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as. M. MORELLE Directeur à la Caisse Générale de Reports et de Dépôts

P1178C 1924 11 07 - uliege · 2017-09-12 · Gobseck. Vuye; à quel puint les traditions peu11ent pas 1•u, ce conjasseur financier, ce détenteur du se étre menteuses. surtout

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as.

M. MORELLE Directeur à la Caisse Générale de Reports et de Dépôts

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1 Cf\ÉDIT ANVERSOIS S'X,

Capital Résenes

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Q UA ORllf MF. ANi<tE - N• 536 \'Et-;OREDI 7 :-:O\'E.\\BRE 1924

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M. MORELLE l .a trad1twn 111/éraire la pins 1•énérable a fixé la tourment~ d1• l'ex-honnête homme que lcs soucis

physillnomle plrysique et morale du prtteur sur de l'échéance entrainent peu à peu aux demi-canai/­gage c'est .e 1uif au ne: crochu. au teint jaune, aux leries, les ruses du franc coquin qui n'émet des chei•t'Ul. grisonnants el huileux, c"t'SI Shylock ou litres que pour les mettre en rapport. Que n'a-t-tl Gobseck. Vuye; à quel puint les traditions peu11ent pas 1•u, ce conjasseur financier, ce détenteur du se­étre menteuses. surtout les traditions littéraires : cret des portefeuilles.> Et cependant il a conservé, l'homme que nous 1•ous présentons aujourd'hui est non seulrm.:nt la faculté de rire et le teint frais, le plus gros préteur sur gage de Belgique. Oh! symp!tYmes d'une bonne conscience, mais mème une cerll's. il n'accerte en nantissement ni la croix de crrtaine fraicheur d'âme. Cc prêteur sur gage ma mère, ni la 1•ache de la pa111•rc 11euve; c'est un n'est ni triste. ni amer, ni cynique, ni brutal, nr prtteur selun l.i /'>rmule des cfrilisalions perfection- a l'ide. On 1•ous dira même, à la Caisst ou à la n 11es · 1/ nt· prête que s11r litres, gages d'ailleurs Bourse. qut' c'est la crème des braves gens. eauroup plus sûrs que la croix de ma mère ou la A-1-il co11q11is celle ,1galilé d'âme par une 11ictoire

vache de la pa111•re 1•eu1•e. Directeur à la Caisse de sur l1ù-mème ou lui a-t-elle été donnée par une de Reports et de Dépôts. il est spécialement chargé du ces grâces d'état qui font qu'on a connu de tendres er1·ice des reports. geôliers el de chastes courtisanes;> Mystère. Mais il

Eh bien, rcgardc:-le, tel que Ochs l'a représenté parait la dc1•oir à la simplicité d' une de ces règles • noire prcmftlrt' page: a11ec son crdne poli, pres- morales dont la rigueur ne laisse de place d aucune ue aussi poli que celui de l'illustre Léon Dubois, l'aine in<1u:dude. Pour lui, l'humanité se partage on temt frais. ses 1oue~ rebondies, ses yeux mali- en deux groupes: d'un côté, les emprunteurs qui ieux et rie11rs. n'o/fre-1-il pas le type ache1•é du paient le11rs intérêts: cc sont les honnêtes gens; de on bourgeois de Bruxelles, ::ivarrzeur et rigolard, l'autre, les emprunteurs qui rre paient pas leurs

2m1 de la bonne chère, des " idées saines et cour- intérêts: ce sont le fripouilles. Heureusement, es •• et de la 1frille bouldlle de Bourgogne. le type ct·ux qui paient leurs 1ntéréls sont beaucoup plus u monde. assur<'menl, qui ressemble le moins à nombreux que ceux q11i ne les paient pas, sans cela, hylock .l Et, cependant, que de gens, dans le monde la Banque eût sombré depuis longtemps. M. Morelle r la Bourse fi de la banque, l't•ussent comparé à a donc toutes les raisons de croire que /'humanité hylock, s'ils eussent su qui était Shylock, quand 1·aut mieux que sa réputation u nom Je la Caisse. il a cru de1•oir leur refuser ce 1 '!?

lll'ils deman1lairnt _) Cette conslalalio11, il aura eu le tèmps de la faire Qui Jonc a dit qu'on 1•oyait aux li•1•res de l'hom- dt-ruis les trente-neuf ans qu'il appartient à la Caisse e qui 1·nus demande cent sous el de l'homme qui dt• Reporfs. DJns le public, où l'on considère les

JOu s demand.· cent mille francs le même sourire J?l'ns de finance ai•u admiration mais ai•ec mah1eil­mbarrassé, cnnlramt el un peu 1•iP Ce sourire-là, lance on croit, d'ordinaire. qu'on n'arrive aux hautes

Morelle 1'<1 1•u lien des fois. non dep111s trente- charges d'une J?randt· banque que par la politique u uf ans <1u'il arrJrllent à la banque. m.iis depui' fks conseil~ d'administration ne sont-ils pas les re­t~ nombreuses années qu'il din'ge le serl'lce des juges naturels des anciens ministres~). par droit de ·eports et lt• su1•ia dt• la Bours1'. Il a l'u aussi les conquêlt' ( 1111 s'annexe un conquistador énergique

Pourquo i ne pas v ous a dresser p o u r v os b ijoux aux j oailliers-orfè vres

il PLUS GRAND CH OIX St b Il & cie Colliers, Perles, Brillants Ur e e

PRJX A V A NT AGEUX 18-20-22, RUE DES FRIP!ERS, B~IJXELLE'3

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1056 Pourquoi Fas ?

pour Ili! pas l'avoir contre soi), ou par héritage de famille. Cela n'est pas tout à fait inexact. Mais la Caisse de Reports, institution bourgeoise, semble avoir 1•oulu démontrer qu<', dans la société bour­g. oise dont .:le t>sl une des colonnes, on peul arri­l'er aux plus hautes situations par le tra1·ail. l'ordre. /"économie et la pratique de la 1•erlu, tout comm~ aux tt·mp:. idylliqm•s où Laffitte dei•enail banquier en ramassant une épingle. La biographie de M. le directeur Morelle à • 'air d'un conte moral à l'usage d.:s employés de banque.

Après a1'<!1r /ait ses ét11dcs à /'Athénée d'lxelles, en effet. il esl t'ntn! à la Caisse comme simple com­mis aux écritures. Puis il tra1•aille, il se fait esti­mer de ses ,·hets · 1 monte en grade par la filièr,· admimstrafil'e, 1usqu'au 1our où 11 d.:1•ien1 directeur. chargé spécialement du sen•1ce des reports et rel.i­lions aPec ·a Buurse, c'esl-à-dire une des chel'Îlle> ou1-riêres de /'étal>lissemenl .

Haute lortun~ en 1•érité car, de tous les serl'ices dt· la C.iisse .Je Reports. celui que dirige ,;1. Mo­relle t'st r 'Ut-être œlui qui demande le plus de con­rrai.ssance rrof.,srnn11elll', le plus de tac/ et le vlus d'expérience du t.:rrain bruxellois ( J. d'autres, la pot!s1c des affaires. les wandes concq:tions finan­cières ori /11 finan.:e touche à la politique!). Il le met en rarprJrl nun seulement ai•ec les banquiers. avec le munàc impressionnable et dfrers des agents d.: change et des spé<ulateurs. mais aussi a1•ec le monde commercial et industriel. Quand tous ces gens-là 1frnnent le trou1•er. c'est pour !ui faire ;auger leur crédit. Crédit matériel, crédit moral. Cela demande beaucoup d'information. une certaine psychologie et une grande fermeté Je caractère. li faut sal'oir refuser sans blesser, si rossible. l'homme à qui l'on refuse. Ce so11t les qualités que feu M. Danse lie. fondateur de la Caisse el bon connaisseur d'hom­mes. reconnut à Morelh· et tout le monde, aujour­d'hui, non seulement à la Caisse. mais à !a Bourse, reconnail qu'il ne s'est ras /rompt!. Morelle refuse, a11ec une fermeté inébranlable, quand il croit de·l'oir refuser: la détresse de César Birolleau ne l'atten­drrrait pas plus que l'e/fo11drement de Nestor \Vil­mart. Et cependant, ceux qui le connaissent bien disent qu'il a un fonds de bonté. voir même de fai­blesse et de timidité qui fait que, quand il a une communication désagréable à faire à quelqu'un: re­fus au client, obsen•alion à l'employé, il t'.prou1•e le besoin de se remonter pendant dix minutes. Seule-

\L ü'Xl '- I

SA VON E~ P AILLh:TTES Pour le::. li11es llllgeries

V

ment, quand ri e~t remonté, il est, pour le client, le rocher du S111ai el, pour /'employé, le Jupiter ton­n.mt. Rien de plli.s ;erme que les Jaibles qui ont rrromphe de leur faiblesse: rien de plus dur que les bons qui ont lriumphé de 1eur bonté

! 1 '! " .Uais sal'ez-11ous qu'il doit être fort embêtant,

l'olre bonhomme, nous dit peut-être un lectiwr. Fils de ses œ1œres, bon su1ct, sorti d'un conte moral pour entrer dans un conseil d'administration, 10U;)

les connaissons, ces patrons, qu'on dit durs pour eux­mémes mais qui le sont surtout pour les autres, ces pan•enus des affaires qui. sous préfexte qu'ils ont tra1•aillé dans leur ;eunesse. veulent condamner tout le mor1de aux lral'aux forcés. 1\'ous aimons mieux la cordiale fripouille qui exploite le populo sans lm prêcher la murale. li est trop commode de recom mander l'l1011néteté quand on est 1uché sur un cof/re­fort

Ledeur. mon ami, Pous êtes pourri dt• lieux com­muns romantiques. /magine:-1•ous Anatole France, TulstN uu saint François d'Assise directeur de ban­que.' A chacun son métier. Et puis. 1•ous le sal'ez bien, chez les bourgeois de chez no11s, la rigueur bourgeoise s ·accommode tou1ours de cette large bon­homie particuliërement belge et spécifiquement bruxelloise, qui rendil notre " respectabilift! " sym­pathique aux poètes. Or, M. Morelle est un Bru­xe.lois pur sang, cordial, familier, aimant la bonne table et le gros rire, prompt à l'allendrissemrnt fa­miiial - il trouve un plaisir particulier à s'asseozr dans le fauteuil qui accueil1t la fatigue de son grand­pi!re et à passer, de temps en temps. son d1m1mch.! à Louioain où l' accueilent /es cornet/es blanches ae deux vidlles tantes religieuses. Quand nous 1•ous le disions que ce confesseur financier, ce prêteur sur gage, a11ait consen•é toate sa fraîc/1eur d'âme!

ll a, du reste, le fonds du gaîté des cœurs purs. Que tous ceux qui l'on/ connu dans sa ;eunesse en ~oient témoins.

Morelle fut l'un des fondateurs, l'un des pilier~ du cercle Les Intimes. qui se crea à Ixelles, vers 1884 et qui groupait. autour du président in11mo1•1-ble F. Desguin. toute une équipe de ;eunes gens terminant leur rhétorique 011 leur première suenti­[rque. Un public familial assistait aux soirées musi­cales. aux concerts, ta11;ours suivis de /Jcl~. où s'amorçaient les flirts aJ1ec les cousines, les .imies des cousines et les amies des amies des cousines. On y exhibait son premier habit, en y risquant sa pr.:mière romance: " L'insensé "• les " Sta111:"s d~ Flégier " 011 " Page. Ecuyer, Capitaine "· (.,n v ;ouait aussi la co·médie, en un acte:" Un monsieur qui prend la mouche "• " Le Chapeau u, •· Ure tasse de thé u, u On demande des domesliques "· etc. Et d'aucuns y risquaient leur première rel'ue:" jar· vermille ou le pion récalcitrant ,, ..

li y a11ait là un au;ourd' hui grand directeur aux finances; un futur avoué près le tribunal de pr•·

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J?ourquoi J?ae ? 1057

mi~re Instance, de futurs Ingénieurs el avocGts, an ?léputé en herbe . Notons que le cercle existe tou­;ours et que, tous les ans, un billlquet - un au moins - en rfunit les membres et anciens membres. un peu érars. Un st.itisticien, dit Sand, a ·.ricult! que, sur cent phrases prononcées par les cori ~fres. septante et une commencent par les mots: u 'T' e sou­viens-lu ; ,,

Quand Morelle al'alt l'ingt ans (air connu), il n'était pas plus gai compère dans les sociélés d'agré­ment. Il y remrlissait tous les rôles, anc un 1oycux et infafif!.ablc entrain, depuis celui de commissaire des /~les ;usqu'ù cr/ui de régisseur. Nul n'avait son ingt'niosifé pour me/Ire s11r pied un programme, pour assurer des concours précieux aux cc soirée> intimes "· pour ima[!iner des dfrertissemenls in­idits. les mamans le choyaient, les papas le citaient comme modèle ù leurs fils et les ;eunes filles fai­saient des rb·es quanJ il paraissait, auréolé de sa bonne humeur, transfif!.uré par de sa1·anls grimages . // ~tait /a coqueluche du public des Intimes et tout le cercle ne 111r,Jit que par lui.

Il c/1ant.i1t la chansonnette comique comme Pau­lus et la pavsannerie comme Ou1•rard.

Quand il sortait sa cc nai1•eté 11 des grands bis: u j'atm' bie11 ma (lit' sœur "• le bon rire fendail d'un pied carré la bouche des auditeurs.

flan1 /~ 9ra11d' tla'lr 11ù ·' què 1.i1

/1'11u11 •1.r moi.1, sari s ri< 11 opprtu1frt, Tout I' mond' m'upJicfl' grand nia11, J/c1tt rnon nom, r·r I Alczandr" ·· •

Lorsqu'il entr.iit fn scène (nous en a1•ons le sou-1·cnir rrtcis, c.ir 11 nous a kt plus d'une fois poi­reauter inl.:rminabkment dans /es coulisses du Pclit Pans ou de /a Salle Malibran, ai•ant que nous pus­sions réciter notre modeste " Hanneton ,, ou u Le Naufragé " ou " Les écrevisses en cabinet particu­lier 11 011 " l.a grcve des forgerons n) il en avail rour frois· 1uarfs d'heure bien sonnés. Ef qu'est-ce qui mms rest.iil d'urp!audissemenfs à glaner après lui, si 1'it'nl'tilla11t fui l'auditoire de parents et d'amis . d1tt's· fl' moi, fi! i•ous en prie .l

l 'ous sou1frnl-il aussi, Morel'e, qu'embri~adé, f Jr [,7 suif<', dans /il troupe du Théâtre universilaire, 1 ous /ûles l'i:n des principaux interprètes de .. Ro X, (\1rod1e lé umincuse 1·t péremptoire en !rois actes de qu.itre ta/:>/1•aux "~ Il nous soui·ient, nous, du succès i'tour.fi ,sant que 1•ous oblintes, ce soir-fil: qu 1 q:u /tif, f'lu ~ /or./, cl'/ui de 1·olre carrière finJn­n erc, 1/ 111' d/r.i(su a rt11111emenl pas celui-ô, rn l'i· gu«ur t'I rn sin•érité !

??? P;u ii rl'11, l'oilà ,fo11c une physionomie qui St'

dessine. l>irt'Cf,·ur dt la plus bourgeoise des 1>an­<1ues Jt• llrind,,,, ;\l, .\1orel/e est l'incarnation Je la /1ourgeo1sit• Je Bruxelles et de ses i·ertus, comme dit le comte Carton de \Vi.lrt.

.\lais, dq ufs U opolJ Il. notre bourgeoisie est de i·enue cxp.ms1cnruslt". Il arri1o;z dcmc 4 t\f. ,\forel/e

dl faire, pour la Caisse, un grand voyage en com-­pagnie de son collègue et ami, t\f. Paul Hugeux. JI i'isita l'Espagne ...

L'Espagne! Tangos. duels .·t st!r.!nades! comme dit /a chanson. L'Espaf!,ne! Les manolas, les f!ilanes, les sombreros, les caballeros, /1 christ sanglant de Sfrille, Tolède brûlée de passion, /' Escurial, tom­beau de /'Absolu. L'Espagne de Gautier et de Bar­rês! M. Morelle aimait trop la peinture pour ne pas sentir quelque chose de son c/larme. Mais, tout de même, il n'était pas cle ces imaginatifs qut• le nom seul de Tolède emplit de mélancolie et de i•olupté. Ayant consciencieusement i·i~itil la vl/le el laissé son compagnon se griser d.: beautés littéraires et ayant décou1·ert. à /'hôtel du UJo, rri's de la place des Herradores, un certain 1'În dt• la Sierra, il s'amusa à arrêter le nettoyage de /'estancia en " trustant ,, ce nectar pour en faire de /Jrgt·s distributions aux domestiques et à la clientèle, sans s'oublier lat­méme, de sorte que, le soir, du haut de la galerie du Patio, il donnait, impromptu, une représcnlation de marionnettes bruxelloises. Ce 1our-li'l, dans le corps pt1rissable de il!. Morelle, diruteur de la Caisse de Reports, n'était-ce pas l'âme immortelle d'Uy­lenspiege/ qui s'était rél'eilll!e?

??? En temps orduwire, ce qui l'Ct./t' en lui, c'est

1'4me de la Caisse de Rerorts. C'rst lui qui l'incarne à /a Bourse, forum financier de Bruxelles: c'est lui qui, peut-être, représente le mieux son caractère parliculier. Lors de ces fêles du cinquantenc1ire qui 1'iennent de se terminer el qui furent un peu l'apo­théose de Morelle, M. ,\ fichet Le1'ie, président du conseil d'administration, rappelant tant de 1ub1Us financiers, où nos plus illustres banquiers célébrè­rent avec componction /a gloire et la vertu d'être riches, disait avec 1111 certain sens de l'ironie: " La Caisse de Reports n'est pas la grande dame qu'est de11enue la Société Générale. Qui sait! Dans cin­quante ans, peut-êlre, recei•ra-t-el/e les mêmes hon­neurs et le roi Léopo!d ///, comme l'autre ;our le roi Albert, assistera-1-il à sa nounlle fète ;ubilaire. Pour le moment, nous nous gardons de pareilles am­bitions et nous nous tenons d notre rang. Celle ré­union est intime ... "

Et, en effet. c'est en intime que J\I. Theunis, qui était re1·enu parmi ses pairs, leur fil des confidences asse: mélancoliques. Mais il n'y avait pas mal d'or­gueil tout de même dans celle re1·enJication de mo­cfrstie. Auprès de la grande dame, la bourgeoisie tenait so11 rang. Dans cinquante ans! . Eh, oui, /a Caisse de Reports sera sans doute devenue une plus grande dame encore. Et, ce iour-lâ, on inaugurera la statue de .M. Morelle, brandissant le masque co­mique e11 place du croc ù phvnance. Cette statue-là ne ressemblera p.;is du tout à celle de Shvlock. Ce sa:rù celle d'1111 bon bourgeois de Bruxelles, d'un bon financier el d'un bon typt•

LES TROIS MOUSTIQUAIRES.

