Pourquoi nous haïssons les Juifs

8/12/2019 Pourquoi nous haïssons les Juifs

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POURQUOI NOUS HAÏSSONS LES JUIFSM ARK DOWNEY

PREMIÈRE PARTIE

Maintenant que j’ai obtenu votre attention grâce à ce titre provocateur, permettez-moi de vous dire que, en utilisant le mot « haine », je ne veux pas parler du présumégazage ou de la crémation systématique de l’engeance la plus hideuse et sataniquesur la face de la Terre, bien que cette perspective constitue une considérationsérieuse pour le futur à la lumière de la prophétie biblique.

George Orwell prédit le « novlangue », qui aujourd’hui est appelé « politiquementcorrect » dans les états juifs communistes totalitaires appelés « démocraties ». Nousavons des lois sur les « crimes de haine », qu’Orwell appelait « crime par la pensée ».Lénine et Staline instituèrent le « crime par la pensée » très tôt dans l’Union So-

viétique officiellement athée. Les politiciens de carrière, étant parmi les premiersà interdire tout discours ou écrit anti-Juif sous les lois de « crime par la pensée »,ont légiféré ce qui est désormais connu par l’expression « discours de haine ». Lediscours de haine signifie tout ce que les Juifs détestent entendre, et plus spécia-lement la vérité sur eux-mêmes. Dès lors, la vérité est la haine pour ceux qui

haïssent la vérité.

J’aurais pu intituler ce message « La vérité sur les Juifs », mais je ne pense pas quecela aurait titillé le même nerf. Certaines personnes, dès maintenant, peuvent sedire que je suis vraiment culotté de parler ainsi du Peuple Élu de Dieu. Le cœurde ce message, cependant, est que si les gens savaient la vérité sur les Juifs, ilsles haïraient exactement comme je les hais, et ils commettraient un « discours dehaine » en rejetant l’idée selon laquelle les Juifs sont le Peuple Élu de Dieu. Dieua choisi les Juifs pour qu’ils remplissent un rôle, mais celui-ci est à l’exact opposéde ce qu’ils prétendent représenter. Ce qu’ils représentent réellement est le malet la méchanceté d’une nature antichrist dans le monde. Ils sont perpétuellementengagés dans un contrôle des dommages, de génération en génération, quand ils

ne sont pas expulsés en masse d’un pays tout entier. Par suite de leurs efforts, lesténèbres couvrent la Terre. Les Juifs sont une impasse pour cette planète.

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POURQUOI NOUS HAÏSSONS LES JUIFS M. Downey

Les gens qui ont passé leur temps dans une impasse n’aiment pas qu’un messagerfasse briller une lumière sur le mur d’en face. Les Chrétiens qui ont investi leurtemps dans le soutien des Juifs anticiperaient plutôt une évaporation nucléaire to-tale que la paix sur la Terre. Ce message va vous donner une longue liste, une listede linge sale à laver, une liste de raisons pour lesquelles les Chrétiens devraienthaïr les Juifs. Ne vous y trompez pas : les Juifs haïssent notre Prince Yahshua-Christ. Dieu continue jusqu’à aujourd’hui à avertir Son peuple de ne pas aider lesimpies et de ne pas aimer ceux qui Le haïssent. Quel est le résultat d’un tel soutienmalavisé ? « À cause de cela, il y a la colère sur toi de la part de Yahweh » (II Chron.19:2). Oui, de la colère, du jugement et de la punition !

Il n’y a jamais eu d’accomplissement de Genèse 12:3 – l’Alliance Abrahamique –avec des Juifs. Il semble que plus ils sont bénis, plus nous sommes maudits. Après2.000 ans, cela devrait constituer une bonne raison de reconsidérer les Juifs. Exa-

minons, dès lors, la longue liste d’offenses de cette juiverie que nous haïssons.En d’autres termes, la liste des choses contre lesquelles nous sommes opposés defaçon véhémente – tout comme Dieu, d’ailleurs ! Je vais tout d’abord dresser unrésumé de ces choses par un mot ou une expression puis je continuerai avec desexplications.

1. Le Judaïsme et le Talmud (la première violation des Lois, de laquelle dé-coulent les autres),

2. Le meurtre,

3. Les mensonges,

4. Le vol,

5. Le mélange racial,

6. L’espionnage,

7. L’occulte,

8. L’immoralité sexuelle,

9. L’avortement,

10. Le terrorisme,11. Le Satanisme et la folie,

12. L’usure,

13. L’esclavage,

14. Les drogues,

15. La corruption politique,

16. La corruption religieuse,

17. Le monopole médiatique,

18. Les avocats,

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POURQUOI NOUS HAÏSSONS LES JUIFS

19. Les docteurs,

20. Les corporations,

21. L’agriculture,

22. L’exploitation scientifique,23. L’industrie de l’Holocauste,

24. Le crime organisé,

25. L’internationalisme,

26. La taxe kosher,

27. Le désarmement et le pacifisme,

28. Les conspirations,

29. Le mal et la méchanceté.

Notez qu’il y a 29 éléments constituant la justification de l’inimitié entre les cruci-ficateurs et le crucifié. Le nombre 29 dans la Bible symbolise l’écart, et vraiment,comme nous allons le voir bientôt, les Juifs se sont écartés de tout ce qui est dé-cent, droit et juste. Après que tout ait été dit, nous ne pourrons en conclure qu’unechose, c’est que ceux qui se font appeler Juifs sont un peuple mauvais manifestédans une méchanceté congénitale, confirmée par l’Histoire et la Parole de Dieu.Les automates judaïsés des églises approuvées par l’État, s’ils ont lu ce message

jusqu’ici, nous ont probablement déjà accusés, nous les Chrétiens non-judaïsés, de

souffrir de fantasmes « antisémites ».Nous sommes pratiquement les seuls à prêcher dans le désert, tandis que des fauxprophètes (enseignants) se lèvent et trompent les masses (Matt. 24:11).

« Répondre avant d’avoir entendu, c’est une folie et une confusion pourcelui qui le fait » (Prov. 18:13).

De telles personnes n’ont pas d’yeux pour voir la juiverie se tenir sur le piédestalimpie de la domination mondiale totale ; non pas quelque chose de béni par Dieumais une entreprise criminelle.

Débutons notre liste d’accusations par la façade la plus insidieuse : les Juifs se-raient le Judaïsme.

JUDAÏSME

Si une bande de criminels de carrière codifiaient leurs pratiques criminelles etpeaufinaient leur livre de lois au fur et à mesure afin de pouvoir commettre des

crimes plus efficaces, pourraient-ils proclamer qu’ils suivent une religion ? C’estpourtant exactement ce que le Talmud est pour le Judaïsme. Bien des gens sont

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trompés sur les origines du Judaïsme et sur le peuple Juif. J’ai écrit un article,The Antisemantics of the Word Jew, détaillant qui sont les Juifs, ce qu’ils sont etce qu’ils ne sont pas. Il suffira de dire dans ce message que le Judaïsme est né àBabylone vers le 6

esiècle avant JC, lorsque les mauvaise figues de Juda devinrent

métissées. Si pas racialement, au moins spirituellement. Esdras essaya de séparercette nouvelle sous-espèce de sangs-mêlés des bonnes figues Judaïtes de pur-sang.Néanmoins, ces « Juifs » se mélangèrent avec un autre peuple de métisses, lesdescendants d’Ésaü, et ils devinrent les Pharisiens de l’époque du Christ. NotrePrince les condamna par les mots les plus forts. Pourquoi ? Qu’avaient-ils fait ?

Les Écritures rapportent que Yahsua les chargea du crime de posséder un espritinhérent de culpabilité provenant des éléments qui définissent Satan, le diable :

« Vous, vous avez pour père le diable et vous voulez faire les convoitises

de votre père » (Jean 8:44).

C’était une métaphore pour le péché et l’injustice 1. Cette bande d’hypocrites, cetterace de vipères, une poignée de bâtards impitoyables, haïssait et méprisait la véritéet la justice de la Parole et de la Loi de Dieu. Que firent-ils donc ?

Ils conçurent une tradition orale de lois qui contredisaient celles de leurs ancêtreset prédécesseurs de l’Israël racialement pure.

« Et vous avez annulé le commandement de Yahweh à cause de votre

tradition » (Matt. 15:6).

En quoi cela nous affecte-t-il aujourd’hui? Eh bien, nous avons toujours un conflitd’intérêts dans le monde entre les racialement purs et les racialement mélangés;entre les lois saintes de Dieu et les lois profanes des impies. C’est de cela que parleGenèse 3:15. Le Jewish Encyclopedia de 1905 nous informe :

« Avec la destruction du Temple (en l’an 70) [. . .] la vie des Juifs fut ré-gulée par les Pharisiens ; l’histoire entière du Judaïsme fut reconstruitedu point de vue des Pharisiens [. . .] Une nouvelle chaîne de tradition

supplanta l’ancienne tradition sacerdotale. Le Pharisaïsme forma le ca-ractère du Judaïsme, la vie et les pensées des Juifs pour tout le futur ».

Pourquoi donc le Talmud resta-t-il un secret pendant si longtemps et ne fut-il pu-blié en anglais qu’en 1934, avec l’ Édition Soncino ? Parce que, dans toute l’histoirede l’Europe, lorsque les lois du Talmud devenaient connues des gens du commun,le Talmud était brûlé et les Juifs expulsés.

1. Il ne s’agit pas d’une métaphore. Le Christ dit la vérité exacte, Il ne fait pas de fausse accusa-tion, même sous forme de métaphore. Les « Juifs » auraient évidemment profité de l’occasion d’une

fausse accusation pour mettre le Christ à mort, car la Loi condamne le faux accusateur à mort !(N.D.T.)

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La loi primordiale du Talmud stipule que les bâtards Juifs constituent la forme de vie la plus élevée sur la Terre. Les Blancs Chrétiens racialement purs sont considé-rés comme des animaux inférieurs et, au mieux, des esclaves. La juste indignationgénérée par les non-Juifs est toujours présentée par les Juifs comme « persécution »ou « antisémitisme ». Le Talmud Babylonien est la littérature la plus véhémente-ment haineuse dans le monde, dirigée contre Jésus-Christ et le Christianisme et,dès lors, est en guerre de la manière la plus vicieuse contre la vraie Israël deDieu, la race Blanche. En plus de cette préoccupation démente sur la destructiondes Chrétiens racialement purs, la religion juive (ou plutôt son code criminel) estobsédée par les perversions les plus pornographiques qui soient connues par leshommes.

Par exemple, le Talmud enseigne que Jésus était un enfant illégitime, un bâtardconçu durant la menstruation d’une prostituée (Kallah 1b, 18b et Sanhedrin 67a)et que Jésus se trouve maintenant en enfer « bouillant dans du sperme brûlant »(Gittin 57a), état constituant l’une des nombreuses punitions nées dans l’imagi-nation dépravée des Juifs. Le livre du Sanhedrin (781 pages) est le réceptacleprincipal des calomnies les plus choisies dirigées contre Jésus-Christ, affirmantque le Prince mérite la « décapitation », la « lapidation », de « brûler dans du fu-mier », d’être « étranglé dans du fumier », d’être « pendu » et d’être « crucifié ».Pourquoi ? Parce qu’Il osa dire la vérité sur le « modèle » même de l’hybridation :les Pharisiens. Si votre amour pour les Juifs ne s’est pas encore refroidi, il y a plus.

La plupart des « Judéo-Chrétiens » croient que le Dieu du Judaïsme est le mêmeDieu que celui du Christianisme et de l’Ancien Testament. Le double langage faitpartie du Judaïsme talmudique, que le Christ appelait la « synagogue de Satan ».Les Juifs affirment de manière condescendante leur dévotion au « pur mono-théisme », qu’ils appellent « Unité de Dieu ». Cependant, cette croyance exclut lacroyance en l’incarnation divine de Jésus-Christ. La signification réelle de cetteexpression cryptique talmudique, « Unité de Dieu », est, en fait, l’unité du « ensof » panthéiste : une masse inconsciente, inconnaissable, auto-générée, chaquephase de celle-ci étant symbolisée par un « dieu », ou esprit individuel, commepar exemple Metatron (le dieu soleil). Ce système de croyance est identique au

paganisme panthéiste (le Satanisme). Pour le Juif, le « en sof » est la « totalité infi-nie qui se tient au-delà de Dieu ». Le Judaïsme, ces « sépulcres blanchis », est l’artdu spectacle plaçant Dieu dans une escroquerie destinée au monde extérieur, dustyle « maintenant vous le voyez, maintenant vous ne le voyez plus ». Leur doc-trine interne de l’en sof est d’essence naturelle ; l’en sof ne possède aucun attribut,il ne peut connaître ni être connu. C’est à la base un athéisme sans saveur et lafondation de tous les panthéismes païens. Elle est aussi appelée « matérialismedialectique » et « humanisme séculaire ».

