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Dossier de presse : Carpentras- patrimoine et architecture 2014 Office de Tourisme de Carpentras – tel +33 4 90 63 00 78 [email protected]
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CARPENTRAS
Patrimoine et architecture…
Ventoux
www.carpentras-ventoux.com Office de tourisme de Carpentras – 97 place du 25 août 1944
84200 CARPENTRAS – tel 04 90 63.00.78
L.CLEMENÇOT 04 90 63 76 20
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Carpentras, ville d’Art et d’Histoire
Laissez-vous conter Carpentras, Capitale du Comtat Venaissin
Le Comtat Venaissin s’étendait de la Durance aux Baronnies et demeura, durant 5
siècles, sous administration papale.
A partir de 124 avant J.C., la conquête romaine avec la création d’importantes voies
de communication amène une grande prospérité agricole et commerciale, sans
oublier l’exploitation des carrières qui prend alors une grande importance.
Au 12ème siècle, la Provence ayant été partagée entre le Comte de BARCELONE et le
Comte de TOULOUSE, c’est à ce dernier qu’échoit le Comtat Venaissin.
On retrouve des traces de cette période à PERNES avec les vestiges de la tour de
l’horloge, donjon de l’ancien château, à Carpentras : la maison du beffroi.
Mais en 1229, le Comte de TOULOUSE, vaincu de la guerre des Albigeois, doit céder le
Comtat au Saint-Siège (traité de Paris).
Les désordres en Italie incitent les Papes à quitter ROME pour AVIGNON, où ils
s’établissent pour un siècle à partir de1309.
Quand les Papes font construire leur Palais, la Ville d’Avignon appartient à la reine
Jeanne de Naples, Comtesse de Provence. Celle—ci accepte en 1348, de vendre la cité
des Doms à l’Eglise romaine.
Placé sous l’autorité du Saint—Siège, le Comté d’Avignon n’est pas rattaché au
Comtat Venaissin.
D’où l’existence de deux Etats Pontificaux sous la houlette du Souverain Pontife : le
Comté D’Avignon et le Comtat Venaissin.
C’est cette période sous administration papale, qui va conférer au Comtat son
originalité.
Double originalité, puisque, à côté de cette appartenance aux papes et de par la
volonté même de ces derniers, un autre fait va laisser son empreinte, la présence des
juifs.
DATES HISTORIQUES
1229 : Partition de
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Carpentras, ville d’Art et d’Histoire
Laissez-vous conter son héritage épiscopal ….
Carpentras, la ville en forme de cœur fut la capitale du Comtat Venaissin de 1320 à
1791. Cette période va profondément marquer la cité avec nombre d’ordres
religieux établis ici, qui laissèrent un fort patrimoine religieux que l’on peut encore
découvrir.
Les Juifs du Pape
Si l’histoire du peuple juif se connaît dans ses grandes lignes,
celle des Judéo-Comtadins est méconnue, bien qu’originale à plus d’un titre.
La synagogue du XIVème siècle – remaniée au XVIIIème - est aujourd’hui le seul
témoin de cette présence particulière.
Chassés du Royaume de France, les Juifs trouvent en Comtat Venaissin, possession
du Saint-Siège, une terre d’asile pour les communautés depuis longtemps
persécutées.
Jusqu’au 13ème siècle, les Juifs du Midi connaissent un âge d’or, en particulier à
Carpentras où le Pontificat les protège des spoliations pratiquées ailleurs. Mais ils
sont obligés de porter la rouelle, pour être identifiés au sein de la population.
Dès le 14ème siècle, leur situation se dégrade. Le pape Jean XXII s’octroie leurs
revenus. Survient alors la révolte des pastoureaux, dont ils furent les premières
victimes.
Ils sont chassés du Comtat et le Pape ordonne la destruction de la synagogue.
Ils sont alors assignés à résidence à Avignon, où ils resteront jusqu’en 1337.
