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Pauwels offre des sauces délicieuses, des systèmes de pompes qualitatifs gratuits et un service impeccable et contactez notre représentant pour une visite via [email protected]. Profitez d’une promotion d’introduction 1+1 gratuit www.pauwels-sauces.com www.facebook.com/pauwels-sauces Les sauces Pauwels, un vrai régal ! BELGIE - BELGIQUE P.B. GENT X 3/220 AFGIFTEKANTOOR GENT X P 109308 LE MAGAZINE POUR LES FRITURISTES ET LES PROPRIETAIRES DE SNACK-BAR EDITEUR RESPONSABLE: RIK VYNCKE, AAN DE LINDE 1, 9030 MARIAKERKE NEO Paraît 5 fois par an • Administration: Aan De Linde 1 - 9030 Mariakerke • Afgiftekantoor GENT X 02 Friterie Kowzy 06 News 10 Special Sauces 14 News 17 Les Combi-deals 18 Friterie Danny 20 News 22 Friterie ‘t Smulhuisje 24 News 26 Partenaires Unafri SOMMAIRE Inscrivez-vous gratuitement au neo newsletter et lit le magazine digital www.snackblad.be SEPTEMBRE 2015 SPECIAL SAUCES

Neo editie september 2015

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Neo - Le magazine pour les frituristes en les proprietaires de snack bar - editon septembre 2015

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Pauwels offre des sauces délicieuses, des systèmes de pompes qualitatifs gratuits et un service impeccable

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Les sauces Pauwels,un vrai régal !

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BELGIE - BELGIQUE

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EDITEUR RESPONSABLE: RIK VYNCKE, AAN DE LINDE 1, 9030 MARIAKERKE

NEOParaît 5 fois par an • Administration: Aan De Linde 1 - 9030 Mariakerke • Afgiftekantoor GENT X

02 Friterie Kowzy

06 News

10 Special Sauces

14 News

17 Les Combi-deals

18 Friterie Danny

20 News

22 Friterie ‘t Smulhuisje

24 News

26 Partenaires Unafri

SOMMAIRE

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SEPTEMBRE 2015

SPECIALSAUCES

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www.snackblad.be

Quel été fantastique ! Au littoral, le secteur horeca peut en tout cas se réjouir d’une excellente saison, mais cela vaut sans aucun doute pour la totalité du secteur.

Pour la friterie du mois, nous nous sommes rendus dans une friterie accueillante située à Lichtervelde et dont le nom, «Kowzy», est très approprié. Les gérants de cet établissement voudraient ouvrir leur porte l’après-midi pour les amateurs d’une belle terrasse, d’une tasse de café, d’une crêpe, … probablement une bonne décision.Le mois de septembre nous apporte l’automne, mais on peut espérer qu’on aura droit à un été indien.En automne, nous publierons deux éditions.A côté des nombreux snacks présents dans les comptoirs, les friteries belges offrent une énorme gamme de sauces. Parmi elles, des sauces qui sont devenus les grands classiques. Certaines sont des sauces exotiques qui se sont intégrées en Belgique. Comment? Il faut savoir que la Belgique est un pays de sauces et les fabricants des sauces s’en sont servis. Certaines sauces existent depuis plus de quarante ans et ont été introduites quand les Belges commençaient à partir en congé et à découvrir le sud de l’Europe. En rentrant, ils voulaient imiter cette sensation des congés.

Cette édition contient les informations traditionnelles ‘Unafri, de l’union nationale des frituristes, et le formulaire d’inscription pour les médailles dans l’ordre du Cornet d’Or.Les nouveaux lauréats reçoivent leur médaille et attestation au mois de novembre à l’occasion du salon Horeca Expo.Cette dernière édition de l’année 2015, vous la recevrez début novembre. Entre-temps, nous vous souhaitons une excellente lecture de l’édition que vous tenez déjà en main.

Kowzy

Koen Exter et Saskia Vervaele ont tout à fait raison d’être fiers de la nouvelle frite-rie qu’ils ont créée dans un bâtiment

qui avait servi comme magasin de fruits et dont la surface offrait beaucoup de possibilités. En tout cas beaucoup plus de possibilités que la friterie que Koen avait à Koekelare.Dans cette autre friterie, ils vi-saient aussi la qualité et un service de qualité, mais ils ne pouvaient pas élargir leurs activités, ce qu’ils

voulaient absolument réaliser. Le fait que Lichtervelde se trouve à 20 km, ne posait aucun problème.En secret, le quartier attendait ap-paremment l’arrivée d’une friterie avec des places assises car l’af-fluence a été bonne dès le départ. Les 34 places assises à l’intérieur et les 34 places à l’extérieur sont fortement appréciées et, parfois, il manque même l’une ou l’autre place. Le nom de la friterie, Kowzy, a été déduit du mot anglais «cosy» et signifie «agréable». Et les clients jeunes et moins jeunes l’appré-cient énormément.

Un chaleureux bienvenuChaque client est la bienvenue et il le ressent dès qu’il entre d’un seul pied car il voit tout de suite un énorme «panneau de bienvenu» qui véhicule très bien ce message. Impossible de rater le message.Nombreux sont les clients qui viennent consommer sur place les frites délicieuses accompagnées d’un snack, un hamburger magni-fique ou un autre plat. Toujours dans une ambiance rurale et bon enfant. Les enfants se sentent im-médiatement à l’aise car il a été tenu compte de leur présence. Les enfants sont sans aucun doute un «facteur décisionnel» important quand les parents doivent choisir un établissement horeca. C’est un aspect qu’il ne faut pas sous-esti-mer. En tant que gérant, il ne faut jamais oublier que cette catégorie de clients est souvent détermi-nante pour le choix de l’établisse-ment.Tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, les clients les plus jeunes trouvent des «coins plaisir». A l’extérieur, on remarque tout de suite la construction dans laquelle les enfants s’amuseront sans aucun

doute. Mais même à l’intérieur, ils auront rapide-ment trouvé l’endroit spécial qui leur est dédié. Cet espace ne doit pas être énorme. Les en-fants n’ont pas besoin de choses spéciales, mais, pour les parents, ces quelques jouets signifie un moment de calme.

La grande affluence des familles avec des enfants jeunes est sans aucun doute liée à cet aménage-ment qui invite à s’y rendre avec les enfants. La popularité de la Smulbox, qui comprend aussi un jouet, en est un résultat direct. Les clients qui commandent ré-gulièrement une telle Smulbox, il existe une carte qui permet d’obtenir un jouet plus grand. Ces jouets sont exposés d’une façon originale dans une vitrine spé-ciale. Détail important: les jouets se trouvent à la bonne hauteur pour un enfant. Je peux m’imagi-ner qu’un enfant peut longtemps regarder les jouets avec de grands

yeux … et, en même temps, il pen-sera: si on revient encore quelque fois, je gagne la voiture ou la pou-pée. Une idée chouette.Ceux qui consomment sur place, se retrouvent dans l’espace vrai-ment agréable et ils ne sont nul-lement gênés par les clients qui attendent de pouvoir passer com-mande.Les clients prennent un couvert (en métal ou en plastique au choix), les verres, les serviettes, du tabasco .. et ils l’amènent quand ils s’assoient. Le tout est dispo-nible au dessous de la vitrine pour les jouets. Ils se servent au frigo pour les boissons.Afin d’encore rendre plus agréable l’attente, les gérants ont opté pour un système d’appel qui signale au client que sa commande est prête. Le client reçoit le bloc en question et il peut s’asseoir tranquillement.

Une ambiance agréable à Lichtervelde

Une ambiance agréable, les habitants de Lichtervelde la trouvent depuis le 8 mai dans une friterie fantastique de quartier. Cette friterie ne vise pas les chaussées et les clients de passage. Elle se trouve dans une rue plutôt tranquille et cet endroit reflète bien l’ambiance dans la friterie.

> R EG IE P U BL I CI TA IR E E T ED I T E U R

Rik VynckeAan de Linde 1 - B-9030 MariakerkeTél : + 32 (477)30 21 32Fax: + 32 (9)219 97 [email protected] - www.snackblad.be

> R EDAC T I O NCaroline BlyaertTél : + 32 (477)37 39 64 - Fax: + 32 (50)39 39 [email protected] Vromant (VV), Rik Vyncke (RV), Koen Vanderpoorten (KV)

Colofon Editiorial

Friterie du mois

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Prins Hendrikkade 1 NL-8801 JK Franeker Boîte Postale 518 NL-8800 AM FranekerTél. +31 (0)517 39 41 41 Fax +31 (0)517 39 71 78 www.levo.nl [email protected]

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Les clients qui souhaitent empor-ter leur commande, peuvent at-tendre de façon confortable. Les écrans qui présentent la gamme des produits et l’écran du télévi-seur sont une source de distrac-tion et les temps d’attente sont limités grâce à l’utilisation de ma-tériel de haute qualité.

Aménagement professionnel

Au niveau de l’aménagement de la friterie, rien n’a été laissé au ha-sard. Même si l’ancienne friterie à Koekelare était sans aucun doute une cuisine professionnelle, ils ont vraiment opté pour un maxi-mum de possibilités dans cette nouvelle infrastructure.Comme mentionné ci-avant, le grand avantage de cet établisse-ment réside dans l’énorme espace disponible qui permet de créer un établissement qui donne un senti-ment spacieux.L’expérience du passé a été utili-sée pour arriver à un aménage-ment optimal et à un confort op-timal pour les clients et pour tous ceux qui travaillent dans l’établis-sement.Sans la moindre hésitation, ils ont opté pour la friteuse au «système de transfert» bien connu entre-temps. C’est le système qui per-met une première cuisson de 10 kilos de frites en un seul temps. Pendant cette cuisson, qui prend environ sept minutes, on peut se concentrer sur les autres tâches préparatoires et de mise en place aussi nombreuses dans une frite-rie.La totalité de la zone de travail a été aménagée en utilisant des ma-tériaux et des appareils excellents. En tant que frituriste chevronné, on sait ce qu’il faut faire et ce qu’il

faut éviter. C’est le grand avantage quand on peut redémarrer dans un établissement flambant neuf. L’aménagement répond parfai-tement aux idées et visions des gérants qui ont été réalisées par-faitement.La zone des places assises est mu-nie d’un ameublement élégant qui permet de s’asseoir et de man-ger en tout confort. Tous les ma-tériaux peuvent être nettoyés et entretenus sans le moindre pro-blème. Les clients ont suffisam-ment de vie privée pour savourer leur repas.Les détails sont le piment dans le plat. Il a fallu un certain temps avant de trouver les accents adé-quats pour souligner la particula-rité de l’établissement. Pour finir, ils ont trouvé quelques objets merveilleux qui ont permis de «fi-naliser» le tout. Très chouette.L’aspect environnemental a égale-ment été pris en considération lors de l’aménagement car une partie de l’argent a été investi dans des projets qui réduisent la facture énergétiques et qui sont beaux en plus. Un exemple: les lampes LED intégrées dans les piliers.L’AFSCA avait été invitée aupara-vant à vérifier si toutes les normes en matière d’hygiène étaient res-pectées. Il s’est avéré qu’il n’y avait aucun problème. Feu vert sans la moindre restriction.

Le «succès des hamburgers»

A côté de la gamme traditionnelle de produits de friterie, on voulait, comme de nombreux autres fritu-ristes, offrir une série de hambur-gers de qualité. Le concept des «spuntini» est génial et la gamme est assez large. Pour l’instant, des hamburgers délicieux, entre

autres le «Bacon» et «Kowzy», sont offertes, mais cette gamme ne cessera pas de croître si on sait que la demande est énorme.Les clients apprécient fortement le produit final. Fini le petit pain trempé! Il faut du pain bien cuit et donc un peu plus croustillant, far-ci avec un hamburger délicieux, des sauces et des crudités adap-tées. Etant donné le grand succès et étant donné que chaque pro-duit demande sa propre finition, un endroit spécifique a été prévue dans la zone de travail et ne sert qu’à ce travail spécifique. C’est Saskia qui prend en charge cette mission.

Atouts supplémentaires

Il est clair que cet établissement a beaucoup d’atouts. Les clients y trouveront à tout moment une

qualité excellente et un service rapide dans un environnement hygiénique, confortable et ac-cueillant.Cet établissement est fermé le jeudi. De ce fait, ils ont lancé une action fortement appréciée. Le client qui achète du gyros, des boulettes en sauce tomate ou un autre plat fait maison, ne doit pas payer ses frites.Tous les nouveaux snacks ont la possibilité de convaincre la clien-tèle car certains clients veulent suivre les évolutions les plus ré-centes et il faut donc suivre les tendances les plus récents du marché.Une autre idée chouette: si le client hésite entre les différents snacks, on lui propose toujours la «brochette mélangée», une bro-chette à plusieurs snacks.Le système de distributeur de sauces peut également être consi-déré comme un atout. Ces bou-teilles munies d’un distributeur sont très pratiques, très faciles à utiliser et parfaitement hygié-niques.De nos jours, un réseau WIFI est devenu indispensable dans tout établissement dans lequel les clients passent un certain temps. Koen et Saskia l’ont bien compris. Pour une partie des clients, c’est un atout important.

Il est clair qu’avec l’ouverture de Kowzy, notre pays compte une autre friterie excellente. Une frite-rie avec une équipe parfaitement capable de la transformer dans un énorme succès.Le succès est préprogrammé et la réalité nous montre que les prévi-sions seront réalisées.Une visite chez Kowzy vaut donc certainement la peine. En été, vous pouvez vous y rendre tous les jours sauf les jeudis. En été, ils veulent également gâter les clients l’après-midi en leur pro-posant des crêpes et du café. La terrasse est l’endroit idéal pour la consommation de tous ces dé-lices. A la terrasse, les amateurs de frites rencontrent les amateurs de crêpes.En dehors des mois de juillet et d’août, les heures d’ouverture sont différentes mais elles sont parfaitement consultables sur la page Facebook de Kowzy.Nous voulons remercier Koen et Saskia de l’accueil dans leur éta-blissement et nous leur souhai-tons beaucoup de succès.

Kowzy Burg. Callewaertlaan 59 8810 Lichtervelde

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Nous entrons chez Frietshop Ozzy au 185, Rooigemlaan à Gand et

sommes chaleureusement accueillis par lesgérants Els Herremans et Jeroen Matthys.

L’ambiance familiale se fait immédiatement sentir et l’on sent que les hôtes mettent tout leur cœur à l’ouvrage.

Jeroen a derrière lui une belle carrière dans la restauration et a été chef cuisinier dans divers restaurants.

Mais il souhaitait quelque chose de plus, il voulait innover, et la création de Frietshop Ozzy fut la concrétisation de ses rêves.

L’énergie que dégage le couple s’exprime durant notre conversation à travers leurs idées sur le service,la distinction et les ambitions qu’ils nourrissent.

La combinaison idéale : Ozzy Burger et Seasoned Twisters Les Seasoned Twisters

génératrices de chiffre d’affaires

Els et Jeroen souhaitent surtout se distinguer : « Nous souhaitons que notre friterie ait la réputation d’être novatrice et se distingue de toutes les autres et c’est pour cette raison que nous avons opté pour un partenariat avec Lamb Weston. » La spécialité de la maison est l’Ozzy Burger. Il s’agit d’un hamburger de grande qualité combiné avec les frites Seasoned Twister de Lamb Weston.

« Une combinaison qui est également très appréciée de notre clientèle et la publicité de bouche à oreille fonctionne à merveille et fait augmenter les ventes semaine après semaine. Certains clients viennent même de très loin hors de Gand uniquement pour manger nos Twisters.

Nous avions au début choisi de ne proposer les Seasoned Twisters qu’avec un menu combo avec l’Ozzy Burger. Mais ces frites frisées et épicées ont suscité une telle demande que nous avons décidé de les proposer également séparément. Aujourd’hui, les clients n’hésitent pas à faire des kilomètres pour venir à Gand mangerdes Seasoned Twisters, » explique Jeroen.

