt parexemple, de pouvoir acheterdes morceaux de viande dits«moins nobles», que les pro-ducteurs ont du mal à écouleret qui grâce aux techniques decuissons à basse température(mijoté une nuit afin de lesrendre moelleux) sont grillésjuste avant d’être servis, favo-risant ainsi un système ga-gnant/gagnant.

Actualité

2

AgrilOCAl

JeudI 9 JuIN RepAS AGRILOCAL Au SeLf

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3

La vie des services

Depuis 3 ans une convention a été signée entre leCentre Hospitalier Henri Mondor et la CPAM duCantal afin de mettre en place un programme deRetour d’Aide à domicile pour les femmes ayantaccouché. Ce dispositif nommé PRADO proposeaux patientes éligibles (critères médicaux pour lamère et l’enfant : il ne doit y avoir aucune contre-indication médicale), un accompagnement à do-micile, par une sage-femme libérale. Le retour à domicile, trois jours après l’accouche-ment, est une norme mais dans certain cas il estpossible d’abaisser ce temps. C’est ainsi que le dis-positif PRADO est mis en place. Une convention a également été signée avec leCentre de Périnatalité de Mauriac afin de permet-tre aux deux sages-femmes de pouvoir organiserles sorties des mamans et des bébés, dans le cadredu dispositif PRADO. Le Centre Hospitalier deSaint-Flour a également signé une convention ;aussi, tout le territoire du Cantal peut bénéficierde ce dispositif.Sur le Centre Hospitalier d’Aurillac, ce sont deuxsages-femmes qui sont entrées dans ce dispositif.

DiSPOSiTif PrADO

biEN-êTrE POur lES bébéS

(1) Thalasso bain bébé : La méthode a été

déposée auprès de la Société des gens de

lettres et la marque auprès de l’INPI.

Des séances de thalasso-bain bébé(1) sont proposées aux nou-veaux-nés à la maternité du Centre hospitalier. Deux auxiliaires puéricultrices ont été formées à cette pratique. Afin que chaque séance se passe dans les meilleures conditions,une «bulle» de bien-être est constituée autour du bébé : peu oupas de lumière, musique d’ambiance, chuchotements, silences,etc. Seuls les parents, le bébé et l’auxiliaire sont présents dans lapièce. Il faut expliquer au bébé ce qui va se passer pour qu’il puissel’accepter, puis, après le bain, sortir le bébé dubain sur le ventre et le laisser enveloppédans la serviette aussi longtempsque nécessaire avantde le sécher.

Un exercice a été réalisé par les

pompiers au Pôle Femme-enfant

afin de mieux se préparer

à tout risque éventuel.

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La vie des services

4

PôlE CArDiO vASCulAirEla rythmologie interventionelle se développe !

La rythmologie interventionnellereprésente un domaine très vaste: stimulation standard du cœur(implantation de pacemakers),implantation de défibrillateursavec ou sans resynchronisationcardiaque, et ablation par radiofréquence des arythmies. L’activité standard (160 pacema-

kers posés chaque année au Cen-

tre Hospitalier) se développe de

manière exponentielle, car le Pôle

Cardiovasculaire propose depuis

début 2016 l’ensemble des tech-

niques de rythmologie interven-

tionnelle.

Ce projet est né grâce à la collabo-ration avec le Centre Hospitalieruniversitaire de Clermont-fer-rand. En effet, pour que ces gestes

techniques soient réalisables en

toute sécurité à Aurillac, un parte-

nariat a débuté, afin de permettre

aux praticiens Aurillacois de se for-

mer et à l’établissement de pou-

voir obtenir l’autorisation d’activité

sur avis de la Commission spéciali-

sée de l’offre de soins et sur déci-

sion de la Directrice générale de

l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes accor-

dée en octobre 2015. Des

échanges ont eu lieu entre les deux

unités et un assistant partagé en

rythmologie du CHU se déplace sur

Aurillac. Ceci permet de conforter

les complémentarités de prise en

charge des patients, car le CHU

peut se consacrer aux gestes de

haute technicité et à la recherche

de techniques innovantes.

