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comme si j'avais mangé du poivre..." QUOI ? OU ? COMMENT ? QUAND ? poun, les sensations, les douleurs, mais aussi to perturbations dans le déroulement des dive tions : digestive (appétit, digestion...), urinaire, toire... et toutes celles des organes, ainsi symptômes qui S'EXPRIMENT EN MEME au dos ou insomnie pendant un rhume, anxiété la fièvre, ou irritable par la douleur par e ll peut être intéressant de noter les élémentE dire : "Je suis bien" ou "Je ne me sens pas il va neiger, après un bain, au printemps, au la mer, quand il va y avoir un orage ou par brouillard, etc...c'est-à-dire que ces circonstances, sans provoquer des sym précis, créaient un mal-être général. A prendre aussi en considération les désln, sions alimentaires, les symptômes du som de réveil, d'endormissement, de som symptômes sexuels. La liste des symptômes proposés ici est que non exhaustive. Tout est possible dane el être bizarre et particulier. Mais it ne faut pâ* nature pour se trouver des symptômes. précisions égareraient le médecin. Un s6ul franc, net et précis, vaut mieux que cinqu mes flous et incertains. QUE PEUT.ON OBSERVER CHEZ UN ENFÂNT ? OUAND lL EST BEBE la tâche de I'homoeopathe est rendu plus difficile, le jeune patient ne pouvant verbaliser ce qu'il ressent : restent alors les symptômes accessibles à tout observateur averti. Très tôt on peut observer son comportement général qui va se traduire par des réac- tlons aux éléments extérieurs, son rythme, ses fonctions. . Sa sensibilité : - Aux bruits : quels bruits l'éveillent ? Réagit-il à la musique ? de quelle manière?... - Au mouvement : la plupart des enfants s'endorment guand on les berce, certains se calmeront si vous les prenez dans vos bras et que vous marchez rapidement ; pour d'autres il faut marcher lentement ; certains pleurent ohaque fois que vous leur faites effectuer un mouvement de haut en bas (en les posant dans leur lit par €xemple),... = Au contact : les petits enfants aiment le bain, les 169 168 1 / 5

PEUT.ON OBSERVER CHEZ UN ENFÂNT

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comme si j'avais mangé du poivre..."QUOI ? OU ? COMMENT ? QUAND ? poun,

les sensations, les douleurs, mais aussi toperturbations dans le déroulement des divetions : digestive (appétit, digestion...), urinaire,toire... et toutes celles des organes, ainsisymptômes qui S'EXPRIMENT EN MEMEau dos ou insomnie pendant un rhume, anxiétéla fièvre, ou irritable par la douleur par e

ll peut être intéressant de noter les élémentEdire : "Je suis bien" ou "Je ne me sens pasil va neiger, après un bain, au printemps, aula mer, quand il va y avoir un orage ou parbrouillard, etc...c'est-à-dire que cescirconstances, sans provoquer des symprécis, créaient un mal-être général.

A prendre aussi en considération les désln,sions alimentaires, les symptômes du somde réveil, d'endormissement, de somsymptômes sexuels.

La liste des symptômes proposés ici estque non exhaustive. Tout est possible dane elêtre bizarre et particulier. Mais it ne faut pâ*nature pour se trouver des symptômes.précisions égareraient le médecin. Un s6ulfranc, net et précis, vaut mieux que cinqumes flous et incertains.

QUE PEUT.ON OBSERVERCHEZ UN ENFÂNT ?

OUAND lL EST BEBE la tâche de I'homoeopathe estrendu plus difficile, le jeune patient ne pouvant verbaliserce qu'il ressent : restent alors les symptômes accessiblesà tout observateur averti. Très tôt on peut observer soncomportement général qui va se traduire par des réac-tlons aux éléments extérieurs, son rythme, ses fonctions.

. Sa sensibilité :

- Aux bruits : quels bruits l'éveillent ? Réagit-il à lamusique ? de quelle manière?...

- Au mouvement : la plupart des enfants s'endormentguand on les berce, certains se calmeront si vous lesprenez dans vos bras et que vous marchez rapidement ;

pour d'autres il faut marcher lentement ; certains pleurentohaque fois que vous leur faites effectuer un mouvementde haut en bas (en les posant dans leur lit par€xemple),...

