« Prenons le large, Partageons l’esPérance »Messe et collecte Pour l’église universelle

liturgie du diManchede la Mission universelle21 octobre 2018

Avec les suggestions que nous vous proposons pour la messe, nous vous invitons à organiser le mois d’octobre, connu sous le nom de Mois de la Mission universelle. Cette année, ce mois est placé sous le thème « Prenons le large, partageons l’espérance ». Ce slogan résume les expériences de femmes et d’hommes issus de l’Église de l’Amazonie péruvienne, hôte de la campagne du Mois de la Mission universelle. Ces croyants, malgré d’impor-tants défis, sont témoins de leur foi et de l’espérance qui les habite. Ces chrétiens ouvrent de nouvelles perspectives et donnent des repères aux personnes qui les entourent.

la collecte du dimanche de la Mission universelle, qui a lieu cette année le 21 octobre, est unique et représente la plus grande action de solidarité de l’église catho-lique. Parce qu’elle est réalisée dans le monde entier et que chacun donne selon ses possibilités, elle rompt le rapport donneur-receveur. Elle est un signe fort de communauté solidaire et fraternelle !

Nous sommes invités à montrer cette solidarité et cette communion avec les chrétiennes et les chré-tiens du monde entier :

• Par la prière commune (pendant le Mois de la Mission universelle)

• Par l’écoute des besoins des personnes, ici et dans le monde

• En partageant l’espérance qui nous habite• En soulignant la dimension universelle de la

collecte

L’argent de la collecte du Dimanche de la Mission universelle alimente le fonds commun de solidarité de l’Église universelle. Ce dernier permet un partage équitable des moyens à disposition en soute-nant les diocèses les plus pauvres en Amérique latine, en Afrique, en Asie et en Océanie. Parmi ces diocèses figurent les vicariats apostoliques de Requena et d’Iquitos en Amazonie péruvienne, visités par Missio.

La Messe du Dimanche de la Mission universelle peut également être célébrée un autre dimanche durant le mois d’octobre.

Mois de la Mission universelle Octobre 2018

Église-hôte : Pérou

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Entrée

PROPOSITION DE CHANTS

Messe Pour le diManche de la Mission universelle 21 octobre 2018

DES OUTILS AU SERVICE DE LA LITURGIE

– Tous les textes sont disponibles en ligne sur l’ÉDITEUR LITURGIQUE de Missio, www.missio.ch – Vous trouverez la partition du CHANT Vienen con alegrìa sur le dépliant. Deux autres

chants interprétés par un choeur péruvien peuvent être écoutés et téléchargés via les QR Codes ou via le site www.missio.ch.

– Une PRIÈRE pour la messe du Dimanche de la Mission universelle se trouve dans le dépliant. Cette prière peut être dite au début ou à la fin de la célébration.

– Après la messe, un MESSAGE peut être adressé aux croyants d’Amazonie péruvienne. Ce message va être transmis par Missio à l’Église-hôte de la campagne.

– DISTRIBUEZ les dépliants au début de la messe pour permettre aux fidèles de partici-per à l’élan du Dimanche de la Mission universelle.

N’HÉSITEZ PAS À COMMANDER DES EXEMPLAIRES DU DÉPLIANT !

vienen con alegrìa (partition sur le dépliant Missio)Pour avancer ensemble [K 20-38] (CNA 524)Peuple choisi [K 64] (CNA 543)

Kyrie de ton peuple rassemblé [A 23-08] (CNA 171)seigneur Jésus envoyé par le Père [EMB 686] (CNA 174)

Gloria gloire à dieu au plus haut des cieux [AL 23-08] (CNA 197)gloire à dieu [AL 29] (CNA 202)

Psaume seigneur ton amour soit sur nous, comme notre espoir est en toi (CNA p. 55)

Alleluia alleluia « Psaume 112 » [L 149] (CNA 215-32)

Préparons la table [B 21-85] (CNA 232)la sagesse a dressé une table [F 502] (CNA 332)

Offertoire

Sanctus saint le seigneur [AL 173] (CNA 245)sanctus missionnaire [AL 194] (CNA 252)

agneau de dieu [AL 23-12] (CNA 295)agneau de dieu, agneau vainqueur [A 221-1] (CNA 310)

Agnus Dei

Musique du Pérou (à télécharger sur www.missio.ch)venez manger la Pâque [I 119-2] (CNA 347)

Communion

Envoi allez par toute la terre [T 20-76] (CNA 533)envoie des messagers [T 1] (CNA 551)

Musique du Pérou disponible par le QR Code.

