56 - Nicole Baudelet - Registre numérique - 01/12Avis du Conseil Communal de Concertation de Lille en lien (à voir sur le site).

48 50  52° 55°- Brice Louvel - Registre numérique - 01/12La route Hegel est une voie de passage importante pour les voiture entre Loos et Lille. Une voie piétonne existe entre l'avenue des saules et la rue Hegel. Cette voie finie à proximité de la Deûle par un passage piéton. Il pourrait être intéressant de faciliter et de sécuriser ce passage piéton. (à gauche)2 ponts - passerelles à destination des piétons, reliant la presque-ile Bochetti à Bois-Blanc et à la rue Hegel pourraient être un atout pour le quartier. (au centre)Beaucoup de port de plaisance ont un "club house", un bar associatif permettant de décompresser. La création d'un tiers lieux sur le modèle de la gare Saint Sauveur, du Quartier Libre et de Chaud Bouillon pourrait être une joie pour les habitants du quartier. Ce lieux, à la fois éloigné des premières habitations et baigné de soleil pourrait faciliter le vivre ensemble. (à droite)

La presqu’île Boschetti a supporté des activités de fabrication de béton et suite aux activités industrielles, il subsiste un léger enrichissement en métaux. Les sédiments de la Deûle à proximité présentent aussi une légère contamination. Dans le cadre d’un démonstrateur de phytotechnologie, une placette pilote peut être construite à destination des gestionnaires de sites contaminés, des scientifiques et du grand public. Ce site peut à la fois permettre une gestion des sols et des sédiments contaminés, être un refuge pour une biodiversité (à définir) et être un lieu de promenade. Cette placette pilote peut être construite à partir des matériaux présents sur le site : les matériaux grossiers non ou peu polluées peuvent être utilisés comme assise pour la construction des plots de phytoremédiation. Le néosol constitué des fractions fines (sol et sédiment) pourrait reposer sur les matériaux grossiers au moyen d’une géomembrane (pièce jointe). L’épaisseur du néosol, construit avec mise en place de collecteur des eaux de percolation, pourrait être de l’ordre de 1,5 mètre, laquelle peut être prospectée par les racines de miscanthus, switchgrass, de saules, etc. Les eaux de drainage peuvent être collectées dans un ou plusieurs bassins de décantation plantés au moyen de végétaux connus pour traiter les eaux polluées. Au final, ces végétaux pourraient être incinérés ou méthanisés à proximité. En fin de cycle, le trop plein d’eau peut être rejeté vers un exutoire.

49 - Denis Delbaere - Lille - Registre numérique - 01/12 

Bonjour, Habitant du quartier depuis 20 ans, je l'apprécie essentiellement pour deux raisons : la qualité de ses paysages et la diversité des populations qui y vivent. Le projet de port de plaisance menace l'une et l'autre de ses deux qualités. L’occupation réduite du plan d’eau par les péniches assure actuellement un bon équilibre entre sa partie habitée et une étendue d'eau largement visible depuis les quais et une extension du linéaire d'ancrages se traduira par la réduction de la perception de ce plan d'eau magnifique. Le cliquetis et le hérissement des mats des bateaux, déjà gênants dans un port de mer, altéreront fortement ici la qualité sonore (le calme) et visuelle du paysage. La location de points d'ancrage va favoriser par ailleurs une utilisation des bateaux temporaire, voire très sporadique et sans doute saisonnière par une population de plaisanciers qui n’entretiendra pas de relations ouvertes denses avec le quartier, ni sur le plan commercial, ni sur le plan de la vie associative et culturelle. Ce sera un envahissant parking à bateau et non plus un lieu de vie. Cette confiscation spatiale de l'un des espaces les plus marquants de l'identité du quartier sera par ailleurs symptomatique d'une démarche visant à exclure les occupants actuels de la gare d'eau. Les populations animales et végétales d'une part, puisque la démolition/reconstruction de la jetée risque de détruire tout ou partie de la biodiversité du plan d'eau suite à l'agitation des sédiments pollués en fond de bassin pour les travaux). Les populations humaines aussi par l'introduction d' une infrastructure inadaptée aux bateaux des résidents actuels, notamment en raison du système d’assainissement, sous-dimensionné et basé sur un procédé qui a fait ailleurs la preuve de son inefficacité. Au-delà des résidents de la gare d'eau, ce projet veut donner au quartier une valeur immobilière accrue, qui se traduit à terme par une élévation du montant du foncier et donc des loyers, au détriment des populations les moins solvables du quartier, également menacées à proximité par le projet de démolition/reconstruction du quartier des Aviateurs. Plus largement, je n'ai jamais entendu depuis que je vis dans le quartier que la gare d'eau est considérée comme un espace problématique, à restructurer de façon très volontariste. La création de la place de la gare d'eau permet désormais une relation plus confortable à cet élément majeur du cadre de vie et du patrimoine du quartier : pourquoi le chahuter de la sorte? Ces grands travaux, coûteux et énergivores, ne s'imposent pas du point de vue de l'utilité publique et vont alourdir encore les émissions de gaz à effet de serre pendant toute la durée du chantier à un moment où il s'agit au contraire de rompre avec ces pratiques pour préserver la sécurité climatique du monde qui vient.