= Au contact : les petits enfants aiment le bain, les

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massages. Comment y réagit-il particulièrement, en

fâchant quand ça s'arrête ? en pleurant au contactI'eau ?... Comment supporte-t-il d'avoir ses c0

souillées ? Comment réagit-il si vous I'approchez dh

source cie chaleur ou de froid ? ,

. Ses rythmes :

De sommeil, de veille, de faim, de

. Ses fonctions :

- Digestive : est-il glouton ? sansréagit-il au lait de la mère ? est-il

La digestion semble-t-elle difficilesignes ?

appétit ?insatiable ?

? quels en

D'élimination : ses selles, leur consicouleur, leur odeur, les épisodes de diarrh6econstipation succèdent-ils à des événements(changement de rythme, éloignement de lareprend le travail ou changement de nourriturlr

Transpire-t-il ? quand ? de quelles parties du 0r

Son urine, odeur, couleur ? !

Lorsque le bébé souffre, lepar des cris, des pleurs oucontribuer efficacement àsachons repérer :

plus souvent colades gémissem

la recherche du,r

- Les circonstances d'apparition de l'état dePar exemple : changement de temps ou dg

climat familial, I'absence de la mère, une vaccination

malencontreuse, etc...

Ce qui modifie la souffrance : les heures de lajournée et de la nuit, la chaleur, le froid, semble-t-il

apprécier davantage d'être couché que d'être porté ?

Si le bébé a de la fièvre, à quel moment de la journée

se manifeste-t-elle le plus ? comment est-il ? plutôt

rouge, pâle ? a-t-il la peau sèche ? transpire-t-il ? de

quel endroit du corps, des parties couvertes ou décou-

vertes ? son appétit s'est-il modifié ?

A propos de la fièvre, il est peut-être important de se

rappeler qu'il s'agit là du meilleur système de défense

Contre toute infection, que I'anxiété de la mère devant

I'enfant malade est peut-être plus nocive que Ia fièvre

elle-même. Par contre il n'est pas, non plus, nécessaire

dc I'augmenter en surchauffant la chambre ou en

multipliant brassières et couvertures, ou en faisant

consommer des produits animaux. un bain dont latCmpérature se situe à 1' au-dessous de la température

du corps soulagera le malade. ll est bon de respecter

lc désir du malade d'être couvert ou découvert. HAH-

NEMANN dit que dans les maladies aiguës, phase

délirante exceptée '" "L'instinct canservateur de la vie

€/ors ardent, parle de manière si claire et si précise que

le tnédecin n'a qu'à recommander à Ia famille de ne point

EOntrarier cette voix de la nature. Ne refusez pas au

ntslade tout ce qu'il désire, tout ce qu'il demande avec

171170

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insistance, et n'e cherchez pas non ptus à tut afTfllà le persuader de prendre des choses qui pourrâraatnuire et qu'il ne demande pas': (1)

QUAND lL GRANDIT I'observation des symptôm€!premiers mois de sa vie va devenir de plus en plu:donc de plus en plus passionnante, puisque révôd'une personnalité qui commence à s'exprimer,peu I'enfant entre en relation avec son entourAge,gens, les choses... Nous avons là une mine dg fytômes.

voici quelques "flashes" pour attirer I'attention turou tel secteur de la vie de I'enfant, et peut-êtreavec plus de recul ses réactions. De cettedépendra la richesse des symptômes.

. Relation avec la mère ou le père- Comment se comporte-t-il ? Est-il exclusif ? ,,

ché à vos jupes" ? Un charmant tyran ou un chné ? Use-t-il du mensonge ? de violence ?capricieux ? jaloux ? dans quelles circonstances ? ;

rl

- Comment réagit-il aux limites que vous lui impo!!$dans la manière d'agir, de s'exprimer ? A ses proBilllimites, de par sa taille, son âge ?

1. HAHNEMANN "Organon" par. 262

172

Relation avec I'entourage'

- comment réagit-il aux marques d'affection ou d'at-

ntion données à ées frères et sæurs ? Que provoquent

avec violence ?

Si vous devez vous absenter, comment se comporte-

avant, Pendant, aPrès ?

'noqu"'i"'?lacontradiction?Cherche-t-il..la

- comment réagit-il si I'ambiance familiale est ora-

g.uré-Z ou subit -une

épreuvé ? si un membre de la

iamille s'absente quelques jours?

- Comment se comporte-t-il lorsqu'on part en voyage ?

lorsqu'on revient ?

-Lorsquequelqu'und'étrangeràlafamillearrive,fuit-il ? est-il iacilement à I'aise ? joue-t-il son "m'as-tu vu" ?

