2015 - SP22 - S1 (semaine 1)

I4 HYPERURBANITE

Barbé Paul Antoine - Gueye El Hadji Mamadou - Sarvary Anaïs - Rousson Florianne - Trémouilles Hugo - Versaci Eve - Marie Woods

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4 5

Hyperurbanité dans des quartiers résidentiels (max R+4). Espace au sol saturé d’éléments qui nous rappellent la ville.

Répétition d’éléments ponctuels caractéristiques de l’urbainRue = salon commercial : appropriation spontanée de l’espace publicNotion de nature en ville

Contraste d’ambiancesCalme et points de vues Densité vécue et perçue

1

2

3

Proximité et confrontation entre intime et public

Cheminement et surprise dans la ville Reconnaissance d’un groupe : esprit communautaire dans l’enceinte même du bâtiment - « unité » dans la ville

4

5

IMAGES D’INSPIRATION

6 ETAGES : 1 immeuble = 600 m ²330 immeublesOccupation du sol = 68%

12 ETAGES : 1 immeuble = 1200 m ²165 immeublesOccupation du sol = 34%

20 ETAGES : 1 immeuble = 2000 m ²100 immeublesOccupation du sol = 20,8%

35 ETAGES : 1 immeuble = 3500 m ²58 immeublesOccupation du sol = 12%

50 ETAGES : 1 immeuble = 5000 m ²40 immeublesOccupation du sol = 8,3%

TESTS DE DENSITECOS 4

CONTEXTE

SITE : Ouvert sur le fleuve et le parc Au centre de la ville

Test de zoningRelation entre les îlots

TESTS DE COMPOSITION

OBJECTIFS POUR LA SUITE

Au sol l’aspect de la ville tend vers la communauté (elle est basse, dense et les parcours individuels sont arrêtés et guidés par des éléments urbains). Par ailleurs, elle se révèle plus individualiste en hauteur. Les villes hautes sont caractéristiques du contemporain.

Notion de vue et d’éléments perçus : ces éléments ponctuels nous rappellent que nous sommes en milieu urbain. Ainsi, un contraste entre la vie intime et le public se créer en proximité.

S2 (semaine 2)

Test en maquette :Immeubles hauts en contraste avec la ville basse et médiévale.

Nous comprenons qu’il est necessaire de radicaliser notre

propos pour la suite.

DES IDÉES QUI SE CONCRÉTISENT

Dualité qui créer des hiérarchies :- dans le bâtit (haut et bas), - et dans les espaces publics extérieurs (rues piétonnes, routes, places, ...).

Circulations horizontales et verticales.

PLAN NOLLI ET MAQUETTE TESTÉchelle 1/333

ÉTAPE 1 :Création d’un dédale à partir d’un module en L

ÉTAPE 2 :Projection d’un axe de circulation

ÉTAPE 3 :Percée dans le bâtit au sol

DIAGRAMME CONCEPTUEL

ÉTAPE 4 :Densification verticale

ÉTAPE 5 :Percée dans le bâtit vertical

CONCEPTION — REALISATION

S3 (semaine 3)

PLAN NOLLI

CONCEPTION — REALISATION

TRIPTYQUE

TEXTE

I4Hyperurbanité

Paul-Antoine BARBÉ, El Hadji MAMADOU, Florianne ROUSSON, Anaïs SARVARY, Hugo TREMOUILLES, Eve VERSACI, Marie WOODS

Nous interprétons le milieu urbain comme étant le lieu de rencontre d’une variété de qualités plus ou moins contradictoires avec des densités perçues changeantes. Les hauteurs de nos bâtis nous permettent de traduire cette idée : d’un côté, les hautes tours desquelles l’individu a une vue dégagée surplombant toute la ville, de l’autre, des blocs formant les rues plus étroites dans lesquelles la vue d’horizon de l’individu est arrêtée. Le premier système de bâtiments mis en place est composé de trois niveaux et dessine des rues principalement piétonnes, accueillant les évènements urbains de la petite échelle. Le second est celui des tours qui représentent la grande échelle de la ville contemporaine c’est-à-dire la verticalité, les routes, les grandes places. Les commerces de rue, les tours, les passages, les places, les ruelles, les routes s’accumulent et s’interconnectent pour faire de la ville un ensemble d’ambiances et d’expériences sensorielles. Les espaces publics sont investis au sol et en hauteur. Ainsi, la circulation se fait aussi bien horizontalement que verticalement. Les espaces privés et publics sont interconnectés. S’ajoutent aux flux les moments d’arrêt. Les lieux habités et donc reconnus par les habitants ont une identité inhérente à la ville qui la qualifie.

L’hyper-urbanité est donc l’accentuation du rapide (petite échelle, impression de forte densité, celle de la rue commerçante et des évènements urbains ponctuels) en contraste avec le lent (moments d’intériorité et de recul par rapport au milieu urbain). Ces deux vitesses sont reliées et leur relation crée une complexité urbaine riche d’expériences variées.

DESSIN

IMAGE

LA MAQUETTE