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Page de couverture du dossier IE - Agn¨s Bricard

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64ème Congrès de l’Ordre des Experts‐Comptables   

De la comptabilité à la finance La relance par la confiance 

     

 DOSSIER TECHNIQUE : 

 

L’intelligence économique : Deux nouvelles missions pour l’expert-comptable

   

Cet atelier appartient au pôle : « financement de la compétitivité »            

Rapporteur général en charge de ce pôle : Agnès Bricard Rapporteur délégué responsable de ce pôle : Pierre Préjean Responsable d’atelier : Arezki Mahiout 

   

SOMMAIRE   Fiche 1   : Plan des interventions au cours de l’atelier 

 Fiche 2 : Définition de l’intelligence économique (historique et acteurs de l’IE)  Fiche 3   : Questionnaire d’intelligence économique adaptée aux TPE/PME                   Phase offensive : opportunités de développement    Fiche 4   : Questionnaire d’intelligence économique adaptée aux TPE/PME                   Phase défensive : approche des risques, facteurs de vulnérabilité                    Fiche 5   : Liste d’exemples d’outils de veille gratuits      Fiche 6   : Plan de comptes « intelligent »  Fiche 7   : Facteurs de vulnérabilité issus des comptes annuels                 Fiche 8   : Cinq indicateurs de veille    Fiche 9   : Quel financement pour cette nouvelle mission ?  Fiche 10 : Plaquette du Service de Coordination à l’intelligence Economique : « Vous avez                   dit intelligence économique ? »                    Site internet des Pouvoirs Publics : www.ie.bercy.gouv.fr                    Site internet du CSOEC dédié à l’IE : www.intelligence‐experts.fr                                        

  Première mission de  l’expert‐comptable 

 Deuxième mission de  l’expert‐comptable 

Fiche technique 1

Plan des interventions au cours de l’atelier

      

Rapporteur général en charge du pôle "financement de la compétitivité" : Agnès Bricard

Rapporteur délégué responsable du pôle "financement de la compétitivité" : Pierre Préjean

Responsable d'atelier : Arezki Mahiout

Déroulé de l'exposé de l'atelier

Durée

Exposé

L'IE, une démarche au service de la compétitivité des entreprises 15 Cyril Bouyeure (SCIE)

Première mission de l'expert-comptable :

Adapter la démarche d'IE aux TPE/ PME pour accroître leur compétitivité : - le partenariat CSOEC-SCIE. Questionnaires à dérouler : Volet Offensif -> Opportunités de développement. Volet défensif -> Facteurs de vulnérabilité. Restitutions

Rémy Reinhardt (EC) : questionnaires + restitution expérimentation (20 min)

- L'IE, instrument de compétitivité : les outils de veille Cyril Bouyeure (SCIE) : 10 min

Deuxième mission de l'expert-comptable :

Mettre en place des alertes professionnelles à partir d'une cartographie des risques : 1/ Le plan de comptes intelligent

Stéphane Cohen (EC) : 10 min

2/ Les facteurs de vulnérabilité issus des comptes annuels Serge Monbec (DGFIP) : 10 min

3/ Les 5 indicateurs de risque retenus pour la TPE Boris Sauvage (ANECS) : 10 min

Prospective : quel financement pour cette nouvelle mission ? 10 Arezki Mahiout (EC)

Questions / Réponses 5

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Thème développé Animateurs

L'intelligence économique :Deux nouvelles missions pour l'expert-comptable

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Fiche technique 2

Définition de l’intelligence économique (historique et acteurs de l’IE)

Eléments issus de l’étude réalisée par Agnès Bricard intitulée « l’intelligence économique au service des entreprises » (cette étude est disponible sur le site www.intelligence‐experts.fr) 

et du dossier SIC du numéro de juillet/août 2009                      

   

L’intelligence économique : une politique publique au service des entreprises    ‐ Une origine : l’Intelligence Economique est une politique publique voulue par l’Etat, décidé à mettre  ses moyens au  service de  l’économie et à prendre  les mesures nécessaires à  la préservation  des  intérêts  à  long  terme  de  la  nation.  Reposant  notamment  sur  une mutualisation d’informations publiques et privées, le succès d’une démarche d’Intelligence Economique passe par l’adhésion de tous les acteurs économiques  

  ‐ Une définition : l’Intelligence Economique recouvre à la fois l’anticipation, la protection de l’information et le lobbying  

L’anticipation  grâce  à  la  veille  qui  peut  prendre  différentes  formes (environnementale,  juridique,  concurrentielle,  technologique,  commerciale, comptable et financière), mais qui est toujours au service d’une stratégie, 

  La protection de  l’information  et de manière plus  large de  l’ensemble des 

savoir‐faire et des actifs stratégiques appartenant à une organisation (dépôt à  l’INPI, mise en place de contrats d’assurance spécifiques, sécurisation des systèmes d’information, …), 

  Le lobbying et la communication d’influence 

‐ Un principe  :  l’Intelligence Economique est une démarche, un état d’esprit qui concerne tous  les acteurs de  l’économie. Trop  souvent associée aux grands groupes, elle  concerne toute personne à  la tête d’une organisation publique, privée ou associative, tout dirigeant d’entreprise, d’organisme, d’administration, quelle que soit la taille et l’activité de ceux‐ci Les experts‐comptables ont un rôle à  jouer pour encourager son développement dans  les PME.  ‐ Une méthode :  l’Intelligence Economique consiste avant tout à mettre en place  la bonne organisation  ainsi  que  les  bons  outils  et  à  acquérir  les  bons  réflexes  pour  collecter l’information,  l’analyser  et  la  transformer  en  connaissance  qui  sera  diffusée  aux  bons acteurs sans omettre de la sécuriser.  

DOSSIER

Après le Japon dans les années 1970 et les etats-Unis à la fin des années 1980, la france s’est lancée à son tour dans la démarche d’intelligence économique à compter des années 90, à la suite de tentatives de prise de contrôle de sociétés françaises sensibles et de l’activité de fonds d’investissements étrangers agressifs. Sic en retrace l’historique.

L’intelligence économique : historique

et cohésion sociale », et adressé au Premier ministre, sont marquées par la consti-tution de cercles formels et informels, adossés parfois à l’etat tels que les groupes « intelligence économique » de l’IHeDN ou de l’INHeS, parfois à des associations comme SCIP france (Association des pro-fessionnels de la veille et de l’intelligence économique en entreprise), l’AfDIe (Asso-ciation française pour le Développement de l’Intelligence Économique), ou des “think tanks”, tels que le CePS (Centre d’Étude Prospective et Stratégique).en 2005, le ministère de l’Intérieur publie une circulaire sur l’intelligence écono-mique appliquée aux territoires créant l’intelligence économique territoriale et prévoyant des schémas régionaux d’intel-ligence économique pilotés par les préfets de région.

Dispositif opérationnelLa principale conséquence du rapport Carayon est la création d’un dispositif public d’intelligence économique, avec à sa tête un Haut Responsable à l’Intelligence economique (HRIe) au sein du secrétariat général de la Défense nationale, rattaché au

Ce mouvement s’est produit par l’intervention de respon-sables dans des secteurs aussi divers que la défense nationale, le réseau consulaire et celui de

l’entreprise et de quelques universitaires. Ces personnes ont clairement perçu l’es-sor de l’économie de la connaissance et le fait que les technologies de l’information modifiaient les conditions des prises de décision et appelaient de nouveaux modes de pensée et d’action.