La plupart des Chrétiens ne comprennent rien à ce charabia religieux vomi par le

Juif. Pour les non-Juifs abrutis, on enseigne que la religion juive croit tout simple-ment dans l’Ancien Testament (ce qui est faux) et que les Juifs attendent toujours

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leur Messie promis (parce qu’ils ont assassiné le Christ dans leur incroyance de Sadivinité). Cependant, le sale petit secret du Judaïsme est que le Messie est déjàici et qu’il est le peuple juif lui-même. « Le Messie [est] sans métaphore le peuple

juif » (Kethuboth 111a).

La première traduction en anglais du Talmud date de 1903. Bien que beaucoupd’efforts furent faits pour y enlever les obscénités pornographiques au nom de lareligion ainsi que les identifications que l’on trouvait dans l’original, cette versionabrégée révèle néanmoins dans son introduction que :

« Le Talmud est l’une des merveilles du monde. [. . .] Après vingt sièclesd’existence du Talmud, des ennemis puissants ont tout tenté pour ledétruire, et pourtant [. . .] il survécut dans son intégralité. [. . .] Sesennemis n’ont pas pu en effacer une seule ligne. [. . .] Il occupe toujours

les esprits d’un peuple entier, qui vénère son contenu comme une véritédivine ».

D’un autre côté, les Juifs ont travaillé dur ces derniers 2.000 ans pour détruirechaque ligne et précepte de la Sainte Bible Chrétienne. C’est pourquoi nous enavons de si nombreuses versions. Les Juifs n’accepteraient pas plusieurs versionsdu Talmud. Le Talmud comprend 63 volumes, ce qui, en comparaison, fait passerla majorité des encyclopédies pour des nains.

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MEURTRE

FIGURE 1: M EURTRE R ITUEL JUI F, par le peintre hongrois Mihály Munkàcsy.Cette peinture, qui brisait un tabou, était une œuvre très secrète du gé-nial peintre hongrois Mihály Munkàcsy, réalisée entre 1882 et 1887 à lademande du tsar Alexandre II et inspirée par l’affaire Tiszaeszlár, mon-

dialement connue (Hongrie, 1882), qui était une accusation de sacrificehumain dirigée contre un groupe de Juifs qui assassinèrent la jeune So-lymosi Eszter, âgée de 14 ans, lors d’un sacrifice rituel. La peinture estabsolument monumentale et dépeint la soif juive pour le sang de « goy ».La jeune fille peut aussi représenter l’Europe moderne comme étant en-cerclée par des Sionistes sataniques et prête à être crucifiée.Il y a déjà en Hongrie un grand scandale (comme toujours lorsquequelque chose d’« antisémite » fait la une des journaux). Certains (socia-listes, libéraux, Juifs) plaident déjà pour que l’on reconsidère les valeursartistique et humaine de Munkàcsy, qui est un des artistes les plus révé-

rés du panthéon culturel hongrois. Il est incroyable de voir cette racailleprête à boycotter l’héritage de ce grand artiste uniquement parce que,après un siècle, on a découvert une de ses peintures qui incrimine lacommunauté juive. Ces cercles politiques ont déjà réussi à influencernos académies afin de leur faire renier certains de nos plus précieuxécrivains et poètes sous le seul prétexte que ceux-ci ont osé nommerle Juif comme une des raisons principales du déclin de la Hongrie etde l’entièreté du monde occidental dans les domaines culturel, socialet spirituel. J’espère sérieusement que cette fois, nous allons combattrepour l’intégrité et pour la réputation de ce grand peintre et qu’ils ne

vont pas éradiquer une fois de plus un brillant Hongrois de notre dis-cours public. Les masses ont le droit de contempler un tel art.

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La raison numéro deux pour laquelle nous haïssons les Juifs est qu’ils sont les plusgrands meurtriers au monde. Ce n’est pas tant la nature perverse de la juiverie queson caractère diabolique qui menace le monde entier. Dans la préface de son livre,

La Signification mondiale de la Révolution Russe, l’écrivain juif Oscar Levy déclare :

« Il n’y a pratiquement aucun évènement dans l’Europe moderne qui nepuisse être attribué aux Juifs. Nous, les Juifs d’aujourd’hui, ne sommesrien d’autre que les séducteurs du monde, ses destructeurs, ses révolu-tionnaires ».

L’une des marques de fabrique de la religion juive et de son peuple, selon l’apôtrePaul est qu’ils

« . . . ont mis à mort et le Prince Yahshua et les prophètes, et qui nousont chassés par la persécution, et qui ne plaisent pas à Yahweh, et quisont opposés à tous les hommes » (I Thess. 2:15).

Un sujet de discussion très commun, qui se retrouve dans tout le Talmud, estprécisé par le rabbin Simon ben Yohai dans l’ Encyclopédie Juive : « Le meilleurparmi les Gentils mérite d’être tué ». Osée 4:6 dit :

« Mon peuple [les Blancs Israélites Chrétiens] est détruit, faute de connais-sance ».

Nous venons de mentionner le Juif Oscar Levy, se vantant de faire partie des des-tructeurs du monde. Les Juif veulent nous détruire. Et vous savez quoi ? Notrepeuple ne sait strictement rien des Juifs.

Le culte de Baal dans les églises américaines garde notre peuple dans un étatd’anesthésie spirituelle afin de pouvoir accomplir les buts et les ambitions desJuifs.

« Selon qu’il est écrit [dans le Talmud] : “Pour l’amour de toi [pour le

Christ], nous sommes mis à mort tout le jour ; nous avons été estiméscomme des brebis de tuerie” » (Romains 8:36).

Cette citation provient des Psaumes de l’Ancien Testament (44:22), que les Juifsont bâtardisé dans leur Talmud afin de lui faire signifier que le meurtre de Chré-tiens est sanctionné par Yahweh. Le Talmud dit :

« Il existe une loi concernant le meurtre d’étrangers, qui sont la mêmechose que des bêtes. [. . .] Ceux qui ne suivent pas la loi religieuse juivedoivent être offerts à Dieu comme sacrifice » (Thikune Zohar, édition

Berdiwetsch 88b).

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L’historien grec Hérodote écrivit sur ce culte juif de sacrifices humains dédiés à leurdieu diabolique Moloch (vol. II page 45). Quand le Christ dit « Votre père était unmeurtrier dès le commencement » (Jean 8:44), Il faisait référence à ces Juifs et àleur dieu Moloch 2. Dans les « Protocoles des Sages de Sion » (un document secretexposant la conspiration juive), le protocole 11 déclare :

« Les goyim (un terme dérogatoire signifiant Blancs Chrétiens) sont untroupeau de moutons et nous sommes leurs loups. Et vous savez ce quise passe quand des loups encerclent le troupeau ? ».

Le Talmud enseigne que, partout où cela est possible, un Juif devrait tuer desChrétiens et ce, sans la moindre pitié.

« La vie d’un Goï et tous ses pouvoirs physiques appartiennent au Juif »(A. Rohl, Die Polem, p. 20).

Même les Chrétiens qui lisent le dégoûtant Talmud sont marqués pour la mort :

« Rabbi Jochanan dit : Un Goï qui examine la loi est coupable et doitmourir » (Sanhedrin 59a). Dans le Zohar, (I, 25a), il est dit : “Lespeuples de la terre (les non-Juifs) sont des idolâtres et il a été écrità leur propos : Qu’ils soient effacés de la surface de la terre” ».

Ces écrits rabbiniques ne sont pas des aberrations isolées mais bien la norme dela pensée juive. La tendance homicide est chez eux une culture microbienne san-

glante dans une boîte de Pétri, de la naissance à la mort.On enseigne aux Juifs dès leur enfance les justifications fondamentales pour pren-dre des vies innocentes. Leur théologie déviante est clairement reflétée dans lapathologie immorale d’exhortations talmudiques telles que « Tu commettras lemeurtre ». C’est la raison pour laquelle il n’y a aucune comparaison entre la loi

juive et la Loi de Dieu de la Bible Chrétienne quant au sujet du meurtre. Parexemple, le meurtre commis par un Blanc Chrétien est punissable, tandis que siun Juif tue un Blanc Chrétien ou tout autre non-Juif, il n’existe pas de peine demort (selon le Talmud). Si un Juif tue accidentellement un autre Juif alors que son

intention était de tuer un goï, il n’est pas punissable (Sanhedrin 78b–79a).Le public américain a été inondé de propagande juive vantant la fraternité desJuifs et des Chrétiens. Cependant, les passages suivants nient une quelconque as-sociation de ce genre :

« Les Juifs sont des êtres humains mais les nations du monde ne sontpas des êtres humains, mais des bêtes » (Saba Mecia 114, 6).« Il est permis de tuer un dénonciateur juif partout. Il est permis de letuer avant qu’il dénonce » (Schuichan Qruch, Choszen Hajpiszpat jog).

2. Le Christ faisait plutôt référence à leur père, le meurtrier Caïn, fils du serpent, le premierbâtard mis au monde. (N.D.T.)

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« Un Juif orthodoxe n’est pas tenu d’observer les principes de moralitéenvers des gens d’autres tribus. Il peut agir contrairement à la moralitési cela lui est profitable, à lui ou aux Juifs en général » (Schalchanarach, Choszen Hasisxpat 348).« Communiquer quoi que ce soit à un goï sur nos relations religieusesserait équivalent au meurtre de tous les Juifs, car si les goyim sa-

vaient ce que nous enseignons sur eux, ils nous tueraient ouvertement »(Libbre David, 37).« C’est la loi de tuer quiconque dénie la Torah. Les Chrétiens appar-tiennent à cette classe de gens qui dénient la Torah » (Coschen Hami-schpat, 425, Hagah 425, 5).« Le taux de natalité des Chrétiens doit être diminué matériellement »(Zohar II 64b).

« Les Juifs ne doivent pas prévenir la mort d’un Chrétien » (ChoschenHam 425, 5).« Ne sauvez pas des Chrétiens en danger de mort, (les Juifs) instruisentde les laisser mourir » (Hikkoth Akum 10, 1).« Même le meilleur des goyim [Chrétiens] devrait être tué » (AbhodahZarah 25b).« Si un Juif tue un Chrétien, il ne commet pas de péché » (Sepher OrIsrael 117b).« L’extermination des Chrétiens est nécessaire » (Zohar 1143a).

« [Un Juif est] innocent de meurtre si son intention était de tuer unChrétien » (Makkoth 7b).« Les Chrétiens qui ne sont pas des ennemis des Juifs doivent aussimourir » (Iore Dea 158, 1).

Commencez-vous à comprendre pourquoi certains Blancs Chrétiens parlaient dela « question juive » ? La question était, et est : « que faisons-nous face au génocideprogrammé de notre race par les Juifs? ». À chaque fois que la criminalité duTalmud fut révélée dans toute son horreur, il fut ordonné de le brûler, de l’expurgerou de le censurer. Il fut brûlé en à peu près tous les siècles, du 11

eau 18

een Italie,

France, Espagne, Allemagne et bien d’autres pays. À une époque ou à une autre, les Juifs furent expulsés de tous les pays d’Europe.Des populations juives entières ont été purgées. Juste pour vous donner un aperçuchronologique de l’Histoire réelle, la France fut l’une des premières nations à forcerla déportation de Juifs en 1182 ap. JC ; l’Angleterre en 1290 ; la France encore en1306 et 1322 ; la Hongrie en 1360 ; la Belgique en 1370 ; l’Autriche en 1420 ; laBavière en 1442; la Hollande en 1444; la Pologne en 1483; l’Espagne en 1492;l’Italie en 1492; la Lituanie en 1495; le Portugal en 1496; la Prusse en 1510;l’Italie en 1540 ; Prague en 1541 et 1557; les États Papaux en 1569; Hambourg en

1649 ; Vienne en 1669 ; la Slovaquie en 1744 ; Moscou en 1891. Ceci est seulementune courte liste qui devrait vous impressionner sur la gravité du rejet complet

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contre les Juifs. La grande répulsion a mis les Juifs sous une suspicion mondiale,et pour de bonnes raisons.

Le meurtre est la suspicion principale contre les Juifs. Pas des meurtres ordinaires,mais bien des meurtres systématiques portant un nom spécial, le Meurtre Rituel.Cette accusation est immédiatement levée, quelque soit l’époque ou le lieu, quandun cadavre porte les signes évidents du meurtre rituel juif. Cette accusation, ve-nant de toutes les nations, a toujours été portée contre les Juifs et personned’autre, à cause des signes caractéristiques du crime rituel juif sur les victimes.Il existe quelques 131 meurtres rituels documentés commis par les Juifs. Combiende milliers, peut-être de centaines de milliers, sont-ils restés inconnus, personnene peut le savoir. Ce que les Blancs Chrétiens ne doivent pas ignorer est que lasordide histoire du peuple Juif est une suite ininterrompue de meurtres de masse

et de soif sanguinaire.

