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Three years of architecture studies in Paris and Madrid
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Julie ColinEcole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville
Portfolio 2009
Sommaire
Introduction Architecture Première année
Architecture Deuxième année
Dessin Première année
Dessin Deuxième année
Urbanisme Etudes supérieures
Conclusion
Architecture Troisième année
Dans son livre intitulé Le Gai savoir, Friedrich Nietzsche imagine le concept de denkraüme : la pièce à pensées. C’est un de
mes idéaux en architecture : réussir à créer un lieu qui donne à penser; un lieu qui permette la méditation et qui la provoque. Certains architectes l’ont presque réalisé, notamment Mies van
der Rohe dans la Villa Farnsworth ou Tadao Ando dans ses temples (le temple Komyo-ji par exemple) comme dans ses
logements (la maison Koshino). Cette vision théorique est bien sûr difficile à exprimer en un an et demi d’études
d’architecture.
D’autre part, je continu en Architecture ce que j’avais com-mencé en Géographie et en «Art» : réfléchir sur la ville. La
méditation n’y tient pas une place aussi importante, ce serait plutôt le jeu et la rêverie ; comme dans la revue situationniste
de Guy Debord, Potlatch, où les habitants doivent s’approprier les parcs et l’éclairage nocturne et où se promener dans la rue
devient un jeu surprenant...
Ce portfolio représente pour moi un travail préparatoire de ce que sera peut-être ma vision de l’Architecture, qui est bien sûr
en devenir et le restera je pense.
Introduction
Première année Premier et deuxième semestre
Les projets du studio d’architecture de première année doivent être regardés comme des réalisations effectuées en 4 jours , ce qui
est un avantage pour se dédouaner d’une qualité parfois moyenne mais ce qui a été aussi assez stimulant et très formateur pour moi. Cela m’a en effet appris à prendre un grand nombre de décisions dans un temps assez court tout en remplissant des conditions de présentation et de programme très exigeantes. J’en suis arrivée à considérer l’architecture comme la recherche de la faille dans les contraintes, la faille qui permet la liberté d’expression et la « créa-tion ». J’ai acquis donc la rigueur nécessaire au respect de nom-
breuses règles sans pour autant renoncer à m’exprimer. Je n’y suis pas toujours arrivée et même dans mon dernier projet, intitulé « Transition et Lumière », il y a des espaces résiduels, « sacrifiés » à l’harmonie générale de la distribution. Mais je m’en rend compte aujourd’hui, mon regard a donc évolué vers une plus grande ratio-
nalité. Cette première année m’a cependant un peu frustré en terme d’enseignement constructif, la question des matériaux par exemple
s’est assez peu posé. Je crois donc avoir tenté de pallier à ce manque en choisissant le studio Paurd au premier semestre et le
studio Jullien au second de ma deuxième année.
plan coupé à 4 mA hauteur de la terrasse
vue généraleMaquette en carton bois blanc
coupe perspectiveAvec tableau au niveau de l’entrée
Les principales données de l’exercice sont : l’espace interne est non ae-dificandi et couvert par une dalle-terrasse située à 3,75m de hauteur; la bande pé-riphérique aedificandi de 2,40m de large sur trois côtés doit accueillir un escalier menant à la terrasse. Il s’agissait donc de faire un parcours éclairé de cet escalier contenu dans une épaisseur assez mince tout en ayant comme dernière contrainte que la lumière vue depuis l’entrée ne devait être qu’indirecte.
La force de mon projet est dans le traitement de la lumière, qui est très différent tout au long du parcours et qui n’est pas négligé sous la dalle, la lumière y étant rythmée par l’escalier et traitée selon le même rythme sur les trois côtés.
Après la première volée de quatre marches, on passe dans un couloir as-sez sombre mais qui porte l’ombre du mur d’échiffre, lui-même découpé en forme d’escalier ce qui invite à découvrir la suite du cheminement. La deuxième volée amène sur un plateau qui contourne une cloison et dont le tournant est formé par un mur toute hauteur (de 5,75m) en demi-cylindre qui concentre et diffuse la lumière sur le plateau mais aussi à l’intérieur sous la dalle et à l’extérieur sur la terrasse. C’est le moment phare du parcours, qui ralenti la marche et donne à méditer. Des pan-neaux ensuite, placés au niveau du garde de corps, jettent une ombre sur le plateau, redonnant un rythme un peu plus soutenu. Les trois dernières volées accélèrent le rythme sur la fin du parcours et sont en pleine lumière. Leur mur d’échiffre intérieur est divisé en trois voiles de béton qui diffusent une lumière latérale saccadée à l’in-térieur sous la dalle, ce rythme étant repris par les panneaux placés au niveau du garde de corps de la dalle au dessus du troisième côté aedificandi apportant des raies de lumière zénithale rasante sur le mur latéral.
Escalier et lumière
plan coupé à 3mAu niveaux des balcons à gradins du lieu d’assemblée
coupe perspective longitudinaleTableau au milieu du lieu d’assemblée
façade Nord, fin d’après-midi au printempsMaquette en machine solaire
Transition et lumière Le programme de ce projet m’a particulièrement intéressé car il induit des usages très particuliers. En effet, le sujet est de concevoir un centre associatif qui comporte une salle d’as-semblée, une pièce de réception et un petit espace extérieur, situé de surcroit dans un contexte urbain, donc entre mitoyens. Même si la parcelle est relativement étendue (20m sur rue par 40m de profondeur), la question de la distribution est problématique. Le lieu de réception doit par exemple avoir un accès indépendant mais être tout de même lié au lieu d’assemblée. La lumière est aussi problématique du fait du contexte et qu’une des contraintes est d’éloigner de 3m minimum les limites du lieu d’assemblée des limites de la parcelle. Mon projet se développe autour du lieu d’assemblée qui est bordé par des espaces servants et des espaces de distributions, notamment le couloir qui mène au lieu de réception. L’éclairage de ces espaces servants est assuré par une courette à droite et une extension du petit jardin à gauche. La salle d’assemblée elle-même est éclairée par une lumière zénithale indirecte ap-
portée par les deux tourelles contenant les escaliers hélicoïdaux et un rehaut rectangulaire du plafond au dessus de l’estrade. Les deux escaliers mènent en outre à des balcons à gradins. Enfin, le lieu de réception est en lien étroit avec l’extérieur, car il pos-sède quatre grandes baies donnant sur le jardin, car des vitrages non ouvrants disposés entre les baies dans l’épaisseur du mur lui apportent une lumière directe mais diffuse et enfin car il est prolongé à l’extérieur par un portique sur toute sa longueur. La force de ce projet réside, à mon avis dans son adaptation au site, les puits de lumière cylindriques et rectangulaires étant orientés dans des directions opposés pour optimiser leur efficacité et les courettes permettant à toutes les pièces d’être éclairées naturellement. D’autre part, la distribution répond aux exigences du programme tout en aménageant des petits espaces de transition, de respiration à chaque nœud de circulation.
plan du premier étage
élévation côté jardin
coupe longitudinalede l’aile «domestique»
Les contraintes données pour cet exercice étaient plutôt des anti-contraintes dans le sens où, mis à part la très grande échelle du bâtiment (200 à 300m2) et la pente maximum de 20% dans laquelle il devait s’ancrer, la maison de campagne pouvait être un palace. Les références sur lesquelles sont basées les hauteurs de plafond par exemple (4,80m au premier étage) sont d’ailleurs celles de villas palladiennes ou de résidences aristocratiques du XIXème siècle comme les décrit Norbert Elias dans La société de cour. L’intérêt de ce projet a donc été l’organisation générale d’un logement luxueux, c’est-à-dire la distribution.