47 - Faire Respirer Lomme Faire Respirer Lille - Lille - Registre numérique - 01/12 Dans le cadre de la préfiguration d’un port de plaisance sur la Gare d’eau de Lille-Lomme, la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM) a ouvert le 16 novembre dernier une enquête publique en lien avec une procédure en vue d’obtenir une autorisation environnementale. Les Lillois et Lommois sont ainsi consultés essentiellement sur le volet écologique et particulièrement sur la gestion des eaux.NOTA BENE:vLes aspects techniques de cette enquête publique vont bien au-delà de la question de l’aménagement du secteur. Conscients de ne pas inscrire totalement cette contribution dans l’objet de l’enquête publique, FAIRE RESPIRER LOMME et FAIRE RESPIRER LILLE ont toutefois souhaité saisir l’opportunité de cette enquête publique pour: (1) s’exprimer sur le sujet de la Gare d’eau, faute d’autres circuits de concertation citoyenne; et (2) partager leur vision du projet de la Gare d’eau - pris dans son ensemble, sans “saucissonnage” - avec les instances en charge du projet ainsi que les Lommois et les Lillois, notamment du quartier Bois-Blancs. Pour lire notre contribution sur le projet de la Gare d'eau pris dans sa globalité, consultez la PJ. (revenir sur le site pour avoir cette contribution))41 - Jean-Baptiste Richard - Lille - Registre numérique - 01/12FRICHE ARTISTIQUE, GALERIE/JARDIN À CIEL OUVERT, ESPACES EXTÉRIEURS MODULABLESDévelopper le champ des projets culturels et artistiques, un lieu de création aux artistes artisans, compagnies d'arts vivants, associations culturelles ; proposer des locaux d'ateliers aux compagnies, artistes et artisans ; de stockage, de construction. Soutenir la création dans une friche artistique. Autrement dit, garder l'existant, et le développer, que ce soit dans la dimension pôle artistique, que dans la jonction entre l'artistique et les activités fluviales... Une expérimentation d’autres rapports entre art, territoires et société. Un lieu intermédiaire de création et d’expérimentation, une fabrique artistique. Ces nouveaux territoires de l'art pourraient prendre place dans l'ensemble des hangars situés à ce jour sur l'Ilot sur la totalité de leur surface actuelle. Avec l'idée d'imaginer également un parcours pédestre et cyclable sur le site de l'Ilot, avec une visée de Galerie/Jardin à ciel ouvert, installations et œuvres d'artistes locaux et résidents de la Gare d'eau. Une balade artistique en évolution constante, on y a ajoutant des œuvres au fur et à mesure. Là aussi partir sur l'existant, et aménager à partir de la végétation déjà présente. Envisager des accueils grands formats d'équipes artistiques et d'activités en extérieur, avec une surface importante de dale modulable pouvant accueillir chapiteaux et tout type de gros volume d'activités extérieures nécessitant de l'espace. Un renforcement des activités dans les hangars, une réhabilitation des espaces extérieurs et des espaces inoccupés. Un parcours de balade artistique ouvert à tout un chacun.

36 - Aurélien Danvert - Lille - Registre numérique - 01/12La qualité de l'eau de la Deule s'est améliorée au fil du temps et des efforts de chacun. De la même façon, la biodiversité retrouve peu à peu sa place dans cet espace. En conséquence, à l'heure où le développement de la biodiversité est un

enjeux majeur, il apparaît inconcevable de remettre en cause la reconquête de ces espaces naturels par des infrastructures qui vont les artificialiser encore davantage. Par ailleurs, ce projet n'a pas pour objectif le développement du transport fluvial (qui pourrait s'expliquer par un besoin de diminution du trafic routier) mais uniquement le développement touristique. Il n'aura donc pour conséquence que l'augmentation du trafic et des rejets de polluants dans l'eau et dans l'air. Il faut enfin ajouter à cela les nuisances visuelles et auditives pour la population alentour qui justement apprécie cette endroit pour son calme et son absence d'infrastructure. En conclusion, ce projet n'a aucune utilité écologique ni aucun intérêt social.

31  32° 33°- Evelyne Querard - Lille - Registre numérique - 01/121 Pourquoi ne pas intégrer dans cette rénovation quelques traces du passé pour faire un lien avec l'avant. Je ne parle pas de panneaux rébarbatifs à lire mais plutôt d'objets, de témoignages écrits/photos subtilement intégrés au lieu (histoire industrielle de ce bout de l'île, usage des péniches) qui viendraient interpeler la curiosité des visiteurs et permettre à l'âme de ce bout d'île de subsister.2 Par pitié ne refaites pas une Place St Charles Bis, beaucoup trop minéralisée, avec des ajouts d'esplanades surélevées horribles, du béton partout, es arbres mal placés, cette place qui vit si mal dans le temps et n'a plus aucun charme. On a envie de la fuire cette place3 ok bien sûr pour un joli port de plaisance mais soyons cohérent et soignons les alentours. Je pense à ce portique horrible dans le bout de l'île