En quoi consiste exactement ce rituel et pourquoi fait-il partie de la religion juive ?Joseph Kastein, un historien officiel de la juiverie, a déclaré que les Juifs croientque « le sang est le siège de l’âme ». En contraste à la vision Chrétienne, selonlaquelle le cœur, c’est-à-dire l’esprit d’une personne, détermine son âme, ou sapersonnalité, les Juifs croient qu’en buvant le sang d’une victime Chrétienne quiétait parfaite en tout point, ils peuvent vaincre leurs défauts physiques et deveniraussi puissants que les êtres intelligents et civilisés parmi lesquels ils ont forméleurs communautés parasitaires. D’étranges parallèles peuvent être tracés avec les

pathologies sociales de l’ancien culte babylonien de Baal et les permutations trou- vées dans les pratiques païennes du cannibalisme. Les sociétés occultes ont suiviles instructions sataniques que l’on trouve dans la Kabbale juive.

Les Juifs sont accusés d’attirer des enfants Blancs Chrétiens, et parfois des adultes,dans leurs synagogues ou un autre endroit secret afin de commettre leur meurtresacrificiel. La victime est liée, dénudée et percée par des couteaux rituels trèscoupants aux mêmes endroits du corps que les blessure infligées au Christ. Lesang s’écoulant dans des coupes, les dirigeants juifs le boivent tout en blasphémantcontre le Christ et les peuples non-Juifs. Ce n’est qu’en pratiquant ce rituel qu’ilspensent pouvoir continuer à survivre et à prospérer à l’intérieur de la nation hôte.Les Juifs sont accusés de mélanger ce sang dans leur pain sans levain et de l’utiliserdans des pratiques magiques superstitieuses. Ils sont aussi accusés de torturer leurs

victimes, de les laisser saigner à blanc, de les couronner d’épines, de les battre etde les poignarder lors d’une reconstitution de la crucifixion. Tous les Juifs, à moinsqu’ils ne soient des déficients mentaux, sont au courant de ces rituels sacrificiels etde leur importance dans la culture juive. Cependant, seuls les dirigeants les plusinfluents, les rabbins et les Juifs riches, sont autorisés à participer à la cérémonie.Les Juifs ordinaires n’y sont pas admis, car cette pratique criminelle, pour des

raisons de sécurité, pourrait mettre en péril la communauté juive toute entière(comme l’Histoire l’a prouvé).

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La majorité des soulèvements contre les Juifs durant les derniers 2.000 ans étaientdûs à la découverte de ce crime collectif institutionnalisé. Les Juifs qui ne parti-cipent pas directement au crime profitent néanmoins de ses retombées, car le sangprovenant de ce rituel est utilisé de bien des façons : il est séché pour être utilisélors de mariages, de funérailles, de circoncisions ou de grossesses, et par les Juifsâgés qui croient qu’ils peuvent rajeunir en l’ingérant. Le restant du sang est pré-servé avec le plus grand soin par les rabbins locaux et vendu sous forme de petitsflacons comme « sang certifié Chrétien ». L’érudit catholique James E. Bulger dé-clare que boire le sang est un rituel de magie noire permettant aux rabbins juifs deprédire le futur. Durant la Pâque juive, un père juif se moquera de la communionChrétienne en versant quelques gouttes de sang provenant du rituel dans un verrede vin et il en aspergera la table en disant : « Nous demandons à Dieu d’envoyerles dix plaies sur les ennemis de la religion juive », et après avoir bu et mangé,il dira « Qu’ainsi (comme l’enfant dont le sang a été mélangé dans le pain et le

vin) puissent brûler en enfer tous les Goyim ». Ne vous y trompez pas, le meurtrerituel juif continue de nos jours, et les différents niveaux de notre gouvernementne font rien car ils sont plongés jusqu’aux cheveux dans l’étouffement des affaireset les dissimulations. Ceux qui savent ce qui se passe se taisent et reçoivent leurs30 shekels. Pourquoi les Juifs s’arrêteraient-ils maintenant alors que leurs pouvoirssont au zénith ? L’ex-membre du Congrès Paul Findly écrivit un livre intitulé They

Dare To Speak Out 3 qui décrit ces officiels du gouvernement qui n’acceptent pasles pots-de-vin et dont la carrière est virtuellement détruite.

Les Juifs possèdent le pouvoir de cacher leurs crimes grâce à leurs médias qui lesprésentent comme les éternelles victimes. Leur réaction à ce qu’ils appellent « al-légations de sacrifices humains » a toujours été « nous sobbes berzécudés ». Avecun aplomb incroyable, ils maintiennent qu’à travers des millénaires d’Histoire, ila existé une gigantesque conspiration contre eux. Selon cette théorie, dans toutesles nations européennes mentionnées ci-dessus et dans des endroits aussi éloignésles uns des autres que Montréal et l’Argentine, il existe un complot énorme, an-cien et continu qui consiste à tuer des enfants Blancs à une certaine époque del’année, à les saigner à blanc et à placer les cadavres de telle façon que l’on puisseen accuser des Juifs innocents. C’est là une sacrée conspiration, les gars ! Mais

doit-on vraiment croire que nos ancêtres étaient juste des idiots antisémites quiressentaient le besoin de comploter périodiquement afin de persécuter des Juifs,si les vrais assassins d’enfants étaient des non-Juifs ? Laissaient-ils libres les réelscoupables parce qu’ils voulaient des boucs émissaires Juifs ? Pourquoi les affairesde meurtres rituels disparaissaient-ils subitement une fois les Juifs poursuivis en

justice et chassés du pays ?

Aux États-Unis, la plus fameuse victime d’un meurtre rituel juif fut sans doute lefils de Charles Lindbergh, le 1

ermars 1932, durant la fête annuelle juive du Pu-

rim. Le père Lindbergh, un membre du Congrès, avait fait publier une accusation

3. « Ils osent parler » (N.D.T.)

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cinglante contre le passage du vote du Federal Reserve Act par le banquier juif War-burg. Quand Charles fut devenu un héros national grâce à sa traversée solitaire del’Atlantique et qu’il suivit l’exemple de son père dans son avertissement du publicaméricain sur les mauvaises intentions de la juiverie de commencer la SecondeGuerre Mondiale contre l’Allemagne, son jeune enfant fut assassiné dans le but del’empêcher de continuer de parler.

Eustace Mullins, dans son livre New History of the Jews, déclare :

« Aux États-Unis, les Juifs ont pu pratiquer le meurtre rituel sur desenfants gentils avec impunité parce qu’ils contrôlent la presse et parcequ’ils occupent tellement de hautes fonctions publiques. Il a été estimépar un éminent officiel de la police que 4.000 enfants disparaissentchaque année aux États-Unis. Il ne fait aucun doute que la majorité

d’entre eux sont victimes d’un meurtre rituel juif. Cette coutume estdevenue si fréquente dans ce pays que les Juifs sont à même d’envoyerde grandes quantités de sang d’enfants en Israël pour l’utiliser là-basdans leurs cérémonies. L’un des problèmes de l’établissement des Juifsen Israël a été une pénurie d’enfants Chrétiens pouvant être utilisésdans les cérémonies rituelles, et les U.S.A., qui ont également fournipratiquement tout l’argent à Israël, ont aussi fourni la majeure partiedu sang d’enfants qui était requis ».

Combien de Chrétiens sont-ils conscients du nombre effarant d’enfants qui dispa-raissent chaque année, nombre estimé à 100.000 ? Des milliers sont assassinés,leur sang étant drainé de leurs petits corps. Le peuple Juif est entièrement cou-pable et complice de ces actes saligauds. Le poids immense des évidences his-toriques ne laisse aucun doute quant à la psyché meurtrière répétitive de l’âme

juive, dont la cible est Jésus-Christ et tout ce qui est Chrétien. Combien de cesenfants, dont vous pouvez voir le portrait sur les cartons de lait, sont-ils tombéscomme victimes des couteaux cérémoniels des rabbins et combien reposent, enter-rés dans des endroits secrets, ou bien transformés en nourriture pour chiens dansdes usines de transformation appartenant à des Juifs ? Tout ceci peut sembler im-pensable et d’une excentricité invraisemblable à un esprit victime de dissonance

cognitive ayant été conditionné pour accepter sans réserve le mythe de 6 millionsde Juifs transformés en cendres, après 60 ans de films, de livres et de télévisionpavloviens. Ce serait une toute autre histoire si ces médias n’étaient pas possédésou contrôlés par des Juifs. Vous entendriez alors parler du plus grand complot demeurtre contre l’humanité dans toute l’Histoire du monde.

Le Juif ne peut échapper à sa nature. Tout Juif se délecte de sa position dansla vie du fait de sa soif de sang. Ses bienfaiteurs sont des crucificateurs et desassassins de masse. À une certaine époque, vous pouviez lire dans le Livre Guin-ness des Records qui étaient les plus grands meurtriers de masse dans l’histoire

de l’humanité. Ce n’est plus le cas aujourd’hui ; cette catégorie a disparu. Si elleexistait encore, vous pourriez apprendre des choses sur Lazar Kaganovitch, un

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des Juifs de Staline, qui planifia et implémenta l’extermination de 20 millions depaysans Russes et Ukrainiens. Durant les cinq premières années de domination

juive en Union Soviétique, la terreur sanguinaire fut la cause de l’élimination de6.000 enseignants, de 8.000 docteurs en médecine, de 54.000 officiers de l’armée,de 260.000 soldats, de 150.000 policiers, de 12.800 fonctionnaires, de 355.000personnes des classes supérieures, de 192.000 travailleurs de la classe moyenneet de 815.000 paysans. Entre les années 1921 et 1922, plus de 5 millions mou-rurent d’une famine planifiée. En 1933, l’Archevêque de Canterbury rapporta 6millions de victimes de la famine. Alexandre Soljenitsyne cite les recherches d’unstatisticien soviétique exilé, I. A. Kurganov, qui avait eu accès aux statistiques gou-

vernementales, et qui estimait le nombre des personnes tuées par la police secrètesoviétique à au minimum 66 millions entre la révolution de 1917 et 1959. Voici leréel système talmudique de carnage et de mort, conduit par des Juifs hystériqueset névrosés, porteurs de la pire sorte de mégalomanie criminelle imaginable. DesJuifs qui auraient bien aimé répliquer ce système dans chaque pays, parmi tous lespeuples, avec la même terreur, pour autant qu’ils en aient eu la possibilité.

Il existe un certain milieu dans le monde du crime organisé qu’un fameux procu-reur de New York surnomma, le 11 septembre 1931, « Murder Incorporated ». À cette époque, un changement de paradigme se passa (dans le monde du crime),lorsque la vieille garde de gangsters Siciliens fut éclipsée par une nouvelle pègre,dont la plupart des membres n’étaient pas Italiens, et qui vit naître une nou-

velle corporation criminelle américaine à caractère létal. Richard Kelly Hoskins

l’appelle le Cartel International d’Échanges

. D’autres l’appellent Communisme

, Sio-

nisme, Nouvel Ordre Mondial, Économie Globale ou Nations-Unies. Je préfère, quantà moi, l’appeler Système Antichrist Satanique de la Juiverie Mondiale.

La transformation résultant en d’extraordinaires déprédations et traumatismesmoraux commis au plus haut niveau de notre société rend presque impossible laperception de la structure grotesque qui a pris la forme d’une machine à assassinatsd’une efficacité sans précédent. Elle n’est pas appelée officiellement « Corporation

Américano-Juive du Crime » ni enregistrée à la bourse de New York parce qu’ellea absorbé les principaux joueurs du monde des affaires professionnelles dans sa

soif insatiable de pouvoir. C’est l’identité ethnique des ces terroristes qui doit nousimporter pour notre éveil et notre lutte pour la survie.

Nous devons réaliser que le processus politique d’une république constitutionnellefut profondément compromis par la mafia juive, qui fut l’architecte de l’élection deFranklin D. Roosevelt en 1932. Meyer Lansky et d’autres barons juifs du crime dé-cidèrent qui serait le prochain président des États-Unis (dès cette époque et depuislors). Le meurtre de John F. Kennedy, de son frère Robert et de son fils John Jr. nesont pas des mystères insolubles à la lumière des nombreuses évidences pointant

vers ces criminels juifs. Hollywood a pris grand soin de perpétuer le stéréotype

du voyou style « Dago » dans tous les films de gangsters tandis que les véritablespatrons des diverses mafias restaient dans l’ombre. John Gotti n’était qu’un joueur

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mineur qui fut trahi par sa propre fraternité, et il fut aussi un exemple parfait pourla propagande policière. À chaque fois que la police ou les procureurs réalisentun coup de filet sur les réels coupables, à savoir les Juifs, vous pouvez comptersur les cris perçants d’« antisémitisme » sortant de la bouche de gangsters se ca-mouflant sous le voile de la religion. Ronald Reagan reçut un avertissement sousforme d’un coup de feu après avoir parlé publiquement d’abolir l’I.R.S. 4 juif. Nedésirant pas finir comme Kennedy, Reagan fit nommer juge fédéral Irving Kauf-man afin de chapeauter sa nouvelle « Crime commission » destinée initialement àréprimer le « crime organisé ». Kaufman était secrètement un membre importantde l’ Anti-Defamation League, une organisation juive vicieuse, ennemie absolue del’Amérique et du Christianisme. Après deux ans et demi, la grande trouvaille de ceJuif fut de dénoncer de nouveaux réseaux criminels émergeant aux U.S.A., des or-ganisations Italiennes, Japonaises, Chinoises et Mexicaines. Bien entendu, ce Juif ne fit jamais mention de la Mishpucka (qui signifie « famille », c’est-à-dire la famille

juive du crime), la plus secrète, la plus mortelle et la plus puissante des famillesdu crime organisé dans le monde et la seule consacrée à la totale destruction del’Amérique Blanche Chrétienne.