Chronologie de l’intelligence économique de 1994 à 2005en 1994, le rapport du commissariat général du plan « Intelligence économique et straté-gie des entreprises », appelé également rap-port Martre (son auteur est un ancien PDG de l’aérospatiale), apporte la légitimité de l’etat à ces nouvelles pratiques et préconise la mise en place d’une politique publique d’intelligence économique. en avril 1995 est créé le Comité pour la Compétitivité et la Sécurité Économique (CCSe), placé auprès du Premier ministre et comprenant sept membres élus pour deux ans. Le CCSe ne s’est plus réuni à compter de 1997. en 2002, l’intelligence économique réap-paraît dans une circulaire du Minefi concer-nant la Défence économique et précisant le rôle des différents acteurs régionaux (notamment les préfets) impliqués dans sa mise en œuvre.Les neuf années qui séparent la publica-tion du rapport Martre de celui proposé en juin 2003 par le député Bernard Carayon, « Intelligence économique, compétitivité

Les priorités d’action

u le soutien aux entreprisesu la définition d’une réglementation sur le droit du secret des affairesu La mise en place d’une intelligence territoriale permettant aux PME

d’accéder à l’information stratégique

Premier ministre. Ce poste a été occupé du 1er janvier 2004 à avril 2009 par Alain Juillet, chargé de la mise en place de responsables de l’intelligence économique dans divers ministères (Affaires étrangères, econo-mie et finances, Agriculture, Défense, Intérieur, Recherche et environnement, et Développement durable). Le dispositif repose également sur un réseau territorial avec, auprès des TPG de région, un chargé de mission régional à l’intelligence écono-mique (CRIe), qui dépend du Service de Coordination à l’Intelligence Économique (SCIe) du ministère de l’economie, de l’In-dustrie et de l’emploi.

Une réforme de ce dispositif pour le rendre plus performant est en cours, avec au plus haut niveau, le remplacement vraisem-blable de la structure du HRIe par une “délégation interministérielle” et, concer-nant les 22 CRIe, le rattachement de ce réseau territorial aux futures Directions Régionales des entreprises, de la Concur-rence, de la Consommation, du Travail et de l’emploi (DIReCCTe) qui fusionneront sept administrations déconcentrées de l’etat d’ici 2010. p

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DOSSIER Les experts-comptables pourront prodiguer des conseils en matière d’intelligence économique, proposer une aide et orienter les entreprises vers les services spécialisés des pouvoirs publics.

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Les acteurs de l’intelligence économique

DEUX QUESTIONS à :

Claude Reisman, trésorier payeur général de la région Nord–Pas-de-Calais et du département du Nord

Sic : En votre qualité de TPG de la région Nord-Pas-de-Calais, quelle part prenez-vous à la démarche régionale de l’intelligence économique ?C.R. : Une part significative puisque

le préfet de région a confié en février 2005 au trésorier-payeur général, la coordina-tion, sous son autorité, du volet offensif du schéma régional de l’Ie qu’il copréside avec le président du Conseil régional. Ce schéma dispose d’un comité de pilotage qui définit et suit la mise en œuvre du programme triennal d’action, que mettent en œuvre deux structures opérationnelles l’une défensive, l’autre le Groupe Actions - Pro-jets Intelligence Économique Territoriale (GAPIeT) placé sous ma responsabilité et que j’anime avec l’aide du chargé de mission régional à l’Ie (CRIe) dans trois

domaines : le soutien aux entreprises, la formation et la communication. Depuis quatre ans, le GAPIeT favorise avec une effi-cacité croissante la diffusion de la culture, des méthodes et des outils de l’Ie dans le tissu économique et notamment en direc-tion des PMe et des six pôles de compéti-tivité présents dans le Nord–Pas-de-Calais.

Sic : Une déclinaison comptable et financière de l’intelligence économique est-elle mise en œuvre dans votre région ?C.R. : Absolument et je m’en réjouis

car le Nord–Pas-de-Calais est l’une des pre-mières régions à avoir expérimenté le par-tenariat conclu l’an dernier entre le Conseil Supérieur de l’Ordre et le service de coor-dination ministérielle à l’Intelligence éco-nomique. Le Nord–Pas-de-Calais compte

800 experts-comptables touchant environ 4 000 collectivités et près de 100 000 entre-prises auxquelles ceux-ci pourront, dans un proche avenir, prodiguer des conseils en matière d’Ie, proposer une aide et orienter vers les opérateurs et les services spécialisés des pouvoirs publics. Au plan local, nous avons prévu de confor-ter les liens que nous avons noués au fil du temps dans le cadre d’une convention de partenariat élargi.

Retrouvez l’interview de Claude Reisman dans son intégralité, ainsi que l’interview d’Alain Salessy, responsable de la Direction régionale des entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du travail et de l’emploi du languedoc-Roussillon, sur le site du Comité intelligence économique de l’ordre des experts-Comptables, http://www.intelligence-experts.fr/

Stéphane Delahaie-ThourinMinistère de l'AgricultureChef de missioncoordonnateur IE

[email protected]

Armel de la BourdonnayeMinistère de la RechercheDirecteur adjoint de la directionde la stratégie

[email protected]

André GiannechiniMeddat1

Chef de département de l'IEet du département du secret

[email protected]

Didier BrousseMinistère de la DéfenseColonel, chef du bureauréservé

[email protected]

Yann J ounotMinistère de l'IntérieurDirecteur de la planificationde sécurité nationale

[email protected]

Caroline MalaussenaMinistère des Affaires étrangèresSous-directrice pour l'innovationdes entreprises

[email protected]

Cyril BouyeureMEIE/MBCPFRECoordonnateur ministérielà l'intelligence économique

[email protected]

LES ACTEURS DE L'INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE

Jacques FanouillaireHaut responsable en charge de l'intelligence économique par intérim

Rattaché au Premier ministre

[email protected]

d

1. Ministère de l'Ecologie, de l'Energie,du Développement durable et de l'Aménagementdu territoire

Organisation en place à fin juin 2009

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DOSSIER

TROIS QUESTIONS à :

Rémy Pautrat, préfet honoraire de région, président de l’IeRSe

environnement pour mettre en place des actions stratégiques. Les PMe sont le moteur de notre économie, elles doivent donc s’approprier la culture, les outils et méthodes de l’intelligence économique.

C’est l’objet même de la politique publique d’intelligence territoriale développée par l’etat depuis 2005.

Sic : Quel est le rôle de l’Etat dans la conduite de la politique d’intelligence territoriale ?R.P. : La compétitivité des PMe dépend

avant tout de notre capacité collective à créer de la connaissance. L’État doit donc diffuser et partager l’information avec l’en-

Sic : En quoi l’intelligence économique favorise-t-elle le développement des PME ?R.P. : La crise financière en accélérant

les mutations du monde économique, sou-met les entreprises à de nouveaux rapports de force. Or, si les grands groupes peuvent détecter les menaces, les PMe sont plus vulnérables face aux assauts concurrentiels.

L’intelligence économique consiste en la maîtrise et la protection de l’information stratégique utile aux acteurs économiques. elle poursuit trois objectifs : la veille, la sécurité et l’influence. C’est avant tout une culture de l’anticipation qui permet aux entreprises de comprendre leur

semble des acteurs du dynamisme régional en suscitant des partenariats entre l’admi-nistration, les collectivités, les entreprises et les centres d’expertise régionaux. Cette synergie s’illustre parfaitement au sein des pôles de compétitivité.

