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velivraha Matot 21 Tamouz 5774 / 19 Juillet 2014 N.270 Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ ב״הg Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK 347-627-9209 Entrée de Chabbath: 7 : 05 pm Sortie de Chabbath: 8 : 25 pm Celui qui sert D.ieu a besoin, plus que de toute autre valeur, d’avoir confiance en Lui, dans tous les domaines. Lehaim A partir de Mardi 17 Tamouz, nous entrons dans la periode des 3 semaines qui separent ce jour du 9 Av. FAITES ATTENTION A VOUS ET VOS ENFANTS

Paracha matot 5774

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MATOT ! mashiah NOW !

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Page 1: Paracha matot 5774

velivrahaMatot 21 Tamouz 5774 / 19 Juillet 2014

N.270

Réalisé par Yaacov Berrebi . 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

ב״ה

g

Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK

347-627-9209

Entrée de Chabbath:

7 : 05 pm

Sortie de Chabbath:

8 : 25 pm

Celui qui sert D.ieu a besoin,

plus que de toute autre valeur,

d’avoir confiance en Lui, dans

tous les domaines.

Lehaim

A partir de Mardi 17 Tamouz, nous entrons dans la periode des 3 semaines qui separent

ce jour du 9 Av.

FAITES ATTENTION A VOUS ET VOS ENFANTS

Page 2: Paracha matot 5774

Résumé de la Paracha Matot

- Moché transmet aux chefs des tribus les lois sur l'annulation des vœux- La guerre est déclarée à Midiane du fait de leur implication dans la chute morale

que le peuple d'Israël a connu à Chittim.La Paracha nous donne un compte rendu détaillé de la manière dont le butin de cette

guerre fut partagé entre les soldats qui ont combattu, les Lévites, et le Grand Prêtre. -Les tribus de Réouven et Gad (suivies plus tard par la moitié de la tribu Ménaché), demandent à hériter des terres conquises à l'est du Jourdain, car leur fertilité convient à leurs nombreux troupeaux. - Moché est d'abord irrité par cette demande, craignant qu'elle ne décourage le peuple, comme l'ont fait les explorateurs 40 ans auparavant. Il accepte, finalement, à la condition que les hommes de ces tribus se joignent à la conquête des terres à l'ouest du Jourdain avant de rejoindre leur famille préalablement installées. .

Les vœux sont un des sujets évoqués dans la Paracha.A ce propos il est écrit: « Il fera comme tout ce qu’il a dit… »Cela nous apprend que, des lors que nous nous engageons a faire ou ne pas faire une certaine chose, nous avons l’obligation de tout faire pour réaliser cet engagement.

Mais cela nous apprend aussi que la réalisation du vœu doit être a l’image et a la mesure du vœu lui-même.Car en général, le vœu provient d’un élan du cœur, d’une volonté délibérée alors que, lorsque le moment arrive d’agir, nous le faisons plutôt comme une contrainte, car l’enthousiasme disparait peu a peu.C’est ce que vient nous dire le texte, efforce toi que l’acte soit a l’image du sentiment volontaire au moment ou tu en as fais le vœu !

Le texte dit que celui qui fait un vœu doit le respecter « LO YAHOUL DEVARO » puis il est dit juste après ceci qu’il doit respecter ses paroles « KEHOL HAYOTSE MIPIV YAASSE »Cela semble être une répétition!?!S’il respecte son vœu c’est forcement qu’il respecte ses paroles !!

En réalité, dans la deuxième partie, il s’agit plutôt d’une promesse ou bénédiction.En effet, la Thora promets ici que tout celui qui prend l’habitude de respecter ses engagements, Hachem respectera a son tour toutes les paroles qui sortiront de a bouche !En d’autres termes, cette personne pourra benir ses amis et Hachem s’engage a son tour a realiser les vœux ed cette personne.

Nos sages nous mettent en garde de ne pas nous habituer a faire des vœux.Comme il est dit par ailleurs: « Ne te suffis tu pas de ce que la Thora t’a interdit ??? »

De plus, il faut avoir certaines qualites et avoir un niveau spirituel treseleve pour etre autorise a faire des vœux. La raison est simple.La Thora nous dit que si Hachem ne nous aidait pas a lutter contre le Yetser-Hara, il n’aurait aucune chance de le vaincre.Mais cela n’est valable que pour les Mitsvot qu’Hachem nous impose.Poar contre, pour les choses que nous nous imposons volontairement, c’est a nous de nous debrouiller tous seuls !

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commentaires sur la Paracha de Matot

Celui qui fait un vœu doit prononcer une phrase bien precise, faute de quoi le vœu n’est pas considere comme tel.