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Éléments pour l’entrée en célébration

Chers frères et sœurs,

Aujourd’hui, nous célébrons le Dimanche de la Mission univer-selle. En ce dimanche, partout dans le monde et sur tous les conti-nents, les fidèles se réunissent pour célébrer. Ce dimanche rappelle notre appartenance à la communauté universelle de l’Église.

Cette année, le dimanche consacré à la Mission universelle nous appelle à « prendre le large » et à entrer en communion particulière avec l’Église d’Amazonie péruvienne. Dans cette région excentrée, la vie est façonnée par l’eau des fleuves. La vie n’y est pas facile et l’Église doit tenir compte des défis auxquels est confrontée la population. Malgré des difficultés immenses, des chrétiens engagés apportent l’Évangile dans leurs communautés et accompagnent la population dans son quotidien. Ils sont portés par l’espérance qui les habite.

En ce Dimanche de la Mission universelle, ouvrons notre horizon, partons à la rencontre de nos frères et sœurs de l’Église d’Amazonie péruvienneet soyons en communion avec l’Église présente aux quatre coins du monde. « Prenons le large, portons l’espérance ».

Vous pouvez maintenant lire avec l’assemblée la prière du Dimanche de la Mission universelle ou chanter « Vienen con alegrìa », qui se trouvent dans le dépliant.

KyrieJésus Christ, tu viens à nous pour nous sauver, Seigneur, prends pitié de nous.

Tu es venu dans le monde pour que nous puissions découvrir Dieu dans les autres, Christ, prends pitié de nous.

Tu nous appelles à prendre le large pour chercher le bien dans chacun, Seigneur, prends pitié de nous.

Les IMAGES peuvent être téléchargées sur le site www.missio.ch et projetées au moyen d’un beamer durant la cérémonie.

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La vie des habitants d’Amazonie est façonnée par l’eau et par la fertilité des sols. Nous sommes liés, en Suisse et en Amazonie, par la préoccupation commune pour l’eau.

Pour l’illustrer et montrer l’importance de l’eau en Amazonie et en Suisse, un bassin ou un récipient rempli d’eau peut être disposé pour la messe.

Les participants peuvent quitter les bancs pour venir à l’avant, après l’entrée en célébration, pour puiser l’eau d’un deuxième bassin avec un gobelet et la verser dans le grand bassin.

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Voix de l’Église-hôte – Impulsion pour l’homélie

Partager le bien« C’est un vrai plaisir de pouvoir partager le

bien, les bonnes choses de la vie ! Comme nous l’enseignent d’ailleurs tant le pape François que notre évêque, Frère Juan ! Nous sommes invités à partager, à transmettre, à être des évangélisa-trices et évangélisateurs, des missionnaires. D’autant plus que nous travaillons avec des enfants et des adolescents. »

Transmettre la foi avec joie« Dans les familles, la transmission de la foi

est très faible. C’est donc notre tâche d’ensei-gnants de leur transmettre la foi, de les fortifier

pour qu’ils puissent faire cette expérience de la rencontre avec Dieu. C’est une joie de travailler de la sorte et de la transmettre, car elle permet-tra aux enfants et aux jeunes de découvrir le sens de la vie, de le découvrir en Dieu. Nous ne pouvons pas garder ce message pour nous, mais devons le transmettre aux enfants. Ce travail est très gratifiant, car c’est ainsi que les enfants découvrent le sens de la vie, qu’ils voient la vie avec un regard humain et chrétien. Cela leur permettra de devenir des femmes et des hommes de bien, au lieu de ne devenir que des êtres très compétents professionnellement. »

Un extrait de l’interview de Mercedes Silva du vicariat apostolique de Requena (Pérou), venant de l’Église-hôte du Dimanche de la Mission universelle, peut être lu à haute voix.

Mercedes Silva est spécialiste en communication, enseignante et bénévole au vicariat apostolique de Requena. Elle est responsable des rencontres avec les parents des premiers communiants et des confir-mands.