J’ai supposé que la maison de campagne se situait sous un climat clé-ment ou que de toute façon, elle était plutôt estivale. En m’inspirant donc des principes de Jean-François Blondel dans ses Cours d’architecture qui distingue les pièces de nécessité des pièces de commodités des pièces de bienséance, j’ai divisé la maison en deux parties reliées par une galerie extérieure qui cadre une vue sur le jardin depuis l’entrée. La partie la plus basse à gauche est une sorte d’aile d’apparat, avec deux grandes pièces a vivre au premier étage (salon-bibliothèque, salon-salle à manger) et des appartements d’invités au second qui sont reliés par un escalier suspendu aux chambres de l’autre aile (double distribution). La partie plus haute à droite est plutôt l’aile « domestique », comportant une annexe de cui-sine-salle à manger ainsi qu’une séquence d’entrée avec un vestibule au premier, et deux séries de chambres au second et au troisième étage, ce dernier étant conçu plutôt pour les enfants, avec une salle de jeux. Le RDC semi-enterré commun aux deux parties est dévolu à l’entrée basse, au garage, au cellier et à la grande cuisine.
Les deux ailes sont enfin décalées l’une par rapport à l’autre pour que l’entrée ne se fasse pas face à la route (ou rue) d’accès et pour ménager une ter-rasse côté jardin au premier étage associée à l’aile d’apparat tout en étant proche de la cuisine de l’autre aile.
C’est ainsi une distribution des espaces claire et une manière de déden-sifier le bâtiment tout en lui apportant plus de lumière car chaque aile est mince et quasiment toutes les pièces sont traversantes.
Maison de campagne
plan de situationCoupé à 15m
élévation depuis la rue
Esquisse depuis la promenade
Ce travail d’analyse concerne une portion de trois arcades du Viaduc des Arts à Paris. Le Viaduc a été entièrement restauré et réaménagé (entre 1983 et 1993) par Patrick Berger pour accueillir des boutiques et des showrooms d’artistes et d’arti-sans. Le « toit » du viaduc qui avait été dévolu de 1859 à 1960 à la ligne de chemin de fer Paris / Bastille – Varenne (désaffectée pour cause de RER A) a été transformée en promenade plantée par l’architecte Mathieux et le paysagiste Vergely. C’est donc une réhabilitation récente très élégante de par la finesse des aménagements de Berger (de simples corbeaux pour tenir le linteau divisant les façades entièrement vitrées) qui don-nent à voir l’intrados de ces grandes voûtes et qui en général, met en valeur l’ouvrage d’art.
Les relevés et les recherches que j’ai effectué pour en faire une restitution m’ont appris à utiliser les Archives et le Service du cadastre de Paris, avec leurs ho-raires impossibles et une organisation moyenâgeuse mais ils ont été des outils pré-cieux. Les deux autres étudiants et moi avons expérimenté d’autre part de nombreuses techniques de relevé : au laser, en prenant des échelons de mesure comme un être humain, en calculant en fonction des hauteurs de plafonds probables, en mesurant au mètre…
Enfin, j’ai abordé pour cet exercice des questions constructives, en analysant les aménagements de Patrick Berger et la structure de la maçonnerie et de l’étan-chéité, complexe pour des espaces habités situés sous un espace planté.
Analyse urbaineLe viaduc des arts
vue de dessusParcelle étudiée dans sa totalité
coupe longitudinaleViaduc, parking sous le jardin, et bande d’immeubles
Le travail d’analyse s’est ensuite poursuivit par l’étude en groupe d’une par-celle de bâti associée à un tronçon du Viaduc des arts.J’ai hérité d’une parcelle com-prenant un jardin entouré d’une bande en L d’immeubles d’habitation relativement récents (années 80). Le jardin Hector Malot, réalisé par l’architecte-paysagiste Christo-Foroux en 1995, organisé sur deux niveaux occupe la majeure partie de l’espace qui nous était attribué.
La difficulté de cet exercice résidait dans la forme des toits, dont les pentes étaient difficilement calculables. Nous avons dû faire des suppositions, en utilisant google earth et en se basant sur certains principes : que les combles devaient avoir une hauteur sous plafond habitable, que les toitures à combles ont souvent des brisis presque verticaux et des terrassons de pente très faible, etc..
On s’est d’autre part heurté au problème de l’analyse du parking souterrain, auquel nous n’avions pas accès. Il a fallu faire avec des documents schématiques et des suppositions de dimensions.
Enfin cela m’a permis de m’exercer au dessin de la végétation, qui a l’avan-tage de rendre un dessin d’architecture très expressif.
Analyse urbaineLe jardin Hector Malot
Studio Paurd Deuxième année - Premier semestre
J’ai choisi ce studio d’architecture dans le but de m’initier aux ques-tions constructives à travers la question des réseaux d’alimentations dans un logement par exemple. Mais surtout car la manière d’abor-
der l’architecture de Bernard Paurd m’a semblé plus concrète. Cela se traduit par l’importance qu’il accorde au site et à la lumière,
à travers l’utilisation de la machine solaire notamment ; par l’ap-proche humaine qu’il a de l’architecture ; et par notre outil de travail
et de rendu : la maquette. Je suis moins sûre aujourd’hui que sa vision soit plus concrète aux vues des programmes qu’il nous a
donné mais les questions de construction, de lumière, d’usage et d’ergonomie ont été abordées en profondeur.
J’en retire un enseignement fondamental sur une approche de l’architecture qui se veux surtout au service de l’homme de façon
parfois extrême, mais il est plus facile d’être objectif sur des ensei-gnements sans concession comme celui de Bernard Paurd.
personnages ( au 1/20ème) en actionCarton, mousse, rhodoïd, ressort, épingles, étain
detail : le brasLongueur de 4 cm
Photo de famille
Ce travail peut sembler seulement «préparatoire» car il mène à la concep-tion d’un personnage articulé au 1/20ème ayant pour fonction d’animer nos ma-quettes à cette échelle. Cependant, il s’est révélé être un travail très enrichissant, autant par la manière dont nous avons procédé que par les questions théoriques que cela a soulevé. Nous nous sommes en effet divisés les tâches, chaque groupe travaillant sur une partie du corps, ce qui m’a permis de réfléchir sur des questions très précises avec d’autres étudiants. Nous avons d’autre part expérimenter un grand nombre de matériaux différents ce qui a donné à l’exercice une dimension construc-tive inattendue mais très interessante. J’ai personnellement travaillé sur la réalisation du bras et de l’épaule et l’apport principal pour moi de cet exercice a été de nature théorique. En travaillant sur les mécanismes des articulations, j’en suis arrivée à comprendre que l’axe de n’importe quel mouvement ( celui du coude comme celui d’une porte) doit être décalé, dissocié de l’objet en mouvement. J’ai appliqué ce principe ensuite pour la conception des mécanismes lumineux de l’exercice 1lit / 1 fenêtre ou pour la réali-sation des machines domestiques (lave-vaisselle et autres) par exemple. Enfin, la conception de ce personnage m’a demandé une étude préalable de l’amplitude des mouvements humains et des proportions de notre corps ce qui m’a servi pour tous les exercices suivants et me servira certainement pour tous mes projets d’architecture.