A leur retour dans la capitale comtadine, l’évêque Jean III Roger, bienveillant à
l’égard de cette communauté, les autorise à construire une nouvelle synagogue -
édifiée en 1367, ses fondations sont celles que nous connaissons aujourd’hui-, leur
accorde un cimetière pour remplacer le premier. Le quartier juif se déplace alors
vers le centre-ville .
Mais au 15ème siècle, le Pape Benoît XIII leur interdit la pratique des métiers de
banquier et médecin – bien qu’à cette époque, 60% des médecins sont juifs-.
Le Concile de Carpentras – 1446 – leur interdit par ailleurs d’assister à des
cérémonies religieuses chrétiennes. Un Vidimus de 1451 fixe les dimensions
maximales de la synagogue à 14 m X 8 m et des Pogroms éclatent en 1459.
Le Concile de Bâle viendra parachever la
situation avec l’instauration des carrières –
carriéro en Provençal, Méçila en Hébreu, qui
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désigne la rue – ghettos juifs du Comtat
Venaissin.
DATES REPERES
1er siècle : arrivée des Juifs en Provence
1276 : accueil bienveillant des Juifs en Comtat Venaissin
1306 : Philippe le Bel chasse les Juifs du Royaume de France
13 septembre 1394 : Bannissement définitif des Juifs
du Royaume de France par Charles VI
27 septembre 1791 : le droit de citoyenneté est reconnu
pour les Juifs de France
Les Juifs du Pape
Désormais et jusqu’à la Révolution française, la présence des Juifs est autorisée
uniquement dans Quatre Saintes Communautés – Arba Kéhilot - en souvenir des
communautés de Jérusalem, Safed, Hébron et Tibériade : Les carrières d’Avignon,
Carpentras, Cavaillon et Isle sur la Sorgue, dont les portes sont fermées chaque
soir. Obligation est faite aux juifs de porter le chapeau jaune – doù Capeù – pour
pouvoir circuler librement.
Au 17ème, malgré toutes les mesures coercitives à leur encontre au cours des siècles
passés – et parfois la répétition de la même mesure à plusieurs dates - les Juifs
semblent plus libres, bien que toujours enfermés dans la carrière dont ils ne
sortent que peu et à certaines conditions.
La communauté juive de Carpentras est, des quatre, la plus nombreuse et sa
population ne cesse de s’accroître dans un espace qui, lui, reste identique.
Au 18ème siècle, autorisation est donnée aux Juifs de Carpentras de reconstruire la
synagogue qui tombe en ruines, mais à condition qu’elle soit moins haute que les
églises de la ville !
La Révolution française, avec en 1791, le rattachement du Comtat Venaissin à la
France, octroie la citoyenneté française aux Juifs. Beaucoup d’entre eux quittent
alors Carpentras.
Le Ghetto sera démoli au 19ème siècle et ne subsistent aujourd’hui de cette époque
que les noms de rues – rue de la vieille juiverie, rue de la juiverie - et la Synagogue,
lieu de culte toujours en activité. Monument historique, elle abritera bientôt un
musée judéo-comtadin dans ses sous-sols en rénovation, qui abritent encore la
boulangerie, le Mikvé et les bains rituels.
Ce particularisme historique a donné naissance à un mouvement appelé judaïsme
comtadin qui ne se rencontre nulle part ailleurs et dont l’une des caractéristiques
est le dialecte judéo-provençal parlé par les Juifs.
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Aujourd’hui, la communauté israélite regroupe une centaine de familles issues du
Comtat Venaissin et d’Afrique du Nord.
Il est à noter que les descendants des Juifs du Pape ont marqué l’Histoire de France avec notamment :
Alfred NAQUET, membre du gouvernement de la Révolution de 1848, à qui l’on doit la loi sur le divorce
Adolphe CREMIEUX, homme politique à qui l’on doit le décret Crémieux qui octroie la nationalité
française aux Juifs d’Algérie
L’écrivain Armand LUNEL
Le compositeur Darius MILHAUD
Le chef d’orchestre Pierre MONTEUX
L’historien Pierre VIDAL-NAQUET
Cette ville jadis fortifiée (dont il ne subsiste que la Porte d’Orange du 14ème siècle)
a conservé quelques magnifiques édifices témoignant de ce glorieux passé.
