ELLE ESTPAS BELLE

LA VIE ?!

Février 2013 - www.lebonbon.fr

Photos © Flavien Prioreau www.flavienprioreau.comTél. : +33 6 98 31 34 92 Modéle : Pierre Barbe

1 — 9/18

édito 'Bon'jour !Président

Jacques de la Chaise

jacques@lebonbon.fr

Photo couverture

Flavien Prioreau

Rédactrice en chef

Elise Monnier

Graphiste

Romain Launais

Secrétaire de rédaction

Rachel Thomas

Rédaction

Elise Monnier

Photographe

Elise Monnier, Estelle Bourguet,

Gilles Toucas

Partenariats et culture

Charlotte / 01 48 78 15 64

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Sas Le Bonbon

12, rue Lamartine

75009 Paris

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06 37 02 22 61Régie grands comptes

pub@lebonbon.frLionel / 06 33 54 65 95

Mes Bonbons, mes cœurs, mes amours,

Il y a de l’amour dans l’air, impossible de le nier, fleuristes et chocolatiers ont collé des post-it partout. Si Paris était nappée de son blanc man-teau le mois dernier, elle est aujourd’hui un grand nuage arc-en-ciel, comme chez les Bisounours.

Au Bonbon, nous aimons mélanger les genres, parler à vos sens et élar-gir votre horizon. Ce mois-ci, nous vous invitons à frapper à la porte du voisin. Toc toc toc ! C’est pour quoi ? C’est pour faire connaissance. Dans ce numéro spécial où 9e et 18e se tiennent par la main, le boulevard de Clichy n’est plus une frontière mais un pont entre nos deux quartiers adorés. Habitués à partager Pigalle et ses nuits infinies, il est temps pour nous de rompre la routine en changeant de crémerie et d’aller voir si la vie est plus belle vue d’en haut. C’est qu’ils s’aiment en secret nos deux arrondissements et c’est une histoire de longue date. Pourquoi croyez-vous qu’on ait repoussé les portes de Paris ? C’est pour les réu-nir bien sûr ! Et c’est pour perpétuer cet amour qui nous lie que nous échangeons nos bonnes adresses pour ne former qu’un chœur à plus de 100 000 coeurs. Si l’union fait la force, le Bonbon fera votre bonheur.Pour la Saint-Valentin, voici le couple de l’année, M. 9e et Mme 18e !

Je souhaite à tous les amoureux anonymes un beau mois de février, tambour battant !

Elise Monnier

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BIEN VENDREC’EST MAINTENANT !

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sommaire

6. Hypnose Cocktail Bar

16. Ambroise

10. Tonya Kinzinger

22. Le Moulin Rouge

14. TEMA Galerie

24. Via Mela

5. Le Bon Timing6. Le Bon Cocktail

8. Le Bon Bar10. La Bonne Étoile12. Les Bons Plans

14. Le Bon Art16. Le Bon Petit Diable

17. Les Bonnes Annonces18. Le Bon Horoscope

20. La Bonne Idée

22. Le Bon Moulin24. La Bonne Table

26. Les Bons Snapshots28. Le Bon Artisan30. Le Bon Agenda

Février 2013

5 — 9/18

5 , R U E N O T R E D A M E - D E - L O R E T T E - P A R I S I XT. : +33(0)1 48 74 27 93 • www.apollineandco.com

La nouvelle adresse à Paris pour une mode exclusive, stylée et élégante !

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le bon timing Les événements à ne pas manquer !

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En signe d’AdieuxUn musical rock’n’roll entièrement adapté en langue des

signes crée par Gaëlle Duvivier : « notre volonté a tou-

jours été de ne pas cloisonner sourds et entendants, et

de pouvoir les réunir devant un même spectacle. » Il est

sourd et amoureux d’une chanteuse : un hymne à la vie

et à la tolérance faite main.

16 et 17 février - La Reine Blanche 2bis, passage Ruelle, 18e - Tél. : 01 42 05 47 31

La première nuit de la déprimeKleenex et Nutella sont partenaires de cette initia-tive du pince-sans-rire Raphaël Mezrahi, ça annonce la triste couleur de ce concert. Qui n’a pas un jour rêver de se complaire dans la déprime hivernale lève le doigt ? Dans la salle des Folies Bergère, il fera bon comme un lundi. Jouez violons ! 18 février à 20h - Folies Bergère - 32, rue Richer - 9e

Tél. : 01 44 79 98 60 - www.foliesbergere.com

Théâtre Musical

Concert

ProximaMélanie Vincent, Pablo Cavero et Clément Roche interrogent l’intervalle entre une chose et son image, leur proximité. Arrachés à leur milieu d’ori-gine, défaits, puis re-faits ; ces motifs interrogent la nature culturelle du regard. En somme, Proxima questionne notre perception du réel.Jusqu’au 15 février - L’espace d’en bas2, rue Bleue, 9e - Tél. : 09 62 24 66 14

Expo

Objet SonoreLa compilation du Bonbon Nuit est née ! Elle contient des titres inédits ou rares de Joakim, Koudlam, Appaloosa, Ivan Smagghe, Brigitte Fontaine, Greg Kozo, Get a Room!, Victorine, Les Fils du Calvaire, 178°, Arthur-S, Jef Barbara, Benjamin Paulin, David Lynch, Jérôme Echenoz, Guido Minisky, Pierre Wax… Édition limitée à 1 000 ex. avec un tirage numéroté et signé de Nicola Delorme, en exclusivité chez colette.

Shopping

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LE SHAKER QUI PARLE À VOTRE SUBCONSCIENTOuvert il y a moins d’un mois, l’Hypnose pour les intimes secoue déjà le quartier des Folies Bergère. Un bar cosy aux mini prix ? Chers lecteurs, vous êtes servis. En After-work ou avant une nuit palpitante au Rex Club, le jeune Chérif prépare des cocktails qui reprogrammeront votre cerveau pour la fête. Que la séance commence !Alternance de murs framboise et de briques en plâtre, parquet flambant neuf et poêle qui réchauffe l’hiver, Chérif nous présente avec fierté le résultat d’un mois et demi de travaux en famille : « beaucoup de choses ont été faites en famille à l’Hypnose, ma sœur a trouvé le nom et conçu la déco pendant que je tenais les pinceaux ! » Ce n’est donc pas un hasard si à peine entré, nous n’avons déjà plus envie de res-sortir, et cela avant même d’avoir goûté aux élixirs de Chérif. À seulement 22 ans, il n’en est pas à son coup d’essai et sait prendre soin de sa clientèle grâce à de bonnes idées toujours bienvenues tels qu’une rose sur chaque table et un vestiaire pour nos triple couches de saison. Ainsi bien installés, place à la convivialité, au bar ou sur les banquettes, entre amis ou en tête à tête, il est temps d’ouvrir la carte des fes-tivités. La spécialité de la maison ? Les cocktails bien sûr. Outre les classiques Mojitos et autres Sex on the