29 -Véronique - Registre numérique - 30/11.La Nature place Méo ? Dans cette époque où il est préconisé d'augmenter partout la présence de la Nature, où l'on en mesure la valeur et ce qu'elle apporte de bien-être, où les villes décident de végétaliser jusqu'à leurs trottoirs, ici, alors que la chance se présente d'appliquer ces directives préparant ainsi l'avenir, l'herbe et les haies existantes de la place Méo seraient justement supprimées et la seule manière de la végétaliser consisterait à piquer quelques arbres dans des pavés? Pourquoi? Ne pourrait-on pas y inclure simplement au minimum une belle surface d'herbe accompagnée de mini-bois/buissons foisonnants avec des végétaux variés à différents niveaux qu'on aurait tous le plaisir de voir fleurir et évoluer à toutes les saisons ? Quelque chose de vivant et plus chaleureux qu'une surface totalement minéralisée et imperméable (comme le quai Hegel). Ne laissant place à aucune faune. Merci de ne pas oublier la Nature dans vos plans.PS1- On nous demande de ne pas nous intéresser à la future "capitainerie": Quand serons-nous consultés ?PS2- Et comme sur la place de la gare d'eau, je me demande comment les personnes en fauteuils roulants pourront circuler sur ces surfaces ? (imaginer des "bandes" lisses en +?)

29 -Véronique - Registre numérique - 30/11 (même que la précédente ?)A propos de l'étalement des sédiments : Je ne suis pas spécialiste, mais à la lecture des documents que vous nous avez soumis, je me pose une simple question : Pourquoi faudrait-il égaliser tous les sédiments sur la totalité de la gare d’eau ? Y a-t-il une gêne actuelle ou un réel besoin futur alors les péniches cir***ent sans problème dans le bassin ? A part les sédiments qui seront déplacés durant la réfection de la jetée ( et qui vont peut-être même dégager un vide après la dépose du béton.) et le surplus qui sera généré par le creusement de la base de l’extension de la place Méo, ( si elle avait été conçue sur pilotis, y aurait-il aussi eu ce surplus ?) dans ce 1er chantier, il ne paraît pas nécessaire de bouger d'autres sédiments que ceux-là et risquer ainsi dangereusement de percer des poches de pollution. Ne toucher qu'à ces 2 zones limitées permettrait aussi de laisser tranquille les pentes douces existantes avec la végétation qui accueille la faune du bassin. Les nombreux poissons, amphibiens, crustacés, insectes, et les oiseaux qui s'en nourrissent. Une de vos études préconise d'ailleurs "de préserver la continuité écologique et les zones refuges le temps des travaux. Qu'est-il prévu ? Malgré toutes les infos qui lui manquaient pour ses analyses, l’étude géotechnique signale qu’il va falloir changer toutes les palplanches de Boschetti en raison de leur vieillissement. C'est prévu dans un 2e temps ? Faudra-t-il remuer à nouveau les sédiments plus tard pour le faire ? Par ailleurs, il paraît impossible de comprendre et approuver les travaux de la jetée, la place Méo et du *** de sac de Canteleu sans savoir ce qui est déjà prévu sur la presqu'île de Boschetti. Toutes les études de l'enquête font allusion à certains projets (port à sec ou autres...) et ont l'air de les préparer (des arbres sont d'ailleurs coupés en ce moment). Pour comprendre les tenants et aboutissants de ce 1er chantier qui s'inscrit dans tout un ensemble, il est indispensable que l'on transmette au public les projets élaborés pour Boschetti avec la totalité des documents. Pour reprendre ma question, il paraîtrait plus sage de simplement remuer la stricte quantité nécessaire de sédiments, sinon quelles en seraient les raisons ? Merci de m'avoir lue.

28 - Didier Calonne - Lille - Registre numérique - 30/11J’ai suivi ce dossier depuis son lancement et je suis heureux de voir qu’il reprend les lignes directrices telles que prévues après concertation et telles que le Conseil de Quartier l’avait acté (après avoir renvoyé un premier jet non acceptable).

Toutefois, le diable est parfois dans les « détails ». J’espère que la MEL prendra en compte autant que possible l’ensemble des remarques faites à cette occasion.

26 - Anne Dassonville - Lille - Registre numérique - 30/11J'habite le quartier de Bois Blancs depuis 3 ans dans un habitat partagé et apprécie particulièrement la place de l'eau dans le quartier et les animations proposées autour de la gare d'eau. Je comprend l'intérêt d'un réaménagement de la gare d'eau et j'ai lu le dossier complet avec intérêt et le trouve intéressant même si je n'ai pas de compétence particulière. Je voudrais néanmoins faire quelques remarques:l'approche de la protection des espèces animales ou végétales me semble tourné vers l'existant, le passé alors qu'il me semblerait plus judicieux de se tourner aussi sur les conditions d'un espace vivant avec pour ambition de développer la diversité des espèces ... profiter de cet aménagement pour enrichir notre patrimoine naturel en lien avec les aménagements intérieurs de l'île : noues, jardin de la mairie...et les aménagement d'Euratechnologie.Les habitants, usagers et riverains actuels ont fait des contributions pertinentes et précises, il me semble nécessaire de les associer comme maître d'usage au fil du chantier. Je n'ai rien vu sur l'information et le recueil de l'avis des habitants au cours du chantier. Leur connaissance fine du lieu serait pourtant bien utile pour veiller aux risques de pollution évoqués lors des travaux, pour être force de proposition concrète (par exemple sur la question de l'assainissement des péniches)...lors des réunions de chantier ou de réunions régulières de consultation .Ces derniers mois nous avons réalisé à quel point l'écologie et le social sont interdépendants aussi ce projet public pourrait aboutir à une concrétisation plus harmonieuse si les maîtrises d'oeuvre et d'ouvrage reconnaissaient l'apport constructif de la maîtrise d'usage, concept porté par les habitats participatifs qui apporte un réel plus qualitatif dans les réalisations tant pendant le temps court du chantier que sur le temps long de l'usage public.

