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fs* 4 w e . ^ ss l4 Sqi^: s eenl^ F rf 33 ü_n^ 21. Z-Z^ZiA :.»cr ; li .^tO“ -■ 2 îr.î ARROSDISSEMENT ClicÔSSCfijPïtoN * f' V ' ' ,-J» - -• - jçs L’ÉLECTION du II Mai. tout le monde, le serntin do 2 ( aTril a décidé de l’élection d«Tm i^ première circonacription de Senüa. La majorité considérable obtenue par M. Georges Andigia- en dépit de Fijpio- ble poiemioTie drrigée contre Im par le jOTmai de M. Cbopinet et de lapression officielle,était re^rdée par tons eonune FafBrmaüon incontestable de Fopinion de notre arrondissement et dn snesés définitifde notre Cetait, et c’est bien aassi PaTis de nos adTarsairas. M. Faisant, bien qa’il n’ait pas «more oSciallement pnblié son désistemoit, a disBiam de la lutte éiectoraie. Ceux qne des relations personnelles araient décidés à Toter ponr lui parta gent les Tnas politiqnes de M. Andigier «t lui donneront lenrs sufi&ages diman- slieprodiain. Quant ara électeurs de M, Cbopinet, üs se drriseBt en deux cstégoriea. La grande mérité, en Totant pour Ini, to- ïaisni pour le < député sortant». Ceni eue ie âuiatiems politique n'égare piu et eui ne sont pas pins on moins domesti- SU 3»à la clientèle radirala et nteçonni- qae, serallierontarec empressement à la grande masse des électeurs qui se sont pononcés pour la Bipabliqne Libérale, ijepetit Bomia-e, ceux poux qui la Eépn- ônque se résume dans des intérêts per sonnels on dans des intérêts de coterie, uans la satAlaction de leur Tanité, dgne Xouteifiasa ttet^ne fM>.fnn«.âaMx. la déeeiqpéEnfle d’un Jiomaæ Jostsmenfi slawAmné par « n x qn’E » teunpés et fanoiejneHt coterie aux ateini Le 11 mai, le nom de M . G. Andigier sortira rictorienx des urnes et ainsi se trouvera acievée rœuvre si henrsase- ment commencée le 27 avril pour le bien de la B^iubliqne, de notre arrondisse ment et da pajB. VioT(Hi Goioonp. MAXIMES fttnto Je mm - - €«® M Tlwes la ptaishiee téU O le ’ll y a «I# plas«rl*6Bei •a jM isiaae, •*««< d’acfeetar la nuti ce fiüt P mot ii'J’U x:,uKre Î J E ^ à rteETd des in *et^andanmieTTinnt çoi^Dure ma- «roÔBi TÉc«rcêai^ d*277Mffions dasii VB. îjodgçft mm sdlduA oar ttn Méfleir réel de S 4 s âéflcit avoué par ù coüimîs^oii sénatoriale du Sénat, composé en grande majorité de-imHistérâels. &est néanmeins suggestif d’en tendre de la bouche m ê m e <F ïbb d<»» pontifes du ra^caliame cet aveu, (fue quiconque a’apparfâeat pas A la petite chapeUe ministtrieüe m'a * aac— a J— aica. Cet aveu en dit long sur se q m sa pas serait en Fianoa et partîcuiîferemfflit dans fOise si, par ■ impossible, le ministère avait la majorité : atten tats à la liberté, vexation» de tootes *ç^tB_ les plus oââeaaes w tâîiU H ' Sènri^t qppi^qiiBées arr une vasfi* échelle. Heureusement les électeurs en ont assez d’avoir été si longtemps J*urnés ; 14.Chopifiet veut les traiter comme imbécites ; üs lad pron- veront q u ^ sont des gens intelli- génts en votant dimanche, avec œ - semble, pour ŒR6ES 11 le candidat républicain vent u n e fiépublique tolérante et feotroeàtoss las citoyens-ietexclu- sivo-de toute pensée de vengeance et de hafnà 1 * mumuen de la domkiatioii qu’ils pré- tTOduimit exercer sur l’arroudissemuiit. r acceptent leur defeite qu’avec uue pro fonce répugnance. Se rendant compte-da r.n:poisibiiité pour eux de faire tiiom- tner M. Cnopii^ désormais definitive- man: condamné, iis se sont, iqirès le *<^^rü. épuises es combimûsoss variées e. biiarres pour eapneher, ca peur zdh> bLr. jesuccès inévitabie de M. Aadigier. jrÜ 3US férioas rira bo» leeteurs si nous leur racontions les démarebes qui ont été faites, etles personnalités auxquelles ils se KEt acresiés pour trouverun candidate qu; puisse galvaniser leur canse expi rante ; natimellement, tout eaU s été vam, et ils se sont déreidés, en désespoir as casse, a reprendrela candüatere, aux trois quarts morte, de lear repré sentant. C’est T Echo da dimanche d«ni« qui nous Fannonce. üs ont fait ligner à M. Chopinet une circulaire quelque peu dolente où n es saie d’apitcyer les électeurs sur les pré tendus ouB'ages dont il assure avoir été FoEieî et sur une santé dont on affirme beaucoup le délabrem ent, il aneete de considérer les voix deîl. Faisant eomme appartenant à son parti, enfin xîfait un appel désespéré aux élec- texiru républicains, se gardant bien, cette fois, de dire un met de politique etd’éta- ier les beautés du programme radical socialiste que ses inspirateurs et s w maitres lui dictaient autrefois. Nous ne nous attarderons pas à criti quer cette (firculaire éplorée. Quand il parle des outrages qu’il » reçus, M. Ghopinet 'oublie sans doute que son ami CasteHant et lui ont intro duit dans cepays des mœurs que lejonr- nalisme de FOise ignorait complètement ayant eux, « Ce n’estpas dujournalisme, dismt un de nos ccmfrèrw en parlant de TEcTio du Talois, c’est du banditisme qne font ces gens-là. n Quand on substitue les injures, les mensonges ot les ignominies de VEcho du Yaiois à la politique sérieuse et cour toise qui_convient entre des advenaires loyaux, ilfaut être doué d’une singulière inconscience pour oser parler des ou trages qu’on aurait reçus. Pour ce qui est de Fappd aux électeurs de M Faisant, M. Qhopine* a donc onbMé les colonnes d’attaques violentes et inju rieuses dirigées ^ son journal contre M. Faisant et celles appOTtées par son and C m teli^ hâ-même i la réunion de C r ^ contre M. Faisant em personne. Tenir ^wès cela dédmcr qu’au fend on est tout près de M. PajsBnt, n’est-ce } » dmtser Fexemple le plw-étrange et le plnsiaanoraî dn désir d’dbteaîr d m voix pvtDOiiBg VBA m e M W H i w r n i m i ; VILOEClHnVSSEIB. raün{iiirui PAS proca/fa de~’dâaâcm, d'oètiBges et dm . . Ii^_âe3 ûro!s-en ofrf.asiaJ ILChojÀicta ^ penÂBït .gûâÉÊiè* M le rq>résentant de la poMqne de haine, de la^oiitique de désordreetde désunéon queFo|ânion acondamnéeensapersonne, et nous nous réjourimons très vivement ^eq>érer vcàrrevivrecheznous lestradi tions de courtoisie, d’entente cordiale et de mutuelle emifia-nr^ cpâ sont de r^Je dansnotredepartemrntdqmisirmgtj*Tnrig déjA Que cela ne fasse pas Fafiaire de M. CasteHarrt, de M, Pierre Mnrfn, dn mori- ticoie hargneux de Senliset da fonction naire des finances ventrjpotaat qui écr> vaiHent au journal de M. Chcpinet, noos n en doutons pas un infant. 'Mais,il n ’estpas besoin de le dire, /-pla nous laisseparfaitement indifficrHit! î^ous livronslebon combat avec éner gie, avec fermeté. Nos adversaires nous Tosnltent? Qu’importe ! Les aectenrs noté vengent, cornihe lEtISÎ. "Faisant. Et celancms suffi» ! E lis . ■«SÉÎOj» Sa n s fetsoBs Jogesies bossétes g ^ decesmnMewmttBBCÜHs. M. CHOPnSET ^ l’b q ) â t s u r t e .Srivaa Les électeurs de notre circons- cripÈkai jjpta «ruront gré de les prévenir qu’ils vont être l’obJ.et d’an puéril chantage électoral organisé, sur le conseil de M. Baadon, liwog use séance des comités radicaux tenue dimanche dernier, à deux, heures,A l’hôtel VüJette. Toulte la propagande «e faveur du ' député sortant sera menée sur ce thème mensonger ;« Les radicaux eit socialistes seront la majorité dans la proO iaint Chamère ; au cas où M . A udigier serait élu dans. la V' circonscription de Senlis. après (pue M. Gaillard Va tté dans lcu2', le ÿouoernement fera payer cher aux habitants de Varrondisse ment de Sentis leur déjection Cette manoeuvre de gens ai-rv abois voudrait être habile, elle est surtout cynique. M. Baudon et ses agents altèrent sciemment la vérité en disant que la majorité de la prochaine Chambre sera ministérielle ;ellesera, an con traire, * e n e * e * i »-»tMtirtTtfri Flelte; le Terres lui-même, organe offlcîetisc du ministère, Favoue. Il avoue pour le premier tour H i K députés MtâmâBlsiérlels contre I M MliiHitfiriBli. Cette statistique est confirmée par les tra"vanx de plusieurs de nos confrères de Paris qui ont pris la peine de relever un à u n les n o m s des nouveaux élus, et par une clas sification rigoureuse, ont démontré que sur 415 résultats connus on trouvait ttis contre 1 S « "■«-litiiirlai» et i l dvaaeax. Enfin, l’ensemble des voix don nées aux utltetelsSérMs dans tout le pays dépasse d * le nombre des voix obtenues par les candidats du gonvCTnement. Quant aux ballottages, fis sout- favorabiesauxantiministériels dans la proportion de 69 °, Voilà la vérité. Il en ressort qtFà. la rentr^ des Chambres, le cabinet ’VV' aldfidt-MiUeranâ sera « r M é d’une mtmsmKmtsikmm dsiaix an moins. Qaand les j^entsd# IIM. Batuiteh, Q ïic DOS sfiois ccMnproMifiût Mibo Jôiir c(6toij* \ ^ 40afl4 à JL G. iüd^'çrjQ ne -maiôriiél coiM - Bx^s- le droU 4’êlrë fers, ^ " Mais iliiuporte qoè cette iiMjfôritèlsûît encore plus grande as scratwda H mai. ^ u s les çfig^epas to ÿ à Toter eo masse eemme si M’Tie^sire a ’élail pas assirèe. a d v ersa ire em ploieat toos les moyens poar rallier des T0 « à la caadidatm’e fe M. CfebmeL Qoe DO* am is V O T E N T [ sàoséxeeptioa te 11 M i r - JU.va iu salot de la Fraoce et de la RépuÉliaoe d ’e O D srtezitlbrL s ! ' Voila ee Siot dire à tous les éieetenrs. Qoe les 5.142 ^ te o r s gui oôl voté oae ^ première foi* , pour M. -G € K D £ ^ » â i’’ A iiciîgi^ i*, retonraeirt aox ornes téomme an Seül bumme ; qoe les désî^asés se jo% o^ à e o il Qa’iJs votent toos — et çtfjfe saTTeîilent tes aroes î Nos âdversûres soal d é d ^ à fout. 1 Souvenéz-=vous qu’au cours de 1 « f-dernièra légi^ture, M. «Chopin^ Bi*'esrt aJaertezxxx 12 Ô fiûs. Le député qui s’abstientestœmme 1 « soldat qui se cache devant Fen- nemi. Puisque M. Cho^net n’a pas le eouragè de son opinion, votez pour G eou& s AÜDIGlËfi, celai-lA^ vioas trahira pas ! u ncfM M. Cbopinet Nou B0U ^faSB fait s’attaquer 14. Choffeet qa’hoBBiapclitiqss. èprès FetirMfn'/iiT];^ii»g ejrrwlvfr» vient d’afirMier' anx èfantan.» ^ laqaelfa il prètand qna lag 14. Paiiant a«nt siMnei et q Ion SO0 eoix de autorité ssr . gwr, qne paiser de Fhosme privèT M. Choyinet aât fv51 mmt ' preriameliB^iafai»i PaBvre homme ! t V; Chiepiseï âaitecBr&BiBaiMdsâe ' adiarner, amp ; TOUS OU JHBis* ^BDâce£ ’ 9 osr> bov^ ■EB mes âerCr^ÿ, sui'px'ise a gnmde de I* € propre a Jecâsal de c’eit là use taèiniBi. ge rqiroche anqnef,. à coiÿ cB^oss'gxfere.l 1 fa^ p iaft jeff le de stm ami, le mecrcââtié Ca^ri- râsrsdrle <trioiD|die imodiide. > eMond^fal^pas de y rumiu» im» is i femêm iqne ootB àvazB itfe- ^ dqi«B le serntm dn 27fana, sæ M èt OaofiBet H a ^ .ié coBteiri^ fi Psr tm æntiTiiirrir Ær tfelir.riW' U05 lecteurs ost apprécié, s jugeons par le-nombre dea'J naasavoBsjriBçufis-à cepro^aa,, sommes absfêrraa, jusqe’âk ce tout commentaire désobÜgraet de r=ccfa«;signifiati£jii 5 |gé SacÉoral â M. ChopiDfa;* » ses ^ona fi^béÎHàons Amnrw rküam, M n-fri^mjjfeftrwifiT. frapper un advemore à terre samment p^o* fa faste» et par æ vsafiow mooA^SàŒm les le- 'iafjÿte Je "vesdict fes «r✠très faenirwjv lin IL {fec^BKt S t Œoôs q œ les wuix ***" TTiffimlf il »i II iII p s A l Ja -nrrfijwi fa ceqniiùéis «"-rfrir afrr faàiMySirB,M ‘Si-simA Les amis ife Sfe Cbopinet sout littéralement affolés. Aussi, n ’ont-ils pas honte d’avoir i^coors à (te expédients odieux poûr â b û ^ l a canïïance des S e o - teur» qmpeuy*mi selaisserprendre à leurs grewaiùius — -ie»bhu - .LFest achat ipiFà ni>ntiognon, on i»eoBfe -ite 'porfe- -éi porte que M. Geoigiâ AudS^ear a-Sé feouvé un jour dans J«. radssean de Senlis j«t -rfflM»é=î soa dffluicae « a état d’Swiétëj A Vei^piy^ cm colporfe que Fun des plus'honoraïfl& hahaanls de la commune a jètè à là porté le can- Avant de vous rendue ,fai dimaanhe proehàjn, réflèehissex bien i ce que voas réserve M. C M m ftm e t par FapiAicaimi de ce qaïï.:iç,«ifaTrŒ»t^ B a r te rriviaa, et q» Il oevrait, an contraire, appeler hon- netement F ta^m êt msÊr le ÜSaîÂfi- ■Bsrr TeAVAii» Ce qrfTlvent impcoer, d’épi voiaf Car lataxe dorf 3 denômde hé cré»fiwi’'Bera perçea,à partir 1 n aâ, , sarie^.«aairaela terressw iB dittBra « ’a À i r c â « a mmm- ^Ba*, * w la train aulai «te Bftâ, ïfriïrTHmr^aiMa tromper. Il y ra de t m iirtérêti et ttfl csnx às pays tout «tfier. - • '" ____ _ -rx» 1 Fana le résumé des »vote 8 fa M . Cfeapiaal qne aota avess ttn- hùév -nons avpas dit qne M. avait voté Firi&âage *i-tioeâèafa M. Gavaignoc. xi*a S . ffec^inet » égiiemegto>ott«aM« un Mytdeme^ de |L Geapas Blrger dement de IL de Uahy s le a U K . ^ o f î n e t traarafa>-4aBV»iiii»HeB qne Fapmèe --- * aUSUB |-^ A BetZyfea agrariitede M. Chemines assarefltque a 14-Andigierest c’est la,gasrrej A Nantsjfii onafiBniie guslC. A a - digkffjBteraraugmmtafem asjorwr dupcÿi'à,35 ë& iSima, Touies ces sfflZûaaaieg us g>éritant«wtiMTie- r^r«Ha<» 14 m3 s .est bcm de les stgnaler à Snr nn ordre du jonr da ] » portmat réprebsUo» F leeUviStm e t ca afaeiBaein : Fte"caBtrai 3 ■ T»Pt ja /üa— jln fa ■•eleaiemealBaàêïriSüSBriSî MH*,- qpâ STaæe à r« _ Son jonrmd jaèfand qne «ettea tièÉ ettîBBxaelei . .s . F (j est ad^dmaeatvoi.- phàt'^we ma in mofa ; ]{. iianiiji ■SB ..1 II .’bi^ par dœ procédés smsa înavocmlifâ ^ D â n s la v allée. d’Aotcmme, les Cbt^gfeet Vfflot pwrtnfat racontant que M. Asiâzé Faâasitt â^séé <«3 fav^-.d* trou. Les du iriTniirîiri» i JèîtïŸîi