La Mishpucka n’a rien de nouveau, elle est juste un culte bien caché usurpantdes gouvernements paisibles et leurs peuples tandis qu’elle se présente commeun club de philanthropes et de bonnes âmes. Le mot « Mishpucka » devrait êtreaussi connu de toutes les polices que le mot « mafia », si les Américains veulent

jamais comprendre qui est leur réel ennemi. La hiérarchie et les cerveaux de la

Mishpucka proviennent de l’ADL (B’naï B’rith), d’où viennent toutes les directiveset les ordres. Leur quartier-général financier, source de leur grande richesse, est le Federal Reserve System 5. Leur force de frappe se trouve dans un nombre incroya-blement élevé de Robes Noires travaillant pour l’État et le système judiciaire fédé-ral et qui pratiquent la jurisprudence babylonienne-talmudique de l’Amirauté. LaMishpucka existe depuis un bon millénaire et possède des millions de tonnes d’or,de pierres précieuses, d’obligations et de fonds provenant du pillage des famillesfortunées. La Mishpucka assassina le Tsar Russe et sa famille royale toute entièreet vola l’un des domaines les plus grands du monde. Leur trésor monstrueusementgigantesque est caché dans le désert du Néguev en Israël, dans l’usine nucléaire

Dimona, protégée par des milliers de missiles I.C.B.M. capables de frapper les na-tions Blanches Chrétiennes autour du monde. Personne ne va de sitôt aller inspec-ter cette zone. Un des dirigeants de cette Mishpucka, Simon Peres, a froidementmenacé le monde entier en déclarant « Nous vous ferons tous périr avec nous ».

En 1977, le membre du Congrès U.S., Henry Gonzalez, du Texas, expliqua de ma-nière dégoûtante qu’il avait résigné de son poste de président de la House Com-mittee qui devait enquêter sur des assassinats parce que, dit-il :

4. I.R.S. : « Internal Revenue Service », impôts sur le revenu en Amérique (N.D.T.)

5. Réseau financier le plus puissant en Amérique, qui n’est en réalité ni une réserve, ni fédéral,mais la plus grande arnaque usurière bancaire de tous les temps (N.D.T.)

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« des forces vastes et puissantes, comprenant les éléments criminelsles plus sophistiqués du pays, ne pourraient pas supporter cela. Ceséléments criminels sont omniprésents, bourrés d’argent et, de bien desfaçons, plus puissants que le gouvernement lui-même ».

Bien entendu, il ne pouvait faire allusion à personne d’autres qu’aux Juifs.

Il n’existe aucune littérature religieuse au monde qui promeuve de tels meurtresde masse que le Talmud juif.

« Prenez la vie des Klifoth [démons, Chrétiens] et tuez-les ; alors vousplairez à la Reine des Cieux qui sera bonne avec vous comme si vousaviez brûlé un sacrifice » (Sefer Or Israel 177b).

Cette déesse matriarcale (la mère des prostituées) est babylonienne comme le Tal-mud (abominations de la terre). Rév. 17:5 parle de « Mystère Babylone la grande »qui est l’aboutissement de toutes les bêtes-empires précédentes. « Enivrée du sangdes saints, et du sang des témoins de Yahshua » (Rév. 17:6). Un « mystère » dansles Écritures est une vérité cachée jusque là et qui est maintenant révélée, maisdans laquelle un élément surnaturel reste, malgré la révélation.

Un règlement de comptes arrive, un accomplissement de la prophétie entre lesenfants de ceux qui se sont éloignés de Dieu et les enfants de ceux qui sont restésavec Dieu. C’est la guerre d’Abdias entre les Chrétiens et les Juifs.

« Et la maison de Jacob sera un feu, et la maison de Joseph, uneflamme; et la maison d’Ésaü sera du chaume; et elles y mettront lefeu et la dévoreront; et il n’y aura pas de reste de la maison d’Ésaü, car

Yahweh a parlé » (Abdias 18).

Vous pourriez dire que nous leur devons un Holocauste. Nous avons payé leursfactures depuis 50 ans et finalement nous allons obtenir ce pour quoi nous avonspayé. Ce qui nous amène à la troisième raison pour laquelle nous haïssons les Juifs,comme Martin Luther intitula son livre Les Juifs et leurs mensonges. En poursuivantcette étude, nous verrons d’autres exemples de mort et de meurtre dans les autres

éléments.

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SECONDE PARTIE

MENSONGES : LE K OL N IDRE

On nous a menti. La vraie signification du mot « diable » dans les Écritures a étépervertie, et ce mot invoque maintenant une sorte d’être spirituel malfaisant ou demonstre bipède. En vérité, les diables ont deux pattes, c’est vrai, mais il n’y a riende surnaturel dans des êtres qui mentent pour vivre. Le mot grec traduit « diable »dans le Nouveau Testament est diabolos, et il signifie simplement « faux-accusateur,calomniateur et diffamateur ». Ce mot n’est nulle part utilisé pour parler d’un êtresurnaturel tentant les hommes et les amenant à pécher. Quand Jésus parlait auxPharisiens et leur disait qu’ils étaient « de leur père le diable », le Christ parlait figu-

rativement de la corporation parente, Babylone, d’où les « traditions des anciens »,le Judaïsme, provient.

Le grand mensonge de Nimrod, le roi de Babylone, consistait à se déclarer lui-même Dieu. « C’est pour ceci que le Fils de Yahweh a été manifesté, afin qu’ildétruisît les œuvres du diable » (I Jean 3 :8). Nous avons ici le contraste classiqueentre la vérité et le mensonge. Les Juifs, ceux qui portent en eux les fausses accu-sations de l’ancienne Babylone, ne peuvent croire Yahshua parce qu’Il dit la vérité.

« Celui qui est de Yahweh entend les paroles de Yahweh ; c’est pourquoi vous, vous n’entendez pas, parce que vous n’êtes pas de Yahweh » (Jean8 :47).

Les Écritures identifient ceux qui calomnient les disciples du Christ comme étant lediable, que ce soit le monde païen en général ou les Juifs en particulier. Quel est legénie du mal (parlant des Juifs) qui répand un rideau de fumée de mensonges afinde transférer sa culpabilité sur un diable mythologique ? La conscience juive survitde la même manière qu’un escroc prospère grâce à la naïveté des hommes. Yah-shua déprogramma la prise que les superstitions avaient sur les esprits du peuple,et pour cette raison Il fut accusé d’être possédé par des démons (encore un peuplus d’accusation basée sur de la superstition). Eux, bien entendu, mentaient etne pouvaient faire autre chose que s’en remettre à la guerre psychologique via desillusions.

Le Christ était le pôle opposé de la tromperie. Lorsque le Christ rebuta les Phari-siens en Matthieu 15:11, Il disait que les mensonges et les tromperies constituaientde bien plus grands crimes que de ne pas se laver les mains avant les repas. C’estle même défaut de caractère que l’on trouve chez les Juifs modernes. Dès lors,

les seuls diabolos dans le monde réel sont les Juifs et ceux qui croient en leursmensonges. Il n’est pas exagéré de suggérer que les Juifs mentent sur eux-mêmes ;

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une démonisation auto-imposée visant à impressionner leurs victimes impression-nables. À l’aide de quelques fables juives, ils ne sont plus simplement des crimi-nels de sangs-mêlés, mais ils possèdent maintenant le sang surnaturel des angesrebelles dans leurs veines.

Je possède dans ma bibliothèque un livre écrit par un Juif, rédigé sérieusementmais complètement absurde, appelé « Les tribus perdues venant de l’espace », quinous explique pourquoi YHWH fut cloné et donna naissance à des Juifs en labora-toire. Dans la préface, l’auteur déclare qu’il n’est pas dans son intention d’alimenterl’antisémitisme, mais que son seul but est de résoudre les énigmes de la Bible etde l’Histoire par rapport aux Juifs, qui sont au centre de ces énigmes.

II Thessaloniciens 2:1–12 parle du contraste entre croire en la vérité et croire unmensonge. Bien que les références supposées à « Satan », « le méchant », « le filsde perdition », etc suggèrent des être surnaturels, la vérité est déclarée simple-ment : « Ne laissez aucun homme vous tromper en aucune manière » (v. 3). Lenom « satan » désigne quiconque étant un adversaire, comme le verset 4 expliquequ’il s’agit de quelqu’un qui : « . . . s’oppose et s’élève contre tout ce qui est ap-pelé Yahweh ou qui est un objet de vénération ». Les Juifs se voient certainementcomme supérieurs à Yahshua-Christ et sont collectivement sataniques dans leurpropension à mentir. Leur non-respect de la loi les unit en un peuple. Leur mé-chanceté sera révélée, non pas par un monstre hollywoodien ridicule, mais par le« mystère d’iniquité », compris comme l’homme se déifiant lui-même.

Si l’homme pense qu’il est Dieu, sa réalité devient mensonge et il peut mentirpensant que c’est la vérité. Du fait que les Juifs n’ont aucun désir d’aimer Dieu,ils sont condamnés par Dieu (v. 12) pour « toute tromperie d’injustice » (v. 10).Leurs tromperies, qui font obstacle à la vérité, seront révélées. Ils ont menti surla signification des mots « satan » et « diable » dans la Bible, et ils ont menti sureux-mêmes.

Le Judaïsme naquit à Babylone, et Jean 8:44 parle de leurs mensonges commen-çant là-bas. Il n’y avait pas de vérité dans les religions à mystères de Babylone,et donc lorsqu’un Juif parle de son propre fonds, il parle dans cette rhétoriqueparente de fausseté. Quelle logique pervertie fait poser la question « Ne pensez-

vous pas que Satan veut que les gens pensent qu’il n’est pas réel ? ». La réponse àcette question, et la vérité en cette matière, est que les Juifs ne désirent pas queles gens puissent discerner ce qu’ils représentent en tant que menteurs et ce quereprésentent leurs mensonges. Ce sont les Juifs et ceux qui croient les Juifs quisymbolisent l’adversité de Satan dans les Écritures.

Il peut être montré d’après les Écritures que la mission du Christ était de détruirele diable (I Jean 3:8). Le diable avait le pouvoir de mort (Hébreux 2:14). Le Christ

vint pour détruire le péché (Hébreux 9:26). Le péché était la cause originelle de lamort (Romains 6:23). À partir de cette simple évidence, on voit que le diable est

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un synonyme de péché. « Le péché est la transgression de la loi » (I Jean 3:4). Men-tir est un péché (Exode 20:16). Yahshua-Christ vint pour nous délivrer de notrenature pècheresse. Le Christianisme est la promesse de sauvegarde du non-respectde la loi. La Judaïsme est la religion du non-respect de la loi et une exonération dela nature pècheresse. C’est la quintessence de la « synagogue de Satan », et nousne devons pas croire « aux fables juives et aux commandements des hommes, quinous détournent de la vérité » (Tite 1:14).

Dans cette synagogue, on trouve l’une des liturgies les plus incroyables et dé-goûtantes qui puisse existe au nom de la religion et que la majorité des Chrétiensignorent allègrement : le « Kol Nidre ». Cette abomination est regardée par les Juifscomme l’évènement le plus saint et solennel de l’année, la veille du Yom Kippur,et regroupe un très grand nombre de Juifs, même ceux qui ne sont pas religieux.

Le Kol Nidre est une prière chantée, récitée plusieurs fois et également chantéepar le chantre (chanteur Juif) accompagné d’un violon, par laquelle tous les vœuxfaits dans l’année qui suit sont déclarés, par avance, nuls et vides. Voici le texte decette « prière » :

« Tous les vœux, obligations, serments ou anathèmes, promesses detoutes sortes, que nous avons faits, jurés, consacrés et par lesquels noussommes liés, à partir de ce jour de l’expiation jusqu’au prochain jourd’expiation (que nous attendons avec joie), nous nous en repentons,de tous ; ils seront considérés absous, pardonnés, annulés, vidés et ren-dus sans effet; ils ne nous lieront pas et n’auront aucun pouvoir; les

vœux ne seront pas reconnus comme vœux, les obligations ne serontpas obligatoires ni les promesses considérées comme promesses ».