Personnages
toilettes et salle de bain vue de dessus regroupés autour de la gaine technique
bain éclairé au matin d’hiver et façade sud des toilettes
salle de bain et son ombreau matin d’été
Cet exercice a pour but de créer deux espaces servants, une salle de bain et des WC reliés à une même gaine technique, dans un loft de 12m par 12 avec une vue au Nord et une vue au Sud. Il est traversé sur son axe Nord/Sud par trois poteaux espacés chacun de 4,35m. Il aborde ces espaces à travers différents problèmes : L’ergonomieCes espaces doivent être à la mesure de l’être humain mais prendre le minimum de place. Ainsi, je suis partie des proportions de l’être humain (que l’on avait déjà tra-vaillé avec le personnage) et de la place que prennent ses mouvements. La courbe tracée par le sommet du crâne lorsqu’on s’assoit par exemple a déterminé en partie la forme des toilettes qui fait une sorte d’escalier au dessus de la cuvette. L’intimitéPour mieux traiter cette question, on est parti du principe qu’il n’y avait pas de fermeture à ces espaces ; j’ai donc fait une entrée en chicane pour la salle de bain et un obstacle bas pour l’entrée des WC. Il faut voir sans être vu. J’ai travaillé donc sur des ouvertures à hauteur d’œil lorsqu’on est assis sur la cuvette, debout de-vant, debout dans la baignoire ou allongé dedans, tout en empêchant l’accès à ces ouvertures depuis l’extérieur par des excroissances (tablettes) ou des percées dans les cloisons des toilettes et de la salle de bain. J’ai aussi aménagé dans la salle de bain un espace intime de déshabillage. La lumièreCe loft est orienté Nord/Sud et les espaces servants doivent avoir de la lumière naturelle, directe si possible. Je suis partie du principe que la salle de bain avait besoin de plus de lumière le matin car c’est en général le moment où l’on se lave. Ma salle de bain a donc deux ouvertures orientées nord-est et sud-est, recevant ainsi une lumière directe le matin en hiver comme en été. Pour les WC, j’ai aménagé des boîtes à lumière en partie basse dont les parois sont colorées (en jaune et en orange). La lumière est aussi considérée à travers son négatif : l’ombre. Ainsi, toute la salle de bain est sur des petits pilotis et les parois des deux espaces sont percées et allégées pour créer de belles ombres qui ne soient pas trop denses. L’ombre est aussi un objet architectural qui marque le temps qui passe. Les conduits techniquesC’est le lien entre les deux espaces et la raison pour laquelle on les traite de manière groupée. Il est toujours plus pratique de regrouper la VMC et les conduits d’eaux vannes et d’eaux usées sans faire de coude avec les tuyaux pour éviter les bou-chons voir les explosions. Les WC et la salle de bain sont donc autour de la gaine technique.
Réseaux
plan du logement sans délimitation définie
vue du dessuscarton, rodoid et fil de fer
vue de l’entréeSur le Rothko et l’exterieur
Cet exercice a pour but de concevoir un logement de type T3 sur une surface minimum. Le point de départ autour duquel va se développer l’espace habité est une loggia de 3 mètres de large et 3 mètres de hauteur sous plafond. Cette loggia est composée d’une partie toujours extérieure accessible aux handi-capés, dont le sol n’est donc pas surélevé, et d’une partie qui peut être intérieure ou extérieure, dont le sol est donc plus haut de 15 cm pour assurer l’étanchéité.
La surface du logement doit être la plus petite possible. Cela se tra-duit par des circulations très restreintes et une grande mobilité du plan. Ainsi, il n’y a pas de cloison fixe mis à part pour fermer les chambres. Des « meubles-immeubles » (cloisons amovibles) assurent les séparations entre la cuisine et le salle de bain, ainsi que entre la cuisine et le séjour. On a donc accès à tout où qu’on soit. Je ne les ai pas fait figurer sur les photos pour des rai-sons de clarté et car une position de ces meubles ne doit pas être privilégiée.
D’autre part la distribution s’organise comme un parcours au-tour de la loggia, qui commence à la porte d’entrée par une vue sur le paysage encadrée par les toilettes à droite et le débarras à gauche.
Le chemin tourne ensuite autour de la loggia. Soit vers la droite où la dispo-sition des appareils de la cuisine et la baie vitrée (amovible) devant l’évier donnant sur la loggia nous permet une vue discontinue sur la loggia et donc le paysage. Soit vers la gauche où on accède directement au séjour très lumineux qui peut intégrer la loggia.
La lumière est donc une question primordiale dans les choix que j’ai fait pour ce plan qui ,par la flexibilité des cloisons, permet des apports de lumière diffé-rents. La loggia permet d’éclairer la quasi-totalité des pièces bien que le séjour soit privilégié. Toutes les circulations ont aussi un éclairage naturel. Et les chambres qui ne bénéficient pas de cette lumière (même si on suppose qu’elles disposent de baies sur les façades) ont tout de même de leur porte d’entrée une vue sur le paysage.
Accumulation domestique
loggia quand le vitrage disparaîtVue depuis le séjour
loggia en position tout extérieurVue depuis le séjour
baignoire ouverte sur l’ extérieur Vue depuis la loggia
loggia en position tout intérieurVue depuis le séjour
Donner le choix
La configuration des hauteurs de sol est bien sûr associée à une configuration particulière des menuiseries. Il fallait en effet concevoir un système de menuiseries amovibles et autostables qui permette de fermer complètement la loggia ( vers l’in-térieur ou vers l’extérieur) et de l’ouvrir complètement en faisant « disparaître » les vitrages. Cette contrainte s’applique aussi à la menuiserie qui entoure la baignoire en porte à faux de la façade. J’ai donc fait un système de menuiserie en crémone alternée pour la loggia. Deux pans vitrés de 1m90 de large reliés entre eux sont équipés de crémones à chacune de leur deux extrémités, ce qui permet, en les soulevant alternativement de les déplacer autour de la charnière formée par la cré-mone qui est baissée. Ce système permet trois dispositions différentes de la loggia : complètement intérieure, complètement extérieure ou sans vitrage, les deux pans de 1m90 et le petit de 80cm pouvant se ranger le long de la baie vitrée de la cuisine.D’autre part, j’ai conçu un système qui associe des menuiseries coulissante (sur des rails au plafond) à des crémones alternées pour la baignoire. La partie vitrée vers la loggia coulisse « en accordéon », se rangeant sur le petit côté intérieur de la baignoire. Et la petite partie de l’angle vitré au-delà de la façade pivote sur les crémones alternées et se rangent le long du grand côté intérieur de la baignoire.