Faites pour rester !Le succès des Seasoned Twisters a décidé Els et Jeroen de mettre définitivement ce produit à leur menu : « En proposant ce produit à nos clients, nous voulons lui leur offrir un service supplémentaire, une innovation qui nous permet aussi de nous distinguer et qui est de surcroît délicieuse. L’enveloppe épicée qui enrobe les Twisters frisées conserve plus longtemps la chaleur et la frite reste plus croustillante, ce qui est idéal pour notre service de plats à emporter. Nous sommes des fans des Seasoned Twisters, tout comme nos clients ! »

En termes de préparation, le produit est également idéal pour les périodes de grande activité : « Nous n’étions au début pas certains de pouvoir vendre ceproduit durant les heures de grande affluence. Il s’agit en effet d’un deuxième produit de la pomme de terre qu’il faut frire et qui peut, du fait de son enveloppeépicée, donner un goût à l’huile de friture. Mais là aussi, nous avons été agréablement surpris car aucun transfert de goût n’a lieu, en dépit de la chapelure épicée. Nous avons décidé de procéder à la cuisson dans le bac de friture des amuse-gueules et cela fonctionne à la perfection ! Nous nepouvons que le conseiller aux autres friteries : faites un test, laissez les clients y goûter et vous serez agréablement surpris par les Seasoned Twisters ! »

La décision de mettre les Twisters au menu s’est traduite pour Frietshop Ozzy par une augmentation générale du chiffre d’affaires. Mais qu’y a-t-il de si spécial dans ces Twisters ? Les Seasoned Twisters sont coupées dans une pomme de terre entière et leur forme frisée donne plus de portions par kg en comparaison avec les frites ordinaires. Un carton de 10 kg de Seasoned Twisters permet de faire en moyenne 50 portions, ce qui, en combinaison avec un petit supplément de 0,30 euro/portion par rapport aux frites ordinaires, débouche sur une augmentation significative du chiffre d’affaires.

« Le chiffre d’affaires est également stimulé, » poursuit Els, « dufait que les clients viennent spécialement chez Frietshop Ozzy pour manger des Seasoned Twisters, achetant égalementd’autres produits pour compléter leur repas. Une situation dont tout le monde sort gagnant. »

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NEWS10.000 entreprises continuent de donner des chèques-repas papierPlus de 10.000 entreprises belges ne sont toujours pas passées des chèques-repas pa-pier à la version électronique. Pourtant le temps est compté, puisqu’à partir du 30 sep-tembre la variante papier disparaîtra définiti-vement.

65.000 entreprises ont déjà migréCes derniers mois environ 65.000 entreprises ont déjà migré des chèques-repas papier vers la version électronique, suite à la décision du gouvernement fédéral de ne plus délivrer les chèques-repas que sous forme d’un verse-ment sur un compte spécial relié à une ‘carte

de paiement’ personnelle et ce à partir d’oc-tobre 2015.« Pourtant plus de 10.000 entreprises n’ont encore rien fait savoir. Ils devraient se hâter », avertissent les émetteurs de chèques-re-

pas Edenred et Monizze dans le journal Het Laatste Nieuws. « La conversion implique un travail supplémentaire pour les secrétariats sociaux. En octobre les employés risquent de se trouver devant une mauvaise surprise, si leurs employeurs tardent trop à faire leur demande. » En Belgique pas moins de 1,65 millions d’em-ployés bénéficient de chèques-repas. La con-version de la version papier vers la variante électronique permettra une économie de 94,1 millions d’euros par an.

Delhaize va vendre des ‘légumes moches’A partir de demain, la chaîne de su-permarchés Delhaize vendra des ‘lé-gumes moches’ dans seize de ses fi-liales. Une caissette de minimum 2,5 kg se vendra au prix de 3,99 euros.

Différence de prix allant jus-qu’à 30 pour centDelhaize prétend être le premier su-permarché proposant des légumes moches dans son assortiment. Ces lé-gumes ont une forme qui ne corres-pond pas aux normes standards et ne sont dès lors pas vendus en magasin, alors qu’ils sont parfaitement comes-tibles. Delhaize souhaite lutter ainsi contre ces quantités impressionnan-tes de nourriture qui sont perdus. « Delhaize lutte depuis des années contre le gaspillage alimentaire : non seulement en faisant don de ses invendus, mais aussi en proposant désormais à ses clients des légumes au calibre imparfait. Chaque année, c’est près d’1/3 de la production alimentaire qui ne serait pas cons-ommée », précise la chaîne dans un communiqué de presse. La caissette vendue chez Delhaize contient des légumes différents à chaque fois, dépendant de l’offre. La différence de prix avec les légu-mes dits normaux peut dépasser les 30 pour cent. On peut retrouver ces caissettes, entre autres, à Wilrijk, à Malines, à Tournai et dans plusieurs magasins à Bruxelles.

Le Pain Quotidien teste un concept végétarienD’ici peu la chaîne de boulangeries belge Le Pain Quotidien ouvrira son premier restaurant pour végétariens et végétaliens. Pour ne pas créer la confusion avec les autres établisse-ments du groupe , le nouveau con-cept opérera sous le nom Le Botaniste.

Un laboratoirePour l’instant le projet est enco-re en phase d’essai, mais l’objec-tif est de mettre sur pied un con-cept durable, où seront servis des plats composés uniquement de produits locaux et saisonniers. Les prix varieront entre 5 et 10 euros. « Considérez cela comme un labo-ratoire du groupe Le Pain Quotidien », explique le CEO Vincent Herbert. « Nous voulons y tester des choses et voir comment le consommateur réagit. Si les produits plaisent aux clients, nous pourrons facilement et rapidement les distribuer à l’interna-tional via nos magasins. »

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Metro Group renoue avec les bénéfices au 3ème trimestreDurant le 3ème trimestre de son exercice comptable en cours le grou-pe allemand Metro a réalisé un béné-fice de 115 millions d’euros, alors que l’an dernier le groupe essuyait encore une perte de 63 millions d’euros.

Baisse du CA suite aux effets de changeBien que Metro Group ait enregistré un bénéfice, son chiffre d’affaires est en recul de 1,4% à 14 milliards d’eu-ros. Le chiffre d’affaires à données comparables a lui aussi régressé de 0,4%. Toutefois cette baisse s’ex-plique par le fait que cette année Pâques est tombé tôt et que l’effet positif de cette période sur les ventes a donc été enregistré en grande par-tie au trimestre précédent. Chez Metro Cash & Carry le chiffre d’affaires a diminué de 1,3% à 7,45 milliards d’euros, alors que sur base comparable il est question d’une légère hausse de 0,1%. Ce chiffre d’affaires en baisse est dû avant tout à la faible position du rouble russe : en Europe de l’Est le chiffre d’affaires a chuté de 4,7% suite aux effets de change, alors qu’en devises locales il est question d’une hausse de 2,3%. Le chiffre d’affaires de Media-Sa-turn a progressé de 1,2% à 4,62 mil-liards d’euros, bien que la croissance sur base comparable se soit limitée à 0,2%. Grâce au focus sur les ventes en ligne, le chiffre d’affaires de ce seg-ment a bondi de 24% à 0,4 milliard d’euros. Quant à l’enseigne Real, son chiffre d’affaires a plongé de 9,4% à 5,94 milliards d’euros, suite à la cession des magasins en Europe de l’Est. Sur base comparable la baisse du chiffre d’affaires s’est limitée à 0,6%. Metro annonce également avoir ra-cheté Classic Fine Foods pour un montant de 290 millions de dollars (260 millions d’euros). Cette entre-prise asiatique fournit des produits alimentaires (produits laitiers, viande, pâtes et autres) à des restaurants et hôtels de catégorie supérieure.

Seul 1 commerçant sur 6 propose le paiement via smartphoneAujourd’hui le paiement électronique rapide et ‘sans contact’ via smartphone, avec ou sans code QR, n’est disponible que dans un commerce sur six en Flandre.

« Les clients ne sont pas demandeurs »Bien que le paiement via smartphone soit technologiquement parfaitement au point et bien que le nombre d’offreurs augmente, seul un commerçant sur six propose cette option. C’est que révèle une enquête récente de l’organisation des indépendants Unizo auprès de 359 de ses membres. Selon la moitié des répondants, les clients n’en sont pas demandeurs. Un cinquième des répondants disent être trop peu familiarisés avec le système, tandis qu’un dixième d’entre eux supposent que les frais par transaction seront élevés. Pourtant le paiement sans contact offre de nombreux avantages, notamment la rapidité du pai-ement et le facilité d’emploi. Unizo pour sa part estime qu’il « n’est pas toujours judicieux d’attendre de proposer une nouvelle offre jusqu’à ce que le client en soit demandeur », tout en admettant que « visiblement les mentalités doivent encore évoluer ».

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NEWSUn hamburger méga pour les géantsANvers -Entre-temps, les Géants qui ont visité Anvers au mois de juin, sont repartis en bateau, mais ils n’auront certainement pas faim. Pour le voyage de retour, le restaurant pour hamburgers De Burgerij leur a offert cet hamburger méga.Le succès de la visite des Géants à Anvers avait inspiré le gérant de l’établissement De burgerij situé au Bonapartedok, l’endroit où se trouvait le bateau des Géants: juste avant leur départ, il a décidé de préparer un hamburger gigantesque

pour les géants. Le défi principal consistait à trouver un “petit pain méga”, mais la boulange-rie gérée par Toon De Klerck était à l’appel avec une solution sur mesure.Ce “petit pain méga” a alors été préparé avec pas moins de 40 hamburgers. Au total, il a fallu 9 kilos de viande, 4 kilos de cornichons, 3 kilos de tomates, 2 kilos de salade, 5 kilos d’oig-nons et de la sauce barbecue. A la fin, il fallait bien être à deux pour soulever cet hamburger gigantesque.

Louis Tanghe est titulaire d’un diplôme universitaire, mais il ouvre une friterie dans Overleie, un des quartiers de Courtrai. Avec beaucoup d’enthousiasme, Louis, qui est origi-naire de Bellegem, nous raconte qu’il ne pouvait pas rater cette occasion. Le bâtiment, il l’avait déjà acheté pendant ses études.

L’année passée, Louis Tanghe (25) a décroché son diplôme d’économiste à la KU Leuven. Pendant ses études de sciences économiques appliquées, il avait déjà commencer à démanteler et rénover un bâtiment dans un état très délabré et situé dans le quartier dit Overleie. A ce moment-là, il n’au-rait pas encore imaginé que ce bâti-ment serait un jour le point de départ de son activité professionnelle.

Louis Tanghe nous dit: “J’habite Belle-gem, mais le hasard a fait que je me suis retrouvé dans ce beau quartier et plus particulièrement au Sint-Amandsplein.”“J’ai pu acheter le bâtiment en ques-tion à un prix réduit, mais il devait être rénové à fond, ce qui m’a pris presque deux ans. Entre-temps, j’avais termi-né mes études. Pendant les travaux, j’ai constaté qu’il n’y a plus aucune fri-terie dans ce quartier. En tant qu’éco-

nomiste, cela m’a fait réfléchir. J’ai donc décidé de demander une mo-dification de la fonction du bâtiment et j’ai effectivement reçu une autori-sation pour une friterie annexe mai-son. L’appartement situé au-dessus de la friterie est loué. L’élément-clé dans cette décision, c’était le fait que je ne voulais pas faire comme tous les diplômés de ma génération, c.-à-d. al-ler travailler dans un bureau. Non, je voulais prendre en main mon destin.”

De PetaterieL’année passé, Louis Tanghe est re-tourné à l’école car il n’est pas né dans ce métier. Son père a une société qui vend des pierres naturelles et sa mère accompagne des voyages.“J’ai suivi les cours de soir chez Syntra West pour devenir gérant de friterie. Jean-Marie Windels, le gérant d’une friterie connue dans la région, Lauws Gebak, donne ces cours et il m’a conseillé. Il ne s’agit pas de cuire des frites comme on le fait chez soi.

Economiste diplômé ouvre une friterie dans le quartier Overleie

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LA FRITERIE BEST-FRIT DE L’ANNEE 2015: PERRON 7 à HamLesley-Ann Poppe est venue couronner le lauréat limbourgeois

Un visiteur inopiné rentre dans la friterie Perron 7 à Ham: Lesley-Ann Poppe. Sa visite est une grande surprise pour les gérants de la friterie, Bert Willems et Kristel Quackels, car elle leur annonce que cet établissement a été sélecti-onné comme Friterie Best-Frit de l’année 2015. Le début d’une fameuse fête.

Le label de qualité Best-Frit organise chaque année l’élec-tion de la friterie Best-Frit de l’année. Les consommateurs peuvent alors voter dans les friteries même et en ligne. Le lauréat de cette année, Perron 7 à Ham, a emporté ce prix avec plus de 2000 voix uniques. La deuxième place a été décrochée par les gérants de la friterie De Bevoorrading à Ypres et la troisième place est pour ’t Penske à Neeroete-ren.Luc Geusens de chez Best-Frit s’en rend compte: «Le titre de friterie Best-Frit de l’année est fortement appré-cié. Etant donné que nos exigences qualitatives sont très élevées, l’obtention de notre label de qualité est déjà un grand défi pour les friteries. A l’instant, seules 175 frite-ries répondent à ces normes les plus sévères. Alors, le fait d’être sélectionné comme meilleure friterie parmi elles, constitue une vraie référence. Les deux lauréats précédents, Frietboetiek à Meeuwen (2014) et Frituur De Brug à Wijnegem (2013), peuvent en témoigner. Leur chiffre d’affaires a considérablement augmenté. Certains clients sont même venus de l’autre côté du pays. pour goûter cette qualité. Et ce sera identique chez Bert et Kristel.”

Les lauréatsLes lauréats, Bert et Kristel, étaient ravis d’entendre cette bonne nouvelle. Dans une première réaction, Bert nous disait: «C’est le résultat de notre travail dur pendant des années. Le fait que nos clients nous apprécient autant, ça fait énor-mément plaisir et c’est finalement le but de notre travail. Nos trois mots-clés n’ont pas changé depuis le premier jour: la qualité, la rapidité et le service. On les a toujours maintenus et on se rend plus que jamais compte qu’ils sont notre force. On espérait pouvoir emporter ce prix, mais on n’osait pas trop compter sur ce résultat. Nous allons à notre tour surprendre nos clients. Au mois de septembre, ils peuvent s’attendre à la surprise.»Leur établissement a obtenu plus de deux mille voix uniques de clients dans une commune qui compte à peine 10.000 habitants ! Un fameuse prestation. La friterie de l’année 2015 reçoit une trophée unique, un autocollant exclusif pour la vitrine et des produits de qualité pour une valeur de 300 euros. Les établissements qui ont emporté la deuxième et troisième place, reçoivent des produits pour une valeur de 200 respectivement 100 euros.

Des frites gratuites pendant une annéeLes consommateurs qui participaient, pouvaient également gagner quelque chose. Dans la version papier et dans la version électronique du formulaire, ils pouvaient indiquer les motifs pour lesquels ils préfèrent cette friterie. Yves Van Geel, un adepte de Perron 7 a écrit: «Les meilleures frites du coin! Ils sont toujours gentils! En plus, la friterie la plus propre que je connais! Et ils sont une équipe particulièrement rodée !»En tant que récompense pour la participation, un des milliers de participants peut, à partir du 31 juillet, pendant un an gratuitement manger des frites dans la friterie Best Frit de son choix. Le lauréat: Linda Vanthournout (Middelkerke). Sa friterie préférée: Frituur ’t Hoekske à Lombardsijde. Son avis: «Tout simplement les meilleures frites du village et les gérants sont particulièrement sympas.»Informations supplémentaires: www.bestfrit.be

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Crowdfunding pour la reconstruction d’une friterie belge à New YorkPommes Frites, une des rares frite-ries belges à New York, fait appel au crowdfunding pour trouver les moyens financiers requis pour sa re-construction. En mars 2015, le res-taurant a été détruit par un incendie ravageur.

Avant cet incendie, la société Pommes Frites était située dans le quartier dit East Village. Elle a entre-temps trouvé un nouveau site, mais ce dernier est plus cher. De ce fait, elle lance un ap-pel auprès de ces «fans» et elle leur de-mande de verser une contribution. Un jour plus tard, elle avait déjà remporté plus de 5000 dollars. L’objectif est ce-pendant beaucoup plus élevé: il leur faudrait 64000 dollars (ce qui équivaut à 58000 euros).

