2008 / 2

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SOMMAIRE

Page: 1 Ballade dans le Jura Page : 3 Estivale 2008 Page : 6 Jumbo de Chaumont Page : 10 Sortie du 1er août au Tessin Page : 12 Jeûne Fédéral Page : 15 Paniers Contois Page : 17 Ballade dans le vignoble

Dimanche 11 mai 08, sortie moto dans le Jura. Le rendez-vous est fixé à Orbe au surplus militaire. Nous sommes en avance de quelques minutes. Alex arrivera après nous, les salutations d’usages, ont consultent la carte, Alex programme son GPS, et au deux quart vaudois. Et comme personne ne vient nous partons en direction de St. Croix, col des Etroits 1152 m, Vallon des Buttes et Fleurier. Peu de circulation en ce début de dimanche, quelques motos.

La Brévine juste avant le Cerneux Péquignot,

nous bifurquons à gauche en direction Morteaux, trois maisons, peut-être quatre, une

douane désertée par le personnel fédéral, mais surtout une station d’essence

Côté français la route n’est pas en très bonne état, mais en revanche les paysages du Jura

sont magnifiques, et en plus le beau temps est de la partie. Les petites routes du Jura, nous

emmènerons jusqu’à Charquemont, Damprichard et enfin Gousmois.

Village coupé en deux par le Doubs, qui lui, fait office de frontière.

Arrêt sur le coup de midi pour nous désaltérer,

ensuite nous continuons jusqu’à Muriaux au

musé de l’automobile, nous pique niquerons sous un gros sapin, son ombre nous évitera le

coup de soleil.

Cela nous ne rajeunis pas

C’était bien les belles années

Le musée de l’automobile est très bien

aménagé. Le stock de voiture présente est renouvelé régulièrement de sorte que vous

pouvez y aller plusieurs fois, il n’y aura jamais les mêmes.

Les amateurs de modèles réduit ne seront pas déçu non plus tant le choix est important.

Après la visite, une verrée au restaurant situé juste à coté.

Comme Alex avait prévu d’aller camper, partira

de son coté. L’orage de fait menaçant, le tonnerre et les éclaires sont au rendez-vous. Nous partons sans plus attendre en direction de la Chaux de Fond. Nous avons eu droit à

quelques goutes et la routes mouillée sur quelques kilomètres.

La Vues des Alpes par le col 1283 m.

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Neuchâtel par les gorges du Seillon, la route est étroite, mais il y peu de circulation, les

gens préfère, je pense, prendre l’autoroute. Nous empruntons la route cantonale jusqu’à Grandson ou nous abreuvons nos montures.

De là nous regagnons Pampigny par l’autoroute

Nous avons passé une bonne journée, dommage du peu de participants.

Pour une fois nous avons fait une sortie moto, Alex avec sa BMW adventure, moi avec mon

nouveau jouet une BMW R 1100 RS.

Gag

Un arabe entre dans une agence intérim et demande un job.

-Bijour médème ti à travail pour moi? -Oui répond la dame, comme éboueur.

-Non merci trop sale! -Alors j'ai un job de bucheron.

-Non merci trop dur. La dame lui demande alors s'il aime le sexe et

les voyages? -Oh oui madame!!!

-"Alors rentre dans ton pays et va te faire enculer..."

************

Pourquoi vaut-il mieux avoir une gueule de

bois qu’une femme ? Parce que la gueule de bois fini par

disparaître.

Papa quand je suis né, qui ma donnée mon intelligence ?

Sans doute ta mère parce que, moi j’ai toujours la mienne.

Quelle est la définition de la confiance absolue ?

C’est quand deux cannibales font un 69.