Sic : Comment l’intelligence économique se concrétise-t-elle au sein des entreprises ?R.P. : Cette discipline réside d’abord

dans la mise en place d’un dispositif de veille pour décrypter l’environnement et détecter les opportunités. Les entreprises doivent également sécuriser leur patri-moine et créer des réseaux d’influence pour favoriser leur expansion.

Administration territoriale en matière d’intelligence économique

1. Secrétariat Général des Affaires Régionales.

SGAR1

Groupes de travail Groupes de travail

Favoriserle développementdes entreprises :

anticipation, veille,développement

international

Assurer la cohérencedu SRIE

avec le développementéconomique régional

(coordination de l’offrede service)

Identifierles entreprisesstratégiques

et les sensibiliserà la protectiondu patrimoine

Sécuriser les pôlesde compétitivité :audit et mesures

à prendre

Outils et supports : - guide des bonnes pratiques - mémento de sécurité économique - portail régional IE…

IE OFFENSIVE IE DÉFENSIVE

SCHÉMA RÉGIONALD'INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE

actionsactions

PRÉFETDE RÉGION

L’intelligence économique consiste en la maîtrise et la protectionde l’information stratégique utile aux acteurs économiques.

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Fiche technique 3 : première mission de l’expert-comptable

Questionnaire d’intelligence économique adaptée aux TPE/PME :

Phase offensive : opportunités de développement

Document établi en collaboration avec le Service de Coordination  à l’Intelligence Economique (Bercy), dirigé par Cyril Bouyeure 

                   

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Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

La maîtrise des informations

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

1 - Identifiez-vous régulièrement les évènements pouvant avoir une incidence votre entreprise ? (arrivée de nouveaux produits ou concurrents, changement du comportement de vos clients, modification des normes et réglementations, sauts technologiques, départ à la retraite de collaborateur, délocalisation de fournisseur).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

L'intelligence économique nécessite une volonté des dirigeants de l'entreprise et une réflexion préalable concernant sa stratégie et ses besoins d'information. C'est une démarche structurée à la portée de toutes les entreprises, qui n'utilise que des moyens légaux : faire de l'intelligence économique ne consiste pas à faire de l'espionnage.

Elle s'appuie sur les compétences, les connaissances et la mémoire détenues dans l'entreprise. Elle nécessite une organisation, même élémentaire, et des moyens pour collecter efficacement et valoriser les informations essentielles à l'activité de l'entreprise.

Besoin exprimé

OUI : Comment ? / En partie, NON : Pour quelles raisons ?

Toute reproduction et utilisation de la présente publication, partielle ou totale, par quelque procédé que ce soit, destinée à une utilisation collective, sont interdites sans les autorisations du Service de Coordination à l'Intelligence Economique (Bercy) et du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables

1/ Avant de se lancer dans la recherche d'informationIE OFFENSIVE

Raisons

2 - Avez-vous recensé les sources d'information internes et organisé leur gestion ? (savoir-faire du personnel, contacts des commerciaux, rapports du service après-vente, interprétation des données comptables et financières).

3 - Disposez-vous d'outils de collecte d'information ? (veille sur Internet, abonnement à des bases de données, dispositif d'exploitation des revues professionnelles, des lettres d'information, fiches standardisée pour les visites de salons, rapports d'étonnement formalisés).

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

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Raisons

5 - Développez-vous une culture de l'information dans votre entreprise ? (sensibilisation du personnel à la valeur des informations, préparation des visites de salon et restitution systématique, organisation des échanges d'informations, forums sur l'intranet, boîte à idées, etc.).

4 - Cherchez-vous à créer et entretenir des réseaux hors de votre entreprise afin de disposer de sources d'information utiles et diversifiées ? (organisations professionnelles, amicale de dirigeants, association d'anciens élèves, clubs de réflexion, chambres consulaires, administration, pôles de compétitivité, centres techniques industriels).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Raisons

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

7 - La collecte d'informations sur vos clients est-elle formalisée ? (évolutions de leurs attentes, de leur situation financière, études des annonces de marchés publics, identification de nouveaux débouchés, de nouveaux marchés géographiques).

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Pour rester compétitive l'entreprise doit :- créer des éléments de différenciation vis-à-vis de ses concurrents,- comprendre et anticiper les modifications de son environnement,- accéder à de nouveaux marchés,- favoriser l'innovation et la créativité. Pour cela elle a besoin de disposer d'informations sur elle-même, ses clients, ses concurrents, ses partenaires et les évolutions de son environnement. Si la plupart de ces informations sont disponibles et accessibles de façon ouverte, dans ses recherches l'entreprise doit prendre en compte la surabondance et la disperstion des données.

6 - Recherchez-vous les informations pour apprécier le positionnement et l'image de votre entreprise et de ses produits et services ? (avis des clients, des fournisseurs, des acheteurs sur les prix et la qualité, citations dans les articles de presse, notoriété sur les forums Internet, études réalisées par des prestataires extérieurs).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

2/ Les informations utiles à rechercher

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10 - Assurez-vous des veilles sur les sujets pouvant impacter votre entreprise ? (norme et réglementation, évolutions technologiques, circuits de distribution, comportement des consommateurs, des acheteurs, des financiers, etc.).

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Raisons

Au delà d'une veille constante sur des thématiques précises, l'intelligence économique consiste à structurer les recherches d'information ponctuelles et ciblées, indispensables pour réduire les incertitudes avant de prendre une décision importante (investissement, choix d'un partenaire, suivi d'un projet, gestion de crise).

8 - Avez-vous mis en place un dispositif pour suivre vos concurrents ? (recensement, informations sur leurs produits, activités, stratégies, anticipation des nouveaux entrants, des produits de substitution)

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

9 - Recherchez-vous des informations sur vos fournisseurs, sous-traitants et partenaires ? (appréciation de votre niveau de dépendances et identification d'offres alternatives, situation financière, structure du capital et stratégie de vos principaux fournisseurs et partenaires,).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Autres compétences internes et externes à mobiliser

11 - Pour les recherches ponctuelles d'information, vous appuyez-vous sur un plan de renseignement ? (description des besoins, identification du responsable de la recherche, date limite du livrable, moyens disponibles pour la recherche, mots clés définissant le sujet, niveau de confidentialité associé au projet)

Besoin expriméSouhaitez-vous engager une action avec votre expert-comptable ?

Raisons

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15 - Menez-vous des actions d'influence pour préserver les intérêts de votre entreprise ? (organismes de normalisation, organisations professionnelles, clubs de dirigeants, décideurs publics locaux).

14 - Développez-vous des partenariats, avec des entreprises proches en terme géographique ou d'activité ? (échange d'informations, mise en commun de compétences, participation collective à des salons, collaborations pour des projets d'innovation, structure commune)

12 - Les résultats des différentes veilles sont-ils valorisés ? (validation par croisement, sélection des données pertinentes, analyse des signaux faibles, synthèses de l'ensemble des éléments trouvés).

13 - La diffusion de l'information au sein de votre entreprise est-elle organisée ? (intranet, bases de données internes, panneaux d'affichage, liste de diffusion, dispositif pour obtenir des éléments complémentaires, capitalisation des résultats de la recherche et des sources).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin expriméSouhaitez-vous

engager une action avec votre expert-

comptable ?

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

3/ Après avoir trouvé les informations utiles

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Apprécier la fiabilité et la pertinence des sources est indispensable pour éviter de se faire intoxiquer ou de baser ses décisions sur des données erronées ou désuettes, voire des rumeurs. Valider (croiser), hiérarchiser, synthétiser les données recueillies, sont nécessaires pour donner tout son sens et toute sa valeur à l'information utile.