La Cathédrale Saint-Siffrein, du nom de l’évêque patron de la
cité (7ème siècle) offre un bel exemple d’architecture
gothique méridionale qui se caractérise par un espace unifié
et une forte muralité. C’est la plus grande église du Diocèse :
58 mètres de long dont 42 pour la nef à six travées d’ogives.
Sa construction a duré plus d’un siècle (1405-1531),
succédant à deux édifices antérieurs, dont une cathédrale
romane du 13ème siècle, aux vestiges encore existants sur le
flanc nord du chevet.
A l’intérieur, la décoration est révélatrice du grand
mouvement artistique suscité par la présence pontificale dans
le Comtat Venaissin, jusqu’à la Révolution.
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Panneau peint du couronnement de la Vierge, vitraux du 15ème siècle, retables génois en
marbre précieux, sculptures en bois doré de la famille Bernus, exceptionnelles ferronneries
des Mille, tableaux signés G.E. Grève, N. Mignard, E. Parrocel et du Carpentrassien J.S
Duplessis… se laissent regarder dans l’ombre des chapelles.
Une incongruité religieuse…
La Porte Juive de la Cathédrale Saint-Siffrein
Bien que la liberté de culte ait toujours été assurée aux Juifs, l’Eglise
s’employa à convertir les Juifs en obligeant les enfants à suivre, dès
l’âge de 10 ans, le catéchisme.
Cette évangélisation, même si elle n’eut que peu de succès, laissa la
Porte Juive, par laquelle les Juifs nouvellement convertis devaient
pénétrer dans la cathédrale.
Le Palais de Justice – depuis 1810 - ancien palais épiscopal, est un bâtiment du
17ème siècle, construit dans le « goût romain » - balcon saillant, pilastres à
bossages. – dans lequel on peut découvrir notamment : l’ancienne chambre
d’apparat des évêques avec un plafond à la Française, la salle des Assises, jadis
lieu de réunion des Etats du Comtat Venaissin et la salle de la Correctionnelle
avec ses cartouches représentant les villages de l’ancien Comtat..
L’hôtel-Dieu du 18ème siècle
L’hôtel-Dieu offre une architecture hospitalière
majestueuse avec un palais qui abrite une chapelle
baroque, une galerie de donatifs – début 18ème
jusqu’au 20ème siècle - qui perpétue la mémoire des
généreux donateurs qui ont légué leur fortune à l’Hôtel
– Dieu, et surtout une apothicairerie conservée en
l’état :
C’est à Monseigneur d’Inguimbert, que l’on doit cette
magnifique apothicairerie caractéristique du siècle des
Lumières : ‘Herbis non verbis fiunt medicamina vitae”.
Ici, on accueille et on soigne à base de produits tels
que l’opium, le sang de dragon, la myrrhe ou
l’absinthe.
De superbes peintures en camaïeux de bleu et de brun pour orner les meubles, des
pots polychromes anciens, pots “bleus” en faïence de Moustiers, pots de montre
décorés....composent le décor.
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La Porte d’Orange
On accède au nord de la ville par une seule porte, dernier vestige des remparts du
14ème siècle : la Porte d’Orange, un ensemble défensif qui comprenait 32 tours
rondes et semi rondes. La tour qui culmine à 26 m, garde fière allure avec son
crénelage sur mâchicoulis en encorbellement. L’un des édifices les plus admirés de
la ville, sauvé in extremis de la destruction lors des grands chantiers d’urbanisation
conduits au 19ème siècle. Par beau temps, le panorama au sommet est grandiose :
au nord, la vue embrasse la plaine agricole avec le massif des Dentelles de
Montmirail et le Mont Ventoux en toile de fond, au sud le regard plonge sur les toits
ensoleillés et les clochers de Carpentras éclairant les ruelles étroites du centre
ancien.
L’Arc Romain
Un arrêt s’impose sur une autre place, la place d’Inguimbert.