Typiquement belgeUne donation d’au moins 6 dollar donne droit à un paquet de frites ac-compagnées d’une sauce, le tout en automne, quand les gérants souhai-tent ouvrir les portes de leur nouvelle friterie.Certains aspects de Pommes Frites sont typiquement belges: les pommes de terre sont coupées à la main et elles sont cuites deux fois avant de les cons-ommer. A côté des sauces classiques, on essaie de séduire le consommateur américain en lui offrant d’autres com-binaisons telles que la sauce au ched-dar, la sauce au pesto ou la mayonnai-se aux champignons sauvages.

Nouveau gérant pour la friterie si-tuée dans la Water-manstraat à WingeTIELT-WINGE -Six mois après le déces de Dries Van Dael, le gérant popu-laire de la friterie Dries Frit, son éta-blissement est de nouveau ouvert. Jonas Smets veut continuer le travail de Dries. La friterie porte un nouveau nom, Frituur Smekke, mais les frites sont tout aussi bonnes.

Jonas raconte son histoire: “Je rêve depuis longtemps d’une propre frite-rie. J’ai connu le monde des friteries quand je travaillais comme chauffeur chez la société Dami, un fournisseur du secteur horeca. Ce qui m’a sur-tout plu, ce sont les contacts avec les clients. Mon meilleur ami, Nick, a une friterie à Louvain et j’étais souvent sur

place pour l’assister. Mon temps libre, je le passais quasiment à 100 % dans sa friterie. C’est là que j’ai été mordu. Ensemble avec ma compagne, j’ai commencé à chercher un bâti-ment adéquat pour réaliser mon rêve.”“Il y a quelques mois, nous sommes démé-nagés à Tielt-Winge et, de cette façon, nous avons pu trouver cet établissement. Koen Van Dyck et Dorina Delimon, les nouveaux propriétaires, étaient à la recherche d’un gé-rant pour la friterie. Une opportunité unique que je ne pouvais pas rater. Le matériel est quasiment neuf et l’établissement se trouve à un endroit idéal pour ce commerce. Ma

compagne me soutient et je lui suis vraiment reconnaissant qu’elle veut m’aider à réaliser mon grand rêve. “Je n’ai jamais connu Dries, mais j’ai entendu beaucoup d’histoires posi-tives sur lui, j’espère que les clients m’accep-teront comme nouveau gérant. Je ferai de mon mieux pour leur offrir de bonnes frites.”

Fête sur rouesLe weekend du samedi 4 et du dimanche 5 juillet était le weekend de l’ouverture offi-cielle chez Frituur Smekke. Ce weekend, la friterie était ouverte de 17 h à 23 h. Mais le lendemain, le lundi 6 juillet, un autre joyeux

évènement s’était annoncé: le passage du Tour de France. La friterie est située dans la Watermanstraat et donc le long du parcours du Tour de France 2015. Elle était évidem-ment ouverte. Jonas nous raconte: “Je suis vraiment heureux de cet évènement. Par le passé, je me suis déj) rendu en France pour assister à un passage du Tour de France. C’est une grande fête sur roues. Je remarque que la population parle vraiment beaucoup de ce passage du Tour. Ensemble avec bistrot De Plezante Hoek, on en a fait une belle fête avec un menu spécial pour le Tour.”

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N.V. ANDA S.A. | Laarstraat 43 | 3190 Boortmeerbeek-Belgium | T: +32 16 60 61 44 | [email protected] |

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Nos foires Horeca :I love horecaTour & Taxis Bruxelles 4 au 6 octobre 2015

Horeca showHalles des Foires de Liège 18 au 20 octobre 2015 stand 251

Horeca ExpoFlanders Expo Gent15 au 19 novembre 2015 stand 7326

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Spécial

La Belgique est le pays où les frite-ries et snackbars offrent la gamme la plus complète de sauces.Au départ, on offrait de la mayon-naise, de la moutarde, des pickles et – peut-être – aussi du ketchup, mais, au fil des années, cette si-tuation a fortement changé. Cer-taines friteries vous présentent des listes énormes des sauces of-fertes. Et même à l’heure actuelle, de nouvelles sauces arrivent sur le marché. Parfois, il s’agit d’une variante d’une sauce existante. De cette façon, les producteurs des sauces veulent continuer à se fo-caliser sur leur produit qui, à vrai dire, tout aussi important pour la friterie que les frites mêmes.Au départ, les friteries n’offraient que quelques sauces et, selon les souhaits du client, elles étaient “lancées” sur les frites ou non. “Lancer” était le terme correct, car les frituristes ne disposaient pas encore de distributeurs de

sauces pratiques et hygiéniques, de préférence refroidis comme c’est le cas actuellement. Non, les premières sauces se trouves dans des verres ou dans un récipient en plastic. Le frituriste se servait d’une cuillère en bois. Et cette cuillère, elle trainait peut-être plus qu’un jour dans ce pot? C’est vrai, il y avait beaucoup moins de règles en matière d’hygiène.Les gens ne réfléchissaient pas au fait que de nombreuses bac-téries se développaient quand on conservait et mangeait ces sauces.Les règles HACCP en matière de traitement sont strictes, même pour les sauces chaudes telles que la sauce aux carbonnades, une sauce très populaire. Par le passé, ces règles n’étaient pas toujours respectées ce qui a pu provoquer des plaintes de la part de clients qui, après avoir fréquenté la fri-terie, avaient été confrontés avec

des épreintes douloureuses ou avec une intoxication alimentaire.Entre-temps, chaque frituriste se rend compte de l’impor-tance d’une bonne hygiène, des contrôles et de la sécurité alimen-taire, ce qui est en tout cas une bonne chose.

Des masses, des masses Tout comme la gamme de snacks a pris son envol (à certains mo-ments, plusieurs nouveaux snacks étaient lancés lors de chaque salon professionnel du secteur horeca en Belgique), la même observation vaut pour les sauces. Les nouvelles sauces ont parfois été développées pour accompa-gner les nouveaux snacks. Il suffit de penser aux burgers qui sont populaires et qui sont commer-cialisés ensemble avec une sauce spéciale. Et l’idée de combiner une sauce spéciale avec un snack spécial plaît aux consommateur. Certaines sauces sont donc deve-nues très populaires.Cette gamme importante n’a pas facilité la vie des frituristes. La gamme offerte par tous les four-nisseurs différents est tellement grande que le frituriste est obligé de faire son choix et ce choix doit être réfléchi.Une sauce américaine ou anda-louse peut donc avoir un goût complètement différent dans deux friteries situées dans le même village. Il est intéressant de voir que certains clients vont

même choisir la friterie sur la base du goût de la sauce. La sauce est donc un produit que le frituriste ne peut pas négliger.De ce fait, beaucoup de friteries optent pour une gamme très large et ils sont fidèles à la marque qu’ils ont choisie.Cette politique est le résultat des habitudes de la clientèle. Le moindre changement dans la gamme de sauces sera très vite remarqué et les commentaires du client qui veut avoir voix au cha-pitre, seront durs.Certaines friteries optent donc pour plusieurs fournisseurs. Cer-taines sauces viennent d’un four-nisseur, d’autres sauces viennent d’un autre fournisseur. Les sauces spécifiques seront peut-être en-core fournis par un troisième fournisseur. L’aspect visuel sera peut-être moins beau quand on regarde toutes les sauces rangées dans la friterie mais bon … le client veut tout avoir et la présen-tation des différentes sauces sera le moindre de ses soucis.

Plus pratiqueBeaucoup de fournisseurs offrent heureusement des systèmes de distribution (dispensers) pra-tiques qui permettent de conser-ver et de servir les sauces de façon hygiénique.Je me souviens encore parfaite-ment du lancement du “bag-in-box”. Beaucoup de visiteurs des salons pour les professionnels du

secteur horeca doivent avoir pen-sé”: “Quelle drôle d’idée”, quand ils voyaient pour la première fois ces sacs en plastiques qui conte-naient de la mayonnaise et le bec qui devait être installé dans le système du distributeur. Il était vite clair que ce système était pra-tique et la qualité des systèmes ne cesse pas d’améliorer. En effet, les frituristes ont rapidement rem-placé les pots en plastic par ses systèmes modernes et beaucoup plus hygiéniques.Il existe aussi des fournisseurs de distributeurs qui n’ont aucun lien avec les producteurs des sauces et qui lancent des distributeurs qui prennent moins de place et qui sont refroidis afin d’encore mieux pouvoir garantir l’hygiène et la fraicheur de la sauce. Vrai-ment une évolution positive.Les clients étrangers sont sans au-cun doute étonnés quand ils sont confrontés à la gamme de sauces et ils ne savent probablement pas quelle sauce choisir. Mais le client belge le sait. Beaucoup de clients ne se limitent même pas à une sauce, mais ils combinent leur frites avec deux voire trois sauces différentes. Certains choisissent une combinaison d’une sauce chaude et d’une sauce froide. Je peux m’imaginer que les clients étrangers froncent les sourcils quand ils le voient, mais bon, est-ce grave? Non, pas du tout, car ce qui goûte bien, a le droit d’avoir un aspect bizarre…

Les belges et les sauces: la main dans la main

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La plupart de la gamme se com-pose de “sauces émulsionnées”. Les mayonnaises et les sauces spéciales sur la base de mayon-naise, le dressing et les sauces qui ressemblent à un dressing, font partie de cette catégorie.Un deuxième groupe de produits est constitué par les “sauces non émulsionnées”. Les vinaigrettes, la moutarde et le ketchup en font partie.

Un émulsion est un mélange de deux phases liquides non mis-cibles, p.ex. de l’huile et de l’eau. Elle se compose d’une phase hui-leuse et d’une phase aqueuse. Une émulsion comporte une phase continue et une phase dis-persée.

Il existe deux types d’émulsion• O/W = une émulsion du type

huile dans l’eau.• La phase huileuse est

finement répartie dans la phase aqueuse.

• Phase continue = de l’eau

• Phase dispersée = de l’huile

• Exemples: mayonnaise, crème et lait.

• W/O = une émulsion du type eau dans l’huile.• La phase aqueuse est fi-

nement répartie dans la phase huileuse.

• Phase continue = de l’huile

• Phase dispersée = de l’eau

• Exemples: beurre et margarine.

Une émulsion simple obtenue par le fait de mélanger de l’huile et de l’eau avec beaucoup d’énergie, n’est pas stable. Après un certain temps, le mélange se dissout et on voit à nouveau les deux phases initiales. La stabilisation du mé-lange est réalisée moyennant l’ajout d’émulsifiants.Un émulsifiant est une connexion qui contient une phase aqueuse et une phase huileuse. Il se trouve sur l’interface entre les deux phases qui font partie de l’émul-sion. En réduisant la tension à la surface, les particules d’huile ont moins vite tendance à se réunir. Selon la législation belge, une mayonnaise est une sauce émul-sionnée qui contient au moins 80 % de graisse et 7,5 % de jaune d’œuf. Elle doit en outre contenir

du vinaigre, de la moutarde, des épices et du sel.Le code européen stipule qu’une mayonnaise est une sauce émul-sionnée qui contient au moins 70 % d’huile et 5 % de jaune d’œuf. La France suit ce code. L’Angle-terre et toute une série de pays en dehors de l’Europe n’ont pas pré-vu des normes légales.Un dressing est une sauce émul-sionnée dans laquelle une partie de la phase huileuse est rempla-cée par une phase d’amidon et qui, selon la législation, ne peut pas être vendue comme mayon-naise. La phase d’amidon fait en sorte que la sauce obtient la consistance souhaitée.Les sauces qui peuvent être prises avec une cuillère sont les mayon-naises et les dressings auxquels on ajoute des aromates, des épices et des aromes.Exemples: Samurai, Andalouse, Tartare, Cocktail.Les sauces plus liquides sont comparables aux sauces qu’il faut prendre avec une cuillère, mais elles sont moins épaisses de par la réduction du taux d’huile ou d’amidon.Exemples: vinaigrette à la cibou-lette, vinaigrette au yaourt.

Sauces non émulsionnéesVinaigrettes à deux phasesCes produits se caractérisent par une séparation des deux phases, la phase huileuse (au dessus) et la phase aqueuse (en dessous) qui contient les épices.Exemples: moutarde à la vinai-grette, vinaigrette aux épices du jardin.

Ketchup( et produits similaires)Le ketchup est produit avec des tomates, des sucres, du vinaigre et du sel.Les épices (p.ex. le curry) peut lui donner son goût spécifique.

Produits avec peu de graisseLes produits avec peu de graisse contiennent au maximum 5 % d’huile.Exemples: sauce BBQ, sauce Loempia.

MoutardeLa moutarde est obtenue en mé-langeant du vinaigre avec des graines de moutarde écrasées.On y ajoute en plus du sel et des épices. La moutarde n’est pas pro-duite chez Vleminckx S.A., mais

elle est achetée chez un fournis-seur externe.

Informations générales sur le ketchupLe ketchup est produit avec une quantité importante de tomates dans leur forme concentrée et on y ajoute du sel, la sauge, le poivre, du vinaigre et du sucre qu’on uti-lise pour la production de confi-ture. Dans beaucoup de pays, le ketchup est la sauce la plus de-mandée pour accompagner les frites. Il s’agit de la sauce rouge la plus populaire au monde. Le nom “ketchup” est une altération du mot que les Chinois utilisent pour cette sauce: 'ke -tsjiap'. Il faut savoir qu’à l’origine, la sauce était produite en Chine et s’appelait ke-tsjiap. L’histoire du ketchup n’est pas encore très longue, sa poussée n’a commencée qu’après 1960. Le barbecue est une habi-tude culinaire que nous avons copiée aux Etats-Unis. La Suède, la Finlande et le Danemark sont les pays qui consomment la plus grande quantité de ketchup.Les sauces typiquement belges sont la mayonnaise et les sauces émulsionnées qui en dérivent, telles que les sauces cocktail, tar-

Les sauces en général

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Entreprise familiale qui dispose d’une nouvelle usine pour saucesEn 2016, la société Levo fêtera son centième anniversaire. Cette entreprise familiale est un grand succès et elle est bien gérée. Afin de pouvoir continuer sa croissance, la nouvelle usine pour sauces réalisée à Franeker a été lancée au mois de mars.

La société Levo est prête pour l’avenirAprès une période d’ajustements, la nouvelle usine pour sauces que la société Levo a réalisé à Franeker, fonctionne à plein régime. De ce fait, la société frisonne qui produit des huiles, des sauces et des margarines, a pu doubler sa capacité de production. Jurjen Rollingswier est donc un homme satisfait: «Nous sommes prêts pour l’avenir». Ensemble avec sa fille Birgit et son fils Simon, il prend en charge la direction de la société.Dans les dix dernières années, la société Levo a connu une croissance tumultueuse. Le tout a commencé avec l’introduction de l’huile de friture Grenada Gold qui répond à toutes les exigences de la campagne consacrée à la friture responsable. Cette huile aux caractéristiques spécifiques s’est avéré un grand succès et elle a convain-cu la restauration rapide, le secteur horeca et l’industrie. Cette croissance et la production de sauces a graduel-lement augmenté la pression sur la capacité. Une extension s’imposait. Sur un propre terrain, la société Levo a pu réaliser une nouvelle usine de 2.000 m². Simon Rollingswier nous raconte: «L’objectif était de produire mieux et d’augmenter l’efficacité. Pendant le développement des plans, nous nous sommes rendus compte qu’il fallait mieux en même temps remplacer la chaufferie et le local des conteneurs. Car une chose est claire: ce qu’on fait, on le fait bien. L’aspect principal est l’optimisation de la totalité du processus de production, entres autres grâce à l’automatisation. La nouvelle usine est plus spacieuse, ce qui permet une production simultanée de plusieurs articles. «De ce fait, le calme est retourné dans l’usine, ce qui est agréable pour tout le monde.»Le nouveau local des conteneurs héberge 15 conteneurs énormes d’une contenance de 40.000 l chacun qui servent pour le stockage de différents types d’huile. Une capacité de stockage et de traitement globale de 700.000 litres a été créée. Dans la nouvelle configuration de la zone de déchargement, chaque type d’huile dispose d’une pompe de déchargement individuelle. Notre réseau de conduites permet de transporter séparé-ment chaque type d’huile vers le local des conteneurs. Simon Rollingswier explique: «De ce fait, tout mélange est exclu. La traçabilité s’est donc améliorée.» La capacité supplémentaire élargit amplement les opportunités. On peut plus facilement répondre aux souhaits des clients, par exemple pour le développement d’une nou-velle huile de friture ou d’une nouvelle sauce avec une composition spéciale ou avec des ingrédients spéciaux. C’est la base de notre travail engagé dans lequel le client occupe une position centrale. Cette capacité de se distinguer des autres est appréciée.» La société Levo continuera à miser sur la qualité, la professionnalisation, l’innovation, le développement des produits et l’automatisation. La société veut lancer d’autres sauces. Avec la nouvelle usine de sauces, le nombre de salariés a augmenté. Entre-temps, la société Levo a 28 salariés. Et toute cette équipe travaille avec la même passion et avec le même engagement. Et nous en sommes fiers.»Si nécessaire, une extension ultérieure de la production est possible.