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

La valeur de l'information utile dépendra également de la capacité de l'entreprise à faire circuler l'information de manière adaptée (la bonne information au bon format, au bon moment, aux bonnes personnes) dans et hors de l'entreprise.

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

IE offensive - opportunités de développement 4SCIE - CSOEC

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 Fiche technique 4 : première mission de l’expert-comptable

Questionnaire d’intelligence économique adaptée aux TPE/PME :

Phase défensive : approche des risques, facteurs de vulnérabilité

Document établi en collaboration avec le Service de Coordination  à l’Intelligence Economique (Bercy), dirigé par Cyril Bouyeure 

                    

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2 - Identifiez-vous les risques pesant sur vos informations sensibles (vols, destructions, captations, contrefaçons, rumeurs, etc.) et connaissez-vous vos obligations en matière de protection des données ? (protection des données personnelles, respect les droits des personnes, conservation des données).

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

3 - Avez-vous formalisé une politique de protection des informations sensibles dans votre entreprise ? (sensibilisation du personnel, désignation et formation de responsables sécurité, élaboration et documentation des règles à respecter, des contrôles à réaliser, des traitements des incidents, gestion des droits d'accès)

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Raisons

1 - Avez-vous recensé les informations stratégiques détenues par votre entreprise ? (fichiers clients, capacités de production, circuits de distribution, plan marketing, orientations stratégiques, travaux de recherche, données financières, etc.) .

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ? Autres compétences internes et externes à mobiliser

Raisons

Besoin exprimé

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Toute reproduction et utilisation de la présente publication, partielle ou totale, par quelque procédé que ce soit, destinée à une utilisation collective, sont interdites sans les autorisations du Service de Coordination à l'Intelligence Economique (Bercy) et du Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts-Comptables

La protection des informations

IE DEFENSIVE 1/ L'organisation générale de la protection de l'information

L'entreprise doit concilier la nécessité de communiquer des informations et de préserver certaines d’entre elles. Cette protection a un coût et représente une contrainte pour l’organisation et la vie de l’entreprise. Pour pouvoir adopter les mesures en fonction des préjudices potentiels, l'entreprise doit identifier les informations sensibles qu’elle détient et connaître les menaces potentielles et ses vulnérabilités.

Pour être efficace la politique de sécurité de l'information nécessite une réflexion préalable et une cohérence d'ensemble du dispositif de protection. Si des moyens techniques sont souvent nécessaires, la protection repose aussi sur l'organisation mise en place et sur les comportements individuels. Par la formation, l'entreprise accroît son niveau de confiance dans l’aptitude de ses employés et de ses interlocuteurs externes, à préserver la confidentialité des informations qu’elle leur confie.

IE défensive - cartographie des risques 1SCIE - CSOEC

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Échéances

Raisons

6 - Certaines de vos informations sensibles sont-elles protégées par des contrats d'assurance et/ou des moyens juridiques de la propriété intellectuelle ? (brevets, dépôts de marques, dessins, modèles, enveloppe Soleau, etc. )

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Raisons

5 - Avant de lancer un projet important, traitez-vous les aspects relatifs à la sécurité des informations ? (qui sera informé ? comment circuleront et seront conservées les informations ? quelle politique de communication sera associée au projet ?).

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Raisons

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

2/ La protection juridique et contractuelle des informations

Autres compétences internes et externes à mobiliser

7 - Insérez-vous des clauses de confidentialité dans les contrats de travail du personnel ?

8 - Lorsque que vous choisissez un prestataire, prenez-vous en compte sa capacité à protéger vos informations et faites vous, si cela est nécessaire, figurer des clauses de secret dans son contrat ?

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Pour sécuriser ses informations, l'entreprise a la possibilité d’utiliser les droits et titres de propriété intellectuelle (droit des brevets d'inventions, droit des dessins et modèles, certificats d'utilité, droit des marques, droit d’auteur) ou de mettre en œuvre des dispositifs particuliers (contrat d'assurances, clauses de confidentialité, charte de bonne conduite, règlement interne, manuel de procédure).

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

Raisons

4 - Sensibilisez-vous votre personnel et vos partenaires aux problèmes de sécurité de l'information ? (mise en garde contre les indiscrétions, les vols de portable, les réponses aux enquêtes commerciales, les risques de divulgation lors de salons).

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Besoin exprimé

10 - Vos données financières, notamment les informations prévisionnelles, sont-elles sécurisées ? (appréciation de leur valeur, maîtrise de leur diffusion, de leur exploitation)

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Raisons

9 - Avez-vous des procédures de sécurité adaptées à la sensibilité des documents ? (régles de classement, de marquage, d'exploitation, de diffusion, de conservation, de destruction)

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Pour protéger ses informations, l'une des mesures essentielles est de limiter l'accès physique aux informations.

Raisons

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

12 - les accès à vos locaux sont-ils contrôlés ? (organisation de l'accueil et du déplacement des visiteurs, détection et traitement des intrusions) Avez-vous identifié et sécurisé les sites et/ou périmètres sensibles de votre entreprise ? (moyens physiques et/ou humains, réglementation de la présence et de la circulation du personnel) ?

Besoin exprimé

4/ La protection des locaux

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ? Autres compétences internes et externes à mobiliser

La maîtrise des données nécessite de prendre à chaque étape de « la vie d’un document », des mesures de protection cohérentes avec le niveau de sensibilité identifié.Les données financières et les dispositifs de communication, sources d'information importantes, seront particulièrement encadrés

Raisons

Besoin exprimé

3/ La protection des données et des documents

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ? Autres compétences internes et externes à mobiliser

Besoin exprimé

11 - Contrôlez-vous la sensibilité des informations contenues dans vos supports de communication ? (documents de promotion, site web, lettre d'information).

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Échéances

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

13 - Vos serveurs et postes de travail informatiques sont-ils équipés en logiciels et matériels de sécurité (antivirus, anti-spyware, pare-feu,) et les correctifs de sécurité sont-ils régulièrement appliqués ?

5/ La protection des systèmes et outils d'information et de télécommunication

L’information est très souvent dématérialisée pour être transmise ou conservée à l'aide d'un support numérique. C'est pourquoi, les entreprises ne peuvent pas aborder la sécurité de l’information sans se concentrer sur leur environnement numérique composé :- des postes de travail informatique et serveurs (données, PABX, etc.) ;- des applications (systèmes d’exploitation, suites bureautiques, logiciels métiers, etc.) ;- des infrastructures de communication et de télécommunication (réseaux locaux, liaisons inter-sites, réseau téléphonique, accès Internet, liaison radio, etc.).

Raisons

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Raisons

14 - Avez-vous sécurisé les moyens de télécommunication (PABX, étanchéité aux écoutes) et d'échanges à distance (Wi-fi, Extranet) de votre entreprise ?

15 - Les données sensibles bénéficient-ils de moyens de protection renforcée ? (chiffrement, conservation sur des supports amovibles, utilisation sur du matériel non connecté au réseau)

Raisons

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

Souhaitez-vous engager une action avec votre expert-

comptable ?

