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176 16e Congrès de pneumologie de la
Stade II Stade III Stade IV Total p
(n = 213) (n = 143) (n = 99) (n = 464)Nombre
d’exacerbationdurant la 1èreannéeEffectif analysé 213 143 99 464Moyenne (± ET) 1,8 (± 2,2) 2,5 (± 2,3) 2,3 (± 2,2) 2,1 (± 2,2) 0,02
Nombred’exacerbationdurant la 2èmeannéeEffectif analysé 213 143 99 464Moyenne (± ET) 1,3 (± 1,7) 1,8 (± 1,7) 1,9 (± 2,3) 1,6 (± 1,8) < 0,01
Nombred’exacerbationdurant la 3èmeannéeEffectif analysé 213 143 99 464Moyenne (± ET) 1 (± 1,5) 1,6 (± 1,7) 1,7 (± 1,8) 1,4 (± 1,6) < 0,0001
Nombred’exacerbationdurant la 4èmeannéeEffectif analysé 213 143 99 464Moyenne (± ET) 0,8 (± 1,2) 1,6 (± 1,8) 1,6 (± 2) 1,2 (± 1,6) < 0,0001
Nombre moyenpar and’exacerbations(4 mesures)Effectif analysé 213 143 99 464Moyenne (± ET) 1,2 (± 1,2) 1,9 (± 1,4) 1,9 (± 1,7) 1,6 (± 1,4) < 0,0001
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.818
30neumothorax spontané. À propos de 152 cas. Morad , H. Benjelloun , N. Zaghba , A. Bakhatar , N. Yassine ,. Bahlaoui
Service des maladies respiratoires, CHU Ibn Rochd, Casablanca,aroc
e pneumothorax spontané primitif ou secondaire constitue souventn épiphénomène dans plusieurs pathologies pulmonaires. Nousapportons une étude rétrospective portant sur 152 cas de pneu-othorax spontané admis au service des maladies respiratoires duHU Ibn Rochd entre 2008 et 2010. Il s’agit de 146 hommes (96 %)t six femmes (4 %). La moyenne d’âge est de 46 ans (18—77 ans).e tabagisme est retrouvé dans 123 cas (81 %) avec une consomma-ion moyenne de 34,6 paquets années. L’antécédent de tuberculoseulmonaire est retrouvé chez 28 patients. Le tableau clinique estominé par la douleur thoracique et la dyspnée. La radiographiehoracique objective un pneumothorax unilatéral total dans 109 cast partiel dans 43 cas. Le traitement est basé sur le repos dans touses cas, l’exsufflation dans 67 cas, le drainage thoracique d’embléans 44 cas, après échec des exsufflations dans 27 cas. La chirurgieété indiquée d’emblé dans neuf cas et après drainage thoraciqueans cinq cas. L’évolution est marquée par le retour complet du pou-on à la paroi dans 129 cas et le décès dans deux cas. Le scanner
horacique, réalisé chez 49 patients, objective une dystrophie bul-euse dans 61 cas. La bronchopneumopathie chronique obstructiveBPCO) représente l’étiologie prédominante dans 95 cas (62,5 %),uivie de séquelles de tuberculose dans 15 cas (9,9 %), d’un asthmeans trois cas (2 %), et d’une pneumopathie infiltrante diffuse danscas (1,3 %). L’étiologie est indéterminée dans 37 cas (24 %). Leneumothorax spontané constitue une pathologie fréquente enneumologie et l’étiologie la plus fréquente reste dominée par la
PCO.oi:10.1016/j.rmr.2011.10.819
dLm
francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012
31pport de l’indice de Bode (IB) dans l’évaluatione la sévérité d’une BPCO. Nejjari , S. Boumzaoued , L. Nfissi , M. Elbiaze , B. Amara ,. Serraj , M.C. Benjelloun
Service de pneumologie, CHU Hassan II, Fès, Maroc
ntroduction.— L’indice de Bode (IB) est mis en place par Celli enue d’apprécier la sévérité de la BPCO. Il repose sur l’évaluation duEMS, de la dyspnée (échelle Medical Research Council), de l’IMCt de la distance parcourue au test de marche de 6 min.ut.— Analyser la corrélation entre l’IB et la classification de laPCO selon Gold.atients et méthodes.— Étude rétrospective incluant 64 patientsuivis pour BPCO à la consultation de pneumologie du CHU de Fès.’analyse statistique est faite par le logiciel SPSS17.0.ésultats.— L’âge moyen des patients est de 61 ans. Le tabagismest retrouvé dans 53 cas (82 %). L’HTAP est noté dans 18 cas (28 %),7 cas (27 %), l’hypercapnie dans 23 cas (36 %) et 23 cas (36 %) sontu stade d’IRC, dont dix cas (16 %) sont sous OLD et/ou VNI.es stades de BODE sont répartis en deux groupes : groupe 1 (quar-ile 1 et 2) et groupe 2 (quartile 3 et 4). Globalement, il existe uneorrélation significative et l’indice de corrélation globale est de,586 (p = 0,01). Pour le groupe1, il n’existe pas de corrélation entrees quartiles du Bode et les stades du GOLD, l’indice de corrélationst de 0,422 (p = 0,115). En revanche, dans le groupe 2, il existe uneorrélation significative entre les quartiles du Bode et les stades duold, l’indice de corrélation est de 0,453 (p = 0,01).onclusion.— Globalement, l’IB et les stades de Gold sont bienorrélés. Cette corrélation ne semble exister que dans les stadesévères.
oi:10.1016/j.rmr.2011.10.820
32xacerbations de BPCO : à propos de 53 cas. Nechad , A. Elhouari , L. Nfissi , B. Amara , M. Serraj ,. Elbiaze , M.C. Benjelloun
Service de pneumologie, CHU Hassan II, Fès, Maroc
’exacerbation BPCO est une aggravation aiguë des symptômes dea BPCO reconnue comme anormale par le patient par rapport à sontat de base. Nous rapportons une étude rétrospective portant sur3 patients admis au service de pneumologie du CHU Hassan II pourxacerbation de BPCO.l s’agit de 52 hommes et une femme, l’âge moyen est de 64 ans.e tabagisme est noté dans 52 cas, treize patients sont suivis pourPCO (74 % stade IV). Le délai de consultation est de 19 jours. Lesymptômes majeurs sont la majoration de la dyspnée et la purulencees expectorations. Dans 36 cas l’exacerbation est sévère, modéréeans 16 cas et légère dans un cas. La cause de l’exacerbation est :neumonie (11 cas), surinfection bronchique (33 cas), insuffisanceardiaque gauche décompensée (quatre cas), processus néoplasiquequatre cas), pneumothorax (un cas). La prise en charge thérapeu-ique est basée sur : oxygénothérapie à faible débit (44 cas), VNIneuf cas), bronchodilatateurs, antibiothérapie (43 cas), corticothé-apie orale (18 cas), kinésithérapie respiratoire (30 cas), traitementardiotrope (sept cas), instauration voir ajustement du traitemente fond de BPCO dans tous les cas et un drainage thoraciqueun cas). Tous les patients bénéficient de mesures préventives enarticulier le sevrage tabagique avec indication de vaccination.’évolution en hospitalier est marquée par le décès dans un cas.a durée moyenne d’hospitalisation est de dix jours. Le suivi estarqué par la survenue d’exacerbation chez sept patients dans un
élai moyen de sept mois.’exacerbation de BPCO est un accident grave associé à uneorbi-mortalité accrue, avec diminution de la qualité de vie, une