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dicAllon; oagtr~!. rlc momlrst&!l~ns dans la ri;e tl \OU!, à l'écart, 1ow 1ou1 lro'ttrcz les main,, l:omrn: •11tcto· reuf'6, oo .... 1<1i.1 ld.i;1l<1:!5. oous •pprecrons 1olrt p1ll0< rc-·,que: comme dm lcun, nous appr<cious 1otn J<U c~. 1 ha osoph~. ri 11ou1 plart ~ œn1lak r que celle llu0>1< qui, p.<.1r nou1, 11'a pas ète ncllO!éto à lonJ p;ir l'itrre I• Gran~. ne produll que des primo'«> .ucerbes. d<• d nu-clVlhsb enc~rc 11nMtU1» de ch~n·l· li~ J, 1u1I A 1 ur• n1c1.u1 tt Ju ,..,1.111,.wt po~l<!<l. Ji1IJ11t1 ••U ph1l<>SOJ•h ~ Il 11111 11 rn.11111uc di~ >iecfl'3 de ci11-l u~tion dciritre l'UX (tou t cclo, bil'n enkndu, •nul '" cc1•tJ11111). Il ''" uOU! 111111 hlc po• dêpla1~unt qu~ rc ~oit un llus!I<> 1115tall~ eu Ausl l ne. enlourè d't~arcls f'JI' k1 j · L•udrra~ il .. s 111Jll·•• de l'heure, 11ui ait i•t~ le ltlalill du d1u ur dans 1111 mo .rnl aufs• passionn~nl de 1 h 11011·• d 1'1-:mparo, que c~ Mit 10~1 qua jctin 1,, uns ~ur h.,. outrn 1 s por111 de celle nauon qui croit barn, dl , me· ~r k m me J u 1a. ~ ,j, d<1 ri:sw rlu monde, 1 fair< Lillrc. prolalcr d u d CQrbE • I de le5 ha1~1lk1. aurg;r ço1111 mm ni, ri put. d~ '< mps rn 1 mit. calrr.t r c ux qu'o11 a l 1 • ICI' un• 1ur I~ ~1itxs u lrur la ant ùe b rno .Ir ri <~ le! s~·s ant d'Ol"';•ooo bablrqu du itc • ~u·I o. l 11, .,.,, 1 U", 101r'I' Ru•tie r~uu. u·1 leu L ~·lus inl ! ni, So " 10 tlrfon• bi n eu r• can ~r la eutt , lour c11 cf mrur 111 uou~n.êmr,} t1 ,,.,. un splen '1Jr 1selc11 rnt, 'Il r J'i<'i rn rc, ~nt de l'oulr~ r.;1, 110 l'rn•1, une .\ngll'I rrl' r1ui 1lniic; • p~rwd:quc:n nt I ~ t1~11sc de S:.i 1 11f r,'""· \lh1011 1ivo.., ••x• u~t'ri1 d\; n·~1r,. 11n~ au1ir111r111 '1111;1;, lf..rll 111~. 1n nlln n>. dlr nQ11> nv

oril 1'1111: l 1 ile \! pu , 11u1 1lr '"~m1 1·ou' l l'O\Qrn •tu",' r die· !'T~. f.11

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\ou• D\Ons Il' en rtcou>1ernt11t, u ln oo•le, c;us de 105 1ho1111cmtnh G"' Drrl\<fll Il ov11~l1011.

,\oQ• prao t• n ' al.oonr <.- d, la.·· bon ac, ucil à la qu1t-1ance ljUI lrnr >Cr: prés,nltc, ofin d'e11!Cr dea frais 111ulil •.

bas ·~" .mpôb

C..IJ Jt1 al! Jlf" 1 •Il jo uu l'au ln. l-1::1 goJu1crrae-11~11ti, qui crc,·nt J~, 1mp •'> Jo11011t 1'111• nd '· uuc lois •li l't1utrc. d 1.e qu"un ~·uuurgLl tl>t l1p f.'ll\ nu cri de:

,, A lia• ks imptl1~ ! • Il, 1oe111eu1 a\'u11 l•s ntl'ai.cu1~~ , ai.s ''" du mond,• pour éWIJhr dl'S irupOU. Ils 11cul'cnt ~uie a1u11, I'"• da l un i. anpe lrr~ 101tl!, 1' .1111e Ju pu·

lac ; ums ;i t'r 1iu!Jl1r 111• •Olt jJ1110 1 d· lurmèrc da1.s ~ unncl vu 01. l't·ugii~·'. l'alfoar,• !111i1 var ,, i:at": le cri • 1 A b .. .s 1 • rnp6:• . • nlc11111. ln pJ1fl d'op os1l1on s'e~

pa e: "" Il• •l f·' trr~ don,ul m trrs brare ac &o

a 1. ma> crlJ Ir na.ne ~u Ir omphr . \ l•lllat9_ ·r c~ que, 101. d~ 11 ~ r. lt public. c'est

l.Î al, rt •'11 IUI pl l, en l, u 1our, dr Il<' p:i.• payer 1'1mpôl•. rr 11<> •onl pa• les i;ou1 rraa"l , 1 ont le dro11 le lui Il irnpç, r. rr. 1!0 \ l•l. 11• d 1•on1 oc conlorrnc: • 1:1 1 Ion• 1>011ubir .. f.'«t l'esprit rdm~ •le nos con•li­lU ions 111011 rnr•.

- llJis o1l11••. 1h<1-1·1\l5, que tt• 11as..•NJ 1 11 ? [&11· loto• '/ !' 11,;l• 011h" Joui on fi pr 1 o.t [ ~S le •lN~il ? \près (l1Ut, nn \'f'I rnÎI bi n. 1 C'S r1 11anf'1t fCi 1J"l .. li1I fi~ HU ni J'l!<· 1~ t(IH' 1l;111s k~ imp1'1I" Lt• puhllr, .1 qui on u 1li1 <fU<-'

l'F.l:ll " rail ru1n~ ~i 1~1i 1w 1\,ul pt141 dïmpl'.tc, o hl·sit~ Cnln• b 1111ne 11,• l'f'.U.t ri 1.1 1 1111 (' 01111. Quoi q11'1I NI

-co1I, 1i.:1, 1111 heau jour. il ~· dus.f ?t p:nï'J ri Ir 1Ht. ~~ fou lt, tl.., pou\C.ar, lee ~eranls '• ITIJI, n' 111ro11t q 111 <;e

nforn r .1 "t'" iudit al ons. tl la it11tJ1o t'\11 la \'trr.a. Qua.nt Ut proph IÎt' lunehre, d lin n j fi, r' t' \Olldr&ÎrOl

JK'Ul-<'11re c ·~ qui n~u< r rt'lll r il ! au Mhul de la KtM'rN'. qui. au d1rr J < [ ancK'n, Il<' p U\I l p:iE durtr !:.i .. dt" tro ~ ~ain i,

• \llons 'h ~ ur, par· t ra np~11n • (11<111< chan­sou) , •• :. •"·Jt·blie 1· ' 1." rarlouch!'I l.f:f.I.\ !

La réaction anglaise t!t le continent

l..1 1Muite élrctoro1k dco tru1.11lli!WS •'l la d1uk iu 11. llo1n•ay \lac [lon.ild uul ll:mpl tl'oue l••S r.C.11'<?110!• u111

1

u, ,; 1ou- 1oulr1. ks rtactio111~1r.~ Ju co11li11 ·ni. En l ri1n""· 1 , ieu1 du hl• c nn11onal 50nt nn qoo·s. l::t le ait 1f'I qut1, pour 1.p momcnl, c i:e qm r.onoer ne la

1

1.oht11111r étran~er., "· llcrriN ull tout t fol! ~ en l'air ». hoir fait 11111 d. concc:1.>ions Io un a ami • et •~ 1rou1• • tout 6 coup •lcant unt oulrt del!onO C't'St dur.

Ct.:1 nous, le re11rement ongbas sernL:.: 1101r uo po J

...

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1060 Pourquoi Paa ?

PALE·ALE. ST OUT & SCOTCH CALDERS C 1

• NECTAR. RUE KEYENVELD, 61·69 T e t6:pb. arva. • lll .14 • 277.01

'.()umê la t~I(' à qudqurs jeun s talholiqu•., <Jui ''<>icnt dfjà le curpa füctoral Miualbt.: echoppant à la f~ruk M M. \aodtn-elde. r Ça •-a leur fait" birè di!S bHi-e:. •. noue d1"411 un Mputé. Ptul~ln bien. Le fall ~t qu·~,. ne sait p34 du tout, dl ce moment, a qui la thute du go•1>eroem<-nl profi~r:ùl. Oo ne aait qu'une d1osP. 1ie>t qu'elle ouir1111 aux •11Y-au1..

U Pl\l\ F.:.St,;R '! ER llOTCJ. C0.H1'E,HAl - L• mrif/rir

Evacuation de la Ruhr

Enlin, on ., .• ,ue, le .:ommeree 1cpr,nd d ln machine ,,.;,. l~ nllOUolahle • \end ti, nu 1f.bsaut.

Politique a nglaise et d 'ailleurs

\ous ~·•1110\f"& ns.,.·z el,•nntt; quawi on 11:ous l•tltl(\- des d1fiérenl5 partis poli11qu~5 ui;la • [A,';> un- ont a leur prognu·1ne k prolectionmsme, d'au1r,.,; l~ hbn.~echan­g~me, et CeJ 1?tn5-la s'mlltul. nt libéraux. tr:1•'11llî>t.-,, con.«ervateurs. :\olki, n1>1L• somme< catholirJ11e:-. no~ somme. liberaux. 0011' wmm<·s ~o<'iah:tes. l.eo. arraire-;, le libr"-kh ngc, 1, finance-. le chôma;;e. l~ impôt-, q_u't31-a qut ~·e·l qllè toute- c.'S blague;..! ? \ , tl•'< -lions, pui <Jll 1 I v • ,1, .. cathohqu111 , n eau ront l1~u ;.utour d~ l'e\1(t. nc0 • ou ile la nou--.·\1 ... t"nCl' 1lt• Dwu. fA.·~ hb.'raut sont pour kl jumre et '· droit, I• • ,,Ji-t •• , 1(114'01 le draf' u d'un... C3USê llljSh•JUC. "" •< uc 13 clal;No oun1~ •• ,\b ! comme n"us •omrr ... dt:i g<Y1s •u­pl!r1t'urs. nou.; nou> nous ballon! !"'ur d.,, 1.hle<. c.;, An~lais. pour de. inlér~t. imm~·hat;. QIK'llt', petit<! Jèr'6, peuh 1

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\olr' conn:ai O!"I> L1.:11 d ~ mir.~ h,-:;o Oui, • niu'\.'S rlc kur grandHSt, eu.>~ nt !ail ~US-'1ti1 manJer I• chd du traia cl lui 1 us cnl "'J1l111ué que, cc,mme il.s do11,nt tout" ltul'!I heur<• au bier: "" l"Etat, il ne kur e•t pa. permis ll'n g«"pill r quelqut >-Unt- dans un ,.,,,age inutile: '11°U con! qu OC(', f, chef tilt i 1 re arrit r l~ trJin à M.>111. lfai• ~Ire mini$lrc u'~t pa• ,fc ""111-l~ : il prt!~ra. pour n~ dèrartger P'f'hOllU~, fJirc li· lra1N ju'IJ'h"' Pan..-.

c!"~ndant. "' gaflll' à !Jiil. ··ntr .. 11111\t'lli-,. el \f.,ns. 11 u11t pré:.enle i;on liLre·parcvWlii J11r 1,... clu·mir•s de f,r bt-lgu. lui d11 :

- r.. train fa11 un cvurt :ire ~I • \ulno)~. ~u, rt;;lc-

mentaircm<'nl, il ne ['I end ni '"' h\Ïi;st- de rn)agi<:Ut'> ; mai~. &'HIS duute, aur1MOUS I• krn\" de d1·•(,ndr~ ..•

c· etait parf;ut. et le ministre commença ~ ~~~ru qu'il ne sernit pa. obli~< J'alkr ju,que Parr.;;. \lai• w:Jà qu'il <'aperçut qUol', dans le 1<0 ou il y ""rail con1raint, il n'a11ai1 pa< iu-;i<2 d'ar~<nl >UI lui fiour prendre un coupon Pa.ris-Brultl~ ! E1 iJemme11l, il lui &t Eufli. une luia 6 Pan:s, de lélépbon• r ... à l"Eh't<"-' pour emprunter ctnl francs ou. plu, simplern.,nt, d'all<r trou,·· r Je chef dê l• 11nre du No11I et d·~,cip"r. !kYant re fonctionnaire, Je ""' titres el quali1; .... Y i, 000' aYons J<ià dit que cda n'r t pas daras sa mani•ri' . . \u•oi «'><>lut-11 ,i., tht>rclu r. à ll>ut hasard. d.tn, le train - on ,,11 qu<' k-s "agon~ commu­niquent par de' p ...... ·1t·llr---1>uln. h - un \ 16ne i;ulf1· s.1rnmi·nl ronnu de bi pour que 1 .. prnpridai1 . Ju1 3\an1·,1 t la <><Jmmr. Il tr.:.u1a. (i 1 aulro l>0ut du tra111, une daim• l1i<·n cunnue à Bru1el!.-. la l<mme d'un dt·pu~ lil.oi:ral, 1 •1ui il etp<n~ L'Ji•m<nt .on c.1<, <t qui lui r.nu1 [ .. li.Ill· •JIJI'. Pui, 11 <attarda {1 cau•<r nlP<' elle. Il 1a11,ail ton i"u"' qusn.l I~ tr in >loppa à .\ulno)•'· 1-:n 1111"1111• 1~1111'•• l~ ga~ l'•"nétrail d•ns le cvm('l\flmv ni tl h1i (riait :

- Dt;ee111f. 1 ni~; on n'arréle •1ue •1•·•l•1ut5 in·l•nh .. - lml'°"'1bk •ht ], 111inisth' 111wiloque: f;u lar-•

mon portdeu1lle dJn, mon c<>mp.11 tirne111 ! \'111gl &'Cl.>nd•'"' ~pre•. le train ,e l°"mtltalt en mallh~.

rmmffianl - dHinitiHm'nt. die foi- - le ministre A ~ri..

f~ 111i11i,11(.· rt:nh. o lttU\•·11 lÎ 11 ... !..i ni1i1 .... an!t 1~u('

t'a honiH• humeur t·1l1 •·te alfl'I"\:< "" ~,u '"'''· tout 1k mt·mt". d'n,olr (>à'" l11Jil ou r1•uf h un~ tu tlu·ru1n tk Ier tt fa1l uu lO! ~ qud n .., f,,.111 1 molin, 11 n·a,~1t .. p~ l• ~.

r C'O'iQl1ERA 'iT .llEYF.H'\ • , Cbocol•l fondant t\lra.

Économ ie

L'~cono 111 nou< ù~lige " Loire , ne l10λon hygitnique : t>I le Tl I.

Défendons les sites

L ~ ' • pri* IH li\ J :..-H~ 11111, :.11 ~r.a11tl JJ!ll J l.1 collcctil1!t, drhonor .. 1 duo< • \\ odu''"' 0-t uJe, p3r l't1~11 n 1!'11111) • ul, n .u:wn. moi- L la 1•IU< 1 lite l'l 1a 1il1i-. ::.al"til di f(Ul ~Olt "Uf IJ rullk •• tnr:l pcnl· ···tr·· t ..... 1111·illt·urt ....... tff11 .... ,111('11t1"·· r:11" ,,. li.ln1 •• 'i· noo'"

J a\oJh dit rc\ 1ll~ l'att nll•Jll, ft1 11 11m· 1~ tra\,1l.I\ a~11t o lt CnfnJ'flS f3.ll dtrnl• r Cll d h d< la •Ull. \ 311>llS thl 11ne 1 " h. L1l,111l- 1!11 1 li Ir - par 1 rnlait!1.­~t·flh.:1tl du 1i.1\ ~ où 11-ri out tvn ... tp11l 1 .. ·ur ... r11~11 ... , 1"' 1f1·l~. s\.:l.'l1_•n1 1ttourn1· .. 1..:vllh{" l· mwhlcr tlL~ J'n.1\au\ (HJ .. Lhc-. a coup "lr coupabk d'mflul ,n, t11\rr• l• ><>< k conct~·ionna1re du Ui<J. Il, 'ont • 11 ~ppe'•'t' clu remi>k •· J,.,, Îf3\JUi rubfit• Jll nllnU\ltl•' dl' Îr3\8Ut publics 111formc. LJ coosi·11u.r1c.• doit i't11• nor111.Jh-mcnt I• de" Ir u<lion J.• la mai,on n cour; ile c~n;truction .t. sïl y u , ~u. lJ J, rlu n c d. I• '°' 1<!e '"""'swnnaire. Ptr· somre ne ~·en plam.lr•1I, 1 1 ut ~Ire fi s "''" <' 13 ~­c1d1.". En .11l nJant. la t'uu1mi .. .;11.m 10\al!• d.:- ... \f.JnUmt-·u~ · ·l rli;;~ $11Lti a ru 1'1111 '-1Urnhon 1·\e1l11:t:. d ~Il l'JlllllClll

pr~-itlt11t. rouiour, \31llant, 3 tenl JU 11uni>t1~ ~· Ileau•-.\rt; pour •1ue celu1-<1 a.JI une ,uta~· coo>er~.dJCD .-.~ :wn wllc;ru; J,. Tr~•au.\ pubhu •. C't>I b1eA I~ ~

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Pourquoi Pas ? 1061

=tth• l<>«i11u•. C'HI eu nom c!e la ~aut~. c"e•t au nom è• l'arl, c'ctl pour prl<.·rwr une partie du paya qui • ~·rdé lout aon car11<!~r•, qu'il faut intervnir. IA'$ qu"t ll(Jfl~ .J'anl~rN• •~nt ~elle•. mai• •ub<iJiair«, ~n l'œ­f\tte. lln peul dpêrrr que l· min1•ll" d" l'lnl'lruclion ru· Miqu" n d • l~a11•·.\ 11~ ~ meltra lacil• nirnt d'accord oî"' •on tvll ·guc J><IUr f 3Ulet la bea?IJ ~I< - dun•s •. ro~nu

11 lor i "'' d•mnndt dan• ls commumcatroo que h1 fort lt S<irr..i~ ru,11• ~ • ., \lonumtnls ri ~ ~ile•.