En outre, il ne faudra pas dire: « Je fais pour Hachem un vœu » mais plutôt « Je fais un vœu pour Hachem ».Ceci pour eviter de prononcer le nom de D… en vain.

En effet, personne ne connait son heure et nos maitres craignent qu’il prononce les premiers mots et decede ensuite sans avoir la possibilite de terminer sa phrase !

A propos de la guerre contre Midyane, Hachem demande a Moche Rabbenou « de rassembler des hommes afin de venger l’honneur d’Israel. » Mais lorsque Mopche transmet l’ordre aux Bne-Israel, il parle plutôtde « venger l’honneur d’Hachem » !

Les Midyanim avaient offense Hachem et les Bne-Israel puisqu’ils provoquerent la mort de 24.000 hommes.Hachem avait pardonne l’outrage a son egard mais pas celui fait vis-à-vis des Bne-Israel.Du fait que Mohe devait mourir a la suite de cette guerre, Moche craignait que les Bne-Israel en fassent autant et pardonnent l’outrage fait en leur direction afin que la guerre soit evitee et que Moche soit epargne.C’est pourquoi Moche changea un petit peu l’ennonce.

Lors de la guerre contre Midyane, Pinhas valait autant que tous les aures soldats (13.000).

Lors de cette guerre, Pinhas entoura l’ennemis de trois cotes mais laissa le quatrieme ouvert pour permettre une fuite de l’ennemis.Certains prirent la fuite, les autres firent la paix avec Israel et tous les autres (31 rois) declarerent la guerre a Israel et se firent battre.

Pourquoi était il important de laisser un cote ouvert ??D’une part, lorsque l’ennemis se sent menace (condamne), il multiplie les efforts investis dans la guerre alors que, quand il y a un espoir, sa force et sa ragene seront pas aussi importants.

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Un jour, arriva à Slutsk un étranger dont la stature majestueuse inspirait respect et crainte. Les premiers mots qu'on échangea avec lui laissèrent deviner une grande érudition. Comme c'était l'habitude à l'égard des étrangers de ce niveau, on lui offrit une chambre particulière dans la maison communautaire.On supposa que c'était l'un de ces maîtres du Talmud qui s'imposait un exil volontaire et, comme il était de coutume en pareille circonstance, on ne lui demanda pas son nom. Les responsables de la communauté décidèrent d'organiser un banquet en son honneur. On fixa donc une date à laquelle on l'inviterait à donner une leçon de Talmud dans la grande synagogue.Comme c'était l'habitude, on lui demanda les références sur lesquelles se fonderait sa dissertation afin que les érudits puissent se préparer à la leçon du maître. En attendant, de nombreux érudits rendirent visite à l'invité afin de discuter avec lui. Aucun sujet de l'océan du Talmud ne lui semblait étranger et tous ressortaient en étant persuadés d'avoir été en présence d'un des plus grands maîtres du peuple juif. Le jour où le visiteur devait prononcer son discours, la grande synagogue était noire de monde. Même R Baroukh et R Ménaché Israël étaient venus écouter le sage. Lorsque le visiteur monta sur l'estrade, un grand silence se fit.Quand R Ménaché Israël le vit, son visage pâlit. Il se tourna immédiatement vers R Baroukh et murmura en tremblant : «C'est R Adam de Ropschitz, à qui R Yoël, le Maguid de Zhamochtch, a confié la direction des justes cachés'. C'est notre maître depuis plus de sept ans! ». Sur ces paroles, R Adam Baal Chem commença une dissertation talmudique d'une grande profondeur.Tous les auditeurs étaient émerveillés par le sujet et la façon dont il était traité. Lorsque R Adam termina son discours, l'assistance resta figée sur place, encore sous le coup de son enchantement. Le sentiment de respect qu'elle avait pour le visiteur se trouva encore amplifiée. Le retour vers sa chambre fut accompagné d'un cortège quasiment royal. Tout le monde brûlait d'envie de connaître l'identité du visiteur, mais personne n'osait la lui demander. Nul ne pouvait imaginer qu'il s'agissait d'un juste caché, car leur habitude était de ne pas révéler leur érudition. Les notables de la ville organisèrent un somptueux festin, mais celui-ci leur fit savoir que ce jour était pour lui un jour de jeûne volontaire. Après la prière du soir, il sortit de son sac une miche de pain sec qu'il mangea après l'avoir trempée dans le sel. Au milieu de la nuit, il dit le Tikoun Hatsot en versant de chaudes larmes. Il se dirigea alors vers la maison d'étude pour y prier dès le lever du jour. Soudain, le bruit courut que le visiteur n'était qu'un disciple du Baal Chem de Zhamochtch. Peut-être était-ce une simple supposition. Peut-être quelqu'un avait-il saisit les paroles de R Menaché Israël. Quoi qu'il en soit, la nouvelle déclencha une véritable tempête dans la ville. Il était évident pour eux que l'érudition hors du commun de Rabbi Adam Baal Chem ne suffisait pas à couvrir son « péché » d'être kabbaliste.Cependant, il se trouvait des gens plus modérés qui affirmaient que, du fait que le visiteur avait montré une érudition plus qu'étonnante, il était interdit de lui manquer de respect. Ainsi, la ville fut divisée en deux camps. Toutefois le nombre de « zélotes » de Slutsk était suffisamment important pour que ceux-ci décident qu'ils pouvaient passer outre aux recommandations des modérés. Ces extrémistes, poussés par leur profonde haine des kabbalistes, déclaraient haut et fort, à qui voulait entendre, que ce kabbaliste caché n'était rien d'autre qu'un impie pour lequel il ne fallait avoir aucune pitié. Slutsk n'avait jamais eu de considération pour quiconque soupçonné d'être un kabbaliste.Une foule de zélotes se rassembla autour de la maison communautaire et firent régner un grand tumulte. Des esprits échauffés criaient qu'il fallait lui donner une leçon. Quelques jeunes, effrontés se mirent à donner des coups de pieds sur la porte de la chambre.