PAS raün {iiiruibmsenlis.com/data/pdf/js/1902/bms_js_1902_05_08_MRC.pdfdasii VB. îjodgçft mm sdlduA oar ttn Méfleir réel de S4s âéflcit avoué par ù coüimîs^oii sénatoriale

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ARROSDISSEMENT C lic Ô S S C f ijP ïto N* f ' V

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L’ÉLECTIONd u I I Mai.

tout le monde, le serntin do 2 ( aTril a décidé de l’élection d«Tm i première circonacription de Senüa.La majorité considérable obtenue par

M. Georges Andigia- en dépit de Fijpio- ble poiemioTie drrigée contre Im par le jOTmai de M. Cbopinet et de la pression officielle, était re^rdée par tons eonune FafBrmaüon incontestable de Fopinion de notre arrondissement et dn snesés définitif de notre Cetait, et c’est bien aassi PaTis de nos adTarsairas.M. Faisant, bien qa’il n’ait pas «more

oSciallement pnblié son désistemoit, a disBiam de la lutte éiectoraie.Ceux qne des relations personnelles

araient décidés à Toter ponr lui parta­gent les Tnas politiqnes de M. Andigier «t lui donneront lenrs sufi&ages diman- slie prodiain.Quant ara électeurs de M, Cbopinet,

üs se drriseBt en deux cstégoriea. La grande mérité, en Totant pour Ini, to- ïaisni pour le < député sortant ». Ceni eue ie âuiatiems politique n'égare piu et eui ne sont pas pins on moins domesti- SU3» à la clientèle radirala et nteçonni- qae, se rallieront arec empressement à la grande masse des électeurs qui se sont pononcés pour la Bipabliqne Libérale, ije petit Bomia-e, ceux poux qui la Eépn- ônque se résume dans des intérêts per­sonnels on dans des intérêts de coterie, uans la satAlaction de leur Tanité, dgne

Xouteifia sa ttet^ne fM>.fnn«.âaMx. la déeeiqpéEnfle d’un Jiomaæ Jostsmenfi slawAmné par «nx qn’E » teunpés et fanoiejneHt coterie aux ateiniLe 11 mai, le nom de M . G. Andigier

sortira rictorienx des urnes et ainsi se trouvera acievée rœuvre si henrsase- ment commencée le 27 avril pour le bien de la B iubliqne, de notre arrondisse­ment et da pajB.

VioT(Hi Goioonp.

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x:,uKre Î J E ^ à rteETd des in *et^andanmieTTinnt çoi^Dure ma-«roÔBi TÉc«rcêai^ d*277Mffions dasii VB. îjodgçft mm sd lduA o a r ttn Méfleir réel de S 4 sâéflcit avoué par ù coüimîs^oii sénatoriale du Sénat, composé en grande majorité de-imHistérâels.&est néanmeins suggestif d’en­

tendre de la bouche même <Fïbb d<»» pontifes du ra^caliame cet aveu, (fue quiconque a’apparfâeat pas A la petite chapeUe ministtrieüe m'a

* aac— a J— aica. Cet aveu en dit long sur se q m sa pas­serait en Fianoa et partîcuiîferemfflit dans f Oise si, par ■ impossible, le ministère avait la majorité : atten­tats à la liberté, vexation» de tootes

*ç tB_ les plus oââeaaes wtâîiUH' Sènri^t qppi qiiBées arrune vasfi* échelle.Heureusement les électeurs en

ont assez d’avoir été si longtemps J*urnés ; 14. Chopifiet veut les traiter comme imbécites ; üs lad pron- veront q u ^ sont des gens intelli- génts en votant dimanche, avec œ - semble, pour

ŒR6ES 11le candidat républicainvent une fiépublique tolérante etfeotroeàtoss las citoyens-ietexclu- sivo-de toute pensée de vengeance et de hafnà

1* mumuen de la domkiatioii qu’ils pré- tTOduimit exercer sur l’arroudissemuiit.r acceptent leur defeite qu’avec uue pro­fonce répugnance. Se rendant compte-da r.n:poisibiiité pour eux de faire tiiom- tner M. Cnopii^ désormais definitive- man: condamné, iis se sont, iqirès le * < rü. épuises es combimûsoss variées e. biiarres pour eapneher, ca peur zdh> bLr. je succès inévitabie de M. Aadigier. jr Ü 3US férioas rira bo» leeteurs si nous leur racontions les démarebes qui ont été faites, et les personnalités auxquelles ils se KEt acresiés pour trouver un candidate qu; puisse galvaniser leur canse expi­rante ; natimellement, tout eaU s été vam, et ils se sont déreidés, en désespoir as casse, a reprendre la candüatere, aux trois quarts morte, de lear repré­sentant.

C’est T Echo da dimanche d«ni« qui nous Fannonce.üs ont fait ligner à M. Chopinet une

circulaire quelque peu dolente où n es­saie d’apitcyer les électeurs sur les pré­tendus ouB'ages dont il assure avoir été FoEieî et sur une santé dont on affirme

beaucoup le délabrem ent, il aneete de considérer les voix deîl. Faisant eomme appartenant à son parti, enfin xî fait un appel désespéré aux élec- texiru républicains, se gardant bien, cette fois, de dire un met de politique et d’éta- ier les beautés du programme radical socialiste que ses inspirateurs et sw maitres lui dictaient autrefois.Nous ne nous attarderons pas à criti­

quer cette (firculaire éplorée.Quand il parle des outrages qu’il »

reçus, M. Ghopinet 'oublie sans doute que son ami CasteHant et lui ont intro­duit dans ce pays des mœurs que le jonr- nalisme de FOise ignorait complètement ayant eux, « Ce n’est pas du journalisme, dismt un de nos ccmfrèrw en parlant de TEcTio du Talois, c’est du banditisme qne font ces gens-là. nQuand on substitue les injures, les

mensonges ot les ignominies de VEcho du Yaiois à la politique sérieuse et cour­toise qui_ convient entre des advenaires loyaux, il faut être doué d’une singulière inconscience pour oser parler des ou­trages qu’on aurait reçus.Pour ce qui est de Fappd aux électeurs

de M Faisant, M. Qhopine* a donc onbMé les colonnes d’attaques violentes et inju­rieuses dirigées son journal contre M. Faisant et celles appOTtées par son and Cm teli^ hâ-même i la réunion de C r ^ contre M. Faisant em personne. Tenir wès cela dédmcr qu’au fend on est tout près de M. PajsBnt, n’est-ce }» dmtser Fexemple le plw-étrange et le plnsiaanoraî dn désir d’dbteaîr dm voix pvtDOiiBg

VBA me M WHiwrnimi ;VILOEClHnVSSEIB.

raün {iiirui

PAS

proca/fa de~’dâaâcm, d'oètiBges et dm

. . Ii^_âe3ûro!s-en ofrf .asiaJ ILChojÀicta penÂBït .gûâÉÊiè *M

le rq>résentant de la poMqne de haine, de la oiitique de désordre et de désunéon que Fo|ânion a condamnée ensapersonne, et nous nous réjourimons très vivement ^eq>érer vcàr revivre chez nous les tradi­tions de courtoisie, d’entente cordiale et de mutuelle emifia-nr cpâ sont de r^Je dans notre departemrntdqmisirmgtj*Tnrig déjAQue cela ne fasse pas Fafiaire de M.

CasteHarrt, de M, Pierre Mnrfn, dn mori- ticoie hargneux de Senlis et da fonction­naire des finances ventrjpotaat qui écr> vaiHent au journal de M. Chcpinet, noos n en doutons pas un infant.'Mais, il n’est pas besoin de le dire, /-pla

nous laisse parfaitement indifficrHit!î ous livrons le bon combat avec éner­

gie, avec fermeté. Nos adversaires nous Tosnltent ? Qu’importe ! Les aectenrs noté vengent, cornihe lEt ISÎ. "Faisant.Et cela ncms suffi» !

E l is .

■ «SÉÎOj»

Sans fetsoBs Jogesies bossétes g ^ d e c e s m n M e w m t t B B C Ü H s .

M. C H O PnSE T^ l’b q ) â t s u r te . S r i v a a

Les électeurs de notre circons- cripÈkai jjpta «ruront gré de les prévenir qu’ils vont être l’obJ.et d’an puéril chantage électoral organisé, sur le conseil de M. Baadon, liwog use séance des comités radicaux tenue dimanche dernier, à deux, heures,A l’hôtel VüJette.Toulte la propagande «e faveur du '

député sortant sera menée sur ce thème mensonger ; « L es r a d ic a u x eit so c ia liste s se r o n t la m a jo r ité d a n s la p r o O ia in t C h a m ère ; a u cas où M . A u d ig ie r s e r a it é lu dans. la V ' c irc o n sc r ip tio n d e S e n lis . a p rès (pue M . G a illa rd Va t t é d a n s lc u 2', le ÿo u o e rn e m e n t fe r a p a y e r ch er a u x h a b ita n ts d e V a rro n d isse ­m e n t de S en tis le u r d é jec tio n Cette manoeuvre de gens ai-rv

abois voudrait être habile, elle est surtout cynique.M. Baudon et ses agents altèrent

sciemment la vérité en disant que la majorité de la prochaine Chambre sera ministérielle ; elle sera, an con­traire, * e n e * e * i »-»tMtirtTtfri Flelte; le Terres lui-même, organe o fflcîetisc du ministère, Favoue. Il avoue pour le premier tour H i K députés MtâmâBlsiérlels contre I M MliiHitfiriBli.Cette statistique est confirmée par

les tra"vanx de plusieurs de nos confrères de Paris qui ont pris la peine de relever un à un les noms des nouveaux élus, et par une clas­sification rigoureuse, ont démontré que sur 415 résultats connus on trouvait ttiscontre 1 S« "■«-litiiirlai» et il dvaaeax.Enfin, l’ensemble des voix don­

nées aux utltetelsSérMs dans tout le pays dépasse d* le nombre des voix obtenues par les candidats du gonvCTnement.Quant aux ballottages, fis sout-

favorabiesauxantiministériels dans la proportion de 69 °,Voilà la vérité. Il en ressort qtFà.

la rentr^ des Chambres, le cabinet ’VV' aldfidt-MiUeranâ sera « ■ rM é d’une m tm sm K m tsikm m dsiaix an moins.

Qaand les j^entsd# IIM. Batuiteh,

Q ïic DOS sfiois ccMnproMifiût Mibo Jô iir c(6toij* \ ■

4 0 a f l4 à J L G . iü d ^ 'ç r jQ n e -m aiôriiél c o iM - Bx^s- le d r o U 4 ’ê lr ë f e r s , ^ "

Mais iliiuporte qoè cette iiMjfôritèlsûît encore plus gran d e a s s c r a tw d a H m a i.

^ u s le s ç f ig ^ e p a s t o ÿ à Toter e o m a sse eem m e s i M’T ie^sire a ’é la il p a s a s s ir è e .

a d v e r s a ir e e m p lo ie a t to o s le s m o y en s p oar r a llie r d es T0« à la caad idatm ’e f e M . C feb m eL

Q oe DO* am is V O T E N T[ s à o s é x e e p t i o a t e 1 1 M i r - —

J U .v a iu sa lo t d e la F raoce e t d e la R ép u É liaoed ’e O D s r t e z i t l b r L s ! '

V oila e e S io t d ire à tou s le s é ie e te n r s .Q oe le s 5 .1 4 2 ^ t e o r s gu i o ô l vo té o a e p rem ière

foi* , p o u r M . - G € K D £ ^ » â i ’’ A i i c i î g i ^ i * , reton raeirt a o x o r n e s téom m e a n Seü l bum m e ; q o e le s d é s î^ a sé s s e j o % o ^ à e o i l Q a’iJs vo ten t to o s — e t ç t f jfe saT T eîilent te s a r o e s î

N o s â d v e r s û r e s s o a l d é d ^ à f o u t .