Concrètement, de nombreux pa-tients sont sauvés grâce à la ryth-mologie interventionnelle. Outre

la pose de pacemakers (piles)

maintenant bien connue, le chirur-

gien peut recourir à la pose de dé-

fibrillateurs à peine plus gros

qu’une pile chez les patients ayant

un cœur affaibli ou ayant des ano-

malies de la conduction intraven-

triculaire nécessitant d’une

resynchronisation. Les patients

ayant une trouble du rythme, peu-

vent bénéficier d’une ablation des

arythmies, grâce à une sonde qui

émet des signaux de radiofré-

quence. De plus, des nouvelles

techniques permettent une meil-

leure évaluation des patients pré-

sentant, par exemple, des

syncopes inexpliquées, avec no-

tamment l’implantation d’un petit

dispositif sous la peau, qui enregis-

tre le rythme du cœur pendant 18

mois, et stocke les informations.

Cette offre de soins, plus globale,

s’effectue en cohérence et en com-

plémentarité avec l’ensemble des

services du Centre Hospitalier et

notamment le service de neurolo-

gie. Il s’agit d’offrir des soins pluri-

disciplinaires en toute sécurité,

permettant ainsi aux patients d’évi-

ter de se rendre au Centre Hospi-

talier Universitaire de Clermont

Ferrand.

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Fabrice Mercier (troi-

sième en partant de la

droite), IDE enseignant

CESU au Pôle d’Addicto-

logie et de Médecine

d’Urgence, a été élu, en

décembre dernier, mem-

bre de l’ANCESU (Asso-

ciation Nationale des

Centre d’Enseignement

et de Soins d’Urgence).

Les « CESU » sont im-

plantés dans les hôpi-

taux

publics sièges de SAMU.

Leur existence est régle-

mentaire et leurs mis-

sions sont définies par

décret depuis 2007. En

2011, 97 CESU sont re-

censés sur le territoire

français (métropole et

outre-mer).

Les CESU organisent des

formations en soins d’ur-

gence au quotidien et en

situation d’exception.

Ces enseignements sont

essentiellement destinés

aux personnels médi-

caux, paramédicaux et à

tout professionnel tra-

vaillant dans le milieu sa-

nitaire et médico-social.

Les enseignants sont des

professionnels de santé

qui exercent au quoti-

dien dans une structure

d’urgence hospi-

talière (SMUR, service

d’urgence).

Les équipes de forma-

tion sont le plus souvent

pluri-professionnelles

(médecins, infirmiers,

ambulanciers, aide-soi-

gnants…).

En 2011, près de 175

000 personnes ont été

formées dans les CESU.

L’ANCESU est l’instance

nationale des 95 CESU

de France qui compte 17

membres.

Fabrice MERCIER est l’un

des 3 membres infir-

miers de cette instance.

fAbriCE MErCiEr, NOMMé MEMbrE NATiONAl ANCESu

L’ANCESU accueille ses nouveaux membres

Antonio de Sisti :> «Je suis d’origine Ita-

lienne et j’ai la double

nationalité Française/

Italienne. J’habite en

France depuis 20 ans.

J’ai travaillé dans diffé-

rentes structures pu-

bliques et privées avec

pour domaine

principal la

rythmologie au

sens large. J’ai

été diplômé à

l’université de

Rome et effec-

tué mon inter-

nat et mon

clinicat toujours

à Rome.

Mon expé-

rience en car-

d i o l o g i e

s’appuie sur des théra-

peutiques en soins , ac-

quises à l’hôpital Sandro

Pertini de Rome, hôpital

public où j’exerçais les

fonctions de praticien

hospitalier.

En France, j’ai suivi une

formation pendant 2 ans

à SAINT-CLOUD auprès

du Professeur Jean-Fran-

çois LECLERC et du Doc-

teur Patrick ATTUEL au

Centre Parly II-Le CHES-

NAIS. Ensuite, j’ai pour-

suivi ma formation à

l’hôpital de la Pitié Sal-

pêtrière pendant plu-

sieurs années avec, à

cette époque-là, le Pro-

fesseur Robert

FRANCK».

Pourquoi avoir choisi devenir au Centre Hospita-lier Henri Mondor d’Aurillac ?«Le Pôle cardiovascu-

laire et notamment le

service de cardiologie in-

terventionnelle est un

service trés évolué avec

un quota de pose de pa-

cemaker et de coronaro-

graphie élevé. Aussi, il

m’a paru intéressant de

proposer ma candida-

ture car la ryhtmologie

interventionnelle (ma

spécialité) est une spé-

cialité complémentaire.

Je pense qu’il y a un in-

térêt important à déve-

lopper cette technique

au bénéfice des patients.

Je souhaite préciser

aussi que la bonne am-

biance du service m’a

convaincu de déposer

ma candidature et, au-

jourd’hui, je ne le re-

grette pas».