Les Sauces Pauwels propose un assorti-ment étendu de sauces savoureuses et qualitatives. Outre les classiques comme le ketchup, la mayonnaise et l’andalouse, Pauwels commercialise également une large gamme de sauces spéciales : Sauces Brasil, Hamburger, HOT Mammouth, Tar-tare De Luxe, Triple et Sauce Toscane. De-puis peu, Pauwels propose également des vinaigrettes et de la sauce moules en em-ballage très pratique de 2 litres. L’équipe

de développeurs de produits expérimen-tés élabore constamment de nouvelles recettes, en fonction des goûts et pré-férences des clients, produites selon les normes de qualité les plus strictes. Avec son expérience de longue date et sa philo-

Les Sauces Pauwels, votre partenaire idéal pour les sauces et les graisses à frire

tare, curry, andalouse, béarnaise et américain. Comparé aux sauces des Hollandais, les sauces belges sont plus acides, elles contiennent moins de sucre, mais souvent plus d’huile (80 % par rapport au taux de 70 % appliqué dans d’autres pays). Les sauces françaises sont par contre souvent plus acides et une caractéristique typique est le gout typique de la moutarde qui est utilisée dans un grand nombre de sauces. Notamment la mou-

tarde de Dijon est très populaire. Les Belges sont les principaux consommateurs de cette déli-cieuse sauce.Dans sa forme actuelle, la mou-tarde a environ 3.000 ans. D’autres informations sur la moutarde et les graines de moutarde re-montent même à il y a 6000 ans. Chaque pays a son propre type de moutarde. La “version primitive de la moutarde” était sans aucun doute une moutarde aux graines. Egalement appelée “moutarde à l’ancienne” d’ailleurs. Par après, chaque pays ou chaque région a développé son propre gout. En Belgique, on trouve surtout la moutarde plus forte à la di-

jonnaise, la moutarde forte et la moutarde pure. Les allemands préfèrent surtout une moutarde moyennement piquante (‘’mit-telscharfer Senf’’). La moutarde néerlandaise est douce et, à côté, il existe une version aux graines bien piquante. La cuisine origi-nale, notamment en Inde, se sert fréquemment de graines de mou-tarde et de l’huile de moutarde.

TendancesMême dans un petit pays comme la Belgique, on constate des diffé-rences régionales. Au Limbourg, on demande par exemple beau-coup plus souvent la version sucrée (“fritessaus”) au lieu de

la version salée (“mayonnaise). La sauce Samurai est de plus en plus demandée sur les snacks, le ketchup au curry et la sauce andalouse sont également très populaires. Les clients d’une fri-terie en Flandre occidentale qui commandent des frites avec la sauce curry ou tomagrec, ce sont fort probablement des anversois. Un public plus jeune a tendance à plutôt manger les sauces sucrées telles que la “smoelsaus”, tandis que les “belgian pickles” sont plutôt appréciées par les clients plus âgés. Il y a une tendance très claire qui va dans le sens des sauces plus sucrées ou, par contre, plus piquantes. Les sauces dont

le goût tombe un peu entre les deux, p.ex. la sauce cocktail ou la sauce frikandel, se vendent moins bien. A Bruxelles, la combinaison d’un pita bar et d’une friterie, est plus fréquente qu’en Flandre. Dans cette région, les sauces halal gagnent de plus en plus de ter-rain. Dans ce secteur, les sauces brasil et pili-pili sont très deman-dées à côté des grands classiques, la sauce andalouse, la sauce à l’ail et la sauce samurai. Les super-marchés offrent évidemment une gamme importante de sauce et on entend pourtant toujours dire que “la mayonnaise de la friterie a toujours un goût meilleur de celle à la maison”.

sophie d’innovation et d’amélioration constantes, Pauwels est le partenaire idéal pour les sauces.

Les systèmes de pompe et de dosage gratuits offrent un petit plus. Les systèmes pratiques, dont le BIB (Bag in Box) constituent une solution hygiénique et économique pour l’usage industriel. La perte de sauce est considérablement réduite et les déchets résiduels sont très limités. Les sauces sont disponibles dans différents conditionnements, des bouteilles de 1 litre aux seaux de 10 litres.

L’équipe expérimentée de représentants est garante d’un excellent service. Elle est étroitement impliquée auprès des clients finaux et se tient toujours à votre disposition pour soutenir vos ventes. Pauwels propose également du maté-riel promotionnel très divers pour soutenir la marque.

Outre un assortiment étendu de sauces, Pauwels produit également des vinaigrettes et des graisses de friture de qualité. Découvrez toute la gamme et profitez de promo-tions intéressantes. Envoyez un mail à [email protected] et demandez une visite, sans engagement, de notre représentant.

Les sauces de chez OliehoornSavoureuses et surtout aussi uniquesGrâce à la préparation tradition-nelle et grâce aux ingrédients na-turels, la société Oliehoorn réussit depuis plus de trente ans, à donner un caractère unique et savoureux à toutes ses sauces, huiles de friture et graisses de friture. Les sauces signées Oliehoorn permettent aux établissements horeca et aux frite-ries de se distinguer vis-à-vis de leur clientèle.

Un produit exclusif pour les établissements horeca et pour le commerce en gros correspondantLes sauces, les huiles (de consommation) et les graisses de friture sont préparées exclusivement pour les établissements horeca et pour les grossistes. Il est clair qu’en tant que gérant d’un restaurant, d’une frite-rie ou d’un snackbar, vous voulez offrir le top du top à votre clientèle.En utilisant des ingrédients de haute qualité et des recettes qui se dis-tinguent des recettes normales, nous faisons en sorte que vous pou-vez vous distinguer si vous achetez nos sauces, huiles et graisses.Grâce à la préparation minutieuse et unique, les sauces de chez Oliehoorn sont, depuis des années, vraiment appréciées par le consommateur.Les sauces les plus populaires sont la sauce pour frites, la sauce au curry, le ketchup aux tomates et la sauce à l’ail.

Vandemoortele FoodserviceLa société Vandemoortele Foodservice four-nit aussi une gamme importante de sauces: différents types de mayonnaise, ketchup, moutarde, sauce pour hamburger, sau-ce pour moules pour n’en énumérer que quelques-unes. Parmi les mayonnaise, il y a également une sauce pour frites très sucrée. La gamme contient aussi une sauce anda-louse, une vinaigrette à la ciboulette, une sauce cocktail et une sauce tartare spéciale. Les vinaigrettes sont très connues. La so-ciété existe depuis plus de 100 ans et, dans plusieurs domaines, elle occupe une posi-tion au top en Europe. A côté de vinaigret-tes, elle fournit aussi des huiles de friture. La particularité consiste dans le fait que beaucoup de produits sont également commercialisé dans des petites portions. Un autre aspect de la gamme sont toutes spécialités au niveau du pain, des donuts, viennoiseries et pâtisseries.

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NEWSA 10 h 30, un incendie s’est déclaré dans la friterie située au Sta-tionsplein à Lierde. Quand le gérant de la

friterie, Sven De Ville, voulait commencer à travailler, la graisse de friterie a pris feu. A l’aide des extincteurs et des couvertures an-ti-feu, il a essayé de contrôler le feu.

La friteuse qui était à l’origine de cet accident, avait à peine sept moisMarc De Ville, échevin du parti Open VLD à Lierde, nous raconte: «En essayant d’éteindre

le feu, mon fils Sven s’est blessé aux doigts. Les infirmiers du service 100 l’ont soigné sur place.»Depuis sept ans, Sven De Ville est le gérant de la friterie située en face de la gare. Il habite dans le bâtiment. Son père dit: «La friteuse qui est à l’origine de l’accident, avait à peine sept mois. Elle est donc tout à fait neuve. Mais on ne peut jamais exclure un accident. Sven est pourtant un vrai perfectionniste. Tout ce qui regarde la sécurité et les incendies doit être en ordre. A tout moment, il essaiera de garder le contrôle.

Rudi Kindekens, officier des pompiers du

poste de Brakel, explique: «Pour finir, les dé-gâts causés par l’incendie sont limités. La friteuse est évidemment endommagée et le compteur a également souffert. A notre arri-vée, nous avons utilisé les couvertures et les autres matériaux trouvés sur place pour cou-vrir l’incendie et ainsi couper l’apport d’oxy-gène. Le gérant avait fait de son mieux pour lutter l’incendie, mais il n’y avait pas réussi. L’incendie était sur le point de se propager vers les armoires de la friterie. Une interven-tion à l’eau nous a permis de l’éteindre rapi-dement.»

Etant donné qu’il s’agit d’une maison en

Après 29 ans, Sabine Vanham vend sa friterie

Malgré le fait que Sabine Vanham (57 ans) était devenue frituriste par hasard, elle est restée dans le métier pendant 29 ans. Pour des raisons de santé, elle a vendu sa friterie ‘t Lindeken située dans la Reibroekstraat à Wondelgem. La vente est venue plus vite que pré-vue, mais maintenant, elle espère pouvoir voyager en Mongolie.

Mon travail m’a donné beau-coup d’amisVanham raconte: «J’avais 28 ans et j’avais un fils quand ma belle-mère, en 1985, était à la recherche de deux filles qui voulaient gérer sa friterie De Frietkampioen, située à la gare de Wondelgem. J’aime bien les frites et, deux ans plus tard, j’avais également été mordue par la gestion d’une frite-rie. Je voulais le faire comme indépen-dante. C’est à ce moment-là que j’ai pu acheter Frituur Jeanine, située à la Kapellestraat à Evergem. Mon tout premier client était un homme qui habitait Belsele. Il est également venu manger des frites le dernier jour d’ou-verture. Ce jour-là, tout était à moitié prix. Seuls les clients fidèles ont pu profiter de cette dernière action car la fermeture de ma friterie n’avait pas été annoncée auparavant.»A cause de la construction d’un hall sportif communal, elle a dû déména-ger son établissement après dix ans. «On m’a offert un terrain en friche, mais j’ai opté pour le parking situé sur le coin de la Reibroekstraat. C’est devenu un coup de chance. Pendant 22 ans, ma friterie était ouvert jusque 23 h et ce 6 jours sur 7.»«Je ne voulais jamais décevoir mes nombreux clients mais, en novembre 2014, j’ai, pour la toute première fois, dû fermer pendant une semaine à cause de maladie. Les heures d’ouver-ture ont été réduites à quatre jours par semaine jusque 22 heures. Je ven-dais plus en semaine que pendant le weekend et, en plus, en soirée, j’avais peur dans ma friterie.» Et elle sou-ligne: «Comme je respectais toutes les règles, je n’ai jamais eu d’ennuis avec l’administration communale.

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Graisse de friterie provoque incendie dans la friterie ‘t Pleintjebande et étant donné que mon équipe ne compte que 12 pompiers, j’ai immédiatement demandé l’assis-tance des collègues à Audenarde qui ont envoyé une équipe supplémen-taire. Pour finir, le poste d’Audenarde n’a pas dû intervenir. Mes hommes ont assez vite réussi à contrôler le feu. Les dégâts provoqués par les fumées sont évidemment importants. En guise de conclusion, Rudi Kindekens nous dit: «On suppose qu’une sur-chauffe de la graisse de friterie a été à l’origine de cet incendie.»

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Pas de noms«J’ai toujours fait ce travail avec beaucoup de plaisir. Mes clients, je les connais depuis des années, même s’il faut pas me demander leur nom. J’ai toujours accueilli avec beaucoup de plaisir les nombreux gens de chez Den Dries, un institut pour personnes en situation d’handicap mental. J’ai connu l’évolution du secteur: au départ, on vendait des frites, de la mayonnaise ou du pickles et des carbonnades à la flamande, des boulettes et de fricadelles. La large gamme de suppléments et de sauces est venue plus tard. Mon travail m’a donné beaucoup d’amis.»«A cause d’une myopathie, j’ai d’abord vendu ma Harley Davidson. C’est avec beaucoup de tristesse que je dois arrêter le travail. Ma friterie était ma vie, mais je l’ai vendue à un couple qui habite Evergem, Peggy et Koen. Entre-temps, je suis en congé-maladie. Et maintenant, je veux surtout profiter de la nature. En plus, je voudrais voyager de Moscou à Pékin avec le Transsibérien. Une aventure pour laquelle je cherche une personne qui voudrait m’ac-compagner.

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Wim Ballieu ouvre un éta-blissement de boulettes dans le quartier chaud

C’est à Bruxelles que Wim Ballieu a ouvert une succursale de son res-taurant dédié aux boulettes, Balls & Glory. Si vous voulez manger des boulettes originales et artisanales, rendez-vous à la rue de Laeken. At-tention: vous n’avez que six mois de temps.

Un restaurant pop-up dédié aux boulettes. Expliquer ce concept à un étranger prendrait sans aucun doute plus de temps mais, en Flandre, le concept de Balls & Glory est déjà bien connu. Le menu se limite à un choix entre trois types de boulettes ac-compagnées de stoemp, à emporter ou à consommer sur place. La devise de Ballieu: «Slow food, fast served». Il commente: «Les frites et les ham-burgers, c’est la restauration rapide. Ils sont immédiatement prêts pour la consommation. Une vraie boulette doit par contre cuire au four pendant une demi-heure. Nous voulons servir le client en huit minutes de temps. Ce qui est possible grâce à notre menu très restreint. Le client doit avoir l’impression de rentrer chez sa mère branchée qui vient de sortir les bou-lettes du four.»

Friterie devient Eethuis AlexanderIl y aura à nouveau une friterie sur la Place du marché de Staden. Après 18 ans, Alexander Beernaert déménage sa friterie Alexander située dans la Diksmuidestraat et s’installe dans Café ‘t Paviljoentje situé sur la place du marché. Il a des plans am-bitieux et il veut revaloriser la friterie et en faire une mangerie qui s’appellera Eethuis Alexander.

Le moment idéal pour réaliser nos rêvesD’importants travaux de voirie commenceront cette année encore dans deux rues, la Statiestraat et la Diksmuidestraat, Alexander Beer-naert (39) et son épouse ont décidé qu’ils déménagent leur activité commerciale. Après 18 ans, Frituur Alexander ferme et déménage à la Place du marché. Dans un premier temps, Beernaert avait envisagé l’ouverture d’une friterie mobile. A la fin, il a décidé de réaliser son rêve. Le frituriste nous raconte: “Depuis quelques années, j’envisageais l’ouverture d’un établissement plus grand. Mon épouse originaire de Thaïlande, Pikul Laophian, aimerait gérer un établissement style bis-tro. Le moment idéal est venu; on va se lancer et réaliser notre rêve.”Pour ce faire, le couple a choisi un ancien café, ‘t Paviljoentje, situé à la place du marché de Staden. Ce bâtiment est à vendre depuis un certain temps. Par le passé, cette maison a déjà hébergé une friterie. “Etant donné que nous achetons ce bâtiment, il y aura un concurrent potentiel en moins. La place du marché est un endroit excellent pour notre initiative. Notre friterie actuelle fermera bientôt ses portes.

