Paracha TSAV 5774 (avec Torah-Box)

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  • 7/22/2019 Paracha TSAV 5774 (avec Torah-Box)

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    PARACHA : TSAVPARIS - ILE DE FRANCE

    Entre : 18h36 Sortie : 19h46

    Villes dans le monde

    Lyon 18h27 19h32

    Marseille 18h25 19h30

    Strasbourg 18h15 19h23

    Toulouse 18h42 19h45

    Nice 18h17 19h23

    Jerusalem 17h10 18h26

    Tel-Aviv 17h26 18h27

    Bruxelles 18h27 19h39

    F e u i l l e t h e b d o m a d a i r e

    w w w . t o r a h - b o x . c o m

    U N T R S O R D E L A PA R A C H A

    Ddi la russite matrielle et spirituelle

    de Michel ben Fartouna (par Yoval Cohen)

    Los Angeles 17h44 18h42

    New-York 17h44 18h47

    Londres 17h46 18h59

    Casablanca 18h22 19h20

    TSAV 5774

    n211

    Prirederespecterlasaintetdecefeuillet:ne

    paslejeterniletransporterChabbath

    D.ieu demande Moch de transmettre

    Aharon et ses enfants les droits et

    devoirs lis la charge de la prtrise

    quils exercent en offrant les sacrifices

    dans le Tabernacle. Le feu devait brler

    sur lautel extrieur en permanence. Cest

    sur cet autel qutaient brls :

    1. Les sacrifices holocaustes (Olah

    brls en entier)

    2. Les graisses des sacrifices de paix

    (Chlamim), des sacrifices expiatoires

    (Hatat), et de culpabilit (Achame)

    3. Les offrandes base de farine

    (Minha)

    Les prtres consommaient la viande dessacrifices de paix, expiatoires et de

    culpabilit. Ils consommaient aussi le

    reste des offrandes base de farine.

    Le sacrifice de paix tait consomm

    par celui qui loffrait, except certaines

    parties qui revenaient au Cohen.

    Toutes ces parties devaient tre

    consommes par des personnes nayant

    pas contract dimpuret rituelle (par

    contact dun cadavre par exemple), dans

    un lieu saint, et dans une priode de

    temps bien dfinie.

    La fin de la Paracha nous raconte

    comment Aharon et ses fils restent

    dans le Tabernacle sept jours durant,

    lissue desquels Moch les intronise

    respectivement en tant que Grand Prtre

    (Cohen Gadol) et prtres (Cohen).

    Ola : Se sanctier par la pense

    Vayikra(6, 2) : Voici la rgle de lholocauste (ola) , cest lholocauste qui se consume sur le

    brasier de lautel, toute la nuit jusquau matin ; le feu de lautel doit y brler de mme.

    Au sujet de lholocauste, la Torah crit Un homme qui offre dentre vous .

    Nous savons que ce sacrifice vient en expiation des mauvaises penses comme il est crit dans le Talmud

    Yrouchalmi trait Yoma (8, 7). De ce fait, il ne permet une relle rparation que sil est accompagn du

    repentir de ces mauvaises penses. De plus, la Torah prcise aussi dans le gros btail , cest--dire que

    nous devons aussi consumer devant Hachem laspect animal de notre me, comme il est dit dans le Talmud

    trait Ybamot (20a) : Sanctifie-toi dans ce qui test permis , soit au-del de la loi stricte.

    En agissant ainsi, nous mriterons dtre entirement pour D.ieu, nos transgressions seront expies et la faute

    ne se prsentera plus nous. En effet, une mauvaise pense est toujours lorigine dune transgression. Plus

    encore, il est enseign Talmud trait Yoma (29a) que les intentions de transgresser sont plus graves que la

    faute elle-mme. Si nous nous sanctifions par des penses leves, limage du sacrifice de lholocauste,

    nous nen viendrons pas commettre une faute. La Torah a donc fait prcder tous les autres sacrifices de la

    section traitant de lholocauste, car la transgression ne nous est pargne que si nous nous sacrifions et nous

    sanctifions entirement pour Hachem, au point de ne pas dtourner nos penses de Lui.

    Lholocauste est donc prfrable tous les autres sacrifices, car il nous permet de nous offrir intgralement

    D.ieu et de sanctifier notre matire paisse en nous sanctifiant par ce qui nous est permis, au-del de la loi

    stricte, nous levant ainsi graduellement dans les valeurs de la Torah et de la crainte du Ciel.