Le visiteur !!!

Mais lorsqu'ils pénétrèrent dans la chambre, le visiteur se tenait debout, revêtu de ses Tephillin et de son Tallith, et priait avec ferveur. Il était évident qu'il ne s'apercevait de rien de ce qui se passait autour de lui. Une profonde crainte envahit les zélotes.Mais la prière se prolongea pendant plusieurs heures. Lorsque le visiteur termina, il s'assit, pour commencer son étude. Finalement, quelques zélotes, renommés pour leur érudition, se décidèrent à parler au visiteur. Sans attendre la fin de son étude ils lui demandèrent s'il faisait ou non partie des kabbalistes cachés. Le visiteur répondit par l'affirmative. Il déclara d'une voix ferme qu'il était un kabbaliste, disciple de R Yoël, le Baal Chem de Zhamochtch.Accompagné des érudits qui s'étaient adressés à lui, il se présenta devant la foule en colère. Devant les insultes qui lui étaient lancées, le visiteur restait tout à fait calme et son visage. Son intonation sereine exprimait un sentiment de profonde amitié mêlée d'une certaine compassion. Il déclara alors :«Vous méritez des félicitations pour la fidélité que vous montrez envers ce que vous pensez être la vérité. Votre pensée est en accord avec vos paroles. Moi aussi, dans ma jeunesse, j'étais comme vous. C'était à l'époque ou j'étudiais dans la Yechiva du grand R Chlomo Chmouel de Polotsk. Celui-ci était opposé avec fermeté à R Eliyahou de Worms, le fondateur de la confrérie des justes cachés. Son fils et le disciple de son fils étaient eux aussi de fervents opposants aux kabbalistes. Je pensais donc comme mon maître et nourrissais une grande haine contre eux. Cependant, je gardais ma langue de parler contre eux. Je n'ai jamais sorti de ma bouche une quelconque insulte à leur égard. » Le visiteur parlait lentement, avec sérieux.. « Après plusieurs années, continua R Adam, je suis arrivé, après mûre réflexion, à la conclusion que mon maître était dans l'erreur. Je partis donc étudier dans l'école talmudique de R Yoël de Zhamochtch. Là-bas, je suis resté étudier la Kabbale durant quinze ans. Un peu plus tard, je fus accepté dans la confrérie des justes cachés. Maintenant, écoutez bien! La plupart d'entre vous sont des jeunes hommes et il est un peu tôt pour vous de mener un jugement dans une affaire d'une telle importance. Toutefois, un jour viendra où vous verrez clair et vous percevrez la vérité ». Il termina sur ces mots : «Il faut que je vous dise que les insultes que vous avez fait parvenir aujourd'hui à mes oreilles me sont plus chères que les marques de respect que vous m'avez témoignées hier ».Ces paroles firent une grande impression sur l'assistance. Quelques instants plus tard, il sortit avec sa canne et son baluchon, pour quitter Slutsk. Les érudits les plus vieux le supplièrent de rester dans la ville, mais, celui-ci quitta Slutsk en compagnie d'une vingtaine d'hommes. Cet événement provoqua une véritable révolution à Slutsk. Pour la première fois dans leur vie, les zélotes avaient été confrontés à un juste caché de la stature de R Adam Bal Chem et cette confrontation leur avait fait une profonde impression. Devant une telle sainteté, beaucoup révisèrent leur jugement envers les justes cachés. Le fait que R Adam ait avoué avoir fait lui-même partie des opposants à la Kabbale dans sa jeunesse leur donna matière à réflexion.Par contre, cet événement provoqua un durcissement envers les

kabbalistes de certains zélotes qui se sentirent trompés, voire bernés. Slutsk resta cependant un bastion de l'opposition à l'école kabbalistique. R Adam Baal Chem y avait fait une brèche sans pour autant la conquérir.