Les grilladesBeernaert a des plans ambitieux avec ‘t Paviljoentje. En été, il compte entièrement rénover et réaménager le bâtiment. Le nouvel établisse-ment Frituur/Eethuis Alexander aura soixante places assises à l’inté-rieur et une grande terrasse. Les enfants pourront s’amuser dans un coin aux jouets.La gamme sera également élargie. A côté des snacks traditionnels que sa friterie actuelle offre déjà, on pourra manger des grillades, du poisson et du steak. Les apéritifs et les vins seront ajoutés au menu. Une fois par mois, les recettes seront adaptées en fonction d’un sujet spécial. Il envisage, entre autres, une soirée Thaï et une soirée moules-frites. La reprise de cet établissement est le deuxième investissement important que Beernaert réalise en peu de temps. Il y a quelques an-nées, il avait crée la SPRL Family Foods qui regroupe huit friteries mo-biles et la friterie Alexander.

Alexander Beernaert dé-ménage sa friterie vers la Place du marché

Après huit ans dans leur fri-terie située à Oosterzele, Stijn Nuyts et John Meeus, tous les deux originaires de Zwalm, ont ouvert un nouvel établissement, un salon de

café et de thé qui s’appelle De Koffiemolen [Le mou-lin à café].

Stijn et John, des frituristes très connus à Oosterzele, se sont réalisés ce rêve à Munkzwalm et plus particu-lièrement à la Zuidlaan 137.John nous raconte: «C’est une idée que j’avais depuis vingt ans. Et on cherchait un nouveau défi. On habite ici depuis six ans et on a réaménagé le salon pour créer un salon de café et de thé.»Quand on entre, on voit tout de suite l’explication du nom de l’établissement: De Koffiemolen (Le moulin à café). Depuis des années, Stijn et John collectent des services pour café et thé, mais aussi tout type de cafe-tière et de machines à café.«Nos clients pourront dorénavant s’asseoir dans notre ancien living et sur notre vaste terrasse, qui offre une

vue panoramique sur la région du Zwalm. On voulait absolument créer la sensation living pour que tout le monde se sente un peu chez lui.Stijn et John connaissent bien le secteur horeca. Pen-dant des années, ils ont géré une friterie à Oosterzele, De Frietketel. Le café et le thé constitueront doréna-vant la base d’un menu varié.Stijn dit:» Nous offrons chaque jour un lunch. Les di-manches et jours fériés, il y a un brunch de 9 h à 11 h 30. Pour les gens qui souffrent d’intolérance aux gluten, nous avons des petits pains sans gluten, pour qu’ils puissent également profiter de notre brunch. Il est préférable que ce soit mentionné au moment de la réservation. En plus, nous offrons des petits pains, des crêpes, des salades, des glaces, des tartes artisanales, des biscuits et quelques suggestions particulières.»Le menu nous fait par exemple découvrir une «soupe fraiche de cresson au jambon sec italien» et les «joues en sauce aux orties, accompagnées de frites».John suggère: «Un autre atout est sans aucun doute notre grande terrasse pleine de couleurs où on peut vraiment se relaxer avec une tasse de café, une tasse de thé, …»

Les frituristes John et Stijn se lancent dans un nouveau défi

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NEWSLe Pain Quotidien réacquiert ‘ses’ 29 magasins belgesLa chaîne de boulangeries Le Pain Quotidien a racheté les droits de franchise sur ses 29 points de vente belges, actuellement aux mains de franchisés néerlandais.

Retour dans le giron belge après 25 ansBien que Le Pain Quoti-dien ait son siège princi-pal à New York, la chaîne d’origine bruxelloise est restée une société de droit belge, est dirigée par un Belge avec un actionna-riat belge. Néanmoins le groupe n’était pas proprié-taire des points de vente belges : ceux-ci étaient détenus par des franchisés néerlandais, qui à leur tour travaillaient avec des sous-franchisés. Désormais cette situation va donc changer : « Après 25 ans, les 29 magasins belges – dont le tout premier point de vente de la rue Dansaert à Bruxelles – reviennent dans notre giron », explique le CEO Vincent Herbert dans le journal De Tijd. « Il aurait été scandaleux de ne pas sauter sur notre propre marque. Imaginez que Starbucks par exemple aurait racheté les droits pour l’exploitation des magasins belges … » Pour les dix sous-franchisés cette opération n’impliquera pas de grands changements : dorénavant ils seront franchisés à part entière et conserveront la gestion totale de leur magasin.

« Quelques millions »Le montant déboursé par les actionnaires – parmi lesquels figurent notamment le CEO Vincent Her-bert, le fondateur Alain Coumont et Emiel Lathouwers (ex-A.S. Adventure) – pour le rachat des 29 magasins n’a pas été communiqué, mais le CEO indique qu’il s’agit de « quelques millions », mis sur table par les actionnaires eux-mêmes. A ce jour Le Pain Quotidien compte 232 points de vente dans 17 pays. La chaîne réalise un chiffre d’affaires de 375 millions d’euros et emploie 7.000 personnes. Le groupe envisage une expansion nationale, à raison de un à deux magasins par an, ainsi qu’une forte expansion à l’international.

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«Votre friterie doit partir. Non, excusez-nous, elle peut rester»Bonjour Kafka. Dans un premier temps, la région flamande avait communiqué aux gérants de deux friteries situées à Gand qu’ils devaient quitter leur em-placement. Dans un deuxième temps, il s’est avéré qu’il s’agissait d’un cas d’excès de zèle de la part du fonctionnaire fla-mand. Résultat: ils ne doivent plus partir. Un des gérants a néanmoins commencé à vendre son établissement et il est à la recherche d’un autre emplacement. Je n’ai heureusement pas encore vendu mon établissement, mais je me pose quand-même pas mal de question face à cette façon de travailler.Nedim Yamam de la friterie ’t Kubuske située dans la New Orleansstraat, nous dit: «J’avais déjà affiché des panneaux pour indiquer que mon commerce était à reprendre». Depuis 35 ans, ce com-merce attire les gens du quartier et les camionneurs. Jusqu’au moment, il y a quelques semaines, où il a reçu une lettre de la région flamande qu’il devait foutre le camp avant le 16 janvier. Il dit: «C’était plus ou moins le contenu de la lettre. Aucune motivation. Seulement l’information que la concession n’est pas prolongée. Cette friterie est ma vie. En plus, j’ai investi des montants impor-tants dans ce commerce.»

«Pas motivé»La concession dont Yamam parle, est octroyée par l’Administration Voies et Circulation, qui fait partie de la région flamande. Les commerces situés dans le domaine public, tels que les friteries iso-

lées, en ont besoin pour pouvoir exer-cer leur activité. A Gand, l’administra-tion flamande a délégué la gestion des concessions à la ville, mais elle continue à formuler des avis.A côté de ’t Kubuske, une autre friterie appelée Frituur Ekkergem a reçu la nou-velle que la concession ne serait plus prolongée. Au moins, c’était le cas, mais entre-temps, la situation a de nouveau changé. Sylvie Syryn, porte-parole de l’administration flamande, explique: «On revient sur notre décision initiale.«Une directive a été interprétée de fa-çon trop stricte. Cela n’aurait pas pu se faire ainsi. En plus, la décision n’est pas motivée. On demandera donc à la ville de prolonger les concessions.»

AlternativesLe gérant de chez ’t Kubuske est sou-lagé. «Heureusement que mon com-merce n’est pas encore vendu. Quelques personnes intéressées sont venues voire, mais une vente ne pouvait jamais donner un résultat adéquat. J’aurais dû vendre à un prix beaucoup trop bas, puisque l’activité ne pouvait pas conti-nuer ici».

Gagne-pain«L’administration communale me di-sait que je pouvais chercher un autre emplacement. Les alternatives ne sont cependant pas très nombreuses. J’étais vraiment bouleversé quand j’ai appris la nouvelle, mais je suis surtout satisfait que la situation a de nouveau changé.

Les combideals – ça marche! La preuve : une hausse du chiffre d’affaire

Pour leur dernier trimestre, Kraft et Heinz publient un CA en baisse

«Votre friterie doit partir. Non, excusez-nous, elle peut rester»

Depuis le début de cette année, l’accent est à nouveau mis sur les combideals. Un combideal incite les consom-mateurs à acheter une boisson avec un snack ou un repas grâce à une visualisation appétissante, que ce soit avec ou sans réduction de prix. Bien que les combideals soient loin d’être une nouveauté, ils sont tout mêmes d’actualité pour la nourriture. Coca-Cola Enteprises a entamé au printemps une étude démontrant l’effet des combideals. Alors que Coca-Cola investissait énormément dans le ma-tériel promotionnel, Lourens Boland, Associate Director Shopper Marketing chez Coca-Cola Enterprises a voulu savoir ce que cela rapportait, ce que cette visibilité avait comme impact sur le chiffre d’affaire d’un établissement et sur la consommation de boissons. L’étude s’est interes-sée à 11 établissements Horeca où la culture menu n’était pas ou très peu présente auparavant. Dans ces établisse-ments et en collaboration avec leurs gérants, Coca-Cola a pu améliorer la visibilité et la communication de la culture menu à l’aide de nouveaux tableaux de menus, d’écrans digitaux et grâce à la formation du personnel.Cette étude était composée de mesures ‘avant et après ‘ mais également de questions posées à 4200 clients.Les résultats sont clairs : après avoir introduit les combi-deals (visualisation d’un snack et d’une boisson) la valeur moyenne d’un ticket augmente de 35%. Et 19% de tickets en plus comprennent une boisson. Des chiffres impres-sionnants !

La tentation pousse la vente. Séduisez votre client dès son arrivée jusqu’à son achat.Il y a deux zones importantes : Zone extérieure : La présence de matériel publicitaire dans cette zone fait prendre conscience à votre client que des boissons fraîches sont disponibles et qu’elles peuvent être combinées avec un repasZone intérieure : La présence de matériel publicitaire dans cette zone séduit, informe et aide votre client à choisir.La plupart du temps, on préfère proposer un nombre li-mité de produits pour les combideals. Cependant l’étude démontre qu’il faut rester suffisamment flexible. Il faut offrir un choix suffisamment large pour les combideals afin que chaque client retourne chez lui satisfait ; peu im-porte qu’il/elle ait choisi une boisson gazeuse, une eau ou un jus de fruit avec son repas. Tenez également compte de votre propre objectif pour choisir le combideal idéal : désirez-vous accélérer le service pendant les heures de pointe, ou plutôt faire croître les ventes durant les mo-ments plus calmes ? Le moment de consommation est

aussi toujours intéressant, comme l’intégration d’un jus de fruit pour le petit-déjeuner.

Facteurs cruciaux pour le succès du combideal• Ne limitez pas votre choix. (de préférence tous les

snacks et toutes les boissons)• Offrez aussi un menudeal avec de l’eau (p.ex.

Chaudfontaine) aux clients qui n’aiment pas consom-mer une boisson gazeuse avec leur repas. (des études ont montré que la vente de p.ex. Chaudfontaine a augmenté de 9% dans les établissements étudié)

• Certaines études ont prouvé qu’il n’est pas forcément nécessaire de donner une réduction de prix alors que d’autres confirment le contraire. Lors d’une ristourne, celle-ci doit être de minimum 0.50 eurocent sinon il est préférable de ne pas l’afficher.

• Veillez à ce que les menudeals sont affichés à un en-droit bien visible, de préférence à hauteur des yeux et près du comptoir. Intégrez-les dans l’offre des snacks.

• Les combideals ont plus d’impact dans les établis-sements où il est possible de s’asseoir, mais fonc-tionnent également pour les restaurants de vente à emporter.

• Coachez vos employés pour qu’ils posent la ques-tion : « aimeriez-vous également quelque chose à boire » ?

• La plupart des clients considèrent cela comme une une question logique et positive. C’est un rappel ami-cal ; il n’est pas question d’insister.

• Selon l’étude, la consommation de boissons aug-menterait de 24% et le chiffre d’affaire de 28% lorsque cette question est posée.

Des tableaux de menus classiques ou des écrans digi-taux ?Selon l’étude, les écrans digitaux peuvent augmenter la valeur moyenne du ticket de 24%. Ils peuvent donc bel et bien constituer une plus-value, à condition de respecter quelques règles :• Améliorez la visibilité des écrans digitaux (en les pla-

çant à hauteur des yeux)• Intégrez les menudeals à l’écran (évenutellement

pivotant) et affichez-les sans interruption • Dans l’idéal, les écrans menu digitaux sont la seule

façon d’afficher les boissons et les repas, et les menus y sont intégrés de façon appétissante.

• Des images qui bouge de façon subtile peuvent at-tirer l’attention, mais évitez des mouvements trop rapides ou trop d’animations simultanément.

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BACON SAUCELes géants alimentaires américains Kraft et Heinz ont vu leur CA reculer durant le deuxième trimestre. Les deux groupes ont communiqué leurs résultats séparément pour la dernière fois, puisque depuis cet été ils forment l’entité fusionnée Kraft Heinz.

Chiffre d’affaires en baisse de 4 à 5%Au cours du deuxième trimestre Kraft Foods a enregistré un chiffre d’affaires de 4,5 milliards de dollars (plus de 4 milliards d’euros), soit une baisse de 5% par rapport à la même période un an plus tôt. De son côté le fabricant de ketchup et de soupes Heinz a vu son chiffre d’affaires chu-ter de 4% à 2,6 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros). Toutefois Kraft a clôturé son trimestre avec un bénéfice net de plus d’un demi-milliard de dollars grâce à des éco-nomies de coûts, alors que Heinz affiche une perte de

164 millions de dollars (notamment suite aux effets de change, car le bénéfice opérationnel par contre est en hausse). C’est la dernière fois que les deux entreprises publieront leurs résultats séparément. Rappelons que Kraft Foods a été racheté fin mars pour 10 milliards de dollars par Berkshire Hathaway, le véhicule d’investissement du mil-liardaire Warren Buffett, et la société de capital-risque brésilienne 3G Capital. Ces derniers ont fait fusionner Kraft avec le fabricant de ketchup Heinz, qu’ils avaient racheté il y a deux ans pour environ 28 milliards de dollars. Kraft Foods faisait partie du groupe mondial Kraft, qui en 2012 a été scindé en deux entreprises distinctes : Mondelez International et Kraft Foods (qui se focalise principalement sur l’Amérique du Nord).

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Friterie DannyNé pour le succès

Il adore les promotions, il adore le stock et il adore organiser des actions pour les clients de sa friterie. Danny exerce ce mé-tier depuis vingt ans et son éta-blissement qui porte son nom et qui est situé à Mariakerke près de Gand. Danny, enthou-siaste, nous dit: “Je suis très bien ici. Les chinois m’ont déjà fait une belle offre. Ils voulaient reprendre la friterie, mais, moi, je reste.”

Quand il était adolescent, Danny suivait des cours à l’école hôte-lière. Chaque semaine, il prenait son vélo pour aller chercher deux fricadelles dans une friterie du quartier. Un jour, quand il arrive, la gérante de la friterie ne savait plus quoi faire. Et Danny? Il a saisi cette opportunité. Danny nous ra-conte son histoire: “Un jour, la gé-rante me racontait que son mari était décédé suite à un accident. Elle avait d’énormes problèmes et elle m’a deman-

dé si je ne voulais pas l’aider, le weekend, etc. Ca fait longtemps, cette friterie s’appelait Frituur Dennis. Peu de temps après, elle est venue me dire qu’elle vou-lait céder la friterie. J’ai quitté l’école hôtelière et des gens que je connaissais ont repris la friterie à condition que je leur aide. En-suite, j’ai fait des stages dans des restaurants, etc. A un certain mo-ment, mon père me demandait si je ne voulais pas travailler comme couvreur dans la société pour laquelle il travaillait. Le patron de cette entreprise avait aussi une friterie. J’accepte et, un jour, mon patron me demande si je ne veux pas gérer la friterie pendant quelques soirées. C’est ainsi que je suis devenu le collaborateur préféré du patron. Je pouvais aussi utiliser sa Mercedes. Mais après un certain temps, cette so-ciété était faillite. Le patron vou-lait que je reprenne

la friterie car il était très satisfait de mon travail. C’est ainsi que je me suis retrouvé dans le monde des friteries. Plus tard, j’ai acheté une maison. Je l’ai regardée et elle me semble adéquate, tant pour le commerce que comme maison. J’y ai installé ma friterie. Réamé-nagement complet. Une grande partie du terrain est consacrée au jardin. Après quelques mois seulement, il s’est avéré que cette maison était beaucoup trop pe-tite. Les gens s’asseyaient même sur les rebords des fenêtres pour manger. J’ai fait construire une vé-randa et une terrasse.”