1Souvenéz-=vous qu’au cours de 1«

f-dernièra légi^ture, M. «Chopin Bi*'esrt aJaertezxxx

1 2 Ô fiûs.Le député qui s’abstientestœmme

1« soldat qui se cache devant Fen- nemi.

Puisque M. Cho^net n’a pas le eouragè de son opinion, votez pour

G eou& s A Ü D IG lË fi,celai-lA^ vioas trahira pas !

u ncfMM. C bopinet

N ou B0U faSB fait s’attaquer 14. Choffeet qa’hoBBiapclitiqss.

èprès FetirMfn'/iiT]; ii»g ejrrwlvfr»vient d’afirMier' anx èfantan.» ^ laqaelfa il prètand qna lag 14. Paiiant a«nt siMnei et q Ion SO0 e o ix de autorité ssr . gwr, qne paiser de Fhosme privèT M. Choyinet aât fv51 m m t ' preriame liB iafai» i PaBvre homme !

t V ; Chiepiseï âaitecBr&BiBaiMdsâe' adiarner, amp ;

TOUS OU JHBis*^BDâce£ ’9osr> bov^

■EB m e s âerCr^ÿ, sui 'px'ise a gnmde de I* € propre a Jecâsal de

c’e it là use taèiniBi. ge rqiroche anqnef,. à coiÿ

cB^oss'gxfere.l 1 fa^ p i aft jeff le

de stm ami, le mecrcââtié Ca^ri-râsrsdr le < trioiD|die imodiide. > e M o n d ^ f a l ^ p a s de y rumiu» im»is i femêm iqne ootB àvazB itfe-

dqi«B le serntm dn 27fana, s æ

M

èt OaofiBet H a ^ .ié coBteiri^ fi

Psr tm æntiTiiirrir Ær tfelir.riW' U05 lecteurs ost apprécié, s jugeons par le- nombre dea'J naasavoBsjriBçufis-à ce pro aa,, sommes absfêrraa, jusqe’âk ce tout commentaire désobÜgraetde r=ccfa«; signifiati£jii5|gé SacÉoral â M. ChopiDfa; * » ses^ona fi béÎHàons Amnrwrkü a m , M — n-frimjjfeftrwif iT. frapper un advemore à terre samment p o* fafaste» et par æ vsafiow

mooA^SàŒ m les le- 'iafjÿte Je "vesdict fes

«râœtrès faenirwjv linIL {fec BKt S t

Œoôs q œ les wuix ***" TTiffimlf il »i II iII

p s A l Ja -nrrfijwi fa

ceqniiùéis «"-rfrir afrrfaàiMySirB,M ‘Si-simA

Les amis ife Sfe Cbopinet sout littéralement affolés.Aussi, n’ont-ils pas honte d’avoir

i^coors à (te e x p é d ie n ts o d ie u x poûr â b û ^ l a canïïance des Seo- teur» qmpeuy*mi se laisser prendre à leurs grewaiùius — - i e » b h u - .LFest achat ipiFà ni>ntiognon, on i»eoBfe -ite 'porfe- -éi porte que M. Geoigiâ AudS^ear a-Sé feouvéun jour dans J«. radssean de Senlis

j«t -rfflM»é=î soa dffluicae «a état d’SwiétëjA Vei^piy^ cm colporfe que Fun

des plus'honoraïfl& hahaanls dela commune a jètè à là porté le can-

Avant de vous rendue ,fai dimaanhe proehàjn, réflèehissex bien i ce que voas réserve M. C M m ftm et par FapiAicaimi de ce qaïï.:iç,«ifaTrŒ»t

Bar te rriviaa, et q» Il oevrait, an contraire, appeler hon- netem ent F ta ^ m ê t msÊr le ÜSaîÂfi- ■Bsrr T e A V A i i »Ce qrfTl vent impcoer, d’épi voiaf Car

la taxe dorf 3 denômde hé cré»fiwi’'Bera perçea, à partir 1 n aâ, ,sarie^.«aairaela terressw iB dittBra « ’aÀ i r c â « a m m m - “ “ ^Ba*, * w la train aulai «te

Bftâ, ïfriïrTHmr aiMa tromper. Il y ra de tm iirtérêti et ttfl csnx à s pays tout «tfier. -

• '"____ _ -rx»

1Fana le résumé des »vote8

fa M. Cfeapiaal qne aota avess ttn- hùév -nons avpas dit qne M. avait voté Firi&âage *i-tioeâèafa M. Gavaignoc. xi* a

S. ffec inet » égiiemegto>ott«aM« un Mytdeme^ de |L Geapas Blrger

dement de IL de Uahy s lea U

K. ^ o f în e t traarafa>-4aBV»iiii»HeB qne Fapmèe --- *

aUSUB |-A BetZyfea agrariite de M. Chemines

assarefltque a 14- Andigierest c’est la, gasrrej A Nantsjfii onafiBniie guslC. Aa-

digkffjBteraraugmmtafem asjorwr d u p c ÿ i'à ,3 5 ë& iS im a ,Touies ces sfflZûaaaieg us

g>éritant«wtiMTie- r r«Ha<»14m3 s .est bcm de les stgnaler à

Snr nn ordre du jonr da ]» portm at réprebsU o» F leeU viStm e t ca

afaeiBaein :Fte"caBtrai 3 ■ T»Pt j a /üa— jln fa■•eleaiemealBaàêïriSüSBriSîMH*,- qpâ

STaæe à r«

_ Son jonrmd jaèfand qne «etteatièÉ ettîBBxaelei . .s . F

(jest ad^dmaeatvoi.-

phàt' we ma in mofa ; ]{.

iianiiji■SB ..1 II .’bi

par dœ procédés smsa înavocmlifâ

^Dâns la vallée. d’Aotcmme, lesC b t g feet Vfflot pwrtnfat

racontant que M. Asiâzé Faâasitt â^séé <«3 fav^-.d*

trou.

Les du iriTniirîiri» i

JèîtïŸîi

V <- . h K--

Il -

i .

t«és iajl^Mir' 8, nûui il est piqBâBt,

Mftbl*rt-U, de les mettre son» les yeux i4e<ÿeur8 pour leur^fPiauT!», «*w

i fsdlité les radieifa^iâ^w'''» èttr-

Sous <M'titBe,< :i2'jU<ùtid8: de M .i Pais en quels .termes s’exprimait

rOtadk’ SÛT' le ràmpto -du f l l# ^ pré- i du iTiibaïud de SmUs :lûs âiiîOOTiL’sôîJo 'ï t-. ix.rri' i sM fcfiû’i

e iis I^ôsant jou lrrep rtd i^

e or»UmeBomjMHÏëlvi¥îto HMrMeonds persiOBBOllM

f Le eandidat Paissnt trouve que nous n’nbserrons pas lesmoindm convenances.

s Or, Q n s même pas, lui-même, re­mercié la municipalité de Orépj, qui lui m i t aeaordé l’autorisation de faire sa

- nonfirwice an théâtre.c Le eandidat Faisant dit qu’il aime la

frandiise.s dtaP. Il œ répondre

ÀÉaad on lo i dMBnade n U sp- «ÎM ive on s U M te e 1» pM|*

- € Le candidit^Rusant-iut q w ra ji est l’am e dos &ifalssw ^

< Or, il a iliÜHfié publiquemeniTl ngnble M. C ardan t, en ;insi|îiae i^ 'il S d n it partie du qihdicât des malhodMtéS

< liOenadlda(P«teaB«se pose- u H iw ostmstitonnnîl lesnnes - Hises ouvrières.

-M*4»ÿ>, ôr»,*a% dêda#é i^ o , ' iB’ü était élu député, il n’y aurait plus deijpréVeSi.. Le candidat Faisant dtt qu’il veut

. r a u .Peuple. . .c Or, il s’élève contre la réglemèhta-

' tion du travan 'dans les mines, ûae des W^nepele» MvendicatiMs ouvrières.

I <. Le.oaa<frdat Pusant se pose en répu- bÜcain.: . , -

.dSor. Um jsoutrâii napttère time candidature réaction m ttalre.

< Le uàudièat Faisant dit qu’il n’y a aucune liberté en France. | : tr Orf U n se iar^enteut de là

' UPërâderénikloiipoar ààsoa- Tlrsa lialne et décliaîner ses vioiénces s .

Et, dans un autre numéro de ÏEcho, H . Ghopinetfsdsait. écrire » . :>

, e Le iqilieu qui paraît le plus favo- ïuble & la . culture intensive de ceftte lèvre démoralisante semble être moins encore la presse que la réunion publique, puisqu’il est facile ici — ce qui

i. impossiblè'dans un joiiriial — d’y

Méline .Seulei sous. Al

mîVcomte de Mun.

Faisant.Il â ''Stns^<fest n n ^ o i^ e mots, au mllntiiavLi -x . 1

xjtsjoué^i di

;'î

applaudir sairn brot^tàtions apparentes.■ par. une assemblée où domine l’élément

républiésiin Ai ouvrier,.'fes, hypqeriaes , ' p & à ê tfé n n à lré s . ia n t lë u v r lé ré s ;e f« s e n c a ie s aisnTra,M»aafrpourvu '' que ioùt eèlà soit débité avec aecamm-

gnemenf de, gestes de poU cliliM B e d ls io d ù ë êt de cris dé lo o o in o b tto . O B 'd é tre s s e . >

Ët encore:' :ie^^q m ird sn p e^ t-én ic if !c Ce è’^-p as nous qui posons pul;li-

quement cseUe question. ’« C’est, le Coumer de.i'^iîe. JoüESAL

DB.SsNiiis, qui rr- ainsi qu’on l’a vu ici-. deMUS'r~.la faitan nom de M. Àudig^er à M. Paisant fils, et qui parait bien do-

! samenté, pour.démarquer l’étiquette ré­publicaine qu’a prisene dernier, so u t^u jm t.^orgmo.de ÏEvèçhé, le s,Jourkal ■4e l'Oise iit ia fe ^ l le ja plué réaafiqn-_ noire et cîériçOile de notre déparie- m m t, . . ■ : .

•».J.e;.« fio»rrier de l'Oise » n'ap-‘, prend- iii personne, .pcla va, sénsf dire : te caractère de la çaadidâtnré dé' M. Paisant,. malgré les déclamations aussi sonores que vides par lui faites dans ses cohérences, est trop évident pour que les. électeurs se laissent sur- prandrsi

< 11 n’y a, entre les deux compéti­teurs, que des questions de nuances... réactionnainisf, et cette discussion prouve une fois de plus (ce que. tout le mendn aauait dé}è) que la ranonne per­sonnelle seule, et non l’amour de la Ré­publique et le bien du pays, les ont fait asrtdr eontre l’honoraUe député sor­tant,'*;;;..

Ou ceci, sous la signature de... ; M. Thirion ù la date du 27 avril i902, jour ; même du scrutin :

ù M. 'Pàtsànt est un sphin^ et sa canMdalurè est vmeénigMe^ M

t En effet, s’il veut tout simplement, eoiximé quelques-uns le disent, se venger de M. Audi^er, le meilleur moyèn’, c’é­tait de mettre-sa -fougue et sa meUité de parole an smrioe de M; Chopinet, et d’assurer ainsi sa réélection. ;

'c S’il aspire, comme d’autres le pen­sent, a remplacer — plus tard — M.Cho-

f' >qt, ; ne faudrait ja s commencer par combattre aujourd’hui.» Que véut-il f qu'est-il f quelle idée,

quelle opinion, quelle doctrine repré- sente-t-il f Radical, il ne peut pas l’être plus complètement, ni plus sagement ■que M, ûkopünet: Réactionnaire, si M. Audigier ne lui sufSt pas, il est vraiment bien exigeant !

» Serait-Il entre les iees, panaché cFesprit conservateur et d'ardeur radi­cale, tout prêt à embfitsser le parti qui triomphera le 27 avril prochain,î Alors, cftetùe qu’on appelle un c homme fort », et M. Chauveau a été bien mai inspiré de lelâèher.- c'Mais non,'jè n’aime pas prêter aux

ambras de mauvaises pensées, dont'je me erôts moi-même incapable. Il &Ut cheiv . «her autre âtose. - ’ « P ( ^ i deui qui l’ont entendu, d’an-

^«aâul#ràrniiMH'tt«m6‘-dA^bôiénes intiuA tioas en faveur des ouvriers. Alors, se*

Ipeiidiste c Conune li

H sq,m0 biej

MélÂej,.,llèsis pbrétien.'cela, cbinâsËJM Aeut pas ton] catholique! ‘

» Enfin, je m’y perds. Fy renonce,w pourra. Ou plutôt,, non ! |c CàbéàïisfiliEWeiMp crû c ê ^ n r socialiste chrétien. » ^ ,jCTlaatApaifeàtt JgeBtre4;la lil

Rans Te ,même“journal ' on peut llfêJMvCil .b .'r ___SvC

c Cimâné on le voit, M. Paisant est tédâridîiâXdii'haut clergél ”1:: Afctiâ’sddbàr'aë'»7 OMS» celui

Et, un autre jour, après avo^|tixfaté t St. Paisant de < punaise de sà0‘u tié i le jo u r ^ de M. Chopinet ajoute^

ididà ^ a à a a t se_ i« |n l .r 1 ,

c Yoiei ce que vaut sa loyauté ;' ( M. Faisant dit, au cours de ses con­férences,^ que l’Echo, républicain ioifie de faire ^ ix éàâ k p ^ é d e ^ Idê Vâdop^ tion de l^dubudement aux réaetionmires.

P C 'e s f ^ s f e v •. ■ ." • • •U ■ f t à t . 'P à n à p m e iié é ''c e .

in Ù im é iH i à e l à

; Paisai^paraît 'v o d ^ . de lO.oOO tr. que nous' Audigier et an Journalavons lancé à M.

de Senlis.d e s d é s iip È r it^ ^ ^.tenu, les pauvres

fouché.c Ce pe soiit là qu’ln a tln n à lâ ë n »

m a lv e l l ià n te s , déUùées de tout fOn* demènt. »

Parlant de la réunion de Crépy, M. Casteliant écrivait :

i Le caractère tout à fàit anodin ;de mes précédents articles concernant ! la candidature de M, Faisant filsj {nrâuve assez que, pour nous, cette canMdMitre riexiste pas, puisqu'elle ne peut nuire de façon quelconque d la réélection du député sortant,-auquel elle. ■ n'enlèvéra pasune sesde voix. Si le doubde scan­dale qui ' l ’accompagne ne la rendait à peu prés inofiensive pour M. Audigier lui-même, : ce n’e à qu’à lui qu’elle pour­rait être préjudiciable, j e me trouve dclnc en d’excellentes conditions pour juger len toute impartialité i ’iioniniB à s s è z égxQÏste. b o u r tr à ta lr , p a r n n e a ju b l t lo n a v e u à le , fo u s s e s in ­t é r ê t s d e ftum ille e t d e p a r t i » .