Beach, la carte réserve de belles surprises aux noms évocateurs comme le Dream ou le Creamix mêlant mangue, whisky et chantilly, sans oublier les shots très hot. Mais à l’Hypnose, plus question de refouler ses désirs, quand l’affluence le permet, Chérif réa-lise vos cocktails sur commande. Laissez parler votre créativité ! Et si le résultat n’est pas le reflet de votre imagination, il recommence ! Il crée les cocktails comme ses playlists qu’il adapte tout au long du jour et de la nuit selon l’humeur des présents. Une de ses exclusivités : Le Ballet Russe qui, comme vous l’aurez deviné, est à base de vodka : « C’est justement l’inven-tion d’un client, l’alcool aidant, il en a même trouvé le nom. » nous raconte-t-il dans un sourire communi-catif. En bon magicien, Chérif fait aussi des miracles sur les prix tout en utilisant des alcools de grande qualité et des fruits frais : le cocktail sur-mesure à 7!, Paris n’a pas souvent l’occasion de boire ça. Du coup, on recommande et une petite faim chante dans notre estomac. Là encore, l’Hypnose a tout prévu grâce à sa carte de snack à base de planches à 8!, de croques, salades et tartines à 6!. D’ailleurs, une formule chaleureuse risque de mettre tout le monde d’accord : pour 25! Chérif dépose sur votre table une bouteille de vin ou un jug de bière (2l50) avec une

Texte & Photo Elise Monnier

Hypnose Cocktail

Bar

le bon cocktail

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le bon ???

planche, idéal pour se requinquer avant de repasser aux cocktails. Ce mois-ci, nous fêtons le lancement des DJ-Sets hebdomadaires, vous avez rendez-vous chaque jeudi pour glisser tranquillement vers la fin de semaine.Nous avons donc à boire, à manger, à danser et nous allons être obligé de revenir pour tester cette carte hypnotique qui délie les langues et réveille notre sur-moi. Comme le dit si bien notre hôte : « Boire un cocktail c’est comme un rêve, on ne se sent pas par-tir mais on voyage très loin… » Et la nuit ne fait que commencer !

Hypnose Cocktail Bar25, rue de Trévise - 9e

Tél. : 09 53 81 92 76 www.facebook.com/HypnoseCocktailBar

—Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 02h et le

samedi de 18h à 02hFermé le dimanche : « C’est le jour du seigneur ! »

Le 15 février à 21h : projection de courts-métrages

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le bon bar

Le village Lamarck comptait les jours avant sa réou-verture. Fin décembre, fin du compte à rebours, la cave café, son interminable zinc et sa vaste terrasse accueillent de nouveau les montmartrois assoiffés en quête de bonne humeur. Arthur, l’âme transatlan-tique de la maison, nous parle de rock, de nous et des beaux jours à venir dans ce repaire incontour-nable depuis 2006.« Un an, un mois, une semaine et un jour ! » nous annonce Arthur. Si la mairie a le sens des propor-tions, elle n’a pas celui des délais. Les travaux cen-sés durer trois mois ont forcé la patience de notre ancien champion de rugby et privé le voisinage de sa routine festive. C’est fait, n’en parlons plus. Réjouis-sons nous de retrouver les concerts des « dimanche-apéro » et la carte des boissons renversantes qui étanchera notre soif. Lorsqu’il transforme l’ex-faux-café touristique du 134, rue Marcadet il y a 7 ans, le succès est évident dès le 1er soir, preuve qu’Arthur répondait, sans en avoir conscience, à une attente très forte du quartier. Lieu de rendez-vous et de ren-contres, la cave café est typiquement l’endroit où l’on peut rester des heures sans les voir défiler, déjeuner pour pas cher, prolonger le café au grain de voix de Barbara, être rejoint par des potes qui passaient par

là pour profiter de l’happy hour vraiment happy et de bière en vin, rater le dernier métro pour écouter le vieux standard rock déterré par Arthur. « Ici, on reste ouvert jusqu’à la dernière minute ! » précise le tau-lier, heureux de constater que l’ambiance ne décroît jamais. Plus qu’un bar, la cave café est un état d’es-prit. Précisons que le 1er concert d’Arthur fut celui des Beach boys, que la culture rock coule dans ses veines et qu’il a un sacré sens de la fête. « Avec mon associée, Sarah, une super nana barmaid, on est des vampires de la nuit et travailler de jour, ça nous fait vraiment bizarre », nous confie-t-il avec son accent new yorkais irrésistible. Américain, Arthur l’est, sans hésitation. Si le désormais fameux burger maison s’est fait attendre sur la carte, côté playlist on trouve l’empreinte anglophone à chaque titre : « ça nous arrive de passer Noir Désir quand même ! » précise-t-il. La carte est au moins aussi éclectique et poin-tue que la BO, et offre un choix de 12 vins naturels au tirage « moins de cochonneries = moins de gueules de bois » dixit le connaisseur ; des bières étonnantes pour tout type de buveurs (Primus, Brooklyn Lager, Mystic White, la Bête des Vosges et la Smithwick’s) et pour les amateurs de whisky, une large sélection dont Lagavulin, notre préféré de l’île Islay. « Nous

la cave café

MONTMARTRE ON THE ROCK…

Texte & Photo Elise Monnier

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souhaitons élargir notre carte des cocktails pro-chainement car on commence à en avoir marre des mojitos ! » nous annonce Arthur, des projets dans le viseur. Les travaux ont d’ailleurs eu le mérite d’amé-liorer la structure du bâtiment et de remettre aux normes la signature, jusqu’alors invisible, du bar : sa cave. S’il vous faudra patienter encore un peu avant de profiter de concerts intimistes et d’évènements ponctuels au sous-sol, nous avons eu le privilège de visiter cet espace unique à Paris, aux voûtes haut-perchées, de quoi passer une soirée littéralement

« underground » sans être claustro. Les belles heures de la cave café ne sont pas prêtes de s’arrêter, can’t wait !

la cave café134, rue Marcadet - 18e

Tél. : 01 46 06 29 17www.lacavecafe.fr

www.facebook.com/lacavecafeOuvert du lundi au vendredi de 8h à 2h

Samedi et Dimanche de 10h à 2h

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la bonne étoile

À moins d’avoir vécu dans un refuge du Massif Cen-tral durant les vingt dernières années, ses yeux d’agate ne vous sont pas étrangers. D’Extrême Limite à Sous le Soleil, Tonya Kinzinger est une vraie bombe cathodique. Un vent de douceur entre à la rédaction le temps d’un thé et de quelques confidences.