NEO: Quelle est ta clien-tèle? Est-elle surtout composée d’habitants de Mariakerke?Les trois quarts de mes clients sont des fidèles qui habitent Ma-riakerke, mais aussi les communes

avoisinantes comme Lo-vendegem, Bellem et Zomergem. Voire Ert-velde. Ces clients fidèles, je les connais tous. Dans beaucoup de cas, je sais où ils habitent. Dans 60 % des cas, je connais le nom. Eh oui, après 16 ans, ca va de soi. J’ai un excellent rapport avec mes clients.

NEO: Est-ce que tu prépares toi-même certains plats?Les brochettes et les cuisses de pou-let, je les prépare

tout comme les carbonnades flamandes, les boulettes en sauce tomate et le spaghetti. Je n’aime pas le congélateur. Quand tout est vendu, tout est vendu. Mais j’es-saie quand-même “les ruptures de stock” pour les produits frais. Beaucoup de clients emportent des quantités importantes, même le spaghetti.

NEO: Les travaux de trans-formation, tu les a réali-sées toi-même?Avec un entrepreneur. Au départ, je faisais tout moi-même, p.ex. re-peindre les murs et plafonds.

NEO: Fais-tu des choses spéciales pour améliorer l’ambiance dans ton établissement?Oui, j’ai une installation de mu-sique Sonos qui me permet de faire de la musique. Je peux donc par exemple faire entendre un “happy birthday”, quand un client fête son anniversaire. J’avais de l’éclairage, des spots avec un orgue lumineux, mais mon fils a mis sa main sur cette installation.

NEO: (grimace) D’accord, je vois. Dis, Danny, quels sont tes meilleurs jours?Les meilleurs jours de la semaine, ce sont les samedis et dimanches. Le lundi, on est fermé.

NEO: Est-ce que tu orga-nises des actions ou des évènements?Absolument, je participe à beau-coup d’actions organisées par Resto-frit (p.ex. l’action Fritkot) et par Best-frit (p.ex. la Semaine de la Frite). De ce fait, j’organise au moins huit actions par an. A l’occasion, je distribue des billets de loterie. Par achat de 10 euros, on reçoit un billet. Le 18e bil-let donne droit à une tirelire par exemple. Le 20e billet donne droit à un bon de 10 euros. J’ai même eu mes propres billets à gratter.

NEO: Quelle est la répar-tition des tâches dans la friterie?Mon épouse et moi, nous répar-tissons le travail au comptoir de la friterie. Je m’occupe des frites et mon épouse s’occupe des snacks.

Mais on prend parfois aussi des tâches de l’autre. Ma mère nous assiste surtout dans la cuisine. Elle prépare les spaghettis ou les brochettes. En semaine, une per-sonne vient nettoyer pendant deux à trois heures par jour.

NEO: Est-ce que tu t’oc-cupes toi-même des frites et des commandes?Ca dépend, on est une équipe bien rôdée. Dans la plupart du temps, je m’occupe du décompte. Une friterie demande beaucoup de travail. Notre journée de travail ne se termine qu’ une heure du matin.

NEO: Avez-vous le temps de prendre du congé?On est récemment parti en Tur-quie pour deux semaines. On est allé à Side. Il faisait très chaud.

NEO: Avez-vous des en-fants?Oui, deux enfants de 4 et 14 ans. On habite au dessus de la friterie

NEO: As-tu l’ambition de déménager et de redémar-rer avec une autre friterie?Non, je suis bien où je suis. Atten-tion: les chinois sont déjà venus avec une offre.

NEO: Vraiment? Ces chinois rentrent tout simplement et ils te font une offre?Absolument, je leur ai dit qu’ils peuvent peut-être revenir dans quinze ans. Les chinois rachètent beaucoup de commerces évidem-ment. Mais ma situation actuelle ne pourrait pas être meilleure. Je ne vends pas pour l’instant. Peut-être dans quinze ans. Tout dépend alors de la question si mes enfants veulent continuer le commerce.J’ai déjà essayé d’acheter le bâ-timent à côté afin de pouvoir agrandir ma friterie, mais leur prix est beaucoup trop élevée.

NEO: Quel est l’aspect le plus gai dans la gestion d’une friterie?Le fait d’être indépendant et d’avoir beaucoup de contacts so-ciaux, ce qui, à terme, te donne toute une série d’amis. Je suis toujours satisfait de pouvoir ou-vrir ma porte. Je pourrais ne pas

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la fermer car on me téléphone parfois quand la friterie est fermée, et on me supplie: “S’il te plaît, Danny!”.

NEO: Peux-tu raconter l’une ou l’autre anecdote positive ou négative que tu as vécue?Je pourrais en raconter autant. Parfois, je suis en quel que sorte l’assistant so-cial de mes clients. Ils m’ont déjà appe-lé pour venir réparer la télécommande chez eux. J’ai simplement installé d’autres batteries. Un jour, je suis allé chercher des capotes anglaises chez Blokker pour le petit ami d’une cliente. Mais je pourrais encore raconter beau-coup plus.

NEO: (en riant) Donc, en quelque sort, tu es l’assistant social du quartier?Absolument! Des anecdotes néga-tives? Non, en effet. Il y a peu de ba-garres grâce aux caméras. En général, les clients sont plus que satisfaits. Ceux qui auraient d’autres intentions, s’abs-tiennent quand ils voient la caméra. Quand on arrive, on prend un ticket et on peut s’installer dehors. Cela évite des discussions style: “J’étais premier. Ah non, moi, j’étais premier.”(Danny disparaît derrière son comp-toir et il réapparait avec un formulaire.) Regardez cela, Best Frit m’a donné un score de 99,2. Pas mal, non? Ce score est le résultat du contrôle qualitatif, p.ex. de la graisse, de l’étiquetage.

NEO: Très bien. Quelle graisse est-ce que tu utilises?Du blanc de bœuf doublement raffi-né. J’ai essayé la graisse de palme mais certains clients n’en voulaient pas sa-voir. Ils trouvaient que le goût des frites était différent. Après, j’avais quelques végétariens qui se plaignaient, mais je suis un homme honnête. Et ils sont res-tés fidèles

NEO: Combien de places as-sises offres-tu?Au total, ce sont 75 places: 43 à l’inté-rieur et 32 à l’extérieur. J’aime la profes-sion. La plupart de mes collègues s’ar-rête plus vite. Moi, ça fait 20 ans que je travaille comme frituriste !

NEO: As-tu encore du temps pour les loisirs, le sport?Non, le temps manque. Faire des courses, amener les enfants à l’école, parfois aller manger chez ma belle-mère, aller voir mon comptable. Il faut toujours faire quelque chose je adore aussi les promotion. Je ne laisse pas passer la moindre bonne occasion. Je suis même prêt à acheter 100 cartons si le compte est bon. C’est un premier bé-néfice que je fais, non? Dans un stock, 10.000 euros rapportent plus que sur un compte bancaire.

NEO: Mais comment arrives-tu à stocker tout cela?J’ai un garage à gauche et à droit. Je suis l’homme du stock. Toujours à la recherche. Si j’avais une dépendance A côté, je voulais réaliser une cave qui servirait à stocker les promotions. Mais on ne veut pas me donner de permis. Le propriétaire du bâtiment demandait d’ailleurs 300.000 euros. Et ce bâtiment doit être démoli. Trop, c’est trop.A Mariakerke près de Gand, tout le monde connait la friterie de Danny.Sa friterie est une des friteries gan-toises où on peut assister à une histoire d’amour entre les frites et ceux qui les mangent. Les frites que Danny sort de ses bacs, sont merveilleuses et l’inte-raction entre les frites et la sauce est splendide. La qualité des produits et le charme, la gentillesse et la serviabilité des gérants font en sorte que Frituur Danny est une étoile à Mariakerke !

NEWSLe Twin Beef de Quick, un burger aux deux caractères!Quick fait une nouvelle fois honneur à son slogan « Le goût d’en faire plus » en étant la seule à réunir deux goûts différents dans un même burger. En effet, le Twin Beef fera son retour le 25 août, agrémenté de 2 nouvelles sauces délicieuses.

Le burger aux deux caractèresDu 25 août au 26 octobre, le burger aux deux goûts dif-férents fera son retour dans les restaurants Quick. Le Twin Beef sera produit avec d’un côté la sauce tartare et son pain blanc couvert de sésame et pavot, et de l’autre une sauce aux tomates et fines herbes dans son pain classique. Alors, saurez-vous par quel côté commencer?(Solo: 4,85€ / Menu: 7,40€ / Maxi Menu: 8,00€).

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NEWS

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Le hotdogpizza de chez Pizza Hut sera finalement disponible aux Etats-Unis

Le 18 juin dernier, la société Pizza a lancé un nouveau produit dans ses 6300 filiales américaines: le hotdogpiz-za. La croute de la pizza contient en effet 28 mini-hot-dogs. Et les américains continuent à adorer les hotdogs.La société Pizza Hut essaie d’améliorer son chiffre d’af-faires qui est décevant à l’instant. Pour ce faire, elle compte sur l’effet hotdog, un aliment qui, de premiè-re vue, a peu en commun avec une pizza. Mais la som-me des deux icones imbattables de l’alimentation aux Etats-Unis doit leur procurer un plaisir plus que double et ainsi créer de la valeur ajoutée. La société Pizza Hut

veut au plus vite vendre environ 1,5 millions hotdogpizzas.Ce produit était déjà offert dans quelques pays asiatiques, au Royaume-Uni, en Thaïlande, en Australie, au Canada et au Moyen-Orient. Dans une première version du produit, la petite saucisse était intégrée dans la croute. La ver-sion commercialisée aux Etats-Unis aura cependant une série de 28 mini-hotdogs sous forme de bretzel qui, l’un à côté de l’autre, forment la croûte de la pizza.Le porte-parole de la société Pizza Hut, Doug Terfehr, dit: “Nos fans aux Etats-Unis l’attendaient depuis le lance-ment de ce produit ailleurs au monde. On voulait cependant trouver une solution qui répond aux attentes du consommateur américain. Cette solution est différente de celle appliquée ailleurs au monde et, à notre avis, elle répond vraiment à un besoin.” Si vous visitez les Etats-Unis dans un avenir proche, sachez que cette pizza vous coutera 11,99 dollars. ( snack – nieuws.nl )

Restaurant bruxellois prépare un hamburger à base de nouilles

Le restaurant Umamido qui ouvre sa quatrième suc-cursale à Bruxelles, lance un hamburger remarqua-ble. Son nom: le ramenburger étant donné que le petit pain est produit à base de nouilles japonaises appelées ramen.Aux Etats-Unis, le «ramenburger» est un phénomène connu depuis longtemps. Time Magazine l’a même appelé un des 17 hamburgers principaux. Le premier avril, Guy Quirynen de chez Umamido l’a intégré dans sa carte, au départ comme une blague. Le petit pain avait été remplacé par un mélange de ramen auquel s’ajoutent une tranche de viande faite maison, de la mayonnaise au wasabi et un œuf sur le plat. Les clie-nts ont fortement apprécié ce poisson d’avril et cette création sera donc temporairement intégrée dans les restaurants situées à Anvers et à Bruxelles.Les ramen sont des nouilles japonaises sur la base de fariné de blé et le bouillon est fait sur la base de vian-

de ou de poisson. La soupe peut être accompagnée de plusieurs éléments. Au Japon, ce produit est populaire depuis longtemps et il commence à conquérir les gran-des villes en Europe. Le restaurant Umamido, qui avait déjà 2 succursales à Anvers et 1 à Bruxelles, ouvre une deuxième succursale à Bruxelles. Cette nouvelle suc-cursale est située place Saint-Catherine et elle offrira le ramenburger. Il sera également vendu dans la succur-sale située à la Graaf van Egmontstraat à Anvers.www.umamido.be

Google veut investir dans des hamburgers végétaux

Le site internet «The Information» a publié cette nouvelle basée sur les informations en provenance de sources anonymes. La

société Impossible Foods se focalise sur les hamburgers qui sont durables et qui sont principalement composés d’ingrédients végé-taux. Selon ces sources, la société Google est prête à investir entre 200 et 300 millions d’euros dans cette société. Le site Apparata.nl communique que la société Impossible Foods retient insuffisante cette offre.On ignore si Google a l’intention d’augmenter son offre ou de sé-lectionner une autre société dont les ambitions sont similaires. Il faut savoir que Google n’est pas la seule société ayant manifesté son intérêt pour Impossible Foods. Bill Gates (Microsoft) apprécie, lui aussi, le travail de cette société qui veut pouvoir produire des hamburgers sans dépendre des produits animaux. La question se pose si, un jour, on pourra manger un hamburger durable dans un restaurant qui appartient à Microsoft ou à Google.

Augmentation salariale importante pour les salariés de la restauration rapide à New yorkUne bonne nouvelle pour les dizaines de milliers d’habitants de New York qui travaillent dans la restauration rapide. Ils auront droit à une augmentation salariale non négligeable car, d’ici 2018, le sa-laire horaire minimal augmente de 9 à 15 dollars. Et quand il pleut à New York, il bruine dans le reste des Etats-Unis.

La marque Lutosa reste dans les mains de Lutosa SAContrairement à ce qui a été publié ces derniers jours dans le cadre du rachat des activités de Findus en Europe continentale par le groupe Nomad Foods, Lutosa (2 usines en Belgique) et la marque Lutosa restent la proprié-té de Lutosa SA (membre du groupe McCain).

La société familiale belge, Lutosa SA de Leuze-en-Hainaut, a été rachetée en 2013 par le groupe familial canadien, McCain. Lors du rachat, McCain a été contraint, par les autorités européen-nes, de cesser les activités de commercialisation dans le secteur de la grande distribution (retail) de Lutosa en Europe.Ces activités représentent un peu moins de 2% du chiffre d’af-faires de Lutosa SA et furent vendues à Findus. Findus a reçu une licence exclusive pour utiliser la marque Lutosa dans le re-tail en Europe pendant 7 ans.Lutosa SA continue de commercialiser et développer la marque

Lutosa dans les autres segments de marché partout dans le monde.Les 2 usines belges et ses 800 collaborateurs ne sont en aucun cas impactés par ce rachat de Findus par Nomad Foods.

A propos de LutosaEntreprise belge dynamique, active dans la transformation de la pomme de terre depuis 1978, Lutosa occupe 800 collaborateurs et compte 2 unités de production, l'une à Leuze-en-Hainaut et l'autre à Sint-Eloois-Vijve. En 2014, 750.000 tonnes de pommes de terre ont été transformées en 400.000 tonnes de frites surgelées et réfrigérées, spécialités surgelées et flocons de pommes de terre déshydratés.

Depuis sa création, Lutosa a connu un développement exponentiel. Exportant 91% de sa production vers 125 pays à travers le monde, Lutosa se distingue par une marque forte, une approche commerciale basée sur la proximité, une technologie d’avant-garde et une gamme très diversifiée de produits, fabriqués selon des normes de qualité et d’hygiène les plus strictes.

22 NEO22 Snackblad

Délicieux snacks et frites chez’t Smulhuisje à Waarschoot

Avant de devenir une friterie, cette maison hébergeait un magasin de lingerie. Il y a onze ans, Danny, ancien traiteur ori-ginaire de Gentbrugge, et sa compagne Lucy, originaire de Waarschoot, ont transformé ce magasin en friterie. Un établissement qu’ils ont développé pour en faire une adresse connue par les «bonnes fourchettes» à Waarschoot et dans la région autour de Waar-schoot. Même si Danny est un peu in-troverti, il aime bien côtoyer les gens. Récemment, «Danny le calme, comme certains l’ap-pellent, mais a procédé à des travaux de réaménagement im-portants. Un portrait.