Une personne, une fonction ANTONiO DE SiSTi, CArDiOlOguE SPéCiAliSé EN ryTHMOlOgiE iNTErvENTiONEllE

5

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6

Zoom sur... la

La démarche d’amélioration de laqualité et de la sécurité de la prise encharge du patient concerne tous lesniveaux organisationnels de l’établis-sement : le management stratégique,

le management des pôles et des ser-

vices.

Chacun doit s’approprier le méca-

nisme de management par la qualité

traduit par l’acronyme pdCA de l’an-

glais «Plan Do Check Act»

(cf. graphique).

prévoir (plan) : identifier les attentes

et besoins (qualité attendue), identi-

fier les risques, définir les orientations

/ la politique / la stratégie, et objectifs,

actions (la qualité voulue), planifier

l’organisation et la mise en œuvre.

Réaliser (do) : réaliser les tâches ;

suivre la mise en œuvre des actions

d’amélioration.

evaluer (Check) :• évaluer si le niveau de qualité réalisé

/ offert correspond au niveau de qua-

lité voulue,

• évaluer si le niveau de qualité réalisé

/ offert correspond au niveau de qua-

lité perçu (ex. : questionnaire de satis-

faction…).

Améliorer (Act) : • niveau atteint :

fait-on évoluer notre objectif ?

• niveau non atteint : analyser les

causes ; mettre en œuvre de nouvelles

actions.

comme Démarche d’amélioration de la

Qualité.

Q

Chaque pofessionnel de l’hô-

pital est directement acteur

vis-à-vis du niveau de qualité

de prise en charge offert au

patient à travers la réalisa-

tion des tâches qui lui sont

confiées, sa vigilance, mais

aussi sa réflexion, son ana-

lyse et sa réactivité.

> M. TARRISSON, Directeur

L’engagement dans

la qualité est un

processus perma-

nent. La visite de

certification consti-

tue un point

d’étape dans ce

processus.

L’Etablissement est engagé , depuis

maintenant de nombreuses années,

dans une démarche d’améliorationcontinue de la qualité.

La perfection n’existe pas, elle est par

définition relative car le changement

est permanent.

Ce qui importe , c’est l’adaptationpermanente, individuelle et collec-

tive, à ce changement. Ce qui compte,

c’est de permettre à chaque profes-

sionnel, individuellement et collecti-

vement, de faire au mieux avec les

moyens mis à disposition.

Ce qui est essentiel, c’est l’attentionportée à la personne et à sa singula-rité. C’est, avec ce regard, le question-

nement professionnel permanent et

l’adaptation de ses pratiques.

L’écoute et l’information du patient,le maintien de son autonomie et saresponsabilisation, la lutte contre leseffets indésirables liés aux soins et àl’hospitalisation, la pertinence desactes et de la prescription, l’évalua-tion des pratiques professionnelles.

Ce sont là clairement nos priorités en

matière de qualité. Des priorités qui

doivent être déclinées dans un indis-pensable travail collectif, d’équipeinterdisciplinaire, transversal, institu-

tionnel afin de garantir un parcours

des soins pertinent et sans rupture à

chaque patient.

Nous n’avons pas la prétention de dire

que nous sommes parvenus au bout

du chemin. Il n’a sans doute, par ail-

leurs, pas de fin. Mais nous avançons,

et je sais que vous aurez à cœur de le

montrer sur le terrain aux experts vi-

siteurs de la Haute Autorité de Santé.

Ces derniers sont des professionnels

hospitaliers qui connaissent comme

nous les contraintes auxquelles nous

devons faire face actuellement . Ils ne

sont pas des censeurs, ni des inspec-

teurs, mais bien des hospitaliers dont

la mission est d’accompagner les Eta-

blissements dans leur démarche en

soulignant les marges d’amélioration

possibles tout en valorisant ce qui est

fait.

PDCA

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7

a certification> Dr AMALRIC, Présidente Commission Médicaled’Établissement Chef de Pôlepharmacie