    Sil y a un holocauste, il ny a pas sacrifice expiatoire. La Torah y fait allusion par la phrase Voici la rgle de

    lholocauste, cest lholocauste : lessence de lholocauste (ola) est quil doit tre entirement offert Hachem. Quiconque ne ressent pas une lvation spirituelle et naffirme pas Peut-tre nai-je pas servi D.ieu

    convenablement hier ? Je mamliorerai aujourdhui ! , na videmment pas encore atteint le statut dholo-

    causte pour Hachem et na pas apport auprs de Lui laspect animal qui l habite. En effet, si cette bestialit

    tait devenue spirituelle, elle ne laurait certainement pas empch de slever dans le service de D.ieu, mme

    dans les choses qui dpassent la loi stricte.

    http://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_PARIShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LYONhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_MARSEILLEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_STRASBOURGhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_TOULOUSEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_NICEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_JERUSALEMhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_TEL-AVIVhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_BRUXELLEShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LOS%20ANGELEShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_NEW-YORKhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LONDREShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_CASABLANCAhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_CASABLANCAhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LONDREShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_NEW-YORKhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LOS%20ANGELEShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_BRUXELLEShttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_TEL-AVIVhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_JERUSALEMhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_NICEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_TOULOUSEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_STRASBOURGhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_MARSEILLEhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_LYONhttp://localhost/var/www/apps/conversion/tmp/scratch_7/DBF_PARIS
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    I L TA I T U N E F O I S L A P A R A C H A

    La reconnaissance du Rav Shakh

    Une aprs-midi, le Rav Shakh arriva la ychivah compltement puis, et il scroula immdiatement sur une chaise. Je lui ai demand

    do il venait. Il rpondit quil tait revenu pied de lenterrement dun juif Guivatayim. Jai demand qui tait le juif qui avait mrit

    cet honneur particulier. La rponse que je reus tait quil lavait connu dans lune des petites villes o il avait tudi dans sa jeunesse.

    Je lui ai de nouveau demand pourquoi il ny tait pas all en autobus. Il rpondit : Ce dfunt mritait que jaille pour lui pied. Je vais

    vous raconter comment je lai connu !

    Dans ma jeunesse, jtudiais au beit hamidrach. Pendant de nombreuses annes jai port le mme vtement, mes chaussures taient

    dchires et uses au point que mes orteils en sortaient. Je pouvais renoncer la nourriture, mais la nuit javais trs froid. Des garonsprenaient la place ct du pole, mais moi je navais pas lhabitude de faire cela. Je dormais dans un froid terrible sur un banc, et

    sil arrivait que je trouve quelques morceaux de bois pour poser ma tte dessus, jtais dj aussi content que si ctait un bon oreiller.

    Un beau jour, un juif rentra dans le beit hamidrach et me donna un vieux manteau pour me couvrir. A partir de l ma situation sest

    amliore, le froid ne me faisait dj plus souffrir. Aujourdhui, ctait lenterrement de ce merveilleux juif, et il mrite bien que jaille

    pied laccompagner sa dernire demeure.

    A U H A S A R D . . .

    E T T E S Y E U X V E R R O N T T E S M A T R E S

    Sidi Fredj Halimi, Grand-Rabbin de Constantine

    Sfat Emet : Le feu doit brler dans le coeurVayikra (6, 2) : Et le feu de lautel y brlera

    Lauteur de Hidouchei HaRim avait lhabitude dinterroger son ingnieux petit-fils Rabbi Leibele, qui devint plus tard clbre comme

    Admor de Gour, le Sefat Emet , sur la paracha de la semaine quils tudiaient ensemble, et ils arrivrent ce verset : Et le feu de lautel

    y brlera .

    Le petit-fils interprta : Et le feu de lautel y brlera, il sagit du cohen qui soccupe du service sacr, son cur doit tre comme un autel,

    et le feu den haut doit toujours brler en lui.

    Immdiatement, Rabbi Yitzhak Mr se leva et lembrassa sur le front.

    Lui aussi expliquait ainsi ce que nous avons appris dans Avot sur les dix miracles qui taient faits nos anctres dans le Temple : la pluie

    nteignait pas le feu des branches de lautel : les pluies (gueshamim) ce sont nos tendances matrielles (gashmiot), la nourriturecorporelle des cohanim provenant des sacrifices natteignait pas le feu sacr qui brlait dans leur cur, les processus de leur corps se

    transformaient comme les sacrifices, et toute leur matrialit tait entirement consacre au feu sacr pour Hachem.

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    L E R C I T D E L A S E M A I N EUn conseil tonnant

    Au dbut du 19me sicle, quiconque dsirait

    tablir une imprimerie en Russie devait

    soumettre sa requte devant divers bureaux afin

    dobtenir pour cela la permission des autorits.