Américaine passionnée, danseuse de haut vol, Tonya débarque à Paris comme mannequin au milieu des 80’s ; elle est alors âgée de seize ans. Logée provisoirement à Montmartre, Place du Tertre, elle conserve un souvenir intact de son arrivée : « ce fut mon premier coup de cœur parisien, je ne voulais plus partir ! » Dès lors, elle pose pour les plus grands magazines sous l’œil de photographes prestigieux. Une séance pour Vogue avec Guy Bourdin sera le détonateur de la vocation de Tonya, elle se souvient : « J’étais pétrifiée avant de le rencontrer, sa réputation le précède. Il m’a mise en scène sur une table noire laquée avec un body sur le dos et m’a dit “fais l’amour à cette table !” En une heure, on avait terminé. C’est la part d’interprétation qui m’intéressait dans ce métier, je détestais ce qui se passait derrière l’objectif ; quand j’étais danseuse on me jugeait sur un talent, pas sur un physique. » Elle reprend alors les cours de danse, tourne dans

quelques clips et sous la direction de Gainsbourg, sans le connaître, pour la pub Maggi « du velouté pour ma Louloute »… Collector. Quelques temps plus tard, un ami chorégraphe envoie un de ses clips au casting de Dancing Machine derrière son dos et c’est en décrochant le rôle de Daphné que Tonya embraye sur sa nouvelle carrière. Son partenaire, Alain Delon, la décomplexe vis à vis de son français et lui donne quelques clés qu’elle nous confie, reconnaissante : « Bien avant de suivre les cours Waltzer et ceux de Lee Strasberg, il m’a appris à vivre le personnage avec mes émotions, à ne pas être dans la représentation, je n’ai jamais oublié ses paroles. » À vingt-et-un ans, Tonya n’a pas eu de jeunesse et c’est ce qui la pousse à accepter Extrême Limite : « J’étais ravie de faire une série télé, dans ma culture c’est très important et j’ai créé avec l’équipe des liens indéfectibles». La suite, nous la connaissons. Pendant treize ans, Tonya incarne Jessica dans Sous le soleil, un succès incomparable en France mais aussi dans 140 pays. Enthousiaste, elle nous explique : «C’est une chance d’incarner toute l’évolution d’un personnage, de la jeune fille à la mère de famille, de barmaid à maire de Saint-Tropez ! Je n’étais pas prisonnière d’un contrat, la prod. devait me retenir avec un scénario intéressant et une aventure humaine à la hauteur. »

Tonya Kinzinger

UNE VIE SOUS LES PROJECTEURS

Texte Elise MonnierPhoto Gilles Toucas

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Guidée par son cœur et ses peurs, Tonya continue de repousser ses limites, comme l’année dernière sur les planches, dans Le Président, sa femme et moi de Bernard Uzan qu’elle jouait onze fois par semaine sans une plainte : « Ce n’est pas dans mon tempérament, je suis danseuse », sourit-elle, ou cette année sur les plateaux comme animatrice : « Après 6 prime, je commence à peine à y prendre du plaisir ! » À cœur vaillant, rien d’impossible. Aujourd’hui, Tonya

rayonne de sa riche expérience et nous quitte en disant : « Je ne laisse pas tomber un métier pour un autre, mais je me considère comme un instrument et je dois rester accordée ; par le travail … Ou par la vie, tout simplement. »

Prochainement sur NRJ12 dans la série Dreams

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les bons plans Textes Elise Monnier

No SmokingVapoter c’est la liberté

Adieu goudron, mercure et arsenic ! Bonjour mangue ou réglisse ! Petit ou gros fumeur ? No Smoking s’adresse à tous. En proposant une cigarette électronique haut de gamme et sa déclinaison de 40 arômes, Maxime vous aidera à diminuer considérablement votre consomma-tion de tabac. Vous fumiez ? Vapotez maintenant. Maxime est ex-fumeur. Bluffé par l’efficacité de la cigarette électronique sur sa consommation, il décide d’offrir la même aide à tous les accros de la nicotine en ouvrant No Smoking. La cigarette électronique s’impose sur votre chemin vers la liberté, en douceur et sécurité. Le principe ? Inhaler de la vapeur d’eau contenant de la nicotine et réduire progressivement le taux de celle-ci pour finir à 0mg sans perdre le plaisir du geste. Pour joindre l’utile à l’agréable, une palette de 40 saveurs (arômes fabriqués en France et approuvés par les autorités sanitaires) à tester sur place multipliera vos chances de réussite car très vite vous n’aurez plus envie de la vraie cigarette. Non seulement on s’habitue vite aux bonnes choses, mais en plus des bienfaits d’un sevrage facilité, vous aurez l’impression d’être chez le glacier !

No Smoking 149, rue Ordener - 18e

Tél. : 09 67 30 94 40Ouvert du lundi au samedi de 10h à 19h45

Facebook : Fans-de-NO-Smoking

Leurs ateliersLe sésame du mieux-être

Nous perdons souvent de vue que de petits réajus-tements quotidiens suffisent pour retrouver une forme éclatante. Stéphanie, lumineuse, partage avec nous ses secrets de naturopathe pour une vie belle et saine. Dans ses ateliers, elle remet notre organisme à niveau, et notre moral avec !Pour Stéphanie, la formation est une vocation. Elle croise le chemin de la naturopathie suite à un burn-out qui la recentre immédiatement sur l'essentiel : son corps et ses besoins. Elle articule ses ateliers autour de trois grands axes destinés à votre santé et votre beauté, l'un n'allant pas sans l'autre : la fabrication de cosmétiques, la naturopathie et une branche de cette dernière, l'aromathérapie. Stépha-nie s'attache à faire de l'apprentissage un véritable moment de détente en constituant des groupes de 10 personnes max., elle nous explique : « le but est de rendre les stagiaires autonomes grâce à un enseignement explicite et des protocoles faciles à reproduire seul chez soi. Et sans privation, tout est question d'équilibre ! » Il suffit d'établir de nouvelles routines afin de retrouver un sommeil régénérateur, une alimentation juste et de réguler notre système nerveux en appréhendant les huiles essentielles.

Vitalité & Performances - Stéphanie : 06 42 97 23 63 Les 20 et 25 février de 18h à 20h30 : Fabrication

de cosmétiques (90!) - Le 23 février de 10h à 17h : Aromathérapie (80!)

www.vitalite-performances.com

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les bons plans Texte & Photos Géraldine Larousse

GontranLe hamburger à l’honneur

L’angle de la rue Le Peletier et de la rue de la Victoire a repris des couleurs grâce à la naissance du petit Gontran. Jackie et Alain, les heureux parents de cette nouvelle maison à hamburgers, déclinent le « must-eat » en dix recettes originales et européanisées. À toute heure de la journée, venez prendre votre dose de pop dans cette ambiance chaleureuse de Comic strip acidulé.