L'élégance

ne .-urart N1 e complète :..os rhau,,uru. di> gorlt. l.l':i •Jl.11lrnrrr$ H " recommandent par leur hi:ne rl,.J(ant~. J,.u1 1!ôupt1·!..!t. la tpraf11,1 d.-·1;, cuir:; tl r•canx qui <-nlr.tnl doro< leur hhr ic~tion •oi~n<'t, q aus-1, il f•ul k d11<, rnr lrur pr" uhonlalol•. .

\"ous H~u~ <·n nndrrz COH1J•ll" •.:n t\am1n..,1nl J.~ ~ta­la~ ... fF. \c.r< set•'l !urpr« du choix Pl dt' la lr~«e drs h.· u~uurt~ t1 """" •

La fin dea claaaea moyennes

\o•i. a''"'"'' ..•. ,. doul•. à l'érnluli!'n d'un phen<>­nréne q111 s'est "")" I' o.Jurt en nu<sΕ el en .\11 .. magnt, IJJ;ll• îri rlus lo•nl1• 'l rrut-t'lre pllls ~.-.~~ .. T"."""'"· rrt:­:-11ri'r-c. \·1rlf·ffi: 1 Ir~ d,•~"":t nW\l"nnrs s .11H·m1~nt ~t JWrl·

1 onl. Eli· s out 1J'nilleur> r•lt.- ·\Pulerio qui int .. Jll qu'on :111 p1!11• rl<s 1irli111r•; rll<'s l'onl H•1h1, lantur l11; . tani I'~' pour 111.~ . . \ ci\li· 11'"11"'· on \'OÎI donner dr~ s1g11rs ''" n1alAdio grn1P, N J't'Ul-Nrc mortel!<', leo; eln~>~• dll• • IJJ,..n1leo, 011 -'i·lmu1r pourtant qu'cl~~ "1irn1 si mal dr.­fora~t.~ du finir; rllf"S n'auront. h1f\Ol1\t plu"! r~ honh1~ur. 1:n France, un min <Ir<> C"« ntidlcm .. nt dernocrnr111ue a .rnnonce qut. c.an~ fr111r rornple d('t;t d1"t'laration~ d< ... inlL .. 1l"Noi•c. 11 td\ ru ) ..... méfl,..carJE. &\'oca,t~. liltt:rateur~. etc, •ur i... >1~1 • • 1ttr'. ur- de leur fortunr. On ,·~1 l~rt in· •h::n~. J3d1~. ~uand on arrrit qu'en Ru-,ie la ZU• 111llt. h rra'-~ <t b 1oou1ll rie Na1,nt rie ri~ucur. \')Us l •ll?n•. ~ ami,, nou< l' allons ! IJ11and on part~ d,.,. prol<'5'<0ri5 ht ... ra~. ,on &'o'tonnt ronrlanl qu'cllt• •fl1•nt ~· mal de­l•n1l11M, p111"1"'' r,. f'!OI tif.« qui prupl. ·111 Io' parl•'-1111'nt•. 0111. nrn1 c 1 ~ p:u fl'Hlt'lllairt·~ ont rir.-. d<'rl• ur.s fil 11u\ni•Jr•·nt lt 1•1,. 1"1 1fr111" h1tn pluo;; qn • trur-> ronfrcre-s fi l.i1r• r11ll1•g11 <. t)(,1 t\pli1111~ lout. ù:~ l111an<irrs n'on t r• tt'."i fJf•tlf th•, l11\:f'"'= : tl"' ~3HOl ('Ornnll'nl OO r..f llfll(l)ll '"°' Ji.lni-lit•o •• I.('< 810• ais le ni dr la politiq11r rro.lur1i1r. li• rt·~l 1·11t kti pàm1·~·..; 1l1.1fttc ... ~''°' Jf~ ou 01èd11rin~, pd1t"' fl\llUUf"t'('11llli f'llUI, que r6n p1IP f t 'JUt' J'o n prt'!'\'IHle ~()Il"' la mrulro fo~r;1W. C IJ d11111n, h1•"n ('Ill• ndu, ju,qu'au rni.>­mrnt 001 1'1111 lli~cn<• • I l.1 \Ol"nk d• q1 •lqu~ hommr Mrnuniro11t ri monlrrr,.nt rp1'1I r-1 'l1Jf•11I• de ~nd1~ au l lj ( h "'"ra"t .-.? 11 ' '"''b Jl!i"'"C'r nu rou.

On dit que les femmes

rl 1 l I> U• une, quelle ljU• 1!-0lt •a iac•hrë d'•t~1111on. "~ r"'urra arr"" • ·~·'"r 1- arc1a ph<·ne qui. R11 r..otu•'Ul' de \IJ~1r~ùt!·, a raric, a r•"tll port• le prrm1orc 1•l•cr.

\I. Curli• ~·,,.,, en pffd, rla"'e premier rlaM le ron rours du « Co1111 rrr l'arfoil » et a produit, ~r.lcr ,\or DICl'.\PRO:'I~:. 8 ldltt•s railaiks de 1\0 mols en 30 mr nuire '' '°'!" im(IO!'é pour la dirté~ cl la tran•rtiplion.

rr<r ['l;<>IJ\< inconl~l~lolement la f'llpfriorit~ du ''" ! m• PICT IPllO.\l: <1Jr '" aulr<> melhortc~. l.M h~n omt< d'allairos qui •·tu~nl gai:ntr du ltmJl'I pourront •'1drr.,•r utilement prh l'Ag•nt Cfnéral : Rob. Cla-11, !O, rue Jlea...; • Brux-llea; T61. tOtl.8!.

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En Crarule-Bretagnt, depui• que aonl connus lt1 ré!ul­lat• dr• dernière' t!l~li~n!, on dit que lei libfrau1 appar­h•nnenl au • bn•-parly •· Pourq11011 Parce que. les quel­que quarante Mpul<s hbêrau' britanmqut. qm ne !Ont r~ r -lk sur I~ carre.'!u f•eLI\tOI tou• prendre plaee facil .... nr.•nt dan> un seul c bu! • londonien .,

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Hypocritea

Dan.- les manii;.mcts d~ goul'ernern~nL•. ce qu'il r a 11•• plll'I rnrai;eanl, c'est leur h! ro.ri&ie. Adnmu le- nou­rcau t tarif> dou~nicr; qui \ Ofll tlro ;ippliqués. :'Io pl"?­non& qu'un paragraphe. Lis.'1. <'<'<Î :

Ms 'Ç'ins e.n fût.$ tHr11.nL moina d~ 12 degrH, acquittent. :arluttllernent. u.o droit d'entri-f'I Jt11 60 1rœn1.."t l'bedol1tr1. Le droit nou.veau, appliquf en n:t~<'ulmn du • n1oclus l*lnodi •, 111.-ra de 62 francs, alors que Je droit ptt\'11 au tarif douanier ~lait de 100 francs.

l'our lf"I \"Ïns tn L9!til1f, .non moutMnx ],. drotl ~tael, qa1 t t rl·• 100 !nncs l'hffto.htre, t:t porU l 260 fra.001 a'J. t ru drs 360 franc.,. pr~nis au t:t.:1r douan;tr ..

,\\te cela. 1·0Q.; connaltr., ln joie de 'a1oir que la Bel-1!i•1uc e-l hbrr-échanùtl'. Cl clan! lous ~ facoun des boo• larceurs qui prtlin<knt rtsumrr la 111uahon kooo­mrquo' dP la C~lzique •·i;..à-\ÎS du mon~. 1ous appren­Jru •1uc la l'-Elgiqu<) OUI re a.lm irait!. ment. bèroiquement, «• p<>rtr-, au' man:hlndises du mon1le. On "' t1oot p~. ici. fi fe IJU~ ~ portl1'~ "ôÎ~nl ltU\(lrf+'5, SI OOU! tfr\·ons

1 n èlœ dup<'b; mai• nous lrotl\Ons q11'il tH d'une hypo­rri<ir rra• propre de Mrlan'r que ,,.... pnrto 5 "'"l OIJ\'Crt!'• 11uattcl, en realitl·. elks s• nt lenni.,.s.

Automobiles Buick

T .u, r ., qui. san< \'OUI< ir r~rcr "" prh ctorhilant, rech1•rd1~nl uue •·oi111rc dont la heauté de ligne. la puis­~an • tl Io 'ile>;c >or nl r,,pre•~ion de• dernirr~ per· lrctionnement• en mJIJ/>rr automof1ole, ôo11·en1 etaminer ri e<-aitr la nnu1elk r.,.i•k 6 c'lindru, I~ UP., aranl d1 rrendrê une dcri,ion do finil ' • •

r \l L COl "I\ ·,:i rue r.altail, Br1Jultu.

Le langage des camps

Il • a de5 é1êqu•~ qui aLu«>nt du lan11a~e nilil~ire L'l·1l·1f11e d~ Grrnobl•'. qui ,'appelle t.aillau1, a sonn4 le rallit·mcnl - c't;l lui qui porfo - •le !o<·S ltgueurs conlrP les lois laïque,;. Il avoit à se• côt~a uro géPéraf nommé l'eyarl. et pa<1a ainsi A qui nu• cenL• j 1 nes g. M r • L'hrurr dr la mobili.•alion r<t prnrhr: <oi·rz Eur Ir qui· l'Îl'e ! n r~ Caillaux nnu• paroli un ~I tl un prHenlÎ('Ut, Ce ~nl lrs é1·êqu.' dt rr ~enro, tes jouea·s dr 11ross1 cai•~ ou uu1 qui font d.., mouline!• 11rc ltul" crosses, qur ~loig-nent de la rrFgion lee lt'-"' I~ nlus tol~~nlB. Let rnkannlw"8t au~"ant <1"5quelkie n maiotenani Il

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1062 Pour.::ruc1 Pa9?

a oon u.

t m:ttan d'Vanl ni un comr r11mc 1

~ 'l5 comme \ouc «onl ur'\: de. ~50 1 .n •.

\l n ,·, 1 a•it c h'>•c: il !

Pour co:uolcr Verdavaine

P \Tl"'f.llll: Il\ RCll 1 f. 3~. rut de l"rruyrr. l 'han::rmt•n l d1' pr. "'r"l•tnire

.• ' rf- d 1 r.. l ' l.;t • • t. Orch lrt S\ ph n qut 1lt J11tmi r ordre Salir& po• r M •. b~I el 15-01rk•. - Hl. 2:1:\.0S

Restez calme

Q11an1I 1. tlon.•ll lie -tu 1 phont \~US donl>è un man 1 ~ n~m r d11 IOI< d 5Ullt, C

0

eïl... 1~ mon ni pour unt C,\n \ \ EIJ.1'

Les ci. rc!te. Cnra1dhs 11-0nl tn "nte rartouL

A défaut de l'~tat

L l "1 l Ln>n d• Cn"b< 1 en •~t>. 1a ocquêr1r unt n•ru1at1on mond.alt. :'>ou5 ne .a1on1 '' le cm~nr1 01011 l'œil bra~uè •ur eu• quan1I il> •e •ont m1< à uplrer 5Ur la nand're>ul~ de :-.aniur. Le spedac!e m• r1l:il d f:re tnr g1<tré pour l"éd.!ieallon du ccntcmpora1n! et même ile 1 o\Cn r. On aurait voulu 101r 11 cts d1Hr& h ­ron• d11 motrur: marq11i• 1lu 1·ol,1nt et 1 irt>mlt$<.CS du ma­cllron, &'fa cnl la maail-rr. ~ped3rle 5)t11boliq11• en tout a .. et prll :uratil dt J'a,c 11~.

11 c,t ê 1 ni qur, d'1c1 peu. nou; deHor.• tou• mell e la =in u la pé!c dt1ant la 1•arrn"e 1!. lous I" coq'll de m~IJtr. Pour ~ faire plater un Id tletlr1que chu Eo•. il lau1 .!!n m1lüonM re. Le pnl 1tn qui •~ut ben con • crer ~on t rnr· Il cclto •a1anlc 1-.:<c:nr. Eli uigt un l'< ­

l~1re plJ• • 1 ,.,\ que ne ffra11 E:di>0n lui-mëmc 5~111"-rn..01, il faudra appnn•lre. Lr m tier d·• cantonni<"r """l peut~re pas i la portle d• tcut le monJ.r. QJant à «lui ile c:i5~ ur dt c:ulloox. il a une r.putall~n pre!que h -ru1qn· On ne ·~Il trop r>0ur•1uoi. ·l'Jillcur . mai~ quand 11 $

0a!!ÎI 11'1 tprimrr un~ OC••>gt•C inl'l-.i• mb!ab!cmcnt r·~ nit.'~. oo dit: • J'11merais mlt'u1 c <>•u des ca1llou1 rnr 3 grand"roote ! • r.1 c"c...<t «la •1ue n~ automoMI s1~ ont lé !ail'<'. Du prrm1er coup. ils •e .. 1nt allaq11~1 à la

~ran.te d1Œc11li.. On ~ura1t 1011lu ra•su, ce jour-lh. ~ur b rouit \nmur-~mLfont. tn u1·e a ·pcrbe limou•illo', )Our 010.: le pla151r ('..; leur l!!"fr SIJn •bafK'aU. Il e•: •r&i q11·1I• ouroirnt f"Ul-~trr r11 l"idle d~ !Jir,. dC$c('lldr • <~' pnssont rour:oir. pour l'in\'Îtt.1r à y mrtlre un toup à ton tour. liai; on •011Jnait u'oir. Glt°""' qu·on leur ~ lrt's• procbHtrbal, ou b1tn '11-<c qu•1I< on& ill P"' • par ~ gou1. rnl'ffit'nl ? L'ar,ord •11-t-11 nallr~ ~nlr, t•a •t !"Etal ? l'ui•qn'ils donncn1 un •: lion , 'cm11l~. "'' aut"­mob1' -tts dr1raitn1 continutr. L"au&o ob1!i•IA! a ~ n­pu lion il<' pore rt de bonne li~!<. 011 en 1 il « qu·~ ., rcul: on lui •id<> ~ po, h • ; on le t-:111~ il to ·• 1-. cure. hm<> en su•pNt, rt •n1ll ma ntcnnnl rt11°1I en «l r.!.ltnl à enlrel n1r lui-m~m • 5(3 roulf'. Eh b"rn ! C""' ml'.Qicu · s 14' n m n rouli~r• &ue1, ni c! 1drr qu'il• rd~t ê• pa,.r le r< im t.o nulM10h11ist.. jus~u'au prorata ~ •alaire• qui lrur '"nt du• r•our 1 ur tra1.11I. Ce !t'ra11 là u~ gr~nJe l•'ton moral nu'il• donn~raicn1 ~ lnllt', spE· i&kmtnt A un ~o \\rn<IIl(nl qui. par 600 a1id1tl d"un•

part. 'l r =·c rt son 1cnon1nr ...... l"aut • donne à 100; 1t\ ciln! '!..• une k.-c,n tun>lanlc ol"inunornlile.

La noie d/ol:c;I~ nra donnl<'. ,fan• \Olrt m!~rirur P'r lu lu•lr~ •t bront s dt la Cie B. E. l.. (J005), r.~ ru·' Ir ln n"~rnce. C.i ''Il "·

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1.es contacts indésirab1es

Dunl'"i uo r 1;,1.auranl de Pa i,,. 11n (rinr11onna1rt- 1lu mil!·<"· t~re de- hnanc-' Mjrunn11 11 c d<'< eomrni~irri d .. po-1 •• \ l h<!urn d"' c1 r ' le maltrt d'Mlrl leur ttnd un

bnquH. L• fonct onnairt con•t t qt1C <• briqutl ,..·, l as 1sf3mp1lle. Il in,it~ l~s rommisi atl"\~ dP polie. a Ire>~ r pror~•-Hrhol - ce •1ui •Et rail • roilt ""i'"nl.-. l' lraoCf pour l"oimobW- rn~l'rr 11"h"t 1.

faut-il odmtrer lt rPr dP ""' lonl"I t1nnai~ dM Fr an­rc- qui. il Il r.n rl°lln <\rPI! ni d!nrr. llf p 1rl [&•ri \ les in• èl• .1, ITt11 1 Il .... 1 r~1f~1n qu' n \llrmn11n.•, r1l h mme o!Jt trn 1 l'errro~tion cfn ra•~. T~ 11 \Il n d 6e ~roll •0'1Jairr, tD tout et rwr tout, dt 1 El.1t. Toc!