    Il fallait donc se rendre St-Ptersbourg, la

    capitale, avant dentreprendre des dmarches

    longues et fastidieuses qui devaient aboutir sur

    le bureau du Ministre de lIntrieur, responsable

    de limprimerie et de la censure. Une fois la

    signature du ministre obtenue, il fallait attendre

    que les papiers passent nouveau par tous les

    bureaux avant de pouvoir ouvrir son entreprise.

    Reb Moch, le fils de Rabbi Pinhas de Koritz,

    habitait Slovita. Avant de devenir celui qui eut le

    mrite dimprimer pour la premire fois le Tanya,

    il dut se rendre Ptersbourg pour obtenir les

    permis ncessaires. En route, il dcida de faire

    un dtour par Lyozna, l o habitait Rabbi

    Chnour Zalman, qui ntait lpoque connu

    que comme tant le Magguid, le Prdicateur de

    Lyozna, pour recevoir sa bndiction.

    Aprs avoir cout attentivement Reb Moch,Rabbi Chnour Zalman dclara : Si vous

    voulez bien couter mon conseil, nallez pas

    Ptersbourg mais Moghilev !

    - A Moghilev ?

    - Oui ! L-bas, vous trouverez un vieux

    professeur, un certain Reb Isral. Demandez-lui

    de vous accompagner Vilna !

    A Vilna ? Reb Moch tait de plus en plus

    tonn.

    Faites comme je vous ai dit et D.ieu vous

    enverra la russite conclut le Rabbi devant Reb

    Moch abasourdi.

    Celui-ci ne savait plus que faire : o tait la

    logique dans ce nouveau plan de voyage ? Mais,

    par ailleurs, il tait conscient de la saintet de

    Rabbi Chnour Zalman. Finalement sa confiance

    dans la parole du Tsadik surmonta son esprit

    rationnel et il se mit en route pour Moghilev, tout

    en se demandant comment un instituteur dcole

    juive pourrait laider obtenir ses papiers.

    En arrivant dans cette ville, il se dirigea bien

    videmment vers la petite synagogue locale

    o on laccueillit chaleureusement. Mais nul neconnaissait Reb Isral le Melamed. Finalement

    quelquun se souvint quun certain Reb Isral,

    g dune soixantaine dannes, habitait au bout

    de la ville Reb Moch se hta de le retrouver

    et lui expliqua tout de go le but de sa visite. Le

    Melamed ntait pas un Hassid et dvisagea

    son interlocuteur avec suspicion : Do votre

    Rabbi me connatrait-il ? Peut-tre pensait-il

    quelquun dautre !

    Reb Moch (qui ntait lui-mme pas trs

    convaincu) dploya cependant des trsors de

    persuasion pour que Reb Isral accepte de

    laccompagner Vilna.

    Au fait, que sommes-nous supposs faire

    Vilna ? demanda celui-ci ironiquement.

    Euh balbutia Reb Moch, en vrit je nele sais pas moi-mme Mais cest ce que le

    Rabbi a demand

    Ce nest quaprs avoir offert une somme

    consquente au Melamed que celui-ci daigna

    laccompagner. A Vilna, ils sinstallrent dans

    la maison toujours ouverte aux invits de Reb

    Mer Rephoels : celui-ci, inform de la requte

    trange du Rabbi, ne voyait pas non plus ce que

    cela signifiait. Il ne restait plus qu attendre un

    signe du ciel

    Chabbat aprs-midi, Reb Mer, Reb Moch et

    Reb Isral partirent se promener dans un parc.

    Un homme lgant, vtu dun uniforme officiel,

    sarrta brusquement devant eux et scria :

    Reb Isral ! Reb Isral !

    Le Melamed regarda lhomme sans

    comprendre. Do cet inconnu connaissait-il son

    nom ?

    Vous ne me reconnaissez pas ? Je suis Brl

    ! Jtais votre lve il y a vingt ans ou plus !

    Il ajouta encore quelques dtails et Reb Isral se

    souvint alors de cet lve quil toisa de haut en

    bas, sans cacher sa dception. En effet, lhomme

    ne semblait pas avoir absorb lducation que le

    Melamed lui avait prodigue : de fait, il stait

    compltement assimil et ressemblait aux non-

    Juifs alentour.

    Jusqu aujourdhui, je me souviens de vous,

    Reb Isral , dit lhomme pour tenter de rendre

    un ton positif leur conversation.

    Jen suis trs heureux, dit Reb Isral, mais

    pourquoi ?