Notez que c’est bien-M; Casteliant qui dit cela, alors que 91. Cliopinet an im e dans sa clrenlalre qne les. voix 'd é 91. 'Bàteiant Ital constituent nne m à|orlté de s o à v q i à - . c , .'r- '/i'.;.-. ; ,; [t-on ici ?. Et M, Casteliant d’ajouter : j _. ■ «;:J’ayais déjà assez., entendu M. l i ­sant fils pour constaterf qu’il était im ridicule bateleùr,'niai8"hon àssezpduÿcon- naître la valeur morale, de l'homme, »

Et'plus loin : . i ', ]■( Le cri : t A la tribune ! > ayant été

poussé de divers côtes par certains' em­ballés', furieux du subit dégonfieménti de la vessie qu'ils prenaient po'>* ën phare, je me rendis sur la scène et ré- pétàLimon xtdfii'mation.: M-. .Ptusant, au lieu de s’expliquer ou de s’excuse;:, ept la pleutrerie dé nier îéà pa­roles qu’il àvalt proférées.

( Je fis alurs appel à son seutiment de l’honnehr} xf'honttKé resta muet. < le me ;p û ^ .^ v a n t lui et çheiràbai i^^yeux, iA # l.^b^ales trouver j. ; '

c je neus plus dèslors qu’à' constater, que e’étalt bien là le fflis Pal* sant jf«c). » '

Au reste, voici l’opinion de M. Cho* pinet lui-même sur M. André Faisant. Nous la trouvons dans la brochure qu’il a répandue par milliers dans la ciircons- cription. • - •' '

Farlant de M. Paisant, ponV qui U eut, dltrll, la pensée de se .dé* " sister, M. Chopinet é.crit :

c 'L’un, s’en va clamant et déclamant partout contre la liberté de la ; piresse,comme si la lanque'des.avo* ca'ts ne pouvait être aussi vi­périne et, qientensé que -lia plume des Journalistes t

« ii’un, le plus jeune, h’ajamais été ni conseiller municipal de sa commune', ni conseiller d’arrondissement de sa sous- préfecture, ni conseiller, général de .son département ; il veut sauter à pieds joints tous ces degrés pour, d’un bond, escàla- der le IPalâis-Ëourboh!, J1 prétend; n’ètre pas politicien, mais avocatj et c'est;pour­quoi il déserts k chicane pohr k pbS- tique; (»la rappelle le motde 'Beanniar- ' chais ; c II fàliait un mathémàticiaa, es fttt.nn danseur .qui fut choisi ». C’est une mésaventure qui m’arrivera pas à cdui-

l i t n'a pas, dit-il, de banquier,' m ais 11 «st s i banqUlste qu’il peut bien se passer de banq'ékr 1 ce qui» d'ailleurs, ne l’empêchèra' paà'fie solder sa candidature.

€ I l n’apas de comité. Il ne paoyséi, en effet, venir à l’idée de qui que ce fut au monde que ce Motuieun.pût être camUdat précisément dans la circons­cription où son pére est président de,,. Tribunal. Alors qu’il pouvait choisir l’une des six cents drcônscriptions élec­torales de France, il a jeté son stupéfiant dévolu justamênt snnla seuls de «es six cents ckqopscriptions de laquelle, eût dû l’écarfer U .pijus.vulgairp hon sens, le .plus rudirnei^re.m ëw ê m ô n sL E t c^ési poarqhoi le vw ii’eat'lkit autour dé’ lui.

de journal, roulant des j

p j^ ^ û i^ f tn e , et en lan<SMÉéiit 'chacun de ses qi

Poktstlinaàit, ' hràs renons icj^^i^oÇâf eq^ f(a^an t délit de... E |^eSet'':..sa.çaàdidature a é t^ m s ^ M lo ' t«éàei{i||ic i« Journal d ê d ^ i ÿ ,W ^ O orléimiste qui a toujours passé pour recO'voir son inspiration de l’Evêché._ _ .

Se eon

cdonbe.l:âv<àat!

’resse, contre les syndicats àuyners,contre les-retraites omyriéres. etc.:»____- ■ » I l ert-avocat: -QuAst-w q?un-avoJ' cat ? Un monsieur qui, pourm'lkr^enii,. vous prouvera Clair conime-le jonr,':;:iqtte

ittéouler COI AVçdontéî vdill

cons'cià«râ, à lin, n’enit pat dians3à>niàmr.‘: ^ esAdans lÉ p o i^ ; monnaie du client. Hein ? comme cela inspire confiance tout de suite I »

_^es^ln |ie|. termes |;aiM8^dive|si, que ànf(nMictoméS’qàe'-M.'’''<SiopiBet jugeait avant le premier tour de scrutin la can- xdidatnre.derM. André Faisant.

Cek se passe de commentaires !.... nwr ... ■ M. L,

partie, .*

p ^ l’hà i^ tÂ

a v o t éu i r e r o i

; i î IT T d ü ^ VOTERÉÉtOUS

r^ b lica in iM ral ^ rami-4 o tMvàilteâii*,ï4>airdël sàm-|û’éfet> protec-

M. Chopinet joue de sa maladie pour apitoyer les électeurs.

I l a em p^é ce prdcédé j l y a quatre ans e til lui; a assez bieii réussi.

Il le renouvelle aujonrd,’hui, mais la ficelle est; usée. ■ ^ ' ; ;

M. Chopinet est enférmé dans ce di­lemme :

.Ottil-.jmt malade réeUement et alors.', qu’il'ieiibignet! ï.! .■ x iv è î:

.Ou il est bien, portant et il joue une comédie indigné. '

11 n’y a pas à sortir de là. Mais nous pouvons rassurer les-âmes senmbles. ; M. .Chopinet est si; peu malade que nous, l’avons rencontré vendredi e t samedi, dans les rues de Crépy.

Cependant, le.;b]^;OOurait-à Senlis qu i! était mort.....

Comme ou le... voitj n’est hn cadavre politique — et cela xhotà suffit, car nops serions désolés que M. Ghôpinet fut vrai­ment souffrant. | '

Mais pniisqûè c.'esiunB. c.coUe » 1«...

Me t d u T ra v a il .

l E S id e s E â e c tîd n s ,

U iià—vsrt'xS

L’Association nation4f& répubifeàfme, qui'.d.ée sous les auspiees'dë Jules ' 'Fërry et de SpüJlér, pÉMii lé^ésuitat çpià^iét et~ÊePupnîeusemeht' Térîflé du scrutin du 27 avril.

Vofci ces résultats îAstimiolstérleM )il8;H in ls tM s élus. . . . . . 196

( Pai^i les ministéjrps ont été classés tous aên- teux.,)

Le Ministère est donè| a cette heure, en minoritérde 2 2 v o i s s : .

Cabinet sera démis­sionnaire da ns la première semaine de juin.

M. Waldecfc^Rousseau l’a. clairement .laissé .entendre dans le Conseil des mints*> très tenu le jeudi 1 " mat ;

Sa défaite eût d-ailleu^s été certaine, en dépit- des statistiques mensongcHei publiées par les journàu à la solde de la plaçc]|eab vau.,'- . .

M., CM oplnet: a reconnu avoir voté c o n tr e la u n e r t é à à .T r à -

. v a t l . .Il s’en est excusé et a assuré les

.électeurs « que cela ne lui arrioe- ■. ra itp lu s ».

Ge me4. c a ^ a tardif est sans s in - céritéi, ■ : , .. ! .

Que ;penserait la famille d’un m a- jade à qui le docteur Chopinet aurait fa it prendre du ppison au lieu de lui

; d onner une fElle, changerait de médecin, parce

■que, 6rÿ*ht m anqué de jugem ent une fois, il n’y aurait pas de raison pour qu’il ne rëcdmmence pas cette fan­taisie. . .

La situation est exactem ent la 'mêmè.''^- vuuions changer de député,-pour que M. Chopinet ne puisse

vôlëP dés lois qüi hoüSjruineht.= — if xx„xV, i , ,<»;i 1_-

^ F â i ï i ^ ^ d é l î c t u é i r s t ' » .H'. j i: ;; Soniéeti.tfe,i;à>jDBmqt âq,if.^epineti. mcoptq ÇBe. série, de faits anssi fimtâidsies

^tk’BiEkés’k t ’rajéiMè'-fakéon fient le vom ■-s’éft asçompli fisù 'ln d®iVI k’’*cebscriptibn. f - ' |

' ' ' Nôas= a’avbnS pâs lintestiefi 'fie réfoler .nse à aaa les-àssertiqas nteasoDgêrà fia jesraal de M. Casteliant.

-hes hktoirés Fifiicfiles qae raéopte l’Acà» rép^Uçain- {f oavmit, x i ;Bip]^se; hamear et ùi déconyenaé, rlên de pu»;X Ouel’AsAifiifiô Grèjÿ parle'{dé presstq»,

yèntfolà^at ^ c ^ b lU .' 'Le'cànaîfiat oÉciel èsflfil'’ Çhbplnet ; rce n’est pas, bâ peiit être sûr, ÎLAadlgier.' Nous ne vonloos pu, nous, non» ravaler an rang-des dèfionclafetirs qaéèonf les amis fitt;h{fiekbnilé de'Crépy. Neak saVoüi cer - tains faits autrement graves qiii se sant pas­sés dans ceftsuabs eommunes des cantons de Oré[ÿbt de fietZ. Ness Aeà parierons pas., Noqa n’ignorons nullement certains actes .côinmîs, aù 'képiîs fie tonte sincérité, par les unis da déqmté asorfi». .

Hais ce qui est véritablement stupéfiant, lepr^^ d’avàr fait

distribuer des bnlletins de vote sur papier mHice àvect foalage >;exeessif,

Le ionrnàldelH; Ç ^ ^ e t s’w nsef Soit. Cela montre qa’il prend'gaiement s.on parti fiéîàfàclée qo^reÿàt sou patron ,*]et,jau snrplas, c’est son'Woit. A se distrait'éonkie' iirentenl.

.4(: BsadOn lexCheveia peut raconter à ce paOvre-comité tadical tout ce qa’H voudra ; les ba'letins de voté au nom-dé M. Audigier sont'piaffàîténéht iégauxt, n’éif déplaise à sqtf ,anü'Ciixrpiaei. " ' -

ï f est vraf qàe SI M. Audigier était en mi- ûofitéj’on ne's’inqniéférait guère dp;;ià cou- lèaçfie ses ballétins et déli pfessionfié la

.mqèhk.é.A impiximer'l ■ :' La" pféssibn fie ;SL Cbopinet.àt. tout à fait

différente • ;V. G. i

■' AtAçpuài de sêis nonftreûses.coi :renc«,;M.;(korge»;Aûdigief;a ^ m L ;tes fôia. so^clté déEurpi cakn^tre jÙHt. aVis suTfc^oM qnesttoià-ikpbfias^ws. : mesures à prendre pour limiter le nombre des ouvriers étrangers employés en Franee ; protection des .petits' pro- priétipas contre les dégâts''dé gibier ; question des sucres.

'Voici le résumé des déclaratiens qu’a ^exvou lu nous faire M.- Georges Audi­gier sur ces questions, qu’il n’avait-pu traiter j.u^u’ici que dans des conversa­tions particulières.

L Les. Ou^eiE. étrangers.. ;|Lt Anfi^er a rép»pd«Ajmmates rmnse»à ceux de net ceneitôysns qui l’ent inter­rogé sur ce point qu’il se préeesupait lui aussi, depuis longtemps, du nombre tou-, jours croissant des ouvriers étrangers sur le

;-sèl national, et de la concurrence que ceux-ci .-viennent faire à la main-d’œuvre

: frauçwae.-’;- 'Hâ; Audjfeiér a « ip e k ouù le premier

texte qui vise les em'ployes ou ouvriers étrangers est la loi du 8 août 1893 t rela­tive au séjour des étrangers en Francs et à

;.la,protection fia travail national >, mais qAElé pentientt; koftoat des mesures de police en complétant l’article 27SS du Code pénal, les arficles 7, 8 et.A.de la loi-fin fi,décembre 4819 et le d^mét fin 2 oàëbre

M. Ghopiüet dit iûe lé budget -dé la France est en èxcédehit tîl .

Consu 1et vous conxtiâter^ volÉilr^^M. Ghoprnet

' Ü '

.Hiàej

•frîot ■(:

tlÈlfafi';, fcûii sî iOOlluûV

Le nombre des ouvriers étrangers, d’aprés -le recensement de 1896, dépasse un mil­lion.

H. Aùdkier tfouve la lallation actuelle absolument insuffisante et regrette que la Chambre n’ait pas voté un des projets de loi dépesés au cours de la septième législature.

Ifêsle e jffitlet t«98;’ .-A lbéft Chlché, Charles Bernard, Argeiiés, Théron et Clu- setet,: avaient attiré l’attention dé leurs : collègues sur la concurrence désastreuse faite aux ouvriers français dans le sud-ouest de la France par les ouvriers espagnols, dans le sud-est par les ouvriers italiens, et dans le nord par les ouvriers belges, au nombre de plus de 395.009 à eux seuls.> Conune les étrangers offrent généralement leurs bras à meilléar marché, iisprovoquent une diminution du taux des salaires et aug­mentent le chômage. Dé plus, n’ayant pas à supporter le fardeau du service militaire, ils. jouissent dans notre pays d’une situation privilégiée.:‘Le:26;mai 1901, H... Charles Bernard dé- posa nnèiniopibiition - - c'était la septième en

'Unsen»*-'* relative au séjour età l’emploi des étrangers », analogue à une proposition de

Hpltx X il â»mandade frapper, tout.patron employant des'ouvriérs élfaiigefs d'une taxe de dix francs par mois et par ouvrier au profit de te caisse de retraite des ouvriers français.