Dimensionner selon les usages
Cette modularité des espaces se retrouve dans les « meubles-immeubles ». Ce sont des espaces-meubles dont le premier sépare la salle de bain de la cuisine, le second la cuisine du salon, et le troisième sert de débarras. Le débarras en parti-culier est un espace parfaitement adaptable à toute sorte de configurations. Il peut se résumer à quelques cloisons ramenées à un volume plein minimum, ou servir d’alcôve assez fermée équipée d’une table (pliante) pour une personne, ou former une pièce plus grande ouverte sur le séjour ou enfin servir de pièce fermée pour entreposer des objets. Ce débarras sert même de jeu pour les enfants qui peuvent grimper dessus pour atteindre le plafond des toilettes vers la cuisine…La table enfin a été pensée comme pouvant contenir huit personne ou quatre (table pliante) sur un espace minimum (80cm par 1m50 avec les quatre coins biseautés) qui est contenu dans l’espace de la loggia « haute ».
Accumulation domestique
mécanisme lumineux de la façade Est axonométrie et coupe longitudinale
façade Est, un matin en étéMaquette en machine solaire
façade Est, fin de matinée en étéMaquette en machine solaire
Cet exercice est une réflexion sur la lumière et son occultation dans une chambre à coucher et sur le rapport de l’homme, et de ses proportions, à l’espace intime du lit et à l’extérieur. La disposition des ouvertures, vitrées ou non, et la manière d’actionner ces ouvertures répond donc aux différentes utilisations d’une chambre tout au long de la journée et de l’année. Ainsi le vitrage, entièrement occultable, sert surtout dans ce projet à la vue et à la lumière car il n’est quasiment pas ouvrant et situé à hauteur d’œil en position couché et debout. D’autre part les « panneaux-sandwich » ; dont l’épaisseur est faite de deux couches de revêtements (l’un extérieur, imputrescible, et l’autre inté-rieur) enserrant une laine isolante ; servent d’aération et apportent une lumière plus travaillée et moins directe. Ces panneaux amovibles permettent ainsi de prolonger la façade au-delà du nu extérieur pour pallier aux défauts d’orientation du bâtiment. La façade EstJ’ai fait l’hypothèse qu’il y avait une vue à l’est et j’ai pris le parti que la lumière du matin était plus importante dans une chambre. Les baies non ouvrantes à hauteur d’œil (entre 1m50 et 2m) sont donc toutes orientées vers l’est tout en gardant à l’esprit qu’elles peuvent être occultées. Et c’est d’autre part à l’est que se situe la petite loggia. Ces baies apportent donc la vue, et une lumière directe le matin et plus diffuse le soir.J’ai d’autre part imaginé un dispositif lumineux en « panneaux-sandwichs » amo-vibles, représenté en axonométrie et en coupe ci-avant, situé au dessus du lit qui permet d’apporter une lumière douce, rasante sur le plafond. Ce dispositif peut s’actionner en restant allongé, en poussant légèrement vers l’extérieur le bas du panneaux à droite du lit.Ce dispositif et celui juste au dessus du lit apporte l’air et la lumière dans la chambre.
Un lit / une fenêtre
fonctionnement des parois de la loggiaplan
façade Nord, fin d’après-midi au printempsMaquette en machine solaire
façade Nord, fin d’après-midi en hiverMaquette en machine solaire
La loggiaLa petite loggia dimensionnée pour deux personnes, orientée vers l’est, fonctionne comme un espace réversible. Elle est en effet composée de deux parois amovibles d’égale dimension, l’une coulissante du lit vers la façade Nord et l’autre pivotante sur un axe verticale à laquelle est fixé un siège. Ce dispositif permet de sortir de-hors assis, sans laisser l’air entrer en faisant coulisser l’autre paroi ou en laissant une ouverture. La dissociation des mouvements des deux parois sert à offrir une plus grande variété d’usages de cet espace à la fois intérieur et extérieur. Et il ne nécessite qu’un seul long joint d’étanchéité entre les deux parois au sol, la paroi pi-votante étant toujours à l’extérieur et celle coulissante toujours à l’intérieur. La limite intérieur/extérieur en est amoindrie.
La façade NordD’autre part, j’ai fait le choix que la lumière du soir était moins importante et que son apport pouvait être plus indirecte. Ainsi, il y a tout de même une petite baie à hauteur d’œil lorsqu’on est debout et une baie d’angle à hauteur d’œil lorsqu’on est allongé mais elles sont surtout destiné à la vue. Le grand dispositif lumineux de cette façade est fait de « panneaux-sandwichs » amovibles en partie et formant un creux dans l’épaisseur du mur. En tirant le redent à 1m30 de hauteur, les parties hautes et basses pivotent vers l’extérieur, dépassant ainsi de la façade pour apporter la lumière du soir, colorée en jaune par les parois horizontales dans l’épaisseur du mur. Le volet orange de la petite baie rempli la même fonction.
Un lit / une fenêtre
Studio Jullien Deuxième année - deuxième semestre
J’ai choisi ce projet en deuxième année car je voulais m’initier a l’urba-nisme. Nous avons étudié longuement un site parisien particulièrement in-
teressant car il permet une analyse à plusieurs échelles: La Petite Ceinture. C’est un chemin de fer inutilisé depuis 1990, qui entoure la totalité de Paris
au niveau des boulevards des Maréchaux.L’exercice consistait à choisir un site sur un tronçon de ce chemin de fer
pour y installer des édifices publics. J’ai d’abord choisi un site pour ses qualités de communication dans le quartier (à la jonction entre un parc
et une grande avenue à 8 voies), pour sa visibilité dans la ville et pour la beauté de ses espaces. J’ai déduit de l’analyse du site l’utilité de créer un
certain nombre de passages, d’accès à cet espace privilégié, mettant ainsi en oeuvre sa qualité de lien dans le quartier.
C’est la partie d’ Analyse urbaine à grande échelle. J’ai ensuite réflechi au programme, étant donné le grand nombre de
logement collectifs et la situation par rapport au Cours de Vincennes et à la Petite Ceinture. J’ai opté pour une salle d’escalade (bâtiment haut par
définition, intégré au paysage des grands immeubles de logement et visible depuis l’artère principale) et une garderie doté d’un jardin suspendu (les
enfants des nombreuses familles habitant le quartier n’avaient effectivement que les cours d’entrée des immeubles pour jouer, et peu d’espaces dé-diés à la petite enfance. C’est l’ Analyse autour et en fonction de la Petite
Ceinture, considérée comme un monument . J’ai enfin pensé au fonctionnement de ces deux édifices, leurs relations
dans leur unité visuelle propre et leur relation avec les alentours, leur fonc-tionnement et leur utilisation. C’est la partie Interne au projet.
plan de situationavec les différents accès au site
N
1:1000
l’accès choisi 1 2 3
accès cachés6 possibilités
l’accès choisi 1 2 3
4 5 6
Analyse urbaineA grande échelle
section et plan du projet en contexte urbain
vue depuis le «cours de vincennes»
schéma de la logique relative aux deux edifices
Photomontage de la salle d’escalade depuis les railsles murs extérieurs sont escaladables
Situation urbaine du projetvisibilité depuis la tour d’escalade
Analyse urbaineAutour d’un monument
plan à 3m, des deux bâtimentsla salle d’escalade et la garderie avec le toit-jardin
section longitudinale
section perspective de la salle d’escalademaquette des deux bâtiment
plan de toiture
Usageset détournements
P5. GazapoTercero año - primero cuatrimestre - Pr: Javier Climent
He elegido el proyecto de Gazapo porque se trata de la cuestiòn de viviendas colectivas dentro de un contexto urbano definido:
el sudoeste de Madrid, al lado del Rio Manzanares.Inspirado par el método deductivo de MRVDV, he buscando muchos datos
sobre este lugar para aumentar la cantidad de restricciones dada par el sitio.