25 - Aurélia - Lille - Registre numérique - 30/11Bonjour, habitante de Bois-blanc et donc très concernée, je viens de lire la totalité du dossier et voici mes interrogations.- Tout d’abord, si le projet est censé commencer dès le début d’année 2021, le délai me parait trop court pour être réellement en accord avec les habitants du quartier.- Dans une logique actuelle écologique (zéro déchet etc), est-il nécessaire de démolir la jetée existante pour en refaire une ?! Une rénovation ne peut-elle pas suffire ? (Et que l’argent prévu à cet effet soit utilisé à des fins plus essentiels ?!)- L’important est de maintenir un cadre de vie agréable pour les habitants de Bois-Blanc, sur terre et sur eau et de maintenir une vie à l’échelle du quartier.Ajouter une possibilité de sports nautiques (canoé, paddle, balade en barque) me parait judicieuse et manquante sur la métropole.- En page 47 et 48 du dossier, vous évoquez les risques... Les termes utilisés me semblent imprécis "pas profondément/limité, etc" et donc peu rassurants !- Si je comprends bien "les risques de pollution et d'inondation seront limités" sur l'îles de Bois-blanc.« Le risque accidentel de pollution pouvant atteindre le fond du bassin persistera mais ne sera pas renforcé par rapport à la situation actuelle » (P.121)"Cependant, les concentrations ne dépassent pas les seuils réglementaires autorisant leur remise en place. La Maitrise d’Ouvrage a donc suivi cette recommandation ; tous les sédiments seront étalés au fond du bassin à une cote validée par les services des Voies Navigables de France. "...Avec un tel budget, n'est-il pas envisageable d'assurer l'absence de risque d'inondation et de pollution ?! Comment est-il possible d’éviter davantage les risques de pollution autant sur la zone de la gare d’eau que sur l’ensemble des canaux de Bois-Blanc ? Comment prévoyez-vous de protéger davantage la faune et la flore du bassin et des canaux de Bois-Blanc ? Ce qui est prévu ne me semble pas suffisant ! !Vous indiquez que la qualité de l'eau sera momentanément empirée mais aucunement améliorée. N'est-ce pas une des priorités de la ville de Lille de rendre l'eau très polluée de la Deûle plus convenable ? Encore, quel impact cela va-t-il avoir sur la faune et la flore ? N’est-il pas possible de la protéger davantage pendant et aussi après ces travaux ?- P.106 « Un Plan de Prévention des Risques Inondations a été prescrit sur le territoire de Lille en 2001. Il n’est pas encore approuvé à ce jour ». Bientôt 20 ans après la réflexion d’un plan de prévention essentiel, quand va-t-il être approuvé ?! Comme vous le décrivez très bien, les risques s’accroissent, ce plan devient donc urgent ?Prévenir le risque d'inondation d'une île dans cette atmosphère de modification climatique est donc à prendre davantage en considération dans ce projet !!- Comment allez-vous sécuriser les habitations sur terre et sur eau de Bois-Blanc ? Nous sommes entourés de l'eau que vous comptez agiter, comment allez-vous sécuriser les maisons/péniches de manière prévoyante, claire et précise ? (Risque inondation/affaissement/pollution, etc). La prévention ne me parait absolument pas suffisante !!- Sur les plans, les espaces verts semblent manquer, est-il prévu de les augmenter dans cette ville qui recherche

désespérément plus d’espace vert ?Merci.

24 - Corine Bachy - Lille - Registre numérique - 29/11/2020. En tant qu'habitant du quartier des Bois Blancs depuis 19 ans, ce projet me tient beaucoup à coeur. Il y a un travail colossal de certaines associations pour qu'il soit mené en concertation et en cohérence avec les usages actuels des habitants et en cohérence avec le milieu de la faune et de la flore. Outre le fait que ce projet soit une chance pour le quartier, je m'inquiète cependant quand je lis dans votre dossier qu'il n'y a aucun intérêt écologique sur ce site et aucune espèce à protéger. Ne faudrait-il pas refaire une étude au printemps pour se rendre compte de la richesse du site que ce soit au niveau des espèces de poissons ou d'oiseaux. Observatrices et amoureuse de la nature, je vois les poules d'eau qui y nichent, les hérons qui viennent saluer les pêcheurs qui ont bien plus de 4 espèces de poissons dans leur seau, les chauves-souris passer au-dessus de nos têtes parfois au crépuscule... sauf en hiver quand elles hibernent. Mais tout cela, il faut du temps pour l'observer et sur plusieurs périodes de l'année. De plus, des frayères ont bien été répertorié sur ce site. Alors oui pour rendre cette partie du quartier plus attractive mais en respectant la faune et la flore et dans la certitude que tous les habitants des péniches retrouveront bien leur emplacement et cette qualité de vie en harmonie avec la nature. En regardant les plans, il me semble qu'il y a assez peu d'espaces verts. La Place de la Gare d'Eau n'a pas été très "reverdie" alors pour cette deuxième phase ne lésinons pas sur les espaces verts. Nous avons besoin de chlorophylle à à Lille !