Danny est le gérant de la friterie. Au début, sa compagne Lucy l’ai-dait dans la friterie mais, entre-temps, elle travaille dans une maison de repos où sa fonction implique une responsabilité assez importante.

Danny a un salarié et, pendant les weekends et vacances, il fait ap-pel aux étudiants.

NEO: As-tu fait autre chose avant d’ouvrir la friterie?J’ai travaillé comme traiteur pen-dant 17 ans. J’ai suivi une for-mation de cuisinier ce qui me permet de préparer beaucoup moi-même: les carbonnades à la volaille, les boulettes en sauce to-mate, le goulasch, le vol-au-vent, les salades. On sert également des steaks et des plats à la carte. On est donc pas seulement une friterie nor-male. Nombreux sont d’ailleurs les clients qui emportent leur commande.

NEO: Tu travaillais comme traiteur? Pourquoi et com-ment changer? Quel était le motif?Eh bien, c’était à cause de mon divorce. J’ai arrêté mon activité de traiteur et, pendant quelques années, j’ai travaillé comme cuisi-nier. Mais j’ai toujours voulu redé-marrer comme indépendant.

Ensemble avec Lucy, je suis venu voir ce bâtiment qui, par le passé, avait hébergé un magasin de lin-gerie.

NEO: Un magasin de lingerieTout à fait. Je l’avais déjà remarqué. Quelques mois plus tard, je voyais qu’il était à vendre. J’ai dit à ma femme que ce serait un emplace-ment idéal vu le fait que Waarschot n’a pas beaucoup de friteries. Nous avons donc vraiment commen-cé à zéro. Toute la clientèle s’est construite avec le travail que nous avons investi.

NEO: Quand est-ce que vous avez commencé?Ca fait onze ans maintenant. Et quand on persiste pendant onze ans, je crois qu’on est lancé. Le cy-cle de vie d’une friterie n’est pas énorme. Je l’ai une fois lu, dans votre magasin, je crois. Ils sont nombreux à ne pas persévérer. Il est clair que ce métier demande beaucoup de travail.

NEO: Absolument. Il faut penser à tout et travailler du matin au soir, je sup-pose?

Oui, il y a toujours quelque chose à faire. L’après-midi est le seul moment auquel on a quelques heures de temps libre. On est fer-mé le jeudi et le dimanche à midi. Il faut aussi tout préparer. La mise en place doit être faite. On n’a pas beaucoup de temps, mais Lucy et moi passons un peu de temps ensemble le dimanche. Je ne suis plus très jeune. On a transformé certains aspects mais, si j’avais été plus jeune, j’aurais changé beau-coup plus. J’aurais par exemple installé une cuisine plus profes-sionnelle qui me permettrait de faire d’autres choses.

NEO: Quel âge as-tu, Danny?J’ai 56 ans.

NEO: (en riant) Allé, c’est quand même pas vieux ?Non, mais dans les usines, à 56 ans, ils discutent déjà leur pen-sion. Il y a deux ans, nous avons fait construire un appartement et, l’année passée, nous avons réno-vé la friterie.

NEO: C’était sans aucun doute une fameuse transition? As-tu dû fermer ta friterie?Non, on n’a pas fermé, mais les travaux étaient importants et ils demandaient un investissement important. Nous avons fortement amélioré la situation dans la par-tie privée. Auparavant, on avait juste un living, une chambre à coucher et une salle de bains. La cuisine manquait. Quand on avait des invités, on devait cuisiner en bas dans la friterie alors que les invités étaient au haut pas très agréable.

NEO: D'où vient la clientèle de la friterie?La plupart des clients habite Waarschoot. Comme beaucoup de friteries sont fermées le lun-di ou le mardi, les gens d’autres communes comme Sleidinge, Evergem et même Zomergem viennent chez nous en début

Avant renovation.

Après renovation.

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Le lendemain de leur mésaven-ture, le frituriste, Michael Rogiers (28) et sa compagne Anke Thijs (25) étaient de nouveau dans leur éta-blissement. Anke dit: «Même si je n’ai pas dormi une seule seconde.»

Vendredi soir, un homme de 24 ans, armé et déguisé, a essayé de bra-quer la friterie De Tril située dans la Halstraat. Le frituriste, Michael Rogiers (28 ans), l’a cependant bat-tu avec un bâton en bois. L’homme s’est rendu à l’hôpital où il a été ar-rêté par la police.Les faits se sont produits vendredi soir vers 19 h 30. Michael Rogiers qui gère la friterie ensemble avec sa compagne Anke Thijs, nous ex-plique: «L’affluence des clients était

en train de diminuer. Il y avait un seul client à l’intérieur. Personne n’était assis sur la terrasse du bistro à côté. L’auteur doit avoir été aux aguets. Tout d’un coup, il rentrait avec un bas de nylon sur sa tête et avec un pistolet d’alarme en main. Je dois dire que je me suis effrayé.»

L’homme obèse qui, vendredi soir juste après 19 h, rentrait dans la friterie, criait «Votre argent ou je tire». Le gérant, Michael Rogiers, a spontanément commencé à rire. L’homme s’était déguisé en mettant un bas de nylon et un casque rigolo sur sa tête. Il pointait son arme sur le gérant. Anke Thijs nous dit: «Je me trouvais dans la cuisine, mais je suis venue voir quand j’ai entendu tout ce bruit. J’ai alors vu l’homme et son pistolet. Comme Michael était en train de rire, je me suis mis à côté de lui. On n’avait pas du tout compris le sérieux de la situation. Je lui ai dit «calmes-toi» et j’ai trainé un peu en poussant sur plusieurs touches de la caisse. Ensuite, l’homme criait qu’il était pressé et qu’on devait lui don-

ner l’argent immédiatement.» Et Michael poursuit: «En criant, il nous menaçait en appuyant sur la gâ-chette de son pistolet. Mais comme ce pistolet n’était pas chargé, il se bloquait. Il ne faut vraiment pas être un expert en matière d’armes pour identifier une arme fausse.»

Un fameux coupLa gérante, Anke Thijs, commen-çait à se faire des soucis. «Après quelques secondes, j’avais compris qu’il ne s’agissait pas d’une blague. J’ai incité Michael à peut-être lui donner un peu d’argent.» Michael s’est effectivement approché de la caisse. «J’avais compris que cet homme voulait, malgré son com-portement maladroit, obtenir quelque chose. Mais j’avais heureu-sement un bâton qui se trouvait en dessous du comptoir. Il sert en effet à soutenir nos panneaux publici-taires en cas de vent. Je faisais sem-blant de vouloir prendre l’argent et j’ai soudainement sorti ce bâton pour lui frapper sur la tête.»

Toxicomane«Je l’ai heurté bien au milieu de son visage et il s’est immédiatement en-fui.» Le frituriste courageux n’a pas hésité et il a poursuivi le braqueur. Ce dernier se trouvait déjà de l’autre côté de la rue, il avait sauté un lit de fleurs et il s’était enfui dans la Europastraat. «Entre-temps, mon voisin était sorti et il criait que je devais abandonner. Il connaissait le gars en question qui habite un peu plus loin. C’est un type connu par tout le quartier et par la justice. Il est réputé comme toxicomane. Il est finalement bon que je n’ai pas continué ma poursuite. Qui sait si d’autres personnes m’attendaient dans l’une ou l’autre ruelle.»

ArrêtéA ce moment-là, Michael et Anke ignoraient que l’auteur des faits était grièvement blessé. «On a en-tendu qu’une voiture démarrait sur les chapeaux de roue. L’auteur s’est apparemment tout de suite rendu aux urgences de l’hôpital

Saint-François situé quelques rue plus loin. C’est à l’hôpital qu’il a été arrêté par la police.» Le samedi, l’homme en question a été présen-té au juge d’instruction à Hasselt qui a confirmé son arrestation.

Déjà la deuxième mésaventureAnke dit: «Notre établissement n’est ouvert que depuis deux mois. Nous avons ouvert notre porte le 17 avril, mais nous avons déjà été victime d’un vol et d’une tentative de cam-briolage. Il se peut que l’auteur des deux faits soit la même personne. L’empreinte de la chaussure sur la porte donnera peut-être le même résultat. Cette nuit, je n’ai en tout cas pas dormi une seule seconde.» Michael qui s’est comporté comme un héro, ne se laisse pas impressionner: «Mais la chose aurait aussi pu finir autrement. Par après, la police m’a dit que l’arme ne présentait aucun danger, mais je l’ignorais au mo-ment même.»

de semaine. Mais pendant les weekends, ils viennent aussi de plus loin.

NEO: Est-ce que tu remarques une diminution du nombre de snacks à cause de la crise?Non, je ne dirais pas. Bon, cer-tains jours, on a surtout des commandes plus petites. Le len-demain, l’image peut changer complètement. On ne peut pas dire qu’il s’agit d’un changement structurel. La fricandelle et la bou-lette restent d’ailleurs les snacks les plus vendus. Avec les bicky burgers.

NEO: Pas beaucoup de gens de passage?Ils doivent nous connaître. Et on ne fait quasiment aucune publi-cité.

NEO: Est-ce que la terrasse a été réalisée au moment du réaménagement?Non, la terrasse existait déjà.

Avant notre arrivée, c’était une partie du jardin. Mais au moment du réaménagement, on a couvert une partie et installé un système de chauffage extérieur.

NEO: L’aménagement, tu l’as fait toi-même ou as-tu travaillé avec une société?Non, on a opté pour des entre-preneurs séparés. Les tables et chaises, on les avait choisies dans le temps et les meubles n’ont qua-siment pas changé. On l’avait éla-boré il y a onze ans. Mais on a par exemple déménagé le coin où les enfants peuvent jouer..

NEO: Combien de places avez-vous dans la friterie?Environ 38 à l’intérieur et environ 20 à l’extérieur.

NEO: Quels sont les meil-leurs jours de la semaine?Vendredi et dimanche. Le samedi aussi, mais à un niveau légère-ment inférieur. Nous n’avons pas une action spéciale. Pendant un

certain temps, on a travaillé avec la carte Bicky, mais on a arrêté. At-tention, il y a beaucoup de gens qui y participaient. Pour l’instant, on n’offre aucune action spéciale.

NEO: Comment est-ce que le travail est réparti?Je cuis les frites et fais les portions de frites. Mon collègue prend les commandes, prépare les snacks et emballe. Une commande à consommer sur place est com-mandée au comptoir. Les gens peuvent prendre leur boisson et s’asseoir à une des tables. Nous leur apportons les frites. Mon col-lègue s’occupe aussi de la caisse et du décompte.

NEO: (en riant) On ne sait pas faire tout soi-même, n’est-ce pas?Pour être à l’aise, il faut être à trois, mais le personnel coute cher et il doit être rentabilisé. S’il y a 20 clients et si on prévoit 2 à 3 minutes par client, le 20e client doit attendre pendant une petite heure. Mais c’est le cas dans beau-coup de friteries. Le client peut s’asseoir entre-temps et boire quelque chose. Les frites et les snacks suivent.

NEO: La qualité et le ser-vice sont à l’appel chez vous, tout comme l’hy-giène. Quelles sont les frites que vous avez sélec-tionnées?Dès le départ, on sert les frites de la société Vanderhaegen Pota-toes. On prend toujours la bintje et une découpe de 10 mm. Notre paroi de cuisson vient de chez Kiremko et on est très satisfait. Les menus numériques viennent de chez Crazy, nous avons ache-té les écrans et les informations viennent de chez Crazy, mais on

peut les adapter nous-mêmes évi-demment. Ce système offre une multitude de possibilités, mais il faut y arriver. Pour moi, ces pro-grammes sont trop compliqués. Maintenant, cela fonctionne à merveille. Il faut aussi dire que le support téléphonique est bon.

NEO: Chez Martine?Tout à fait et c’est bien pratique. Ils disposent aussi d’un programme d’entretien pour que la mise en page soit automatiquement adaptée x fois par an.

NEO: Avez-vous des en-fants?Une fille de 19 ans et un fils de 24 ans qui a déjà quitté la maison.

NEO: Avez-vous le temps de partir en vacances?Pas de long voyage cette année, mais un city trip à Barcelone etc. et peut-être encore une semaine au mois d’octobre. Mais sinon, on part vraiment en congé, par exemple une semaine en Turquie.

NEO: Pour le repos total?Oui et, en hiver, j’aime bien le ski. J’ai été mordu par cette microbe. Mon épouse m’accompagne même si elle n’aime pas skier. Il y a quatre ans, je me suis cassé la hanche. J’avais toujours skié sans le moindre accident.

NEO: Comment as-tu réso-lu ce problème?Mon fils travaillait dans un restau-rant et il a convenu avec son pa-tron que, pendant cette période difficile, il s’occuperait de la frite-rie. Et on a juste ouvert pendant les weekends. J’était content de ne pas devoir fermer complète-ment. Un accident de ski (pense aux risques). Mais bon, on peut aussi sortir de chez soi et être tué sur le trottoir de sa propre maison.

NEO: Chez vrai. Quel est l’aspect le plus agréable de la gestion d’une friterie? Je suis assez introverti. Certains disent qu’ils vont aller manger des frites chez ‘Danny le calme». Mais j’aime bien côtoyer les gens. Quand j’étais encore traiteur, j’aimais aussi le contact avec les gens. En tant qui cuisinier dans une cuisine, je n’avais plus aucun contact avec la clientèle, mais, quand l’occasion se présentait, j’allais aussi aider dans le magasin.

NEO: As-tu des anecdotes spéciales qui se sont pas-sées dans ta friterie?(Réfléchit) A deux reprises, un client est tombé dans les pommes. Un moment de peur quand-même. On a dû appeler l’ambulance.

NEO: Est-ce que la «caisse blanche» aura un impact?La demande est faite, fin sep-tembre, elle devrait être instal-lée. Pour nous, ça ne change pas grand-chose par contre. Déjà maintenant, on enregistre tout.

NEO: Est-ce que tu visites des salons dédiés aux fritu-ristes?Dans la plupart des cas, je visite le salon Horeca Expo à Gand, parfois aussi le salon Crazy. Mais les sa-lons sont organisés le lundi, mardi et mercredi et je devrais alors fer-mer ma porte. La paroi de cuisson ne se remplace tout de même pas chaque année. Mais si un système de lift serait bien pratique, notam-ment quand on voit la quantité de frites qu’on soulève chaque année. Une telle paroi équipée d’un lift me paraît trop chère. On a investi beaucoup dans les appar-tements et dans la rénovation de notre établissement. On ne peut pas avoir tout.

NEWSUN FRITURISTE BAT UN VOLEUR AVEC UN BATON EN BOIS

Voleur blessé arrêté aux urgences

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NEWSC’est normal que le deuxième mois de salaire garanti soit rejetéLe gouvernement fédéral a définitivement rejeté la proposition d’élargissement à deux mois du salaire garanti, salaire que les em-ployeurs doivent verser à leurs travailleurs en cas de maladie. Normalement, cette me-sure devait entrer en vigueur au 1er  janvier 2016, mais ce ne sera finalement pas le cas.Il s’agit d’une décision très raisonnable. Les employeurs étaient furieux lorsqu’ils ont eu connaissance de cette décision d’élargir le salaire garanti. De plus, cette mesure aurait conduit à moins d’engagements, selon une étude de l’organisation des entrepreneurs in-dépendants. Un gouvernement qui mise tout sur la création d’emploi ne pouvait que reje-ter cette mesure.

À l’heure actuelle, les employeurs paient le premier mois de maladie de leurs employés et les deux premières semaines de leurs ouvriers (100 pourcent durant les sept premiers jours et 85,88 pourcent durant les sept jours suivants). Pour ces derniers, les deux semaines suivan-tes sont prises en charge tant par l’employeur que par l’assurance maladie. Le gouvernement Michel avait, à l’origine, décidé d’élargir le sa-laire garanti à deux mois à partir du 1er janvier 2016, tant pour les employés que pour les ou-vriers. On avait estimé que cette mesure coûte-rait 1 milliard d’euro par an aux employeurs. Le gouvernement est maintenant revenu sur sa décision et n’élargira pas le salaire garanti à deux mois.