Mi propuesta probas de cambiar la relaciòn entre las viviendas y el rio. La esplanada se alarga hasta los edificios, formando una grande zona peatonal, los coches se quedan abajo, y cada piso
de los edificios tiene una abertura en duplex hacia el rio.
EL RIO MANZANARES
EL RIO MANZANARES
EL RIO MANZANARES
El existente
Propuesta generalplano y esquemas
alargamiento abertura ptolongamiento de la esplanada entre los pisos
separaciòn de la circulacionespeatonal arriba y coches abajo
vista perspectiva del proyecto
Escala urbana
Desarrollo de la fachadareferencia a Auguste PERRET
Planos tipos de (4+2) pisos en dos edificiossobre dos plantas
cada piso tiene una parte en duplex con una vista hacia el riopiso de arriba
EL RIO MANZANARES
EL RIO MANZANARES
EL RIO MANZANARES
piso de abajo
partes en duplex
partes en duplex
Esquema del principio d’enclaje de los pisosque permite las partes en duplex
Secciònes transversalesen dos edificios
Organizaciòn interna
P5. GazapoTercero año - segundo proyecto- Pr: Javier Climent
Este proyecto se ha desarrollado durante un mes, como la conti nuacion del primero en Madrid.
Se trata efectivamente de la relacion entre un rio y los edificios alderedor. Pero este rio es un canal, el Landwehrkanal en Berlin,
y el edificio subjeto del proyecto esta situado en la agua.El sitio real del Tiergarten de Berlin es el decorado del proyecto
pero el ejercicio es mas teorico. Se trata de utillisar el Louise-Ca-therine, un barco-hostal acondicionado por Le Corbusier, para hacer una transformacion tipologica,tomando en cuenta el sitio
(un canal de Berlin) y un nuevo programa.Mi propuesta es de transformar la grande «péniche» de Le
Corbusier, adaptada a la Seine en un barco màs movil en este pequeño canal y que approvecha este movilidad para ayudar mas gente y dar una seguridad y una proteccion a los que lo
necessitan.
Plano de situacionTierGarten; Berlin
Propuesta de El Barco-Faro: diferentes possibilidades de estiba
Instituciones publicas
Edificios existentes
La isla de las esclusas : aera de intervencion
N
1:1000
con el Louise-catherine
El sitio del proyecto, presentado al lado, es el Tiergarten, un grande parque de Berlin. La zona definida por la situ-cion del proyecto es los alderedores de la Isla de las Esclu-sas, sobre el Landwehrkanal. Pero como mi propuesta, el Barco-Faro, es movil, su sitio es todo el Landwehrkanal.La zona del Landwehrkanal que precedela isla de las es-clusas esta rodeada de instituciones publicas (orilla Sur) y de viviendas (orilla Norte). La zona situada detras de la isla esta rodeada del jardin, el Tiergarten. La zona al sur de la isla me ha parecido mas interesante porque es donde hay mas actividades de la ciudad, y por tanto donde el barco puede ser mas visible y mas util a la poblacion. Ademas, el Barco-Faro llega mas rapidamente a la Spree por este camino. De este modo puede continuar en la Spree y atra-vesar la ciudad de Berlin.
El Louise Catherine, un barco transformado en refugio por Le Corbusier por la «Croix-Rouge francaise», dando resulta-do a un espacio de movilidad reducido y a una organizacion que se asemeja a un termino medio entre un albergue y un hospital.Mi propuesta, que resulta de la transformacion tipilogica del barco de Le Corbusier, es de realizar un refugio trans-formado en barco, es decir de organizar mi refugio y su programa en funcion de las caracteristicas de un barco, a saber: movilidad, altura reducida, espacio exteriores impor-tantes etc...
El interés de Le Corbusier por los barcosextracto de «Vers une architecture»
El interior del barco Louise-Catherine sobre la Seine
El ponton delAquitania
Analisis del solar,Berlin
formaciones tipologicasMi transformacion tipologica hace una demasificacion del refugio de Le Corbusier ya mencionado, que se convierte aqui en una estructura pequeña y privada, cuando la idea de Le Corbusier era mas un paquebote. Como lo dice Brian Brace Taylor en su libro Le Corbusier, the City of Refuge, su proyecto se puede acercar mas del Albergo dei Poveri en Napoles, albergue que puede llegar a alojar 2600 habi-tantes...
Analisis del sitio
Planos generales Secciones generales
plano a 15 m
plano a 5 m seccion cafeteria
seccion farolillos
local tecnico y despensa primeros cuidadosaula de consulta
aula de descanso dormitorio
1/400e
un refugio movil
maqueta de la propuesta
Fotomontaje del barco-faro en el Landwehrkanalal nivel de la Isla de las Eclusas
El Barco-Faro
Vista generalde noche
un refugio movil
Vista interiorde dia
El Barco-Faro
P6. VicensTercero año - segundo cuatrimestre - Pr: Luis Basabe
Este proyecto se ha desarrollado durante un mes, como la conti nuacion del primero en Madrid.
Se trata efectivamente de la relacion entre un rio y los edificios alderedor. Pero este rio es un canal, el Landwehrkanal en Berlin,
y el edificio subjeto del proyecto esta situado en la agua.El sitio real del Tiergarten de Berlin es el decorado del proyecto
pero el ejercicio es mas teorico. Se trata de utillisar el Louise-Ca-therine, un barco-hostal acondicionado por Le Corbusier, para hacer una transformacion tipologica,tomando en cuenta el sitio
(un canal de Berlin) y un nuevo programa.Mi propuesta es de transformar la grande «péniche» de Le
Corbusier, adaptada a la Seine en un barco màs movil en este pequeño canal y que approvecha este movilidad para ayudar mas gente y dar una seguridad y una proteccion a los que lo
necessitan.
El Rampir No Tekro, el slum el mas grande de Ahmedabad
Templos
Mapa de la ciudad de AhmedabadEstado del Gujarat, INDIA
templos
1
2
por una parte del Slum El Slum de Rampir No Tekro tiene muchas caracteristicas que le permitte de ser interesante por el ayuntamiento de Ahmedabad para la mejora de la calidad del habitat y de las infrastructuras. Estas guian tambien la mañera de actar en este Slum. La analisis del slum entero se basa sobre una parte mas pequeña del tejido, representa-tiva del resto. Esta parte esta situada al sur del slum, cerca del brazo del Rio de Ahmedabad, como indicado en la pagina siguiente.
1. Los puntos sagradosEl Slum es organizado alderedor de puntos sagrados, los arboles y los templos, que son indestructibles segun la religion budista. Las autoridades no puenden destruir los templos.
2. La movilidad de los espaciosPermitte de mejorar el slum sin grande coste de destruccion. Las viviendas no tienen limitas strictas (siempre un espacio interior y exte-rior) y cabañas que dependen de cada casa.