Besoin exprimé

Autres compétences internes et externes à mobiliser

IE défensive - cartographie des risques 4SCIE - CSOEC

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  Fiche technique 5 : première mission de l’expert-comptable

Liste d’exemples d’outils de veille gratuits

Liste proposée par le Service de Coordination à l’Intelligence Economique (SCIE)  

  Avertissement :  Cette  sélection est proposée à  titre  indicatif,  selon un  critère de  simplicité d'usage et de pertinence  des  résultats.  Elle  représente  une  photographie  très  partielle  de  l'offre  à  un instant donné. Elle ne saurait engager la responsabilité du SCIE 

    

            

Recherche, veille sur le WEB :

exemple d'outils gratuits(pays d'hébergement du site, lorsque disponible)

NB : les outils indiqués en caractère gras sont interrogeables en français.04/05/2009

1. OUTILS DE RECHERCHE SUR LE WEB

Rechercher avec les moteurs de recherche généralistes Exalead http://www.exalead.com/ F

Affiner sa recherche Google.fr/options http://www.google.fr/options/ US

Méta-moteurs Ixquick http://www.ixquick.com/fra/ Pays-Bas

Choisir parmi plusieurs moteurs Browsys.com/Finder http://www.browsys.com/finder/ * US

Comparer les résultats de plusieurs moteurs sur une page Twingine http://twingine.com/ * Norvège

Classer les résultats par catégories Clusty http://www.clusty.com/ * US

Cartographier visuellement les résultats Kartoo http://www.kartoo.com/ F

Utiliser les interfaces visuelles Newsmap.jp http://newsmap.jp/ * Japon

Utiliser les moteurs participatifs Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/ US

Rechercher des vidéos, des images Video.Google.Fr http://video.google.fr/ US

Rechercher des informations sur des entités nommées Zoominfo http://www.zoominfo.com/ * US

Rechercher dans les archives Archive.org http://www.archive.org/ * US

Rechercher dans les fichiers partagés Scribd http://www.scribd.com/ * US

Obtenir des informations sur un site Web Faganfinder.com/urlinfo/ http://www.faganfinder.com/urlinfo/ * Canada

Analyser le contenu des pages Web Mozilla / Clearforest Gnosis https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/3999 * US

Traduire les pages Web Translate.Google http://www.translate.google.com/ * US

2. OUTILS DE VEILLE SUR LE WEB

Personnaliser son moteur pour cibler les résultats Google Rech.personnalisée http://www.google.fr/coop/cse/ US

Etre alerté sur l’actualité sur ses sujets préférés Google.Alertes http://www.google.fr/alerts US

Surveiller l’actualité depuis un portail Wikio.fr http://www.Wikio.fr/ F

Surveiller la blogosphère et être alerté Wasalive http://fr.wasalive.com/ F

Surveiller le buzz Popurls http://popurls.com/ * Autriche

Surveiller le micro-blogging, les forums etc Search.twitter http://search.twitter.com/ * US

Rechercher dans les sites de partages de signets Delicious http://delicious.com/ * US

Lire les flux RSS à partir de son navigateur Microsoft Internet Explorer 7 http://www.microsoft.com/france/windows/ie/ US

Gérer et filtrer ses flux RSS sur un lecteur installé AlerteInfo http://www.geste.fr/alertinfo/ F

Lire les flux RSS sur un lecteur en ligne Google.com/reader http://www.google.com/reader US

Lire et classer ses flux sur un portail personnalisé en ligne Netvibes http://www.netvibes.com/ F

Organiser la collecte en ligne Crossfeeds http://www.crossfeeds.fr/ F

Surveiller les sites Web ne proposant pas de flux Mozilla / Update Scanner http://updatescanner.mozdev.org/fr/index.html

Capturer le contenu du Web Httrack http://www.httrack.com/page/1/fr/ F

Générer des flux RSS à partir d'un moteur de recherche Feedmysearch http://feedmysearch.com/ * US

Générer des flux RSS à partir d'un Portail News.webplanete.net http://news.webplanete.net/ F

Organiser les flux RSS pour la diffusion Xfruits http://www.xfruits.com/?lg=fr F

Diffuser les résultats de la veille sur un blog Blogger http://www.blogger.com/ US

3. RESSOURCES (répertoires, portails, moteurs spéci alisés, bases de données …)

Répertoires de la presse en ligne Allyoucanread http://www.allyoucanread.com/ * Canada

Annuaires sectoriels Indexa.fr http://www.indexa.fr/ F

Moteurs sectoriels Usinenouvelle.com/web/ http://www.usinenouvelle.com/web/ F

Annuaires de services du Web 2.0 Lamoooche http://www.lamoooche.com/ F

Informations sur les sociétés françaises Societe.com http://www.societe.com/ F

Informations sur les sociétés étrangères Hoovers http://www.hoovers.com/ * US

Informations sur les marques de produits Visiobrand http://www.visiobrand.com/ * Suisse

Informations sur les salons, les conférences … Forumexpo.fr/ http://www.forumexpo.fr/ F

Portails juridiques Legifrance http://www.legifrance.com/ F

Moteurs juridiques Lexisweb http://www.lexisweb.com/ * US

Portails d'informations technologique et scientifique Adit http://www.bulletins-electroniques.com/ F

Moteurs de recherche technologique et scientifique Scirus http://www.scirus.com/ * Roy-Uni

Bases de données de brevets FR.espacenet.com http://fr.espacenet.com/ F

Moteurs de recherche de brevets Google.Patents http://www.google.com/patents * US

Portails de bases de données Dadi.univ-lyon1.fr http://dadi.univ-lyon1.fr/ F

Portails d’informations aux entreprises Entreprises.gouv.fr http://www.entreprises.gouv.fr/ F

NB : la présente sélection est proposée à titre indicatif, selon un critère de simplicité d'usage et de pertinence des résultats.

Elle représente une photographie très partielle de l'offre à un instant donné. Elle ne saurait engager la responsabilité du SCIE.

     Fiche technique 6 : deuxième mission de l’expert-comptable

Plan de comptes « intelligent »

Intervention d’Elisabeth Lacroix (expert‐comptable)   

                       

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plan

de

com

pte

inte

lligen

t

Enre

gist

rer u

ne p

rovi

sion

pou

r dé

préc

iatio

n.

•For

mal

iser

les

cond

ition

s d’

utilis

atio

n m

ême

si c

ette

util

isat

ion

est à

titre

gra

cieu

x.

•Effe

ctue

r les

form

alité

s pe

rmet

tant

d’

étab

lir la

pro

prié

téde

l’en

trepr

ise

sur l

’act

if in

corp

orel

con

cern

é.

Rap

pel :

ne

pas

oubl

ier q

ue p

our

fond

er la

val

eur d

e vo

s m

arqu

es,

brev

ets

créé

s en

inte

rne,

il e

st

souh

aita

ble

de le

s fa

ire e

xplo

iter p

ar

un ti

ers

; la

rede

vanc

e pa

yée

perm

ettra

de

just

ifier

une

val

eur p

our

une

cess

ion

ulté

rieur

e.

Il fa

ut d

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pens

er à

exte

rnal

iser

vos

mar

ques

, bre

vets

……

.

Mai

ntie

n à

l’act

if d’

un m

onta

nt

sign

ifica

tif à

ce ti

tre a

lors

que

le

brev

et, l

a lic

ence

ou

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e n’

est p

lus

porte

ur d

’ava

ntag

e éc

onom

ique

futu

r.

Util

isat

ion

sans

dro

it d’

un b

reve

t, d’

une

licen

ce d

’une

mar

que

ou

d’un

pro

cédé

pour

lesq

uels

l’e

ntre

pris

e n’

a pa

s de

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de

prop

riété

: rem

ise

en c

ause

ul

térie

ure

poss

ible

de

cette

ut

ilisat

ion.

Con

trats

sig

nés

pour

l’ac

quis

ition

d’

un d

roit

léga

l.

Dép

ôt à

l’IN

PI p

our l

es é

lém

ents

acqu

is (c

hang

emen

t de

nom

) et

les

élém

ents

cré

és.