Caméras sur le lieu de travail: +85% en 1 an

Année Nombre de demandes

2007 55

2008 181

2009 320

2010 856

2011 520

2012 472

2013 643

2014 1194

L’an dernier, 1.194 déclarations pour le placement de caméras sur le lieu de travail ont été faites, soit 85 pourcent en plus qu’en 2013 qui comptait 643 demandes. C’est le nombre le plus élevé de déclarations jamais enregistré constate le SNI sur base des chiffres publiés par la Commission vie privée. Avec ces caméras, les employeurs tentent de faire diminuer le nombre de vols en interne. Ces deux dernières années, 53 pourcent des entreprises ont été victimes de vols commis par le personnel, selon une enquête réalisée par le SNI en mars de cette année. De plus, les images capturées par les caméras sont pratiques pour empêcher les discussions inutiles lors d’un licenciement. Maintenant que les licenciements doivent être motivés et vu la loi anti-harcèlement plus stricte, cela peut s’avérer pratique.

En 2014, la Commission vie privée a reçu 1194 demandes d’en-treprises pour placer des caméras sur le lieu de travail. Cela repré-sente 85 pourcent en plus qu’en 2013, selon l’analyse du SNI. En

2013 aussi, le nombre de déclarations avait ‘explosé’ de 36 pour-cent mais 2014 a encore fait beaucoup mieux. Même plus, il n’y a jamais eu autant de déclarations introduites que l’an dernier. La présidente du SNI, Christine Mattheeuws : « L’augmentation spectaculaire de l’utilisation de caméras sur le lieu de travail n’est pas étonnante. D’une enquête que nous avons réalisée, il ressort que près de la moitié des entreprises ont été victimes de vols par des membres du personnel ces deux dernières années ». Le vol commis par le personnel représente environ 40 pourcent de tous les vols dont sont victimes les entreprises. En comparaison : le vol à l’étalage par les clients représente environ 50 pourcent des vols. Le reste provient de vols commis par des personnes externes tels que les fournisseurs, et de fautes administratives. Le vol par le personnel est souvent un problème sous-estimé. Pourtant, le dommage est facilement 10 à 14 fois plus élevé qu’un vol à l’éta-lage commis par un client surtout parce que les vols commis par les membres du personnel peuvent s’étaler sur une plus longue période. Le butin moyen d’un vol à l’étalage commis par un client s’élève à environ 100 euros, tandis que le butin d’un vol commis par le personnel peut facilement s’élever à 1.300 euros.En plus de permettre de détecter les vols internes, les caméras peuvent également aider à motiver certains licenciements. Ce facteur est important puisque maintenant, tous les licenciements doivent être motivés. Il y a également la loi anti-harcèlement qui a été adaptée, au bénéfice du travailleur, qui joue un rôle. Si les ima-ges démontrent clairement qu’un travailleur s’est mal comporté ou a harcelé un autre collègue, de longues discussions et autres stupides petits jeux seront inutiles.

Mypension.be : c’est une bonne chose que ce site soit désor-mais accessible pour les indépendants

Le SNI est enthousiaste que le site pension du gouverne-ment fédéral Mypension.be soit désormais accessible pour les indépendants. Au cours des an-nées, ce sont les indépendants qui ont le plus de questions sur leur pension et ce ne sont pas seulement les travailleurs âgés de plus de 60 ans qui posent ces questions. Il existe d’ailleurs pas mal de malentendus concer-nant le montant de la pension. Nombreux sont les indépen-dants qui pensent qu’ils rece-vront au minimum la pension minimale, alors que ce n’est pas le cas. Grâce à MyPension.be, les indépendants pourront vérifier quand ils pourront prendre leur pension et le montant de pen-sion qu’ils pourront percevoir. « Ces simulations sont intéres-santes, surtout maintenant que tout le monde devra travailler plus longtemps », explique Christine Mattheeuws, prési-

dente du SNI. Les indépendants pourront directement voir ce que ça leur rapporte de travail-ler plus longtemps. S’ils consta-tent que le fait de travailler plus longtemps augmentera leur pension, ils seront plus motivés de le faire réellement.La pension est une problé-matique qui occupe fort les indépendants. De plus, la con-fusion règne concernant leur pension. Nombreux sont les indépendants qui pensent qu’ils recevront au minimum la pension minimale des indépen-dants (environ 1070 euros par mois). Mais en réalité, ils de-vront prouver 45 ans de carrière

pour obtenir cette pension. Un indépendant qui a une carrière d’au moins deux tiers (30/45) aura droit à un montant équiva-lent à sa carrière d’indépendant. Un indépendant qui n’arrive pas à une carrière de deux tiers n’aura pas le droit à la pension minimale.Selon Christine Mattheeuws, présidente du SNI, « le site web qui est lancé maintenant était nécessaire afin d’informer les indépendants sur leurs années de carrière et le montant de leur pension. » Le SNI est éga-lement ravi des simulations que l’on pourra effectuer sur ce site. Ainsi, les indépendant pourront

parfaitement connaitre les ef-fets sur leur pension lorsqu’ils feront tel ou tel choix de car-rière (par exemple, continuer à travailler jusqu’à 65 ans au lieu de 63 ans, continuer à travailler après l’âge de la pension, …).La coopération entre les dif-férentes organismes com-pétents caractérise le site pen-sion. Un indépendant avec une carrière mixte ne devra donc plus se demander à qui s’adres-ser et ne devra plus contac-ter les différents organismes. MyPension.be constitue une avancée considérable pour les personnes qui entreprennent dans notre pays.

3 entrepreneurs sur 10 pensent acheter des actions dans une nou-velle entreprise via le tax shelter

Depuis le 1er juillet, tous ceux qui achètent des actions dans une jeune entreprise récu-pèrent 30 ou 45 pourcent du montant inves-ti via les impôts. Le gouvernement fédéral espère ainsi aider les jeunes entreprises à obtenir un capital supplémentaire. Les en-trepreneurs voient cette réglementation d’un très bon œil : 31 pourcent pensent uti-liser ce tax shelter selon une enquête du SNI à laquelle 671 indépendants et gérants de PME ont participé. Ils le feront surtout pour aider les jeunes entrepreneurs débutants. Ils veulent soutenir un nouvel entreprenariat dans notre pays. D’ailleurs, il ressort égale-

ment qu’un tiers des indépendants coachent et aident déjà les autres indépendants. En d’autres termes, il est clair qu’ils voient plus loin que leur propre entreprise et qu’ils sont solidaires avec les start-up.

Le tax shelter pour les start-up existe depuis le 1er juillet 2015 et a été approuvé dans la loi programme du 24 juillet 2015. Il s’agit d’une réduction à l’impôt des personnes physiques pour ceux qui investissent dans le capital de jeunes entreprises débutantes. Concrètement : tous ceux qui achètent des actions dans une entreprise débutante peuvent récupérer 30 ou 45 pourcent du montant investi via les impôts, selon que l’investissement a eu lieu dans une PME ou dans une microentreprise. Par entreprise dé-butante, il faut entendre une entreprise de

moins de 4 ans et qui a été fondée après le 1er janvier 2013.D’une enquête à laquelle 671 entrepreneurs ont participé, il ressort qu’un entrepreneur sur trois (31 pourcent) pensent à utiliser le tax shelter. La raison principale : ils peuvent ainsi donner leur chance à de jeunes entre-preneurs (44 pourcent) et également parce que c’est une réglementation financière-ment intéressante (38 pourcent). Encore plus remarquable : 6 entrepreneurs sur 10 (59 pourcent) sont même prêts à investir dans une entreprise débutante active dans le même secteur, même si cela augmente la concurrence.

Le crowdfunding a gagné en popularité ces dernières années en tant que forme alterna-tive de financement mais il ressort pourtant

que seuls 5 pourcent des entrepreneurs ont déjà investi dans une autre entreprise via le crowdfunding. Cette forme de financement a pourtant un énorme potentiel car un quart des entrepreneurs (26 pourcent) pensent faire financer certains projets de leur entre-prise via le crowdfunding.

De cette enquête, il ressort également que 33 pourcent des entrepreneurs aident et coachent d’autres entrepreneurs : principa-lement en donnant des conseils profession-nels (36 pourcent), en apportant des clients (18 pourcent), en donnant des conseils fi-nanciers (17 pourcent) et en présentant à des collègues du réseau (14 pourcent). L’on pense pourtant souvent, et à tort, que les entrepreneurs sont solitaires et ne se préoc-cupent que de leur entreprise.

C’est tout à fait logique d’également appliquer l’arrondissement aux paiements électroniquesLe ministre des Finances, Johan Van Overtveldt (N-VA), veut que les règles d’arrondissement aux 1 et 2 eurocents s’appliquent également aux paiements électroniques. Depuis le 1eroc-tobre 2014, les commerçants peuvent arrondir le montant total du ticket de caisse au 0 ou 5 cent le plus proche, mais uniquement pour les paiements en liquide.

La conséquence : seuls quelques commerçants appliquent réellement ces règles d’arrondisse-ment. Pourtant, au départ, 8 commerçants sur 10 étaient partisans d’un arrondissement du montant total à 0 ou 5 eurocents.

L’élargissement aux paiements électroniques va faire fortement augmenter le nombre d’ar-rondissements, affirme le SNI. C’est positif pour le commerçant, pour le consommateur mais aussi pour l’état.

25NEO

Le 1er mai 2015, la 34e Exposition uni-verselle a ouvert ses portes à Milan. Elle sera ouverte jusque fin octobre 2015.Le sujet central de cette exposition universelle qui rassemble 145 pays, est “De la nourriture pour la planète, de l’énergie pour la vie” Le pavillon belge répond à ce sujet en faisant en sorte que les visiteurs puis-sent découvrir une série de spécialités belges telles que les bières, le choco-lat, les gaufres et - bien évidemment - nos frites.A cet effet, une vraie friterie mobile dans le style du pavillon a été installée afin d’y vendre des frites belges. Et le personnage central, c’est “James Bint”.

Pour que tout fonctionne comme il faut, Belgapom, l’association professi-onnelle reconnue du négoce et de la transformation belges de pommes de terre, avait demandé à Unafri, l’Union Nationale des Frituristes, d’organiser une formation poussée aux personnes responsables de la cuisson des frites. Après tout, la cuisson des frites est un vrai métier.Ce sont Bernard Lefèvre, le président d’Unafri, et Eddie Cooremans qui ont séjourné à Milan pendant quelques jours pour assurer cette formation.

Comme on voulait offrir une qualité optimale, ils ont sélectionné les “bint-je”, une pomme de terre idéale pour la préparation des frites.

Ils ont préparé des milliers de paquets de frites pour les visiteurs qui étaient - évidemment - ravis de la qualité des frites belges. Quelques jours plus tard, les pakistanais motivés engagés pour ce travail pouvaient assurer la relève.

Le 12 juin était une journée spéciale

Historique Suite à son existence de vingt ans, l'Union nationale des frituristes à dé- cidé en 2004 de créer un nouvel ordre national pour re-mercier tous ceux qui ont mis leur savoirfai-re, leur talent et leur Dévouement au service de la culture belge de la frite. Chaque année, une cérémonie est organisée à l'occasion de la Journée nationale du frituriste pour dé-cerner les décorations qui ont été accordées aux candidats. Degrés: Il y a quatre degrés • La croix d’argent • Chevalier • Officier • Grand-Officier Tout et chacun peut poser sa candidature ou proposer quelqu'un auprès de la Commissi-

on de nomination. L'adresse, avec un curri-culum succinct du bénéficiare et avec mo-tivation et preuves à l'appui. Les demandes doivent etre introduites au moins 8 semai-nes avant la cérémonie de la remise des de-corations. Au cas ou la demande nous par-viendrait après cette date ou au cas ou elle ne serait pas receivable, elle est renvoyée à la l'année prochaine. Conditions La Commision est seule com-pétente pour la remise des decorations

• La croix d’argent :Etre frituriste pendant au moins 15 ans ou etre membre de l'Unafri/Navefri pendant au moins 10 ans ou etre membre du comité di-recteur de l'Unafri/Navefri pendant au moins 5 ans ou en guise de recompense pour des

prestations exceptionnelles en faveur du secteur de la friterie ou de son rayonnement • Chevalier:Etre frituriste pendant au moins 15 ans ou etre membre de l'Unafri/Navefri pendant au moins 20 ans ou etre membre du comité di-recteur de l'Unafri/Navefri pendant au moins 10 ans ou en guise de recompense pour des prestations exceptionnelles en faveur du secteur de la friterie ou de son rayonnement .Preuves à l'appui doivent etre soumises en-semble avec la demande

• Officier:Prestations exceptionnelles en faveur du secteur de la friterie ou de son rayonnement

• Grand-Officier: Engagement exceptionnel en faveur du sec-teur de la friterie et contribution inestimable à la défense de la culture de la frite

Les demandes doivent etre fait au plus tard le 30 Septembre, 2015 soit présentée par écrit à l'adresse ci-dessous. La prochaine cérémo-nie aura lieu en Novembre, dans l�auditori-um du Flanders Expo à Gand Le bénéficiaire sera personnellement invité à la céré- monie et reçoit un certificat et une médaille.

L’adresse pour la correspondence: Aanstellingscommisie NOGP Schillekensberg, 21 - 3460 Bekkevoort.

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Les frites belges à l’Exposition universelle de Milan Plus de déclaration TVA pour 28.000 PME

Le conseil des ministres a récemment approuvé l’élargissement de l’exonération de TVA. À partir de l’année prochaine, les PME dont le chif-fre d’affaires est inférieur à 25.000 euros, seront exonérées de plusieurs obligations au niveau de la TVA. Actuellement, le plafond est encore fixé à 15.000 euros.Concrètement, cela signifie que les entreprises dont le chiffre d’affaires est inférieur à 25.000 euros :

o ne pourront pas porter de TVA en compte à leurs clients ;o ne devront pas verser de TVA au Trésor ;o ne devront pas déposer de déclarations périodiques à la TVA.

Par ailleurs, le contribuable ne pourra aucunement déduire la TVA qu’il aura payée à son fournisseur.Quelques 28.000 petites entreprises pourront, dès 2016, bénéficier de cette exonération. Pour le secteur de la construction et celui de l’horeca, le règlement actuel reste d’application. Et ce pour éviter que la concur-rence déloyale par des travailleurs occasionnels présents dans le secteur, ne s’élargisse.

et, ensemble avec Bernard et Eddie, un autre membre du conseil, Geert De Bisschop, est venu renforcer l’équipe James-Bint Belgian Fries. La raison: une visite au plus haut niveau. Marc Seru et Ro-main Cools (président et secrétaire général de Belgapom) ont pu accueillir la Reine Mathilde dans le pavillon belge.

Ils avaient l’honneur de présenter à la Reine Mathilde un merveil-leux livre publié sous peu et intitulé “La pomme de terre en Belgi-que, le pays de la frite”. Unafri lui a ensuite aussi offert un paquet de frites et la Reine a réagi de façon très enthousiaste: “J’aime bien lire des textes sur les frites, mais les manger, je l’aime encore be-aucoup plus!”

Les milliers de visiteurs qui - chaque jour - faisaient la queue pour un paquet de délicieuses frites belges, une des spécialités culinai-res principales de notre pays, confirmaient qu’elles étaient bonnes.Depuis cette exposition universelle, le monde entier est convain-cu que les frites sont bel et bien une invention belge et ce grâce à James Bint, le personnage désormais connu partout au monde qui deviendra l’enseigne de tout le secteur des pommes de terre en Belgique et un ambassadeur digne de nos frites, dorénavant appelées “belgian fries” partout au monde.

Plus d’informations? N’hésitez pas à nous contacter pour un conseil spécialisé ou à visiter notre site Web.Veld Belux - Turnhout - Belgique - Téléphone +32 (0)14 39 49 90 - [email protected] - www.veld.be

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MEMBRES DU COMITEContactez-lez: [email protected]

Bernard Lefèvre

Président National

Schillekensberg, 21 - 3460 Bekkevoort

0494 51 04 89

Pol Vanden BusscheVice-présidentRuddervoordestraat 111 - 8820 Torhout tel 050 22 11 86 - gsm 0475 29 16 92

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Eddy CooremansGalgestraat 97 - 1785 Merchtem

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