La démarche d’amé-

lioration continue de

la qualité doit être centrée sur le pa-

tient, et ce que l’on vise est l’améliora-

tion du Soin, au sens large, que nous

lui apportons. En rappelant cette idée

simple, en ramenant toute action mise

en place à ce but essentiel, l’améliora-

tion doit venir s’intégrer, tout naturel-

lement, à nos pratiques. Aucun service ne peut assurer seul laqualité due au patient. Aucune activitén’est indépendante des autres. Au contraire, la pertinence, la sécurité,l’efficacité de tout acte dépendent dela qualité de l’ensemble de ceux qui leprécèdent et le complètent. La maî-trise de la qualité à garantir au patientdemande d’avoir la connaissance desexigences requises, des bonnes pra-tiques à chaque étape. Elle nécessitede les partager dans une vision décloi-sonnée au-delà du périmètre d’un ser-vice, d’une spécialité, pour qu’aucunede ces étapes ne compromette le ré-

sultat d’ensemble. C’est dans cette logique que s’inscrit lanouvelle méthodologie, dite du « pa-tient traceur ». Au-delà du change-ment de méthodologie, ce qui estaffirmée là est la nécessité d’avoir, au-tour du patient, une démarched’équipe coordonnée, non seulementà l’échelle d’un service, mais bien àl’échelle de l’établissement, entretoutes les spécialités. C’est dans cet état d’esprit, dans lequelnous avons élaboré notre projet médi-cal, que nous devons préparer la pro-chaine visite de certification, et, bienau-delà, faire progresser nos organisa-tions.

“Le fait est que les qualités, toutes les qualités, réclament une constante vigi-lance, un esprit critique jamais en défaut, un travail continuel de l'intelligence

et du cœur.” Francesco Alberoni (sociologue, journaliste italien)

La certification est une procédurepériodique d’évaluation des établis-sements de santé, conduite par uneautorité publique indépendante,HAS (Haute Autorité de Santé).

Elle porte sur la prise en charge des

usagers, sur les pratiques de soins, et

sur l’organisation et le fonctionne-

ment général de l’établissement.

Toutes les activités ayant une

incidence directe ou indirecte sur

la prise en charge du patient sont

concernées : l

es services cliniques, médicotech-

niques, administratifs, logistiques,

etc.

Cette évaluation est réalisée par des

experts indépendants de l’établisse-

ment visité. Ce sont des profession-

nels d’autres établissements

spécifiquement formés.

Elle aboutit à la rédaction d’un rap-

port et à l’attribution d’un niveau de

certification :

Niveaux dedécision de certification:

- certification

- certification avec recommanda-

tion(s) d’amélioration

- certification avec obligation d’amé-

lioration

- décision de sursoir à statuer

sur la certification

- non-certification.

Le Centre Hospitalier H.Mondor a été

certifié après des visites en 2004,

2008 et 2011 (vous pouvez consulter

le rapport de certification sur le site

de la HAS - espace grand public).

Certification

La visite (V2014) des experts se déroulera du 25 au 29 avril 2016 au Centre Hospitalier d’Aurillac.

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8

Zoom sur... suite

Le Compte qualitéLe Compte qualité est un

outil de suivi de la dé-

marche d’amélioration de

la qualité et de la gestion

des risques de l’établisse-

ment (parcours patient,

douleur, etc.).

Renseigné, en général,

tous les 2 ans, il permettra

une concertation régu-

lière et pérenne entre la

HAS et l’établissement.

Le patient traceurIl s’agit, à partir d’un cas

de patient, choisi par les

experts, d’évaluer les pro-

cessus de soins et organi-

sations qui s’y rattachent

au contact des profession-

nels et à partir de l’expé-

rience du patient hospita-

lisé. Le dossier du patient

constitue le fil conducteur.

L’Audit de processusIl s’agit d’une méthode

d’évaluation de la réalité

de l’activité des établisse-

ments de santé.

L’audit de processus va

concerner une partie des

thématiques (certaines

systématiques ou choisies

par la HAS).

L’expert rencontre dans

un premier temps les pi-

lotes de la thématique ;

ensuite, il se rend dans les

services pour observer les

pratiques et interroger les

professionnels.

Le Centre Hospitalier d’Auril-

lac a donc renseigné le

Compte qualité et l’a trans-

mis aux experts de la Haute

Autorité de Santé.

Le Compte qualité va per-

mettre aux experts, avant

leur venue, de cerner notre

niveau de maîtrise de la prise

en charge du patient et nos

axes de travail pour l’amélio-

rer ou la sécuriser.

Toutes les thématiques sont

susceptibles d’être investi-

guées.