23 - Emilie Dubus - Lille - Registre numérique - 29/11/2020 Bonjour, En tant qu'habitante du quartier depuis plusieurs années, mon avis est partagé sur ce projet d'envergure. Les travaux envisagés permettraient de continuer la transformation de l'île des Bois Blancs en un nouveau quartier "neuf". Néanmoins, l'ampleur des travaux semble démesurée par rapport à l'impact souhaité/envisagé:- est-il vraiment nécessaire de démolir la jetée existante pour en refaire une très semblable? Une rénovation n'aurait-elle pas pu être envisagée?- les quelques places de stationnements encore disponibles dans le secteur sont presque entièrement supprimées: les riverains ainsi que les quelques commerces de la place risquent de fortement en pâtir;- le budget et la durée des travaux sont considérables, tout comme le déplacement de toutes les péniches actuellement accostées. Selon moi, les fondements mêmes du projet et de son impact seraient à remettre en question: vouloir développer une base nautique de plaisance à Bois Blancs a-t-il vraiment un sens?22 -  Georges Van Doosselaere - Wasquehal - Registre numérique - 29/11/2020 Une excellente idée à condition de respecter les gens qui y sont amarrés.

21 - Marion Sarels - Courriel - 28/11/2020 Bonjour, J'habite le quartier depuis quelques années et, lilloise de naissance, y ai trouvé un cadre de vie et une proximité sociale que je pensais impossible à l'échelle d'une ville comme la nôtre. Le réaménagement de la gare d'eau, comme d'autres endroits du quartier, est à mes yeux une occasion à ne pas manquer pour être à la hauteur des ambitions et engagements écologiques et sociétaux pris à tous niveaux politiques. Cet espace est celui de la rencontre de multiples trajectoires : des personnes et familles y habitent avant tout, à quai et sur l'eau; d'autres y travaillent dans les commerces et les lieux de création culturelle; beaucoup viennent s'y détendre et prendre l'air, en passant ou en s'y arrêtant. Certains y pêchent, d'autres observent l'écosystème, ou pratiquent les sports nautiques. De grandes festivités tellement importantes à l'échelle d'une communauté de voisins y ont lieu avec un grand succès. Si un aménagement s'avère nécessaire (je n'en ai pas vraiment saisi le sens), je souhaite qu'il respecte la volonté des habitants et n'altère pas cette dimension plurielle de l'espace en venant y projeter activités lucratives et intéressées qui ne prendraient ni en compte la réalité de ce qui se joue déjà, ni les gens qui font de cet espace ce qu'il est, ni l'exception écologique qu'il représente.

19 et 20 - Emilie Henguelle - Lille - Registre numérique - 28/11/2020. Reprise de la contribution précédente

17 et 18 - Lagardo - Lille - Registre numérique - 28/11/2020.La contribution, trop longue pour la news est à lire sur www.petitjournalboisblancscanteleu.wordpress.com article « divers documents »

16 - H.a - Registre numérique - 28/11/2020 Les associations Entrelianes et les Pêcheurs Unis de Lille s'associent notamment pour plaider la cause de la faune de la Gare d'eau. Les projet de requalification de la jetée et de création de la place Méo, s'ils étaient réalisés selon les options techniques présentées à l'enquête publique, mettraient sérieusement en cause la vie animale et végétale du site. En effet, les erreurs méthodologiques des différentes études présentées à l'enquête publique ne permettent pas de prendre les décisions pertinentes, adaptées à la réalité du terrain et à la réglementation. La contribution ci-jointe en fait

la démonstration. Des propositions alternatives sont décrites afin d'envisager de nouvelles conditions de réalisation du projet de requalification de la jetée et de création de la place Méo, respectueux de la faune et de la flore en présence. 2 pièces jointes Contribution Entrelianes PUL EP Gare d'eau BB Nov 2020.pdf à voir sur www.petitjournalboisblancscanteleu.wordpress.com article « divers documents » vue aérienne frayères gare d'eau.png (ci contre)

15 - Carmen - Registre numérique - 28/11/2020 Je n’ai pas de compétence techniques pour faire des propositions mais en tant qu’habitant le quartier je souhaite que la gare d’eau soit un lieu de rencontre convivial, où l’on préserve au maximum les espaces de nature, et que la partie fluviale soit réduite à des navettes légères pour rejoindre le centre ville ainsi qu’au stationnement des péniches des habitants qui y logent. Éviter la pollution occasionnée par des bateaux trop gros et qui n’auraient pas d’utilité publique. La rénovation doit être écologique et respecter le caractère pittoresque de l’endroit.