Le 27 juin 1901 seulement, fat distribné le rapport fait'par M. Haussm'ann an nom de teccmimission du travail chargée'd’exa­miner la proposition de loi de M. Albert Chiché et les antres propositions do plu­sieurs députés en ce sens.. U.; Auffigier s'est déclaré partisan con- vaîuéu d’une taxè.'assez élevée pour être efficace,' etil va jUs'qU’a demander l'interdic­tion par. l’Btat,.les départements et les com­munes d’ ployer fies ouvriers étrangers en.Tç».. tes" pabllos. Il nepètttxèribUtpàs xdmetîré qu’il y 'aiit dans |es ‘“^î2kPkffls nationaleis d'antres ouvriers que fies olivners ffançàis. ; '—H-est étonnant-sque ions nos forts des Al pes, dont aucun Français ne peut approcher, aient étéi en grande partiej construits par

; dès; ouvriers ûalimis, parmi lesquels coiu- bksi d’oScièra.fiégUisésl 4; H. est .pins qun temps.de protéger à ce point de vue le travail national, l’ouvrier français.

H Les 4 ^ t s du gibier.Si délicate que ' koît, tlahs' fie 'pàÿs, la

question dé te ebaske. Ht Audigier ii’a pas crqint.de l’aborder, et il le peut avec fi’au- tept plus de-firojt, .qu’administrateur, il a toujours réfusê' de chasser, pOUr 'iniéux gar* dèrâon infiëpendàneè vis-à-vis dés Chas­seurs et des cuiiiniteurs et tenter fie conci-Uer leurs intérêts opposée- , ' .. 11 est bien èvidèiit,'pour tout le monde'de

bonne tél, que lés intérêts les plus dignes de te soilicitudefiu législateur sont ceaxtde te culture avant ceux de te chasse et qu’il ne vient à l’esprit de personne de sacrifier là petite propriété à la grande, \e ifavailau plaisir.. H. Andigier a insisté beaucoup sur ce point, eh déplorant qae te passion de te chasse fasse naiire tant et tant de procès fâcheux.

En général, le propriétaire riverain, vic­time des dégâts du gibier, se plaint de dette'; choses; 1° du préjudice causé; 2° de l’in­suffisance légisteiive de 1a répression.

H. Audigier dit que la jurisprudence n’a pas raison d’admettre que' la présence du gibier dans un bois, par exemple, constitue une espèce de servitude pour les terres avoir sinantes., une quasi servitude t inhérente à la situation fies lieux > ou « imposée nature [ié- ment aux voisins ». La Cour de Cassation ne menttonne pas cette jurisprudence et fié peut pas la sanctionner, à son avis.

La liberté..de. te propriété individuelle à été définitivement et nettement affirmée par la loi des 28 septembre et 6 -octobre 1791, titre I, art. i” ':' « Le territoire de la Franee, dans tonte

c son étendaej. est libre comme-téutes per- c sonnes, qui-Lhabitent ; ainsi; toute pro-< priéié . territoriaiê ne peut être sujette t envers les pâriiculiers, qu’aux redevances< et aux chargea dànt là convention n’est t pas défendue-par la loi; [et, envers la aa- c ùq& quteax.contributions ..publiques éta- € bliés par le Corps législatif et aux sacrifices « que peut œrigèr te'bku général, sous la c condition’â’uite'jiteté et pféâteble indèm-

UBtfesajf t'- iLé Codé civil, a’iii^iritàt des idées de la

Révolution, dispose aussi qu’une-servitude , ne peut être créée qne par une' convention, et .par, une eonv^tion .comprise, dans le nfiw èdè’çélteà qu’autofise la loi. Le Gode règuinehte iimilàfivemént les servitudes dérivant de la. situation naturelle dès lieux.

Le prifoipo^fiok réparation dé tout ctem- mpge causé à autrui est formellement af­firmé par les srticiré 1382 et 1383 du Code civifi o'ekt'lni qU’il faut appUqaer en la matière.. H. Audigier se pronouce contra l ’exagér ration dès délais et fiés frais duns toutes les èffàfrès'Utigteâklss au sujet: dis fi^àts Cafi-

iSêsspar te gibier, ët il eà d’uris'dei dë- ..jB^der.;.UsTlégisiatèir runo; d j ^ i t k h abrégeant les délais depro'céâûrë et, simifijif fiantles.uombreuses et limiralM fôriimiHés ''dè5’«pM:ti»e."- Cl0 1 xioncStrac^cemjdâtKtilsi UgàteGdn ikionte plète et parfois Injiàte sur te ctntiw,

, Auiligisr voudrait voir votar défiait

venant par la Sénat l’ iCie Ifc fiate loi du 13 décamkr^489fr^^^ "1;

Issprepriétàirhc.t loeatair» de chattes Tuervitt tant sididairtment rtsadnsabltt, «ts-d où fie» to§tht, «fis fisÿfif dmipi par le gibier, tauf la prewtt, en ce qui imeht le sanglier, qû iln’ttt qut dépassmgt.'.. lyibwté te ptuakâtere doitêtre laissée,à cnaiiaa. cU^iHùMutâxpiei-' tatien de senhériiage : un telle cultive, un tel l’aménage peur 1a chasse ; suais, si l’un des deux.cause des demmages à ton voisin, eminétë sur sa Uberté, il doit l’inéeraniser.

C'est d'ailleurs par application de ce prin­cipe que l’on déclare les propriétaires d'u- siaes responsables des demmages causés aux récoltes par les vapeurs de ces usines, et que tous les jeurs les cempagnies de chemins de fer indemnisent Iw riverains de leurs lignes de ce qu’ils peuvent avoir A souffrir par le fait de la fumée et du feà des lecemotlvas.

Questionné sur les dégâts q>éciaex causés par les corbeaux, H. Audigier dit qu’il y au­rait lieu de rendre obti^teirapardetparrêtés préfectoraux ou municipaux, te destruction des nids, de même que dans certaines ré­gions on oblige à détruire le gui, les char­dons et les hannelons.

L'abondance des matières nous oblige à renvoyer au prochain numéro l'étude de la question des sueres. -0 --

U n D o c m e n t .Un brave travailleur, homme honorable

à tous les points de vue, nous adresse la lettre Suivante :

. Honsieur le Directeur,Je viens vous demander de bien vouloir

m accorder une place dans les colonnes de votre journal, peur y insérer 1a lettre sui­vante ;

Je viens faire quelques réflaxiens justes • ra.sujet de certains passages que contient 1a brochure que M. Chopinet envoie aux élec­teurs.

Je ne viens parler ici que de ce qui s’est passé pour moi et lés miens.

J’ai eTT.à demander un certificat de bonne conduite et un renseignement à M. le D'Chopinet, notre maire et dép-ité : c’était chose facile à faire. Eh bien ! il me l’a refusé en disant qu'il ne me connaissait pas suffi­samment. Cependant j’habitais crépy depuis très longtemps, ma femme y est née, il nous a mariés et était notre médecin jusqu’au jour où il a cessé d’exercer. Donc je nutais pas un inconnu pour lui, et je ne lui devais rien ; il a toujours été payé régulièrement. Mais voilà, je suis cathouque français; si jâ^àis été juif, franc-maçon étrituger ou Dreyfusard, M. Chopinet ne m’aurait pas refusé le minime service que je lui de* - mandais, n'importe à quel prix; j’éutis pro­tégé ou tiré d'embarras.

Et voilà le candidat qui fait appel à ses électeurs, en leur disant qu'il n'a jamais marehandé ni son temps, ni sa peine, ni sa santé, ni sa bourse. Son bon cœur est resté constamment grand ouvert à tout et à tou» (page 14 de sa brochure).

S il est charitable, il ne s’adresse qu’aux personnes où il sait qu’il peut obtenir en échange leurs voix, leurs suffrages ; mais les veuves qui n'ont que des enfants mineurs qui rapportent peu en salaire», il les fait rayer du bureau de bienfaisance. Ceci est exact. Il appelle cela de l'humanité ; il a de i audace. . .

S’il sacrifie sa bourse,, ce n’« t qu’à ceux qui font fies menaces ou empêchent tes per- sonues qui renient lui poser certaines ques­tions à ses conférences. Je le», ai vus à Crépy ; ils ont attendu U. Chopinet à te sortie et iui ont demandé en ces termes < Vous allez sûrement nous donner de l’argent pour ce que nous avons fait pour vous ». Et le candidat a exhibé. C'est donc là que son bon cœur et sa bourse restent constamment ou­verts.

AU moinent fie 1a grève de Crépy, l’année fierniére, il n’a guère délié sa bourse pour venir en aide aux,péres de famille.

Dans une réunion fin Conseil municipal oh propose la suppression des prestations. H. Chopinet dit que l’on y reviendra plus tard; 1a Ville ne peut supporter ce dôgrève- ment. Cepenfiantùin conseiller fàit ressortir que l’adjudieatioa fies places du m m ^éa triplé depuis dmi» ans;-donc: etete plus- vaine compenserait. Il n’en fut rièn; les ou- .vriers paieront encore des prestations, tout en promettent tonjparsirdant sa. brochure (page 16). Là taxe, fies-preriations, qui nous fait songer à la corvée d’autrelbis, delt dis­paraître. Je m'èn rapporté aux électeurs : qu’ils en jugent avec l'êchantiUôp ei-dëssus.

Voilâ tes services rënduâpar H. Chiminet quand il nous dit ({tege rs) qu’U teitipurre de justice, fie bonté pour dès individu ou desmollectivités.

M que

Je n’ai pas de peinë'â croire que m , au- -digier pourrait faire beaucoup mietu ét sans mal.

Recevez, Honsieurle Directeur, mes sin* cères salutations. :

tn Ouvrier de Cripy.

' M. Chopinet, qiiî affectait autrefois uq dédain comique de ce qu’il faisait appeler par AL Casteliant les < voix réaction-* nàires », est moins dégoûté aujourd’hui.

Non seuléméht il cherche parLons les moyens à ramener à lui les voix modé-* rées dé M. Faisant, mais encore il dé­légué à droite et à gauche fies agents éclairés à la tête desquels se distingué son ami Casteliant, pour lûl recntrêr des suffrages même.non redkauà.' !,

C’est ainsi qu’unè démùohen 'éte &ita auprès d’un grand industriel que M( Chni pinêt veut conquérir à sa cause. S,Ile s reçu, oh s’e'n doute, l’accnell qukÎQè rite.;,.;

Màis c’est égal, essayer dèjkire aO* croire que .les voix dé AI. Paisak, qui s’ek présenté comme progressiste^ dont les.idèes sur la libérte d’enseignjsmeBt sont diamétralement opj^séês' Acaijes de M. Chopinet, peuvent être acquises - à celul-pjL, c’ est en vérité prehdre les éle»* teurs peur des.naïtei ,- Mus M. .Chopinet esttombé si b|S qu’il quémande hamblemènt les voix dik 4érés,^pour iaii'e échec A...,^, .la rg es Audigier,Âà vimîme. Il neipi^t aq. kire À l’id^! qu’ti réra; honteukmm^battu par Vâncien wns-préfst.qn’jl q ^ i é v o -

^qneç par vengeance-Quoi Rn’j l fa*sâ.'et.!ea,4épitJ%Àt

— et n b t i e . ^ de te République en mwnëtiHàj^!

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1^3 septesBà>peso«s à

1.1 ^ 1 ^ e n t i a ^ àoeloBTensemeit iTTipro^^^TuS- n ar ce

r é p u b l ic a in e ^ ^ '^engeance d u m inistère de d ^ a is e

c i S i S Ï L° ^ c e Q e de M. C bo iân^ en cette

Travailleurs ISrovenez-voas que c ’e s t e n s e d ^ o n a n t e o a r l ’u n

® p a r traîtrise, de M. Chopinet, le prem ier des c o u p s q m devaiâit l ’a i > a t t i r e — et t o u s ne t o S la sse rez pas prendre aux traquenards que Fcm t o u s tend en es moment.

D m e part, yous voyez C iopinet, Fbomme qui vous l> e z ra e depuis ® ^ «m TOUS a J & m e . qui a m enti à t o u t e s ^

D autre p ^ vous voyez G t e o x ^ e s A u d i g l e r . qui vous a affection non par des paroles, m ais p a r d e s a c t e s .

\ 0 ^ êtes des bom m es de cœur, vous vengerez donc votre ami

C j t e o x - Q e & A . T J 3 D I G X E Æ I ,e n 'v ^ o ta n x t o x i s ^ o ix r T th .

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*•=» Tm A^fafarite r e t e w i

l a f e 1 .9 0 « .* **’MéMfirtmiisTltiiiiime i t e t ^

” accMteî 4 k s « . » * a â«atle daTAfcoaî

*■! ■fiiiiiniiiifer, te»Biédaü- »* ès » m â , m i aéâ^iffi d’s M tte l

î s r â t e t e a j *a i I t e , B , XM L ak j« te .« ’ y a w ia ^ a a ite de l’état d’avas»-

et * •& & les AdaaîiiB- ï® péà to à rantéca-

graÿBi tetted aæ ». *^ n ^ ) rs*F«toe t e à

* t e g t - j ,, . _

® » y»asn pe iiis - - •* - « j B - c a u

^ ?»î»?te g® sa _'^ « S E '-* « * 5 B 6 x .^ as» a ,ad rr^ “

Cù?Eîrafe ia îâ tei“ »>w»Baii ■

= —;—:— T üœrü-ijcuarfitt. t »™. ’ IT Fbafci-iiîee.JL ù a jo te tedatenr àb SyaâicaL auH ' fBUsstt hcrmst â m e ' x n t ^ ^

a t e & t e , s’étast, ' ^ P«>> des A u a i^ ^ **•âs te s M iiri3^»s,4énûs4,™ .' ciiBse de cet iscaifie est aitrâmi. ^

d^m asB -. C# tüFB a j « « B s o a fes i * . SasTsga, iæpectear i^ T> AT^rZ^T7 JZ --- «’aregg,coüalmra-

« a q t e fc SyaBat fende de %aânes ^

’ <F». 3Tre antres mesures< l é ^ àa « a m s a rm tes

(MMMséB aaprfe de ïM . fes , •* â^ltatioB daas la rœ «v i

a ordre t e é c a l « a , i n té r a s a in ^ S I I.« « q y i S . !

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Esatavre

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m m iimMonsieur le Rédacteur,

Avec très ju ste raison,, lôS vnere se sont ém us de la situation que leur fait la loi du 30 m ars 1900,

in terdisant depuis le 1" avril ne travailler plus de dix heures et demie par jour.

