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Cette fiche est tirée du site http://www.epaves.corsaires.culture.fr/ Collection Grands sites archéologiques http://www.grands-sites-archeologiques.culture.fr éditée par le Ministère de la culture et de la communication (SG / SCPCI / DREST). Mél. : [email protected] 1 aux XVII et XVIII ème siècles A travers l’exemple des épaves de la Natière, nous avons vu que les abords de Saint-Malo n’étaient pas des plus faciles d’accès. Et pourtant, c’est dans ce lieu que s’est développé l’un des ports les plus importants des côtes françaises aux XVII et XVIII ème siècles. Les armateurs malouins surent développer des échanges commerciaux en s’appuyant sur la pêche de Terre- Neuve ou sur les toiles qu’ils exportèrent dans toute l’Europe. Et, en retour, leurs navires rapportèrent à Saint-Malo de multiples marchandises. Et quand, la guerre ne permettait pas le commerce, ils se tournèrent vers la course. Enfin, une fois que les voies Ports, comptoirs et commerce maritimes ouvertes par les explorateurs permirent d’aller plus loin, les Malouins n’hésitèrent pas à armer des navires pour l’Inde, la Chine et le Pacifique. Mais comment se sont développés les ports de Dunkerque, Granville, Nantes ou Bordeaux ? Quels types de commerce ont mis en place les armateurs de ces villes ? Étaient-ils en concurrence directe avec ceux de Saint-Malo ? A toi de mener l’enquête. En attendant, voici des mots-croisés concernant la partie du site Internet intitulée «Echange et navigation». L’occasion de te familiariser avec certains mots dont tu auras besoin dans ton enquête.

Ports, comptoirs et commerce - Culture...10 : Il fut l'un des comptoirs de la Compagnie française pour le commerce des Indes orientales en Inde et par là l'un des grands ports de

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Collection Grands sites archéologiques http://www.grands-sites-archeologiques.culture.fr éditée par le Ministère de la culture et de la communication (SG / SCPCI / DREST). Mél. : [email protected]

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aux XVII et XVIIIème sièclesA travers l’exemple des épaves de la Natière, nous avons vu que les abords de Saint-Malo n’étaient pas des plus faciles d’accès. Et pourtant, c’est dans ce lieu que s’est développé l’un des ports les plus importants des côtes françaises aux XVII et XVIIIème siècles. Les armateurs malouins surent développer des échanges commerciaux en s’appuyant sur la pêche de Terre-Neuve ou sur les toiles qu’ils exportèrent dans toute l’Europe. Et, en retour, leurs navires rapportèrent à Saint-Malo de multiples marchandises. Et quand, la guerre ne permettait pas le commerce, ils se tournèrent vers la course. Enfin, une fois que les voies

Ports, comptoirs et commerce

maritimes ouvertes par les explorateurs permirent d’aller plus loin, les Malouins n’hésitèrent pas à armer des navires pour l’Inde, la Chine et le Pacifique. Mais comment se sont développés les ports de Dunkerque, Granville, Nantes ou Bordeaux ? Quels types de commerce ont mis en place les armateurs de ces villes ? Étaient-ils en concurrence directe avec ceux de Saint-Malo ? A toi de mener l’enquête. En attendant, voici des mots-croisés concernant la partie du site Internet intitulée «Echange et navigation». L’occasion de te familiariser avec certains mots dont tu auras besoin dans ton enquête.

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1 : Synonyme d'usine, terme venant d'un mot latin signifiant "fait à la main".2 : L'Aimable Grenot a été armé à la course, mais aussi au commerce. Mais vers quel port espagnol? 3 : Le commerce de traite porte un autre nom. On parle du commerce …4 : Quel ministre de Louis XIV fonda la Compagnie française pour le commerce des Indes orientales ?5 : Poisson pêché au large de Terre-Neuve par de nombreux navires malouins.6 : Ce port du nord de la France fut l'égal de Saint-Malo dans la guerre de course7 : L'un des lieux où l'on construisait des navires à Saint-Malo dès la seconde moitié du XVIIème siècle. Anse célèbre pour son donjon fortifié.8 : Activités frauduleuses, synonyme d'interlope.9 : Marchandise exportée de Saint-Malo. Elle porte différents noms selon sa texture et son origine : olonne, noyale, bretagne…10 : Il fut l'un des comptoirs de la Compagnie française pour le commerce des Indes orientales en Inde et par là l'un des grands ports de la première

moitié du XVIIIème siècle.11 : Statut particulier donné aux ports bretons par Charles VI.12 : Quelle "marchandise" transportaient les navires faisant le commerce de traite entre l'Afrique et les Antilles ?13 : Port lointain utilisé par les Européens pour le commerce.14 : Sept navires malouins y furent construits en 1664.15 : Cap à franchir pour le voyage à la Mer du Sud.16 : Après quelle guerre la Compagnie française pour le commerce des Indes orientales dut faire appel à des capitaux privés ?17 : Navigation commerciale de proximité.18 : Navire affrêté par la Compagnie anglaise des Indes Orientales. Terme signifiant littéralement "hommes des Indes".19 : Dans la Marine à voile, on ne parle pas de liste pour l'équipage, mais de …. d'équipage.20 : Nous ne pouvons plus connaître l'histoire de L'Aimable Grenot dans son ensemble à cause de la destruction des archives de cette ville. Laquelle ?