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Deuxième lecture : He 4, 14-16

Première lecture : Is 53, 10-11

Psaume : 32

Évangile : Mc 10, 35-45

Jacques et Jean, les fils de Zébédée, s’approchent de Jésus et lui disent : « Maître, nous vou-drions que tu exauces notre demande. » Il leur dit : « Que voudriez-vous que je fasse pour vous ? » Ils lui répondirent : « Accorde-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. » Jésus leur dit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire à la coupe que je vais boire, recevoir le baptême dans lequel je vais être plongé ? » Ils lui disaient : « Nous le pou-vons. » Il répond : « La coupe que je vais boire, vous y boirez ; et le baptême dans lequel je vais être plongé, vous le recevrez. Quant à siéger à ma droite ou à ma gauche, il ne m’appartient pas de l’accorder, il y a ceux pour qui ces places sont préparées. » Les dix autres avaient entendu, et ils s’indignaient contre Jacques et Jean. Jésus les appelle et leur dit : « Vous le savez : ceux que l’on regarde comme chefs des nations païennes commandent en maîtres ; les grands leur font sentir leur pouvoir. Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand sera votre serviteur. Celui qui veut être le premier sera l’esclave de tous : car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. »

Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

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a. Dans l’Évangile de ce dimanche, nous assis-

tons à une dispute. Les deux frères Jacques et Jean veulent assurer leur avenir : ils veulent siéger à gauche et à droite de Jésus dans son royaume. Ils se rapprochent de Jérusalem et ils ne sont pas sûrs de ce qu’ils vont trouver au bout de leur route. Peut-être ont-ils simplement peur de l’incertitude. Ils sont donc prêts à payer un prix élevé pour siéger à gauche et à droite de Jésus.

Quand les dix autres disciples entendent cela, ils s’indignent. Ils ressentent sûrement la même chose que les fils de Zébédée Jacques et Jean : ils ne savent pas ce que l’avenir leur ré-serve – ils veulent une « sécurité ». Peut-être ont-ils aussi le désir de siéger auprès de Jésus, d’être près de lui afin de guider les destinées du monde à venir. Ils veulent avoir une valeur et une renommée.

La tension monte entre les disciples. Ce n’est pas la première fois qu’ils se disputent l’ordre hiérarchique et discutent entre eux qui sera le plus important (Mc 9 : 34 ; Lc 22 : 24-27). Mais pour Jésus, « le haut » est toujours « en bas » ; celui qui veut être placé à la première place ne doit pas se sentir blessé s’il obtient la dernière place. Bien au contraire ! (Lc 14 : 7-11)

Pas de place privilégiée, c’est certainIl y a des exemples dans l’Ancien et le Nou-

veau Testament de rupture de l’ordre établi et de renversement de la hiérarchie par Dieu. Des fils plus jeunes sont favorisés au détriment de leur aîné (Isaac et Ismaël, Jacob et Esaü, Joseph et ses frères). Dieu choisit aussi David, le plus jeune fils qui garde les moutons, pour devenir roi d’Israël. Dieu a d’autres critères : « Les vues de Dieu ne sont pas comme les vues de l’homme, car l’homme regarde à l’apparence, mais Yahvé regarde au cœur » (1 Sam 16 : 7). L’ordre établi et l’immobilisme de la hiérarchie ont aussi été remis en question par Jésus.

Chers frères et soeurs,

suggestion d’hoMélie

Sa communauté est un contre-projet de la société. Il veut renverser l’ordre établi et construire la communauté depuis « en bas ». Les plus faibles et la périphérie y sont placés au centre. « Servir » est la chose la plus importante pour ceux qui le suivent. « Dominer » au contraire ne doit pas avoir sa place dans les activités des chrétiens. Dans tous les cas, c’est ce que Jésus a voulu. Le service ne garantit aucune place privilégiée comme le souhaitent les deux frères. Les places à sa gauche et à sa droite restent libres – pour toujours.

b. « Prenons le large – partageons

l’espérance »Pour servir, il faut sortir de sa zone de

confort. Celui qui veut servir doit prendre le large. « Sortir » est d’ailleurs un terme clé du pape François. Avec ses actions symboliques, il donne des signes et montre comment « sortir ». Nous pouvons aussi ap-prendre des chrétiens de l’Amazonie péruvienne comment prendre le large et partager l’espé-rance.