Thématiques :1. Parcours du patient

2. Droits des patients

3. Prise en charge de la dou-

leur

4. Prise en charge et droits

des patients en fin de vie

5. Don d’organes et de tissus

à visée Thérapeutique

6. Management de la prise

en charge mé-

d i c a m e n -

teuse du

patient7. Gestion

des équipe-ments et pro-

duits au domiciledu patient en HAD

8. Prise en charge des

urgences et des soins non

programmés

9. Management de la prise

en charge du patient au Bloc

opératoire

10. Management de la prise

en charge du patient en en-

doscopie

11. Management de la prise

en charge du patient en salle

de naissance

12. Imagerie intervention-

nelle

13. Gestion du Dossier pa-

tient

14. Identification du patient

à toutes les étapes de sa

prise en charge

15. Biologie médicale

16. Gestion du risque infec-

tieux

17. Management de la qua-

lité et des Risques

18. Management straté-

gique, gouvernance

19. Gestion du Système d'in-

formation

20. Qualité de vie au travail21. Gestion des ressources hu-maines, santé/sécurité22. Gestion des ressources fi-nancières23. Fonction transport des pa-tients24. Sécurité des biens et despersonnes25. Gestion des infrastrutureset des équipements (hors Dis-positifs Médicaux)26. Gestion de l’eau27. Gestion de l’air28. Gestion de l’énergie,29. Démarche qualité en res-tauration,30. Processus de gestion dulinge,31. Achats éco-responsables,32. Gestion des déchets,33. Gestion des équipementsbiomédicaux.

ThématiquesTrois nouveautés

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Le Laboratoire a été accrédité,suite à une visite de conformitéde l’organisme COFRAC (ComitéFrançais d’Accréditation). Le laboratoire du Centre Hospita-

lier s’inscrit dans une démarche

d’amélioration continue de la qua-

lité et de la satisfaction des pa-

tients. Depuis 2014, le laboratoire

du CH est accrédité par le COFRAC

sur la norme NF EN ISO 151 89,

(n° d’accréditation 8-3355).

Cette accréditation est reconduite

suite à une visite de surveillance

qui s’est déroulée les 3 et 4 sep-

tembre 2015. De plus, une visite

d’extension a eu lieu les 25 et

26/02 2016 pour laquelle le dos-

sier du laboratoire est en attente

de l’avis du Comité Technique

d’Accréditation. Une prochaine

visite de surveillance (S3) est pré-

vue en août 2016.

pour rappel : Le Laboratoire vous accueille dulundi au vendredi de 8h à 18 h etle samedi de 8h à 12h (au 3ème

étage du bâtiment des urgences,parcours fléché vert).

La vie de l’établissement

DéPArT DES DrS CHArMES, évrArD, CArriÈrES

le lAbOrATOirE du Centre Hospitalier ACCréDiTé COfrAC

Le 22 janvier dernier, le CentreHositalier a organisé une cérémo-nie de sympathie en l’honneurdes Drs Charmes, Carrières etÉvrard, à l’occasion de leur départen retraite.

dr Xavier CHARMeS :Biologiste polyvalent, diplômé

d’état de pharmacien en juillet

1977, obtient son certificat

d’Etude Spéciale (CES) pathologies

médicales en 1978, CES hématolo-

gie en 1980, CES Bactériologie et

virologie clinique en 1981, CES

diagnostic biologique parasitaire

en 1982. A intégré le Centre Hos-

pitalier d’Aurillac, en qualité d’as-

sistant le 1er juin 1982, il est

devenu praticien hospitalier en

1985. Nommé chef de service le

1er septembre 1990, il a été pré-

sident de la Commission médicale

d’Etablissement de 1995 à 2000.

Enfin il a été Chef de Pôle de 2006

à 2010.

philippe eVRARd :Diplômé d’état de pharmacien en

1978, CES en bactériologie et viro-

logie clinique en 1978, CES Immu-

nologie, CES Pathologie médicale,

Equivalence CES biochimie.

Il a intégré le CH d’Aurillac le

01/10/1980 en tant que faisant

fonction d’Assistant à plein temps

au laboratoire. En 1981 il devient

Assistant temps plein, puis Adjoint

de biologie à temps plein en 1984,

année au cours de laquelle il a in-

tégré le corps des Praticiens hos-

pitaliers. Enfin, il fut nommé Chef

de Pôle en 2013.

dr Jacques CARRIÈReS Obtient un diplôme de Docteur en

médecine en 1978, CES hématolo-

gie en 1979, Immunologie géné-

rale, Diagnostic biologique et pa-

rasitaire en 1980, bactériologie et

virologie clinique en 1981, Capa-

cité en techniques transfusion-

nelles en 2000.

Octobre 1978 à avril 1981 : Atta-

ché des hôpitaux au Laboratoire

central d’hématologie du CHU de

Rangueil à Toulouse.

Janvier à novembre 1981 : Méde-

cin Chef de service au Centre dé-

partemental de transfusion

sanguine de l’Indre à Châteauroux

Il a intégré le Centre Hospitalier

d’Aurillac le 01/08/1982, en tant

que Directeur du Centre de Trans-

fusion Sanguine.