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: ::-..:rouc.i F as ? 1063

\llcman·I ~ !""oit ohl·~e .i., denoncer les p«cadi1Jcs il. eon lOl!ln, Lo 1\n~lo-~ ions ..nt, d'~1! .. w:rA, Io 1~1< bl•n quto DU"'•• iu1q11 à un r rtlun po:nl, de b mfo•e laço 1.

ul , '· ' 1 1 o r r es. un mcon' ni nt : nous nt 11Vn me! 11ma •tût! do ne po• commtttrc une 1 c<•t (>'.'C­cad11' v1 ·I 11 du Ci•c • c I• ne df•honorc p s, cela peul ... commcltrr r r tn= \ 11.nc... On peut trfs lucn \OUS 1 ndrt, ~ fr r, u11 briqu t non c~t mp;Jle, s. •1uc ~~us 1ous n a c~vocz. 1 """ poui.• u101r en poche <Ica nllumctu-1 q•oi ne sont 1•ae .le Io rl~k. fünic, 11 1<iu• dc­rntnr l ol, r 11('! f1o 11he11 5 1fon!(<[<~, OU il \QUI~ \<cl

ricepll•lOlltllcmc11t IOllS rcnolre Janf Ùt6 t>ndr.>ilS 11131 lt·~. •111 nté!, 11 1011' nd1irniltni1 d"a1·oir un., ;11·mr en I"""" [lan• C'1 tM·IA. llC r1 i'·qucnl l pD! lœ •hil'b Je 1 ~;1 .. 1. On peul rtnrlo" 1r.in11ro~, 11 lctn ut<lifl-. 1u«1u'ti rrn C1.1•ain pornl. Il ! a ein•i IJ,"!ft lgunli<!~. tir• oourhris, iles t.our· nain; M"ulr~111, dans la pr111q11e, on frcr1urn10 I""" Ct$ mtf1icur1, rt 11$ 11'01'""" li pn• d.:in• le monde. !.es lo11c­••onna dr 1 on n s tal"nl un J•Cll amphiLiPs; 011 nr les <ru) Il r• tou' s.,,~nls ; 011 r1tn•. ! Do11\ • 1 •rai­l"" t<1mmc tout 1,, monde, a• c ccltc conl1ance quo ••i:•IC p rm1 dt11 t: n• qu•. même tn <khors du cor:tr41c 1 nm • dtol Il<? la 101. "' naumt d'<'!lrt Jt-- honnft<'< i:cn• !>'11 f UI u mt , qu'on le .ache.En &kique, l'n~<nl c!u f1•e a n quis une rcrulalion mer1lt'e En Fran('(', 11 Prll! u clt donn"' rft.: cnnnaHrc un romm1"~air~ rle ~'lice QtJÎ

lr~•1uen1a 1 •l• s rr11lit-1a ar•1~IE"'. \ou• 1.. ncmm~r·nn• f' 111 l·lr" 1111 pc11 trvp .. ,rt• ,c~m(lnf, <:Î uous Jiswns '1u'1I 1"11111 pod • rt 1111'•111c poile lrl~ connu. d:in~ les IC\llC! ar11•r1 ... 1 n jour. olo11s un cale (1 ~qucnlo rw1 ,1.' rn11in• 1t 11«1 ~r•ll· ura rie lyn, 11 cul l'orcn>1on d',1prr11-1oir ~ Jnl.lc, 1fa1 .. 1'inJ~1 <li\o fics lit•i'-"Oll' \,Il Î~<, le COIJ» 1l'un n 1111 d1 lil. 11 Il• hri.11cba pa•. Quelque 1 ·n1p1 aprc.i. un de ars nmi• lui dis.ait : a J'ai rn cc que vous a1iu \U ! 'o • l}ui », 1 p0111l I f, COITIITil'-DÎrt, « j~ SUIS COn1• mina rn de p hco; ma je ne ~ui< pn- m ud10.d . • h1~1inc11on ' hhlc 01 c le zMt d'v1 aJ; nr du lîSè et «ks hnclior. ~u·cs c! f nec.;, en rr~nc.:', f.til di1paraltr •• 11Jis, cnlrn, q. 'on le ' dot fi qi;'on pl't'llnt A l'tgud ~ C!S lll<'!'t "' IH pr 111 ns a3mtairoS que de dro t.

~Tl l1P.'J\Knt ~I\ <'j<( la 1 ilurc otlrc a1cc laquf!J on port r1 arme 1no111 nciJ,nt.

lq· ,,,. Clnr• ,,. 1 J;: rn· .Je T '"/.01t/1, /Jn1 rt/ltl

Quand y n' da pu, y da co

Ça fait plaisir

L U .Hi•i11. 1 • ni de rccc1oir un sourire ~ le R~ publique lrançai-~. L<'s drux attire• pcmcnl dir• qu'ils en ont •alAa I•. f.t - (lud1qutm nt on n'en parlerait pu d3>~ .. •1ge 1c1, -i no- bons amis du Roplcur, de ~.),.,,., n'y 1aknl trouTé rr ·~xt~ i\ iln~ mamlc•lation po~tiqut.

\' 'd: E1n bon camerluche ~la .. Rop tut •. Gtorgtle Oarnir, Tié\.

d"tlo lomm4 Cbe,·•l,or do 14 1. g;on d'lfonneur. :\ oa U Jnvouyon~ nt>! pu.t biaux romplutninl.I 'i' D. Rie,

N'lmmt'! ptat d a \Ïr1Jrlùi, tl ~hl s>*1110 qu6 "°' allu lin ~'' 11uil n~ cow.eyons · f. D11r.ie Oeko11pe 11& c1mltr À Garuir 1u l'air du Doudo1.1; f"' , .• "°u1mo 11i11 P•JHtr d'muaique.

.\ Coors•-• GAl1:\TR .lu<0ur, J..,tl.r•teur; Mon1oi1 CaflG, Cht<,al ·r d<1 la Ug1an d'llonu~ur

Oeorgu à a ' fort bonn• t1Ht, Dl l'id~ il ln o, JI é<nt J1n1 n' «U(tle, Qu'o.a appe1Je • Pourquoi l'u • •

To:.t c' qa IOrt do 5 tl'ntH• Ctt j..,.., 16 ta r'• t, SoJ, hie. vue, nOU\t....,

Cëe pùué, ch "" 1011

I comhat pou 1' bcou' <a• ... Lis i'.ia.. P1U fQÎ, nJ 101, EJ' vo prit d' ttoir' 'lu'll ou, Us r'm•th à pltc' tout doit.

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Lo • o.urlicuk • otè u l1a1n 1 lléro rapp<lle une peti•e hi<••J<te, ron•te p>r lime ile Uo1gnc, danJ •es J/é­m Jtrrr.

Lo us-f'h 1.ppe a••ll nnobti lm •a' 111, c~l~bre à celle poque: li. 1Jualrcm~ e. ~ dernier e11it dcvrnu le b ron QuMrcm~rc, mais 11

11ra.1 •oulu. comme t•"t oi' ulrtJ, pou1oir ajot.: r le ('"r­lirule .i Mn nom.

Il •~nhar1lit ;\ n11tr lrouHr le l\oi, q111 n'a:ma:1 pJ• :. ~~coup le; c'i~rnr,-,; 'upplfo1rntnir« oie <~U\ qu'il a1JÎI 1l1lj~ romhl~ oie'" l.1rcurs: u C'rsl hts bien, rêpo11rlit-1I A lïmro•l1111. je 1ou< arro11lc l.1 p.1rlic11lr u de" Il. Qua­i cmèrr. ma' ;\ une ronrlition : r\'~I qur 'nus la lassiez l gun·r, nnn ph n'nnl 1·01rc nom ile lomolle ... mois t1(''\S ! »

l.<'S 10: • l"'JU• D"Ortim ni! en ru!M •. •01rrtC" el , lnun: H- 1rou' ni à L \ 1 !LlE DE !' \I\ T-ETlf.\\E, ' Cl, cl1ausstr d'/.rrl/u.

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106 l

Comment on écrit l'hiatoire

DL un · • ~. 11 dom· • aut d'E.utl .rior, Jean-Bernard nou• 'rar1~ M kanne Rac~ll , et, 'Oils pr&,tr " ,J;. Mba ra• r <~lie hi•loir. ile "''n !air.•~ d~ l~endPS •. enjoint • n or~ rcll· <-<1. l'u1•. 11 t rit:

AJOclons, ,.n term n.act, qutt t"#tt>nd.ard prl.i par Junn' H.acbr-tle ~s:• tOUJCMH1 à Bean\llS, ou on !e mo11t:t: vo1ont.icn

l'lil5 t•J'!Onnt, fn me à r. U\ '<, ne Cr01l à J'authenti cité du fJrMU\ dr (""1U. ~o 1• &\On< flè qudqut5-um. depuis l'an l~:)'l, "' Relgi•111~ et en Franr.e. à Mrn•Jlir cd~ l<P<nd~ - 3\• tout• Jr, autr'6 qu'on rtpHe au­jourd hui.

Et 1oiri 'l•M lqu"~ rnoi< :. peine qu'rn l.t ritt drs Gill<'!, l l'occ <on du j b1l d'u°" ' .. ,ne MX:im local!', Brou-1ai<ie°' • l flin h • < ~\'0<)1131Cnl, Df<'C d < not.s d'êk>­qu<>nr.• l'hi ln11.,." •A, '' ruri•u~ 11'aillru..,., du RllÎd-On.

Phébus et Borée

F •1, • Il eiima11ni1h •.) Ri>r.lo! ~I le EOIPll nrcnt un \'Orasreur Qui !e tr:in•porUÏl par oonhtur -IJ;i~ uD<? auto \\[Ill\\~. fa o.wt rapide rout.t.. - lt '0' dnus, rl11 le 1ent, t~ le rn<ttre en ilcroute ! - Tout à t·m aise, ami, lit I' tre au\ fiers rn•on', Comm<'n e 1011 tra,ail: •ouffle f rt tt \OlQDS •

~J f•J !'CU~ l'ar 1( r. t;ar, tD le Cé 1 ODlTaÎn, Je le monlrCTru mM, qud e;1 mon <a,nir-l3i1t ! - Panons. rqril lk;n',: t'I J me me~ en 1~1• . \'oilà 00& gcn,. ,J accord. fit? !<>uni• enï.:111 ~ni f.ll' El L ven1 se d haine, llppo-an1 ,a p11Ε$anrl' \ œl~ de 1' •o; la po11--1~r..- 'êlancr

F:n lourl11llor' rpa1• , I~ 1oJltr< rlr• ma1"rn' r1aqucn1 o'ec Ir ca•: ·~ c"" "' 1 < fr· l'M ;:ont lran<port • au lo.o, .1 là, •ur b rha~·t'C, ChJque p1rrrc en le sol, ~ trom,.,, com11rr~sér. î'tpe11dan1, la \\ l'.11!.\ \ \ •'in 1a lllujour- •on train. Parco • r t < n,; , anu1, le bcel du cht'm1n. - ,\ toi. soft--.11. a 1r11 ! fane(• le \leu\ Hortt; r' Ile aut<> du d mon n't•t r < mime arrairt'<'. Ltt~re corn tlle • •l. 5"n mot! ur det ""11 r~rt Et ~• r.oque •c phe • l nt il.- mnn e!foll. I~ ~A,i:, tout hcurem, " m(I 1lonc à 1'ou1ra~e: !I braqur 1'<'S r3\0n· <ur le mOU\"l!nl blindJ:' f.t rhauiTe aul nt qu'il (lt'UI: mai• la l•l•I<'. ai1{rO('nl !'rend la tcrnpera•:ii,. t j ni>r• ne la r~nd: ' I.e c;m: ~ en 11 u. 101"1 bnllaalP. l!.'lns 1fouli', ~·r1np1 h t·n ri.rn 1•awo rle fH•tJl1uhre "n rflult-. f l le pui.«>nl 5ol<'il souffre don< sa fierlil. ( \u ·i ~ 1 n-t-on 1u, durant !nul cet tle.) ~ 1\1:1111 \ \, au conlr.i1re, art,. ><>n en•luran,c. 1 ou1~ant !'- ha•rbttk-01,ion en rnoins d'un demi-jour. Le qui d monlr rait â 1 ;ire Je plu• IQurd Que plus !on! 1fori:c hrurri qu~ 1 iolencc.

Cammrri~ D'JETfR[\ FRCRC~. 50. nie du llail vnus1101 Mlrt ru/uni p~ur ln Bdgiquc, /a Holla11.1fr

• I lt t;rand.n.,,hf if, lur-mbourn d" rarro•#friu 'F/111"'. ,.

Un pont suspendu

Luni. .q~·r111 : 'n . 1 nnt C(IO~t; u.J rer:-onne1 de loutc< le\ _ailm1m-lrnt '>Il,; de l"f:t~I. POUllJUO:. ntC dÎrN·\OUS '! Le '! no,unLr n"c.•1 pa• i:n J ur ~ f h. Il parait q Je s1. l• iour des. Ir pas.es tnmb.nt, celte annéH1, un d1man­"~'· ot le d1man~ht H~il jo.Jr de lie~ et ~ kmnc!-6e. on • a p u pu, c• J"Ur-16, oe liYTtt inglnOmtnt aul: afOio-

lion! lnditic·nnelles et aller f.ij,... ~s dhotions au cime· lière el â !'~~lise. Il fallai1 donc po11•01r ~· r:illraper I• lm demain.

_r~Ja n• cadre pa• i:-~- 1 irn a11•c 1'bJt.i1ude que l'on a pn•r de o~ pa• attrn•lre le :! pour aller neurir l•s tombes de Oii! prc>rhr!; eonfondant la Pie drs mot!! 3\t'C celle de to"• Je_, •3m~. c'est la \t !Je d ~ i?ur cor.•acrt que ltJ admm1>trahons communal.- or6ani~i'Tll 14'$ p~lrrinagH fun~J.re< pour lc;qucl! ell,. r qui•ilionn•nl le• h•mbin; tt '"" Lamhintt< d., l<ur< écol• •

La 1erit31ole raisM, c'r>I •111e si le jour 1ltS mor!J n'J,1lil pa> eu la maladresse ile r(linci.t .. r awc une journ~e de repos domini al. mc•-ieurs I« ronJ•-de-cu1r aurai•nt eu un con,:t! .. 1pplèmrnlairt, r• dont on n'• ra• •oulu les priHr. n ne laut la ire nulle 1•cine, ml·mt lt~~r". A cos mt"1~. qui •ont ele<:• urs, et 11 fa·it le~ co~olu de et qu• h péréquation ile. le.1Jr t-:iil~monl parait accrochée en rouf,..

PILSE~ .llOC:SEL. Rière d• lu t t,

En la•• et tn bo>u1eillt!. f, léphone : Bru\• ll•s 1~6.06

1R1 S à raviver. - 50 teintes à la mode

Sur les plates-bandes du Pion

ùm· a 'Ir< f·>Î5. 'i ~ h L k. IJ ru• di.• Qualrt· n~. . iê- ;, En l'lntfi;>tndanu brlgt du :;o OCl'1brt. II. f.h• ries !'arolfa, prof, -•enr ,, l'l n11,ro11e d"Edimbour11, a di ulè dns quall • h,·poth • < qu'on p()u1 Dit elll i>ag. r à rropo• ~ •'•:et• !!• ani:I i•" :• !' b parti tra\aillt<te rnainlii·ndra ou r1·nforcera ., rrprc!'<nlahon: ~· le parti l1bêral maint1Pn.tra. au!mi nt<·r.' o ..Nlu1r:1 ~ s dfc.:HI': ;;• ~ parti co •"IT t•ur r '::IJ" rt r une u to1re int !mil eu 11 mainh<''lora im('lem• 111 ,,, effccttl•: t lm élcc-lions ~'ront un• r ri toi nrhc ••

_.1111• pourquo>i Il. '· a quo a d'ail~ r< F .-~ r. tnornph" d~< <'t1rl' ' t• ur , appelle-t-11 <•"' hipo1h~>. 1·

rt - la d•miè .. , .ie• alt•rnali•~ ~ • •fWllN' ,. aller-

Nou allons d·1 nc: uamtnt'r hr1êum,.nt. 1f'..s qu.atre aîtern.1 •1~~ 1 !If: ponnt . JI noas rnt..e à ronild rtr la quatr,f.mt a:~c. rf'.

.\u' Chamr-·Eh .,, '· ou 11 continue rert"':l à lire l'ln­tfcprnrfanct, l.01lrë aura a<"l".enlm• rncnr,. 13 irrimace qu'on lui connut ur la ttTtt.

\l TOl!Ollll ,,î['. uPEn \ l El!\' r. <:, r .. llfll[I I\', le. fa1lc;; \trifotr, reparer ou chars r '~ accus par -p~

·iali<tc,. Lil'rai,on< rapiJ< , Il 11<, f:tnl1/111rmr11ts Tren· t /' ,f· Z. a"b 31>. 1 If •·, · . T 1 :! l!l ' '

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L"irnfant d <'.hœur, roun1 d"un panier renfermant. ur." 1L.._1"· d~ colomhf<io dtu t ru licher 1 c ou d~ u1: lhA<jU fo • fUe ·" 110a curi ait 1 t. ~ • :-0.1. nt Eapr t. desecadtz' •

A an momrnt donl'l4, le pAnler e.:~nt. "ld~ •~ lt cur4 ai.a.nt. lœjoon plu fort 0 lt p3U\'Te en(a.n.t dt Cb<!11r affott H d#iclde l P"""Z' la ttl• pal' la lac:arD• 9' aJ# dt tcafH ittt. l t'>tœa 1

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!P"Ourquot Pas l' i065

, 1 n• da p.a pon. inon-:~:z l" cnrl' Fau~i t.IP'f"r r te.hW anm;" • (Il a"7 f'?l 1 p!:l•., momirar le C1;rf! Faut-il jtt-ff !• ruutt anc'J).

ft \OÎfl Ullt! ~I ,, \•·ni<tn;

~f, n c r c Poorqt:ot. ru! •, A\tc pt.ls1r J 11 )Q, il y a qu1nu JOUl'J, •otre hl~toire enti·

cl1. ricAI", rruu11. «'ft' t.it:iot vtodrt'd1 duo 1er onl'I rtchfication, jf! me Jlt"rnil'fi d'ta rafre untt a mon to11r ou plutlit.. de vou• lOmmuniquf"t lit nrsion qoi avait COU"'l' an eoU~g:• il 1 a pla-• t'Urt al'lf ~r.s.

LA pnmi.he part:o est La mlme d t~u1 hrasl~. la 1e.rva.nte d ~ !ol le Ct.Lré, d~vat• Lâdln la rofombe à la phnse convenu~. ~M&J~mcnt, ID mott1tnt oppc•rtGD, 1. CDf& A!ADt !f't'é la J"UI' , t à b pl&<e d• la colom~ t:apbras e IUSP<Dd•• ~Dire aal ~t tnre '"t. nbibatt tous tt1 darmn.. J-"t, Je euré de- d1r•: • ~ltt chtt1 pa.ro:» ens. nt reçndez pa.s • et, dan a.n t.nit. de ~RIO: .. QtJtCODf'lP~ Off ltvtr lf'I yf'UJ: tera -~f'Ug!~ p.e.r feJ 1 .éJntn•

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Variations sur un vieux thème wallon

, o • YU hur... • ;ul' rlu t:_d J la < 11 11• rd li qu• lqu·un.

l' ' lue tût un ou-rirr: le di~logue Ul\.nl 'Pn::a~e: lie ! l'o ".'!<', n' pourri ru rn' donntr in coi1p

,J ma ? 1 • l pou d <1uint /1 1\ ~Il· c Pm' 1<-nllW' qui 1e d 111111.