Pensez-vous que l’on puisse faire confiance en une personne possédant une tellementalité ? C’est ce genre de tournure d’esprit qui fait que les gens décents etnormaux haïssent les Juifs depuis des siècles. Ce permis de mentir, qui est glorifiéchaque année par un rituel sacré, a-t-il jamais été dénoncé par un groupe Juif quelconque ? Pourquoi des promesses devraient-elles être annulées par les Juifs ?Pourquoi pas juste mentir et perpétrer leurs crimes ? Eh bien, il est clair que ceschoses proviennent de Babylone et de leur besoin de faire des choses au nom dela religion.

Le Kol Nidre est une annonce sacrée faite par avance, derrière des portes closes,selon laquelle aucune promesse ne sera tenue et, surtout, que ces promesses nedevront pas être prises au sérieux puisqu’elle seront violées avoir même d’avoirété faites. La parole d’un Chrétien est considérée comme une obligation ; le Juif,cependant, prend ses précautions pour passer en dessous de ce niveau de moralité,par avance. En fait, dans le cadre du gouvernement US influencé par les Sionistes,

il existe une politique, domestique comme étrangère, qui vise à déshonorer toutagrément lorsque celui-ci devient désavantageux pour les Juifs. Cela s’est traduit

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par des violations de traités du fait que la mentalité du Kol Nidre anticipe uneperspective de tromperies délibérées.

Comment pourrait-on avoir confiance en un juge Juif, un docteur Juif, un ensei-

gnant Juif ou tout autre Juif dans une position de pouvoir quelconque, dont lespratiques sont basées sur la fraude ? Comment la justice pourrait-elle prévaloirdans une société Chrétienne lorsqu’il existe un tel système opposé de lois reli-gieuses justifiant le parjure? Les cours de justice corrompues en Amérique sontillustratives de la phrase de Matthieu 6:24 : « Aucun homme ne peut servir deuxmaîtres ». Dès maintenant, nous, les Chrétiens, nous devons commencer à prendrenos vies en charge et refuser de servir le Juif ; cela signifie ne pas se plier à leurpanthéon de mensonges compulsifs.

Il est très facile de prouver la duplicité des Juifs, qui changent la vérité de Dieu en

mensonges. La Parole dit : « Tu ne mentiras pas » (Lévitique 19:11). Dieu hait « unfaux témoin qui parle en mensonges » (Proverbes 6:19). « Les lèvres menteusessont une abomination » (Proverbes 12:22). Le Talmud Babylonien déclare, quantà lui :

« Un Juif peut mentir et se parjurer afin de faire condamner un Chrétien[. . .] Le nom de Dieu n’est pas profané quand on ment à un Chrétien »(Baba Kama 113a, b).

« Les Juifs doivent toujours essayer de mentir aux Chrétiens » (Kohar 1160a).

« Il n’est pas permis d’imiter les coutumes des Akum (Chrétiens) nid’agir comme eux » (lore Dea 178, 1).

« Dieu récompense les menteurs astucieux » (Kallah 51a).

Saviez-vous que le héros de bandes dessinées, Superman, fut créé par les Juifsafin de contrer la montée des « méchants Nazis » ? Parce que tout le monde saitque Hitler était l’auteur du « Gros Mensonge ». Les Juifs avaient besoin d’un hérosde fiction, car ils ne possèdent pas la crédibilité nécessaire dans la réalité pour

jouer le rôle de héros eux-mêmes. Voici la vérité du mensonge Juif. La plupart des

Américains sont persuadés d’être suffisamment sophistiqués pour pouvoir faire ladifférence entre les mensonges propagandistes Juifs et la vérité. Les Juifs nous dé-clarent que Hitler disait : « Dites aux gens de gros mensonges, répétez-les souventet ils les croiront ». Nous avons entendu cette propagande des millions de fois,n’est-ce pas ? Ce qui ne nous a pas été dit, c’est ce que Hitler disait dans Mein

Kampf . En réalité, la vérité est exactement l’opposé de ce déclarent les Juifs : loinde promouvoir l’utilisation du « Gros Mensonge », Hitler avait averti son peupledu fait que les Juifs utilisent cette technique du « Gros Mensonge », que le peuple

Allemand devait être sur ses gardes et ne pas accepter la parole d’un Juif.

Cela demande une dose invraisemblable de culot et d’audace d’accuser quelqu’unde ce dont vous-même vous êtes coupable. La grande masse des Blancs Chrétiens

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tombent plus facilement victimes d’un gros mensonge que d’un petit, car nouspouvons mentir sur de petites choses mais nous nous sentirions honteux de men-songes trop gros. Notre race ne possède pas ce qu’il faut pour promouvoir uneénormité de faussetés à grande échelle. Les Juifs, par contre, sont nés et élevésdans une effronterie notoire et ils sont dès lors les grands-maîtres de la tromperie.La magnitude de leurs mensonges dépasse la compréhension de ceux qui en sontles principales victimes.

Jusqu’à ce que l’homme Blanc moyen fasse personnellement l’expérience de l’ad- versité du Juif dans sa vie, il ne pourra pas le croire. Les Américains pensent cequ’ils pensent et croient ce qu’ils croient parce qu’ils sont le peuple auquel on a leplus menti sur cette planète. Quelle personne saine d’esprit pourrait croire qu’elleconnaît la vérité après que les médias Juifs aient perverti, déformé et menti sur lesévènements courants ? N’est-ce pas là le point crucial ?

« Parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés. Età cause de cela, Yahweh leur envoie une énergie d’erreur pour qu’ilscroient au mensonge » (II Thessaloniciens 2:10–11).

Nous devons mettre nos esprits en règle avec Dieu, pas avec les Juifs. On nousa vendu un inventaire. Demandez à un écolier ou à votre voisin combien d’Amé-ricains ou de Français sont morts durant la Deuxième Guerre Mondiale, et vousobtiendrez le fameux regard vide de l’hypnotisé. Mais demandez combien de Juifssont morts et vous aurez immédiatement droit au nombre magique de 6 millions,

même venant de l’idiot du village.

Ce qui nous rend tellement susceptibles d’accepter les plus absurdes mensongesde la part des Juifs, c’est la programmation dont nous avons été les victimes dèsle plus jeune âge, qui nous a fait croire que les Juifs sont une pauvre minoritépersécutée sans raison et que les Juifs sont un peuple sacré spécial, les « élus »de Dieu. Cette technique de tromperie désarme automatiquement nos facultés deraisonnement critique et gagne une sympathie et une vénération immédiates. Pourles Juifs, tromper si facilement les non-Juifs est d’un humour merveilleux.

Malgré l’admonition biblique de « prouver toute chose » (I Thessaloniciens 5:21),les Chrétiens ayant le plus assimilé ce lavage de cerveau font face au dilemmemoral d’accepter le fait que ce que les Juifs leur racontent est contraire à Dieu.Quelqu’un qui est tellement conditionné qu’il accepte des affirmations sans preuvea remplacé sa foi en Dieu en une foi dans les Juifs et il est à la merci de leursmensonges.

Il faut bien comprendre que les Juifs ont toujours été des parasites dans une na-tion hôte. Ils n’honorent pas leur présence par de l’honnêteté. Si nous ne com-battons pas leurs mensonges, nous ne devons pas être surpris d’observer aujour-

d’hui une carcasse pourrissante nommée Amérique, qui est l’hôte dont ils se re-paissent. Après tout, leur existence prédatrice tout entière est basée sur un simple

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mensonge, mais de grande importance, à savoir qu’ils seraient une communautéreligieuse bienveillante, alors qu’en fait ils sont une lignée bâtarde de criminelsmalveillants.

Les films Juifs adorent montrer des histoires de suceurs de sang à longues canines,qui représentent une allégorie, sous forme de blague d’initié, des Juifs eux-mêmes,infligeant l’horreur à une audience principalement composée de Blancs. Les vam-pires réels conduisent une parade de mensonges, en laissant derrière eux une traî-née sanguinaire de mort et de destruction. Une évaluation honnête de la GuerreCivile, de la Première et de la Seconde Guerre Mondiale, de la Guerre de Corée,de la Guerre Froide, de la Guerre du Vietnam, de l’épisode de l’U.S.S. Liberty etdes attaques horribles du 11 septembre 2001 – pour ne mentionner que les évène-ments les plus évidents – accuse la traîtrise juive comme étant le modus operandien cours.

Peut-on rêver d’une devise plus compromettante que celle du Mossad : « Nousferons la guerre au moyen du mensonge » ? En poursuivant notre étude pour ré-pondre à la question : « Pourquoi nous haïssons les Juifs ? », nous verrons commentce troisième élément du Gros Mensonge par le comportement des Juifs s’insèreparfaitement dans les 29 autres éléments. Si vous n’êtes pas encore convaincu dela nature mauvaise de la Juiverie, notre prochaine étude s’occupera de quelquechose qui arrive à tout le monde : se faire arnaquer !

LE V OL

À chaque fois qu’un voleur dérobe quelque chose, la victime se sent comme violée.Je ne connais pas beaucoup de personnes qui aiment constater qu’une chose leurappartenant leur a été volée. Le Dieu dans lequel je crois dit que c’est un viol deprendre quelque chose qui ne vous appartient pas. « Tu ne voleras point » (Exode20:15). D’un autre côté, l’éthique juive du code criminel du Talmud déclare :

« Tout ce qui appartient aux autres nations appartient à la nation juivequi, par conséquent, a le droit de le prendre sans le moindre scrupule.

Un Juif orthodoxe n’est pas tenu d’observer les principes de moralitéenvers les gens d’autres tribus. Il peut agir contrairement à la mora-lité si cela est profitable pour lui-même ou pour les Juifs en général »(Schalchan arach Choszen Hasispat 348).« Une propriété Chrétienne appartient au premier Juif qui la réclame »(Babha Bathra 54b).« Gardez tout trop-perçu qu’un Chrétien fait par erreur » (ChoschenHam 193, 7).« Ce qu’un Juif vole d’un Gentil, il peut le garder » (Sanhedrin 57a).« Si un Juif trouve un objet perdu par un Gentil, cet objet ne doit pas

être rendu » (Baba Mezia 24a).

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Le Talmud enseigne que les non-Juifs n’ont aucun droit de propriété. Leurs posses-sions sont « comme de la terre non réclamée dans un désert ». Le code Juif pour le

vol est : pompez les Gentils, mais ne vous faites pas prendre pour ne pas mettre enpéril les intérêts Juifs. Les Juifs ne se préoccupent pas de voler du chewing-gumaux étalages. Que veulent-ils donc prendre qui ne leur appartient pas ? En un mot :tout. Tous les actifs tangibles dans le monde. Mais « Si un homme aime le monde,l’amour du Père n’est pas en lui » (I Jean 2:15–16). Les maux compris dans cetamour du monde sont : les désirs de la chair, les désirs des yeux et l’orgueil de la

vie, qui se traduisent par des motifs pour voler, c’est-à-dire l’avidité, l’ambition etles désirs.

Tout comme le Gros Mensonge, nous avons la Grande Arnaque. Si nous avons unereligion enseignant la possession du monde au moyen du larcin institutionnalisé,il ne peut y avoir un espoir de Rédemption. Selon les anciennes lois du Dieu d’Is-

raël, qui sont toujours valables aujourd’hui, la restitution était un moyen, pour un voleur, de restituer à sa victime au moins le double de ce qu’il avait volé (Exode22:9). Quiconque n’obéit pas aux commandements de Dieu sera mis à mort (Jo-sué 1:18). La justice divine ne va certainement pas ignorer le vol du monde parles enfants du Talmud Babylonien. En réalité, le jugement doit être rendu sur lagrande Babylone en Révélation 18:6 :

« Donnez-lui comme elle vous a donné, et doublez-lui le double, selonses œuvres ; dans la coupe qu’elle a mixtionnée, versez-lui le double ».

La logique nous dit que les marchands Juifs de la Terre ont volé la majorité de

l’or, de l’argent et des pierres précieuses, et qu’il leur serait impossible de payer ledouble de tout cela en restitution. De plus, il ne s’agit pas seulement de l’accumu-lation de métaux précieux, mais du nombre incroyable de vies volées par les pluscupides des destructeurs au monde, une perte qui ne pourra jamais être rembour-sée. La vérité mystérieuse se déploie dans la Révélation, avec les praticiens destraditions babyloniennes qui sont trouvés coupables :

« Et en elle a été trouvé le sang des prophètes, et des saints, et de tousceux qui ont été immolés sur la terre » (Révélation 18:24).

Comment une inculpation aussi monumentale peut-elle être attachée à un peupledonné?

« Voici, je donne de ceux de la synagogue de Satan qui se disent êtreJuifs, – et ils ne le sont pas, mais ils mentent » (Révélation 3:9).

Le mot « Juifs » dans ce verset pointe explicitement vers les Judaïtes, ou parentsappartenant à la tribu de Juda. Le mot « Juif », tel qu’il est utilisé aujourd’hui, est leprisme à travers lequel les voleurs d’identité irradient comme un ange de lumière(II Corinthiens 11:14).

Combien de Chrétiens ont-ils été informés de la réalité sur ces voleurs d’identité,

qui l’admettent eux-mêmes fièrement? L’auteur Juif Oscar Levy se vante :

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« Et ne sont-ils pas [les Juifs d’aujourd’hui] les inventeurs du mythe duPeuple Élu ? ».