Cette manifestation a été l’occa-

sion de saluer leurs parcours et

leurs investissements profession-

nels sur le Centre Hospitalier d’Au-

rillac.

9De gauche à droite : Dr CARRIèReS, Dr CHARMeS, M. TARRISSON, Directeur, M. Évrard, Dr AMALRIC, PCMe, M. MATHONIeR, Président du Conseil de surveillance.

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La vie des services

10

AMéNAgEMENTS PAySAgErS

lE CONSEilDu jArDiNiEr

Une convention a été signéeavec la Maison familiale et ru-rale de Mauriac (Centre de for-mation pour les aménagementspaysagers) afin de réaliser desaménagements paysagers ausein de notre hôpital.

En effet, deux objectifs princi-

paux ont été définis :

- Accompagnement dans la réali-

sation des aménagements paysa-

gers dans le cadre de la

restructuration du Centre Jean

Vignalou

- Accompagnement dans la mise

en place d'une gestion différen-

ciée des espaces verts du parc du

Centre Hospitalier Henri Mondor.

Ainsi, une gestion différenciée

des espaces verts du Parc du

Centre Hospitalier est mise en

place :

- Recensement de la situation ac-

tuelle des secteurs paysagers

- Analyse des interventions ac-

tuelles : besoins en matériels et

mains d'œuvre, identification et

état des végétaux, identification

et état des sols, identification des

contraintes (pente, accès, sta-

tionnement,...), etc.

- Mise en place d'un plan de ges-

tion sur plusieurs années : Ré-

aménagement des secteurs

(adaptation des végétaux, mise

en place des couvre-sol ou pail-

lages, transplantation,...) , Amé-

lioration des sols, solutionner les

contraintes (stationnement

adapté, mesures anti-stationne-

ment, plantation adaptée des

cours difficilement accessibles,

...), Adapter le matériel à la de-

mande, etc.

- Mise en place ou amélioration

du plan de circulation pour les

piétons.

En parallèle, les jardiniers du CH

vont bénéficier d’une formation

spécifique sur l’aménagement

paysager.

La fin des gelées s’annonce.

Vous pouvez commencer à tailler

vos rosiers à 3-4 œils, en suppri-

mant le bois sec et les branches

qui se frottent.

Avant la fin du mois, la plantation

des haies à feuilles caduques doit

être terminée mais pour les haies

à feuillage persistants, vous avez

jusqu'à la fin du mois prochain !

Aménagementd’un chemin

piétonnier devantla chapelle

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Monsieur le Docteur de SISTI Antonio – Praticien contractuel

temps plein en cardiologie à comp-

ter du 16/01/2016

Madame MOKAddeM Yasmine –

Praticien attaché associé temps

plein au DIM à compter du 21 mars

2016

Monsieur AYAdI Mohamed Praticien attaché associé temps par-

tiel (70 %) en psychiatrie à compter

du 25 avril 2016.

Monsieur CHABHANI RiadhPraticien attaché associé temps par-

tiel (70 %) en psychiatrie à compter

du 25 avril 2016

Monsieur le Docteur HAddAd Tam-mam – Praticien contractuel temps

plein en chirurgie orthopédique à

compter du 1er mai 2016.

