Objets connectés en pharmacieLes pharmaciens français face à l’essor de la santé connectée

—usages et attitudes—

d o s s i e r d e p r e s s e

Dans ce dossier

2

Principaux enseignements 3

Résultats détaillés 4

Contacts 9

Présentation de l’institut 10

d o s s i e r d e p r e s s e

Principaux enseignements

Les objets connectés en pharmacie : une pratique qui se développe

Neuf pharmaciens métropolitains sur dix ont entendu parler des objetsconnectés dédiés à la santé, soit une progression de 17 points en un an.

L’utilisation des dispositifs médicaux connectés (DMC) reste minoritaire,malgré une progression de 11 points. Elle est aujourd’hui le fait de moinsde deux pharmaciens sur 10 (18% / 7% il y a un an). Le taux d’utilisationest deux fois plus important parmi ceux qui regardent l’avenir de laprofession avec optimisme (31%), chez qui il a doublé en un an. Plus lechiffre d’affaires de la pharmacie est important, plus forte est l’utilisationde DMC.

15% des officines proposent aujourd’hui des DMC dans leurs linéaires,(9% il y a un an) avec une différence du simple au triple entre« pessimistes » et optimistes ». Par contre, le chiffre d’affaires del’officine n’est pas segmentant.

Un titulaire sur cinq affirme avoir déjà conseillé un DMC à des patients(1/10 il y a un an), un sur quatre dans les grosses pharmacies.

Des pharmaciens prêts à utiliser et à conseiller des objetsconnectés : les trois quarts d’entre eux se déclarent aujourd’hui prêts àle faire versus moins des 2/3 il y a un an.

Sur cette partie plus prospective, les résultats montrent une plus forteappétence pour le sujet parmi les hommes et les pharmaciens urbains.Comme il y a un an, les 45-55 ans seraient plus réfractaires à cesinnovations. Au-delà des critères sociodémographiques classiques, leprincipal facteur explicatif de l’attitude envers les DMC reste la manièredont les pharmaciens regardent l’avenir de leur métier.Transversalement, ceux qui se déclarent plutôt optimistes ont uneattitude plus favorable que ceux qui se déclarent plutôt pessimistes, maisces différences sont aujourd’hui plus flagrantes dans les faits que dans lesintentions.

Note méthodologique : Enquête réalisée par questionnaires papier auto-administrés, auprès d’un échantillon national représentatif de la professioncomposé de 304 titulaires d’officine, issus du panel de pharmaciensd’Occurrence Healthcare. L’information a été collectée entre le 13 et le 30 mai2016. Les évolutions historiques par rapport à la première édition –réalisée entrele 11 et le 23 mai 2015, suivant la même méthodologie –, sont indiquéessystématiquement.

3d o s s i e r d e p r e s s e

Des DMC désormais connus de 9 pharmaciens sur 10Voici une série de questions concernant les objets dédiés à la santé connectée ou dispositifs médicaux connectés (par exemple piluliers intelligents,

lecteurs de glycémie en continu…). Avez-vous entendu parler des dispositifs médicaux connectés ?

4

93%

6%1%

Oui Non NSP

d o s s i e r d e p r e s s e

+17 points

< 30 000 hab. > 30 000 hab.

88%

93%

95%

92%93%

Pessimiste

93%

Optimiste

94%

96%94%

95%

93%88%

93%92%

< 1,2 m€ 1,2 à 1,6 m€ > 1,6 m€

96% 93% 90%

Une utilisation des DMC qui reste minoritaire malgré la progression

Voici une série de questions concernant les objets dédiés à la santé connectée ou dispositifs médicaux connectées (par exemple piluliers intelligents, lecteurs de glycémie en continue…). En avez-vous déjà utilisé ?

5

18%

80%

2%

Oui Non NSP

d o s s i e r d e p r e s s e

+11 points

< 30 000 hab. > 30 000 hab.

20%

16%

18%

17%19%

Pessimiste

14%

Optimiste

31%

21%14%

22%

14%16%

18%19%

< 1,2 m€ 1,2 à 1,6 m€ > 1,6 m€

10% 16% 28%

1 pharmacien sur 5 a déjà conseillé des DMC aux patients

Avez-vous déjà conseillé un dispositif connecté à des patients ?

6

20%

79%

1%

Oui Non NSP

d o s s i e r d e p r e s s e

+9 points

< 30 000 hab. > 30 000 hab.

20%

18%

21%

18%22%

Pessimiste

18%

Optimiste

34%

16%14%

24%

21%21%

19%23%

< 1,2 m€ 1,2 à 1,6 m€ > 1,6 m€

17% 17% 25%

Une pénétration encore faible des DMC dans les officinesDe tels dispositifs sont-ils actuellement en vente dans votre pharmacie ?

7

15%

83%

2%

Oui Non NSP

d o s s i e r d e p r e s s e

+6 points

< 30 000 hab. > 30 000 hab.

17%

15%

14%

17%13%

Pessimiste

11%

Optimiste

31%

13%14%

18%

11%15%

13%19%

< 1,2 m€ 1,2 à 1,6 m€ > 1,6 m€

16% 13% 15%

Plus de pharmaciens ouverts à l’utilisation des DMCSeriez-vous prêts à utiliser ou conseiller des DM connectés ?

8

74%

23%

3%

Oui Non NSP

d o s s i e r d e p r e s s e

+12 points

< 30 000 hab. > 30 000 hab.

78%

69%

75%

69%79%

Pessimiste

74%

Optimiste

75%

76%63%

78%

82%71%

71%81%

< 1,2 m€ 1,2 à 1,6 m€ > 1,6 m€

70% 78% 76%

9

vos interlocuteurs Occurrence Healthcare

Laure SchapiraDirectrice générale

Titulaire d’un DESS de Psychologie sociale et d’un DEA d’Ethnologie

Plus de 20 ans d’expérience en études (Ipsos, Démoscopie/Synovate, Occurrence)

Formatrice études : Inserm, Fédération Hospitalière de France, MBA Marketing et Communication de la Santé du Pôle Léonard de Vinci…

Carlos CazorlaDirecteur d’études

Diplômé de Sciences Po Bordeaux, master en Sciences politiques par l’Université de Grenade

Travaille depuis 5 ans sur des problématiques santé et qualité de vie dans différents secteurs d’activité

laure.schapira@occurrence.fr01 48 24 69 02

carlos.cazorla@occurrence.fr01 48 24 69 43

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Occurrence Healthcare est un institut

d’études spécialisé sur les

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et qualité de vie. Depuis 2008 nous

analysons l’ensemble de la sphère santé

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