Pouvoir déceler la présence de DieuMercedes

Silva consacre son temps libre au ser-vice de sa communauté, en Amazonie péruvienne. Elle enseigne la religion

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Si cette messe est utilisée lors d’un autre dimanche, vous pouvez aller directement au point B de l’homélie.

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À la fin de l’homélie, pendant un moment de silence ou au son d’un bâton de pluie, les fidèles peuvent remplir la carte de salutation pour les chrétiennes et les chrétiens de l’Amazonie péruvienne qui se trouve dans le dépliant.

dans le vicariat apostolique de Requena. Elle prend à cœur d’enseigner et de préparer à la première communion et à la confirmation. Elle pense que son travail avec les enfants et les adolescents doit leur permettre de « ressentir la joie, qui donne du sens à leur vie et grâce à laquelle ils peuvent déceler la présence de Dieu ». Mais transmettre la foi dans les familles n’est pas simple. L’enseignement est donc axé pour que les enfants puissent trouver eux-mêmes du sens à leur vie et des repères. Ils pourront ainsi trouver et accomplir leur propre potentiel, leurs dons, leur charisme. Mercedes Silva est persuadée que ses efforts et son ser-vice vont porter des fruits.

Prendre le large Prendre le large n’est pas simple, lorsque

l’on atteint déjà la cinquantaine, comme l’a expérimenté Juan Olivier, l’évêque du vicariat apostolique de Requena. Ce franciscain espagnol est sur-nommé par ses paroissiens « Hermano Juan » (« Frère Juan »). Il était provincial de sa province franciscaine en

Espagne quand il a été nommé évêque en Ama-zonie péruvienne. Pour lui, cette nomination signifiait partir au bout du monde, loin de tout. Son vicariat est aussi grand que la Suisse. Il est à la fois évêque et prêtre et s’occupe d’une cen-taine de villages.

Il a dû s’adapter à une situation difficile. Le système scolaire dans la région est faible, par-fois à peine existant. L’Église offre des forma-tions pour toutes les tranches d’âge dans la mesure de ses modestes ressources. Pour l’évêque Juan, les jeunes, souvent mal formés et sans perspectives d’avenir, doivent pouvoir prendre leur vie en main. Pour lui, il est égale-ment important que des habitants issus des villages animent la vie des croyants. Ces gens, ces « animadores », sont choisis parmi les habi-tants des communautés villageoises et tra-vaillent bénévolement. Sans eux, la foi cesserait

d’être modelée sur la vie des gens, au sein de la communauté. L’idée que la communauté ne tombe pas du ciel mais doit toujours se chercher – et parfois lutter – n’est pas nouvelle. Jésus et ses disciples l’ont déjà expérimentée.

Une communion universelleAvec les habitants de la lointaine Amazonie,

nous formons une communauté de croyants. Le Dimanche de la Mission universelle nous permet d’en prendre conscience. Nous avons un devoir commun : prendre le large, apporter le message joyeux dans le monde et partager l’es-pérance qui nous habite. Une solidarité nous lie ; nous partageons notre espé-rance, nos soucis et nos peines – et nous nous encourageons avec nos expériences.

Avec la célébration du Dimanche de la Mission universelle, nous élargissons notre hori-zon et nous regardons en direction du monde. Nous y verrons les nombreuses guerres et crises, mais aussi des signes et des témoignages de l’espérance qui vont nous donner du courage.

La « sortie » vers les gens n’est pas une tâche de spécialistes ou de professionnels. Le Dimanche de la Mission universelle nous donne l’opportunité de prendre conscience que le devoir commun de toutes les chrétiennes et de tous les chrétiens est de faire connaître le mes-sage de l’Évangile. Nous sommes envoyés pour partager l’espérance qui nous anime. La joie du message nous lie tous ensemble dans le monde entier. La joie et l’espérance doivent être dissé-minées afin que les gens sentent qu’ils sont aimés de Dieu.

Amen

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Prière universelle

Dieu d’espérance, tu nous appelles à prendre le large. En Jésus Christ tu restes avec nous jusqu’au bout du monde. En toute confiance, nous t’adressons notre prière :

Prions pour l’Église au Pérou : qu’elle donne un témoignage constant de l’es-pérance qui l’habite et ainsi un témoignage de ton amour. Seigneur, écoute-nous.