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* D’après le Talmud, cette bénédiction fait allusion au couvre chef.

*Chez le non juif, se couvrir la tête a pour but de se protéger contre les intempéries alors que pour le juif, c’est lie a la crainte de D…

*D’ailleurs, le mot Kippa en Yddish se dit « YARMOULKA » qui a pour origine « IRAT MALKA » la crainte de la royauté (du ciel).

*La Kippa sert non pas a montrer que l’on a la crainte de D… mais plutôt a renforcer cette crainte de D…

*Elle sert a nous rappeler qu’il y a un créateur et nous mène donc a la crainte et a l’humilite.

*Nos maitres nous rappellent que le comportement d’un homme ne sera pas le même qu’il se trouve seul a la maison ou bien en présence d’autres personnes, a plus forte raison s’il est en présence d’un roi !En portant la Kippa on se rappelle qu’Hachem est présent a tout moment a nos cotes et cela nous aide a lutter contre notre Yetser-Hara.

*La Kippa sert aussi a nous rappeler qu’il y a une sagesse supérieure a la notre et que l’on doit donc s’y soumettre.

*Alors que pour les non juifs se découvrir est un signe de respect, pour nous, juifs, c’est justement en se couvrant que l’on marque notre respect !

*Le Choulhan Arouh rapporte une histoire ou une femme vient voir un sage pour lui demander une bénédiction pour que son fils soit toujours dans le bon chemin; Ce dernier lui conseille de lui couvrir la tête des son plus jeune âge.Cette femme a effectivement obéi au Tsadik et encore dans le berceau elle vérifiait qu’il avait toujours sa Kippa sur la tête.

*De nombreuses personnes dorment avec la Kippa.

*Reb Mendel Futerfass, alors qu’il était le guide spirituel de la Yechiva de Kfar Habad, passait régulièrement la nuit pour remettre la Kippa sur la tête des jeune gens.

*On demanda un jour au Rav Kook quelle était la Kippa la plus recommandée? Il répondit: « La plus grande !!! »

*On rappelle qu’un homme ne doit pas se deplacer sur plus de 2 metressans Kippa.Et qu’il est bon d’eduquer les enfants des leur plus jeune age a respecter cette Mitsva apparemment sans grande importance mais qui occupe pourtant une place importante.

Pirke-Avot

Michna 4 chapitre 1

« Yosse Ben Yoezer dit:

Que ta maison soit un lieu de rencontre des Hahamim,

Attache toi a la poussiere de leurs pieds,

Et bois leurs paroles avec soif».

Il ne suffit pas d’etudier la Thora a la synagogue (meme plusieurs heures), il faut aussi que les murs de ta maison respirent la Thora.

De plus, tes enfants doivent te voir etudier a la maison.

La nature humaine veut que l’on banalise les choses auxquelles nous sommes habitues; c’est pour cela qu’on nous preconised’etre assoiffe de Thora bien que les sages soient souvent presents a la maison.

Etre attache a la poussiere de leurs pieds signifie etre soumis a leur sagesse et etre prêt a changer d’opinion lorsque cela s’impose.

On ne p[eut apprendre d’un homme que l’on ne respecte pas (admire pas).

Rabbi Yosse nous demande d’ecouter non seulement les paroles douces mais aussi les paroles dures (critiques ou reproches).Car le terme employe ici est DIVREEM (DIBOUR = paroles dures alors que EMOR = paroles douces).

Dans le meme sens, il est ecrit dans le Talmoud que « Celui qui se avance a la droite de son maitre est un « idiot ».Par « droite » nos maitres parlent de Hessed (paroles de bonte, douces et encourageantes).Ainsi, celui qui ne s’attache qu’a la droite de son maitre (qu’a ses cotes agreables) ne connaitra pas la reelle elevation.

Aime la critique car c’est elle qui te hissera a des niveaux eleves.

Enfin Rabbi Yosse nous demande pas uniquement d’ecouter mais d’ecouter avec soif car cette soif, ce desir augmente les capapcitesde l’eleve.

Nos maires conseillent d’ailleurs d’etudier la ou est attire notre cœur.

Le Tanya enseigne que plus le maitre (ou l’eleve) ont envie d’apprendre (d’enseigner) plus les portes de la comprehensions’ouvrent.

Tefila

«Oter Israël Betifara »

«Qui couronne Israël de sa gloire »

Ce feuillet est dédié Pour l’elevation de l’ame de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV