Lettre ouverte aux directeurs d'EPLEFPA de France et de Navarre

Chères et chers adhérents,

Vous attendez ce numéro avec impatience et vous avez raison. Préférence FORMATIONS,fort de 103 EPL adhérents est devenu la référence en matière de réseau au sein du MAAPRAT et dela DGER pour deux raisons simples, c’est le plus important en nombre d’adhérents et c’est celui quitouche le plus d’activités et d’acteurs dans nos établissements. Cela ne veut pas dire que noussouhaitons tous ensemble devenir un État dans l’État mais force est de constater que nos objectifsoriginels de 2003 (déjà) orientés vers le développement de modules courts en FOAD mutualisésen terme de production et d’utilisation au niveau national sur des besoins de formation marginauxsemblent bien loin de nos réalisations actuelles et de nos ambitions futures. La réponse formationet validation des acquis pour les salariés d’entreprise (opération TIMAC), pour les travailleurshandicapés (collaboration avec l’ARESAT Bretagne sur le dispositif Différent & Compétent), ledéveloppement de modules courts au cœur des besoins du monde rural et agricole (MPREA,Certiphyto), la création d’une base nationale de l’offre de formation des CFPPA, les premièresréponses aux besoins d’individualisation des parcours Bac Pro dans les CFA, les premières pistespour les lycées, tout concourt aujourd’hui à affirmer que Préférence FORMATIONS est bien leréseau des EPLEFPA au profit des EPLEFPA et de leurs réseaux régionaux et au service de lapolitique éducative et territoriale du MAAPRAT.

Ainsi, le choix original de confier la présidence du Comex de Préférence FORMATIONS à undirecteur d’EPLEFPA est plus que jamais une évidence démocratique, représentative etconsensuelle. Vous le savez, après 8 ans d’aventure humaine et pédagogique à la tête de ce comité(provisoire puis exécutif depuis 2005), je juge utile, cohérent, salutaire de céder ma fonction etma responsabilité à l’un ou l’une de mes collègues lors de la prochaine Assemblée Générale du 13 octobre 2011 à Paris.

Pour tout vous dire, je suis un peu déçu du peu de candidature, je sais, on n’est qu’en 2011,certains ou certaines se réservent peut-être pour des ambitions plus valorisantes en 2012 maistout de même, laissez-moi vous vendre les points forts de cette fonction : – être au cœur des innovations pédagogiques et organisationnelles du ministère,– au carrefour de tous les réseaux d’information et construction thématique ou pédagogique,– travailler avec une bande de doux dingues (les chargés de développement, les autres membresdu Comex) qui ont une idée géniale toutes les cinq minutes (c’est beaucoup mieux commeeuphorisant que n’importe quel paradis artificiel opiacé), oui, il faut y mettre un peu de temps (et alors, ça va obliger à vous sentir moins indispensable dans votre EPLEFPA, à développer encoreplus la délégation, c’est bien pour votre équilibre personnel, votre efficience et votre ego !),– y mettre surtout de l’envie presque, serais-je de l’amour.

Il est encore largement temps de vous porter candidat, j’assurerai le service après-vente sans vousemm… sur vos choix à venir (l’ingérence critique de l’ancien combattant, très peu pour moi).Alors, au nom de l’école publique républicaine, de l’enseignement public agricole, de Jules Ferry,d’Edgar Pisani, candidatez !

Stephen BonnessœurPrésident de Préférence FORMATIONS

n° 15 - octobre 2011

fort de 103 EPL adhérents est devenu la référence en matière de réseau au sein du MAAPRAT et defort de 103 EPL adhérents est devenu la référence en matière de réseau au sein du MAAPRAT et defort de 103 EPL adhérents est devenu la référence en matière de réseau au sein du MAAPRAT et de

Stephen Bonnessœur,

Président

• Agenda p. 8

Éditorial

Préférence INFOS

8p. 8• Agenda p. 8Agenda • Agenda p.p. 8

• Un point sur les MPREA p. 7

• Quelques nouvelles du dispositif Différent & Compétent p. 2

• Différent & Compétent côté valideur, côté moniteur p. 3 à 5

• Du nouveau sur le site Internet de Préférence FORMATIONS p. 6

2

Quelques nouvelles du dispositif

Différent & Compétent (D&C)

Est-il encore nécessaire de rappeler que l’origine du dis-

positif repose sur un accord-cadresigné en 2010 entre l’associationdes ESAT de Bretagne (ARESAT)et Préférence FORMATIONSpour accompagner la diffusion de« Différent & Compétent » ? Ce dispositif, qui a fait l’objetd’une action « Equal », a large-ment inspiré l’écriture du décretdu 20 mai 2009, relatif à la forma-tion, à la démarche de reconnais-sances des savoir-faire et descompétences et à la validation desacquis de l’expérience des travail-leurs handicapés accueillis en éta-blissements ou services d’aide parle travail. L’ARESAT est sollicitéepar ses collègues pour dévelop-per ce dispositif localement ce quiimplique d’informer et de formerles acteurs issus des Ministèrescertificateurs tels le MAAPRAT.

Afin de permettre un engage-ment rapide et conforme auxattentes des partenaires ESAT,Préférence FORMATIONS aété sollicité pour apporter sonsoutien au travers de ses adhé-rents notamment et permettred’apporter en réseau la garantied’une mise en œuvre localeconforme au dispositif D&C.

Le Comité exécutif de Préfé-rence FORMATIONS a décidéd’organiser des journées de for-mation en mobilisant les com-pétences de l’ARESAT et duCPSA de Combourg pour formerles formateurs des établisse-ments qui le souhaitent auxconcepts et méthodes de D&C,et à la pratique de « formateurjury valideur ». L’accès à cetteformation n’est pas réservéaux adhérents de Préférence

FORMATIONS ; mais ces der-niers bénéficient de la gratuitédes coûts pédagogiques induitspar la formation tandis que lesétablissements non-adhérentsdoivent s’acquitter de la sommede 250 € par journée de forma-tion et par formateur.

À ce jour, 3 sessions de forma-tions ont été organisées. Une 4e session est prévue après les Assises de D&C des 20 et 21 octobre 2011. Jusqu’à présent, 46 formateurs ont bénéficié decette formation et 43 établisse-ments sont engagés dans le dis-positif. 81 candidats ont étéaccom pagnés et se sont vus reconnaître des compétencesnotamment pour les métiersverts.

Téléchargez le communiqué sur le dispositif Différent & Compétent : http://www.preference-formations.fr/fileadmin/redac_pf_upload/Communiques/Communique_D_C_01.pdf

3

Différent & CompétentDifférent & Compétent Côté valideur…Benoît BEZOT est formateur technique au CFPPPA de la Baie de Somme depuis 3 ans. Il intervient auprès de publics adultes et apprentis en CAPA, BPA et BP en Aménagement Pay-sager. Il est valideur dans le cadre du dispositif Différent & Compétent au CFPPA de la Baiede Somme. Il a accepté de nous consacrer de son temps pour témoigner sur la façon dont ilmet en œuvre ce dispositif et la posture qu’il adopte en tant que valideur de compétences.

Préférence Infos : Benoît, connais -sais-tu le dispositif Différent & Com-pétent avant de suivre la formation ?

Benoît : Non, je n’en avais pasentendu parler ; mais le direc - teur de CFPPA de l’époque, M. Hammel savait que j’avais tra-vaillé auprès de publics handi -capés dans le cadre de monancien poste de formateur eninsertion. Je pense que c’estpour ça qu’il a pensé à moi pourcette mission.

PI : Tu as suivi la formation, quellessont, selon toi, les bases concep-tuelles du dispositif Différent &Compétent ?

Benoît : Le dispositif repose surles concepts d’éducabilité. La baseest que la progression, le mouve-ment sont possibles pour chacun denous quel que soit notre niveau. Ledispositif a pour objectif de repérerles compétences mises en œuvrepar les travailleurs des ESAT lorsqu’ilsréalisent des tâches dans le but de lesvalider et de les reconnaître.

PI : Dirais-tu que c’est un dispositifinnovant ?

Benoît : Oui, le fait de reconnaîtredes compétences non pas par un diplôme permet d’avoir un échelonsupplémentaire qui nous manquaitau sein du dispositif de validationd’acquis reconnu par les Ministères.D’autre part, on ne part pas descompétences liées au métier maisde celles des béné!ciaires.

PI : En quoi la posture du valideurreconnaissant des compétences est-elle différente du formateur éva-luateur ?

Benoît : Le valideur n’a pas unœil d’évaluateur mais plutôt derévélateur de compétences, il fautque celui-ci aille chercher lescompétences par un questionne-ment. Il amène le béné!ciaire àexpliquer avec ses mots ce qu’ilfait, comment il le fait, les mé-thodes et outils utilisés et la façondont il rend compte de son travail.Il doit réussir à mettre encon!ance le béné!ciaire car dèsqu’il est en con!ance il parvient às’exprimer plus facilement.

PI : As-tu été amené à mettre enplace le dispositif de validation decompétences ?

Benoît : Oui. J’ai accompagné 17personnes en 2010 et 18 per-sonnes pour 2011.

PI : Peux-tu nous expliquer concrè -tement comment cela se déroule ?

Benoît : Concrètement, nousnous sommes mis en relationavec les ESAT intéressés par cedispositif et nous avons suivi leprotocole de l’ARESAT Bretagnepour rester le plus proche possi-ble de son fonctionnement.Les béné!ciaires réalisent un dos-sier accompagné par un moniteurtechnique. Ils choisissent eux-mêmes l’activité qu’ils veulentprésenter. C’est sur la base de ce

support que nous allons nous ap-puyer pour mener l’entretien. Lejury, dont je fais partie avec un représentant des directeursd’ESAT questionne pour repérerles compétences mais aussi pourévaluer le niveau du béné!ciaire,selon une grille allant du niveau 1au niveau IV, du savoir-faire autransfert de compétences dansun autre cadre de travail.

PI : Globalement quel regard portes-tu sur le dispositif D&C ?

Benoît : Il s’agit pour moi d’undispositif permettant un dévelop-pement des béné!ciaires, leur apportant une nouvelle impor-tance au sein de leur entreprise.Les béné!ciaires se sentent valo-risés. Ils ont parfois des projetsde formation pour améliorerleurs compétences. Leur projetpersonnel est retravaillé ensuiteau sein de l’ESAT.

PI : Le CFPPA dans lequel tu travaillespropose-t-il des formations à destina-tion des publics reconnus Travailleurshandicapés ?

Benoît : Pas encore pour l’ins-tant mais nous envisageons demettre en place des formationsspéci!ques pour ce public avecles équipes des ESAT sachant queces établissements disposent eninterne de formations et que cequi peut les intéresser chez nous,c’est la validation par un orga-nisme extérieur des formationstechniques suivies.

Préférence Infos : M. Guilbert,pouvez-vous nous dire en quoi le dispositif D&C répond-il aux attentes de l’ESAT de l’Arrageois ?

Guilbert : Ce dispositif est parti -culièrement innovant. Il permetà des salariés de se voir recon-naître des compétences. Pources derniers, c’est très important.Normalement, l’ESAT devrait per -mettre aux salariés d’accéder aumilieu ordinaire de travail. Leparcours est souvent long etsemé d’embûches. La reconnais-sance des compétences propresà chaque salarié est une étapenon négligeable pour ceux qui

souhaitent accéder au milieuouvert. Pour les autres c’estl’aboutissement des efforts etdu travail fournis au sein del’établissement.

PI : Quel est le rôle principal desmoniteurs techniques dans ce dis-positif ?

Guilbert : Si je devais qualifierla mission essentielle des moni-teurs techniques, je dirais qu’ilsdoivent être des « découvreursde talents » mais aussi des « tu-teurs ». Les salariés d’ESAT sontorientés dès leur entrée dansl’établissement à partir de leur

projet et de leur niveau. Les mo-niteurs doivent les mettre en situation de travail en adaptantla méthode au profil de chacund’eux. Progressivement il fautconfronter les salariés à la réa-lité du terrain, aux cadences etaux rythmes des entreprises.Dans ce dispositif, le moniteur aun rôle d’accompagnateur. Il vaaider le salarié à monter sondossier, à classer les informa-tions, à les mettre en forme. Il vaaussi interroger le salarié pourqu’il mette des mots sur sesactes. Bon nombre de salariésont du mal à présenter de ma-nière détaillée le travail qu’ils accomplissent, à préciser lesétapes. Leur mémoire est par-fois défaillante. Il faut répéterplusieurs fois le nom d’un outil,d’un végétal, d’une techniquepour qu’ils le retiennent. Le mo-niteur encourage, renvoie au sa-larié les progrès accomplis pourle booster.

Différent & Compétent Côté moniteur…M. Jacques Guilbert est moniteur principal au sein de l’ESAT de l’Arrageois quicomporte quatre sites : le site d’Arras, le site d’Hermis, le site de Brebières etcelui d’Avesnes le Comte. L’ESAT de l’Arrageois s’est inscrit dans le dispositif Différent & Compétent suite au désistement d’un ESAT de Picardie dès 2009, cequi a permis à 11 béné!ciaires de valider des compétences en horticulture. Deuxsalariés poursuivent leur parcours en VAE classique sur le CAPA Travaux Paysagersavec l’IEP d’Avion (centre de formation) et 6 candidats ont obtenu l’Europass à l’issue d’une formation en Angleterre de 8 jours. Cette formation choisie en fonc-tion du domaine d’activité des candidats (horticulture ou cuisine) a permis deséchanges franco-anglais au cours desquels ces derniers ont été intégrés dans leséquipes. En 2011, 14 béné!ciaires sont concernés.

4

Groupe de béné!ciairesayant validé leurs compétences

PI : Au sein de l’ESAT, les bé né -!ciaires sont-ils choisis par l’équipeou s’inscrivent-ils d’eux-mêmes ?

Guilbert : Ils s’inscrivent eux-mêmes dans la démarche, bienévidemment. Sans cette volonté,les résultats ne seraient pas aurendez-vous. Leur projet de re-connaissance des compétencesest inscrit dans leur livret d’ac-cueil et fait partie intégrante duprojet individualisé. L’atteintedes objectifs fixée est évaluéechaque année en pluridisciplina-rité par le directeur, les moni-teurs et les éducateurs. Le projetindividuel est revu chaque annéeet évolue en fonction de l’at-teinte ou pas des objectifs.

PI : Comment les salariés sont-ilsaccompagnés dans l’élaboration deleur dossier de sou t enance ?

Guilbert : Le moniteur tech -nique consacre en moyenne unevingtaine d’heures à l’accompa-gnement du salarié. Ce dernierchoisit l’activité qu’il veut présen-ter et le moniteur va le guiderdans la collecte des informationset dans le montage de dossier. Ille met en situation de travail ets’assure que l’activité soit accom-plie en toute sécurité et que lerésultat soit de qualité.

PI : Quelles dif!cultés particulièresrencontrez-vous dans l’accompa-gnement des béné!ciaires ?

Guilbert : La plus grosse diffi-culté est de réussir à dégager dutemps pour réaliser l’accompa-gnement. Les contraintes fontqu’il est souvent difficile de dé-gager 20 heures à un moniteurpour qu’il suive le salarié.Lorsque la date du jury arrive,les salariés et les moniteurssont souvent « sous pression ».

PI : Quels sont, selon vous, lespoints forts de ce dispositif ?

Guilbert : Il suffit d’assister unefois à un jury et à la cérémoniede remise du diplôme pourcomprendre l’intérêt de ce dis-positif pour les salariés dont lescompétences sont enfin recon-nues. Ceux qui s’inscrivent ontbesoin de cette reconnaissance.Elle leur permet de gagner enconfiance. Souvent le regard de

la famille change à leur égard. Jeme souviens de Charles, salariéd’Avesnes qui a 56 ans, a reçuson diplôme comme s’il recevaitune médaille du travail. Pour lui,sa carrière était enfin récom-pensée. D’autre part, en cas dedéménagement, les compé-tences qu’ils ont peuvent êtrereconnues dans une autre région.

PI : Les salariés dont les compé-tences sont reconnues ont-ils sou-vent des projets de formation ?

Guilbert : Cela dépend de leurâge et du niveau atteint. Pourceux qui sont au niveau 3, l’ob-jectif formation peut être inscritdans le projet à venir. Les ESATpropose en interne des for -mations mais le fait qu’ellessoient dispensées par un orga-nisme externe et débouchentsur une validation, cela valorisedavantage les salariés qui les suivent.

5

6

Du nouveau sur le site Internet

M ission accomplie pourGuillaume Mignotte, res-

ponsable du développement webdu CNERTA/Institut EDUTER etson équipe pour la conceptionde ce nouveau site dont l’objectifest d’être plus attractif encoreque le précédent. La nouvellecharte graphique devrait y contri -buer même si ce point n’étaitpas prioritaire. L’ancienne deve-nait avec le temps un peu tristeet méritait le regard d’un gra-phiste « professionnel ». L’accèsà l’information des adhérents

mais aussi des particuliers et desétablissements non-adhérentsdevrait être favorisé. Sur la page d’accueil, en plus des espaces « Préférence »,« Formations », « Organisation »,et « Adhérents », un espace« Services » a été créé. Ce der -nier permet à chaque internauted’avoir un regard sur les ac -tions menées par PréférenceFORMATIONS, actions que leréseau se doit de mettre en va -leur car elles répondent à l’am-bition de faire que Préférence

FORMATIONS soit une marqueconnue et reconnue au sein del’appareil de formation de l’en-seignement agricole public, maisaussi à l’externe.Sont aussi présents sur cettepage l’adresse et le numéro detéléphone afin que les visiteurspuissent prendre contact avecPréférence FORMATIONS, lesderniers articles présentant vosexpériences et les actions quevous souhaitez valoriser, ainsique les actualités.

Le site de Préférence FORMATIONS : http://www.preference-formations.fr/

7

Un point sur les MPREA

sont à ce jourdisponib les .

4 nouveaux modules consacrés à la commer cia -lisation ont été créés pour répondre à la demandedes stagiaires. La durée des MPREA varie de 7 à35 heures. Les MPREA couvrent les objectifs géné-raux et professionnels des diplômes à l’installationagricole (BPREA et Bac Pro). Certains centres lesutilisent aussi pour accroître leur offre PPP.

En cette période de recrutement de vos candi-dats au Brevet Professionnel, les MPREA vous offrent des possibilités d’individualiser les par-cours. À cette fin, il est nécessaire que le forma-teur ait une bonne connaissance des modules.Pour vous aider, un parcours « découverte » a étéconçu. Rendez-vous dans la rubrique « Adhé-rents » du site pour obtenir des précisions.

Téléchargez le communiqué MPREA : http://www.preference-formations.fr/fileadmin/redac_pf_upload/Communiques/Communique_MPREA.pdf

26 MPREA

Rédaction : Valérie FabreRéalisation : Équipe projet

Contact : votre chargé de développementPréférence FORMATIONShttp://www.preference-formations.fr/

Préférence INFOSPréférence INFOS

8

Agenda

Assemblée Générale

jeudi 13 octobre 2011 à IFOCAP Paris

Assises Différent & Compétent

20 et 21 octobre 2011 à Chartres

Les ateliers MP REA pour les CFA

– Le Mans : 15 novembre 2011 au CFA de Rouillon - La Germinière

– Bordeaux : 17 novembre 2011 au CFA de Blanquefort

– Lyon : 22 novembre 2011, DRAAF SRFD Lyon Pardieu

– Rouffach : 24 novembre 2011, CFA de Rouffach

Nouvelle version de votre Préférence INFOS !

Voici la première sortie de la nouvelle version de votre Préférence INFOS sous le format Calaméo (outil permettantune publication digitale avec la possibilité de visionner deséléments multimédias (vidéos, animations interactives)).Cette version permet de le consulter directement en ligne,la possibilité de le visionner en version pdf et de l'imprimerdans ce même format. Vous y trouverez un tout nouveaucontenu avec des parties nouvelles : le célèbre Édito de notrePrésident accompagné d'un sommaire en page d'accueil per-mettant d'accéder directement à l'article que vous souhaitezvisualiser, des reportages, des nouvelles d'actions, un agenda.

Bonne lecture à tous !

La version Calaméo de Préférence INFOS :http://www.calameo.com/read/0007130575469527846e5?authid=VwFKTJi86Aqa