Petit flash-back dans votre enfance, vous souvenez-vous de Popeye, le fumeur de pipe en biais accro aux épinards ? Et bien, Gontran c’est son pote malicieux obnubilé par les burgers qu’il avale à toute vitesse pendant que Popeye lutte contre Brutus. Ceci explique cela. Jackie et Alain nous transportent dans un décor à la tapisserie psychédélique dont chaque objet chiné par leurs soins vient renforcer l’illusion d’un saut de cinquante ans en arrière. « On a essayé de créer un lieu original et dynamique » car comme le dit Jackie : « Vous avez vu ces chaises ? » (Oui, on a vu, une magnifique série de chaises scandinaves aux rayures menthe à l’eau encore dans leur jus, on veut les mêmes à la rédac’ !). Entre nous, nous sommes loin de ne venir chez Gontran que pour la déco, aussi séduisante soit-elle. C’est pour tutoyer Marius, le burger à la compotée de basilic, mozza, beignet d’aubergine et filet de balsamique que nous sommes prêts à affronter les tempêtes de saison. À moins que

Fernand vous fasse du gringue avec son bloc de foie gras et sa sauce Porto ? Toute la bande est faite maison à base de produits frais de grande qualité « Ici, pas de cheddar en plastique ! Les viandes sont sélectionnées par Hugo Desnoyer et les pains bio fabriqués par la Boulangerie Moisan » affirme Alain. Les assiettes garnies de frites fraîches défilent sous nos yeux brillants d’envie. Si nous vantons les mérites des hamburgers, leur spécialité, sachez qu’un tartare, un pavé de rumsteack ainsi qu’un plat du jour vous seront également proposés par notre tandem de choc, impossible donc de vous lasser !Ouvert sans interruption du matin au soir, ne boudez pas votre plaisir à prendre votre café au comptoir ou à siroter un sirop Monin sur la banquette et laissez vous tenter à l’apéro par un des vins de petits producteurs finement choisis par Alain. Ainsi cajolé, vous ne passerez plus devant Gontran sans faire une pause colorée qui fera sourire votre journée.

Gontran43, rue Le Peletier - 9e - Tél. : 09 54 44 15 27

www.facebook.com/gontran75009—

Ouvert du lundi au vendredi de 8h à 21h30 sans interruption

Happy Hour de 18h à 20hSur place ou à emporter.

Possibilité de privatiser la salle de restaurant.

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C’est avec une curiosité non dissimulée que nous poussons la porte de la Galerie Tema. En douceur, nous quittons la rue Condorcet direction le Paci-fique, accompagnés de Julie, notre guide dans ce voyage au cœur des Arts Premiers Océaniens, là où chaque objet raconte une histoire à votre intérieur.

Architecte d’intérieur, Julie Auclair-Semere est née en Nouvelle Calédonie, une « terre-mer » qui ne cessera de l’inspirer : « depuis toujours, je souhaite lier les deux, je trouve ces objets design et étonnants de modernité, ils donnent de très beaux objets décoratifs. » C’est chose faite depuis un an, lorsqu’elle crée la galerie TEMA. Julie ne s’adresse pas seulement au collectionneur mais à tous les esthètes quels que soient leurs moyens « ma priorité est d’offrir un objet authentique, c’est la rareté de la pièce qui fera la différence de prix » nous explique-t-elle. À l’origine, aucun de ces objets n’est destiné à la vente, « c’est la différence entre les arts premiers et l’artisanat ! » souligne Julie avant de poursuivre « on ne peut pas nier leur âme et ne pas ressentir

leur histoire. » Son ami explorateur Didier Zanette sillonne le pays depuis 20 ans à la rencontre de tribus vivant encore en harmonie avec leurs traditions. De la Papouasie Nouvelle-Guinée à l’Asie du sud-est, objets rituels ou usuels, tous sont sélectionnés pour leur valeur esthétique et décorative. Sur place, Julie ne choisit jamais d’objets perturbants mais doux, aux formes et aux lignes rassurantes. Par exemple, le TEMA, qui donne son nom à la galerie, est un trésor des Iles Salomon rarissime, un pendentif de chef où un oiseau aux ailes déployées survole un banc de poisson. Très graphique et poétique, ce disque de bénitier fossile aux découpes en écailles de tortue invite à la contemplation. Aujourd’hui, le bénitier fossile est trouvé dans les fonds marins de Nouméa, Julie s’illumine : « c’est un minéral unique et rare, la galerie est le seul lieu à Paris où vous pourrez en trouver ! » Car l’enjeu est bien là, notre passionnante passionnée souhaite surtout partager les splendeurs de l’Océanie. Grâce à une sélection de toiles Aborigènes contemporaines à la finesse et aux couleurs incroyables, Julie promeut un art

TEMA Galerie

L’ART OCÉANIEN À PORTÉE DE MAIN

Texte & Photo Régine Lapipele bon art

14 — 9/18 15 — 9/18

TEMA GalerieOuverte du mardi au samedi

de 10h30 à 18h30 ou sur rendez-vous16, rue Condorcet - 9e

Tél. : 01 80 06 43 77www.temagalerie.com

singulier : « Il y a un tel contraste entre le raffinement de la toile et leur environnement, ils travaillent par terre dans le désert d’Australie. Ils sont gardiens d’un rêve qu’ils retranscrivent sur la toile ». Notre rêve à nous commence ici, dans ce dialogue muet entre les objets et les tableaux, les coquillages d’une coiffe de mariée dansent dans un courant d’air, la Galerie TEMA nous emmène ailleurs.

16 — 9/18

Lorsque « ma mère, faut toujours qu’elle soit amou-reuse, sinon elle m’aime trop et elle me soûle ! » est tombé dans l’oreille du Bonbon, on s’est dit que ce bonhomme avait des choses à nous dire. Ambroise est en CM1 et n’a ni la langue ni le cœur dans sa poche.D’après toi, que font les amoureux pendant un ren-dez-vous ? Des soirées amoureuses. Ou avec des amis. Une nuit ensemble (timidement, en riant comme s’il venait de dire zizi).C’est quoi des soirées amoureuses ? Des p’tites soirées au resto, au ciné, des trucs comme ça quoi. Des trucs chouettes.À quel moment peut-on s’embras-ser ? (longue réflexion, presque 20 sec.) Ben quand on est vraiment sûr qu’on va s’aimer pendant un bon bout de temps.Pourquoi les amoureux se tiennent-ils la main ? Sûrement qu’ils ont peur qu’il arrive quelque chose à l’autre alors ils se tiennent la main. Ha ha ! C’est trop bête comme réponse, c’est mon avis mais je pense pas vraiment que ce soit ça.Est-ce mieux d’être en couple ou célibataire ? Célibataire… Pour moi hein ! Ah… attend… Ensemble en fait, parce que si y’en a un qui arrive pas à bien gagner sa vie, ben y’a l’autre qui peut lui faire avoir un peu d’argent. Parce que personne n’a envie de finir à la rue je crois.Et si tu tombes amoureux, tu penses que ce sera

d’une fille ou d’un garçon ? Plutôt d’une fille. Pourquoi ? Pour des bébés c’est mieux. Au moins t’es pas obligé d’aller dans un truc méga scientifique où tu piges rien.Est-ce que la beauté compte pour toi ? (Haussement d’épaules) Ça dépend quelle « beauté » (en faisant les guillemets avec ses mains). Si tout le temps tu vas t’acheter les trucs à la mode pour être à la super mode moi je déteste ça. Satya il est comme moi, il pense pareil (Satya = son meilleur ami depuis 6ans).