Dans son renfoncement, adossé au flanc nord de l’église
Saint Siffrein, se trouve le seul vestige de la période
romaine, l’Arc Romain : un aménagement récent de la place
permet aujourd’hui de profiter en famille, d’un espace de
détente et récréatif.
La cité comtadine, avant d’échoir aux papes, passa
successivement aux mains des Celtes - sous le nom de
Carpentoracte Meminorum et des Romains - Forum Neronis.
De ces temps lointains, subsiste un édifice Du Ier siècle de
notre ère, érigé pour commémorer la victoire de Rome sur
les barbares. Percé d’une seule arche, il offre un magnifique
détail sculpté : deux captifs enchaînés à un trophée.
Le Beffroi
Il constitue le seul vestige de la maison commune de Carpentras, installée ici au
14ème siècle mais ravagée par un incendie en 1713. Cet édifice comportait , la salle
du Conseil et la salle des comptes où étaient entreposées les archives. Au rez de
chaussée, se trouvait une chapelle et le poids de la farine. Ces pièces étaient
desservies par l’escalier à vis, situé dans une tour surmontée d’un campanile en fer
forgé daté de 1577, de type cosmologique ? Seule cette partie du bâtiment existe
encore.
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La Chapelle du collège des Jésuites
En 1606, la municipalité de Carpentras obtint du Pape le
droit d’avoir un établissement scolaire confié aux jésuites,
malgré l’opposition de la ville d’Avignon qui possédait déjà
un tel établissement. L’édification de la chapelle débuta en
1628 sur les plans du père Martellange, mais sa façade ne
fut jamais achevée. Ses proportions classiques et son
dôme, sobre et élancé, témoignent de la parfaite maîtrise
des tailleurs de pierre comtadins.
Devenue lieu culturel, elle abrite aujourd’hui les grandes
expositions de la ville et le salon des santonniers en
décembre.
La chapelle Notre Dame de Santé
Chapelle de voyageurs, construite hors les murs sur un gué de l’Auzon, elle fut
consacrée à Notre-Dame du Salut au début du 16ème siècle. Ce n’est que plus tard,
en 1630, qu’elle prit le nom de Notre Dam de Santé, suite au recul, jugé miraculeux,
d’une épidémie de peste. Elle fut reconstruite par l’architecte d’Allemand en 1748.
On peut toujours y admirer de très nombreux ex-voto, expressions de la dévotion
populaire dont elle fait l’objet encore aujourd’hui.
Les monuments inscrits au patrimoine du XXème siècle
La Poste, la piscine couverte, le lycée Victor Hugo labellisés « patrimoine du XXème
siècle » ; Un particularisme local avec une architecture des années 30 qui les classent
parmi les 153 édifices ayant obtenu le label sur la région PACA.
Une riche histoire de legs…. La bibliothèque Inguimbertine
La bibliothèque Inguimbertine léguée à ses concitoyens par
Monseigneur d’Inguimbert, Evêque de Carpentras en 1735,
rassemble 76000 volumes d’imprimés anciens et plus de
3000 manuscrits, notamment les papiers de l’érudit aixois,
Peiresc.
Comptant parmi les cinquante-quatre plus riches bibliothèques municipales classées
françaises, la bibliothèque Inguimbertine réunit aujourd’hui des ouvrages rares et
précieux, manuscrits à peintures, partitions de musique, reliures d’art, monnaies et
médailles, estampes et dessins, cartes et plans… qui lui confèrent une renommée
internationale
La consultation du fonds patrimonial est réservée aux chercheurs et universitaires
qualifiés, après accord du Conservateur. Se renseigner auprès du Conservateur
Tél 04 90 63 04 92- 234 Bd A. Durand 84200 Carpentras
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Les archives secrètes de l’Inguimbertine
Depuis juin 2012, une visite virtuelle de la Bibliothèque Musée
de l’Inguimbertine permet découvrir les œuvres exceptionnelles
et les salles habituellement non visibles du grand public. Cette
visite est le prélude aux futures salles d’expositions qui seront
proposées dans le pôle culturel de l’Hôtel dieu qui s’ouvrira en
2015. http://www.4dunivers.com/inguimbertine/
Le Musée Sobirats
Les collections d’arts décoratifs de la ville de Carpentras
sont réunies dans l’ancien hôtel particulier de la famille
d’Armand de Châteauvieux, aux salons ornés de motifs de
gypseries caractéristiques du Comtat Venaissin. De boudoirs
en salons, le visiteur peut y découvrir un ensemble de
meubles régionaux, une suite remarquable de tapisseries
d’Aubusson, des faïences de Marseille et de Moustiers,
des peintures de paysages et des portraits aristocratiques.
