Profil 132 édition janvier 2015

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UN PLAN DE SOINS SUR MESUREComptez sur Partena si vous avez besoin d’aide ou de soins

IL SUFFIT D’ÊTRE SOI-MÊMEL’estime de soi chez les enfants et les jeunes gens

BLANC : NEIGE OU PLÂTRENos conseils avant les sports d’hiver

profille trimestriel de la Mutualité Partena

mutualité libre aide à domicile accueil des tout petits

N° 132janvier/février/mars 2015

Peur du dentiste ?

Ou surtout

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Saviez-vous que plus de 32% des dentistes ne sont pas conventionnés ? Et que même

83% des orthodontistes ne le sont pas non plus et facturent ainsi des honoraires très élevés.

De quoi ‘saler l’addition’ lorsqu’on doit porter un appareil dentaire, avec une note finale à supporter

allant jusqu’à 3.700 euros. Le placement d’une prothèse revient en moyenne à 1.648 euros, et 10%

des patients paient plus de 3.432 euros*

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• Pas de formalités médicales et stage d’attente réduit

• Les soins dentaires deviennent abordables !

Partena, le réflexe sain.

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profilSOMMAIRE 2 Les échos de Profil 4 L’actu de la mutualité 7 Chirurgie réparatrice ou esthétique 8 Scoliose : attention aux idées reçues ! 10 Les plus de Partena 12 Vivre après le cancer 13 Votre santé en ligne 14 Action Sociale 16 Boutique santé Partena 20 Coin lecture Lannoo - Racine 21 Votre enfant est-il en surpoids ? 22 Les titres-services électroniques 24 Les problèmes psychiques chez les enfants 26 De plus en plus de césariennes 28 Blanc : neige ou plâtre 30 Vacances jeunes 32 Bien-être 33 Vacances Partena

www. facebook.be/partena

Ont collaboré à la rédaction de ce numéro: Diane Albert, Karima Amrous, Annemie Coëme, Eva De Geyter, Sharon De Neve, Regina De Paepe, Ellen De Vriese, Ilse Hens,

Claire Huyghebaert, Pascale Janssens, Joëlle Josse, Myriam Lefrancq, Pierre Lété, Sarah Masschelein, Annemie Mathues, Lynn Pellens,

Nathalie Renna, Alain Servaes, Hellen Smeets, Joeri Staessen, Olivier Stoop, Emilie Vanderstichelen , Katrien Vanderstraeten, Valérie Vander Veken,

Emilie Van Isterdael, Barbara Van Ransbeeck, Veerle Verspille, Patricia Verstraete, Steven Vervaet, Christine Wauthelet

Secrétariat de rédaction: Ilse Hens, Pierre Lété

Composition: Magelaan - Photographie: Reporters, Shutterstock Impression Roularta

Editeur responsable: Stefaan Lauwers Sluisweg 2 - 9000 Gent - T. 02 201 42 42 -

Numéro d’entreprise: 0411.696.011La Mutualité Partena OZV (n° OCM 5006c) intervient en tant qu’intermédiaire d’assurances pour la SMA Mutuelle Entraide Hospitalisation (n° OCM 750/01).

Aucun article publié dans ce magazine ne peut être reproduit (totalement ou partiellement) sans l’autorisation préable de la rédaction.

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N° 132

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RETOUR À LA MAISON PLUS RAPIDE APRÈS UN ACCOUCHEMENT Actuellement, les femmes peuvent rester 4,5 jours à la maternité après leur accouchement. Le nouveau gouvernement souhaite réduire cette durée à 4 jours. Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) n’y voit pas d’inconvénient, à condition que de bons soins postnatals soient prodigués à domicile.

Dans la plupart des pays occidentaux, la durée de séjour à la maternité ne cesse de diminuer. En Belgique, le séjour après un accouchement sans complications reste plus long que dans la plupart des autres pays : 4,5 jours contre 3 en moyenne dans les pays de l’OCDE. Un séjour un peu plus court est donc acceptable d’un point de vue médical, mais les parents ont moins le temps de faire connaissance avec leur bébé et d’apprendre à le soigner. Les parents actuels ont moins de modèles qu’auparavant et reçoivent moins de soutien de leur entourage proche. C’est pourquoi il est essentiel d’éviter le manque de soins après la naissance, surtout pour les familles vulnérables.

Les pays avec une durée de séjour plus courte à la maternité jouent la carte des soins postnatals à domicile. Les soins à domicile doivent commencer dès la sortie de l’hôpital et chaque future maman doit avoir son plan de soins individuel et un coordinateur de soins pour l’accompagner depuis la grossesse jusqu’aux quelques jours qui suivent la sortie de maternité. L’accent doit en outre davantage être mis sur l’assistance maternelle (travail ménager, soins au bébé, garde des enfants…), très certainement pour les familles vulnérables.

Plus d’info: surfez sur www. kce.fgov.be.

MESUREZ VOTRE TOUR DE TAILLEEn Belgique, près d’une personne sur deux se trouve en surpoids. Outre le souci purement esthétique, c’est surtout la santé qui est en jeu en cas de surpoids.

Pour définir si un individu se trouve en surpoids, les professionnels de la santé utilisent la référence de l’Indice de Masse Corporelle (IMC ou BMI). La mesure du tour de taille constitue aussi une autre manière pratique d’effectuer cette évaluation. Un tour de taille trop important, et donc un excès de graisse abdominale, surcharge principalement le foie. Ceci peut faire diminuer le ‘bon’ cholestérol et augmenter le taux de sucre dans le sang, ce qui est nuisible à la santé. La graisse abdominale est plus dangereuse que celle située dans les cuisses ou les hanches, ou encore que la cellulite logée sous la peau.

Chaque centimètre compte. Des études ont démontré que le risque d’infarctus augmente de 2% par centimètre. De bonnes habitudes alimentaires et l’activité physique quotidienne vous aideront à conserver votre tour de taille sous contrôle.

Vous pouvez facilement calculer votre tour de taille en plaçant un mètre ruban à hauteur d’une ligne imaginaire traçant le milieu entre la partie inférieure des côtes et la partie supérieure du bassin. La peau ne peut pas être compressée et le mètre ruban doit être parallèle au sol.

Messieurs >94 cm risque de morbidité moyennement augmenté

Messieurs >102 cm risque de morbidité sérieusement augmenté

Dames >80 cm risque de morbidité sérieusement augmenté

Dames >88 cm risque de morbidité sérieusement augmenté

ET SI NOS SOINS DE SANTÉ DEVENAIENT UN LUXE? La Belgique profite depuis déjà un demi-siècle d’un des systèmes de soins de santé les plus efficaces et les plus abordables au monde. Mais qu’en serait-il si cette protection sociale n’existait pas ? Que se passerait-il si nos soins de santé devenaient un produit de luxe réservé aux plus aisés ? Heureusement ce scénario est une fiction.

Imaginons que nous ne puissions plus compter sur une intervention dans nos frais médicaux ni d’indemnités d’incapacité de travail en cas de maladie de longue durée. Les hospitalisations deviendraient impayables, seuls les plus fortunés pourraient se permettre certains médica ments, par exemple. Une nouvelle campagne d’information de l’INAMI utilise ce scénario cata strophe comme point de départ pour sensibiliser à l’importance d’un système de soins efficace et abordable. Parce qu’heureusement, dans notre pays, la protection sociale est un droit de base !

Le site www.notresystemedesante.be permet de mieux connaître le rôle de l’INAMI au cœur du système de soins. Testez-vous grâce au quizz interactif permettant d’illustrer l’importance cruciale d’un système de soins de santé abordable.

LES ÉCHOS DE PROFIL

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GOOGLE SOUHAITE DÉPISTER LES CANCERS PLUS TÔTGoogle est en train de développer une nouvelle technique permettant notamment de diagnostiquer les cancers à un stade moins avancé. Il s’agit de nanoparticules microscopiques qui analysent le sang en continu. Les recherches n’en sont toutefois qu’à leurs débuts.

Ces particules seraient ingérées en comprimé et ensuite assimilées dans le sang. Google est en train d’analyser le potentiel de ces particules pour dépister des cellules anormales et mesurer les changements dans le sang. Les cancers, mais également les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, pourraient ainsi être diagnostiqués à un stade moins avancé.

Pour établir un diagnostic, ces nanoparticules seraient connectées à un senseur, p. ex. à un bracelet. Cette connexion est notamment possible par ondes radio ou lumineuses. Ces recherches sont réalisées sous la supervision de ‘Google X’, la branche de l’entreprise qui s’occupe également des lunettes interactives Google Glass. L’entreprise souligne toutefois que les recherches n’en sont qu’à leurs tout débuts.

MÉNINGOCOQUE B : LE VACCIN PAS (ENCORE) RECOMMANDÉUn vaccin contre une infection à méningocoque (groupe B) a récemment été développé. Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) ne le recommande toutefois pas (encore). L’impact sur le nombre de cas est trop restreint et les effets secondaires du vaccin sont trop fréquents !

Les méningocoques (groupe B) peuvent provoquer de graves maladies comme la méningite et la septicémie, surtout chez les nourrissons et jeunes enfants. Ces cas sort fort heureusement plutôt rares. Dans notre pays, 180 patients sont concernés chaque année, dont 6 en décèdent. Le risque est le plus élevé chez les bébés de 5 mois. La vaccination contre les méningocoques est possible depuis quelque temps, mais le vaccin contre le groupe B n’a vu le jour que récemment.

Le KCE ne recommande toutefois pas (encore) ce vaccin. Une grande incertitude subsiste encore quant à la durée de protection. Les recherches ont en effet établi que le vaccin ne permettrait de prévenir qu’un nombre restreint de cas de la maladie et de décès. Par ailleurs, le vaccin provoque fréquemment des épisodes de fièvre chez les nourrissons, ce qui peut nécessiter une hospitalisation et ébranler la confiance des parents envers l’ensemble du programme de vaccination. Le KCE signale toutefois que les résultats devront probablement être revus dès que de nouvelles données seront disponibles.

Plus d’info sur www. kce.fgov.be.

NOUVEAU TEST SANGUIN POUR LA TRISOMIE 21 (SYNDROME DE DOWN)Dans notre dernier numéro, nous avions fait écho aux recommandations du Conseil Supérieur de la Santé (CSS) et du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) en faveur de l’introduction du test NIPT, un test sanguin génétique relativement nouveau pour le dépistage du syndrome de Down.

La méthode classique de dépistage du syndrome de Down comporte un test sanguin et la mesure du pli de la nuque, suivis d’une ponction de liquide amniotique en cas de risque accru. Le test NIPT est beaucoup plus précis et sensible que les tests classiques, et permet en outre d’éviter la ponction de liquide amniotique, un test beaucoup plus invasif.

Si la plupart des hôpitaux universitaires effectuent déjà ce test, son coût élevé et le fait qu’il ne soit pas remboursé par l’assurance maladie légale en limitent la diffusion. La Mutualité Partena reconnaît l’importance du test et tient à apporter un soutien financier aux futures mamans.

Nouveauté depuis le 1er janvier 2015, la Mutualité Partena rembourse 150 euros par grossesse dans le cadre de son Package d’avantages. Plus d’info à ce propos sur www. partena-mutualite.be.


PROFITEZ DES TARIFS BASSE SAISON À DUNEPANNE !Pendant les longs mois d’hiver, vous pouvez aussi séjourner Dune-panne et y bénéficier de soins de qualité sur mesure et d’un excellent service hôtelier. Jusqu’à fin février 2015 inclus, vous bénéficiez, en outre, des tarifs basse saison !

PAYER MOINS POUR LE MÊME SERVICEJusqu’à fin février 2015 (hors vacances de Noël), vous pouvez profiter des tarifs basse saison du centre de convalescence des Mutualités Libres au Coq. Une chambre individuelle revient à 83,80 euros et une chambre pour deux à 75,10 euros. En haute saison, ces prix sont respectivement de 89,15 euros et 79,90 euros. Ces tarifs comprennent non seulement la nuitée et le séjour en pension complète, mais également les soins quotidiens apportés par des soignants polyvalents, sans oublier les diverses activités et animations !

Si vous séjournez à Dunepanne en bénéficiant d’une intervention de la mutualité, vous avez également droit à ces tarifs avantageux !

ANIMATIONS ET CADEAU DE BIENVENUEPendant les mois d’hiver, Dunepanne organise diverses excursions et animations. Dans l’agréable ambiance familiale du centre de convalescence, ces initiatives permettent de rompre l’isolement hivernal. Pendant la saison d’hiver, vous recevrez aussi un cadeau de bienvenue. Cette année, il s’agit d’un savon doux pour les mains d’Apivita aux extraits naturels de plantes et huiles essentielles.

Adressez-vous au Service Action Sociale de la mutualité ou surfez sur www. dunepanne-mloz.be

LES INDEMNITÉS DE MUTUALITÉSi, à la suite d’une hospitalisation, d’un accident ou d’une maladie, vous n’êtes plus capable de travailler, ni en état de chercher du travail, vous pouvez obtenir de la mutualité la reconnaissance de votre incapacité de travail et bénéficier d’un revenu de remplacement payé par ses soins en lieu et place de vos revenus professionnels. C’est aussi le cas pendant la période du congé de maternité.

L’incapacité de travail dure plus d’1 an ? Dans ce cas, on hérite du statut d’invalide et d’indemnités d’invalidité. Vous trouverez ci-dessous les dates auxquelles les revenus de remplacement et indemnités d’invalidité seront payés en 2015 :

Invalides (en congé de maladie depuis plus d’1 an)

Revenus de remplacement (en congé de maladie depuis moins d’1 an)

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27/04 17/04 et 05/05

26/05 19/05 et 02/06

25/06 17/06 et 02/07

28/07 17/07 et 04/08

26/08 18/08 et 02/09

25/09 17/09 et 02/10

27/10 19/10 et 03/11

25/11 17/11 et 02/12

21/12 17/12 et 29/12

SURFEZ MALINVous percevez des indemnités de la mutualité ? Vous pouvez en consulter le relevé grâce au Guichet on-line. Vous voulez être averti au moment de la mise en paiement ? Abonnez-vous aux e-mails d’avertissement sur www. partena-guichetonline.be.

L’ACTU DE LA MUTUALITÉ

MODIFICATION DU REMBOURSEMENT DU TAMOXIFÈNELe tamoxifène est un médicament utilisé depuis des années pour le traitement complémentaire du cancer du sein hormono-dépendant, et notamment disponible à la vente sous le nom de Nolvadex®. Jusqu’à présent, le traitement standard était de 5 ans. Mais de récentes études ont démontré qu’un traitement plus long pouvait s’avérer bénéfique.

Si le traitement est prolongé jusqu’à 10 ans, le risque de rechute peut en effet encore être réduit dans certains cas.

C’est pourquoi le remboursement des médicaments à base de tamoxifène a été adapté depuis le 1er décembre 2014. D’une part, la durée du traitement remboursé n’est plus limitée dans le temps et d’autre part, l’accord préalable du médecin conseil n’est plus nécessaire pour pouvoir bénéficier du remboursement.

Si vous avez d’autres questions ou pensez pouvoir prétendre à une prolongation du traitement, adressez-vous à votre médecin. En fonction de votre profil personnel, des dernières directives et des effets secondaires possibles, il pourra déterminer la durée de traitement qui vous convient le mieux.


LA MÉDIATION DES PLAINTES : AU SERVICE DES DROITS DU PATIENTVous estimez avoir été mal informé des effets secondaires d’une intervention chirurgicale ? Vous jugez que l’attitude d’une infirmière envers vous a eu des répercussions négatives sur le suivi de votre traitement ? Saviez-vous qu’il existe un service de médiation dans chaque hôpital, chargé de recevoir et de résoudre, si possible, les plaintes des patients ?

Il est bien loin le temps où les médecins étaient considérés comme omniscients et où les patients s’en remettaient entièrement à leur avis… Aujourd’hui, les patients ont des droits fixés par la loi et quoi de plus naturel que de les faire valoir. Un service de médiation a même été créé dans chaque hôpital pour garantir de meilleures relations entre les patients et les différents dispensateurs de soins (infirmier, kiné, médecin, psychologue, assistant social, …) Tout patient qui estime que ses droits n’ont pas été respectés, peut y faire appel.