Qu’est ce que tu détestes chez les filles ? Qu’elles soient tout le temps avec les

mêmes habits. Un p’tit jean avec des p’tites nikes et une petite veste en jean et tous les jours pareil. Mais je déteste surtout quand elles font « cheese » sur les photos (avec les

mimiques qui accompagnent genre bras en l’air etc…)

Comment tu montres à quelqu’un que tu l’aimes ? En lui parlant souvent. En rougissant des joues. En bégayant. J’me rapproche d’elle, j’suis timide, pchtpchcpchpch (en mimant des messes basses).Que penses-tu de la Saint-Valentin ? Ben moi j’m’en fiche et pour les amoureux ben tant mieux pour eux.Tu préférerais qu’on t’offre des fleurs ou des cho-colats ? Les 2 sont bien. Mais si je dois choisir ? Les fleurs parce que ça sent bon. Enfin, si c’est pas du romarin je préfère les chocolats. Soit du romarin soit des chocolats. Ouais, c’est ça.

AmbroiseAMOUREUX SOLITAIRE

les bons p’tits diables Texte Elise MonnierPhoto Estelle Bourguet

16 — 9/18

Jean-Claude Biguine

Soyez la plus belle pour la

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Ma princesse dans la neige, ma princesse

derrière les fourneaux, ma princesse au lit,

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princesse à moi !

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Jacques, désolé pour ce mois difficile.

Marika bienvenue !

Oui j’ai mis du

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Julie, tu vas nous manquer, graaaave !

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BÉLIER 22 mars / 21 avril

À part Pluton qui continue de saper le moral du 1er décan, les planètes sont plutôt très favorables au Bélier en février, particulièrement pendant la 1ère quinzaine. Vous vous sentez bien dans votre peau, vous êtes à l’écoute de votre corps et vous avez la possibilité de vous choyer ! Vénus en Verseau vous inspire ! Vous êtes en forme, peut être un peu trop… Attention au stress et à une agressivité latente qui pourraient se déclencher par votre nervosité. Côté travail, vous rencontrez des gens sympathiques et les tâches sont aussi plus satisfaisantes!

TAUREAU 22 avril / 21 mai

On sait que le froid a tendance à refroidir les signes de terre tel que le taureau. Pourtant adepte de la stabilité, ce n’est pas le mo-ment de vous ramollir et encore moins de tomber malade, car une rencontre approche. Amour ou ami-tié, ce sera à vous de connaître vos limites. Le 14 fé-vrier pourrait être décisif dans vos choix amoureux. Même dictat côté travail : ne vous endormez pas ! Votre entourage a confiance en vous, n’oubliez pas vos responsabilités. Allez, on le sait qu’une fois lan-cé, rien ne peut vous arrêter !

GÉMEAUX 22 mai / 22 juin

Le mois de février est peut être le moment de trou-ver enfin votre double ! Déjà en couple, vous saurez amuser votre partenaire et lui faire revivre la magie de vos premiers instants. La St Valentin approchant, les astres vous promettent une nuit de folie placée sous le signe de l’originalité. Au boulot, vous ferez preuve d’une grande capa-cité d’adaptation et d’une curiosité qui fera mouche. N’hésitez pas à user de vos charmes pour obtenir gain de cause, que ce soit en amour, amitié, voir même auprès de votre banquier …

Texte Dame Bonbon

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le bon astro

CANCER 23 juin / 21 juillet

Ah le cancer… Tout ce que vous avez semé durant les derniers mois est enfin prêt à être récolté ! Vous au-rez confiance en vous, en vos idées et en vos projets. Dés les premiers jours du mois vous afficherez un moral de battant et vous saurez garder la tête froide même dans les moments les plus tendus. Votre vie familiale vous apportera de profondes gratifica-tions, votre conjoint saura vous encourager et vous soutenir. N’oubliez pas qu’il ne sert à rien de vouloir brusquer les choses, ni de courir plusieurs lièvres à la fois !

LION 22 juillet / 23 août

Ce mois de février risque d’être haut en couleurs ! Fi-dèle à votre force de caractère, les rebondissements seront au rendez-vous. Utilisez cette énergie posi-tivement en surprenant votre entourage. Que dites- vous d’un petit voyage improvisé aux alentours de la St Valentin ? Professionnellement, les choses vont bon train. Vous saurez convaincre grâce à votre charisme et attein-drez non sans mal vos objectifs. Soyez néanmoins tolérants envers ceux qui ne partagent pas votre en-thousiasme.

VIERGE 24 août / 23 sept.

En amour, plus fleur bleue que jamais, vous multi-plierez les tentatives d’approches. Entre séances de cinéma à l’eau de rose et dîner aux chandelles, ce mois-ci est un mois pour conclure !Attention cependant à ne pas tomber dans un ro-mantisme excessif qui pourrait en effrayer plus d’un… Rationnel et ordonné, vous ne vous laisserez pas abattre par la surcharge de travail qui vous at-tend en ce mois de février. De nombreuses opportu-nités s’offriront à vous à partir du 4. Sachez les saisir !

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BALANCE 24 sept. / 23 oct.

Si parfois en amour votre cœur balance, profitez des températures pour vous détendre et vous réchauffer avec votre amoureux/euse. C’est le moment de vous rapprocher et de sceller votre relation sous le signe de l’amour ! D’autant plus que la St Valentin arrive à grands pas… Côté travail, que vous soyez chômeur, écolier, en stage ou employé, n’hésitez pas à prendre des initia-tives. Le mois de février est pour vous plein de pro-messes, c’est le moment de briller professionnelle-ment et de développer vos idées personnelles !

SCORPION 24 oct. / 22 nov.

Ah le froid, la neige et ses flocons qui tombent dou-cement, en silence sur le trottoir parisien. Cela pro-voque en vous une douce mélancolie et il est diffi-cile de vous en défaire. Amoureux(ses) vous avez le remède ! Restez sage le soir et filez rejoindre votre cher(e) et tendre, il (elle) trouvera les mots réconfor-tants et son énergie vous comblera de bonheur ! Céli-bataire, le froid vous rend flegmatique, mou… Tâchez de vous remuer un peu et de sortir pour profiter des paysages hivernaux accompagné(e). À deux tout est mieux, non ?