Le musée doit son nom au dernier comte de Sobirats, généreux donateur de l’institution.
Ce parcours restitue l’atmosphère chaleureuse et intime d’une demeure patricienne du 18ème
siècle.
Musée Sobirats- 112 rue du collège- 84200 Carpentras- tel 04 90 63 04 92
Les Musées Comtadin-Duplessis
Les collections municipales de peintures proviennent à l’origine, du cabinet d’étude de
monseigneur d’Inguimbert, évêque de Carpentras de 1735 à 1757. De cet ensemble se dégagent
quelques points forts : primitifs provençaux de la cathédrale Saint –Siffrein, peintures de J.S.
Duplessis, peintures des écoles étrangères, des tableaux de la deuxième moitié du 18ème
siècle et du 19ème siècle permettent de mettre en regard, la peinture régionale et les courants
parisiens J. Vernet, J. Bidault, Bonnaventure, J. Laurens… Le rez-de-chaussée du musée abrite les
collections d’arts et traditions populaires. Sceaux, monnaies et médailles évoquent l’histoire du
Comtat Venaissin, coiffes comtadines, crèches provençales, appeaux, poids et mesures, sonnailles
illustrent les coutumes et les savoir-faire du Comtat. Des ex-voto dédiés à Notre-Dame-de-Santé
et des donatifs du Mont-de-piété témoignent de la ferveur religieuse tout en retraçant la vie
quotidienne des Carpentrassiens au 19ème siècle.
Musée Comtadin-Duplessis 112 rue du collège 84200 Carpentras-
Ouvert du 01 avril au 30 septembre tous les jours sauf les mardis de 10h à 12 h et de 14h à
18h (2€ l'entrée pour les 2 musées) Gratuit 1er dimanche du mois. Tél+33(04) 90 63 04 92.
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Se laisser conter le patrimoine architectural de Carpentras et
du Ventoux-Comtat Venaissin en compagnie d’un guide conférencier.
1h30 ou un peu plus…
Le guide vous accueille ; Il connait toutes les facettes de Carpentras et
des 24 villages du Comtat Venaissin et vous donne les clefs de lecture
pour comprendre l’échelle d’une place, le développement de la ville au
fil de ses quartiers,…
Carpentras et les villages proposent des visites toute l’année à heure
fixe, des conférences et ateliers thématiques, des randonnées
patrimoine, des visites en scène à la tombée de la nuit…
Programme à retirer à l’Office de Tourisme de Carpentras et les
communes du pays d’art et d’Histoire.
PATRIMONIA
Un centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine pour le territoire
Carpentras-Ventoux-Comtat Venaissin
Carpentras vient de se doter d’un nouvel espace culturel de proximité ; Abrité dans
l’ancien couvent des dominicains, jouxtant l’Office de Tourisme, le lieu présente une
exposition permanente didactique sur le patrimoine ancien et contemporain du territoire
avec un niveau de lecture grand public, facilité par des supports interactifs et ludiques.
Des expositions temporaires renouvelées 4 fois par an, viennent enrichir le fonds. Des
ateliers pédagogiques sont ouverts aux jeunes publics, un centre de documentation est
ouvert à la consultation des ouvrages et documents patrimoine
La création de ce centre est inscrite dans le cadre du label Pays d’art et d’Histoire
Accès gratuit : ouverture calée sur les horaires de l’Office de Tourisme