1 fo1I: niin r•l·H q11'dl< • 1 El 1•1• auto qui 1;a. qon l .. 111 11 ' dt11\ ]1"11 l"pôrtf'r 1

IM 11<111, nw1n ,·fa\N hoou tin~·: 1r11and "" nr. on •JI 11 r trc '

Panhard-Leva&Sor

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De la rwanze

On lit dalll5 le Soir I·· récit d'un baoqu~ en l'bonll"lr ~ \l. \"ier(ndeel :

Out.re lu personna.11tét qui prirtht put l la. m•nifut.tioz:i, on r~marqu*" tncore !!Uf. Stvtrin •t. .\lommtns, de l'Institut dt Franc-fit Lodewick Schol1b1•t1, du "'.ltttn;taat de Bol· land•; !lir Joê Meganck. do la Tochoic School de Birmin· tth:tm; F... Peti.aa, directeur d"' tr1.,-aox publics da Grand· Daché de La.nmbourg; J Corbi•n, profH~nr à Lao .. no ..

'"'' tra1.-, Bni<seleoeN a111•i rit-':! ont ét~ ~merv•ill~• doc !tî•~ , qu'~n !enr "11-ib·· il.

T ea Room de la Royale

TUE O.\~S.\ \T lrs Jlercrtdi, f"rndrcdi, Samedi tt D11nm1cl<r

ORCllESTRE JAZZ de prernirr ordre.

Ça ne lui a pas porté bonheur

0 hl 1an; l• Te,.,n du ::it od ob.,.: • •. Aucun nou\·e.tu résultai. o"A #ti.i &.nDO'D~ depUÎI tt ma

tin. l'.vtni 1n pt-nannalilh 'J'U ~D1. prrdu lfttr s:iê&e1 on cite .\f. u,.mitnde le célêb10 &\'0<'.4l dant il fut qof'tl..on pour un~ d•!!. d1Argf't ju1'idiqu~ le\ plUJ impnrtantu lon d& la oou..Utu. tion du calJintt ~lac Don~.Jd. -'f Jlf'u1merdl!I qoi te pre11l'ot11t rornnU.'I c.-11ndid1u. ~iafüto a ét-0 b11ttu p11r ton concurrent. con• ttruttor, lf'qotl a lriomrh~ awio u110 mn.jorilé de prM dl' • 1lf.J) VOIX.

\nu• l'"•l11n~n> qt> 11. lf,.rnme JP rl<>it ~Ire bien embH~ .••

Les plus belles soieriea. Les moins chères

50!11 • 1, Il \J:-0\ .• 1. \ ~"( 13, r o< dr Io V11ddr rit,

/Jrtutllr•. t" mrillrur mardrc <Il •01c11cs •le tout Bru,,lles.

Ceci eat bien dit

On l1l .1 .. "" Je Cnn//"" · Je me nppellv SOUl'eDi. ~ •C obunat1on qaand je lit c Ponz ·

quoi P.1-!? •t qa.1.Dd je \Ol.I lt1 .uc:l~ gnnch11o1.nt de c. )OU nal pl m d"t>pnt 'lai .. i - A l h<e e actnd:e - le pirio-liq "' belge qui a ttdnt le plu.! gros l n,:;e

t" mm" l1 y a à Brunllc.• - l"heure du c. Soir ., , 1pec:t.aclt uniqu4' - f:4:ltt' foale qui H prf"Ue au~ a!rntoun;. de l'ampri· lll("flO rlu gn.nd f1Uolld2tn pour a.urr1 ire h parution du joUJ"• nal: •I.e nwme il y a. chn!'i l utc fa Ucl,.:iriut'l le' jonr du t Poor fjU(ll Po1s r • J qw f"i<t 1•.• 'l'l1iJ1r1l1.

('n jour ln, li y R ~\I ri! Ut"h;r• un hnt soit peu cu.rieu du d1n'4: du p<1.y1, qui n'ad1H~ on nt- liM" Ir c journal daa Trol1 ~lo·1 •1qu:hrirs •· 4~r, tl1 trois ho:ouit li j,Jr.t, ~ r'i\·.;uns notOt.9&, M IOOL

ftn ntr~, fJ.UÏ oot. foud6 ttlt~ f ul !J bon, qui 7 mt'Utn\. ~ lnM r d'~x tni"ma, toate )f'ur or.~tl, tant.fi k-nr boa.ne tome.a; qu1 e.e K·t.:. adaptk m•"ttlll"O.M'tnu.t à l"~me naf10· ila '", h ndf'11.~ tt bon ~nûnt

C'..at. a1n11 qu.e, 10U! 1"0idma11Jtntton upat.e d'u.a lùtf'ti joor· nalut~, qu1 connut. la mini ho à l' • Etoil~ •, ..t poa.r qaJ t.. • thromquP • 0'11 pu de J1e<:tf"t, <'fi JOarnn.l ptimesaobtr, qn1 p1quo tan• hltast>r, DJAI~ qui rique ju1le au boa endroit. comme lt'* archf'r9 du Grand ~rrrtN1L, connllll 1.., plu• enviablM d~· tin\t"I. J ttn Bl••tt.

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La bonté d'Anatole France

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- \131< ••. JC 1ous n JIC .J1t 11, \ nalcle l'rnnrc Na1l bon ; 11 ava 1 c H 1 t n • d rœur ('<IU1 lt'F petit •

3C15: c huhJ

01r1 in m1 au d'm Cl pu1• OOln C 1

1 ang• rroh~m•

n1 .... 1\ lit\ '.\1 1 .\ P \ !'\ ,~;.rue ile l'Ecu)er \,,,, 1rm1 ronf1Jrl - ~11 fu1r t Ul$tne

·' ,z tr. r 1 rm'111blt 1, \ 'Uttl.I;, 11lac., ..,~i1111·. (':1tbrrinc

i.cnre f'ru111N. Paris

C1'.tmpagne BOLLINGER ? llE•IEP ORAND YIN

.uaqur contre C'lcu.cnc<'nu. \ nal6le Frnncc ne M ou ng a pas a;:s o . Il 1101. a r.ris, ltud cr arrc rut •mou le ' l)k, au mo:M ],. Ε>nJ d·• •a polatiqn<'. Soul le cou1cr1, on allen1hit la rorti~ 11 Jonmcnls 1 11g~un. I.! !qucs- m • a1 , po 111; r.t m~ i.e p rmi 1 c 1llau-11 l • ,,... ,1 mand~1.11t si w f•tlll\~11 t\bran~r I• ro!om • d<'.' n:1.1 fi la rc1• f!il-<e m~mc dan<: un r1.:mcucrau. llu mO!!!CDI ou Clcm n rau r ndJil A l'El. t tont au moms 1-. Mnica 11 '001.lon~cr l!t' focrr•cs et un b ou jn~•. \ n~tcle !'r3Dc:C r pt t tout lr:inqu1 km 1 !A chemin d·• IJ n h ll"ric. ~t I~ do 11 tn!~ « 011 p con•Llu un J'accuu. ù"nl qu ht c<·uru nnJkl par Io szan.I c\c11· 11in lu1-m~11•t. ne coml tuent 1>lus •~tu Il w. al qu'une curio•i!! dan• I~ do .. cr d un a•oc t.

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(,., lt'~d~mam. n •re homme 1 port !euille bc;Jrr< d bill-t•, 11ia lrot11• r •on ~grnl 1k th311RC el 1, char~ ~ de lui acheter pour ~;.GOo l•~nr< Je rC1 t·onn taons q1û ne Caîsairnt q~ 1 onl r

Aveux suprêmes

l' n mori o• ~1 1 ru, Je ~a rtmmc. rin•1 rnf11nl•. 1l~nl qu !rc Ir~,. be3·1, ri ~ d nii r un horrru. : ou• l«:! 1,

be>llcux, tir. I.~ mari rr• I• nila 1 IQ~ OU<~ d <a lemme o'a•~11 pas fa11 c t '11font 1 ri!.-, m~i· rcll"-d n1a 1t i•ner r;1qumen1 loul<' m!;J hl • frfm. ur •on hl dr mort. 11 la $1tppfie d" lui a1ouer 1~ norn de ~lui 11.•CC qua tl' a ru ctl •·nlanl.

- Mai< •i. d 1. 1 , n pl ur 1 : je h j r<> que e'<-=I m~m" I~ stul que J aie eu do 101 ! ..

\o!re h?mmo '" ·l n ort du r9ur.

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Pcurqucl F o.o ? 1067

Candeur

Ln '. 11• l'rr·!~scur d.:m·_ f •ÎI, l'autrr jour. • un ~tu· diant: c Q .cl ut l'auteur du Songr âuttt ,\wit d'f.11? • l,'mtcrrog~ !1t crtl.r rlp<u·,... aburis~ante 1 t Msm1oll.t :

• Toot re qu' je puia 1ou- allirmer, c'e..t qu.• r•• n'o.'$1 I''' ffi/)I ! •

f• aoir-i., k- v~ ux pror •• seur di~ait à quelque& amis rfoni• rW.t h11 : ft Comlll('l1t trou•«•z-voU<S ccttl' r~pon!<! 1 1 ts jeun~ S n• tf'•uj()utd'hui t<Ont ('3rfoig bitn tan• g~n<),,, •

l'nc i·~llMl r.•mm~ qui CL«i•t3it à la convernlion int('r· 1int ~l m11rn111r,, 111nnmcnt : « A rotre plar<', \lonticur lt prnl~utur, je me rn/f,..rai•. Il y a If(', Rrns qui d~r1"­" ni qu'uno mune n'r-r I'"" d'eux, alor!I qu'1t.. 1·n 'Onl l tl tl liitn l'a111eur .. •

~· ~l~ut prof• ucur, I~ knikmoin, o«iflail à llll(> ~i· r~. Il a•a11 lrou1ê li cMdi1lcment drôle œll.- rêlkxion tk h jeune l<mme, qu'il ne pul ùmp< htt d'en Jaire put ~ un group.• d'im i1'-. On riait I> o~.oup, quand. tout A ooup, la 1Ml~c ~ mai!"".n ~·appr0<·ha tl dit :

- .\lors, M()~ieur I~ p .r.~.,,,.,r. 1ou• ne 13,,, pu tn"""' 'l' . fil r, 11• ur do r~ • So,ge d'une nuit d'~té? ..

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Contrepéterie

f. 1to,v ur.<1 qui, •~°" tire lameu!~, a nhnmo1n1 le mcrite rl'N"1 au1hrnt1qur.

lA! rur~. Ir llQ:olirt ri l<l doctfur du 1illa1tc n1ni.:nt lï1.1· L•tud" de ~·· r~unir hrlrclomadair"m•nl. f.ommc c'é~iit'nl ~ 1 1t<n& d'.l~t. rharun nvnil fi'S f••til< dt'fout•. IA" no­l11rc', Mt .• mn~nl, ~n1cllnit "1111·nn1 dr• hruils iurongru~ et rarartllri1ti~rrr,, ll.1n• urw de h•1tr; r•'un:on•. le r,111~ k trompa N, dar" ln r<1t0n>!'. l~nça un : 1< Oui, Mon•i•ur kt l~nnN ' • (. li1 u ''" notai,...).

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&ud.ol'lrnt J11mLon1 - Froml\:t• ~trc<rlo - C4nn•• - r'"'Plu·• - Ombttll"

SPIDOLEINE

la rentrée parlementaire On r>..:itr~. Entre tuù' 11:> tMAlmJ d~ la CDp1t1le. telu.i

du l'arkment • la rnanôe. f4< hl"u~ scl<>n k1 u111, tuper­lal11rm•nl e\r,.lfcn1~ ('llur Ica autrte, de ne rou1rir &es por li'!O qU<? le plll! l3rd possible. I~ • uM, .te ~orrr ~ nclcur;, qui pro!nllf'nt leur rôle au sérifll\, 1oucnt pour l'amour 1fo l'art el ti"<lnn~nl, •an• ~ fM,C'I', le k>U Utre rie k-uns pos<1ons politi~u.-.; 10111 cmnplc foit, 11• dohent bien ~Ile Je d~u' à rroi• doomin"S dan< le fol de dé· pul~• et !énnwun- a•stmblé• 5n1e! lr·s d1•mi-eo111•ol~ des deux a~mblMs acro1111fl·"' ou Pala1~ de la r'iatron.

Lt' autres. cc se.nt, 10111 ol'ahortl, l•fl &Cleu~ du SU$01l

lheàtre, enchanh's de prolorogn la flemme d<• 1at8[1(.('9 ju~u·au1 limites e1tr~m<! fi'~<~ pDr «lie bonuc frllc de <:onHilutwn, quo a 1 .. ut prhu: c-.Et aussi 11 n•ultitude de• conlrbuablt"- qui ~ dat que 1 • rien faire pendant de Ion~• moi! de rtpo! <511\81, ttil. !'Il somme, pour nc,s ho­noroblts. la la{On la plll!! ais&> il.' nt pu !acre dr mal. t,"' cro.:hons M pa) anl- 1 en oM donr a !" u prb polir leur compt<'. sauf •Jue la plupon d'N•lre cu1 n, 101ent rien du !pll<'tacle et qu• ll!i aulf'I'! nt 101cnt ras grand'­rltO!'o<',

D.ime ! Ir poulailkr de"' 1lru•1ênw~ gakrres, d'nommé p~mp u~m•nt «Drtinlc rl'Frrrlt ~u p11lrltt, peut birn con­l•nir quar.,,nie pince,, 1lont Ir• ,;n~I prrnai~r~s. dites : stallt'!< cl<> bourreler~. pNmrllent d~ rftlrolllrlr, Il une pro­fondeur infime, IN' crjnr' plu' QU lllDIO~ di'plumh des ~clcun.. La deu,iem" rnugét•, J'ou f'1eil ~I l'orcill.> ne perto11cnt rirn .S., ce qui >C J•3S'< •lan., l'Mf!11rirl.-. ~t rhen fr au1 rhôm~uN 1 rofc•sror•nds, nui 1•rlll' r< n!1on­nês el 8Ul grndarm·~ ~n OOurge<>r• qui \ <nlll'flt dan• h IÎMtur rie ce licu arcll<'1ll~nt, Y 01 hr1. r kur sre<le. Ce publ:r de Ch~i\ \O:t ('3rfo·~ $00 pelÎI "°ffiffi(' IOltrrompu ~r rïrruplion d'un p ""10011~1 de polarhr1 ou de ~irl!, que l'on ne peut ra• tou1our~. pour lrs con" ' du jeudi. a~ner 111 rirque ou ~i•n au rm#mn. C'r-i on pen.."llm bÎ<'n cruel, troo "'"''rnl irnmf ri~

Le rlocor n'i"it pa• wli. j"li, niai:;, r«mme I~ disait le 1·af('1 de rhambre du !loi-Soleil, ro1.lnn1 le butturl percé •le •on augu•lr matir•. « Jl<lur cc qu'on nll't .t.-doM • l Il""!. pM nill•Ur!!, innn•Mit.le 11 le fru purifiral~ur qur 1INrui~11 le Polais de Io \nli•>n. 1oir1 qwlnu~ quar3n!Al Dili!, n'a pa~ dèt,'rmin,1 Ir~ ;11«hil1~ I~~ dr< M1imen~ rivils A raj' unir le ra1fr<' ri Ir mohil1"r, ·\11 .~~nal. n'~ta11 le <ou1enir oh.<l•rl3nl ~"' drnmr• 1lr ln aanRlnnlt parodie judifinirt> dœ Oorh<'<, 11n t'"'I 1, 11 ' dr rirr 10111 h;u1 de­Yant rt drrrochc·z~moi~l'u rrhi .. •I, rr: 1•.:,:,n1, • htinquant •, ~ Mll\PQU rirhr. V fl ~.laortr~< nt rOugr <k3 tal''" tt des fautruil<, ft, "'11<'.'ts d'nr dc la p ' • mont..,_ dt c~ plafond tn 1url'i'. Io d•baurh<' d'! c ulrurt du j u de cartr< d•t ~u1trA;r.s. peint p•r f.alla1t, '?ut cria 11>u1 1 un air opu­lent rt ro~u.

« D,, mettre rnn :i.·~if<: <ur ~ 1 lion• dort~ qui ~tam­prlklnt le !i~g,, de' fa111r11il<_ on Je s<'Dl milhonna1re 8, di. '3it feu Julr.: ri~ E«3,I•, q11 1'a1rn1uni nu Sèna1 et n'eut I<! courage que d'y re<lcr un jour.

l.1 f.homb"' est plus nusli·r<' - Jans Mn décor, s'en­t•nd - que rl1soo•-0()11~. hl~r.rrdr 11 ri.fri~~rnnte. Virlor fornhs ju~1·ai1 111<' '011 'l)'lc• hlanr • rnlnfr11hquc et vert morn<r • H.i11 r" q11'il v RVn 1 t!r mù:·u• po111 <rl'tiler l'<nn111. l.r• tltputi~ doil'<or rcprnrlanl y ~Ire pour q~l-1u.- cho~.

? ? ?

ll'a!.ord, il. m~rqu<ot, en gtnfrol, L~z mal par le

Page 16: P1178C 1924 11 07 - uliege · 2017-09-12 · Gobseck. Vuye; à quel puint les traditions peu11ent pas 1•u, ce conjasseur financier, ce détenteur du se étre menteuses. surtout

i068 Pourquoi F as ?

r.oetume. L.l lam•tL~ r-din~ote parlem~taire <'t, okp 1is d~ IU!lr<~. allée r• joindre les \ icilll!l! lunes. C.-ux qui la tenai•nl pour riruh•pen•able uniforme, comme \nt. Woe!-­te, ~~rnurt, f1~rr-Urron, Lron O.· 8n11n, I' p~r" F~ ron. !'-ODt morls. t:'t lem~ 'ucc~ie~1·11rs "\\• • c.-.nt clL•pouil11"11S d,> C('S SOUCI• ~'t liq;.idlt. JI y a bien \l, flrun<t qtJÎ !~ l'­sist" à la porter, pam~ qu'elle complét~ n •ilhouct~ d

0

.\ 1-lre:! de .\1115<ct ~~rni•>anl~. \!. l• b.1ron T1bbaut lui rtt<t.e L'5<'l lidèlc, ce qui lui doniw u11 a•p< < t il.- saud~«>n i pau ...... Il. t".arli..r l'arll'ln!, t!tro11. et •trrt,., lor!qu.- œ Collw•rt de l'estr~me-~aurh< Ml••1H11•e à prop<» des hnul6 proM~m·' fmanr1e"l'; il d \~lit Nr" irrësistible quand il en lança fo mort.>, ttr. l\<ll, sur !« boultt11rJ.s .!~ "' cil~ natale 11'\lh.