Prions pour que nous prenions conscience de l’importance de l’Amazonie, le poumon du monde, et de sa grande biodiversité. Seigneur, écoute-nous.

Prions pour les peuples indigènes d’Amazonie : que leurs droits soient recon-nus et respectés. Seigneur, écoute-nous.

Prions pour tous ceux que tu envoies au large : qu’ils aient confiance et cou-rage pour répondre à ton appel. Seigneur, écoute-nous.

En ce jour du Dimanche de la Mission universelle, alors que se déroule le synode des jeunes, prions pour que les jeunes entendent l’appel missionnaire. Seigneur, écoute-nous.

Pour plus de prières, allez sur www.missio.ch, Éditeur liturgique.

annonce de la collecte

La collecte du Dimanche de la Mission universelle est de par sa nature unique. Cette collecte est faite dans toutes les paroisses du monde. Ainsi, l’écart entre donneur-receveur est abrogé car tous les chrétiens donnent et reçoivent – chacun selon ses possi-bilités.

Les huit vicariats apostoliques situés en Amazonie péru-vienne sont soutenus par la collecte du Dimanche de la Mission universelle car ils ne sont pas encore indépendants financière-ment. La collecte alimente le fonds de solidarité de Missio. Ce fonds permet à des Églises locales qui n’ont pas de contacts avec des Églises plus riches d’être soutenues.

Geste de paix

Annonces

À ce moment, si cela n’a pas déjà été fait (voir à la fin de l’homélie), les fidèles peuvent découvrir le message du Pérou pour la Suisse, qui se trouve dans le dépliant. Les fidèles peuvent y répondre en adressant un message personnel en utilisant le coupon de réponse qui sera transmis au Pérou. Les participants recevront une réponse du Pérou. Les cartes peuvent être déposées dans une boîte Missio. Préparez une table sur laquelle sont déposés les dépliants.

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• Les images et des chants pour la messe peuvent être téléchargées sur www.missio.ch.

• Commandez des affiches A2 et A4 ainsi que les dépliants chez Missio (voir cahier de présentation générale, p. 4). Distribuez les dépliants durant tout le Mois de la Mission universelle, en octobre.

• Mettez l’affiche en évidence dès le début du mois d’octobre sur les panneaux d’affichage de la paroisse, sur la porte d’entrée de l’église et, le jour venu, devant l’autel ou l’ambon. Nous vous en remercions d’avance.

• Les textes liturgiques sont à disposition sur l’Éditeur liturgique sur www.missio.ch.

Vous trouverez plus d’informations ...• dans le cahier de présentation générale avec des interviews de membres de

l’Église-hôte d’Amazonie péruvienne et un extrait du message du pape pour le Dimanche de la Mission universelle. Ce cahier contient également des informa-tions sur le contexte de l’Amazonie péruvienne.

La collecte Missio, qui soutient les Églises locales et des projets pastoraux dans diffé-rents pays sur d’autres continents, est obligatoire.

aide-MéMoire Pour la PréParation

www.missio.chCommander par téléphone le matériel imprimé : 026 425 55 70

ImpressumMissio - Œuvres pontificales missionnaires Rte de la Vignettaz 48, 1700 Fribourg Tél.: 026 425 55 70 missio@missio.ch www.missio.ch

Imprimé sur du papier certifié FSC

Père miséricordieux,

Comme la rivière coule dans la forêt,Ton Esprit parcourt nos vies.Comme l’eau coule en abondance,Tu répands sur nous force et bénédiction.

Nous te reconnaissonsdans le sourire des enfants,dans l’attention d’un voisin,dans le conseil d’un ami,dans la générosité du prochain.

Donne-nous le courage de prendre le large ! Nous voulons apprendre les uns des autres, prier les uns pour les autres, partager les uns avec les autres, et devenir des signes d’espérance pour le monde.Nous te le demandons par Jésus Christ,notre Seigneur et notre frère.

Amen

Prière Pour le Mois de la Mission universelle

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Missio remercie Emmanuel Pittet, du Centre romand de pastorale liturgique, et François Rime pour leur précieuse collabo-ration.

La prière se trouve aussi au dos du dépliant.