EN TANT QUE PATIENT, VOUS AVEZ DROIT À…• des prestations de qualité• être informé de manière claire et adaptée en fonction de votre

état de santé• la protection et au respect de votre vie privée• choisir librement votre dispensateur de soins• consentir ou refuser un traitement• la consultation de votre dossier médical• introduire une plainte auprès du service de médiation • recevoir les soins les plus appropriés pour prévenir et soulager la

douleur

Si votre plainte concerne une prestation (consultation, …) qui n’a pas été effectuée en milieu hospitalier, mais bien dans un cabinet privé ou à votre domicile, vous pouvez alors vous adresser au service de médiation ‘Droits du patient’:

SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et EnvironnementDG Soins de santéService de médiation fédérale ‘Droits du patient’Place Victor Horta, 40 boîte 10 - 1060 BruxellesMédiateur fédéral francophone - Tél. : 02 524 85 21E-mail : [email protected] aussi le site www. patientrights.be

PLUS D’INFO Le Service Action Sociale de la Mutualité Partena peut aussi vous aider. Il donne des conseils juridiques gratuits si vous avez des doutes ou des questions sur l’exactitude d’une facture d’hospitalisation ou en cas de présomption d’erreur médicale. En cas de besoin, contactez notre Service Action Sociale sur www. partena-mutualite.be/contact.

COTISATION À L’ASSURANCE DÉPENDANCE: DE 25 À 50 EUROSDepuis le 1er janvier 2015, la cotisation annuelle à l’Assurance dépendance (Zorgverzekering) est passée de 25 à 50 euros. Les bénéficiaires de l’intervention majorée ne paieront que 25 euros. Cette décision des autorités régionales vise à répondre aux besoins actuels et futurs en matière d’aide aux personnes.

DE 126.000 À 231.000 DOSSIERSDepuis 2003, la cotisation annuelle à l’Assurance dépendance est de 25 euros pour les assurés ‘ordinaires’ et de 10 euros pour les bénéficiaires de l’intervention majorée. Depuis le 1er janvier 2015, ces cotisations sont passées à 50 et 25 euros. Les autorités régionales estiment cette mesure indispensable pour faire face à l’augmentation du nombre de dossiers enregistrée entre 2003 et 2013, passés de 126.000 à 231.000, et ce sans que la cotisation n’ait jamais été augmentée tout au long de cette période. Les ressources supplémentaires ainsi dégagées seront investies au profit des soins et du soutien aux personnes en perte d’autonomie.

POUR MÉMOIRE…L’Assurance dépendance est une initiative des autorités régionales destinée à apporter une aide financière aux personnes en perte d’autonomie ou résidant en maison de repos. Elle leur accorde une allocation forfaitaire destinée à soulager leurs dépenses non médi-cales (aide de tiers à domicile, aide-ménagère, aide familiale, …). Cette assurance est obligatoire pour toutes les personnes âgées d’au moins 26 ans habitant en Région flamande. Les habitants de la Région de Bruxelles-Capitale peuvent s’affilier sur base volontaire.

Plus d’info à ce propos sur www. partena-mutualite.be ou sur www. vlaamsezorgverzekering.be.

TICKET MODÉRATEUR SIMPLIFIÉ CHEZ LES SPÉCIALISTESLe nouveau gouvernement a décidé de simplifier le ticket modéra-teur chez les spécialistes. Depuis le 1er janvier 2015, les assurés normaux paient automatiquement 12 euros chez le spécialiste et les bénéficiaires de l’intervention majorée 3 euros.

Montant fixeJusqu’à fin 2014, le montant à charge de l’assuré pour une consul-tation chez le spécialiste variait de 8,23 euros (p.ex. gynécologues et ophtalmologues) à 15,50 euros (p.ex. oncologues et psychiatres). Ce montant était donc plus élevé chez certains spécialistes que chez d’autres. C’est ce qui a poussé le nouveau gouvernement a simplifier les tickets modérateurs chez l’ensemble des spécialistes. Ainsi, depuis le 1er janvier 2015, un assuré normal paie donc automatiquement 12 euros de sa poche chez le spécialiste, tandis que les bénéficiaires de l’intervention majorée n’en paient que 3. Le gouvernement souhaite ainsi économiser 32,9 millions d’euros sur base annuelle.

Plus transparentCette mesure ne sort pas de nulle part. Dans une étude de 2012, le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) plaidait déjà pour ce système. Des montants fixes pour les tickets modérateurs chez tous les spécialistes sont en effet beaucoup plus transparents qu’un mélange de différents pourcentages. De plus l’ancien système entraînait aussi une augmentation automatique du ticket modérateur puisqu’il était couplé à l’honoraire du médecin. Ce n’est plus le cas avec les nouvelles mesures. Si l’honoraire du médecin augmente, le ticket modérateur reste le même.


CARTE DE STATIONNEMENT POUR PERSONNES HANDICAPÉESDésormais, toute personne handicapée qui souhaite obtenir une aide à la mobilité telle qu’une voiturette ou un tricycle pourra disposer plus facilement d’une carte de stationnement. La procédure est simplifiée entre la mutualité et la Direction Générale des Personnes Handicapées (DGPH).

Lorsque le médecin conseil donne son accord pour une voiturette, le patient recevra désormais un courrier supplémentaire annexé au courrier de l’accord, qui proposera de demander une carte de stationne ment à la DGPH par l’intermédiaire du Service Action Sociale de la mutualité.

Si vous avez déjà une carte de stationnement, ne tenez pas compte de ce courrier. Si vous n’avez pas encore effectué de démarches pour obtenir une carte de stationnement, le Service Action Sociale de la mutualité peut vous être d’une grande aide ! Grâce à une procédure simplifiée, vous éviterez de plus longs délais d’attente et un examen médical supplémentaire. Vous devriez recevoir votre carte de stationnement dans les six semaines.