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C est le 5 et 6 juillet 2008 qu’a eu lieu notre estivale, organisée une fois par les Darbons, et l’année suivante par le SCCS. Le rendez-vous était fixé à 14h, chez Marc-André Rossier à Leytron. Les Darbons sont là avec 2 quarts d’heure d’avance. Les organisateurs de cette édition son, la famille Pellaud, dans l’ordre, Janick et Florian. Jean-Charles et Richard sont allés attendre les frouses au denier virage de la route de la Forclaz. Mésentente avec eux, ils sont déjà là, un coup de fil et tout rentrera dans l’ordre. Apéro avant de prendre la route, (ben quoi on est en valais) rosé et blanc et rouge pour les vieillards, et pour les moins téméraire ce sera de l’eau. Un verre n’a jamais tué personne, il suffit de ne pas noyer le carburateur. Départ aux alentours de 15h direction Conthey. Depuis là empruntons la route de Derborence.

Route très étroite, peu de possibilité de croiser, virages, tunnels, et enfin de parcours. Avec Florian comme éclaireur, les voitures qui heureusement ne sont pas nombreuses ce rangent sur le coté de la chaussée pour nous laisser passer. La distance Conthey Derborence est d’une quinzaine de km.

Nous avons rendez-vous à l’auberge du Godet. Notre Sergent Major du jour, (Janick) distribue les

chambres. Il y a quelques participants de trop, pas de problème, une de ces tantes possède un chalet, A Derborence et le tour est joué.

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Après la prise des cantonnements, tenue pour la ballade, chaussure de sport, bâton pour certain et c’est le départ en colonne par deux en direction des éboulis. Après environ 30minutes de marche, nous arrivons vers une petite gouille verte, selon le GO, là nous attend l’apéro, made in Janick et

d’excellente qualité.

N’est ce pas merveilleux !

Une fois celui-ci ingurgité nous remontons à l’auberge pour le repas du soir. Quelques volontaires

iront avec Janick pour préparer le bois pour faire cuir le fameux Thé williams

Pour le repas du soir au menu, une polenta ragout de très bonne qualité.

Après les cafés et les desserts, nous dirigeons vers le futur feu au bord d’un petit ruisseau. Une fois le feu allumé, le trépied déplié, Janick, met l’eau à cuir. Comme tous le monde sait faire du thé, je ne

m’étendrais pas plus sur le sujet. Sauf que là, tu y mets une bonne dose de williamine à la dernière.

Les discutions vont bon train, quelques blagues aussi, pour animé un peu dans la fraicheur de ce début de nuit. Et quand il y a plus rien à boire, (cela tombe bien nouas n’avons plus soif). Nous

rentrons à l’auberge pour retrouver notre lit, car avec un breuvage pareil pas de problème de trouver le sommeil.

Dimanche déjeuner à 9.00. Nous reprenons nos affaires, et nous partons sur le coup des 10h avec nos sides pour la suite de notre programme, c'est-à-dire, nous rendre au lac de Derborence. Le tonner gronde, les nuages sont rapides, oui nous sommes en montagne et les conditions

changent très vite.

C’est dommage l’endroit est vraiment superbe, à nouveau le tonner gronde sérieusement, les gouttes font leur apparitions, même très sérieusement, juste le temps de bâcher, de mettre les combi de pluie,

que la mousson nous arrive dessus.

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Au programme il y avait encore un déplacement jusqu’au col du Sanetsch, mais au vue des conditions climatique, nous y renonçons

La descente est digne des grands exploits. Nous avons croisé le car postal à l’entrée d’un tunnel, et

en plus c’est l’endroit le plus étroit de la chaussée. Comme c’est le car qui à la priorité, certain ont fait marche arrière afin de pouvoir croiser. Juste avant Conthey nous avons procédé à un regroupement, comme il y avait un changement dans le programme. C’est ici que notre ami Moreno et sa compagne nos quittent pour prendre la direction du Tessin au vue des conditions climatiques. Le solde du convoi avons pris la direction de Leytron, monter la route d’Ovronnaz, et cela jusqu’au hameau des Places,

pour faire la visites de la passerelle à Farinet. Ouvrage impressionnant, réalisé par des volontaires de l’armée.

La suite du programme, continuer la route sur Ovronnaz et ses bains, (aujourd’hui c’est gratuit, il pleut, à torrent) traversé la station, descendu sur les Mayens de Chamoson, pour faire halte à la colline aux

oiseaux pour pique niquer à l’abri

Et tout cela en musique, comme dirait notre Janick nationale, C’est que du bonheur.