SAGITTAIRE 23 nov. / 22 déc.

Dehors, le blizzard souffle, les pavés sont gelés, les échines sont courbées. Restez un peu au chaud, fri-leux que vous êtes ! Et recroquevillez-vous sur votre couple, ou, à défaut, votre chat. Cela ne veut pas dire que vous devez rester les bras croisés à attendre que l’hiver passe ! L’amour est à votre porte, ouvrez-lui bon sang ! Pourquoi hésitez-vous encore ? Allez, faites le grand saut, vous ne le regretterez pas. Vénus protège vos arrières et Mars vous donne une énergie à bouffer du lion !

CAPRICORNE 23 déc. / 20 janv.

Votre vie ressemble à un combat de boxe et vous sa-vez que les défaites sont inévitables, elles arrivent à tous. Il est impossible de gagner tous les matchs mais vous devez toujours donner le meilleur de vous- même. Votre manque de confiance en vous est votre pire obstacle. Surmontez-le et n’oubliez jamais votre idéal, vous en êtes capable. La persévérance gagne toujours. L’opinion la plus importante n’est pas celle des autres mais celle que vous avez de vous-même. Ne vous sous-estimez jamais.

VERSEAU 21 jan. / 19 février

Le monde est à vous, à condition d’y croire et d’être prêt à travailler dur. Si vous voulez offrir à vos proches un visage heureux et plaisant, n’oubliez pas d’entretenir des pensées positives tout au long de la journée. Souriez, que votre visage soit le reflet d’une personne qui aime la vie et profite de chaque instant. Un sourire changera radicalement votre apparence. Vivez votre vie sereinement, ne laissez pas les bles-sures du passé contrôler votre vie. Faites ce que vous pensez de positif pour vous mais également pour les autres.

POISSONS 20 fév. / 21 mars

Après une période très dense au travail, vous êtes sur les rotules et c’est normal. À compter de la Saint-Valentin, une ère nouvelle gagnera le terrain. Détente et flânerie seront au programme. Profitez-en pour faire du sport, chouchouter vos bambins et câliner votre étalon. Très vite, vous aurez envie de reprendre la vie tambour battant et vous serez alors à l’affût d’opportunités scintillantes. En ce mois de février, Vénus vous voit sous la neige en train de surfer au gré des montagnes.

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le bon astro Février 2013

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la bonne idée

Derrière la vaste devanture du 13bis rue des Mathu-rins se cache LA bonne idée pour remettre un peu d’âme dans vos correspondances. Le Carré d’Encre rend au timbre ses lettres de noblesse et conjugue au présent l’art épistolaire. Pour nous, José passe à la loupe les secrets de ces quelques centimètres de papier très singuliers.

Quand on évoque La Poste, on pense souvent facture ou file d’attente, c’est dire comme mails et textos nous ont éloigné du plaisir d’écrire ou de décla-rer notre flamme à bout de plume, lorsque chaque détail était signe d’affection, du choix du papier et de l’encre jusqu’au timbre qui d’un coup de lan-gue se transformait en flèche de cupidon direction l’être aimé. Envie de vivre à contre-courant ? De vous découvrir une nouvelle passion ? Vous êtes à la bonne adresse. José et son équipe sont là pour vous guider dans les rayons d’une boutique unique, « Il n’y a pas d’équivalent ! » s’exclame notre passionné.La boutique est une initiative de la Direction de la Philatélie du groupe La Poste (Phil@poste). Il fallait créer un lieu à Paris, où les collectionneurs les plus chevronnés et les simples amateurs de jolis timbres puissent se retrouver pour satisfaire leurs attentes.

Phil@poste assure la promotion du timbre, notam-ment autour d’évènements, « d’où le nom « Carré d’Encre » qui rappelle le carré VIP » souligne José.Pour les philatélistes la sortie d’un nouveau timbre est un événement fort, c’est ce qu’on appelle « un premier jour », c’est une sorte de baptême du timbre. Le Carré d’Encre est le lieu parisien des « premiers jours », quasiment chaque samedi matin, des pas-sionnés, enveloppe à la main, attendent l’ouverture de la boutique pour acheter leur timbre en exclu-sivité, la sortie officielle étant bien souvent d’une semaine à 3 mois plus tard. Le bureau temporaire est installé, un oblitérateur est sur place avec un cachet spécial pour authentifier le « premier jour » du timbre.Souvent les amateurs de timbre, sans être collec-tionneurs, ont le goût de la correspondance, vous trouverez ici une sélection raffinée de beaux papiers, d’instruments d’écriture et de cartes postales. « Nous ne nous contentons pas de vendre, la cor-respondance est un loisir et nous le traitons comme tel ! » Telle est la devise de cette maison qui pousse la passion encore plus loin en vous permettant de personnaliser vos timbres. C’est là, l’autre exclusivité que recèle le Carré d’Encre.

Publi-reportage & Photo Régine Poster

Le Carré d’EncreLA BOUTIQUE TIMBRÉE !

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Le service existe via internet, mais Le Carré d’Encre est le lieu où l’on peut fabriquer son timbre à soi et repartir avec dans le quart d’heure. Il suffit de venir avec son fichier photo au format JPG, quelques clics et le tour est joué ! Nombreux sont les particuliers et professionnels à avoir adopté ce service original qui permet de personnaliser et démarquer son cour-rier. Événements professionnels, vœux, mariages, naissances, anniversaires, crémaillères etc. voilà les sujets des timbres personnalisés que l’équipe du Carré réalise pour le plaisir de ses visiteurs. Du lundi au samedi, l’équipe du Carré d’Encre vous invite à rejoindre le club très select « des timbrés » !

nutiÅle de préciser que le plus dur sera de choisir mais si choisir c’est renoncer, revenir c’e

Le Carré d’Encre13bis, rue des Mathurins - 9e

Tél. : 01 53 05 81 61www.lecarredencre.fr

—Un « Premier jour » de février ? Le 22 :

Les chemins de Saint-Jacques-de-CompostelleAtelier d’initiation au travail du papier,

chaque mercredi de 12h à 14h (inscriptions en boutique)

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le bon moulin

Place Blanche, l’excitation est à son comble, les ailes du Moulin découpent le ciel et parent le trottoir de reflets grenat. Nous avons rendez-vous avec Jean-Luc Péhau-Ricau, directeur de la communication passionné, qui nous ouvre les coulisses du mythe. Sans une goutte de champagne, nous sommes déjà ivres de l’aura d’un Paris désinvolte et festif.