Mais ce que beaucoup ignorent r î qu’il faut leur dire, c'est qu’aux

de cette même loi (art. 3, - nlinéai, à partir d u .l" avril 1904 iA ne pourront plus travailler que lO J ie s F e s , ce qui les acculera à -a misere, eux et leurs familles.

TOILA € X ^CFA T V T É ■ - C H O rO T E T .

Un ouvrier qui ne votera plus pour lui et beaucoup (î’autres.

dam la boue ;l « s * e r s

S e ^ t e t e F r e w e .11 feirt nom dêbanmmr & eei so lti-

BgM CinLrinTtteji 0^tt0S0■ fff S lB lB ll tJ» « l a il*

T®**® ^ i r a v e H ; t e Itâi dont lappJicatHm n« viBe à rieai mnhwr s ^ , à t e t e t e r r m n r le r .^ m p a g a e m , jiong la drtâtyaSim ernoi lympathiai, de prodamartetem eat noi {aifenem parsaiinrite, «aoM^m BSom uns a râ te . . . tonte® ® ^^^8th te vaut an citoynil A I3 M -

CAitA5ABBg, COHPASSWSj ^e moment est teriicf

-, “ repiongsr dsis F ombre,.s£ .enèbree, dans Fonbii, dang ig nânTT» ts* pouweiaas sans vergogne gni eondai- s=a: m Franee à la décbéanee. à la mine.

_ îacî nom débarraeaer de ce* politi- aem enoate qni n’ont pae craint de -fc-.'e nne campagne néfaite, odmme, i'ominabia, a i fkvenr du • r e y f « - s t s s e . e’esî-a-dire de la lâcheté, de- de ià trahison., de la félotâe. _ mat nona dabarrasear de ces polih-

- sans patriotisme, cmi ont vilipendé- â--aee, çni ont vonbi' favüir, la traîner

C®™®™te, non* voteram ponr A l> O IK U sm parce qne c’est an enritaaceet libéral.

Koni voterons pow a C H E Z K B parce qu’il e« Feloqnent itûÆfiwi| i d n ^ t e onvriers.

Nom voterons pour A im C ilE M pKce qne c’est an r^nblicam sintee et devoné.

Campngnons, pas d’abstanfians... Anx ümes j;î

Signé : Un groupe de vrais Travaüleitrs.

Qy ®» W rite t e Iris v U iM te i PBrimnH’APteatanxras desaeate-Crépy, A Oastanunt n’avaiî trm aé

d ^ t e appm, dam laprœse, qm cetni ane.

kflt sffii M. TiÜxfràâA.M- ( æ Haiit av a t ^ t e s cm d w ü Fm

n o m u e r en ta r te s laacitaBla. « “ pabbé t*«i»ii«h—♦flaiK FZcbs TépthUemt t _ f y--5- — C « B âü e «ab éo*. i«—m.

Se^ ) ite jwt f derter, fe iiiiiiiiai niiiiiu aelaPéte“ deCrtBy. ^

c Tb ciwtaté a fw antam de i»iam- om-9“ y a t e r t e ^ r t t e Sen o ie fM cejonna l, avait ramarté asm

mw grade atactitade n m à tettïïe iro enast, « gne te réitetes anB y a ite te »att parfaiieawnt égnàafcte. ott® n »»u

à lagm te A VillasTàds n e « ï ^ J u d u ^ m a te a , « ja t t e s i F a n ^ ^ QBTÛd pBbÜÇMIDiOt. >

Or, a t e m l e t e *’« t lasdaÊti fisklâ.IL THiarrèée a été pvM. InM

r ftWidfflt âe k &ça ia pte -Uanitta.Je ne r e t e » «b- m i n r i t e l iia'ft iso r« .

î ^ f l t e a t g e a r d t e d é f i n i t ^ i S ^ ffk ài^kosaMTat à ia o tak c tiH iadvCTMia. to ii X*

de SHUfler de caOe a te te e omt e s cnons d^etefiéa. « . s ^ t e fa itei k te léeSTte^ « S 5ï 52:fr i pe«-é>ra g t e f teS té aanr S t L A CasteUaet t e w a a i f e d a d t e t e d w « t t t e â t e m t e a e e e r f a s J K ^ mena de grafitade qu'a « g n a r i t A A Tii-B vrte avec nne a f t e n c a decatentecKité

S I N L I SW n n i i a .

^ fa B tec . t e e a n s de fi- ■ ^ " d e t e r i *a Triateme de S a te

« M jdm te a te t 5 * * <y «tedaiL te ted le te a s t e - Mit e . Japitee s’ p erfea fete aaterV é o M B a m e

• t e â dm aa ecÉ teti

la te n te r é s ite k :

ÏÏSTfe^ tem t e « n te w

*g ! y ™ ^ ,« n te r de ta tride

ta e a été anvi par te s ite de

♦ 9 0 4 ' B«i a s ng_w03, a Qei'HWHit, tà Faaaée sHivrotB à

Conaa ^AmsaiEiB. - l>sù& ; x z. S* aeoB : i. J a i^ 2, c w ^

^maU : 1. B iy . 2. Banal, . ! Tnin«n

- ^ 2-*nteO « BHB 79teAmnlgLtnrinni. — A ti-M*, « y!.k. ■*ïCH-«naissii. — H c if ie ,! I t t e .

l iB M iB .— i - a t e : L « te - ,**î“ -1- fes VaiMrBt. ywi* .• ! teéiy^ MBfit; ! ftagnltt-I. G peaa m » » (9 kiiniuàm») _

t e h i : 1. Bre^, 2. finngein:, ! nnnt»n

X e F e n « ’M d ttee ._ U fen iFartiâee qni par snüe de nmn- ^ teHçs a e^ ^ommé, sera riré le >eiuH S taai, à neu f heteres du eoir.

uujiHuje oejuidans sa S?" année.

S o t i a i-e ssaas a a i ta œ i l te s a dteL n»SŒceres cDudoléaeces

I ®=f’',M®'®- enrêgrisedeSflriMTt3!^ i je a»?s a « éI c ^ é mqoœ-dluB

herniesïamn - -u __« _

w w— PaoB te'gros ^

mrrmte deteacaop de mande lar 1 atdre

4 j® 3* f . § j t e prwirin*.

ite jm te aSecte i ce serste serte M ilit e le 3 jna. « tebanaas le ies-

sant iasite i se mualf dm efi ^ t e w d t e j s w détetaim « ûb ta

ponr ta proridn jamséa de

CONFÉRENCESp t x b l l q u o s

DE I . 6E0RSES 19016^1h.üLP"?*“ Aedigtar fera jenfi, i bte nenPB de w r, nne cnnference priiüm dans ta salle de ta mairie à Bad».

Vendredi, i teit tem » dn srir, A S. A n ^ ^ t e nn* nonvrife am teace dans ta salie de A Beaniard & lla iitelîl la

CM. -sr

k u-

2-0*1 :a i .s i fcSi; dm

à eo*

A œ t a IIIL^heure est solenoelle î

S’abstenir, c’est se rendre complice dncollecthisme et du drey-

Tous DOS adversaires iront aux urnes >ans exception.

>'ous sommes le nombre, car noos ^pmmes le bon sens et le patriotisme. Si nous faisons tous notre devoir, nous l’em- Dorterons.

-Æ p Æ l ^ , s r 'TOUS AÜX UKVES !

et votons tous pour

Go r g e s ,Candidat répiAhemM profrrssitte et Ubénl,

S te a t e t e o t e è t e t i t e A T2ta- vrôife te attend» A fttaaat aam ae taviw— Jeiais ea sa «nwpngy p « i—i.i. ii.lA André PaisBBt, w tmemi, « A Cmtaé- te^txa^B gmad il y te t paifer Smgrm

B o t t e s de dM tate «U tem ritM r iy *» ^ Aadré Primri B’antaâ pas a n ds-

adjBSM’ teiz tdMôs mifeiie^Mt h w n tie 4 A U te n te , « t e a S r i r ite s a r tesn n e tette a t e S M s » 'sa a M J ia r -" — S- i ' ï ’î^ A S S X î’i.'rB«dfsaae d’ailtams ^ ’i ngrA infe t e t e en-, m a a tte d t e t e ^ f *’« »a nsage de rroair a r e te te a t te M wme raaaaUA

y^ast. StBIKBÎ.

m tuonaa naa aM «fe m«•■ŒsriS«i *■'

t t a a t e W t e a a i t e“ f r i dteteca t e à 4 HaA Sri “ t e t e tett SerisMs’omaan

de fttep m r y p f f S

~ l»E r Wïartam mt AiM—mi t-.S i * S S Ü L Î?® »-cdateta eterie t j pnri®

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Srape tneendie.J [ f ± a v ^ yen quatre h œ ei de Fa-

te la a tee s’est déctaté dans te «PtewaiH 4

était arampéjte-nn gard*.

_ Ite tee fetjiaiH a g vafltanta pnrate

HXBSMTtâi

Bm«t _rt Seaia.

^ é te aBüâratea étant à tait tenss.

« sont coBtete par des asŒraaœ.

— des tinniiug g* u_^ â t e t 4 g e , p t o d e v t e ? g ^

aSÆ’ÆÆ’ê?!?_ «?«ittdaeriaiSfaS2 S-

: k hsiBB TTtrorHrfri g « ata,te»aeata.Tssfldeafevîsïiür

P f f w s y s t^ fiq^area do«2 « t ^ S H s’engage â ^ te a fe te S Ste benn® g te gn’ai ite i»

ÇMtariiatiga gâtâtes etam i»».j..te e l d’Aagteane, k l d .

q n & . ^ di C eotetn. ta i» i ,d « .

ta Sand-Cef. ta 4» deS tea-d ’Qr, ta 44 de

...!ggl^ t a « r i t e e tt^ .I dnsoanmt 44S,

♦« *,^ ü j |? '* ‘ ri--^dB rim trw iiiiiii mu j ■ s^S é j^ ^aL * * ^ de file Sate-Seai

“ firâiBitt de prtfteacata^B3ét^e CB. T nmm ^ -—,^5mflPtUip ^ VBEMIBB a s te ftm rf*Bi ilfF^^i-Aate «SSîk S . ^^ t e t e M a e ^ *a Æ teS S lS ï^ ï**^ teta« aari temsSte'sa*, a— s t e t e ria te s pm t e

•** ■■■•» »<;*■««■ Ueae-dB-

^^-en-Vakâa.- BBftB eoutepcBiat •

B e^ te feédiïB*

t CMte d n s Urine ; jp» a » - I «e tee d te ll~ ,ï te te , «6.. a ti «6 «Hte*

kCmfePrçFojiitsp^

Tj», a j <te PaamiteS AemrittTTT Y AnsnzuâôiflcLa.Mat^iQB4jiL dœ’cfagaa,

Ttoe lesT _ -T\ - • V mnnrTTl.lÆ Dêgai fe Eani daœ las

ta* alBtob erec sakenees à H.

g^pyagp genfal. tO,

r ^ n m it f y a e w r t e r t e i ^ t e â » l e i Â

ponri

I E te rie i

A b lte it iii di CMBaiate « deFîm-tae tedpnm es te cas. conrs dadiBHswa 4 l’E seta^ ^ w iT *^

f™ w rita d’A m t t e e s n S S S ^ t ^ i a ^ tax beoFStt driBF»to<^sppÈs indignés, scpoir ;

«Æ.ii.S'rs "ï'fti’sS F

Pffl-to meme Hi«té,ta e t e t e e a i M à35 friéseiateaeetaptaces d’élève «te—

Qaqne aaate. n cainte m boarses eatramas par TXtat sa «tléuàd® à kÇBiuteas d’entrée, dus ta — —a»- de ta pransteaL le s j — -dmviBi êite lranateBB'4-ta viiii. i avant ie 4» * “ ra feetee

t o ^ M e i r t e r a e d e t e w a t e d ’B MBÊ ■■■■AOBB

1 ™ v * P H te e 'f n *«32 teîâtaj dHriqui s j ^ p d u a m , eei eenstatf. 4 le a r

: - 'Srien a’étnt— : — eateBOe, a fca»u.iii'ui»s j«

, porte, « f a a ter assit tteriié te ' Jaw i l ^ n x.

A adfcidjMtes aèterii, A fe Cteam- snre de psfem était tafenae qaeÉ FrieniiL W ^ teiB te ta4j^ agaiete6aa .te»te 1 Agpwi te ram, v a ted ecsE n rste is»

««■ Prige f te temartrietars. £s s’étâat atrntetai A ns k Afrite te bm tm ctes,. *1 d k te e ite » d*Bi:

r t

- ^ c s j s s s - . ' î i a ï ï5 * ri a u teteBé te ite State enram,

y«*rite t e A * ^ B l é la ia te m r tk tm taê™ *» jgg

tee : Dàetmr, A iv-TT^ * « W e I

le Bapîlai lie te umimiig ri»m .

tate-Ganain « ^

«wSteèSuta SiSS? ^ :CStekerfts. Cateme

A Lbermute, dam A TnaenerLa to eiceffleet; « » iteTMle a r » ^ ï

ta rflk te T m ^ r t i A» iTai .Wffl j^mûmX 3iieiaae dteriafe.* .p d BBWHM ace véritalJ® '

r ^ l E S â î i S ü S sÜ “ **■ ^ ^ tadta^SS^

« ■ P®** ta te teFriatalte préStoti te

* r ia tas «rteeas, et a FEqe^BB daBJCDCSSZa.

fte teU te-itan C te l^ ! dtau 0*d a dtau Sarite ateâi

■pw 5 te. BUi

a ^ sa s mmt team «J m o M Bg , BM TO» IBBW »IBi^HIHÉ

te t a s S a ï » rP M t a t e â t ^ ta t e t e U i-S S ta

a A teum• “ F ta IP Fniiiita te ta te ïW te iA

ieS iteA

^ émmssl ' . - igr TOES

&**

— JP“ a u ^ e r t — ta n g r i . j T i g S ta te r t te

fîâu 4 kn* ssnâiBj c u m b î

Fhsue eanrita, pufea. « «tei te C e u r i i i . ^ *

rira^gtee a ee rés«taj. taaêjm ^^ ^i . -*•“ freeees fa’æ IM

AaeetatwB e ! ea I t a i t e e " î j g f ^ d«iwB*a éfee

A x n à a 1**.M l » t e i r S À » n - i n m .

w atefcgi i l l i

V E T O s t m ^ L ic r r A T iO N

D ' U N E M A I S O NMpdin ft DéipanteRMs,

Sise i SijiiT-nRliDI. . snr la rente t e Senlis i ChantUly;

D ' C N B € ü R l t I £ R BST fiB

l l P t t c ( i t e I i m * r r ésises teiréirs te

SilNT-nBHIN, ÀTILLT et KUUT (Oise),

^ 1 8 I io to .