De là, nous rentrerons par petit groupe à notre domicile. Les conditions météorologiques n’étant pas du tout favorable, nous avons quand même passé un superbe week end.

Merci aux organisateurs, aux participants pour leur bonne humeur, malgré des conditions difficiles

J.-François.

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C’est le 28 & 29 juin qu’a eu lieu le traditionnel Jumbo de Chaumont,

organisé par Nounours, Régis et son épouse.

Le rendez-vous est fixé à 18h au

restauroute de Bursin, Alex, Jean-Charles & Laetitia et Jean-François.

Après les salutations d’usage nous partons pour Chaumont. La route est la

même que par le passé. Autoroute jusqu’à Bernex, douane de Soral, Viry,

et Chaumont, total 90 km. Depuis Bursin.

Nous avons retrouvé Jean-Claude et Dudu sur place et beaucoup de tête

connue.

Montage des tentes pour certain et apéro pour d’autre. Le repas est comme les années précédentes

gargantuesques.

Un orchestre animera la soirée, et une partie de la nuit, avec de la musique

des années sixties une ambiance d’enfer

Il est minuit, je dois penser a rentrer car demain j’ai une sortie avec les

contemporains, diane à 5h. et 1h1/2 de route li ne rets pas grand-chose à

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dormir. J’espère qu’il y aura une âme charitable pour faire le compte rendu

de la journée de samedi à bon entendeur salut. J.-F

Merci au muet pour les photos. Alex et moi avons fait le trajet en moto, Alex

pas pour la même raison que moi, son side n’est pas réparé suite à des

problèmes électriques survenus en Corse.

Samedi matin diane 0800, petit

déjeuner. Régis à déjà préparer le programme des passagers des véhicules. Pour ma première

participation, j’embarque la petite Carol une jeune fille de 19 ans pour une taille de 90cm, qui ne bouge ni ne parle, 18h

par jour d’oxygène. Je dois vous avouez que j’ai les larmes ont fait leur

apparition.

Le départ ce fait un peut attendre, et sous un soleil brulant, pas facile pour

la petite. Bref ce retard est, que chaque attelage à droit à sa photo

souvenir. Voilà que le convoie se met en

mouvement, direction Mizin, Chavanaz, Vers le col de la Croix

Biche, Présilly, Le Châble, Cernex, la Chapelle, Cercier, et Chosal pour la

pause de midi. Là nous sommes reçus par une fanfare, elle égaiera l’apéro. Vien le repas, je ne vous le dit pas il était majestueux, comme dirait J.-F. Gargantuesque !!!. le tout au son de

l’Echo du Bois Des Monts et un clown se chargera de distraire tout ce beau

monde.

Le repas terminé, les passagers mis au sec. Le convoi est prêt au départ

pour le parcours de l’après m midi une route tout aussi sinueuse que le matin,

et un paysage majestueux. Pour la deuxième partie de la ballade je vous laisse le plaisir e découvrir la carte ci-

dessous

Une très belle journée, pour les participants, et une leçon de vie pour

moi.

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La suite de la journée, ce passe au bar de la cantine, au les discutions vont bon train, normale pour des motards

de la bienfaisance.

Il y à même des liaisons qui ce créent, pas si mal la blonde et au combien

sympathique.

Une journée vraiment au top, l’amitié, le bonheur des enfants, et surtout de pas oublier la subsistance, le top du

top quoi.

Le repas du samedi soir, je ne vous le détail pas, une partie, l’image ci-

dessus, vous donnera une idée de ce que nous avons subit, et encore merci

à Régis et son épouse. La soirée à été animée par un autre

groupe, aussi bien que celui de vendredi, une ambiance pour nos vieux os, et même de moins vieux.

Et comme d’habitude ont refait le monde à merveille.

Et le dimanche, petit déjeuné, pliage des guitounes, chargé nos monture, et

voilà que l’heure du dîner arrive. Celui-ci ingurgité, les salutations à tout

ce beau monde, c’est le chemin du retour.