205

-Con

cess

ions

et d

roits

si

mila

ires,

bre

vets

, lic

ence

s,

mar

ques

, pro

cédé

s lo

gici

els,

dro

its

et v

aleu

rs s

imila

ires

(Atte

ntio

n : d

epui

s le

1/0

1/20

05 le

s m

arqu

es e

t aut

res

élém

ents

si

mila

ires

créé

s en

inte

rne

ne

peuv

ent p

lus

faire

l’ob

jet d

’une

in

scrip

tion

àl’a

ctif)

.* 6

2270

0 fra

is d’

acte

s

Préc

autio

ns e

t/ou

mes

ures

àpr

endr

eR

isqu

esAl

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pro

fess

ionn

elle

Veille

et/o

u co

mpl

émen

ts d

’info

rmat

ions

Num

éro

de c

ompt

e

Pag

e 38

L’IN

TELL

IGEN

CE

CO

MPT

ABLE

ET

FIN

ANC

IER

E N

ECES

SAIR

E AU

X FA

BRIC

ANTS

DE

CO

MPT

ES (5

/6)

Un

plan

de

com

pte

inte

lligen

t

Préc

autio

ns e

t/ou

mes

ures

àpr

endr

eR

isqu

esAl

erte

pro

fess

ionn

elle

Veille

et/o

u co

mpl

émen

ts d

’info

rmat

ions

Num

éro

de c

ompt

e

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her u

n fin

ance

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tern

e ou

pré

voir

une

augm

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de c

apita

l ou

cher

cher

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con

som

mat

rice

de c

ash.

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nce

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cons

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s au

x fil

iale

s qu

i n’o

nt

pas

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ossi

bilit

éde

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bour

ser à

cour

t ter

me

la s

ocié

tém

ère

Anne

xe d

es c

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es a

nnue

ls a

vec

les

mét

hode

s d’

éval

uatio

n, le

s ta

blea

ux d

es fi

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s et

pa

rtici

patio

n, le

s co

mpt

es a

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ls

des

filia

les,

les

enga

gem

ents

hor

s bi

lan

pour

les

caut

ions

don

nées

261

-Ti

tres

de p

artic

ipat

ion

et 2

67C

réan

ces

ratta

chée

s au

x pa

rtici

patio

n

Inve

stir

pour

mis

e à

nive

au d

e l’o

util

de p

rodu

ctio

n po

ur re

ster

au

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au

par r

appo

rt au

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ncur

rent

s –

prév

oir

le fi

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emen

t adé

quat

.

Rem

édie

r aux

diff

icul

tés

soit

de re

ntab

ilité

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de fi

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t.

Har

mon

iser

les

date

s de

clô

ture

pour

une

mei

lleur

e vi

sibi

lité.

•Met

tre e

n pl

ace

une

cons

olid

atio

n in

tern

eN

on s

eule

men

t pou

r le

com

pte

de

résu

ltat,

Mai

s au

ssi p

our l

e bi

lan

pour

co

nnai

trele

s cr

éanc

es e

t les

det

tes

glob

ales

hor

s gr

oupe

.

1/ V

aleu

rs n

ette

s co

mpt

able

s et

en

gage

men

ts d

e cr

édits

bau

x fa

ible

s au

rega

rd d

u se

cteu

rO

bsol

esce

nce

de l’

outil

de

prod

uctio

n.

2/ C

essi

ons

mas

sive

s d’

imm

obilis

atio

ns p

ouva

nt n

’être

ju

stifi

ées

que

par d

es p

robl

èmes

de

trés

orer

ie.

Rap

pel :

Vér

ifier

les

titre

s de

pr

oprié

té•e

n ca

s de

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déc

alée

pr

oblè

mes

de

cuto

ff da

ns le

s en

trepr

ises

pris

es

indi

vidu

elle

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t.•M

ultip

licat

ion

des

refa

ctur

atio

ns

empê

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t d’a

voir

une

visi

bilit

éde

l’a

ctiv

itégl

obal

e ré

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.

Anne

xe d

es c

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es a

nnue

ls a

vec

: -Les

mét

hode

s d’

éval

uatio

n-L

es m

étho

des

d’am

ortis

sem

ents

-Les

eng

agem

ents

au

titre

des

cr

édits

bau

x m

obilie

rs-L

es ta

blea

ux d

es im

mob

ilisat

ions

21 -

Imm

obilis

atio

ns c

orpo

relle

s

Pag

e 39

L’IN

TELL

IGEN

CE

CO

MPT

ABLE

ET

FIN

ANC

IER

E N

ECES

SAIR

E AU

X FA

BRIC

ANTS

DE

CO

MPT

ES (6

/6)

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plan

de

com

pte

inte

lligen

t

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ion

des

sala

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pour

ce

ssio

n de

s st

ocks

les

plus

anc

iens

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rimes

).

•Dév

elop

pem

ent d

ans

la m

esur

e du

po

ssib

le d

es s

tock

s en

dép

ôt.

•Con

clus

ion

avec

les

four

niss

eurs

pr

inci

paux

de

cont

rats

ann

uels

ave

c un

éta

lem

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es li

vrai

sons

.

•Util

iser

les

serv

ices

de

brad

eurs

.

•Org

anis

er u

ne o

péra

tion

de

dest

ocka

ge(li

quid

atio

n av

ec

auto

risat

ion

préf

ecto

rale

).

•Con

sulta

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de n

ouve

aux

four

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eurs

pou

r mis

e en

co

ncur

renc

e.

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eur n

’a p

as e

ncor

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épa

yé, c

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her à

négo

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un

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ur

parti

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es s

tock

s.

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rota

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des

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insu

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nts

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trés

orer

ie•R

isqu

e de

sto

cks

«m

orts

»

-Dél

ais

de p

aiem

ents

trop

cou

rts

des

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par

rapp

ort a

ux

beso

ins

de l’

entre

pris

e.

-Var

iatio

n an

orm

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s st

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nnée

sur

l’au

tre

erre

ur m

atér

ielle

pos

sibl

e lo

rs d

e la

dét

erm

inat

ion

des

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erre

ur d

’ach

at a

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un s

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di

ffici

lem

ent v

enda

ble

ou

vend

able

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un

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ng.

Anne

xe d

es c

ompt

es a

nnue

ls a

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hode

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éval

uatio

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s st

ocks

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iatio

n.

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tock

set

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s4

-Fou

rnis

seur

s

Préc

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ns e

t/ou

mes

ures

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isqu

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elle

Veille

et/o

u co

mpl

émen

ts d

’info

rmat

ions

Num

éro

de c

ompt

e

Fiche technique 7 : deuxième mission de l’expert-comptable

Facteurs de vulnérabilité issus des comptes annuels

Intervention de Serge Monbec (Receveur des finances, Recettes Générales des finances) 

                              

 

Facteurs de vulnérabilité issus des comptes annuels   

Exemples de facteurs de vulnérabilité issus des comptes annuels des entreprises 

Insuffisance de fonds propres alors que l’entreprise est une Jeune Entreprise Innovante  (JEI)  avec  des  valeurs  immatérielles  lourdes  (nouveau  marché, nouveaux produits,…) 

Insuffisance de capitalisation au regard de la stratégie de développement et d’investissement R&D 

Insuffisance  de  provision  dès  lors  qu’un  risque  donné  est  clairement appréhendé 

Positionnement  fragilisé  par  rapport  aux  concurrents  ou  tiers (investisseurs,…) qui sont dans une stratégie de prédateur 

                               

Fiche technique 8 : deuxième mission de l’expert-comptable

Cinq indicateurs de veille

  