14 - Francois Henguelle - Registre numérique - 25/11/2020 22h04Tout d’abord, même si cela ne fait pas partie de l'objet de l’enquête, je ne comprends pas pourquoi le choix a été fait de démolir totalement la jetée existante pour en reconstruire une nouvelle sur pilotis.La jetée actuelle est un bien d’exception que vous allez détruite sans justifications ni intérêts.Ce choix entraîne pollution de la gare d‘eau, un sur coût économique et des difficultés techniques qui ne se poseraient pas en gardant la jetée existante, éventuellement élargie, raccourcie, ouverte par endroit, si tel est le souhait….1-Il y a de nombreux oiseaux et poissons dans la gare d‘eau (foulques , mouettes, grèbes huppées, canards, cormorans,poules d‘eau, régulièrement des cygnes parfois des ouettes, des martins pécheur, en permanence des tanches, des brèmes, des perches, parfois des brochets…)Il y a des frayères des zones de nidification…Le fait de détruire la jetée, d’étaler des boues polluées… Ceci va entraîner une pollution importante et durable qui sera régulièrement brassée à chaque passage de bateau.L’étude d’impact ne prend pas en compte tous ces éléments.2-La collecte des eaux usés retenue n’est pas compatible avec des bateaux logements permanent.L‘aspiration suppose une cuve de rétention dans chaque bateau. Les bateaux déjà aménagés ne peuvent pas tous s’en équiper (problème de place).Ce système présuppose un stockage des eaux usées dans la bateau entre chaque aspiration entraînement odeurs et émanation de gaz nocifs (des études existent a ce sujet).L’aspiration doit se faire tous les deux ou trois jours. C‘est une contrainte énorme que vous demandez aux habitants des bateaux ; plusieurs fois par semaine aller chercher le tuyau le mettre dans la cuve attendre 1 ou 2h pendant l‘aspiration... Et cela tout en sachant qu‘un seul bateau à la fois peut aspirer.De plus ce système d‘aspiration a des échos très négatif sur son bon fonctionnement. Cela aussi a été communiqué à plusieurs reprises.Il est tout simplement impossible de mettre en place un tel système et penser qu’il va être utiliser !D’autres solutions existent !3- La nature du pont à l’entrée de la garde d‘eau n’est pas précisée.Celui ci doit être suffisamment haut pour laisser passer les bateaux.Dans le cas d‘un pont levant, ou ouvrant, la gare d’eau sera asphyxiée.e fait la volonté d‘y implanter une halte nautique sera vouée à l’échec.4-Cette rénovation souhaitait ne doit pas être l‘occasion d’une augmentation du prix des stationnements entraînent une sélection par l’argent des futures occupants.5-Le calendrier concernant le déroulé des travaux semblent très optimistes.Aucune prise en compte de la situation sanitaire actuelle.Il faut préciser a partir de quelle phase le retour des bateaux est possible.

13 - Julien Poix - Registre numérique - 25/11/2020 18h42Gare d’eau des Bois-Blancs : un projet à affiner avec les habitantsUn important projet de réaménagement de la gare d’eau des Bois-Blancs est prévu par la mairie et la métropole européenne de Lille. Ce projet s’inscrit dans une vaste opération d’aménagement urbain de 33 hectares en lien avec Euratechnologies, l’îlôt Boschetti et les quartiers du Marais et des Aviateurs.La concertation est largement entamée avec les habitants et le collectif Gare d’eau en ce qui concerne le réaménagement du port. La zone doit rester un lieu d’habitation et de vie culturelle.La France Insoumise appuie et soutient les demandes de précision formulées par le collectif et les habitants.

Plusieurs éléments demandent à être clarifiés :- Le délai laissé à l’enquête publique est trop court. Elle s’achève le 1er décembre. Nous nous questionnons sur la pertinence d’avoir maintenu cette enquête dans une période de confinement qui ne facilite pas les choses. La France insoumise pense qu’il est plus sage de demander un décalage pour la fin de l’enquête.-L’impact des travaux est un point important qui demande de l’attention. Un nivellement du fonds de l’eau à 2m est prévu. Un problème se pose : le déplacement de sédiments pollués risque d’avoir un impact négatif sur la flore et la faune aquatiques. La non- toxicité de ces sédiments a été établie sur la base très réduites de 3 échantillons moyens. Cela ne nous paraît pas suffisant. Nous demandons que le temps soit pris pour établir une contre-expertise et une étude plus poussée. Par ailleurs, la zone de drainage doit être isolée et les zones refuges pour la faune et la flore sont à protéger.- Nous invitons à la vigilance : les bureaux d’étude n’ont pas relevé la présence de zones de nidification et de frayères pour la reproduction des poissons. Or le collectif et les sociétés de pêches en signalent. Les frayères en particulier sont menacées par le dévasage. La DREAL ne semble pas au courant.