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Quelques photos du week end

Un grand merci à Dudu pour les photos

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Départ le 1er août, le rendez-vous est fixé à 800 chez Laetitia et Jean-Charles.

Nous prenons l’autoroute à Crissier jusqu’à Charrat. Le temps est au beau fixe, nous ferons le plein à la station du Chablais.

Nous sommes à l’heure, Laetitia et Jean-Charles, sont prêt avec armes et bagages.

Pour cette sortie le side car club, est en moto, et se compose de six personnes, mais avec 4

motos. Alex,

Avec sa BMW

Christine,

Avec sa Buell

Ils sont parti la veille dans l’après midi.

Jean-Charles

Avec sa GTS

Et Jean-François

Sa BMW

Nous prenons l’autoroute à Riddes, la

circulation est plus importante que d’habitude, certainement à cause des vacances.

Dommage que l’autoroute ne va pas jusqu'à Brigue. Nous remontons la vallée de Conches

jusqu'à Ulrichen. Quelques cars font les chicanes mobiles, comme dirait Jonzier. La

circulation en sens inverse est très dense également, les dépassements sont hasardeux.

A Ulrichen nous bifurquons à droite en direction du col du Nufenen. Le col culmine à 2440m, la route est jolie, sauvage, avec une

succession de virages. La circulation est pratiquement nulle.

Un arrêt au sommet pour une pause café

croissant, une petite demi-heure. Puis c’est la descente vers Airolo par le val

Bedretto, contrée magnifique, et surtout avec le soleil.

Les quatre villages de la vallée, sont traversés à l’allure réglementaire, juste histoire d’admirer

les chalets avec leurs balcons fleuris.

Airolo autoroute jusqu'à Rivera, beaucoup de circulation, surtout des étrangers. Voie de

gauche presque jusqu’en bas. De Rivera nous pendrons les petites route jusqu'à Tesserete. Dommage que nous ne sommes pas sortis à

Giubiasco, nous aurions pu faire le col de Monte Cénéri, deux pistes, avec de grandes courbes, tu peu utiliser les ¾ de la chaussée,

presque comme en course. Attention aux radars quand même……. Cela m’étonnerait

qu’il ne la mette pas. Il est midi quand nous arrivions chez Moreno,

nous irons manger une assiette de viande froide, spécialité tessinoise, accompagné une

petite salade au grotto tout prés. Moreno, Alex et Christine sont allés faire un

tour, ils rentreront dans l’après midi.

Montage des tentes, et apéro, sont nos prochaines activités. Nous serons rejoint plus tard par couple de suisse allemand, amis de

Moreno, des Guzzistes. Le soir nous avons mangé au grotto pour les

50 ans de Moreno, Luca et sa famille nous ont rejoints. Au menu, risotto et polenta, le tout

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était excellent. Extinction des feux tard dans la nuit.

Samedi, matin, déjeuné, tout le monde est pleine forme, malgré le peu de sommeil. Nous

irons jusqu'à Ponte Tresa au marché. Moreno est la partie

Avec sa BMW

Le marché est immense, il y a des habits,

jouets, et surtout a manger, pas seulement des fruits et légumes, mais aussi des pizzas, des paninis et toutes sortes de victuailles bonnes

pour la ligne, et entretenir le cholestérol.

L’après midi nous ferons le tour du lac de Lugano, le retour jusqu'à Tesserete ce fera par

de petite route.

A 19h, apéro suivi des grillades et des salades divers, voila le menu du soir.

Sans oublier, le Merlot pour arrosé ce merveilleux festin.

Dimanche matin déjeuné, pliage des tentes,

chargés nos montures. Voilà que le départ est imminent, les salutations à Moreno et sa

copine, pour leur gentillesse et le bon sens de l’accueil.

Alex et Christine partent les premier, ils

passeront ils vont faire le col du Lukmanier, la Furka, et Susten.