    Lhomme rappela alors un pisode pnible : unjour, il stait conduit de faon assez sauvage

    lcole et le directeur lavait condamn

    plusieurs coups de fouet : Je noublierai

    jamais ces instants horribles. Je tremblais de

    peur et de honte tandis que mes camarades

    taient assembls tout autour. Javais envie

    dtre englouti par la terre. Cest alors que

    vous tes venu, Reb Isral, vous avez repris le

    fouet et vous mavez pargn cette douleur et

    cette honte. Vous ne pouvez pas vous imaginer

    combien je vous en ai t reconnaissant. Jusqu

    aujourdhui, je ressens que jai une dette envers

    vous !

    Quavez-vous fait depuis ? demanda Reb

    Isral.

    A ce moment-l, jai pris la dcision de quitter

    lcole juive. Je me suis inscrit luniversit etme voil !

    Il pronona ces derniers mots avec un mlange

    de fiert et de gne.

    Que veux-tu dire par l ? Que fais-tu maintenant

    ?

    De fait, je suis devenu le ministre charg de la

    censure et de limprimerie. Il y a une semaine,

    jai quitt mon bureau de Ptersbourg pour me

    reposer un peu ici, Vilna .

    Le lendemain, Reb Moch recevait des mainsde son ancien lve son permis flambant neuf

    pour ouvrir une imprimerie qui devint clbre

    dans le monde juif pour la qualit des livres et

    des commentaires quil dita durant une longue

    priode.

    Quand il retourna Lyozna pour remercier

    Rabbi Chnour Zalman de son conseil, Reb

    Moch ntait plus seul. Il tait accompagn dun

    nouveau Hassid : Reb Isral le Melamed.

    Traduit par Feiga Lubecki

    La sidra de la semaine

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    U N E L O I , C H A Q U E S E M A I N E

    Q U I Z Z P A R A C H A1. A quelle frquence retirait-on les cendres du dessus de lautel? Et celles dposes sur le ct de lautel ?2. Quelle est la diffrence entre une Minha (oblation) Cohen et une Minha (oblation) Isral ?3. Comment un Korban devient-il impropre de Pigoul ?

    1.a)Chaquejourunsimpleprlvementquiestdpossurlectb)Quandlaquantitdecendrestaitdevenueimportanteonretiretout.

    2.CelleduCohenestentirementconsume.SeulementunepoignedeminhaestconsumepouruneoffrandedunBenIsral,lereste

    estconsommparlescohanim.

    3.Aumomentdelaprsentationdelanimal,silapersonnealintentiondeleconsommeraprsledlaiimparti.

    Diffusion de Judasme aux francophones dans le monde

    sous limpulsion du Tsadik Rabbi David ABIHSSIRA et du Grand-Rabbin Yossef-Haim SITRUK

    Tl. France : 01.80.91.62.91 Tl. Israel : 077.466.03.32 Web : www.torah-box.com - [email protected]

    q Chavoua Tov est un feuillet hebdomadaire envoy environ 40.000 francophones dans le monde.

    q Ddiez un prochain feuillet pour toute occasion : 01.80.91.62.91 [email protected]

    q Communauts, Ecoles ou tout autre Etablissement : recevez ce feuillet chaque semaine.

    Ont particip ce numro :

    Hevrat Pinto, Rav David Haddad, Jonathan Berdah.

    Reponsable de la publ ication : Binyamin BENHAMOU

    Nos

    partenaires

    Quand rciter le Birkat HaGomel ?(Rav David Haddad)

    A compter du moment o lon est tenu de rciter cette bndiction, existe-t-il un certain laps de temps rglementairepour sacquitter de son obligation ?

    A priori, il faut sefforcer de sacquitter de son obligation pendant les trois jours suivant lvnement en question, et pas ncessairement au

    moment de la lecture de la Torah. Toutefois, si on a dpass ce laps de temps, on pourra rciter cette bndiction ultrieurement (Choulhan

    Aroukh 219, 6 ; Kaf HaHam petit alina 38 ; Halikhot Olam tome II, p. 271 ; Yalkout Yossef tome III, p. 677).

    Une personne qui voyage ltranger pour quelques jours doit-elle rciter la bndiction sur les bonts divines sur

    place ou son retour en Isral ?

    La personne qui voyage ltranger pour quelques jours est tenue de rciter la bndiction sur les bonts divines sur place au moment o

    elle sera appele la Torah le Chabbath, lundi ou jeudi. Puis son retour en Isral, elle sera tenue de la rciter nouveau sur son voyage-

    retour (Yalkout Yossef Hilkhot Berakhot pp. 681-682).

    Ta vraie richesse ? Cest ce qui te manque. Cest ce qui te permet dexprimer ton dsir, ta soif.

    (Rabbi Nahman de Breslev)

    P E R L E H A S S I D I Q U E

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