                           

    

 

 Prévention‐anticipation : une nouvelle mission : des alertes professionnelles 

  Des alertes professionnelles, pour mettre en place des missions de prévention anticipation, peuvent être déclenchées à partir d’indicateurs choisis tels que :  ‐ Secteur d’activité  Une  veille  devra  être  assurée  par  les  experts‐comptables  sur  les  différents  secteurs d’activité de  leurs clients pour remplir cette mission. Si  le secteur devient vulnérable, une alerte  professionnelle  se  déclenchera  pour  engager  des  actions  correctrices  et  renforcer ainsi  l’entreprise.  Imaginons  par  exemple  un  secteur  en  chute,  la mise  en  place  d’une nouvelle  force commerciale ou d’un nouvel outil de gestion  informatique  intégré pourrait permettre dans les deux cas de compenser la vulnérabilité du secteur.  ‐ Organisation de l’entreprise  Lorsqu’elle  est  centralisée  autour  du  dirigeant,  l’absence  d’échelons  intermédiaires déclenchera une alerte. La mise en place de  tels échelons ne  sera pas obligatoirement  la réponse à apporter, mais il sera possible de compenser cette faiblesse par l’introduction de manuels de procédures permettant de formaliser « Qui fait quoi ? Comment ? ». De ce fait, le dirigeant ne  sera pas  le  seul détenteur de  la mémoire de  l’entreprise.  Il  s’agit ainsi de faire  émerger  une  “valeur  immatérielle”  de  l’entreprise,  pour  mieux  la  valoriser  et notamment sécuriser les transmissions d’entreprises.  ‐ Degré de dépendance vis‐à‐vis des tiers, clients, fournisseurs, banquiers,…  Une veille devra être assurée pour estimer le degré de dépendance et faire en sorte que des solutions alternatives puissent être mises en place rapidement en cas de défaillance ou de retrait  d’un  tiers. Des  accords  d’appuis  techniques  logistiques  seront  à  conclure  entre  le Conseil Supérieur de  l’Ordre et des  institutionnels  tels que ACFCI, UBIFrance, ADIT, APCE, INPI,...  ‐ Harmonie entre actionnaires  La répartition du capital doit être surveillée attentivement dans la mesure où le 50 %/50 % peut en cas de dissension entre associés remettre en cause la pérennité de l’entreprise. Une veille  sera  organisée  à  partir  de  différents  documents  juridiques  de  l’entreprise.  Des mesures correctives préventives seront à mettre en place tel qu’un pacte d’actionnaires à rédiger  ou  une  assurance  à  souscrire  au  préalable  pour  faire  face  à  de  tels  évènements prévisibles.   

   ‐ Autonomie financière  L’indépendance financière de  l’entreprise doit être surveillée. Des cotes d’alerte envoyées aux clients par leurs experts‐comptables permettront de les sensibiliser au renforcement de leurs  fonds  propres  et  aux  effets  de  levier  existants  (fonds  d’investissements,  lignes innovation,  emprunts).  Des  solutions  existent  aujourd’hui  (plateformes  telles  que  celle d’Oseo, www.oseo.fr), plateformes privées  :  Forum Appui PME,  Fonds d’investissement  : France Investissement, Fonds stratégique d’investissement,…), elles doivent être largement diffusées. Ainsi  l’expert‐comptable  renforcera  son  rôle de conseil en  stratégie et d’acteur essentiel dans le tissu économique au service de la compétitivité et de la modernisation et pour le développement pérenne des entreprises.                                 

Fiche technique 9

Quel financement pour cette nouvelle mission ?

  

Document réalisé par Arezki Mahiout (expert‐comptable)              

                

 Quel financement pour cette nouvelle mission ? 

   

Mesures fiscales incitatives (crédit d’impôt…) ?  

Financements spécifiques ?  

Avances remboursables (du type OSEO) 

Dépenses éligibles dans le cadre du Crédit d’Impôt Recherche 

…. 

                                 

 Fiche technique 10

- Plaquette « Vous avez dit intelligence économique ? » réalisée par le

Service de Coordination à l’Intelligence Economique

- Site internet des Pouvoirs Publics : www.ie.bercy.gouv.fr

- Site internet du CSOEC dédié à l’IE : www.intelligence-experts.fr

  

                   

Qu

’es

t-c

e q

ue

l’i

nte

llig

en

ce

éc

on

om

iqu

e ?

L’in

telli

genc

e éc

onom

ique

est

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fois

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imilé

e à

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l’esp

ionn

age

écon

omiq

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u à

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e ve

ille

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men

tair

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atiq

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natu

relle

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réa

lité,

l’in

telli

genc

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une

dém

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che

orga

nisé

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lég

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tée

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e en

tre-

pris

e.

Elle

con

cern

e le

rec

ueil

et l

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aite

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t d’

info

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tions

ouv

erte

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otec

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form

atio

ns

sens

ible

s.

En d

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ns e

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vale

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l’in

form

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n,

l’int

ellig

ence

éco

nom

ique

enc

oura

ge s

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ion,

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pos

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la q

uest

ion

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a sé

cu-

rité

.

On

ne

fait

pas

de

l’int

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ence

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pa

r in

adve

rtan

ce.

Elle

déc

oule

de

la v

olon

té d

es d

iri-

gean

ts d

e l’e

ntre

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d’u

ne r

éfl e

xion

pré

alab

le

sur

sa s

trat

égie

et

ses

beso

ins.

Elle

néc

essi

te u

neor

gani

satio

n, m

ême

élém

enta

ire,

de

la c

olle

cte

des

info

rmat

ions

jusq

u’à

leur

diff

usio

n.

L’in

tell

ige

nce

é

co

no

-

miq

ue

es

t l’

en

se

mb

le

de

s a

cti

on

s c

oh

ére

n-

tes

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r le

qu

el

tou

t a

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teu

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co

no

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(e

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tre

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co

lle

cti

vit

é

pu

bli

qu

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ch

erc

he

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as

su

re

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aît

ris

e e

t

la p

rote

cti

on

de

l’i

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on

es

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nti

ell

e

à s

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ac

tiv

ité

s.

Il ex

iste

aus

si a

ux n

ivea

ux lo

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natio

nal e

t eur

opée

n de

no

mbr

euse

s st

ruct

ures

– p

ubliq

ues,

pro

fess

ionn

elle

s,

synd

ical

es,

priv

ées

– fo

urni

ssan

t de

s in

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ns o

u un

e ai

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leur

maî

tris

e.

Po

ur

en

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vo

ir p

lus

su

r l

’in

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nc

e é

co

no

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ue

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hau

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llige

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écon

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ww

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llige

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Po

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rm

ati

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s m

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rn

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x

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ww

w.u

bifr

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.fr,

- l’A

genc

e po

ur la

diff

usio

n de

l’in

form

atio

n te

chno

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que

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t)

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tions

(col

loqu

es, s

alon

s pr

ofes

sion

nels

, exp

ositi

ons,

et

c.) ;

mo

bil

ise

r

les

c

ap

ac

ité

s

d’a

na

lys

e

d’a

cte

ur

s

di-

ve

rs

ifi é

s (

expe

rts-

com

ptab

les,

org

anis

mes

pub

lics,

co

nsei

ls e

xtér

ieur

s, e

tc.)

et e

ncou

rage

r le

s éc

hang

es

d’in

form

atio

ns ;

• a

pp

cie

r l

a fi

ab

ilit

é e

t la

pe

rti

ne

nc

e d

e se

s so

ur-

ces

mai

s au

ssi l

e te

mps

et l

es m

oyen

s co

nsac

rés

à la

re

cher

che

et a

u tr

aite

men

t de

l’inf

orm

atio

n ;

• v

ali

de

r,

hié

ra

rc

his

er

et

sy

nth

éti

se

r l

es

do

nn

ée

s

re

cu

eil

lie

s (c

ette

val

oris

atio

n do

it d’

être

réa

lisée

par

un

e pe

rson

ne d

e co

nfi a

nce

conn

aiss

ant

l’env

iron

ne-

men

t, le

s ob

ject

ifs e

t la

stra

tégi

e de

l’en

trep

rise

) ;

• d

iffu

se

r l

’in

for

ma

tio

n u

tile

de

man

ière

ada

ptée

(au

bon

form

at, a

u bo

n m

omen

t, au

x bo

nnes

per

sonn

es).