-Lespremiersjoursàl'école?lesrapportsavecla173

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maîtresse ? comment se passent les récréations

- Les réactions à I'apprentissage de la propretÉ,.fla discipline ? de la politesse ? du service' ? |

LE JEU, activité centraleimmensément riche pourimaginaire et ses capacitéslibrement"

de la vie d'un eI'observateur. Son

Sa manière de jouer est révélatrice de sadu monde, des angoisses et des aspirationsdécoulent, des réponses qu'il y apporte : nougdonc là des symptômes précieux pour I'parce qu'ils caractérisent I'enfant.

Quels sont ses jeux préf érés ? préfère-t-ilou en compagnie ?

. ll joue avec d'autres enfants- Rentre-t-il facilement en contact ? de q

nière ? ou bien comment se comporte-t-il ?

- Recherche-t-il des enfants plus jeunes, plue

- Se comporte-t-il ennique ? ou bien est-il

créatrices se dé

chef ? chef protecteurun acteur peureux ? o

Cherche-il la protection dSdociment aux ordres ?d'en être bien vu ?

- Comment réagit-il si on lui prend ses

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prête-t-il facilement ?

Comment accepte-t-il de perdre ? cherche-t-il àtricher ? est-il victime de son étourderie ?

- Cherche-t-il à s'affirmer par I'autorilé ? la force ?la violence ? en s'inventant une vie différente de cellequ'il a ou un père infiniment plus riche et plus fort quecelui qu'il a ?

- En cas de dispute, agit-il avec violence ? de quellemanière ? la voix, les gestes ? fuit-il peureusement ?

se met-il à pleurer ? S'il se met en colère comment celase manifeste-t-il dans ses gestes, son langage, sur sonvisage ?

- Cherche-t-il à résoudre ses difficultés seul ? ou avecl'aide d'une main secourable qu'il va chercher ?

- Quels sont ses jeux de prédilection ?

. tl joue seul- A quoi ? S'il s'imagine un personnage, quels en sont

les pouvoirs ? est-il un être généreux ? protecteur desfaibles ? cruel ? puissant ? riche ? effrayant ? doux ?tendre ?

* Avec les objets, les jouets, est-il soigneux ? ordon-né ? destructeur ? curieux ? maladroit ?

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. L'environnement physique- Quelles sont res différences perceptibres rorsqu,ilà I'intérieur ou à I'extérieur ?

- Comrnent se comporte_t_il avec les animaux ?animal préféré est-ir son souffre-doureur i ron cdent ? son consolateur ? sa propriété exclusivedevient-il le protecteur ?

-_S'il a peur de I'obscurité, comment cela se mant-tl,? une lampe suffit-elle à le rassurer ou lui taut,présence ?

tristesse.

- La musique est-eile un érément important de sgcomment cela se manifeste_t_il ? ii

. Nous pouvons également reprendre ce qul

:jr::::l"r ,t" bébé en parricuribr. poui

"" qrif.19' ryth mes, r"'-rï"".tË;:ïi h'i#;] ï'"Hfj

lî,i^t-,1:lt_ apparlîrl9 ou se conriimei. oZiï'r.,vv,,r c.1,vctrcur.re uu se conllrmgr. Déjà lee,alimentaires vont s'affirmer. Les seile, s"roïi parfrmoyen privirégié d'exprimer une contrariété, ra'cà,fi

Pour les états de souffrance on pourra faire laobservation que pour les nourrissons.

OBSERVER UN ANIMAL

Pourquoi lui avez-vous choisi ce nom ? A-t-ir unsurnom ? sont-ils significatifs d'un défaut ? d'une qua_lité ? physique ? de son caractère ?

SON COMPORTEMENT- Avec ses congénères ou res animaux de son espèce,

Êe comporte-t-ir en chef ? est-ir peureux ? doux ?solitaire ? amicar ? courageux ? distant ? agressif ?tier?... qu'est-ce qui vous le fait dire ?- Avec vous ? avec res gens qu'ir conn aît ? comment

réagit-il si vous parrez, si querqu'un d'autre s,en occupe ?- Avec les étrangers ?

- Avec les enfants ?.- Dans une foule ?

Quel est son plus gros défaut ? sa plus grandequalité ?

. A-t-il des habitudes ? lesquelles ?, L'obscurité, y réagit-il ? comment ?, Comment réagit-il quand on lui apporte son repas ?

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