3. La mala higieneInfluye sobre la salud de los habitantes y sobre la limpiedad del Rio de Ahmedabad y de la agua de la ciudad. Es un problemo mas grande que el Slum aunque afecta sobre todo su habitantes que no tienen servicios por la mayoria.
4. La densidadEs una fuerza por el slum porque es un banco de voto importante. La ultima estimacion ( el censo de 1991) indica que 40% de la pobla-cion de Ahmedabad vive en slums y chawls.
3
4
Analisis y conceptos
Plano de situacion y de analisis del Slum de Rampir No TekroAhmedabad, India
N
1:150 000
el Slum enteroPrincipios de implantacion del proyecto
AcupuncturaConservacion de la densidad del tejido para la creacion de torres y de edificios de una planta : los bloques de servicios.
RegeneracionLas torres tienen, como los bloques, las facilidades publicas abajo, servicios, lavadoras... Las plantas de arriba estan dedicadas a talleres de recyclaje, escuela por ninos, por adultos, bibliotecas, installaciones de depuracion de agua.En estos talleres trabajan los habitantes y en estas escuelas van los ninos del slum. De un punto de vista constructivo tambien se regenera el slum con los andamios fijos puestos dentro de las casas.
Adaptacion Las torres, como los andamios estan moviles en funcion de las situa-ciones. Los materiales (el bambu y los contenedores) son sufficiente modulable para adaptar se.
Grande escala Pero es el ayuntamiento que construye estos edificios y le vende a empresas.
puntos de recoge de basura ESCALA DEL SLUMpuntos de agua
torre regular ESCALA DEL SLUMtorre irregular
bloque de facilidades ESCALA DEL BARRIO
andamio-servicios ESCALA DE LA CASA
El existente
El proyecto
2
4
Leyenda del plano de situacion
El solar y el proyecto
Torres de contenedor en el tejido del slumparte sur de Rampir No tekro
Torre irregular
Torre Regular
la torre-contenedor
Alzados del contenedor tipo de 20'lateral de frente1/200
Secciones del contenedor tipo de 20'lateral de frente1/200
Elemento del proyecto
taller / fabrica de reciclaje de la basura
escuela de adultosoescuela de niñosoofficinas
Plantas de lasTorres regulares3 tipos
SS
1er
2è
3è
4è
Reactor vertical continuo : para compostar los residuos
servicios+lavadoraso+juegoso+recipientesde basura
bibliotecao
garderia infantilo
officinas
depuracion de agua + terraza
la torre-contenedorElemento del proyecto
SS
1er
2è
3è
4è
Plantas de lasTorres irregulares3 tipos
Una tecnica para extrusionar y granular los residuos de plastico
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Rampir no TekroAhmedabad, India
1
2
Alzado de la torre 1
Situacion 1
Densidad muy elevada
Eleccion de la torre irregular porque tieneuna ancha general mas pequena
Situacion 2
Densidad menos importante pero tejido muy irregular
Eleccion de la torre irregular porque tieneuna forma que conviene
Torres Irregularessituaciones
es: 1/150
1
2
Situacion 1
Densidad muy elevada
Eleccion de la torre irregular porque tiene una ancha general mas pequena
Situacion en el slumde Torres irregulares
Situacion 2
Densidad menos importante pero tejido muy irregular
Eleccion de la torre irregular porque
tiene una forma que conviene alzado de la torre
la torre-contenedorElemento del proyecto
Situacion en el slumde Torres irregulares
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Rampir no TekroAhmedabad, India
Torres Regularessituaciones
es: 1/50
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Rampir no TekroAhmedabad, India
Torres Regularessituaciones
es: 1/50
Seccion de la torre regular
5
Situacion 5
Densidad elevada pero tejido adecuada a la forma de la torre regular
El Andamiode bambu
un escalera hasta el techoun herramiento de construccion sobre el techouna estructura creando dos espacios de facilidades:un WC y una cocina
El otro elemento del proyecto, un herramiento a la escala de la casa, que da las facilidades elementales y que permitte de utilizar el techo como espacio suplementario y construir sobre el.
Principios del andamio-aseo
el andamio-aseo, definicionElemento del proyecto
Situacion 1 : calle muy pequena y casa grande 1 nucleo por 1, dentro de la casa1
Plano de situacion del andamio en la casa
Seccion longitudinal del andamio
cocina WC escalera
Situacion 3 : casa muy pequena y calle grande 1 nucleo por 1, mas fuera de la casa
Nucleo para 1 casa pequena y una calle grande :mas estrecho y corto
3
Seccion longitudinal del andamio
Plano de situacion del andamio en la casa
el andamio-aseo, situacionesElemento del proyecto
Situacion 5 : calle muy pequena y casa muy pequena: 1 nucleo por 2, dentro de las casas5
Plano de situacion del andamio en la casa
Seccion longitudinal del andamio
cocina WC escalera
Nucleo para 2 casas : mas ancho y con dos puertas
Dessin Première année
« Le dessin n’est pas la forme,
il est la manière de voir la forme »Edgar Degas
pinces à linge graphiquesVariations au crayon à papier
pinces à linge graphiquesgouache et pochoir
Essais graphiques
Plume en bambou et encre de chine
ruelle montmartroise en contre-plongéeCrayon à papierPlume en bambou et encre de chine
ruelle montmartroise en plongéeCrayon à papier
Sensation d’espace
Nus fémininscrayon à papier
Dessin Deuxième année
J’ai regroupé les dessins réalisés en deuxième année d’architecture avec les nus faits durant la même période en dehors du cadre des cours d’Arts Plastiques. Ce qui
m’importe en effet est l’évolution de ma technique en dessin, notamment pour les nus et mon amélioration
dans l’observation de la réalité. Mes dessins de deuxième année acceptent beaucoup plus, je trouve, la complexité
de la réalité. Les dessins de première année sont plus graphiques, dans un état de simplification du réel.
Ainsi, comme le dit Edgar Degas, que j’interprète de ma-nière assez libre, je considère que le dessin est un ap-
prentissage de l’observation plutôt qu’un outil de rendu.
Jardin du Luxembourgvoûte végétale
Jardin du Luxembourgmasse végétale
Jardin des plantes
D’après naturecrayon à papier
reproduction d’un drappéLavis
reproduction d’un drappéplume et encre de chinevoûte végétale
reproduction d’une gravure anonymeplume et encre de chine
D’après originaux
Nus mixtes ( 1 )
Nus mixtes ( 2 )
Urbanisme Travaux réalisés depuis 2005
La ville et son organisation m’interesse depuis longtemps et cela se traduit par différents travaux effectués depuis le lycée. Au cours de mon année de Géographie à l’Université Paris IV, autant que dans
le cadre de ma prépa d’Art, j’ai approfondi le sujet de la ville, que ce soit l’histoire des villes (les villes et la Modernité, les villes et l’Anti-quité) ou celle de ma ville aujourd’hui ( la Zac Paris-Rive-Gauche,
mes photos parisiennes), jusquà la frise que j’ai peinte sur les murs de ma chambre...