-En ce qui concerne l’aménagement du port il y a des avancées positives avec notamment le maintien d’une jetée. Des points restent à améliorer : la gestion des eaux usées pour les bateaux en vie constante sur le site est à clarifier. Le collectif propose la mise en place d’une gestion phytosanitaire des eaux usées. C’est une proposition que nous soutenons.Le réaménagement de la place Méo et la suppression de 20 places de parking impliquent des solutions alternatives afin que les riverains puissent continuer à avoir accès à un stationnement proche. Il nous apparaît souhaitable de chercher à maintenir les 38 places existantes en développant des solutions de type « parking -silo ». Enfin, nous rappelons que l’extension de la place sur l’eau doit être limitée à 600 m². Or, il est mentionné à plusieurs reprises dans le dossier une extension de 1200 m².La France Insoumise Lille reste donc vigilante sur la suite de la concertation et sur la conduite des travaux d’aménagement de la gare d’eau. Le quartier doit rester un lieu d’habitation et de vie culturelle. Les travaux doivent se faire dans le respect des riverains et dans un soucis de préservation de la faune et la flore existantes. Nous demandons également que soit co-construit avec les associations et les habitants une vision claire sur l’avenir de la gare d’eau.

10 , 11° et 12° - Collectif De La Gare D'eau - Lille - Registre numérique - 25/11 Le collectif de la gare d'eau, reconnu comme maitrise d'usage par les institutions publiques (MEL et villes), souhaite amener son avis à cette présente enquête. L'avis complet se trouve en pièce jointe à la lecture du commissaire enquêteur et pour tousVoir pièce jointe 2020-11-collectif-contribution-enquete-gare-deau sur site www.petitjournalboisblancscanteleu.wordpress.com article « divers documents »

9 - Dominique V - Lille - Registre numérique - 23/11Le projet d'un port de plaisance et d'un environnement boisé et aéré changerait le cadre de vie du quartier du marais de Lomme, trop impacté par les activités industrielles toutes proches. Des mesures visant à reconsidérer la qualité de l'air à l'endroit du projet seront-elles envisagées ?

8 - Denise - Lille - Registre numérique - 23/11Bonjour,En premier lieu, il serait nécessaire d’avoir un vrai trottoir pour aller de la rue Victor Hugo au port de plaisance. Actuellement la rue Hegel est envahie de voiture qui considèrent les trottoirs comme des parkings.Ensuite l'îlot Boschetti est envahi par les matériaux de STB; cel procure poussières et bruits constants.De toute évidence il faudrait faire déménager le groupe Derichebourg, bien trop étendu qui occasionne beaucoup de passage de camions, de bruits et de pollutions olfactives et de poussières.Le projet est très beau et j'ai hâte de pouvoir profiter des infrastructures qui seront bientôt réalisées .7 - Nathan Corbeaux - Lille - Registre numérique - 20/11Bonjour. Je fais suite à la lecture du projet et a l étude piscicole. Habitant localement (quai de l ouest) et étant pêcheur je peux confirmer qu une petite population brochet est bien présente. L étude date de novembre et constate qu il n y a pas d herbiers. C est normal les herbiers descendent en hiver et remontent au printemps. Il y a en plus de visible en été beaucoup d algues et quelques nénuphars. Il aurait fallu bien sûr faire l étude au mois ou les végétaux sont visibles.... De même depuis l année dernière nous pouvons constater une population de petits sandres qui laissent donc constater que il y a une reproduction de sandres et donc une présence de sandres d une certaine taille.

5 - Charlie - Registre numérique - 18/11

Bonjour, je suis habitante des bateaux et membre du collectif lagardoNous avons travaillez ensemble sur ce projet et cela commence à prendre forme , seulement quelques points restent encore à éclaircir pour nous habitant de la jetée.Le premier point qui pour moi reste compliqué dans la projection d’un retour sur la jetée est l’assainissement . L’assainissement par aspiration proposé ne permet pas une expulsions des eaux usées quotidienne. Car cela va prendre du temps et nous demander une organisation entre habitants très lourde .De plus je ne suis pas sûr que tous les bateaux puissent être raccordés à ce système . Qu’adviendra T il des bateaux ne pouvant être raccordé ?Pourquoi d’autres système d’assainissement n’ont pas été pris en compte ?Le deuxième point est le déménagement des bateaux , combien de temps allons nous rester sur les emplacements provisoires ? Quand allons nous réellement pouvoir réintégrer la jetee ? Sous quelle condition ? Quels vont être les COT ?De plus 3 bateaux restent en interrogation quand à leurs emplacements provisoires sur la plaine des vachers .Le troisième point qui m’interroge est le ramassage des ordures , va t il y avoir un local poubelle place meo ou autre .En attente éclaircissement de ces interrogationsBien à vous,

4 - Jeanne - Registre numérique - 17/11Je souhaite participer à cette enquête publique en tant que future habitante et propriétaire du quartier Bois-Blancs et plus particulièrement de la gare d’eau.Afin de dynamiser le quartier et d’en faire un pôle attractif, j’aimerais que ce port de plaisance soit davantage animé : bar, salons de thé, petits commerçants… Cela permettrait non seulement de faire vivre le quartier mais aussi de permettre à des commerçants de proximité de s’implanter dans un quartier en plein développement. Le kok piraat a su le faire, et nous sommes dans une configuration de quartier agréable, pourquoi ne pas exploiter l’eau et donc les péniches pour abriter ces commerces.