Vous pouvez toujours ne pas suivre cette procédure simplifiée et effectuer votre demande directement à la DGPH où un examen médi-cal sera requis. Il faut alors compter un délai d’environ quatre mois.

Cette carte est personnelle : elle ne peut pas être utilisée si vous ne vous trouvez pas dans le véhicule comme conducteur ou passager. Vous devez placer la carte à l’avant du véhicule, sur le tableau de bord, le symbole du fauteuil roulant devant être visible.

A QUOI SERT LA CARTE DE STATIONNEMENT ?

En Belgique, vous pouvez stationner : • aux endroits réservés aux personnes handicapées• sans limite de temps là où le stationnement est limité dans le

temps (zones bleues) • gratuitement dans les parkings payants de certaines communes.

Le plus souvent dans les parkings à parcmètres, mais parfois aussi dans les parkings fermés par des barrières. Renseignez-vous auprès de l’administration communale ou de la ville où vous devez stationner votre véhicule.

Dans les autres pays de l’Union européenne : Vous avez droit aux facilités de stationnement prévues dans ces pays.

Pour les connaître :• renseignez-vous auprès de l’ambassade avant de partir • ou consultez le site www. parkingcard.europa.eu (onglet ‘EU

Parking card’)

Dans les pays non européens : Renseignez-vous auprès de l’ambassade avant de partir.

ÉDUCATION DES PATIENTS (PRÉ)DIABÉTIQUES DE TYPE 2Selon la dernière étude des Mutualités Libres, l’éducation thérapeutique des patients prédiabétiques peut réduire leur risque de développer un diabète de type 2 de 51 à 58 %. Une prévention anticipée de la maladie semble donc indispensable à la politique des soins de santé.

UNE ÉCONOMIE À LONG TERMEL’éducation thérapeutique des patients aide les diabétiques de type 2 à contrôler leur taux de sucre dans le sang. Mieux encore, les prédiabétiques (tolérance perturbée au glucose) peuvent ainsi réduire leur risque de développer la maladie de 51 à 58 %. Le financement de cet accompagnement intensif du mode de vie est-il possible à long terme pour justifier un plus grand investissement ? Les Mutualités Libres ont analysé, en collaboration avec la KU Leuven et l’Université de Gand, 17 évaluations économiques de ce type de programmes. Cette analyse a révélé que l’éducation des patients peut avoir un bon rapport coût-efficacité, tant pour le prédiabète que pour le diabète de type 2. Pour les prédiabétiques, ces programmes sont même les plus économiques.

NÉCESSITÉ DE PRÉVENTION ANTICIPÉELe coût annuel moyen d’un diabétique de type 2 pour l’assurance maladie s’élève à 4.522 euros. Pour les patients sans autre affection chronique, il est de 3.357 euros et pour les personnes atteintes d’une autre affection chronique, ce montant passe à 4.750 euros. Chez les personnes atteintes de deux ou trois autres affections chroniques, le montant est respectivement de 7.303 euros et de 9.868 euros. Le coût élevé de chaque affection chronique supplé mentaire démontre l’importance d’une prévention anticipée en cas de diabète de type 2. C’est pourquoi les Mutualités Libres plaident pour des campagnes de dépistage efficaces et des programmes d’éducation des patients sur mesure.

PLUS D’INFO Découvrez l’étude complète sur www. mloz.be/etudes.

LA MUTUALITÉ PARTENA ET LE DIABÈTEEn raison de l’importance d’un dépistage précoce de la maladie, la Mutualité Partena accorde un remboursement pour une consultation de dépistage chez un médecin généraliste.

Aux personnes souffrant déjà de diabète, nous proposons diverses interventions à charge de l’assurance maladie légale, mais aussi dans le cadre du Package d’avantages de la mutualité. Informez-vous auprès de votre conseiller clientèle, ou surfez sur www. partena-mutualite.be.

Vous pouvez vous adresser à notre Boutique santé pour l’achat de matériel de contrôle du diabète, comme les glucomètres et les tigettes, et y bénéficiez de 10% de réduction*.

* A condition de payer régulièrement les cotisations mutualistes au Package d’avantages.

L’ACTU DE LA MUTUALITÉ


De plus en plus de patients ont recours aux services d’un chirurgien plasticien dans le cadre d’opérations à visée esthétique ou réparatrice. Bien souvent, les patients sont mal informés des différences entre ces deux types d’opération, ce qui peut se révéler financière ment lourd de conséquences.

Interventions La chirurgie réparatrice est généralement consécutive à une maladie (reconstruction mammaire après un cancer du sein) ou un traumatisme (greffe de peau suite à une brûlure). L’assurance maladie légale prend en charge, éventuellement après accord du médecin conseil, une partie de ces frais (hospitalisation, médica-ments, …) et honoraires (du chirurgien, de l’anesthésiste, …).

La chirurgie esthétique n’a, quant à elle, pas de visée thérapeutique ni reconstructrice (liftings, augmentations mammaires, lipoaspira-tion, …). Ces actes de chirurgie esthétique ne font l’objet d’aucune intervention de l’assurance maladie légale ni des assurances hospitalisation.

LE SAVIEZ-VOUS ? Selon la loi, le médecin est tenu de vous fournir au préalable une évaluation du montant par écrit lorsque l’intervention prévue dépasse 1.000 euros.

Quelques conseils peuvent certainement vous être utiles !• Renseignez-vous sur les codes de nomenclature de l’opération

à réaliser et les éventuelles démarches à accomplir vis-à-vis de la mutualité.

• Demandez à votre médecin si des honoraires ‘esthétiques’ seront réclamés en plus des honoraires de chirurgie réparatrice et pour quel montant.