Quand à Jean-Charles et moi-même nous

passeront par Locarno et le bord du lac majeur. Un arrêt à Locarno pour faire le plein

et nous désaltérer car il fait chaud. Jean-Charles et son épouse prendront la route

du Val Cannobina

La route qui rejoint le Val Vigezzo partie italienne du Centovali.

Quand à nous nous longerons le bord du lac Majeur jusqu'à Verbania, paradis du tourisme.

Beaucoup de circulation et la vitesse est limitée à 50kmh, sur la totalité du parcours

Petite crique et villa de maître ce succède les une aux autres. Mergozzo et son lac toujours aussi beau, des touristes de toutes sortes ont

envahit les quais, et la place pavée. Nous emprunterons l’autoroute jusqu'à

Domodossola. Par la suite nous rattraperons Jean-Charles. Nous nous arrêterons au col du Simplon pour manger, (ce n’est pas trop tôt il presque 15h.) Au menu grillade frite ou roesti, et une bonne

bière pour faire descendre le toute. Départ pour la suite du parcours, la circulation

est dense, motos voitures et surtout des camping-cars. La descente ce fera dans les mêmes conditions et cela jusqu'à l’entrée de l’autoroute. A l’entrée de Viège, la route est

large, double ligne blanche et en plus interdiction de dépasser. Pour ralentir le trafic tu ne fais pas mieux. Une fois passé ce goulet

cela va mieux. La fin du trajet ce fera par l’autoroute avec un arrêt au Relais du Grd.St. Bernard pour nous

abreuver. Encore un super week end de passé dans la bonne humeur et la convivialité. Merci encore

à Moreno et sa copine pour nous avoir accueilli dans ce coin magnifique qu’est Tesserete

J.-F

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Sortie du jeûne fédéral

Avec une bise soutenue, et mon vieux Kawa, chargé du nécessaire ; je me suis rendu à Pampigny, rejoindre Pierrette et Jean-François pour peaufiner notre road-book du week-end. Celui-ci s’annonce bien frais, mais le duo d’EML s’élance sur le Molendruz sans se faire prier. Pour les amateurs de jolies routes que nous sommes, nous avons été servis. Qu’importe la direction, le jura français offre sur d’interminables distances, de magnifiques paysages, ainsi que de nombreux virages. Venu midi on change rien, le traditionnel pic nique. C’est sur la plage de Clairvaux-les-Lacs que nous faisons halte. On ne va pas se disputer pour les tables, le site est presque désert. La bise quant à elle, n’est plus… tant mieux. Après l’indispensable café à Pont-de-poitte ; encore du beau bitume, et ses merveilleux enchaînements de virages appréciés. Puis nous arrivons en vue du camping prévu. L’endroit plaît à tout le monde, alors on s’installe. Accueil sympathique, emplacement à choix. Vu la taille on en prendra finalement qu’un pour deux. Auvent pour la salle à manger et tente pour dormir, voilà nous sommes installés. On a pris un side pour aller se ravitailler à Cuiseaux. Souper, café, gnôle, dodo… Ah ! Une bonne nuit, comme on les aime. Celles ou l’on ne regrette pas d’avoir pris les gros sacs de couchage, et le stock de couvertures. Ce dimanche matin, l’humidité bat des records. Brouillard sur le plan d’eau, couche nuageuse épaisse ; c’est avec nos gros pulls que nous préparons le café et le déjeuner. Même pas le temps de discuter sur la météo, qu’il est déjà 11 heures. C’est à ce moment que Matilda, qui a fait la route seule ; nous rejoins.