L’in

tell

ige

nc

e é

co

no

miq

ue

co

ns

iste

à :

> c

on

na

ître

se

s b

es

oin

s

d’i

nfo

rm

ati

on

,

> p

lac

er

le

s h

om

me

s a

u

ur

de

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isp

os

itif

,

> a

dm

inis

tre

r l

es

ris

qu

es

lié

s à

l’u

tili

sa

tio

n d

e

l’in

for

ma

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n.

Lors

que

l’on

prat

ique

l’in

telli

genc

e éc

onom

ique

, il e

st

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rtan

t de

se r

appe

ler

que

:

• l

es

pr

og

ra

mm

es

in

for

ma

tiq

ue

s, b

ien

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puis

sant

s et

cap

able

s de

pro

céde

r à

des

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ns a

utom

atis

ées

(ana

lyse

s sé

man

tique

s de

doc

umen

ts, é

tude

s de

bre

-ve

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réat

ions

de

résu

més

, car

togr

aphi

es d

es r

ésul

-ta

ts,

etc.

), ne

son

t qu

e de

s ou

tils

dont

les

rés

ulta

ts

doiv

ent ê

tre

inte

rpré

tés

;

• r

ec

he

rc

he

r d

es

do

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ée

s o

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e à

révé

ler

une

part

ie

de s

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raté

gie

et la

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des

tra

ces.

Il fa

ut d

onc

trou

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r un

équ

ilibr

e en

tre

la n

éces

sité

d’u

ne c

ircu

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n et

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rote

ctio

n de

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pat

ri-

moi

ne in

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nnel

.

• d

es

sit

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We

b, d

ével

oppé

s pa

r le

s di

rect

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de

Ber

cy p

arte

nair

es d

es e

ntre

pris

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- la

dir

ectio

n gé

néra

le d

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pris

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ww

w.in

dust

rie.

gouv

.fr,

- le

s di

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rég

iona

les

de l’

indu

stri

e, d

e la

rec

herc

he e

t de

l’env

iron

nem

ent (

Dri

re) w

ww

.dri

re.g

ouv.

fr,

- la

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n du

com

mer

ce, d

e l’a

rtis

anat

, des

ser

vice

s et

des

pr

ofes

sion

s lib

éral

es (D

CAS

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ww

w.p

me.

gouv

.fr,

- le

s m

issi

ons

écon

omiq

ues

à l’é

tran

ger

et le

s di

rect

ions

gion

ales

du

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mer

ce e

xtér

ieur

(DR

CE)

w

ww

.mis

sion

eco.

org/

et w

ww

.exp

orte

r.gou

v.fr

,-

l’Ins

titut

nat

iona

l de

la s

tatis

tique

et d

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tude

séc

onom

ique

s (In

see)

htt

p://

entr

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ses.

inse

e.fr

/,-

la d

irec

tion

géné

rale

des

dou

anes

et d

roits

indi

rect

s(D

GD

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ww

w.d

ouan

e.go

uv.fr

,-

la d

irec

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géné

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de

la c

oncu

rren

ce, d

e la

con

som

mat

ion

et d

e la

rép

ress

ion

des

frau

des

(DG

CC

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ww

w.fi

nanc

es.g

ouv.

fr/D

GC

CR

F,-

la d

irec

tion

géné

rale

des

impô

ts (D

GI)

ww

w2.

impo

ts.g

ouv.

fr/s

ie/a

ccue

il.ht

m,

- tr

acfi n

ww

w.tr

acfi n

.min

efi .g

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fr.

BE

RC

Y

ac

teu

r d

e l

’in

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ige

nc

e é

co

no

miq

ue

Le m

inis

tère

de

l’Éco

nom

ie, d

e l’I

ndus

trie

et d

e l’E

m-

ploi

ain

si q

ue l

e m

inis

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du

Bud

get,

des

Com

ptes

pu

blic

s et

de

la F

onct

ion

publ

ique

con

duis

ent u

ne p

o-lit

ique

pub

lique

d’in

telli

genc

e éc

onom

ique

au

serv

ice

des

entr

epri

ses,

en

met

tant

à le

ur d

ispo

sitio

n :

• da

ns c

haqu

e tr

ésor

erie

gén

éral

e de

rég

ion

un s

pé-

cial

iste

de

l’int

ellig

ence

éco

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, le

ch

ar

de

mis

sio

n r

ég

ion

al

à l

’in

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ige

nc

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co

no

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ue

(C

RIE

),

rele

vant

de

l’aut

orité

du

coor

donn

ateu

r m

inis

téri

el

à l’i

ntel

ligen

ce é

cono

miq

ue e

t po

sitio

nné

aupr

ès d

utr

ésor

ier-

paye

ur g

énér

al d

e ré

gion

.

Le

CR

IE a

pp

or

te a

ux

en

tre

pr

ise

s

qu

i le

so

llic

ite

nt

:

- d

es

se

ns

ibil

isa

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ns

, fo

rm

ati

on

s,

au

tod

iag

no

sti

cs

(Pou

rquo

i ?

Com

men

t ? A

vec

qui f

aire

de

l’int

ellig

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éco

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?),

- u

ne

as

sis

tan

ce

pou

r dé

fi nir

et

str

uctu

rer

une

dém

arch

e d’

inte

llige

nce

écon

omiq

ue (O

ù ch

erch

er l’

info

rmat

ion

? C

omm

ent l

a va

lider

, l’u

tilis

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À q

ui la

diff

user

?),

- d

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ns

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s s

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ges

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du

patr

imoi

ne im

mat

érie

l (Q

uelle

s so

nt

les

bonn

es p

ratiq

ues

pour

ass

urer

la

con

fi den

tialit

é de

s in

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ns ?

C

omm

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utte

r co

ntre

la

cont

refa

çon

? Q

uels

son

t les

ser

vice

s de

l’Ét

at e

xper

ts e

n sé

curi

té ?

).

• d

es

in

for

ma

tio

ns

ad

ap

tée

s a

ux b

esoi

ns d

es P

ME,

ac

cess

ible

s pa

r l’i

nter

méd

iair

e du

por

tail

Inte

rnet

w

ww

.ent

repr

ises

.gou

v.fr.

Stru

ctur

é pa

r th

èmes

, ce

site

d’in

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atio

ns u

tiles

aux

en

trep

rise

s pe

rmet

d’id

entifi

er

et d

e co

ntac

ter

des

expe

rts

issu

s de

s ad

min

istr

atio

ns c

once

rnée

s qu

i rép

onde

nt d

e fa

çon

pers

onna

lisée

, gra

tuite

et c

onfi d

entie

lle a

ux q

uest

ions

pos

ées

par

les

entr

epri

ses.

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