Cette hypocrisie diabolique est confessée clairement, quoique dans la manière « se-

cond degré » habituelle, dans l’édition 1980 de la Jewish Encyclopedia, au chapitreintitulé « Crise d’identité » :

« Strictement parlant, il est incorrect d’appeler un ancien Israélite un“Juif” ou d’appeler un Juif contemporain un “Israélite” ou un “Hé-breu” ».

Cependant, talmudiquement parlant, dans le jargon incompréhensible typiquequ’on trouve dans cet ouvrage, il est politiquement et économiquement oppor-tun d’appeler du nom d’« Israël » le pays que l’on a volé à des peuples indigènes.

La revendication osée du nom d’Israël par les Juifs traduit exactement cela : l’au-dace des voleurs. Ils n’auraient jamais pu réussir à confisquer les terres de Palestinesans s’être accaparé au préalable de l’identité des héritiers légitimes des promessesdivines.

Plus grotesque encore que le premier pas de la prétention de la juiverie de se pré-senter comme la tribu de Juda est le pas de géant des Juifs Ashkénazes assumantl’identité de toutes les douze tribus d’Israël. Rien ne pourrait être plus absurdeque de permettre au voleur de voler sans impunité. Mais combien de fois n’a-t-onpas entendu parler d’un cambrioleur pénétrant dans une maison, être abattu par

le propriétaire, propriétaire qui se retrouve lui-même poursuivi par la justice juivedans les tribunaux juifs ? Peut-être le fait que tant d’officiers de police portent unbadge en forme d’étoile à six branches vous donnera un indice ?

Le crime organisé de la juiverie dans le gouvernement est ce que Frédéric Bastiatappelait, dans son livre La Loi, « le pillage légal ». C’est la philosophie antichré-tienne d’un groupe prospérant aux dépends des autres. Les annales de l’Histoiretémoignent de la réalité des pratiques malhonnêtes juives consistant à obtenirquelque chose pour rien. L’éthique Chrétienne du travail est étrangère au Juif.Le processus de travail honnête est à l’origine de la propriété. La malhonnêteté

consistant à voler les fruits du travail d’un autre est à l’origine du pillage. Les genssont inclinés à éviter la souffrance et, puisque le travail est fondamentalement dela souffrance, certaines personnes préfèrent au travail la facilité du vol.

La justice de Dieu protège la propriété et punit le vol. La justice criminelle juivelaisse la propriété sans protection et récompense l’éthique du pillage. Le vol cesseraseulement lorsque le parasite aura tout mangé ou qu’on aura pu le convaincrequ’une telle activité est dangereuse pour sa santé.

La vie des Juifs en Allemagne, avant 1933, était une orgie de festins parasitaires

aux dépends de la nation hôte. La pillage fut arrêté au moyen de camps de travailqui, après la guerre, furent renommés « camps de la mort ». Ce qui nous amène à

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la question : « Les Juifs préfèreraient-ils être pris morts plutôt que de travailler? ».Il est ironique de penser à l’inscription se trouvant au-dessus de la porte d’en-trée du camp d’Auschwitz : Arbeit Macht Frei, qui signifie « Le travail rend libre ».

Après la guerre, le Juif imagina que cela signifiait « Libres Compensations », aussilongtemps qu’il y aurait de la viande à manger sur l’os. Nous verrons plus loincomment l’industrie de l’Holocauste a fleuri et continue à piller la propriété en sebasant sur les protocoles du « butin de guerre » de la victimisation légalisée. Ilspeuvent même faire passer tout cela sous silence en démonisant toute opposition.Mais ce processus finira par disparaître et sera remplacé par une pure tyrannie (sinous ne faisons rien pour la stopper).

Nous ne parlons pas ici d’un simple vol de voiture. Les Juifs sont engagés dans le vol de nations. Les élections sont littéralement volées par le trucage. Nous sommes volés par la majorité des politiciens républicrates qui acceptent les pots-de-vin del’AIPAC 6. Des groupes d’intérêts spécifiques, s’ils ont le sceau juif d’approbation,obtiennent des millions de dollars en aides financières provenant de la corruptionendémique du gouvernement. En fait, notre nez collectif est frotté dans le caca detous les péchés et de toutes les corruptions par les Juifs, qui sont les spécialistes dela valorisation de ces choses. L’innocence de nos enfants n’a pas été perdue, elle aété expressément volée. En conséquence, nous sommes des brebis perdues, mûrespour être tondues facilement, parce que nous n’avons plus les valeurs familialesd’amour de notre propre éthique Chrétienne et de haine de l’éthique étrangère desdieux étranges du Judaïsme.

Certaines personnes ne comprendront pas l’intention de ce message et me pren-dront juste pour un exemple supplémentaire de ces mécontents et dissidents quiaccusent les pauvres Juifs pour pouvoir assouvir leur haine et apaiser leur colère.Ce n’est pas mon propos, bien que le viol et le pillage soient des symptômes denotre société. Nous avons le devoir de rechercher les causes tout autant que d’exa-miner les effets. Après tout, qui a donné l’Amérique aux voleurs et aux pillards ?Le prophète Ésaïe posait la même question à nos ancêtres comme il nous parle ànous aujourd’hui :

« Qui fera attention, et qui écoutera ce qui est à venir ? Qui a livré Jacobpour être une proie, et Israël à ceux qui le pillent ? N’est-ce pas Yahweh,celui contre qui nous avons péché ? Et ils n’ont pas voulu marcher dansses voies, et ils n’ont pas écouté sa loi ; et il a versé sur lui l’ardeur desa colère et la force de la guerre : et elle l’a embrasé de tous côtés, etil ne l’a pas su; et elle l’a brûlé, et il ne l’a pas pris à cœur » (Ésaïe42:23–25).

En d’autres termes, les Blancs seront pillés aussi longtemps qu’ils se détournerontde Yahshua-Christ pour leur délivrance.

6. A.I.P.A.C. : « American Israel Public Affairs Committee » (NDT).

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L’apostasie spirituelle qui abonde aujourd’hui est le reflet de l’échec à identifierles causes qui nous détournent de Dieu. Où se trouve le vrai courage de l’hommeBlanc Chrétien qui se lève et déclare : « Que Dieu soit vrai et tout homme unmenteur »? Pourquoi devriez-vous écouter l’homme qui dit « Dieu bénira ceux quibénissent les Juifs » alors que tout ce que vous obtenez, c’est le pillage légalisé ?Pourquoi est-il si difficile pour les gens de comprendre que si vous bénissez le Juif,

vous serez maudit ? Nous sommes dépouillés par ceux qui, par leurs mensonges,ont convaincu notre peuple qu’il n’est pas nécessaire d’honorer et d’obéir aux loisde Dieu Tout-Puissant, mais qu’il suffit de se conformer à un monde dirigé par lesJuifs. Chacun de nous doit se demander s’il désire vivre dans un monde où la règleest « Tu voleras » ou bien, pour le dire dans les termes sataniques de la Kabbale

juive : « “Fais ce que tu veux” sera la seule loi ».

La philosophie « fais tout ce que tu désires et n’en subis pas les conséquences » a

pour effet la victimisation systématique, la dégénérescence, le chaos et la misère.Le Christianisme, au contraire, offre la justice (à savoir : « Tu ne voleras point, etsi tu le fais, tu seras puni de façon appropriée »). Le Christianisme apporte la loiet l’ordre, des choses dont le Juif se moque parce qu’il ne peut pas subsister dansun tel environnement. Il n’y aura pas de voleur au Royaume des Cieux :

« Le royaume des cieux est pris par violence, et les violents le volent »(Matthieu 11:12).« Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point du royaume de

Yahweh ? Ne vous y trompez pas : ni fornicateurs, ni idolâtres, ni adul-

tères, ni effémines, ni homosexuels, ni voleurs, ni avares, ni ivrognes,ni outrageux, ni ravisseurs, n’hériteront du royaume de Yahweh » (ICorinthiens 6:9–10).

Les voleurs et les cambrioleurs, par nature, sont habituellement violents, car ils violent la personne ou la propriété de quelqu’un. De même, ils sont les plus grandsdes hypocrites en ne voulant pas être volés eux-mêmes. Aucun Chrétien ne devraitêtre surpris par la manière dont le Christ s’adressait à ces Pharisiens-hypocrites-

voleurs-Juifs. Yahshua commanda à Ses étudiants de ne pas s’appeler les uns lesautres « Rabbi » (Maître), car seul le Christ est notre enseignant (Matthieu 23:8–

10). Le Maître déclara :

« Mais malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! car vous fer-mez le royaume des cieux devant les hommes ; car vous n’entrez pas

vous-mêmes, ni ne permettez à ceux qui entrent, d’entrer » (Matthieu23:13).

Un rabbin est un hypocrite, un Jekyll en public et un Hyde en privé, qui n’ad-mettra jamais la vérité de peur d’être exposé comme le menteur consommé qu’ilest. Cependant, la circonspection de cette race de vipères est remplacée par une

arrogance hautaine qui consiste à prostituer leur foi pour un gain, une religionqui s’abaisse elle-même délibérément par amour pour Mammon. Une hypocrisie

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amorale est l’essence de la stratégie juive, l’arme de choix pour la judaïsation de lathéologie Chrétienne, parce que partout où il va pour faire un prosélyte, le converti(Judéo-Chrétien) devient deux fois plus l’enfant de l’enfer que le Juif !

Le Judéo-Chrétien est un schizophrène (être instable à double pensée) qui soutientla double nationalité juive comme un complice, avant comme après les faits. Lefait est que les Juifs volent, et ils volent sans la moindre trace de remord ni deconscience d’avoir mal agi. Il n’existe aucune excuse, pour quiconque voulant sefaire appeler « Chrétien », pour haïr le vol tout en aimant le voleur. Il s’agit là d’unehypocrisie religieuse qui récoltera la damnation qu’elle sème.

« Aides-tu au méchant, et aimes-tu ceux qui haïssent Yahweh ? À causede cela, il y a colère sur toi de la part de Yahweh » (II Chroniques 19:2).

« Élevez, élevez la chaussée, préparez le chemin; ôtez toute pierre

d’achoppement du chemin de mon peuple ! » (Ésaïe 57:14).

Les quatre éléments principaux de réponse à la question : « Pourquoi nous haïs-sons les Juifs » ont maintenant ouvert la voie, de façon à ce que notre frère netrébuche ni ne tombe lorsqu’il discutera des tergiversations quant à notre destinéeet du futur des Juifs. Nous allons maintenant procéder à l’inspection des 25 autreséléments qui justifient une immédiate quarantaine des Juifs du reste du monde.

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TROISIÈME PARTIE

LE MIXAGE RACIAL

La génération des « Baby Boomers », quand ils furent élevés dans des foyers Chré-tiens, le furent en apprenant « Tu ne tueras point », « Tu ne voleras point » ou« Tu ne porteras point de faux témoignage ». Mais « Tu ne commettras point l’hy-bridation » ne se trouvait pas dans les Dix Commandements, bien que ce Com-mandement y soit en réalité 7. Dans les années 1950, le sujet de la race prit uneperspective différente sous l’influence des Juifs. À cette époque, il était clair pourtout le monde que Dieu avait créé la race Blanche différente de toutes les autresraces sur la Terre et qu’Il nous avait séparés par espèce et par la géographie. Les

Juifs devaient arriver à obtenir une influence dans les églises américaines afind’orienter différemment la vision du monde des Blancs au sujet des autres races.Cette influence s’appelait « égalitarisme », ce qui signifie « égalité raciale » et laphrase « Aime ton prochain » prit une tout autre dimension en redéfinissant lestermes bibliques qui ne s’adressaient qu’à la race d’Israël, le peuple de la Bible.

Le contraste conceptuel entre notre Bible et le Talmud des Juifs est parfaitementévident. Lévitique 19:18 déclare :

« Tu ne te vengeras pas, et tu ne garderas pas rancune aux fils de tonpeuple ; mais tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Le contexte est racial : « ton peuple ». Le Tanach Juif, au contraire, traduit le textedifféremment :

« Tu n’exécuteras pas de vengeance ni ne porteras rancune contre tonconcitoyen, aime ton confrère comme toi-même ».

Le contexte est maintenant géographique et élimine « prochain » comme signifiant« ta propre race ».

La divinité de Yahshua-Christ est haïe par les Juifs, parce que Sa généalogie, re-tracée jusqu’au premier homme Blanc, Adam, représente une lignée de puretéraciale. La généalogie des Juifs représente une ancestralité de semences entremê-lées, qu’elle soit retracée jusqu’à Caïn, jusqu’à Ésaü ou jusqu’aux Juifs AshkénazesTurco-Mongols, dont 95% des Juifs d’aujourd’hui font partie et qui proviennentdes Khazars Turco-Mongols du 9

esiècle après JC. Genèse 3:15 est la distinction

entre le racialement pur et le racialement impur et parle des conflits subséquentsqui découleront de cette distinction à travers toute l’Histoire. La prohibition divinecontre ces relations interraciales constitue un moyen de protéger la pureté racialede Son peuple :

7. Voir La sixième Loi de Dieu, qui en apporte clairement la preuve (NDT).

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http://www.scribd.com/doc/121382020/La-Sixieme-Loi-de-Dieu-Tu-ne-commettras-pas-l-hybridation






« Je suis Yahweh votre Dieu, qui vous ai séparés des autres peuples »(Lévitique 20:24).