L’aube du XXe siècle est insouciante, Paris achève sa transformation, la Tour Eiffel part à la conquête des nuages et le cœur est à la fête. Deux hommes nova-teurs se destinent à divertir la Belle Epoque : Oller et Zidler. Tour à tour créatifs et businessmen, ils pos-sèdent déjà l’Hippodrome de Longchamp, le Jardin de Paris, le Nouveau Cirque et l’Olympia quand ils fondent le Moulin Rouge : « Une ode à la féminité » voici l’idée qui guidera nos visionnaires. Les archives révèlent une ambition très claire : « créer le cabaret le plus grand, le plus luxueux et le plus élégant ». Pari tenu, Paris gagné. Ils implantent leur Palais de la femme au cœur du Jardin de la Reine Blanche. Dans

un Montmartre populaire aux bouges et moulins authentiques, le boulevard voit fleurir un décor ruti-lant qui fût le 1er bâtiment illuminé de Paris. Dès son ouverture, le 6 octobre 1889, le tout-Paris s’y presse, les couples profitent du jardin, du bal et s’amusent des redoutes, des pièces courtes et satyriques. Seule la danse du ventre dans les pieds du fameux éléphant est réservée aux hommes. Là encore les archives sont formelles, l’aristocratie y côtoie le petit peuple dans une énergie commune, celle du Quadrille rapatrié d’Angleterre sous l’appellation de French-Cancan. Vacarme de frous-frous, acroba-ties extravagantes, les danseuses-blanchisseuses émoustillent les hauts-de-forme. La Goulue devient la reine de Paris et amie de Toulouse-Lautrec, Jean-Luc souligne qu’« elle fût une des premières femmes à avoir sa propre calèche ! » L’incendie de 1915 suspend la fête et c’est en 1925 que s’ouvre le second chapitre de l’histoire du Mou-lin celui de la naissance du Music-hall et de sa star : Mistinguett. Depuis sa 1ère apparition dans La revue

Texte Elise Monnier

Photo DR

Le Moulin Rouge

DANSE, DANSE, PARIS DANSE !

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de la femme en 1907, elle ne cesse de développer avec Jacques-Charles un genre inédit de spectacle grandiose. Le Cancan et les redoutes tombent dans l’oubli, place à la revue de Music-hall. Avec ses décors fastueux et ses costumes tout en plumes et strass, le spectacle devient un rêve pur, il dure désormais plus d’une heure et se joue pendant des mois. Derrière l’onirisme, une maîtresse femme, dont le nom apparaît sur chaque page des programmes. Mistinguett choisit ses Girls, les déshabille, et offre au public les premiers topless et l’arrivée des Boys !La seconde guerre vient à nouveau troubler la fête, si Piaf y fait sa première grande scène parisienne en 1944 et que les artistes célèbres lui succèdent, il faut attendre les 60’s pour voir renaître les grandes

revues sur la scène du Moulin Rouge et le retour du Cancan. En 1961, la famille Clerico reprend les rênes et invente la désormais célèbre formule dîner-spectacle. Après le franc succès de « Frou-frou » les revues en F perpétuent la tradition et la superbe de ce lieu magique au rayonnement et à l’influence internationale, le Moulin Rouge, bien plus qu’un lieu de divertissement, est un monument vivant en per-pétuelle effervescence.

Le Moulin Rouge82, boulevard de Clichy - 18e

Tél. : 01 53 09 82 82www.moulinrouge.fr

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Texte & Photo Elise Monnier

LE RESTO QUI NOUS BOTTE

Avec sa devanture industrielle ouvrant un coffre rouge aux mille plaisirs gustatifs, Via Mela attire tous les regards de la rue Lamartine. Une vingtaine de gourmands se pressent à l’intérieur pour savou-rer la cuisine italienne traditionnelle et inventive de Vincent, le maître des lieux. Nous sommes fin 2011, après six mois de persévé-rance, Vincent et son épouse Mélanie voient leur rêve se réaliser : ouvrir un restaurant italien. Si Mélanie laisse son empreinte sur le nom, Via Mela, Vincent apprend le métier et mène sa barque culinaire vers un soleil méditerranéen toujours plus présent dans l’assiette. Ici, pas de compromis, la carte respecte les règles de l’art, pas question d’accompagner une viande avec des spaghettis et une vulgaire sauce tomate pour colorer le tout, « les pâtes, c’est un plat sacré en Italie ! », s’exclame Vincent, bien décidé à créer l’exception : « souvent en France, on va à la facilité et on s’adapte aux goûts locaux, ici, je veux qu’on retrouve la gastronomie italienne dans chaque détail. » Pas de baguette donc, mais une délicieuse focaccia maison, ce pain fin à l’huile d’olive et à l’ori-gan qui vous transporte immédiatement dans la gar-rigue toscane. Idem pour le parmesan, vous ne ris-quez pas d’apercevoir un ramequin douteux sécher

sous les ampoules à filaments. Vincent nous raconte la scène : « J’enfile mon gant de Michael Jackson et j’arrive avec ma tomme et ma râpe à la table du client ! »Dans la famille, c’est Mélanie l’italienne et elle sillonne régulièrement la botte à la recherche de recettes et de nouveaux produits, « C’est une chance de multiplier les sources de recettes par des chefs de régions différentes, ça nous évite de nous cantonner à un type de gastronomie », souligne Vincent. Une carte permanente « traditionnelle et rassurante » modernise les grands classiques de la Mamma par une touche d’inventivité maison. Les pastama-niaques ne feront qu’une bouchée des Linguine al Pesto alla Genovese tandis que la Scaloppina alla Milanese accompagnée de ses pommes de terre au four surprendra les fins palais par sa tendresse, caractéristique d’une préparation soignée. Tous les jours, une ardoise vient varier les plaisirs et propose régulièrement un risotto, trop rare, à notre goût, dans les assiettes parisiennes. Quand arrive l’heure des desserts, le choix des gourmands se complique. Comme l’intégralité de la carte, ils sont faits maison et entre panna cotta, tiramisù et purée de mangue sur lit de pâte sablée à la chantilly de Mascarpone

Texte & Photo Elise Monnier

Via Mela

la bonne table

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notre cœur balance toujours. Vincent en rajoute une couche : « en hiver, venez goûter l’affogato ! C’est un parfait au chocolat qu’on recouvre de café chaud, un délice typique de là-bas ». Si l’appétit voyage, la soif n’est pas en reste, il suffit de lever les yeux pour se perdre dans les casiers saturés de breuvages choisis très soigneusement par notre hôte avec une petite exception au 100 % Italia grâce à une belle sélection de vins français. Vincent joue les sommeliers : « les ! des gens ne connaissent pas les vins italiens et je prends plaisir à les conseiller. Je suis axé sur la Tos-cane, les Nero d’Avola, les Valpolicella… »

Départ : Spritz, arrivée : Grappa, deux vols transal-pins par jour pour un voyage des papilles toujours au rendez-vous.

Via Mela8, rue Lamartine - 9e

Tél. : 01 42 80 24 08www.via-mela.fr

—Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h et de 19h à

22h et le samedi de 19h à 22h30.