La Sudac avant la ZACNestor Burma, promenade soli-
taire à Tolbiac ; TARDI, Brouillard au pont de Tolbiac
La Sudac aujourd’hui,«réhabilitée»
Le sujet précis de ce Travail Personnel Encadré, ou TPE, réalisé au cours de ma classe de Terminale (en 2005) est la gestion du patrimoine industriel dans la ZAC Paris-rive-gauche. Je me suis plus particulièrement inté-ressé à la ZAC Masséna ( qui fait partie de la ZAC Pa-ris-rive-gauche ). Et dans cette Zone d’Aménagement Concerté, j’ai étudié plus précisément la réhabilitation de l’usine la SUDAC (Société Urbaine d’Air Comprimé), abri-tant aujourd’hui l’ École d’Architecture de Paris Val-de-Seine. Avant tout, il faut savoir que le projet d’aména-gement de la ZAC se situe au coeur du passé industriel du XIIIème arrondissement. Même si à l’origine cet arrondis-sement avait, comme toute la périphérie parisienne, une vocation agricole ( les «maréchaux» ), la Seine et la Bièvre lui ont donné très tôt une destinée industrielle et une dy-namique encore d’actualité. Aujourd’hui, sur les 130 ha que comporte la ZAC, 10% sont encore occupé par ce patrimoine bâti à caractère industriel (gare, ponts, halles, entrepôts...). La réhabilitation de l’usine de la SUDAC est par-ticulièrement intéressante à cause de la beauté du bâti-ment d’origine. Sa structure de fer ornementé est exté-rieure à la façade de parement de briques. Elle possède une cheminée en brique de 50 m de haut. La position de l’usine est par ailleurs singulière dans la ville, pas très loin du périphérique et entouré de friches. C’est une difficulté réelle pour le programme qu’on lui a attribué: une école d’Architecture, un lieu à priori très vivant et très fréquenté. L’architecte Frederick Borel a donc gardé la structure de l’ancienne usine, restaurant les façades, et y a accolé un bâtiment neuf compact et très complexe relié à l’unique halle de l’usine par une passerelle.
axonométrie plongeante de la ZAC Paris-rive-gauche
avec la ZAC Masséna tout au Nord
Ce travail m’a beaucoup apporté. Il a été très important dans ma réflexion personnelle sur les études su-périeures que j’allais entreprendre. Et il a été très instructif en terme de recherche d’informations et d’analyse urbaine à proprement parlé. Les principaux enseignements que j’en ai tiré sont la découverte de l’expérimentation pratique d’un terrain, par la promenade et l’»arpentage» et l’appré-hension de la complexité d’un projet urbain. Le nombre d’acteurs et de règlements menant à sa construction est énorme. Je pourrais citer les schémas d’urbanisme (le SCOT pour le territoire et le SDRIF pour l’Ile-de-France. Entre en jeux aussi la Banque de Donnée Urbaines (asso-ciant l’APUR et l’ IAURIF ). Il faut citer ensuite les acteurs politiques et sociaux comme le ministre de la Culture, le Président de la Caisse d’Allocations Familiale, le Prési-dent de la RATP, le Préfet de Police, les mairies d’arron-dissement... Mais surtout, les associations de quartier et les architectes-urbanistes, qui sont en bas de l’échelle de décision et qui travaillent à la même échelle, en «concer-tation». En assistant à ces réunions de concertation, je me suis rendue compte que le rapport entre architectes et habitants était souvent houleux et que cette concertation n’était que de façade. Mais si elles existent, c’est qu’il y a l’espoir d’une entente...
La ZAC MassénaTravail Personnel Encadré de Terminale
vue de l’eglise de Gentilly depuis la Cité U photo préparatoire
exposition des travauxatelier de première année
maquette du videcarton plume surfacé noir
portion de la frisepapier coloré
Superposition de projets appartenant à leur époque respectives, le site de la cité offre au visiteur un enchaînement spatial inattendu. Notre coupe suit l’axe historique du site, de la gare du RER à l’église de Gentilly. Sorti du parc Montsouris, le regard est attiré par l’entrée de la Cité Univer-sitaire, ensemble réglé et symétrique. Suivant cet axe s’alignent plusieurs points de vues qui mettent en scène l’espace, le rendent monumental. Cette théâtralisation volontaire est cependant fracturée par un périphérique-accident qui prive Gentilly d’une possible interaction avec la Cité Universitaire et rend incohérent l’axe histo-rique. Pourtant, cet élément reste un acteur essentiel du paysage qui sert notre étude spatiale. Notre coupe se constitue donc en un parcours théâtral.La théâtralisation est longitudinale autour de l’axe marqué, créant une réelle symétrie et des effets de superposition de décors, retranscrits dans la frise. Elle est aussi transversale par la succession d’espaces caractérisés et plus ou moins dilatés. La perception du visiteur varie au fil de ce parcours, en fonction des di-verses impressions de vide retranscrites dans la maquette.
Intensif paysage
J’ai mis en rapport ici deux textes traitant tous deux d’une réalisation de Christian de Portzamparc dans la ville nouvelle d’Almere en Hollande : De Citadel. Ces deux textes ont été écrits dans deux cadres très différents : le cours d’anglais de première année à Belleville pour le premier; et le cours de géographie culturelle à l’université Paris IV un an au paravent. Mais la réflexion est la même : Qu’est-ce-que la ville aujourd’hui par rapport à la ville antique.
A part of the urban plan around this building has been draw by Rem Kool-haas. In a few words, it’s a small block of houses and shops. The piece of ground is divided in four by two streets, which are only for pedestrians. These streets are edged with shops and a shopping center fill an entire quarter of the ground. The top of these four masses are covered by grass. all around the piece of ground, there are a ring of houses, turned toward the inside of the block ( toward the grass) and protected from the look of others by the relief of the central garden. These houses are quite irregularly shaped, and their colors are also contrasted (yellow, blue, dark ochre..). Lastly, there is a little tower (six floors) in metal near the crossing of the streets. I think that the way Portzamparc treated it is ahead of its time. In my opinion, the future in architecture will be more and more about environment ques-tions and density questions. And Portzamparc treat here these two problems, even if the “density” solution is more, I think, successful. I will just talk about the density thought here. He decided to keep a human scale for his project, although the project was for a great number of people; Holland currently live ( and for many years now) a period of growth of the population and the ground (of the country) seems too small for everybody. The polders exists as a result of that for example. But Portzamparc get around the problem by associating three uses in one space (instead of building a huge tower) : there are inhabitants, merchants and walkers from the rest of the city (and car drivers under the ground). And this cohabitation is possible because of a division of the space which is very human; I mean with no sharp separation, a proximity between the different spaces but a respect of privacy ( thanks to the grass’ hill ). And the quality of life which results of this organization make me think about Greece in Antiquity. The shape of the building is like a theatre and people use it as a real public space, like an “agora”, with merchants and places to meet there.
Les villes ont été très tôt le siège de symboles forts pour les civilisations (Babel, Jérusalem, Alexandrie…) mais aussi le siège de la concentration des pou-voirs publics. L’espace public est avant tout urbain (l’agora d’Athènes, le forum à Rome…). Mais la modernité semble s’être attaqué à ces fonctions de la ville qui définissent la notion d’urbanité. Le XXème siècle est en effet riche de bouleverse-ments pour les villes occidentales dans la mesure où les conflits mondiaux ont pro-voqué la destruction de nombre d’entre elles et donc posé la question nécessaire de leur reconstruction. Mais aussi dans la mesure où l’exode rurale de la population s’accélère et que les industries ( de moins en moins nombreuses et pourvoyeuses d’emplois ) se délocalisent à l’extérieur des métropoles. La ville s’agrandit et doit occuper des espaces bombardés et détruits, ou en friches. Cela invite à se demander ; dans quelle mesure l’urbanité subsiste-t-elle dans le monde moderne ?