« Et il arriva que, lorsqu’ils eurent entendu la loi, ils séparèrent d’Israëltoute le peuple mélangé » (Néhémie 13:3).

Dieu est contre la diversité multiculturelle. Les Juifs la promeuvent. Dès lors, suivant la logique juive, Dieu est le premier raciste qui doit être condamné et Ses Loisd’intégrité raciale doivent être inversées, devenir antiracistes, mot qui ne signifierien d’autre que « anti-Blanc ». Il est absolument stupéfiant de constater commentles Juifs ont réussi à appliquer le concept de racisme à un seul peuple : le nôtre.

Nos propres bergers sont à blâmer pour la subversion juive. Dès 1920, Henry Fordpubliait son enquête monumentale, appelée The International Jew 8, exposant leurpénétration dans les églises. Au chapitre « Les églises et la Juiverie », Ford déclare :

« Le dernier endroit où l’observateur inattentif s’attendrait à trouver destraces d’influence juive est l’Église Chrétienne, et pourtant, en ne regar-dant pas dans cette direction, il passerait à côté de beaucoup de choses.Si les bibliothèques de nos séminaires théologiques étaient équipées deregistres des travaux littéraires juifs durant les dernières décennies,et si on obligeait les étudiants en théologie à lire ces énoncés juifs, ilexisterait moins de discours stupides et de « points faibles » pour la pro-pagande juive dans les églises d’Amérique. Tout séminaire théologiquedevrait comporter une chaire d’étude des influences juives et des Proto-coles pendant au moins 25 ans. La fiction selon laquelle les Juifs étaientle peuple de l’Ancien Testament fidèle à la Loi Mosaïque se dégonfleraitalors, et les timides Chrétiens cesseraient de croire, dans leur supersti-tion, à des mensonges dûs à une mauvaise interprétation des textes,comme par exemple : “Je bénirai ceux qui te bénissent et je maudiraiceux qui te maudissent”.

« Les églises ont pour mission de libérer l’assemblée Chrétienne de ceque le nouveau Testament appelle “la peur des Juifs”. Les ministres ont

aussi pour mission de libérer l’Église de l’erreur selon laquelle Juda etIsraël sont synonymes. Une lecture des Écritures confondant la tribude Juda avec Israël constitue la cause de plus de la moitié de la confu-sion et de la division que l’on trouve dans les déclarations doctrinalesChrétiennes.

« Les Juifs ne sont PAS “le peuple élu”, bien que pratiquement l’entiè-reté de l’Église ait succombé à la propagande qui les déclare tels. Cetteinfluence destructrice entre parfaitement dans le Programme Juif Mon-dial ainsi que dans la nature confiante des non-Juifs qui leur fait accep-ter cette affirmation sans examiner sa source. L’Église est maintenant

8. « Le Juif International » (NDT).

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victime d’une seconde attaque contre elle à travers le Socialisme et leSoviétisme effrénés, doctrines qui se sont abattues sur elle au nom dethéories flasques et immorales sur la “fraternité” et d’un appel à son“impartialité”.

« Les Juifs ont en réalité inondé, en personne et via des programmes,des centaines d’églises américaines de leurs idéaux sociaux subversifset impossibles, et ils sont devenus tellement arrogants et sûrs de leurdomination sur cette situation qu’ils n’ont rencontré aucun obstacle.

« Les membres du clergé devraient savoir que les sept huitièmes de labouillie économique qu’ils énoncent dans leurs sermons sont préparéspar des professeurs en économie politique et des dirigeants révolution-naires Juifs.

« Le Juif a pris possession de l’Église par ses doctrines, par son pré-

tendu libéralisme et par ses diversions sociologiques fiévreuses et fai-blardes. S’il existe un endroit où une étude sérieuse de la QuestionJuive doit être faite, c’est bien dans l’Église moderne, qui donne allé-geance inconsciemment à toute cette masse de propagande juive. Cen’est pas de la réaction qui est conseillée ici : c’est un progrès sur une

voie constructive, celle de nos ancêtres, les Anglo-saxons qui ont été, jusqu’à ce jour, les bâtisseurs de mondes, de cités, du commerce et descontinents, et pas celle des Juifs, qui n’ont jamais été des bâtisseursni des pionniers, qui n’ont jamais fait fleurir le désert mais qui viventdu labeur des autres. Peut-être peuvent-ils ne pas être blâmés de ne

pas être des bâtisseurs ou des pionniers, mais ils doivent être blâmésde leur prétention à avoir tous les droits des pionniers ; mais il se peutque leur culpabilité ne soit pas aussi grande que celle des fils des Anglo-saxons, qui ont rejeté ce que leurs pères avaient bâti et se sont associésaux idées douteuses de Juda ».

Nul doute que cette dernière référence à « Juda » est dite sarcastiquement et qu’ellese réfère à la mascarade jouée par les Juifs dans un but de domination du monde.

Maintenant, Billy Graham 9 et tous les autres prostitués religieux financés par les

Juifs proclament que la Bible ne dit rien contre les mariages interraciaux, alorsqu’en fait c’est exactement le contraire qui est vrai. Mais je suis sûr que les rabbinsse frottent les mains avec joie quand ils conseillent à leurs Feinsteins et Bloom-bergs 10 de légiférer encore plus de lois favorables au mélange racial. Je suis sûrégalement que les rabbins sont plutôt familiers de l’interprétation actuelle sur ladoctrine de Balaam. Quelle est cette doctrine, dont vous n’entendez jamais parlerdans vos églises judaïques ? Bien qu’il en soit fait allusion comme d’une erreur deCaïn, qui coucha avec des pré-Adamiques (Jude 11 ; « un écart de l’orthodoxie »,

9. Fameux « évangéliste » Américain (NDT).

10. Dianne Feinstein : sénatrice juive de Californie ; Michael Bloomberg : maire juif de New York jusqu’en décembre 2013 (NDT).

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selon Strong), et comme les enseignements d’un faux prophète qui amena des hé-résies damnables (II Pierre 2:1, 15), la nature exacte de la doctrine de Balaam aété tordue afin d’en ôter le contenu racial. Si nous pouvons nous appuyer sur l’undes historiens les plus respectés de l’antiquité (et il n’y a aucune raison de ne pasle faire), Flavius Josèphe nous renseigne là où la Bible ne le fait pas. Dans son récitconcernant le prophète Balaam conseillant Balac, le chef des Moabites, sur ce qu’ildevrait faire pour détruire les Israélites, il cite Balaam :

« Si tu [. . .] désires une victoire sur eux (les Israélites), [. . .] prépare lesplus belles de tes filles, [. . .] puis [. . .] envoie-les là où se trouvent lesIsraélites [. . .] et quand ils en seront tombés amoureux [. . .] persuade-les d’abandonner leur obéissance à leurs propres lois et à la parole dece Dieu qui les a établis [. . .] car par ce moyen, Yahweh sera en colèrecontre eux » ( Antiquités 4:6:6–13).

Il faut bien comprendre le but de ce complot. Des étrangers à notre race, inca-pables de détruire les Israélites par des moyens classiques, tentèrent de leur faire

violer la Loi de Yahweh contre le mélange racial. La preuve que cette destructionest certaine, c’est que les fils d’Isaac, les Saxons ( Isaac’s Sons), ont été détruitsdans tous les pays où le mélange racial a eu lieu. Et cette destruction arrive pra-tiquement toujours par une rationalisation religieuse dûe à la proximité de racesétrangères. Le processus mental est le suivant : « Oh, eh bien, puisqu’ils sont ici,autant être gentils avec eux ». Et la prochaine chose que vous constatez, c’est que

votre fille est en cloque et que vous avez maintenant des petits-enfants bâtards.

Mais en ce qui concerne la proximité de ces étrangers, La Parole de Dieu dit : « Ilsn’habiteront pas dans ton pays » (Exode 23:33). Une fois qu’ils sont ici, la ma-lédiction du jugement divin est sur notre terre, exactement comme ce que nousconnaissons aujourd’hui. Il n’existe pas plus de bénédiction pour la diversité mul-ticulturelle et l’amalgamation qu’il n’y en eut pour la Tour de Babel.

Je m’aventurerai à affirmer que la doctrine de Balaam a infiltré 90% des églises,si pas plus, à cause des textes massorètes biaisés traduits par des Juifs antichrists.En quoi consistait la pierre d’achoppement qui fut jetée devant les enfants d’Is-raël ? C’était de commettre la fornication. C’est ce que nous lisons en Révélation

2:14. La Strong’s Concordance et la plupart des dictionnaires bibliques ont traduitpauvrement, si pas faussement, le mot grec porneia (n°4202), comme signifiantsimplement « fornication », ce qui peut conduire notre peuple dans le péché demélange racial par ignorance. La bonne traduction peut être prouvée par l’échangeque Yahshua eut avec les bâtards Juifs Édomites en Jean 8:41 : « Nous ne sommespas nés de la fornication ; nous avons un père, Yahweh ». Notre première impres-sion est qu’il s’agit d’une mauvaise utilisation du mot « fornication », alors quele texte parle clairement de mélange racial. Mais comme l’explique plus loin leChrist, il s’agit d’une différence génétique : « Yahshua leur dit : si Yahweh était

votre père, vous m’aimeriez » (v. 42). Un meilleur mot que « fornication » aurait

été « prostitution », comme référence à Deutéronome 23:2 :

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« Le bâtard [c-à-d. l’enfant de sangs-mêlés, l’hybride, et pas l’enfant néhors du mariage] n’entrera pas dans l’assemblée de Yahweh ».

La New International Version traduit « Personne né d’un mariage interdit . . . ». Dieu

interdit aux enfants d’Israël de se marier, . . . mais à qui ? À des peuples comme les Ammonites et les Moabites, qui sont mentionnés au verset 3, et qui étaient des hy-brides. Pourquoi les dictionnaires bibliques modernes excluent-ils toute référenceà des sangs-mêlés, à des hybrides, au mélange racial ? C’est clairement dans le butde rendre invisible le péché consistant à se marier à ces races auxquelles Yahwehnous a interdit de nous marier. Le Christ continue en accusant ces Juifs d’avoir àla fois Abraham et le diable pour pères. Les Juifs sont une race mêlée qui ne peutpas être identifiée avec la vérité de Dieu ; ils sont nés menteurs naturels. Rappelez-

vous que nous devons discerner les esprits afin de voir s’ils sont de Yahweh.

L’adultère n’a pas toujours été une relation illicite entre des gens mariés à l’inté-rieur de leur propre race dans l’Ancien Testament, mais il peut aussi être le mé-lange racial. Dans le Nouveau Testament, cette relation hors mariage est souventdistinguée du mot « fornication ». Le mélange racial a toujours été associé aux re-ligions païennes. La confusion provient de la dissociation des idolâtries païenneset des races païennes. Dans les temps anciens, ces deux choses étaient indisso-ciablement liées. Vous ne mélangiez pas votre race, parce que les dieux étrangersétaient liés au territoire. Les deux constituaient des péchés. Les anciennes religionspaïennes n’avaient rien à voir avec de la spiritualité comme le perçoit aujourd’huile Judéo-Christianisme œcuménique. Elles étaient des religions de fertilité, des re-ligions du sexe qui ne possédaient pas de lois prohibant les relations sexuelles avecd’autres races. Si les Chrétiens moyens ne peuvent voir ces Lois de Dieu, c’est qu’ilsne cherchent pas suffisamment. L’ignorance de la Loi ne constitue pas une excuse.Ils peuvent avoir entendu parler du culte de Baal, que Yahweh considère commeune abomination, mais ce que leurs ministres ne leur disent pas, c’est que ce cultede Baal incluait le mélange racial.

Dans les églises Chrétiennes, nous avons des prêtres de Baal, qui sont des traîtres àleur race, qui sont payés de façon extravagante, ou plutôt sont corrompus avec desmillions de dollars, pour trahir Yahshua-Christ et Sa race Blanche. Les membresdes dénominations modernes, de ces églises de Baal, disent la même chose quece que disaient les Pharisiens à Yahshua : « Nous avons un même père, Dieu »(Jean 8:41). Yahshua leur déclara qui leur père était : « et vous ferez les désirsde votre père » (v. 44). Les églises apostates ne sont pas différentes d’Ésaü, dontla semence « s’est perdue » et qui s’était marié en dehors de sa race, polluantainsi pour toujours sa descendance. Les églises, comme Ésaü, méprisent leur droitd’aînesse.