Affaires médicales

11

Naissances, mariages

MAriAgES

enfant Date de naissance Parent hospitalier Grade Service

Maêl SOULIER 23/10/2015 BAC Marie-Cécile Adjoint Administratif CMP Mauriac

Loris BOURGOIGNON 11/11/2015 BOURGOIGNON Sèverine Infirmière Personnel de nuit

Martial BOYER 13/08/2015 ROUANNE Manon Infirmière Personnel de nuit

Bastien COUSSI 17/12/2015 COUSSI Matthieu Technicien Informatique

Basile BORDES 30/11/2015 GOIN Sophie Infirmière Bloc opératoire

Noé RUBIO-LABORIE 09/12/2015 LABORIE Marion

Agent des Services

Hospitaliers Les Genêts

Noé SILVA 15/12/2015 DA CUNHA Elodie Infirmière Pneumologie

Anaé CROUTES-COUDON 03/12/2015 COUDON Marion Infirmière SAU

Clotilde TINET 29/12/2015 COUDERC Camille Infirmière Cardiologie

Noé DEBLADIS 15/12/2015 COSTE Julie

Préparatrice en

pharmacie Stérilisation

Jeanne QUILCA-SABLAYROLLES 30/11/2015 SABLAYROLLES Cécile Orthophoniste CAMSP

Yanis RIC 27/08/2015 FERRANDERY Marion ASH Long Séjour Lurçat

Lise GRAMONT 23/01/2016 GRAMONT Gwenola Infirmière Médecine Interne

Robin FAU 13/02/2016 BOUYGUES-FAU Valérie Infirmière Urgences

Lohan POUYADOUX 31/12/2015 POUYADOUX Angélique ASH Les Fougères

Charlotte ISOULET 24/02/2016 LACROIX Claire Infirmière Cardiologie

Maxime FLOTTE 03/12/2015 FLOTTE Aurélie Infirmière UHCD

Chloé HEBRARD 28/03/2016

HEBRARD Marilyne

HEBRARD Jérôme

Infirmière

Technicien

Médecine B

Informatique

NAiSSANCES

nom nom d'épouse Date du Mariage Grade Service

VERNIER Michel 12/12/2015 Maître Ouvrier Blanchisserie

DEVET Magali DINOIRE 19/03/2016 Aide Soignante Picasso

MOuvEMENTS MéDECiNS

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L’hôpital de jour à Vignalou accueille des patientsdans un but diagnostic mais aussi thérapeutique.

pOuR QuI ?Pour toute personne présentant :

- Des troubles de la mémoire,

- Des troubles d’autonomie fonctionnelle.

MISSIONS- Consultations mémoire par une équipe de méde-

cins gériatres,

- Consultation avec un médecin rééducateur,

- Examens médicaux,

- Suivi en rééducation et en ergothérapie,

- Soutien aux aidants,

- Suivi social.

OBJeCTIfS- Stimuler les fonctions cognitives par des activités

thérapeutiques,

- Préserver ou restaurer l’autonomie des per-

sonnes,

- Maintenir et/ou réhabiliter les capacités fonction-

nelles et/ou congnitives des patients,

- Contribuer au maintien à domicile.

COMMeNT ?Les patients sont adressés :

- Par leur médecin traitant ou leur neurologue à un

médecin gériatre,

- Par leur médecin traitant ou leur chirurgien au

médecin rééducateur.

- La durée de la prise en charge varie en fonction de

l’évolution médicale du patient.

- Le transport et le prix de journée sont pris en

charge à 100 % par la sécurité sociale. 

- Il est nécessaire que la demande d’ALD

(Affection de Longue Durée) soit faite auparavant

par le médecin.

QuI ?MédeCINS :- Médecins gériatre, chef de pôle

- Médecins gériatre responsable du service

- Médecin rééducateur

eQuIpe pARAMédICALe :- 1 cadre de santé

- 1 cadre de santé rééducateur

- 2 infirmières

- 1 ergothérapeute

- 1 Agent des Services Hospitalier

- 1 assistante sociale

- 1 neuropsychologue

Où ?Le service se situe au 1er étage du Centre Jean Vi-

gnalou - Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 16h.

Contacts : 04 71 46 47 85 [email protected]

En brefHôPiTAl DE jOur vigNAlOu

Le PASA (Pôle d’Accueil et de Soins Adapatés)

a ouvert dans des locaux neufs pour accueillir

les résidents du long séjour en activité occu-

pationelle journalière (activités diverses).

Une visite de conformité (ARS/Conseil Dépar-

temental) a eu lieu au PASA, le 17 février

dernier.

OuvErTurE Du PASA

12

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Depuis le 14 mars dernier, le Compas se situe au :

44, Avenue de la République. Tél : 04 71 46 47 38

En Bref

13

ArTHérAPiE

NuiT DE l’OriENTATiON

PAiEMENT DES fACTurES

EN ligNE POur lES PATiENTS

COMPAS

Le Centre Hospitalier a participé à la Nuit de

l’orientation le 11 février dernier.

Certains professionnels ont présenté leur mé-

tier et partagé leurs expériences avec les nom-

breux élèves et parents venus à leur rencontre.

Merci à eux !

Simulateur de vieillissement

Depuis début janvier, dans le cadre d’une

étude, Mme Catherine Langlamet propose des

ateliers d’art-thérapie aux patients de l’Unité

de Soins Palliatifs.

Il s’agit d’accéder à un espace à soi, pour se re-

trouver, un temps pour la créativité, l’imagi-

naire et les ressentis. L’étude, coordonnée par

le Dr Cathy Gerles, a pour but d’évaluer l’im-

pact de cette thérapie complémentaire sur les

symptômes d’inconfort des patients .