Le Mouvement Moderne s’est confronté à la ville et a engagé une forme de rationalisation et d’uniformisation des métropoles dans le monde.À l’inverse, Christian de Portzamparc a réalisé à Almere un « îlot mixte», c’est-à-dire un ensemble d’habitats et de commerces, résolument traditionnel dans sa conception de l’urbanité. C’est la représentation même d’un théâtre antique, d’un forum, d’une place de marché, ou d’un parc tout à la fois. Ce carré d’espace vert est l’espace public par excellence.
L’esprit de l’urbanité c’est-à-dire la ville comme carrefour d’échange et d’épanouissement individuel, la ville comme tribune politique, cette représentation de la ville est immuable.
maquette du projet De Citadelexposée à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine
photo aérienne de la construction réalisée en 2006partie du plan urbain déssiné par Rem Koolhaas
La ville et l’Antiquité
à travers l'exemple de De citadel
sacs de sable sur un chantier quai André Citroën
Ligne 5 du métro, partie aérienneentre Gare d’Austerlitz et Quai de la rapée
toits haussmaniensavenue Daumesnil
station Javel du RER Cmai 2007
Ce sont des photos prises dans le cadre de ma Prépa d’art en 2006-2007. L’atelier photo est celui qui m’a le plus intéressé durant cette année de cours du soir. J’ai développé pour ce travail une réflexion sur la ville de Paris qui s’inspire et qui illustre les photographies.
Multitude La foule de toits haussmanniens s’apparente à celle des sacs de sable, utilisés ici par le groupe Lafarge pour la fabrication du béton, entreposés sur le quai André Citroën. Ces immeubles haussmanniens de l’avenue Daumesnil ne sont pourtant plus à l’ordre du jour des constructions dans Paris. Ils ont été bâtis à la fin du 19ème siècle, mais ils sont un des symboles de la ville sans cesse agrandie et densifiée car malgré leur ancienneté, leur structure permet une densité très élevée. Haussmann les avait conçu en partie dans ce but car il voulait agrandir l’espace public (large voirie et grands espaces verts). Une forte densité ne sature pas l’espace habitable mais peut au contraire per-mettre l’air libre, le vide. Une question qui se pose alors: comment organiser cette densité au mieux? Organiser la densité, c’est aussi permettre que la multitude des habitants des villes soit une multitude diverse, de tout horizon social et économique. La ville ne doit pas être réservée à ceux qui ont suffisamment de revenus pour se payer un appartement haussmannien. Paris comptait 104 000 demandeurs de lo-gement sociaux en 2005 pendant que 12 000 logements sociaux seulement étaient construits en Ile-de-France alors que le schéma directeur fixait comme objectif 17 000. Or ces personnes à faibles revenus se dirigent vers la Grande Couronne et entraîne ainsi une dépense d’espace et d’énergie superflue.
Mouvement Ces moyens de transport qui dépensent de l’énergie et polluent beaucoup sont de plus en plus nombreux et étendus du fait de l’extension de la ville. Ils s’entremêlent et se déploient, grillageant notre champs de vision, imposant leurs fils électriques et leurs large structures industrielles. Mais ils sont nécessaires ; le mouvement caractérise la ville, son dynamisme. On est donc face à un problème, dont un élément de réponse pourrait être le tramway, moins polluant, et dont la ville de Paris s’est doté, avec une verte pelouse qui semble avoir pour utilité d’annoncer la couleur dès la sortie du périphérique : Paris, ville écologique. On pourrai en outre reconcentrer le tissu urbain, en dimi-nuant par exemple le nombre d’habitats individuels dans l’enceinte des grandes agglomérations. Il est par exemple surprenant de constater que 80% de l’habitat francilien est pavillonnaire.
Photos parisiennes
vue de la rue St-Jacques mai 2007
vue depuis le quai André Citroënmai 2007
vue depuis le quai André Citroënmai 2007
vue depuis l’avenue Daumesnilmai 2007
IntégrationLe silo (sans doute à ciment) ne montre que son reflet dans ce miroir courbe au bord des voies du RER C. Et la flèche d’une grue rue Saint-Jacques se fait discrète comme un parasol dans ce paysage urbain. Le chantier fait partie intégrante de la ville. Le fait qu’il n’y ait pas d’effet de profondeur dans mes photos n’est pas ano-din. Et même si la petite grue des beaux quartiers est plus dissimulée que le silo massif près des barres d’immeubles, ils font tout deux partie intégrante de la ville. Il faudrait donc intégrer ces changements sous peine de désintégration de la ville.
Superposition Tous ces phénomènes qui s’ajoutent sur un même espace entraîne une superpo-sition des différents types de bâtis ( habitations individuelles, barres d’immeubles collectifs, activités tertiaires, infrastructures de transport…) , des outils pour bâ-tir ( grillage, poutrelles, silo…) et des différents types de paysage où comme par exemple sur la Seine, l’air libre crée par le paysage naturel du fleuve tend à être recouvert par des ponts très nombreux (le dernier en date à Paris : la passerelle Simone de Beauvoir). Ces constructions sont comme des lego, assemblés dans le paysage urbain, créant un dialogue infiniment riche en temporalités ( ainsi sur la photo de l’avenue Daumesnil, le doré flamboyant du toit de cette clio neuve contraste avec le gris usé et accidenté du mur devant lequel elle file), en forme, en ligne, en couleur. Cette superposition forme cependant une grille, un enchevêtre-ment indémêlable. Ces grilles peuvent-elles devenir des barreaux ? Cet enchevê-trement doit-il nous oppresser ?
Photos parisiennes
Conclusion et restes
Ce portfolio est destiné à être complété tout au long de mes études et de mes expériences. C’est d’ailleurs en partie la raison pour
laquelle je l’ai relié avec des anneaux de fer amovibles. D’autre part, ma présentation générale réalisée sur le logiciel In Design pourra être réutilisée. Cependant, mon travail arrivé à ce stade de mes
études semble assez cohérent. Un interêt pour la ville, son analyse et son fonctionnement est assez récurrent, même dans mes projets
d’architecture de Première année. Par ailleurs, l’envie d’aborder de manière plus poussée la question de la construction est toujours
aussi forte, elle se matérialise par le choix du studio Paurd mais aussi par un manque dans mon portfolio.
Ainsi, j’ai choisi le studio Jullien au deuxième semestre car je crois qu’il regroupe ces deux interêt: la ville et la construction.
Il ne reste donc plus que les «restes», fragments de ville présentés sous forme de photographies réalisées durant ma prépa d’Art.
Metro Bastillereste personne
toit du funiculaire de Montmartrereste un nounours
ruelle du 18ème arrondissementreste H, O, T, et L
À 85 ansreste les femmes
Photos «Restes»Atelier photo de Prep’Art