La jaquctl.!' d I~ pantalon rai~ ont :uMi leur! ad~pl(>c. fü ajoutent à la 1ltstmc11on oliplomatil)ue de Il. 11! mam, au hon-qar<;«i"n~· allant dt- li. lh·::uuis, qui a toujoun< l'air, lor:qu'tl parait à a C.bambre, de r-.""r UrM> heure i un Îl\e o' cl<>ek. \lais le tatlleur d" ~. Carton de Wiart a "li I• mau•ai~ insp1rat1on d-t le horder d'un lactl, large comm•• i.. IJRr~ d'un raa~part J.,. deuil, ~t '01là Mltt excellent 1Je .. in~f,ur Blanihin r"donne !•Our R\t;Ïr gra­flli• '"tk tn'<>llN1<-0 du "<>hriqm·l : « Ltha~' 11~• ~·ul-Province-. •

L'1mpi:crol11<! jaqudtP J~ \l. IA'monnin lui conlere uni! nobk!•• rondou1llarJr. fell.. du comt• d" Lir•ltk rke, au oontnure, nu' poch.-. t'ncnmk•· de boulJarJ..<. r•'<hrt~ et pt>rttf,u•llc>. ~ondol" , l ~ tir ltouchonne comme un pour poiM d~ roturier.

c-, ~t d'a1lléu!':' â gau1 h.•. \oire ;, l'otr~mt·t h·. l'êlil~on« ma>Cllllllo rr~n•te •·S 11\rl!t\ 7•"1~hur--. Il. r ... ~r rr.<. et Irai•. r•t toujou,.,, rtquinque r<>mm .. un I'"· m1M" communiant: M. l'irn:o a troujvur< l'air de ~rttr d'une boltr, d'un• l'llll•' M toikttr, ra 1 a ~an.- dirt, et 11. tranck pla<tronne a1 c a1ant~~' dan1 un coat id'lin• .1 "" barbe ni mitét>.

V< ,·e;tolltl cintr •, 1~ ~k1, de fant~i•ie rt 1<6 ::uêl1"s blanctw-.: dA li. l.o111• P1 rord s nt, on ''Oil' rr·. de I• croi,., d'un h·m la111eur.

V. J.rathi. u do:! ~ fairt hah1ll•r au \\ ~t-t:nd lond~ nien, car il t:ar•Jc, mrmt en p Lin, l'a !ure d'un jeune lvrd. 11. E. \\aultN .1 .Je•• ""'l'ld• d'un<' rbrl•" "'""Œlanl".

.l!Ji. tout le r~<t n ' ut pas tripett•. lt• 50nt hahilltl$ comme 1·0111 et moi, c'c·l~-1lin>. par le trmp; qui rimrt plut~l mal. ((. qur frn 111~ ne \ISC n j,j rnmrnt par l'i na'. ID<)Ub''° p l<,•r.n d"" hUÏi:<I Tl'.

n raut li'S 1·oir align"'- ••n 1lo11fil• hai1• [•CUr l'tnlri:e ile M. 1" pr"'id ni. a is •n r ng d'oizn.:rn, iles deul rôtês Jr la tribullt', ou bien C!l(<or prome11ar.1, a"~ une lt~oe -u­perhP, dt>; plakJUl chat~<; de cilrunnad.• d;:n! ks tr.1-'~ qui • parent h • banqu tt~~: leur l;(·l habit œn· ~tell· de boutnns cunré<, l•ur lomde chaîne d'or. leur poitrine h•rro"e de dècoration;. t·11rin 1, je ne ~.n.• i111"i de ~i•tinll'U~. d'el.11ant et d~ brillant dt Jrur, altitiul. • j~tili., plein ni.ent ce. cri d'oomirauon 11'u~ pe111~ 3 mi; d un dtout~ qui, adm1<e pour la premier,. loi~ 1t11 >~rta­d". pllrlemtnlair1, •kria ' c Ça. au moin•. r~ ~nt de rbi" ~ ! Ce !">nt san• Mule ltS minÏ.ttE• ! ... •

? ? ?

Er maintenant qo" \'OU' connai•vz le cadre et le cos­lum~ des artrurs. rn se/one pour I• un. l,r 11 n n'c~t pa• pr~r1•~me~l lolAtre, ni emballant,

Rtpresentet-\OU•, d.ins le raux )Ollr d'un aprt•-midi de no•tmhre. un• U!tmblêe de gena. dont le baorard1ge ron­ronne dan1 l'hlmic•de, 1 pl'O'l'Oqll~ ni c-ttte rumtur qut

les alfoOIP'aphes appelltnt le c bruit dt! con,ersation• parlicuheru. •· Au-dcs•u• de ce tohu·hohu, plane le bu­l'l'•u pro,·isoire; il est rompo•~ d'un 1icux nion•ieur hht, Oanqu~ de deux Hiarms ahuri<. Cette mi!e en !rén• sommaire doit, ~ara!t-il, 1Jonntr Ju rr~t:ge ~III forma­Et~c qu'accompl1•srnt 11111ani~11 ment 11'• >(11t..:• el lt• hui 'i~r>. manipulant de p hb lu•eaux de boi•, qu'ils t:­rcnt de panlPrs d'o•irr r.t dont 1'.s ntrairnt de pcltts car­ton< blancs .que le doyen tl'âg<', tnut blanc, lit 11'une voix plu• blanche encore. Entrt!tm[', I• spectacle e•t dan• la ~ail• .

.\ l'extr11me-gauthr. on toit YonJen·cl.Jr, le • patron •· se promtnant de banc en Lane, pour d0inntr •CS u.bz<"< nu recueillir les conJenlices que E,, fid»lo'• lm hurlenl ,, l'<•rt1ll•. D~•trëe. le menton coir Ir· p<•Îlll:', k> 1•oin~s •ur li'! coud<· et les coudb ~ur le pupitre, con-idcre k• ~en' et 1 .. , chos• s de <on air prrpi·turllemrnl J,;;:ilou<~. Olt•· tin Demblon, les Jeux indu pa<•I• dan• Io' emmanchui cc da gilet, la nini~~ en bataille, arptntt l'htm: yel" • 1 mime des pas d0élan en fuite, pour If' beaux ieux de qu•lque 1ieille rombière bolchc1i•ante l)Ui, du haut des l.'Jlm~. 1 .. conltmp~. Camil!<o llup;ma~. Mr111 ti••m~t lt<è sur l.i totale incompreh•nsion de l'ironie pJ. ,. s lru • I<• compar"'' Oamand;, 'a conter·~ ro«eries à Il. l(.1<­•on. l'un de no; rare.s homme, d'[Ut 'JUÎ ' ·h r• re sourire.

fÏS(h•r r~us>it encoM :i plJc?r. à droilr, •lt< c.akn1-bour" œntena1n;, que li. d. G=don dMOuttt, d fait ~e lir•houchonnrr I{' che,·ahrr Ol,id.

li. Theum•. l'œ1I narquni, mai• la l>0uthe amère, ac· cueilli! 3\tC 1111;! ~gale amabilit .. les ·1u,mand~ur< de to•t parti, qui a•;i,..~mt, ~on bJn<· l'i fourre l•uN requ~tr& dan• d- < poch~ qui, !>n l'o'-ur•', ne ,. nt pas d~• oubli. t­lt•. \( . f.artnn de \\ 1ort rr-re ~ son banc. bcitnrne ~t rr· curilli. <uirnnl en prn>•·• rJr, n'mini···cnrr• litléroirr•, dont il trrera parti. n'tn douitz pa<. l.<'• , "1 anahap· t1,tr. du Frontpart1j, i,c•l ! ,1 IJ crftc d~ 1 "' t 11<?, 011

r-.~rsonn.-. lit' ,. ut comp.1)-luonnt r :l\'•'t e-u,•. •ernbl.-11t ttran-~r- à ce parlement d0 un ra•< qui .,·, •t ·' le leur •t r~>rnt ri'un premier rô!~ ou lhnnenhof d1 L .. lb) , J3n, kc Ftal• G··n~ro1n •l• la f.t:in•I~ \é<rlanil•.

Toul pr1. d0

cUt, Il. \ln •r:nr, à tour de hra< IF 1lo>•· <it'r~ munir1pa1" de la • lp:tale. 1 n peu J>h" 10111, Il, 1\, · la•ol•tte - lloubc11 pour t• ut le monde - •e li•nl comn1c un >lite petit i;:ucon, tout ébc-rlué en or.• il.. E4! !Té>U< r là. 11. firulhcn rnlrctirnt Il. \ rr~..!< •t r1u•·h1u•~ aulrc• llarolliens notoires de ~~s 1 i«1•• J>rolond" dr die! d• la droite, ~·1• C<•···ur ile 11. IYoe-1 •• Enlrn, à l'C\tr~mc-droitc, rn\rloppé par l'i-oJliip" 11.~ r«n-pir .. ti 11r' !l.1111ing.lnl<, 11. l'an Coin•rlarrt pade ol oran~tr< •'l 11'orJn~•5 donl lts pclurfs 'ont lxmn« :\ <Ire jtt""' 'ou• 1 • • m lit• d mini•trrs rransquillon•.

l out.:s C('S palal>m ne 1 • "tnl q 'au m n ""' 1ugc paih, tiqur. pm,quÏI t•I pre·crit par la trad11ion, nu le rr~ .. 11lf'nt nou,rllrm•'nl do mC'Hlh• au hurrau f'f dnnnr l'acrolad• •u '""ër"ble •lo•en d'a.r. '>nd1• q la rr'pl hatt~rie dl< br.nos unanime• crtpil• de Inule• rart<.

0 C<'ile • bai«- • prCILocnlam', qlK' •I• l1ntourn ell donna à ceux qui ne peu1rnt rel.1•tr c. ~ •t~ >)mbol 11". ~!. Brunet la donne a..ec sa bonne grâce hahitu• llt, mab 11 e•t de, prt•ident•. lirn de leur• anrNrc•, qui •e ton­tenttrenl du simulatre ou qui y all rent m~me d'une moue dédJigneu~e q11an1l 11• " r••i~lorent j 1•dte ln· <'.9'';, .. dtt rnuv~u'

llelg« •• ~ attat bts pl~bcitn~t. Y. Il nri Brrtrand, éprou .. de pareil• d~ilt•. Quand. aprh la pouuét du auff111ge ut1innel, li lut q~!tio" de lui ollri r la pri9-

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Pour,:zuoi Fas ?

den« d1 la ChamLre, \1. w~,te étant doyen d'tge, le di-put~ wcaalille ae reb.ir •. " .\loi, monter au fauteuil de la prés.IJ••nrc et lire t>bloi;t d'rn1bra,ser rtlte 1 ieille nia· rt!re de \\~te? f'lus 1ou1ct1l. • C'til à ce relu> que la ~hambN dut la pr/:• d ·nce de li. Brunet. Elk ne a'tn plaint pa.5, tt pour <a~«c.

???

Il !ut u11 ""'I' 011 lt' rentrô/~ parlcmenlaH•1> daient entourl:•s 11" plus J'a1•por.1t. C'<tait l"'poqu.. où le Roi, r•assant en rc111c les llnupl·< de la garnis<on et le~ , .. !(ion• de la garde ci1 ique, •• dirigeait à cheval 1cu k Palais de la ~atiun cr allait, lout !Jour, lire son discours du uùnt aux me111lms d••s do·ut a"emblées lé~i1lati1·e ..

On con1t11e :\ la hul'll" dr la Chambre de> lo1le, i·pi­soJiqu•'S ou r.s sc .. nrs 1. st••riqu.., >ont f11oquées par Jes peintres J,. l'kolc de .. 1,,,u1s·l'hilippe.

l'arini u~ 11a1els, l'œu're cle Il. Cran qui représente la prestalJon Je srrmc11l du r"i .\Ibert, lire !~ leu d'art•· f.rc de son colom Hourdi--anl. li y a, à propo' de la Slllwuclle .Je noire !OU\Cr.lm el de la loçoo plu' que \Îrile dont il 11c11l Il pointe Je son chapeau tlaqur, une 1<r•Îun 1p1i ftc1111ia11 meilleure pince 1lan• le r.·pnloir~ .nu~t"lll'~ .ou .H~t"~ •lu i'<mrquCJi P~u? :\oul;j eu rt·parle­rons le jour hU I~ 11 ms \fvu~liquaires auront CCi't\ d•• ligurer lt'S l'\<ÔS tic p111lrnr.

l'our en rc11·11ir nux 1i,iles r<>rnlcs au Porlcrnenl, n11u~ 11'opp11·111lru11' 111·11 lt JIPf>OllllC .. n· di~anl que r~u Léopold Il n'en ralfol.111 guèrr. 11 en lut m~me lolalemcnt rd1e11u le i·::iur d,• la rnc•11ornl1le in•l~llali<>n de ln Conslilutiun M 1~92 ou, a1•r. s u1011· c«uil la lempèle d'u11e nia111lola· IÎôll T.'l\l' :tnt.'• 1IJ11s la 7011i" fttUlre. il Îut accJamt•, au •ein de l'ho·1111• "le, ['~r une J•luie de pttÎls p•·r.tre> rosrs tl hr!J nccl 1113111 le suf!r dge uni1ersel. lrrile. cornnie 11 '3Va1t l'~trt, le \ICU\ monar.1ue jura de n., plu• m~urc !es ~·tel• dan~ ceu, m~i<on de mau,ai" ton H l'a\PNÎon rtntaLle ~u·11 1'pro111a1t f'OUr les sonJli,rc. n'ttJ1t pa• Wlt, qumJ IJ ugue rou0t• 1lel<rla sur l'extrëme-geucht, pour le faire rc1<111r iur celle délPMDination.

le rot ,\Ibert, n11'111e niant que la guerre l'eut imposé •11 re•f>td 11" tnus. a1n11 rll une meilleure presse chrz les • com1•a~11u11s •· Ili l'un u .. ilfüent a1ec pohtcs~e lor< Je "1rt i11;lallali11n, 6<' • onte11l.111t 1l'ucrlamer le sufintge uni· \rr .. ~I. lt1uu c l'Ï111 d.ml, rl11 1t1!"IP, coun•rl.s par 1,s C:\plu­ton• brui.ir1lt's de lo)Ul1•n11· •lb mandataires dt•s oulro•s

1•,;nti'\. llq111 ~s. il ' t ul 111 lri~"(J" unanim11 tic la 11..: .. i!C· t>nce. J.·s ..flu<i .. ns 11'i.t)lle •le ITniun Sac1,'·e ;;t les olll-· ~r >•d de IJ JrloH, nr~. llui Jonc oui.liera lï1tu1e •Jl!!S• ,t~ ile la ••nlree Ju l'.1ri.111,11t ~c la Hdci•1ur l.l•<"fl•".

'I :t111I, • n t nue de < 111pn~ne. l"atr à la fo1• martial ri 1 1oui. \ILu t h r e~lada I~< rn.:ir. he' de Il tribune par­i mt1tt..1irt- «"l pro onc;J l"t" ~ ~·e... p..irol ' : « J~ \OU" pporle, lie •1e11r<, Ir <alut J, l'ormée 11.tQricu•e •·

1:1 l'on ose ~rd udre •tUI' les •lixour, Ju l"in• n• ce>n· tiennent ri n. 1 'e•t p<ut·<'tre bien p:trce •1uïl. dc1rJienl, .1 1 hc ""' ('fi "nt , conl• 11r 11 ~!' li.- "'°"', •Jllt I~ Roi .. .9,11t r1.:itg 1 u r~ J-1.: lcA pr1JnQnCCr. Et 4JUC, c't.;t I~ t.'AS if~ (-." tJÎr\", !(" l't11 lt•JIH'nr foit ca tèurrC-e Ji~rrch•mpnf, à pa ... fr•:tft'.. 1.;in .. lumhours 11i rrompe-th.·s .

Um)-.;'>ltr de c;aur-.

Les grands problèmes de notre époque

ou les Moustiquaires submergés !'\01.o nous no,·ons, nous nous .-nlvn >n d•n• un oc~au

Je problème;, d~ •eaux, d'allumettes, de cnnwmm..tioiu. A•l5!Î. saM plus in~ nenir, nou' la1••011> no. lecteurs

~ Mbrouiller entre eux. Ce~ gaillniJ--là rewllcnt, en te Î"tl.'.lnt, rle• problèmes au,quels nou• ,,... ~ompreno1e goutte, el puis, ils se ftrnC(·ttl de 11oult'aux J~f1s. AJl('1.y, I~ cnl3nts ! Ilardi, les gas ! liais nous ne f>OU\0116 plut m~me compter les coups ! Lo." l1urral8 ~ont innombra­loles : on ne peul I<» citer. .

\'oiri simplemtnt dis lettres • -quel11ues-u°"" pum1 ~ œnlainc.; nous Ji-01.,: dus -renta•nt'!'.

Et, 5Ïmpkme111. \Oicr, p<le-n.<J,., d'-'S rrpon~ el •Ir llOU\C3Ut f>tObJèm <. .\mn MOUS, IC('leurs ...

lxol:.O, le 2 oon.'nbro 11124. P.rmtttu-m<•l dt! propœu an proL'~mt .& ro.s JfC'lea.ra qua

ne cnui.cotnt p&J la calriue: t'n ftrtn1tr l~e à ses 5 fils, an v~~ux. et su \'ach•, aa

t•tal, 300 b<t..s 1 rorn..-. Il donc• à l'aln& 20 b<tes, "" M ·

cond 40, au troisième 60, au q:uatticm• 80 et •u ciDqù1~me 100 bi:tf't. Dant u.o prcmi«"r mard1é, ltt fil1 Vt'Odtol l1un ve.un, lQUI au même prix; dant uo $çCOnJ march~. ils ... n.

dent. ll'Dfl vac:bes, tootes au mime pnx ~ga1omcnt. Cee op6ra­l ions faitCJ, lts cinq fils po-"Uèdent, chacun, la mf.mt1 10m.m• d'arg1·nt. Comment. la fl.pl\rtition dea n·aux et. dt1 Yacht~ tntro IN cinq fit•, a+ello H<I faiu pu le 1•àrof

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\"o C'& t.i~ autre probltuit ~ ,.extr lt-a itL.I q~ pHwa:dtt.t i•• la ,..,...i·• et l• nallt..::i»•q•• IOll& IAcocpaubleo.