De plus, j’aimerais que des commerçants engagés puissent s’implanter dans le quartier, ce qui serait dans la nature même du quartier qui se veut en lien avec le développement de la biodiversité. Je pense notamment à des commerces zéro déchet ou bio et locaux. D’autant que ces commerces seraient en accord avec la cible du quartier à mon sens.Toujours concernant le cadre de vie, je pense qu’il serait judicieux d’exploiter le port de plaisance, au-delà des stationnements de péniche. Il en existe à la citadelle, mais pourquoi pas proposer des activités nautiques comme du paddle, du kayak ou bien du pédalo.Concernant les habitants, ils sont déjà engagés dans une démarche de quartier : des composteurs collectifs à disposition, une bière locale créée par les habitants eux-mêmes, la fête de la gare d’eau… Ne serait-il pas judicieux de conserver cette dynamique, de la développer et de proposer des animations en ce sens ? Pour favoriser cela, nous pouvons penser par exemple à des jardins partagés ou un lieu d’écoute, de regroupements d’habitants.Concernant la biodiversité, je pense qu’il est primordial d’utiliser l’eau comme une ressource dans le quartier. De plus, des arbres pourraient être plantés en lien avec les habitants : un arbre par naissance par exemple. Pour compléter ces propos liés au développement de la biodiversité, la gare d’eau devrait être piétonne et partagée avec les deux roues par exemple. Cela permettrait aux animaux de pouvoir regagner une place sur le lieu.Ces propositions sont encore un peu vagues car je ne sais pas ce qui est possible à réaliser dans ce quartier. Je peux me tenir à votre disposition ce vendredi 20 novembre après-midi, lors de la permanence, afin de vous rencontrer. N’hésitez pas et merci à vous pour le temps accordé à ma proposition.Cordialement,

2 - Guy Botin - Dunkerque - Registre numérique - 16/11Monsieur le Commissaire enquêteur,Dans l’impossibilité de se déplacer actuellement, la consultation du dossier numérique est quasiment la seule possibilité et cette consultation est particulièrement difficile. Cela ne facilite pas la compréhension du public. Il manque un résumé technique plus abordable pour les non spécialistes.Ceci dit j’observe que le but est une requalification de la gare d’eau de Lille/Lomme, avec des réaménagements importants. Ceux-ci ont pour objectif d’améliorer le stationnement des péniches, des résidents actuels et futurs mais aussi de permettre un lieu d’accueil des plaisanciers de passage – quasiment inexistant aujourd’hui dans l’agglomération Lilloise.Si la réglementation prévoit pour les nouvelles unités construites un système de traitement ou un stockage des eaux noires et des eaux usées autonome dans les bateaux, nombre de ces bateaux n’en sont pas équipés et pour beaucoup il est même impossible de les équiper.Afin d’éviter les rejets directement dans l’eau du canal, il est donc nécessaire de prévoir des équipements adaptés à

proximité des quais pour permettre (1) aux bateaux déjà équipés de vider les cuves (2) aux bateaux non équipés d’éviter autant que possible ces rejets, à savoir des W.C., des douches, des machines à laver.Sauf erreur de ma part, je n’ai pas vu ce point dans le dossier qui pourtant a un impact sur la qualité des eaux.Je vous remercie de bien vouloir porter cette observation à l’attention du gestionnaire.

3 - Collectif Garedeau - Courriel - 06/11/2020 19h27Madame, Monsieur, Veuillez trouver ci-joint un courrier du collectif de la gare d'eau concernant le démarrage de l'enquête publique relative à la demande d'autorisation environnementale portant sur l'aménagement du port de Lille Lomme.Vous en souhaitant bonne lecture.Cordialement, Le collectif de la gare d'eau

A Lille, le 06/11/2020

Monsieur Kawecki, commissaire enquêteur, officier de gendarmeMadame Martine Aubry, Maire de la ville de LilleMonsieur Roger Vicot, Maire de la ville de LommeMonsieur Stanislas Dendievel, Adjoint Urbanisme – paysage – nature –

agriculture urbaine – eau – action foncière et immobilièreMonsieur Akim Oural, Adjoint Ville numérique, en charge de la mairie de

Bois Blancs, président du conseil de quartier de Bois BlancsMonsieur Damien Castelain, président de la MEL

Madame, Monsieur,

Nous avons eu connaissance du lancement de l’enquête publique concernant le projet de réaménagement de la gare d’eau à la date du 16 novembre 2020.Compte-tenu de la situation sanitaire actuelle et le confinement déclaré en date du 30 octobre jusqu’au 1er décembre, comment tenir une enquête publique avec la sollicitation des habitants à se déplacer dans les différentes permanences dédiées ? L’équipement numérique n’est malheureusement pas homogène chez toute la population pour pouvoir consulter le dossier à distance.La situation sanitaire actuelle génère un déséquilibre dans la consultation et ne permet pas une mobilisation des habitants à la hauteur des enjeux liés à ce projet.

Nous demandons donc le report de cette consultation publique.

Cordialement,

Le collectif de la gare d’eau