• Prenez le temps de lire et de poser des questions sur le devis proposé. Vous pouvez également demander conseil à la mutualité dans le décryptage de ce document.

• Ne payez aucun montant en dehors de l’unique facture envoyée par l’hôpital.

Et parce qu’une intervention chirurgicale n’est jamais anodine, le chirurgien doit respecter un délai minimum de réflexion de 15 jours pour obtenir votre consentement.

UN EXEMPLE POUR CLARIFIER LES CHOSESPrenons l’exemple d’une reconstruction mammaire après un cancer du sein. Dans ce cadre, divers codes nomenclature peuvent être utilisés, qui donnent droit à des remboursements de l’assurance maladie légale allant de (montants arrondis) 366 à 1.527 euros. Mais le montant restant à charge de la patiente est toujours important et peut grimper à quelques milliers d’euros.

Si vous bénéficiez d’une assurance hospitalisation, elle prendra en charge, selon les conditions prévues, (une partie de) ces coûts supplémentaires. Les critères majeurs à ce propos sont notamment :• Intervention de l’assurance hospitalisation seulement en cas

de remboursement INAMI• Le type de chambre choisie et les suppléments d’honoraires

y attachés• Le remboursement prévu ou non d’implants.

L’assurance Hospitalia Plus prévoit une large couver ture pour de telles interventions.

Notre conseil : contactez toujours la Mutualité Partena au préalable, si vous deviez subir une telle intervention.

CHIRURGIE RÉPARATRICE OU ESTHÉTIQUE ?


La scoliose est une déformation de la colonne vertébrale. Plutôt qu’être droite comme un I, la colonne dessine une sorte de S. Les spécialistes évaluent la ‘gravité’ de la scoliose selon l’angle de la courbure. Par exemple, une scoliose de 15° est relativement légère alors qu’une scoliose de 30° doit idéalement être traitée. Dans la scoliose appelée ‘idiopathique’, cette déviation de la colonne est associée à une rotation des vertèbres. Cela signifie que les vertèbres qui doivent normalement être toutes alignées dans le même sens, tournent sur elles-mêmes dans un certain sens chez une personne qui souffre de scoliose.

Il existe plusieurs sortes de scolioses. Certaines sont liées à des maladies neurologiques, d’autres sont congénitales (liées à une anomalie d’une ou plusieurs vertèbres à la naissance). La plus fréquente est la scoliose idiopathique. Elle concerne 75 % des cas de scoliose. Le terme ‘idiopathique’ signifie qu’on ne sait pas à quoi elle est due.

APPARITION La scoliose idiopathique apparaît généralement pendant la puberté, c’est-à-dire, entre 11 et 13 ans chez les filles et entre 13 et 15 ans chez les garçons. Elle peut aussi se déclarer plus tôt, mais c’est plus rare. On parle alors de scoliose infantile pour les enfants de 0 à 4 ans ou juvénile pour les enfants de 4 à 10 ans. Les filles en sont plus souvent atteintes que les garçons.

La scoliose est une pathologie relativement rare : seuls 2 à 3 % des enfants sont concernés. La plupart de temps, lorsqu’un enfant a mal au dos, il s’agit de douleurs musculaires dues au fait que les enfants sont trop sédentaires et ne font pas de sport. En outre, une scoliose ne provoque pas de douleur au dos.

SCOLIOSE : ATTENTION AUX IDÉES REÇUES !

Relativement peu fréquente, la scoliose est un problème de dos qui apparaît généralement chez les enfants en pleine croissance. Un diagnostic précoce peut permettre d’enrayer l’évolution de la pathologie et d’éviter qu’elle ne s’aggrave. Comment reconnaître une scoliose ? Comment la traiter ? Peuton pratiquer un sport lorsqu’on souffre d’une scoliose ? Réponses dans cet article !

DES IDÉES REÇUES La scoliose fait l’objet de nombreuses idées reçues qui continuent d’être véhiculées. Pensez-vous tout connaître de la scoliose ? Faites le test !

• Tant que la scoliose n’est pas douloureuse, il n’est pas nécessaire d’agir. Faux. Une scoliose ne fait pas mal. Un diagnostic précoce augmente les chances d’en arrêter le développement.

• Il est préférable d’attendre que la croissance soit terminée pour traiter la scoliose. Faux. La scoliose continue d’évoluer, de s’aggraver tout au long de la croissance. Il est donc primordial d’agir au plus tôt.

• Le poids du cartable peut provoquer une scoliose. Faux. Certes, la charge du cartable sur une seule épaule peut favoriser des douleurs de dos, mais en aucun cas une scoliose.

• En cas de scoliose, mieux vaut ne plus faire de sport ! Faux. La pratique d’un sport est conseillée pour renforcer les muscles du dos.

• La scoliose peut provoquer à la longue un écrasement des poumons ou du cœur. Faux et vrai. Cela ne concerne que les enfants chez qui la scoliose est apparue avant l’âge de 5 ans.


QUEL TRAITEMENT ? A l’heure actuelle, aucun traitement non chirurgical ne permet de redresser une colonne vertébrale atteinte de scoliose. En revanche, il existe différents moyens d’interrompre l’évolution de la scoliose pendant la croissance, période où généralement, elle s’aggrave.

• La surveillance Pour une scoliose légère, une simple surveillance est de mise avec la pratique régulière d’un sport.

• La kinésithérapie Les séances de kinésithérapie permettront de tonifier la muscu lature abdominale et para vertébrale (autour de la colonne vertébrale). La scoliose est classée dans les ‘pathologies lourdes’. Cela signifie que pour bénéficier du remboursement des séances de kinésithérapie, il faut obtenir au préalable l’accord du médecin conseil.