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© Elise Monnier

le bon artisan Texte & Photo Elise Monnier

DE L’OR DANS LES MAINS

Claire Galteau

En face de l’ Hôtel Drouot, parmi les numismates et les experts philatélistes, se cache l’atelier lumineux et confidentiel de l’Artisan Doreur. Claire Galteau profite du temps de séchage de son dernier ouvrage pour nous présenter l’étendue de son précieux savoir-faire.

Nous sommes immédiatement accueillis par les vapeurs d’essence de térébenthine et une majes-tueuse console XVIIIe en fin de rénovation où un beau soleil d’hiver vient se réfléchir. Difficile d’imaginer la bête avant le passage des mains expertes de notre artisan-doreur, mais photos à l’appui, elle nous fait remonter les patines du temps. Faisons connais-sance avec cette fée qui redonne aux objets meurtris leur flamboiement d’origine. Il y a 25 ans, Claire se forme au métier d’ébéniste-restaurateur et déve-loppe une solide connaissance technique des objets et du bois. Confrontée à la misogynie qui règne dans le milieu, elle se tourne vers l’expertise de mobilier et objets d’art du XVIIIe siècle où elle verra défiler plusieurs centaines d’objets par an et cela pendant

presque 20 ans, avant de revenir à ses premiers amours, la restauration et la conservation, elle nous explique ce virage : « Je ne prenais plus le temps d’apprécier les objets, et comme ce n’est pas la valeur de ceux-ci qui m’intéresse mais leur charme… » Claire reprend alors une formation de dorure à la feuille et ouvre l’Artisan-Doreur en 2007. Cette technique n’a pas bougé depuis l’antiquité. Il est l’heure de parler d’or à la lumière de notre imposante console. Après un passage chez un sculpteur qui répare et comble son support, elle atterrit ici où Claire commence à travailler, « dans le cadre de la restauration, je pré-serve au maximum la dorure existante », souligne-t-elle, avant d’attaquer la dorure, elle ne pose pas moins de 12 couches d’enduit à base de Blanc de Meudon mélangé à de la colle de peau de lapin, « Je travaille comme au XVIIe ! » sourit Claire. Les détails sont perdus avant la reparure, où en orfèvre, Claire re-dégage la sculpture avant d’y poser le Bol d’Ar-ménie, la préparation argileuse qui permet à l’or d’accrocher, « La feuille d’or est tellement fine (ndlr: moins d’un micron d’épaisseur) qu’elle révèle tous

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les défauts, et j’aime jouer avec eux pour garder le charme de l’objet ancien » nous détaille-t-elle. Il ne reste alors que le brunissage et la patine, qui homo-généisent les parties restaurées et la dorure origi-nale, pour arriver au bout de la centaine d’heures de travail nécessaire pour ressusciter une telle pièce. Claire ferme finalement le carnet de feuilles d’or… Jusqu’à la prochaine métamorphose.

L’Artisan Doreur22, rue Drouot - 9e

Tél. : 06 80 57 16 60www.artisan-doreur.com

Renseignements et rendez-vous : cgalteau@artisan-doreur.com

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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

THÉÂTRE

Le Funambule

Une liaison pornographique Les dimanches, lundis et mardis à 20hDu 3 au 26 Février 2013

Ciné 13

La liste de mes enviesJusqu’au 30 mars

DAF Marquis de SadeJusqu’au 9 mars

Être le loup (jeune public)Du 16 février au 30 mars

Masques et nezDu 7 février au 15 février

Théâtre Trévise

Laurent Beretta Jusqu’au 12 Mars. les mardis à19h50

MUSIQUE

L’Olympia

Salif Keïta – 06 févrierOlivia Ruiz – 18 févrierMarc Lavoine – du 19 au 24 février

Les Folies Bergère

Tango Pasion – jusqu’au 17 févrierLa 1ere nuit de la déprime – 18 février

Le Casino de Paris

Mado prend racine – du 12 au 17 févrierCali – 25 février

La Cigale

Lili Wood and the Prick – 21 févrierCairo by Night – 23 févrierAlt-J – 25 février

Le Trianon

Nick Cave & the bads seeds – 11 févrierJohn Cale – 12 févrierLou Doillon – 25 févrierAlain Souchon – 28 février

30 — 9/18 31 — 9/18

le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

Le Divan du Monde

Herman Dune – 19 févrierRedeye – 20 févrierROCé – 21 février

La Boule Noire

Éléphant – 27 février

PARTY

La Machine

Moon Safari Club – 9 févrierApéro Swing&Burlesque – 14 février

EXPO

Le Bal

Antoine d’Agata – Jusqu’au 14 avril

Galerie l’Art de rien

Errance recyclable – du 12 février au 13 mars

L’Espace d’en bas

Proxima – Jusqu’au 15 février

Echo Musée

Boyz – Du 16 février au 3 mars

32 — 9/18

les bonnes adresses

NEW VISION PARIS CLICHY2, rue de Vintimille - 9e

Tel. : 01 45 26 01 07

JEAN-CLAUDE BIGUINE7, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 42 80 10 77

1001 FENÊTRES71, rue Condorcet - 9e

Tél. : 01 45 33 03 86

MY NAIL BAR38, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 53 20 05 39

LE TUMULTE DES MOTS6, rue de Rochechouart - 9e

Tél. : 01 48 78 53 86

VIA MELA8, rue Lamartine - 9e

Tél. : 01 42 80 24 08

RESTAURANT BÉBÉ8, rue Pierre Sémard - 9e

Tél. : 01 48 78 70 31

GLADY’S26, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 48 78 70 14

L’ATELIER DU BAGEL31, rue Saint Lazare - 9e

Tél : 01 44 63 71 59

LA POP MODE13, rue Saint Lazare - 9e

Tél.: 06 10 24 37 49

BRITTANY HÔTEL3/5, rue Saint Lazare - 9e

Tél.: 01 48 78 44 50

INSTITUT GUINOT52 / 52 bis, rue Laffitte - 9e

Tel : 01.81.80.32.30

LA PETITE VICTOIRE12, rue de la Victoire - 9e

Tél. : 01 40 16 10 22

LA PARENTHÈSE20, rue Richer - 9e

Tèl. : 01 75 57 19 47

L’HYMNE A L’AMOUR41, rue Godot de Mauroy - 9e

Tél. : 01 83 97 19 24

SHOWROOM LES PEINTURES XVIIIE34, rue Custine - 18e

Tél. : 01 42 51 05 07

NO SMOKING149, rue Ordener - 18e

Tèl.: 09 67 30 94 40

TAST EAT78, rue Lamarck - 18e

Tèl.: 01 46 06 71 70

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32 — 9/18

Vendredi 1er Mars au Divan du Monde

Sur invitation!:party@lebonbon.fr©

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