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Après l’installation, un léger dîner et nous prenons la route pour le circuit de Bresse histoire de donner envie à J-F et Pierrette de frotter les sliders… L’avenir nous dira si ils ont fait l’achat d’un side de course. Ensuite nous gagnons Pont-de-Vaux, et flânons le long du port de plaisance. Joli quai d’où un canal permet aux bateaux de rejoindre la Saône. Puis retour au camping pour une succulente casserole de spaghettis, sauce tomate. Vu que tous les restos, qui auraient pu nous proposer un plat local, sont fermés. Pont-de Vaux

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La soirée s’est déroulée dans la bonne ambiance. La température s’est aussi légèrement réchauffée. Et la nuit étoilée… Lundi matin, surprise : grand beau. Ouf les tentes pourront sécher un peu. Le café chauffe, la confiture s’étale sur le pain… Je trouve qu’il y a quand même quelque chose de magique à déjeuner en plein air ! Un je sais pas quoi de liberté. Bon. Tout arrive, même le départ. On range tout dans les sides, et puis go ! Chemin en sens inverse direction la maison. Toujours ces beaux virages. Rouler c’est quand même un vrai plaisir. Le dîner à Pont-de Poite le sera aussi, on se refuse rien, on ne vit qu’une fois. Séparation en bas du Molendruz. Et retour au foyer. En espérant êtres plus nombreux la prochaine fois… Matilda et Christian

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Le lieu de rendez-vous, la Sarraz, sur le coup des 9 h.

Les participants,

Alex, Freddo, Pierrette et Jean-François.

Le temps n’est pas au beau, nous ferons avec. Après les salutations d’usage, nous préparons l’itinéraire avec la carte et le GPS d’Alex. Une fois cela fait, casque, habit de pluie et bâché

les sides, départ en direction de St.-Croix, Fleurier, par le vallon de Noirvaux. La Brévine, d’habitude il fait froid, mais aujourd’hui en plus

il pleut on dirait la mousson.

Au Cachot nous refaisons le plein d’essence avant de passer la frontière (endroit plus que

désert, pas de douanier personne sur la routes, c’est normal avec le temps qu’il fait.)

les Gras, Morteau jusqu’à Fuans, nous tournons à droite, et empruntons la D39 en

nous dirigeant vers le Cirque de la Consolation, ou plutôt désolation au vu de l’endroit plus perdu que ça tu ne peu pas

trouver.

La route est étroite mais sympa, dans le fond de cette petite vallée nous longerons une jolie rivière. Quelques maisons sont là, coincées

entre route et rivière et les arbres d’une magnifique forêt. Il pleut moins fort, attention la

route resté glissante.

Nous nous arrêtons au Gigot pour boire un café, la machine en panne. Nous y allons pour des chocolats, car la patronne ne connaît pas l’Ovomaltine. Si vous passez par là, arrêtez-vous, al patronne est terriblement sympa et

accueillante.

Pierre Fontaine en Vorans, Laviron, nous sommes sur la D31, Ils sur Doubs, magnifique village sur les rives du Doubs, même quand il

pleut. A la sortie de cette dernière localité nous quittons la D 31 pour la D18, Geofans et Val Gouhenans, nous allons jusqu’à Lure et là

nous emprunterons la D134 pour Franchevelle, distant de quelques kilomètres. La pluie nous à

définitivement quittée, et nous aurons même droit à quelques rayons de soleil.

Beaucoup de monde sont déjà là, pour la plus part, sont arrivés hier dans l’après midi.ils ont

eu droit aux mauvaises conditions atmosphérique de la nuit, quelques tentes ont

pris l’eau.

Nous sommes arrivés sut le coup de 13 heures, montage des tentes, inscriptions, pas le temps de dîner, nous partons déjà pour une ballade. Un morceau de pain et une saucisse gracieusement offerte par l’organisation, nous

bouchera un trou jusqu’au repas du soir.

Fougerole, la destination de la ballade. Par groupe d’une dizaine de side cars avec un

motard à chaque carrefour, pas évident de se perdre dans de telle condition. Nous sommes

dans la région des milles étangs, nous passons par de petite route étroite et sinueuse

à souhait (il est interdit de sortir de la route noyade assurée)

Fougerole, comme son nom ne l’indique pas, est la capitale de la cerise et surtout de la distillation. Dans la région 30'000 cerisiers, cela fait pas mal d’eau de vie, et pas mal d’alambics. Nous visiterons un éco-musé

consacré à la vie des distillateurs d’autre fois, et à leur façon de travailler. Notre guide est

incollable, elle a réponse à tout. A la fin de la visite nous saurons presque tout sur la

distillation et la culture de la cerise.