• Le corset Il s’agit d’un moyen de contention externe. Il en existe différentes sortes notamment, le corset qui se porte 22 heures sur 24 ou le corset à porter uniquement la nuit.

• La chirurgie En fin de croissance, un bilan est effectué. Si la scoliose s’est stabilisée et est restée légère, plus aucun traitement n’est nécessaire. Si, en revanche, elle s’est aggravée et atteint 40 à 50°, il peut être conseillé de recourir à une intervention chirurgicale. Celle-ci consiste en une fusion des vertèbres de la colonne là où se trouve la courbure.

QUELQUES CONSEILS !Le dépistage précoce est le meilleur moyen d’interrompre le développe ment de la scoliose, ces quelques conseils pourront vous être utiles :

• Lorsque les enfants sont encore jeunes, observez leur dos, à l’heure du bain ou quand ils s’habillent. Vous serez plus à même de repérer toute asymétrie (épaules, omoplates, etc.). Lorsqu’ils grandissent et deviennent adolescents, ils préfèrent naturellement préserver leur intimité. C’est bien souvent, pendant les vacances, lorsqu’ils sont en maillots de bain que les parents découvrent une anomalie suspecte.

• N’hésitez pas à demander à votre médecin traitant ou au pédiatre de jeter un œil au dos de l’enfant à l’occasion d’une consultation.

• Pour effectuer le diagnostic et proposer le traitement adéquat, consultez de préférence un orthopédiste spécialisé dans les problèmes de dos. Pour déterminer qu’il s’agit bien d’une scoliose, une radio est nécessaire. De même, il est indispensable d’effectuer d’autres examens médicaux afin d’exclure d’autres maladies souvent liées à la scoliose.

• Encouragez les enfants à pratiquer un sport au moins une fois par semaine !

• Surveillez plus attentivement le dos des enfants si l’un des deux parents a souffert de scoliose. Le risque est en effet un peu plus élevé.

• Considérez toute asymétrie au niveau du dos comme suspecte : une épaule ou une omoplate plus haute, une asymétrie au niveau des flancs, une sorte de bosse (appelée gibbosité), etc.

Profil remercie le Pr Maryline Mousny, orthopédiste pédiatrique aux Cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles), spécialisée dans les problèmes de dos, pour son aimable collaboration.


VOTRE SOURIRE ASSURÉ GRÂCE À DENTALIA PLUS ? Emportez toujours votre formulaire de demande d’intervention chez le dentiste !Vous bénéficiez de l’assurance soins dentaires Dentalia Plus ? Vous pouvez ainsi percevoir des remboursements pour vos soins dentaires, que l’assurance maladie légale ne prévoit pas. Grâce à Dentalia Plus, vous êtes assuré de manière optimale, que ce soit pour les soins dentaires préventifs ou curatifs, et pouvez aussi compter sur des remboursements pour l’orthodontie, la parodon-tologie (traitement des maladies des gencives), les implants et les prothèses.

Vous avez planifié une visite chez votre dentiste ou chez l’ortho-dontiste ? Veillez à toujours emporter votre formulaire de demande d’intervention Dentalia Plus. Ainsi, votre dentiste pourra compléter directement le document et y indiquer les traitements effectués. De votre côté, vous pourrez bénéficier plus rapidement de la totalité de vos remboursements.

Vous avez oublié votre formulaire ? Pas de panique. Vous pouvez l’adresser ultérieurement à votre dentiste pour qu’il ait l’occasion de le compléter, ou le lui présenter lors de votre prochaine visite à son cabinet.

Vous trouverez le formulaire de demande d’intervention Dentalia Plus sur notre site www. partena-mutualite.be. Cliquez successive ment sur Dentalia Plus, puis sur ‘Demander vos remboursements’ et imprimez le document chez vous.

ASSURANCE DÉPENDANCE (ZORGVERZEKERING) : PAYEZ VOS COTISATIONS AVANT LE 30 AVRIL 2015Toutes les personnes âgées d’au moins 26 ans et domiciliées sur le territoire de la Région flamande, sont tenues de s’affilier auprès d’une caisse d’assurances et de payer une cotisation annuelle, selon le principe de solidarité. L’Assurance dépendance accorde une aide financière mensuelle pour leurs dépenses non médicales aux personnes en perte d’autonomie ou résidant en maison de repos. En 2015, la cotisation à l’Assurance dépendance doit être payée pour le 30 avril au plus tard. Le paiement de la cotisation est obligatoire. Pour chaque année non payée, le droit aux prestations de l’Assurance dépendance est suspendu pour 4 mois. Si vous réglez vos cotisations mutualistes par domiciliation bancaire, votre cotisation à l’Assurance dépendance sera demandée directement à votre organisme financier.

Si vous habitez la Région de Bruxelles-Capitale et que vous avez choisi de cotiser à l’Assurance dépendance, vous êtes tenu à la même obligation de paiement.

Plus d’info à ce propos sur www. partena-mutualite.be ou sur www. vlaamsezorgverzekering.be.

VOUS N’AVEZ PAS REÇU NOTRE LETTRE D’INFO ? Vérifiez votre filtre anti-spam !Chaque mois, la Mutualité Partena informe ses affiliés des dernières nouvelles du secteur de la santé, au travers d’une lettre d’info électronique. Il nous revient de temps à autre que certains de nos affiliés, pourtant abonnés à la lettre d’info, ne la retrouvent pas dans leur boîte de réception. Si vous vous reconnaissez dans cette situation, nous vous invitons à vérifier que notre lettre d’info n’est pas retenue par le filtre anti-spam de votre boîte de réception. Si vous l’y retrouvez, vous pouvez la valider manuellement. Cette opération permettra ensuite la transmission normale des numéros ultérieurs et la bonne réception de notre lettre d’info.