Le Centre Hospitalier est engagé dans une

démarche d’amélioration de la prise en

charge globale des patients. Depuis le 15 fé-

vrier, les patients peuvent payer leurs fac-

tures directement en ligne. Il suffit de se

rendre sur le site internet du Centre Hospi-

talier www.ch-aurillac.fr et de cliquer sur

l’icône ci-dessous. 

Ensuite, il convient de rentrer différents

codes mentionnés sur la

facture et le paiement se

réalise automatiquement

à l’instar des factures en-

caissées par le trésor pu-

blic.

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L’Agence Régionale de Santé dif-fuse également une plaquetted’information pour l’outil Trajectoire qui facilite la re-cherche de maisons de retraite.

Rechercher une maisonde retraiteViaTrajectoire, site choisi par le

département du Cantal et

l’Agence Régionale de Santé Au-

vergne, pour la gestion des dos-

siers d’admission

en maison de re-

traite.

La démarchepour les particuliers :De la recherche

jusqu’à l’entrée

effective en mai-

son de retraite :

•Taper www.via-

trajectoire.fr

• Cliquer sur es-

pace particulier,

• Suivre la dé-

marche en ligne,

•Conservez le n° de dossier et mot

de passe,

• Renseigner les volets adminis-

tratifs et autonomie (capacité à

réaliser les gestes de la vie quoti-

dienne),

• Rechercher et présélectionner

les établissements selon vos

critères (localisation, type d’hé-

bergement, tarification, presta-

tions de confort

et soins propo-

sés),

• Prendre ren-

dez-vous avec

votre médecin

traitant afin qu’il

renseigne le vo-

letmédical,

• Retourner sur

ViaTrajectoire,

allez dans l’on-

glet «contacter

les établisse-

ments» pour en-

voyer le dossier

complet.

Les avantages• Un dossier national d’admission

unique, en ligne, accepté par tous

les EHPAD, EHPA et USLD (Cerfa

n°14732)

• Un moteur de recherche multi-

critère : proximité géographique,

budget, type d’hébergement et de

soins des accès contrôlés aux don-

nées médicales.

Le weekend des 12 et 13 mars 2016, une

soixantaine d’anciens du centre hospitalier

d’Aurillac ont effectué une sortie dans la Châ-

taigneraie. Pendant qu’un groupe effectuait la

visite du musée du Veinazès, les autres visi-

teurs découvraient le patrimoine montsalvyen

sous la conduite de Chantal Malvezin et d’An-

dré Lardy, membres de l’association des Amis

du patrimoine et du passé de Montsalvy.

Les visites terminées, tous et toutes ont appré-

cié l’«estofinada » préparée par Josette Pin-

quier à Sansac Veinazès.

(Article La montagne 17/03/2016).

DOCuMENTS D’iNfOrMATiON ArSL’Agence Régionale de Santé dif-fuse une plaquette pour la pro-motion de l’hospitalisation àdomicile (HAD) en eHPAD (Éta-blissement d'hébergement pourpersonnes âgées). Vous pouvez laretrouver sur le site de l’ARS.

L’HAd en eHpAdpour quels types de soins ?• Pansements complexes (tech-

niques réservées à l’hôpital) et

soins spécifiques

• Soins palliatifs

• Analgésie (pompe à morphine)

• Antibiothérapie IV (médica-

ments de la réserve hospitalière)

• Chimiothérapie intraveineuse

(IV)

L’expertise hospitalière de l’équipe

d’HAD complète celle de l’équipe

de l’établissement qui continue de

dispenser les soins courants.

L’éducation du patient et de son

entourage fait partie des attribu-

tions des intervenants en HAD.

Sous quellesconditions ?• Le résident

et son entou-

rage expri-

ment

leur accord.

• L’HAD est

prescrite avec

l’accord du

médecin

traitant pour

une durée dé-

finie et révisa-

ble.

• Le partena-

riat entre

l’opérateur d’HAD et l’EHPAD fait

l’objet d’une convention.

Quels bénéfices pour le patient ?Le résident bénéficie de la qualité

de soins hospitaliers tout en

conservant l’intimité de son

lieu de vie.

• Un confort psychologique

• Préservation de son cadre de

vie et de ses repères, maintien

de ses intervenants habituels.

• Un intérêt médical

• Emploi des mêmes tech-

niques de soins qu’à l’hôpital,

• continuité des soins 24/24h –

365 j/an.

• Une situation plus rassurante

pour l’entourage et l’établisse-

ment d’accueil du résident.

HAd Centre Hospitalier :04 71 46 56 24

Amicale :

En bref