Pour le retour à Franchevelle, nous roulerons pour notre compte, ceci à fin de trouver une station de benzine. Pas de problème, avec le GPS d’Alex, nous irons au super marché de

Luxeuil, le carburant étant moins cher en grande surface.

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Apéro, amuse gueule à volonté, discutions à bâton rompu avec les galopins. Le repas du

soir est d’excellente qualité. La nuit fût bonne mais courte, après un copieux petit déjeuner, pliage des tentes, après les avoir mis sécher au soleil, nous chargeons les sides, apéro et repas de midi, au menu grillades et salades.

Le départ, au alentour de 15h.aprés avoir dit au revoir à tous les potes dont certains sont de

vielles connaissances, et rendez-vous dans deux ans.

Nous prendrons le chemin inverse pour le retour, pas plus de monde sur la route que le

samedi. Arrêt au Gigot pour nous désaltérer, la patronne est toujours aussi charmante, la route

aussi, avec le beau qui est revenu, c’est un plaisir de rouler dans des endroits pareil.

Nous referons le plein à Fleurier, le précieux liquide étant meilleure marché en terre

neuchâteloise. Nous ferons la route ensemble jusqu'à Orbe, de là Alex prendra

l’autoroute pour rentrer chez lui, et moi je laisserais le side car choisir le meilleure

itinéraire, je crois bien qu’il connaît mieux la route que moi.

Encore un super week end de passé avec de super potes, juste histoire de refaire le monde.

Il est toujours plus beau quand on peu arranger les choses à notre façon.

Jean-François

PS : merci encore à tous ces gents pour leur accueil et leur bonne humeur, et surtout la bonne organisation de cette concentre et la qualité des repas.

Des petites pour rigoler

Durant la soirée, l'ex va voir le nouveau marié et lui demande d'un air

arrogant :

- Comment tu trouves ça, de rentrer dans du stock usagé

Le nouveau marié le regarde droit dans les yeux et, inébranlable (!!!),

Il lui répond :

- C'est stupéfiant ! Passé les 6 premiers centimètres, c'est flambant

neuf !

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Un homme se cogne contre une femme dans un hall d'hôtel.

Durant la collision son coude butte contre la poitrine de celle-ci.

Ils sont tout deux surpris.

L'homme se tourne vers elle et dit :

"Madame, si votre cœur est aussi doux que votre poitrine, je sais que vous me

pardonnerez."

Ce à quoi elle répond :

" Si votre queue est aussi dure que votre coude, je suis dans la chambre

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Ballade dans le vignoble 2008

Il est 10h, le side car club est là,

au complet, les attelages sont polis, les chromes passés au

Sigolin, le tout aligné et presque au garde a vous sur la place du

village d’Ollon.

Les pilotes tirés à quatre épingles, les jeunes comme les moins jeunes. Comme dirait un vieux pote à moi. « Cela à fier allure et du panache » fin de

citation. Pour ceux ou celles qui ne le connaissent pas, il s’agit du

colonel Della Santa, commandant de l’école de recrue

de Colombier en 1973.

Il fait grand beau, Jean Rosset est déjà bien présent, la journée

s’annonce magnifique. Les dégustateurs sont nombreux, le

tableau est magnifique, on dirait une poya de side cariste.

Tout à coup le réveille sonne, il

est 0.600, en ce lundi. Après demain c’est déjà mercredi et je

n’ai encore rien fait cette semaine, jeudi on travail, vendredi on

range les outils.

Youpi !!! Samedi et dimanche sont presque là, nous allons pouvoir ressortir nos side car

pour une ballade (J’espère, avec quelques potes, certainement

toujours les mêmes)

Cela serait vraiment super de se retrouver tous les 25 membres

pour une manifestation d’envergure

(Bien quoi, on à bien le droit de rêver non)

Fin des élucubrations d’un vieux

débris……….. !!!!!!!!!!!!

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Le comité et ces membres vous souhaitent de bonnes fêtes de fin d’année

Et de nombreux kilomètres en 2009