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1070

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l'on d .. OTIGM fmet OD c!lJ n>tcrtJ. Quelle oot la r.o\t ptl'ÇU<' par te pilot• dt l'a~tre ano.:a• l• l\aat.; 2- apth leur croue­n1ont1

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p 8 - La aobtlOQ du dt1111e.1Dt (1roltlèa:..c. clt b JIJ. 't·~at~ l• m1 oat.cucl à la l erce 1~périeulC'; 2- b nat 1'•1 à la tette m nwre tnfh e;irc.. S1 aocu.EJ ~ t"oS J.t.etr.in sae dt"-•t trw"'u r ~pl -.1 dam

la b1uta·ne, J• m'o!!n l b do:.,,.r il).

Mon d1t"T •Pourquoi f•ut1, l'aÏ>tlc• Io b odt Ht aax pn>b!êm •, jo me rcrmcta de •QUI

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\ < fi u r.. ! que X i.ot t dt- 1'1habl u:ntnt a d pt"D•- J~

1 2 Q,. ,-e qu'il la ~t t, c't1l 01. tl1r._. • 1 2 de 2 fr •l fr, U • d ·n.r d Pl l fr dt Kirt t- + 1 fr. d" ù nscr-:--1 1r d" ntrtt, "° l 3 f .ann

MattbO<" .. • rec; ""' !• 3 lr.ll1<~ " Io 1 • <: • M>rt e-r-1 fr eort t•4 fo11 2 u d p mc:o)wt-1 fr. (c Lrœ):9 fnnn, a.pin. IA cfeus1èmt 1.0rl1e.

Z. 9 fr +1 fr sort< J0x2 (d P<t ")•20 lraocs..- 1 fnn, (calrkls21 rn a, •prl-s la pr< 1 • aorte.

3" l?l fran +1 fun IOr\ e22x2 (dlpet>R •44+1 lraar • m e•i:,.s fn.na

A"anl d·ent:-~r poar la pum:èreo fo 1, \ • poiSCJii•t donc aran' H nnJonni-e 45 franc:s (qu'1l "bètemer.t J.!1 .. nsf-. 1

).

lhlLtenant, &Ir 1eun, l "'IDHlez oi de \OU.S en\O)H ui.i P<' 1 probl l lm f~~ q • ml r a btc des lr<:cun •I bn0<00p da: '• n ~ prob ,,,,. (3

t:a mu :baruJ ,rtt'tli'l 1 nie ua c n no'!! br.., .J'1111f:11 Atri\·~ uo pr('mlt:r c.l.<'nt A qn1 ,1 \~nJ l:s ruon i J(: sa qu1n

litl d'<rub+l 2 0>ni A!'nt"e ma H""Olld c1 c.nt i qw il 'md a l 2 de n qu1 Ju1

r<>i• pl121 1 2 rn! Eofo \ e~t ao trou dllO chè.D.t a qui n \t:.d !& 1 2 J:i DOU•

• .au rest•+ 1J2 œui. Il H hit alors què lt :narc:h.J.nd n't·n ,~~Je plu• O. dunaada comb1ta J•œutt pouéd~1l ce marriund annt

.. ftllte.. BIM> 1 TOC.O

:.\lon "ber • Peiurquo1 Pat? •· J .; lu la iobt,on da c pr<-blt:Iio Ju l.~t.-s • _,..r owp

.. .,~. ••pirant ••pert·compttL1 .. ~I• perz•>t'!l<-·VOCI dt faire 'l•:<lqu.. r<Dll\rqGH •

Vottt compt.>blo d•bal< Ir.,. Lie: • .., moalnnt ~·· k pri> ... Wt.a l S tt::ntilnC'$ J->1& donr.er an norubre de fr•o("S. liait

(1) S 0 L R - ~- wmm .. ab1ut:s! {2 l' D L R. - C&mArades' coca -10m I ' 1

13 i X, D L R - ~I hcma:e·ll D'• poart&DI PA> l'air -'<baal.

oommtnt. peut i1 d~aiN qt1 1 J, non1brt dt ttl WIH ut 93? Oa a.e tto\J•t a prion dtv.:..t 4 b~potbhtt 1.1a"1l hat ut.aih.tr •atceu:vemect

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Souscription pour le mémorial de Gaillon ~("'•t dei lutes p "'1.ent.<1 f 1

F.a memo rc da 1 eut r;errr Coureur, du 4' rh•n"an. JI rt r! P rtr;omJ do Phdippcvillt .. ir. 5.-

1 t nont J-:. \'•n du fi'fht, A 0 O., .... 10.-

Fr. 1,703.-

Petite correspondance I '" j 1 - L LU/• 1 I'

s'int1tui<', , n ri! t. /'ôv quoi /'a• ? ; ma•s t-lle .,·~ 11<n d. comm U\ c 'c 1ouri~I 111 DHC Ira lloustiquairr..

'iluru1. - " C.hJr1111 ~:t \cril » ~l une ml'Hl\3i"'\: lr.:t· du t1011 Ju l1'rc italien d~ IJ I''"<"~- Il <~t iti f'rdlr;ihlr rlo J>rr111lr., 4 llru> llC$. une <Xpre~s:on que \'Jn Warn· hrkc 1 rt'ndll<! !am~u·c au Prrlemrrit l>zlgo: ll1a11ur 1v11 (IÎl'OU !

/'rdro. - Q ~ ,.,.ukt·\~U• ~ JI 11·~ a pas rooi•n de cr<>-qu r les tra•ll de tipc-là: il n't!l ~a• o h5)S ni11ue ..

Tt. chuuie de A11101e. - lhllc 11 "" -. '!Ou.• n'~1on• pl•1' ~ pl.1rr.

101111 (il• 1 ri ,,,,,. - Trop j.,li. llr& ronu11011dont• 11011< 1111~11t 11 , 11 , ns au\·

1ui'll~" tivu~ ne ('CiU\on~ 'Z\lt·rc rlpon<l1<•. n rnoiu~ que ck~ 1 • rr~n1r r1111·1 en 1t:rrur:1~·~ il~ 1'/>Jtrrm1diairt dt> d. 'rl1rur1 u dct r1u Îfur.

Ln \ 1 1 un GUI nou• d~mande ce que . :irr-0n a d<> c nt'.ll 111 Q\C h lie , qui po«èd" uflt' ru• ~i:a·ton.

.113 foi, nou 11' 11 • 'Oil.! nen. ~1 ~n de n<1s l<e~u~ le "JI, q11'1I nom le d111t.

l• • rut l:ag•lT 1 mur. - En101C\I wujount, m3io Miil' n g n1111 ons r1<n. l\ous sommes d~borJ1cs.

O. 1/r l/,/11. - « r:ncuL1u.;:~" • n\st pM au dit1ion· non r mais loe.rn<'oup Je j•un('6 pcrwnn s fo,t le née .... 1.1ro 1•ou1 1') Fane t11lrer P\~11t •Jl•'il &011 "'"lll~mpe.

1 ouïs Il - l.'l11•toirc du curé rt du prtal Isaac I.e" ~ J,jà r· l d ~· I• Pourqvol "'" > .ltuc1 fout de mlme:

11 nn C. - lhllc Kfrt'*• cl:: r letlC'\lr. \'ohc intérc,. unie co1r.munic hon n t'St p > J~,._ IJ ligne du ~urnal.

1071

ecra donc mi•e ~ur p ed en jualld pr0<h1in, pae ~ Royal 4uomobilt Club Je Btl(]iqur.

11 lauJra q~ e<:ll~ pu11•ant, s ~1abon '/>Ctlae -~u1L'l.,nlè pnr le nombre ,1 sa; membre, - se .. 1on1re à l.1 ha11t•,ur ck la tJrhe •111i 1a lui '"' 01111.xr et réu•ei~$C à lni11', tinon mieux, tout nu moiM nu~i bien que cc qui' 1éali"'1e11t, dans cc do111.a1nc, I•' \uto111ob·k~ Clubo d'IL1· lit •t de frau<e. qui oblinr-.;111, OHnl nou<, l'or1:nn1\8tio11 Ju Crand r1u d'F.uropf.

El, à c.e •Ujd. n~ r~ppcll rons 11u1 dir'~eants du ,1, A. !'. Il. que 6i re 'enl:lbl· cl1~mr nM' du monde d~

\Il '' luf. jU!qu'a [iru-cnl, 1 O<' 3!ÏOn d.- n!union• lm•

gn11ir, s s.1 'ics par ch foui s ton• Mntblc-, c'C$l pMrc QU~ les orga11is:itcmo n pyn!Jlilr.; d< !a reu>sitc tra1:1.1I· 1~ r nt "" 1 otlJl' >ralion Nro1tc '1\'1 l: IJ pn•s.s~ el surl\nt. grdffJ ô une publicik nhond~111~' 1·1 inrrs~::i1i1e, par voit! 11'alfid1 '· d, tracts, rl~ r•>rnrnu11 'I""' nu' jom nau\, int~­o;.<(r l'op1mon puLlllJU et rt'k~ r •m1 nllcnlion

t.a tommwion sportih du Il. ,\. C. ll., qui \Il orJ1· naiœm<'nt d.in- une tour d \Ol.e anacc~1ble aux jour· nalisk I'"' a too-, pour tant. car 11 ' a de$ r•rΕ iltgiés pour le i>S de l'a,enuc ~ \rts - tl q i ndi,~ trOp sou­\ent de n:~c•gn-r la pr -~ •ur S<' l!ll\au1, parfoh d'in kro't uar.onal. dc1ra donr chang r "J rn/.thodc~ de fra· 1-ai l ot Je prol'agrndc.

C'è<l d'.1illcur~ son int;., ,-.t; c". >t a11 i c<lui de la grande m,1joritë <le U5 rnemurcs, indu lr-Ï••I• 1·t COtlll'MrÇllll5; c'ut onl111 rA:lui du $pvrt.

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i 07ll Fou.rciuoi Pas 7

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lmmoL1~:

BIL.\~ \l,, 'IO JUIX 1P24 ,\('TIF

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C4'1ll !I' tl11 t OtnilllUalft.f •

.M \f, }'un.nd Luarc1 1 •:Jimard De l*r.-rL

i,, .,,, "m11 ,, ,,, J

I.:.IVRET-GUIDE OFFICIEL S e rvi c e d ' bh'<.r 1924- 1924

Le ComJ. ~rut! du L'I in ri J. i,.r d1 P. r1 1 11 h.~os mtt • 'Jtf1te l'éJi11on du •N\Jcet d'hwd a.e •li • L Hl't lhlidt Ol6t :• I • f' tmpNr•ct l'I a i • con pld df' •rs lra :u 1u1 U 0<1 1 • lSZI

Lit f b c peut se procuz r t • Line&-Gu1de 1, le wul t:dtté p,31' I~ IOl.U 4-e (A f'am~~t', da~ Jrs gu t~ burn ... X df' •i "• dt l(!O tt.wau, •• pnx J~ ft 2.50 l'enmpl" rt

Pour plus ampln t gtitmcnts.. Jo"adrff.l.fr au Bureau Co~uu.oun du Ch~ 111 Jo fer l'unç-a:•, 25. boultttrd ."-dolphe­\lo., l BrunllH

On nous écrit · Défendons les sites

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Les mauvaises économies

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Pourquoi .Pas? 107

ur r_nlllnmt •nr 1

port 1 te d doter not.t• w ~ d une w.: Vf' le (H'tl a fe-u t (' peu f':X&

on ('\~t.e l til"' llf: q 1 n t t pa d un a • , rt pc. • nt. '1Uf'I f1 101t.. Jo frfsi r [., !i,tr q,11 do11 1'11 profiur n us wmmea al•solumf'ut 1rar,or<l, totJt Jei morul• y A dt<ra, ma1a nous t.om mCA 1111 11eu 1 JfJlrll lonqu• l'on ia111,l1qu1• an .. \tr~oi.:-ru~, Ir h)'lll••im 11'" c 0111prt<~~ion.'\ .lll~ 1l1·puu1 d:1 1111·shgc:1 cli•Jit lm•o 1-coru1 rfont JOUiL li!! tvq s J1 0Jhcw11 ht•lf.ttS Nt .\11..-magru

l.a • m .inc ,li rn 1·tt' Ulll" (IUArant.a111c 1l'offü ltr" rofortC!lS rnaJOr ommandanh sont t;.-uu~ A ( r t .. lol, ne. ~t"r a tÎH ~ .. u.rc ces dt c-iiidret c)n ~ &\ait 'oy11leru nt I~ au • Cre f•ldu llof. 1 rr n pal Mt•I d· r.ndr t JU'l<jU< li> "' • va 1 n, hta .. tom it$ mat s l'on vat rner d.:-vant b portor d... si:rand 161.-1 sttue a <irl trei l'u o ' 't' dt" prE'S dt 150,00> hab l&Ul , de:us gr-OS IOM • Jl • J .t .1.... 1 au tran port d"" oftir en

H1ffi ru." pmn .. 11 dît m1e1n ho1&1 po 1r tf"hauht·rJ Ali'\: \1 i.1

cl1 11,,...1&~• 1111 1 1 y 1tJnu:a1!.S111t, Je i•AU\ît J••t:~t gt.> du corp:, 1l1!1 offu11·r1 htl~·~ Oh' ..,·rl.11t Jl>)•·111 rh· Hur a.n...,1, J,ttl!o Io r111•, 11!\ '"'"'1" \lt"U~ ,olnur'..s tt llUIJ••O, la 1•01tnru· f'(JU\lell11«"

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.. \ 1 p:au.r.g , l~t~ ria• uL cL N gtJtulul.iltrnl Jls d,.,,.. cnt. lof fairtt clf'~ rt tl1 uonc,. p~ Jrt.J1:s 6111 Io. f;u.: 'h 1lon1 Ml •rutl• 4 ht•, f!Oll8 If' '\llUHiUl llT~ d1. l{U4 18

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Croyei, l" 'H)tl, rr1... • mH !l'hllmt'nU les plus dt'\ outs, l s-ldorc:.

Réponse au Vert Chasseur \(c1 11~u·ur 1~ Uirt·• leur Ju 1 l'ourr11101 P-.s • 1

.J1 llr111 ,, Ut 11M J.,,1~t'r f'tWl"t r s.·uts prvt~ tat1on la leUre du ' Vl'fl d1a.s.sr-ur • ntM!orrc dam votrti Tl 1mtro 1Ju 3 c ;uraut

J4! trouve •ncorrtd4." •J 11 •n•t1on nqu i dt qu'll "1ns naa t •, ('()mme d'antres d'a1llt"Urt 11ue • la o!ficlen prt:tcn J. 4"hl na lf"Dlr leur cha.s.ae .:ard~ • \u~1 elt on d°Kcord • ., lui, quand 11 qua.hfi('! ee 11. qui faisa1t"nt rourtt «" l,,rutt d~ m1 ha.nt lar1gues S1 Ici Tot cha n n rn sa t rttn, Je dou 'u1 ltlpprtndre qui le r-.·~lrm1 rit ur~d.TI q11~ de l°t'rolt", 1lunt ' ,.t• pta nt d..ltl l'œu,·r(' J. 1°au:tü1 Il~ 1upt.\r1eur..; Ll"s o{fi c1u1 ~uawut. (l(JHr Jt'\"Cllf 11 lri fo1u ol1~f\1·r

.J1 1~ni.411 flu'ou t•n\"o:-·a1t P·'" 111' sr.ms oitirh rs du frunt l t :a.1111111 puni }' cultl\er, non lr.1lrs t·on1Ml!b11111·es du r11on11•11t, r11:\1t lt1t u le' 1<: 11·ru l 1 1111hta1ro ( 'r:11t 1fonc 111abdro1t d~ 11ro damrr 1lt>S h auU fa.Jt.t d., f,o\.'l'lan f4U1 1 teh qu'ils sont pre­acmt'91 vont à l'f'DC"Ofltre de C'èt .- pr t J.- 1h.'JCiphn~ qtu J<11t. ao1mu t\ nul itre 1li,t.e dt! commander Et puisqu'il 1'ag1:. &11U1 dt'I poulrs, Lï1uu mo1 vou!i dire qu 11 1(1 donne drs an"I tle C"Oq d\Anb.nt ,·1ctone &Ur ton fumier

Quul au ca1lrr pc"rmorntr.t 11 ff.t. llOU1bJ" quf" t-.eaucoup de C<'U.X q111 le C'Olllpas.111«'Dt1 ut 101~nt pu retourni.'\ au feu. mats li nra1t 114c:t"3a.1ure tJ'rn cou.na1lrf' r~ moltf1.

On if' 11( 111 uitlf" auu1 r.ourj1uo1 on tn aurait fa nt voulu aux d«tC'Ufl 'u 1lro11 t J'en llt connu .. mn c'0111p .gnie et il y NI a\.ul ,1. nu u ri"~lllll'ut qa•• nnu11 11u11nu1 hurncoup ~i. que ron rt \o:t f<HIJOiira :!.Vt'(" pl:tL'llf. :\lalhtnrf'u~cmt•nt.1 il ~· tn a t •1

peul "trt<, l mt ~ .. n. 11111 K•nl vtnu, \ l 1aru1·~ :i\·ec des idln J~ ch \llt qu on u y .1uppc:irt• gui-r ..