1 OieBtill;, ^eem^eawt -an it iantee teq B » ftÉteeent

d’habitatim, à^ârelte nae>te(M8> eenr devant, 1 «reite et i gantee pe­tits en appeate, pnits dans Ui iMpr.

Premier jardin en terrasse auquel én accède par un escalier en ^erre.

DensièBie jardbe à la suite.Kèee ïa pré à la suite, faisant ha

d ed an s le bout, d’une contenance de treixé ares cinquante et t e cen- tiarea et demi, lieu dit la Prairie.

L’ensemble tenant par davant i la rente de >8enlis i Cnantill;', dans le fend à H. lurqnet et an Domaine te

L’adtadicatien aura lieu le M a r sU t r o i s 8 a i n 1 9 0 8 ,

b tu n d tm id i ,I n Pàuffiense des criées- du Tribunal

civil de première instance de Senlis, : stent an Palais de Justice de ladite

ville, rue de la République.

-3 » » q g p tté d te n dte'jugeineBt rendâ centndieioirenient par le Tribunal oivilA S d lis, le vipgtdin Avril mil h m u M .ÿàtn-vingt-dix-nenf, en regjstré et signiSé; .

&requête te ■ ' ; ir «adsme lnna-Anastasie Pinçon,

propriétaire, demeurant i Saint-PirT . min, vëuve de .H. Louis-^ierre Ga-

eboia (dit Saly), : agissant tant comme bériUère de H. AHred-Xhéotere Pin­çon, que comme bérit'èré sens béné- Bsé‘ ulnventaire d t sieur Cbarles- stenard Pinçon, décédé, saisi de ses

i .droits dans la suceession dndit sieur : 'A lted -V1-Ibéodere Pinçon;

Ayant pour avené eensUtuéSoiine-ieûve, demeurant è Senlis, rué de la République, n* 17;. présence, on elle ddment appe-

Vadame Adolpbina-Leulse-Zoé Ga- teon (dit Baly) prepriétaire, demeu­rant à Saint-Maurice (Seine), rue des Rpinéttes, numéro 20, veuve de M. Joseph-Félix. Picçen,

« Ladite dame prise an bom < et comme administratrice a provisoire des biens de Ha- s dame Marie Félicité Pinçm,

Pour extrait :: A, SAINI&BBSFl-

Ant. e;

CbantUly, i droite è M. lurquet an lieu de M. Blanqnet et an Bamaïae, ' ganehe ÙH. Bidault et Turquet et

an Bamaiae, i

a place de H. Blanqnet.Mise k prix : 5.000 fr.

Ttrroir i» Rvüÿ.. Neuvième Lot.

Quatre hectares seixante^eize ares cinquante-sept centiares de terre, y compris la moitié de la rente de Crépy dtes sen étendne, lengm t cette pièee et centenant environ vingt ares, tenant d’un cûté à l’aeqnéreur de M. Payen, d’autre côté le ebemm

inde ccmmunisatien numéro (SiantUly è Villeirs-Cotterêtsouroute de Senlis k Cïépy. qai sépùe nne pièce de seize ares dix-neuf cen­tiares de terre (defrière la Ferme de Bretagne), lieu dit la Sente du T iw t , d'un bout orient H. Dt^nis, do m - f tarmé, et par hasbe interne du atepe aspect aux héritiers Buchet, de ten- lis, Reland, de Dncy, et hértoors Bannénse, de Rnllÿ, et d’autre bout venve et héritiers Frément (Engene), de Seuiis, et par hache interne et ceùdeian représentant Bêchant,'Ba- vaux (Théodore et Isidore Frément.-

(Le chemin de Rully i Fresnoy tra­verse eeiM pièee et est compris dans la oentcnance).

Seetion E, nnméros 118 partie et 118 partie du cadastre, lieu dit le Haut de la Nouatter

m e SaiBt-Sbàire,'numéro 10;H sera procédé-, le Jfardi trot*

Juin m ü n tu f etnt deùxi d midi, enl’audiencé des criées du Tribunal, — - , . . ,^ de Senlis, âu Palais de Justice, è l gc *• n iU ppé a A R T ll , i SfaUrtutr pour les renseipnements ;l’aijndioatien des immeubles dont la ' -— • ............. ............— ----- , , o ~ i : .désignation Suit et sur les mises è prix cl-epiès :

« e iv ild ete i)U s^ 7tu g(«en t|i« teste«u x ,: au prodt d j|te ,•€ Janvier mil n e n t^ t^ un, lDoiçuéii^, ,j t ;« I présente Inserticn Mt faite.

sieqF|_ Sises è HONTLËYÉQUE,

d S u ê r ' " sises te m if id e « in u i , «« o.u». leraonnance de ÏL.lé.^ésldâiif duditl BOMTLÉVÊCïnï * WBBEST,< Edouard Pinçon; » iTribunal de S A en dh» du vinitr.! j,ir,flinabatton aura Ueu te H Iard I

Ayant M* Georges Morand, peur I nuit Avril mil neuf cent denx,enre-| - s j n im 1 9 0 8 , avoué constitué, demeurant è Senlis, I gistrée). '' I heum tem id i.heure te midi, .

En l’audience des criées du Tribunal eivilde première instance de Sentis, an Palais de Justice, rue de la Ré­publique

B E a i « M A T 1 8 NIT

M I S E S A F m i XToppclp d’AvItty,

cemmunu do Salnt-^Ltenard.Premier Lot

Urne M e d s o n ,. sise ____ Avilly,commune de Saint-Léonard, en laWütiiimiiw «so —Grande Rue, entre cour et jardin, comprenant vestibule et trois pièces au res-de-chaessée, deux chaiteres

avoué k sentis, m e du Chttel, n* 35.

■ IV »R IÜ E

Assistance Judiciaire.

Décision du B u rea»te AMiis du « K wier-i»#*. ■

D’un jugement , rod n par.;défaut Ipar te Tribunal civil t e preteèro instance do Sentis; le denze Juin mil

I j^euf cent un, enregistré;] Entre Ml'IÇAenusinx, -r^—-

1’ A JI‘ SSKATT, avoué è; Senlis, pourerdvant la vente;

X A M* SAINTE-BEOVB, avoué,à | Senlis, présent è la vente;

3' A H* DELAÜNAT, notaire Senlis;

-1* Et à M- LSNOIR, huisrier èl Senlis.

B u te de M* VIÉNOT, notaire i è.fdpnont (Ois^-^

■ j i l

d e ^SeteiKMcoHUpès-} . - d’un seul tenent,

Avee Bons Mteirnonts,Dans la canton de GLIRHONT, .

d proxim iti de tfo ii garer.

IroptIso lacnltative de l'amontsment

S’adresser audit M‘ YDiNOT, notaire. 6

commune de Saiat-Firmin, w la ma du Ghentin dUprémou, -

A v è a d ir e p a r a â jp d ie a t io B ' En deux lô ü ,

l’Etude et p 0 te sainistRre - de M' BnndHmn, notaire à dhsst'

-iie Biinanehe t t 'Hai d dix heures du matin.

Etude de M'MICHEL, netaire à Bammartin(Seine-et-Mame).

Commune de Montgé,è 5 kiï. de la gare de Dammartin.

li^ME dTtlDB .

A Feteedrei ce l'AaadesMcIT van LOTS

7.938“ de TerfiainA BATlii

Divisés en Si L»te,. ces terrains sent situés communes de

CHANTILLy A MCVIEUX

- FBÉEBKTSUSItTPremièrement

u nBV 0MU9f lO UVIUiV .IM Hu.|- A A l O U E l R |

’> S S S ! i i - .^ H * E T I T E F Ë RHË leUt lab o i Itorgeabilox, sans profession, é^uaol- - «voo I■ ’ " 2 S hee< . é è T o r r » labouraH elE oupia , Rcmioo, Jerdin n boio,

Le tout centenant 37’;: Beüxiimettunt

untemanderesso';

. . . quo.lo Màtériol oliavuitx (un ahovai do

(. avant ot un llmonlop),A véndpo;

■ S’adresser è M. EuoSbi OSSELIN, cultivateur è errony (Oise). 734

grenier an-dessus. : Isës'pareùtaCenrdans laquelle un-petit b&ti-l ---' .

-ment à usage.de buanderie et feumill » M Loais-ÎUlés'BhAikiBS, su s-f le toufteW S'te tennes-^çondirians. a»eograniara»tesiH»,caTfttessens,l Ipetit ÿrdin clos t e tesra dans lequel 1“* , ’ - Défendeur;- '-uvennbjaeher. ■ . .1 nai>Bart;

Lavillte“‘d t e S ‘ tete « d’L X u t Qo»le ^ ^ f l e e étéprononcé d’an-

deîfï*elt“ » t i * l ^ r W a S ■lequel exista un pufts et au bout du-i - - - pcur - 1 teamOj. a Ate«%nnO enm I cis__

Mise k prix : 6.090 Ir.Dixième Lot.

Trents-denx ares trente-huit cen­tiares de terre, même terroir, der­rière la Bretagne, tenant d’un côté a Madame veuve MsrliB,,.d’autre côté, aux héritiers Dnpresseir, d’un bout nord aux héritiers Delaunay, et d’au­tre bout i M. Rosée.

Mise k prix : 300 fr.Onzième Lot.

Bix-sept ares quatre-vingt-dix-sept . d am a Marie Félicité Fmc^u centiares de terre, lieu dit au Fond . « ^ L i S m T l t i é t e l Boi de te V*“e, tenant d’p côté orient a . “ t e r K t e c é J i m t e Madame , veuve Eugène Riçhé,. par

BAimOte BU BgO0 « 0 eaw »irw««vqnelse trouve u » perte donnant snr lesshamps. , .œ r „ v

Pièce de terre derrièreleiardin. Cojardin et cette pièce de .terre,

contiennent cinq arns treize eentiares, tenant d’en côté Lonis LemairCrd’au- tre côté teilard, d’un bout la rue, d’autre beut le' ehenîin .qui- eendmt an bois.

Mise k prix : 11.375 fr. tôpi^ lp do Saint-Flpinin.

Deuxième Lot

r insertion:Signé : MABpiN.

Etntes do Creilnotaire

JL C é t t e r O e » * • * * •Pour iâiùo de santé.

l>ETltË FERMEd « l O M a s ta r e n e n v ir o m ,

XM Tibs SON érxT n i cul-iobe Aesc (aciliti de ^agrandir.

S’âafê0er"î 'Mr'‘’LÉCSILE9K, i Rully.

Corps d© F erm eavo«, -

-30’’ ènvipbn dé Toppo k PpuIpIo.i j..- “ ■

.S’adresser:, Peur visiter, sur les lieux, à M. Léon MBtiTON;,,.

.Et pour lés renseignements-, auI ^ RC* lZAtSÎ1!*ADamiaértin.

MK2HËL, notaire _ S97

Exploité è CREIL, rue de Montataire;

_ i .te-~—_____: selle Pinçon dans la pour- j snite de vente dont s’agit; *

Mademoiselle Pinçon prise tant comme héritière de M. Alfred-Théo- dore Pinçon, que comme héritière sous hénetice d’inventaire du sieur Charles-EdouardPinçcn, décédé, saisi de ses droits, dans la suecessiôa du- ditireûr'Alfrea-Théoâore Pinçon;

Ayant pour avoué censtitué M* Mo­rand, demeurant à Senlis, rue

AS ;

llî

____________ j rue Saint-Hilâfre^n’ iO;

p sera procédé, le Mardi trois jiiiù 'm il neuf cent deux, heure de .m idi, en l’andieice dés criées du

" Tribunal civil de Sénlis, an Palais de Justice, k l’adjudicatien des immeu- blés dont la désignation suit, et snr les mises à prix ci-après i

D É S i e N Â T I O N ..IT

S l l S S A P R I XTerroir de Savnt-Firmin,

Premier Lot.Trente-cinq aras neuf centiares de

terre, dont onzo ares vingt-cinq cen-- tiares en.verger et le snrplus en car- ,.rièrc, .ritnés sur. le terroir.de Saint-Fifinin, tien dit la Bois de Ludde, te­nant d’un côté Renouard et le chemin

—d«=rimetîère, d’un botit au païô de ËlBstitat,-et. d ’autre bout Pinçon (Charles).

Sèciian E, numéros 321 partie et "Sa partie du cadastre, .

Mise k prix^: 250 fr.Deuxième Lot.

Vingt--sept ares quatre-vingt-dix- huit (^tiares en enclos, dans lequel

: j se trouvent un petit bâtiment et un puits, situés sur le même terroir et au même lieu dit, tenant d’ün côté le chemin du (timetière, d’autre -côté veuve Prévost, d’im bout le Cteie- tière t e Saint-Firmin, et d’autre beat veuve Féguet et veuve Bouly.

Sectisn £ / nnméros 321 partie et 333 partie du cadastre.

Misé k prix: 200 fr.' ' Troisième Lot.

Neuf ares quatre-vingt-dix-neuf centiares de pré, lieu dit le Fin Pré on la Fossé Cazet, tenant d’un côté H. Turquet, d’autre côté Madame veuve Pinçsm d’un bout la rivière de Nonettè, ét'd’autre bout le . Domaine.

M isekprix: 100 frQuatrième Lot.

-Snixante-danx ares soixantendix- ' 'sépt Oiptiares de terre," lieu dit le

r ^CSèmlB-de’’Sentis, tenant d’un côté M. Henrteux, d’autre côté MM. Ca- zier, Henrteux, Jamben et le Do­maine, d’un beat H. Henrteux, et .d’autre bout la rente de Sentis,

M ise k p r ix : 600 fr.-«- ■ (ànqnième Lot.Quarante ét un ares deux centiares

t e terre, lieu dit la Vallée Panier, tenant d’im. côté H. Verjus, d’autre côté la pièce ci-après, d’un bout aux rayons des limites des terroirs de (teurtanil et de Saint-Firmin, et d’au­tre bout an chemin du Courtillet k la Porte Tnrqet.