Que fait Ken Ham, de « Answers in Genesis », avec Jude 7, où la fornication est

clairement reliée à la poursuite de chair étrangère, c’est-à-dire d’autres races ? Ehbien, ce riche expert en fausses croyances prend Révélation 2:14 et efface toute

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référence au mixage racial. Il suggère, très sérieusement, que les sombres beautésne faisaient que du prosélytisme pour leur religion païenne, plutôt que d’attirerles jeunes Israélites vers leurs couches. Est-ce que Ken Ham n’a pas d’yeux pour

voir les publicités, films et programmes télévisuels juifs promouvant le mélangeracial et séduisant les jeunes garçons Blancs afin qu’ils finissent dans le lit de Jéza-bels pomponnées ? J’ai entendu des jeunes Blancs s’extasier de la beauté de HalleBerry 11, et ce n’était pas dû à un quelconque message religieux de la part de cettedernière. Ken Ham blâme « Satan » d’une fornication spirituelle destinée à tromperles gens pour qu’ils se compromettent avec le monde. Je blâme Ken Ham de trom-per les gens pour leur faire croire qu’il n’y a rien de mal dans le mélange racial. Il acompromis la vraie signification de la doctrine de Balaam en passant sous silenceles désirs pour la chair étrangère, qui sont ce que le mot « fornication » implique.Il joue au jeu bien connu du leurre (technique du magicien !) consistant à fairedisparaître le mélange racial dans un trou noir mémoriel et à le remplacer parsa tactique personnelle consistant à combattre la « théorie » de l’évolution, touten remplaçant celle-ci par sa propre version d’une évolution super-rapide dans leLivre de la Genèse ; c’est une philosophie dégoûtante de mélange racial, comme onpeut s’en rendre compte après avoir élucidé la doctrine de Balaam dans la Bible.Il s’agit là d’une rationalisation du péché 12.

Le mélange racial n’est pas Chrétien ! Le mélange racial est une doctrine commu-niste, et le Communisme est une doctrine juive. Le Communisme juif est le grandmelting pot destiné à abattre les murs des divisions raciales, ethniques et reli-gieuses afin de créer une soupe génétique d’êtres indiscernables pour la consom-mation des masses. Dieu interdit le mélange racial tout simplement parce qu’Il acréé les identités raciales. Les Juifs sont les mélangeurs raciaux historiques, des hy-pocrites et des promoteurs de l’hybridation. Les tensions raciales ne peuvent êtrecomprises que par la connaissance des incitations et de l’ingénierie sociale juives.Ultimement, les machinations juives visant à éliminer les races pures, pas justeles Blancs, et conduisant à une ère d’homogénéisation génétique n’est rien d’autreque du génocide. L’Amérique n’aura dans 200 ans plus rien qui pourra présenterune identité raciale et son arbre familial ne sera plus qu’une souche morte. Mais jene crois pas que cela arrivera, car Dieu nous a donné le mouvement de l’Identité

Chrétienne pour écraser la maison d’Ésaü, de laquelle « il n’y aura pas de reste »(Abdias 1:18).

95% de la juiverie mondiale est constituée d’Ashkénazes, une souche raciale com-prenant du sang Khazar-Édomite. La Jewish Encyclopedia, édition 1925, vol. 5,page 41, déclare : « Édom, c’est la juiverie moderne ». Ésaü vendit son droit d’aî-nesse à son frère Jacob (Israël) pour « un potage de roux [. . .] C’est pourquoi onappela son nom Édom » (Genèse 25:30). Édom signifie « rouge ». il est impossiblepour les Juifs Édomites de porte le nom d’Israélites. Jacob resta racialement pur,tandis que son frère Ésaü prit des femmes étrangères (Cananéennes). Dès lors, une

11. Actrice et ancien mannequin « américaine », c’est-à-dire hybride (NDT).12. Voir Réponses à Answers in Genesis (NDT).

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http://www.scribd.com/doc/202160550/Reponses-a-%C2%AB-Answers-in-Genesis-%C2%BB

http://www.scribd.com/doc/202160550/Reponses-a-%C2%AB-Answers-in-Genesis-%C2%BB






Je suis de plus en plus en colère contre ceux qui se font appeler des pasteurs del’Identité Chrétienne et qui trahissent la fondation de notre mouvement par desbadinages et des platitudes absurdes ne pouvant être vues que comme la men-talité philosophique de l’Universalisme. Ces gens s’écartent des admonitions desÉcritures interdisant le mélange racial. Je vous donnerai quelques exemples. Jenomme rarement les coupables, mais il s’agit ici d’une attitude vraiment tropfréquente et qui constitue une alarme. Il faut en parler clairement, de peur queces discours honteux finissent par être acceptés comme une sorte de norme dansl’Identité Chrétienne.

Eli James vient en tête de la liste avec ses si nombreuses idées universalistes quece personnage ne devrait plus être considéré comme un représentant du messageracial de Dieu. Il a proclamé qu’une personne peut posséder 15% de sang Juif et être néanmoins considéré comme Blanc ! 16% : pas un Israélite, 15% : ok,

vous pouvez passer. Sommes-nous si stupides pour croire une telle bêtise ? WilliamFinck réalisa une émission le 16 mars 2013, intitulée L’Universalisme de Eli James,documentant les écarts scandaleux d’Eli James des standards de l’Identité à partird’extraits de ses enregistrements audio promouvant l’Universalisme. L’émissionde W. Finck ne faisait pas d’attaques personnelles, et pourtant Éli répondit à sescritiques, non pas sur le fond du sujet, mais par des attaques ad hominem. C’estexactement comme lorsque nous citons des sources juives qui révèlent des preuvesaccablantes et que nous sommes accusés d’antisémitisme.

Daniel Johns, aussi connu sous le nom de « Pasteur Dan », fut récemment dévoilé

par son propre site Facebook, où il s’affichait avec fierté en compagnie de bâtards.Des photographies le montrent avec son épouse hybride, participant à une fêtede Halloween en compagnie de nombreux non-Blancs et d’une grande quantitéd’alcool. Il nie avoir quoi que ce soit à se reprocher.

Dave Barley a régurgité l’Universalisme insensé de la « réconciliation de touteschoses » depuis des années, mais sa plus récente lettre d’information, de février-mars 2013, citée verbatim ici, surpasse tout, ou plutôt plonge encore plus dansl’abîme :

« Je veux qu’il soit clairement compris que je ne suis pas contre les per-

sonnes racialement mélangées [il n’est donc pas contre Obama, qui in-carne parfaitement le bâtard parmi nous ?]. Ce qui leur est arrivé n’estpas de leur faute. C’est la faute de leurs parents [et si leurs parentsétaient eux-mêmes des bâtards ?]. Ils peuvent ressentir de l’amertumeou de la colère à ce sujet, ou ils peuvent rechercher le pouvoir cicatri-sant de l’Esprit Saint afin d’être un instrument de guérison par la véritéet la compréhension de la Bible [. . .] Je ne dis pas, et je ne crois pas,que nous ne pouvons pas témoigner la bonne nouvelle de Jésus-Christaux autres races [. . .] J’ai témoigné avec amour, gentillesse et patiencede l’Évangile du Christ à beaucoup de gens de couleur, et je continuerai

à le faire avec joie à chaque fois que l’occasion s’en présentera ».

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http://christogenea.org/content/christogenea-saturdays-2013-03-16-universalism-eli-james

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Les Juifs et les non-Blancs ne sont pas nos frères, ils sont des étrangers à notrerace, ne possédant pas d’Esprit. Ils ont en eux du sang et une mentalité mélangés.Ils savent que ce sont les nations Blanches Chrétiennes qui ont toujours proclaméla liberté et qui ont toujours protégé les droits inaliénables. Ce sont les mêmesmélangeurs de races et traîtres raciaux qui promeuvent les lois draconiennes duprétendu « Patriot Act » et qui conspirent pour mettre en place une loi interna-tionale sur le « crime de haine » afin de protéger dans le futur les Juifs et leursmonstres de sangs-mêlés à deux pattes. Leur opposition au plan divin est claire-ment établie à travers les tactiques sournoises des dialectiques marxistes.

Le Chicago Jewish Sentinel a publié un article de Julia Steiner sur la « Commissionsur la Prévention du Mariage Interracial », reportant que :

« Dans la Torah, les Juifs sont avertis de façon répétée que le mariage

interracial met en danger la survie du peuple Juif ».

Le texte continue en déclarant que :

« Les personnes travaillant avec notre jeunesse doivent faire un effortsubstantiel pour inhiber le mariage interracial, à la fois en tenant undiscours qui y est opposé et en donnant à nos jeunes des raisons posi-tives pour qu’ils restent Juifs ».

Pourtant, d’un autre côté, le rabbin Abraham L. Feinberg a déclaré :

« Jusqu’à ce que nous apprenions à combattre nos peurs innées des rela-tions sexuelles entre les races, la fin du problème racial n’est pas encoreen vue. [. . .] Un tel changement impliquera un remodelage complet dela psyché blanche. [. . .] Un encouragement délibéré au mariage inter-racial est la seule façon de parvenir à hâter le processus. [. . .] Nousn’éliminerons jamais complètement le préjugé racial avant d’avoir éli-miné la séparation des races ».

Et pour bien enrober de glaçage ce gâteau kosher, le rabbin Emanuel Rabinovich,dans un discours prononcé devant le Conseil d’Urgence des Rabbins Européens,

déclara en 1952 :« Nous révèlerons ouvertement notre identité aux races d’Asie et d’Afri-que. Je peux déclarer avec assurance que la dernière génération d’en-fants blancs est maintenant née. Notre Commission de Contrôle inter-dira aux blancs de se marier avec des blancs, dans l’intérêt de la paixet pour faire disparaître les tensions raciales. La femme blanche doitcohabiter avec des membres des races colorées et l’homme blanc avecdes femmes noires. Ainsi la race blanche disparaîtra, car mélanger lenoir avec le blanc signifie la fin de l’homme blanc, et notre plus dange-

reux ennemi ne sera plus qu’un souvenir. Nous serons embarqués dansune ère de dix mille ans de paix et de prospérité, la Pax Judaica, et

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notre race règnera sans opposition aucune sur la Terre. Notre intelli-gence supérieure nous permettra facilement de rester les maîtres dansun monde de peuples colorés ».

Est-il dès lors surprenant que les Juifs, en 1954, alimentèrent et facilitèrent ladécision de la cour Suprême de mettre fin à la ségrégation dans les écoles ? Lemouvement des « droits civiques » a fait son chemin, grâce au déploiement et àl’accomplissement des « Protocoles des Sages de Sion », une meute de loups Judéo-Maçonniques rusés et fourbes qui chuchotent des platitudes grandiloquentes touten infligeant des souffrances inouïes. Leurs appels de propagande sur la « liberté »et l’égalité des droits à l’échelle internationale amène les masses sans esprit àréaliser leurs plans. Ces êtres illusionnés croient pouvoir faire tout ce qu’ils veulentcontre toute forme d’autorité, y compris Dieu et les lois de la nature. Après tout,pour élever votre enfant Blanc de la manière souhaitée par les prêteurs sur gages

Juifs, « il vous faut tout un village africain », selon la candidate à la présidence,inventée par les médias Juifs, Hillary Clinton, une crypto-Juive elle-même.

Comme se vante le Protocole 9 :

« Nous avons trompé, dérouté et corrompu la jeunesse des goyim enles faisant élever dans des principes et des théories que nous savonsfausses, bien que ce soit nous qui leur avons inculqué ces choses ».

Nous sommes maintenant les témoins, après seulement un demi-siècle, de l’édu-cation juive dans ce système public de fous par laquelle les enfants Blancs sont

les victimes d’un rêve, celui d’une divinité dégénérée assassinée – Martin LuciferKing.

La raison pour laquelle la plupart des gens réagissent si émotionnellement à cegenre de messages sur la race, concoctés par la duplicité juive, est qu’ils ont étéconditionnés mentalement, comme l’hypnotisé entre les mains du psychiatre Juif.Ils croient donc que toutes les races sont égales et qu’elles sont toutes aimées parDieu. Si cela était vrai, alors les messagers de l’égalité et de la redistribution desrichesses devraient distribuer leurs obscènes revenus parmi les races pauvres duTiers-Monde. Mais ils savent fort bien que leur « règle d’or » (celui qui possède le

plus d’or . . . règne !) les empêche d’abandonner le plus petit de leurs profits. Cen’est pas l’amour de leurs camarades humains qui les motive, c’est plutôt l’amourde Mammon.

Le mixage racial est devenu un produit de vente à grand succès, avec un dévoue-ment consumériste et des campagnes de publicité sans précédent. Cependant, sil’on en croit la Bible, le phénomène multiculturel se rapproche de sa fin marketing.

« Mais j’ai quelques choses contre toi : c’est que tu as là des gens qui

tiennent la doctrine de Balaam [corrompre notre peuple en les sédui-sant pour qu’ils se marient avec des races étrangères], lequel enseignait

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Traduction : Bahrmanou

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Pourquoi nous haïssons les Juifs