Il • rn or" trou\"#. et «a au pn n& d" "lie modnl1t: ra& le bouqiw&, que S-infante.r1e beh:e lts1t " DDt' uoupe d'oun1.r1 et dt' pô')'MCI m~néc par du kadtanh > l'oar onti lroun1He, c•en Ml une d uoe fois d~ pla1, tl ae gobfi, un peu tn diant qu• a.a d.ttin1tloo eet l'èuct1tade rofn1• Pourquoi pas un uiome'

.. 1 li cl• <O"I 1><1otor'1

mptf ,fe car

\\ant b t;ucru~ D08 ( h(\mliJ• lt-g1sbt.I'\·~, uü lf'S JOt'teu 1 droit f'tale!lt t>U Di&Jor1h. nous ont do-tto de 1 arm 1m~

f 1e rl lllSUffu.ante que nom. \om, ronnlle t:n 1914 e& •~ laque f' on a romnnn ~ l;:i gu"n '\ous of6c1 n de carr•.,'1 qui a\ ns du 1ub1r le rf"g Âl<f 11001 nous t.n !K>mmn tires tan 11 rn 11ur m 17 ma. plutôt bien que mal. et grac"" un pt'U 11011• l'oll,11re ;., l hn tourD• et pr-il t•tk a telle lJhn luort 1\;nn~ 11111· nfls tléputh n°N1t plus ru n 111 " J1r~ de 1914 ., 191. ,\1.11& C'f'la m· Îil1t rum, 1J, ... l'•flt r ttlr;•J)(oS H n•, dt>p111s l'a tlll!ltltt•, rnr t101I"- ,t\om1 t.11 l..oplu·ru, oil 11 y t!Ul {lr!I :&.\'C:M"~ts 11.111 1111 q1Ju:1t""r.

\1 ''' 1non-c ru Ver~ es, Joni. 11 t?;uté nt" ( ... t 1•.u .111 che cl <r nt 'ant s•t:n lauL, grlc"' aurtüut " un ~\fuM rur '' n d \mt r1que qui pu 1 bt.a11t0Up 11~ 1lrolt, rnazs 11 ~ub!t- qu a ~.1ttt.'CMl ne~hil'r 1 {:qmtt< l o c-h t mf'ul eumpb '" de '~\~ .,,_ "''""plutôt J.,. r \utrt e 1 pœ.'l1t Cr fut le (" nt.nur~

l:t. pu , ne t haml r~ sont. rrntrtn, 11 s y &roal"e l'DC'OJ•

1 <'.:tll oup d~ don~" 'n dro t Il " rit~ kuJ u ~ 14" mi 1

pr d(* poht1ca1Ue 11n•c.\:aDt. la gut":rre ~1cmf" unJ'n.:voyaucJ •ru me cramf" de J',•l~c l.tout, ~·11 ~ J'.1.fil"I l 1c.:.u1 up (·hl~ •111't">n : n.g1l c• on v u1h n1I tonJOllrl 1l1 Jt"fl'1rnt•<•ri.s ahntiu•nl<' 'l'11UJOllr' t:Sf Il ')lit~ d.111!1 Ulll l'flOtllh• IUl~"I .t.OUTlll•·ntN• 'Jll

1cll1· et l'arnu•é, a1n•_·~ la ~\'t'r~ J,çnn qutt oon .. o; 11\"011~ t•ue, d "":t 11lt• )'0Lj1·t pr1ut 1po.I 111 it ~réocrupahom dl" uns ù~puh ~oos MH•llS qu'il n'f't1 ot r eon t·t quf' l'on rn~n11~1t des f.;· l· rn H.ibl~ qui n"<•nt r rn 1lti rauunnt pour se fier do pr li:r.-nce a J6 dkl:u-:t,t on d"" p.ardisme 'le '\'tabnt pa., d~va tai;ti que ll'I L'i~ffon de pap1f'r de lk'1'thmau Ho1wr;:

J'ai encore d'aotr~~ ar~ments à rna dt!postt1on, Jt1 me con t~ntua1 de «"i ,Je-us dnn1~n

)o Les onze ma ors d'1nfantna" qo1 6t'I sont fa1l tut r le mimi Jour, nu cours dei la gnurie oH.-1iJ11vP. ,.n ~ntr:iinant l~u& hnrn mf's ft.o11tnt l 1en Jr.s ulfir1rn df1 rarrrt-r~. ce mt l('mlilt'I

2° .'.\"r't 11 p3~ '\TA1 qui'! 1" Congo c-.1:t l'o•uvrc pr•nc.~1JM1e d 1101 r1(ficittrl'I t~t rie Jeun sous nfftc-1Nt qui, l\U mlli~u Jo t4ch1 11 dt\'l'rle•, ont r~•"'i :\ fnrm,.r rttte mQgnifiqof arnH:<' d'J\ fr 'Jll' dont IC"S <Jen-ice:! ont tt1ja1lh sur la mère Patrie, d'un 1onn1~re klat:ul(e.

.J~ in'rn '\OU1ira'5 s1, avan• ile tt."rminer. je Dt' r~n.la:..s pA • nœ so?dats qtii, 'ta~t 't11d· nts Ion de la dklarati.on d ttnttrfl, b jast>Cf'I qui 1tur ~l due lb ,·1nrt!•t :;:rœstr nos nnf,? ,, nous donn~r~l des ~ndk ~l drs offic1eN qm. A l't·~' mpl d"' leun Aines et avrc ~ux la roa n 1lilns la main. flrtnt .:a J lutfr.mc ni leur devoir Ils ont R'l"'''l lôU!'i i>nsc mhle un rud , .. ah• 1:r ... et a)·n11L th~ A lA rt ne. ds r)nt tu.a dro:t A notr gratitude,

~. d• IJ • major d'infonterir pt'n~1011r11

Io< major d~ B olnnt l'inoli~nalion palr1oliq11e , ' •0111 ~ bi1 rc>r•rtahle. nou< pal'ail a•oir prÎ6 bien a1 lrnrn'i la maU\a"'r humeur rélro>po>elÎl'e du • \'11 fh S.'nr ».

\'olon', maJor. loue ic,3,. 1 hicn Q\UI' les « rou~pft uu ne •0111 P"' tonjour. de mn11\a1' •oldals. La manift't't:1 hou qu ~·or~:lni~c 111ontrfl ,,,., fou!' c.eu~ qui ont pat- • pn• r.~illon ><a.~nt '11"' re fui 1111e lrê• grande et Ir~~ brll• U'll\Tt•

Où parle-t-on le mieux le fran çaii? \'o 1• 4'tt1' ' t eiit-"ieUJ'lll le ' fou tiq1•:l rH. d'one mod11tie vn1

mer t tn. • ., i:runde. :-:;, j',a\'"ta etti • Yntre place, 1uira1.t lt!

1.on<lu • • C"r•t d:uu le. • Pourquoi Pa.a?• PazblE"u 1 e,t.-M q1J•

ça eeo demande! • Hnirt•C

\il flat•.ur, \3 ~ fe n'eH pas du tout l'a,;, d, noire Pioo.

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574 Pou:rquoi Fas ?

r ... u d'un rarte 1.. ,,,ik. :\fo111 rur ri. Mad:\me

(1 •• D .• 1l m~n n '"'") Rue .Ju C'h#n~., 99, Srratn".t

Sin~111i~11• ~~M•. phir ! ...

"?

PIANOS ALB. HUYGHE ;J.J Arrn1u dr, .fri..

8rvz,ilr1

??? (IJtb 1 f I "' mq11< du ::!•l octohr Y. \. Thurh kril

Votre orrf'apouJlltlt ne vo:t-ll l>&S qui: ce qu'ai r.:Cla.me en ahté J~ • l'~:.!lpnt l'JTH1ue •, c•est qu'il llérntnt1s.H c~ qu 11 " <'~'W'! d' 1ffir111l'r Ju~11u·d. prt~~Dl

Il \. 1h•11 o prnlt'lre l'··-prrt <l\l•Jll1 et l'r-l'rll po­h~ll· MJt• •• 1 ous lut Mcb-ons •111'il ma1111u• •ù1<•ni.-nt

I' prtt gramrn.1hrol. DOUIS SôlllDI S 011\:UllCU> qu'tl 0(>11> J1 menti,... .r p ,

??1

llu 1• p1llo11 pr ~rc d 1o.<t'r· r c ompag11.1nt l'en•o1 à la "·" ·lu lnr • J/or1.w11r T/tlop/11/r ph1loso1·hr, par • G. f.ro-: Son :-i.ec<>o1f hne l'~ll>\·~ d'un roup !lu.\ ~t·~ dt~ gr&11d:.> tmiqu~. ~lont:ugnt1, La 8ruyd~. \~l'lltatrr, .\ni..tol~ Fran~

Un 1olr 1 uup ! f:1. rnmnw 1hl '" /01111111/ /iu,•rairr, un 1.1tol h "1rr 11< l><'rdu. dix d<' 1 «ln•m·, !

??? De l.1 () rnih'r l/rure ( I"' no•ernbn), «HIS I•.' litre: ln~ o .rlt>3'1 atlafJue>e "'" '>Jrnt-llO<'h • : Un dramf rap d~ 1•Ht d.froul~ b nu. i d rnaire, rue Sa;.ot·

Coch, a Bruullea. Au n• 15 bah tt un courtisane, ·~~ dô 53 •nJ. M.ad&no1-

>J.lo J .. nne 1' 0 \'I' 'I• Il l'J. Il ' 0 J ,1h !

??? Olfrt1 1111 al-.ruw111 111 à L.~ /.l'i Tl RI·: l'.\/I FRSF:LlE,

kî, rvr dt /<1 V1.ntagnr, Bnal//1 $. - 2i5,000 \Olunl ·5 •n l~clurt. \lwnuemrnls : 20 Iran<• 1•ar an "" 1 lranc• 1ar moi,. 1'.alalogue' lrantai•: 6 lrancs.

Fsuteu1I~ 11un1érotf~ pour lou.. le.s lh~Mr6 tl rè.<er.t• 1<1ur Io·, cmtma•, u"c Uri<' ~r11•1h1, rMurllon Je prit.

??? O..• I'/ "'1/r 1,./,1• • L·apt~ n11J1, h"WS t'•d1ll'S pari:-.1"'11~ H S'-Jllt h•ntlus • Lvuvam

·t, le sou, 11~ ont U.Sl.3t" à la repr~nnt.t1on Ju 'I'hf!tre deit :; .. 1er1t>S, ou l'on duu11a1t le • s.-net J. l'\>l1th1nf'IJe ., &\'~ le If') artutf' ~t.rnr <'<" Htont-qum

F:l Il nr• 111111 1 u e•t .aci~ur ! \Ms sa\io11s t.i. n qu• ru111 un 1) p• dam le Œenr.• d~ \fohh,• ra .!~ "hake­

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l'arbrul1r, 31. - L'éd1t~ur /.ir•glr-r, do [hden Badt:o, et l'ande11 1•h11tmu1,.ll Senfi' ont t1é c 111ôamnft. <'haeun à <X'nt mark d'amtttJe pour outra~t"& f'D\'.fts ti~ux pac1fi't~. 1~ pro­feskllr PuntJr1zem, de Be1delbt-ra:, et le gênttal '"t'u D"aa L.ng

* (,. prof ~-ur Prl\~ldl lf"lll ' "

\111-1 1 ~3!· H" all mand, zi• ila J 1olls la prc• ne' 1~ \I. l" J.111 ml au\ ol.-~q1.1t 1lo• 1 .. unl••lt.1

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ph·t, I('.\ ch~f• J., b. ffon-. .. .ante <"oqX>tauou c Z1h·ersmJcù:oat11 • cmt lth, nmN1 dcmit-r. le ~je a.nnh·rn.i.ifè pror~~ionnel d'an d~ ll'"nn wembrn, ~ :\luuo H.a,-bm·hu, do 'fl"rH'm.

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I~ l'/urnpmd11ncr 1!11 :; 1 11< tohre, <0t1« le titre: • La 1 .. m,11·1P toau~uratwn ti'un,• m.1r1\r11tlt! :n:

J),105 le dJ~COars qu'il pro110ll\\l J•U la IUIL1?1 Je. doct«Jr Loua llel .. ttrt" wnltgoa l'amporl-HtCO d'uu('I malern1ti. Il ~ l~mun~, trM foloq•J~tnment, en n:1c:ttair1t un enta.nt au monde • t en idhhsant la r.mm ••• coucli ..

\ ••là l!>Ul au moin, Ull<' ~IO<tn<ll<• œnabl.• de r.oopér r dan' tcm,.nt ,, Id r· r•1pulat1on :

??? I~' 1J,1:• 1t• dt Luge ( !"-:! no••·111l11 e) "nd compte d~

lt\ cruirl'ft'OC"~ ra1k par \I. Polr11 .. , JU P.1lalb de Ju~l11 ., 11(• ll1uull1~.

f.t '0

'4\'\t 1t1ltl11l1•. )(, l'n/1li~ 1u "''"' 1fn~Risr.~. Il u'tn r 1udr~ pa- """ 1•our 11u'11n tntdil khalaud<'.

1lans qu"lfi ~" centa1nr .. 1f"a11r11\i-s, uno1:~ <t cau~i! cd .. hrc •

! '?? I~· Li /1 rnière l/rurc

On •ort 'l'i• IN el~••• lo ~I \'•n d•n B<>Kh ont ,;,. part cuh~èmtnt. apprh1b

J•vur•p.ot ne 1Jonoe-t-v11 J1ttS, .1lor--: ~ p1\ mirr pri\ ~ Il. 1. 11 ll•Nlt lui-rnëm.•

?'!?

On 111 nu pro~rtunmP ·lu r1ni·m10 « IA' Î1"t)(':.:11Jèro "· 11' \rntN '

•[.a ~.\Yan&" (d~ l'.\:adi,1nie Fnoçi.tMo) de- Eughl• Br1Mx.

l''uvrt \~ad~m·~ ! ?7?

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lt 1, /.1/.r. {)rly•I/•< du l!I ort<1lne l!I:!\ n• :?!I:;: Or •nnonc~ Je Lnn•Jret Ul r. dt- t•am1ral :;lr Prr Y ""· Ci:.1..

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J 1 1111 il ' 1 d1•s ~,..n 'f 11 p.1d· rit fi, fi 11uh11-t-

.sl11 1d1l•1 tij,ll•' .. ~ \"111f l Oi jt' tllll•I!- tj11! gN1111·11t lHI Jlfllr'""

h·r1111!

1?? l 11 ~min: PI au~ du Journal ,f, R<nai.r.

)lmc:dl pruellaiD, à l'oc:canon de la •J.Oll• de

:.. ''· 1. \ 1(1!11'1:. h • .111t_,M;\AL JJl~ Hb'.\i ·\L\ •

p.irstilrn Io w•ndtçdJ

Cii \ \\PAG~r-5 oturz & Gf..l.OtJU.\A~N i..ALLIEK & C' successeurs Ay. MARNE

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T-.u:t.to 411<•'• 1m<'to.. J olu 6 l'd..,•a DAM. 70. O. <k Vl<t11'f• I.

l!"un l•·I .1111cle •I• luit·• 11 .. ,!rtt, paru dat1ti 1, :Soir fi 1't1Jr1 llli' \lf'Hgh• l'I:

Um1 anc petite tallU(' dl" nm", deux ~Dfant• .-<mblem donnu Touv- au .. , gt1t1Qlla1 u>n ln~cflJque ~t tmmobilb ~ uUC1 odrur, eaof celle da capucin

li laut >< nlrnd1~. 1,..,. enfants i:··-llculi.'llt-1!s, uu >l'm­Llrnt "' dormir ?

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t:T\T11.1si-1rn E.\'18 S \1 1\1-S.\l 'l·:t Il .r:. :1!,, Il /,'J, 4f>. -17 1 "' 4fonttt9nt-au.r-//n·lw~ · Putugèr,,

lt.1111!' 1L "li lkt'' l 111~ llJnt 11 0

lit b .l/<wH On Nil • n ~ftrt, lUft 1 I"") •I ru61IC'll 1 abti0rl.a1f'rit ::c.-

r.;Jn.i 1ntut. eJJ •'~br.ua:uit aur les ièYn·l'

(,11101 ha"'''· 1trand l•1e11 ,., l 11 ri: 1r1 Ill r l1rt1\• 1101~ \ 11t -.. fair, ronn 1flr .rn

rublu Il 1Ji,t.11bU( c~ll· 1 lrtiJIJir1 ~.:nourt'Ufw. ~lrldui.s

Pa rDt'I faire conna!tro, 1'1nvl\e mes procha.ina '\Ol-llll.5 c:t \Q.lStor1, A l"K,·\'rturti prod~ ,. .. d'un'!'- rharcutt-ne d( tou,t

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t'r. J,6Sl,4:.lli 11 L)-._n. t't~ COndit1<1ra., lt: C'Oll'lptei de profit.a C'l ptrl.eS qUl' DOU.'l;

tourru.aon' à vutre ·'l'P 1\aAUot1 110~ permet de YOUJ propo.e-r L'l 1~part1Lwn Ju div 1dendfll 1uivanta ;

A l'a.lion do capileJ ........................ . .......... Ir 27.~0 \ l':w:t1on or<iinaire ••• .• .............................. 4.ts•• A la pan d· londall'ur ...................................... 3. 76 ~1 "'OUI approg.vez ~ propo-itiom, ca d1Vtdcd~ Rtont

i»Y•hleo à partir du li neHmb<e prochain, par la montant.< mu ci apr•. impôa d~u1t.1 :

A l'.,tion d• capital ....................... - ....... fr A l'action of'dinaire , • • ............................... . A la pari de fondateur ..................................... .

2.1.40 355 8.20

Page 24: P1178C 1924 11 07 - uliege · 2017-09-12 · Gobseck. Vuye; à quel puint les traditions peu11ent pas 1•u, ce conjasseur financier, ce détenteur du se étre menteuses. surtout

Rubrique uniquement alimenttie par les papas et les mamans, lecteurs du Pourquoi Pa"?

11 ' " 5' Hot. ri. Il ~ n fJUt1lt1m·:, l"'ll ... en 11e cf'nrl.1111 O\• t. s.1 honni! ma ...

man dan" un ~il" l o .. ~ramis 111.•zri .. 111 .. 11 .flthn1r.t. tn p.1 ... -

s;anl, J, rno::-mr q • b3llo' 'I'°~ " -J <:>moiti- • l ne • 111 .. lui ..... .

H6 ... rf1 mam. n. 1h:111n n ... • .... 1 l'~1flnt\i"f'a1r1· 1h• l\o-r 1 lu llP'I r.11< 1111 h•l<'I' 111 b< 'I l.ill•' pour -• lère

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