Mise k prix : 350 fr.Sixième Lot

Quarante et un ares deux cen­tiares de terré, au même Ueu dit, tenant d’un côté la pièce qui précède,

_ dlAUtre côté M. Savignao, d’un bout ànx rayens des limites des terreirs de Cenrtetiil et Saint-Firmin, et d’au-

; tré beut au cheiain de Courtillot k la Porte Turquet.

Mise k prix ; 350 fr.Terroir d’À tillv,

Septième Lot Quarante et un ares quatre cen­

tiares de terre, lieu dit Près de la Porte du Parc ou de la Porte Vaillant, tenant d’un côté M. Achille Barbier, d’autre côté Madame veuve Barbier,

- cetiune locataire, d’un beut M. Har- ■ dset, et d’antee bout MM. Gbry et

i-Làvallée.-(Cette pièce est traversée par deux

bout a M. de Joigne.Section A, nnmere-ISO du cadastre.(Cette pièce est traversée par la

sente de Rully k Brasseuse).Mise k prix : 200 fr.

Douzième Lot.Treize ares sofxante-quinze

tiares de terre, lieu dit â la Longue Suite ou .encore k la Lengne Haute, tenant d’un côté .nord k la sente de Rully k Brasseuse, d’autre côté ’ l’Hôpital Général de Senlis.

Section A, numéro 375 du cadas­tre.

M isekprix: 150 fr. Treizième Lot.

Et neuf ares dix-huit centiares de terre, même terroir, lieu dit k la Re­mise du Marais et au-dessus, tenant d’un côté orient k M. PineemaiUe, d’antre côté k Madame veuve Han- nense, d’un bout nard k plusieurs, et d’antre bout k M. Saussaire.

Mise k p rix: iOOfr.Fait et rédigé par l’avoué poursui­

vant soussigné.A Sentis, le Mai 1903.

A. SAINTS-BEOVE.

côté à Madame veuve Pinçon, toutes autres parts k M. Jambon.

Mise k prix : 875 fr.Troisième Loti.

Dix ares vingt-cinq centiares de pré, même terroir, en la nraéiie de.Baint-Firmin, lieu dit la Grand Pré, l tenant d’en sôté k M.'Biteiilt; dlantrel MiiTurquet; d’un bout la rivière de f Nonette, d’autre bout le Domaine.

M isek prix: 323 &v __Fait et rédigé par l’evoné. poarsair I g u a i |u t le n pour «nchérit : 20b f

Tant souaetgné, I . ------

S’adresser pour les renseignements : 1’ A M’ SAIMTE-BBDVE, «veué k

Sentis, poursuivant la vente;_ A M’ MORAND, avoué k Sentis,

ço-ticltant;S’ A M’ DELADNAT,-notairè k Sén-

lis;4* Et an Greffe du Tribunalteivil de

oft le cahier des charges est

Pour insertion : Signé; A. SAINTR-BRIVÉ.

Mise k prix : 400 fr.Huitième Lot.

U n e B Sa< s»n d ’iiitb t ta t i o a ,sise k Saint-Firmin, sur la route de

S A IN T E -B it itE ,] avoué k S ( ^ .

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t e M' Dis a b u , netafret'-à.Creil,. n’UN

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L’adjudication aura lied l e Vemd'i>e<<ik , a e iz e RXai

£ 9 0 8 ,d dcuo;. AeuFes dereleç^.

En l’Étude, et par le .ministère de M‘ Dbsabii, netaire k Creil,

commis k cet effet.

lise à prix : 1.000 fir.

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notaire k PréeÿTSur-Oise.

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d uns heure,A Resoy-eu-Xultlea, en la salle

. .. Vhiia Heirle,Par.le mtiùstère de.M’ THmooiN,

notaire.

i^tudede-M* Itend P B n , netaire k Baren (Oise).

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ei'la salle de la Mairie, ;Le Bimanche H Mai, td e u x heures.

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au demieue de H. Hantoox (maisen Lavigae),

Le Dimanche i l Mai iiOS, à J heures Par le ministère de H’ DsboobUi,

huissier kLianeonri.

I A . V E N D R E I > .l a f TT I- u i _ ^ I S ’adresserau bureau du journal. 685(Jolie Vache bretonae j —

l aItière

I S’adresser k M. yELUT, k Sentis. 737

le MallfiSS.: A. SAINIB-BEDVE.

S’adresser pour les renseignements : 1* A M’ SAINIK-BEBVE, avoué k

Senlis, poursuivant la vente; > 3* A M’ MORAND, ayeué k Sentis,

ce-licitant;3 - E M' DELADNAT, notaire k

Sentis;4‘ Et an Greffe dn Tribunal Ctivil de

Sentis, od le cahier des charges est

Pour insertion :Signé : A. SÀINTE-BEÙVE.

V acfu irsu r desra reprendre, en sus de son.iprix et- a prix de fac­ture. toutes ksjm rekandises dé­pendant du fonds.

Peur tpus renseignements, s’adres- ser : ‘ ■

. A M' DESAKE, notaire k Creil;Et k M'SAINTS-BEHVE, avéué i

Sentis.'

Ait . 3.

CESSION CE FONDS

Art, s .Etude de B£' S a i n t e B e n v e ,

avoué k Sentis.

V E N T E S Ü R L r a iA T I O Nr d’uni

AVEC COUR 8 JARDINS S i s e à A v i l l y ,

commtma de Saint-Léonard, eu la Grande Rue;

2 Pièces de Terre & PréS i s e s à S a in t - F ir m is ,

En 3 Lioti.

L’adjudication aura lieu le M a r d i t r o i s «Toia A 9 0 8 ,

heure de midi.En l’audience des criées du Tribtmal

civil depremièreinstaneedeSentis, au Palais de Justiee de ladite ville, rue de la République.

En exécution d’un jugement rendu contradictoirement par le Tribunal Tribunal civil de Sentis, le dix-neuf Mars mil neuf cent deux, enregistré et siguiflé ; — - -

Et k la requête de Madame Irma- Anastasie Pinçon, propriétaire, de- meuraut k Saint-Firmin, veuve te M. Louis-Pierre Gachon, dit Daly;

• Agissant’au nom et comme • héritière, mais sons béné- a flce d’inventaire seulement, « du sieur Charlss-Edouard s Pinçon; >

Ayant M* Sainte-Beuve jpoaT.aveaé constitué, demeurant k Senlis, me de la République, n’ 17 ;

En présence, où elle dûment ap­pelée, de : ^

Madame Adolphine-Louise-Zoé Ga-’ chen, dit Baly, propriétaire, demeu­rant k Saint-Maurice, rue des Epi- nettes, numéro 30, veuve de M. Joseph-Félix Pinçon,

« Agissautaunometcomme « admmietraticeprsvisoiredes « biens de Mademoiselle Marie- «.FélicitéPinçon, sa tille ma-

jeure, aliénée non interépte, a plaeéek l’asile de (Iharèaten, « et encore comme mandataire « spéciale k Felfet de repré- e senter ladite demoiselle dans « les epéralièns de partage et « vente dont s’agit, nonimée « par jogement du Tribunal

i signatures pri- if Avril Util neuf

Suivant acte, sotts -, vées, en date du neuf . . . . - — —— esnt deux, enregistré, Hademeiselle Henriette Jôlivst, demeurant k Creil, rue dAlimitataire, numéro 39, a cédé kM. Emile Lbmaitui, aneien boaehér k Beaovaiz, le fonds de Boueherie- -Chareateria qu’ellej exploitait k Choit m e de Montataire, nhméro 33; " -

L’entrée en jouissance r eu liett le quinze Avril dermer. - : -

Demieile a été élu pour les oppo- sitiune chez H. LbMaitbi, preneur.

'.Ani 4 . ,Etude de K SAINTE-BEUVE,

aveué k, Sentis.

Assistance Judiciaire.

Dieision d u Bureau de Seniis du iS Janeier iSOi.

DIVORCE

D’un jugement rendu par le Tri­bunal civil de première ustanee de Sentis, ie dix-neuf Mars nui neuf ceiqt deux, enregistré;

Au protit de Mateupé HSlèneLinoT, pàUleusa, épouse de.M- Arthnr-Jules Mabsot, demeurknt ladite dame k Cïépy-eB-Valois,, place de la Répu- biique,n’ 37; ■

Et par défaut contre M. Anhur- Jules Maioot, dcmearant k ChépT- en-Valois, ci-devant et actuellement sans domicile ni résidence coimus;

Il ap^rt :Que le divorce a été prenoncé entre

lesdits époux, au profit de la dame Maigot.

(La présente insertion est faite en eonfwrmité de l’attiele 247, para­graphe 8 du Code av il, et en vertu d’dne erdonnanoe de, M.. le Présideut dudit Iribunal de Sentis, ait date du viiigi-huit Avril rail neuf cent deux, enregistrée).

Pour extrait : Signé : A. SAINIE-RUVE.

Bmde de X’ SAiirirE-BËiivEi. avendk Sentie.! ^‘,*J ;

V E N T E ^ U C a T A T iO N

13 Pièces de TerreSises terroir de (SACRISÈ

oanten d’Bulehy (Aisne)£ ■ t S ' l i t e f a ,

Aetc faeulti de réiMtten partielle «û'tetalc.

L’adjudioatien ktua leu l e -RlmaMaralie.afmsM Mari

. ■ . ■ , . . 1 9 9 8 , - . : . : ; ^ . . d deux heures t e reievée, . .

. . En l’ttuteaekpiiele ministère, te M' Bùnanni, m o b ^ ji Haitennes-

.:c,et;r1Eaii)ti tes)!. ....

Xttdrmssr.pourles reiMignMntete : 1’ A M' SAINTE-BEUVE, avoué k

Senlis,'poursuivant la vente; .S’ A: M'-MMANB,Avoué k SèuSS;

présent k la vante ; ; ■ 1 i* -3’ A M'FIÏRRY, notaire k Béthisy-

Saint-Fierre., 4‘ A M- RICHET, géomètre k Har- tennes-et-laux (Aisne);. :

6* Et k M' DURAND, uMaire Hartennes-et^Taux (Aisne),

Ait . 6.Etude de r SAINTE-BEUVE,

avoué k Sentis.

Assistance Judiciaire.

Décision du Bureau de Senlis du iS Janeier iSOi.

DI VORCE

Kpn jugement rendu par le Tri. banal eivil de première instance de Senlis, le dix-neuf Mars mil neuf oent deux, enregistré;

Au profit de M. Florent-Michel Don- uinr, couvreur, deraeurut à V inwl, commune te Saint-Firmin ;

Ét p u défaut contre la dame Marie- Blanche Gautikb, épouse du rieur Dobhant, avec lequel elle est doidçi- liée de droit, actuellement sans rési­dence connue;

n appert : ’Que le divorcO-aéié prononcé entre

I Etude de H’ petlIV notaire k

A V .M J X ' M M J BÀ u’AinaniA

Hâisoa de CampagneSise k SAINT-LÉONABD,

rué de l’Eglise. * Madresser: k M’ FÉTIT, netaire, eu k

M*"LA¥BMiT, à S ’-Le»nard.- 668

I Pouvant serv ir pour une Eglise,

. A . .I S’adresser unÀbiraau uujenntai. 681

Etude de M- PETIT, netelre k Sentis.R Jteea*» te FAseedeeWe

oou tetaUté eu par fractlène

JiRDlN HARUCHERdOmteant i heet. 07 a. 78 e.

Sis k SAINT-ETIÏMNE, raubeurg de Sentis,

longeant Ik-rnete la Perte de Meanx k Saint-Etienne.

Jouissance au 1j iiosemMt l i t t .

S’adrèsief : k M'FETIT, notaire k Sentis, ou k H. F8UCART, proprié­taire, n e du Faubourg : Sain^Marnn, n* s i , k Senlis. . . 679

RVirAIIX HNIINGERS Peur vteteè:lé;pid«lileiit' en acheter

■ I én • .

loBés dd BralalgwU~ S’ndressw k M. STRÈICHEiL 14, m e J.-J: Rousseau (1*), Paris, entre luRqncse dn Çammeree et le Louvre

taire du uahier des -i

Btnde de M Leuie BSCAVT, 'docteur en droit,

avoué k Senlis, 7, m e te ViUevwt, suee'de M* DÉipL».

V E N T E SU R . .U a T A T Î O N

REtU PROPRIÉTÉS i s e À S a ia t - F ir m ia

(Oise),sur la route dé Senlis k ChantUly,

dopiartsmant aux héritiers N ET-im m aiR B,

oeibBmikin; iteiAiuaaiT fMalton do maltrô, va ito t sréptn

danoot, grand para oiek di mura avoo im lr la t ot bola, aaurooa, éttango, grand verger, grand Jardin potager, oto.

Ayant vue sur Is f a r t et U'àhtteau o.'te ChantUiy.

L’adiufitaitei aura Bon le M à ^ 8 T M a l t 9 t e S ;

lUure-de midi.Eh l’audlenck-des criées du n

eivil de première'butanoo t e - au Palamte Justiee te ladite

; raede U R é^ tiq u e. .Four reniélgteemcnte, d a d ress ir i

1*’ i M- » c i v t > avota k S ^ rédacteur-du eabiéb tes elteTgee ;

3- A M’ SAINTE-BEUVE, kToué k Sentis? j , .

3' A M.' BALËZKAUX, uotafre k Chanttily; : I '

i ‘ Sur les lieux, pepr visitçrla ^ p r ié te . . ï

BtUda de M’ LenU BSakV doeteur en droit, aypué di u

, raAde.jpeveirLn,’ 7i, (S iû ete^ B r^ M ’ B d ^ b

V E N T E S U R IIÇ rrA T |<Bnfro Majoàra'eé

CINQ “dpoonataneea ot^Bépdadaiitea,i(Oise)

i u te VUte te^^^ntUfr^PtiV Rf

a i e!' 'sîitasv

a S■ .-■■■r

its i p li« e « R e g a r d e eltsiBU- p ê t c e a a t V a câ iiité « ta iis la c o u m a n é d e V e z .’ X raitam em L stxuùuO ii.O O O

fr su sé a e t lo g ê à ié â t ' coiiiT a- n a b le ..^ ' ' 738

S S * à a ! S S S B S 6 8 B i

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Simés k A eV -S i-M e^ IM , route .'de Boéey,

et dépendant te la ferme d’i l Bas.

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"rào.1X . I 8

I ; i d U i i j ^ i

| a : K a O U E l R -

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