Inscrivez-vous à notre lettre d’info sur www. partena-mutualite.be.

LES PLUS DE PARTENA


PRENDRE UNE ASSURANCE HOSPITALISATION APRÈS 65 ANS : CHEZ PARTENA, C’EST POSSIBLE !Vous avez plus de 65 ans et n’avez pas encore d’assurance hospitalisation ?

Pour l’assurance hospitalisation Hospitalia de Partena, il n’y a plus de limite d’âge à la souscription depuis le 1er août 2014. Hospitalia est donc accessible aux plus de 65 ans.

Hospitalia garantit le remboursement de vos frais d’hospitalisation, sans franchise, jusqu’à 16.000 euros par an, et dès le premier jour de l’hospitalisation. En outre, Hospitalia rembourse aussi les frais réels d’un séjour en chambre commune. Il en va de même en cas d’hospitalisation de jour et pour les frais médicaux jusqu’à 1 mois après d’hospitalisation.

Pour de plus amples informations et les conditions complètes de l’assurance, surfez sur www.partena-mutualite.be.

CETTE ANNÉE, REPOSEZ-VOUS ENCORE SUR LA MUTUALITÉ PARTENA POUR LE MÊME PRIX !

En 2015, la Mutualité Partena sera toujours à vos côtés dans ces moments où vous pourriez avoir besoin d’un conseil, d’une aide concrète ou d’un petit coup de pouce.

Vous pouvez compter sur un service ponctuel pour le remboursement de vos frais médicaux, et si nécessaire, Partena vous apporte son soutien au travers d’assurances complémentaires en cas d’hospitalisation, de soins dentaires et de frais médicaux.

Vous pouvez vous adresser à notre Boutique santé pour des conseils ergonomiques, du matériel de soins à domicile et des produits de soins et de bien-être de qualité, le tout à un prix avantageux pour nos affiliés.

Notre Service Action Sociale vous conseille et organise l’aide à apporter aux personnes nécessitant un supplément de soins.

Et nous ne manquons bien évidemment de nouveaux projets et d’idées novatrices pour encore améliorer nos services, et pouvoir choyer de temps à autre les clients de notre mutualité. Mais voici la meilleure nouvelle : au début de l’année nouvelle, pas de valse des étiquettes chez Partena. La Mutualité Partena reste une nouvelle année à votre disposition, pour une cotisation mutualiste inchangée de 7,5 euros par mois.Vous trouverez toutes les informations relatives à nos services et avantages dans la brochure ‘Avantages 2015’ ci-annexée et sur www.partena-mutualite.be


Dans les premiers temps de la maladie, pendant les soins, le cocon hospitalier est très présent et porteur, mais dans un second temps, à la fin des traitements, la personne se retrouve plus seule face à la maladie et à ses conséquences : épuisement, déprime, douleurs, isolement social, ... Face à ces constats, nous collaborons depuis quelques années avec l’association ‘Au sein des femmes’ (www. auseindesfemmes.be) spé-cia lisée dans l’approche ‘intégrative’ de la santé…

LA SANTÉ ‘INTÉGRATIVE’, … DE QUOI S’AGIT-IL ?De nombreuses études ont déjà démontré les effets positifs de l’activité physique et de l’alimentation équilibrée sur l’améliora-tion de la qualité de vie des personnes atteintes d’un cancer, ainsi que sur la diminution des risques de récidives. Une personne touchée par la maladie peut donc devenir acteur de sa santé !

Le concept de santé ‘intégrative’, défendu par notre partenaire ‘Au Sein des Femmes’, peut se résumer par une prévention active et positive du cancer et de ses récidives en concentrant les actions sur trois domaines de santé :

Le corporelLe corps en souffrance ne permet plus d’offrir un sentiment de sécurité de base. La maladie et ses traitements médicaux donnent une perception d’un corps qui n’est plus source de bien-être. L’activité physique est un outil précieux dans la réappropriation de son corps et dans la diminution du sentiment de fatigue.

Le psycho-émotionnelLa personne atteinte d’un cancer (en cours ou en post-traitements) subit non seulement une modification brutale de l’image qu’elle a de son corps, mais aussi de ses relations et de son équilibre psychique et émotionnel. La détente, la rencontre de l’autre et les tech niques de relaxation sont donc des outils utilisés pour retrouver une paix intérieure et une sérénité par rapport aux autres.

L’environnemental Se ressourcer, se reconnecter à la vie, reprendre son autonomie, autant de reconquêtes qui passent directement par l’alimentation et le plaisir de manger et de bien manger. L’alimentation est proposée comme une manière de se réapproprier sa relation au monde et son plaisir de vivre avec d’autres.

UNE OFFRE ORIGINALE ET PENSÉE POUR VOUS !La Mutualité Partena propose des ‘semaines santé’ sous le signe de la découverte et du partage aux personnes en revalidation onco logique!

Parce que tout est pensé pour vous offrir le meilleur, au-delà des ateliers en groupe (marche nordique, marche consciente, relaxation aquatique, nutrition, etc.), vous avez également l’occasion de bénéficier de soins de bien-être individuels (massages par exemple) au choix et surtout en fonction de vos envies.

Ces semaines sont organisées deux fois par an (en mars et en octobre) dans le cadre du centre de séjours de soins ‘Dunepanne’ au Coq-sur-Mer, récemment rénové et idéalement situé à deux pas de la mer.

PLUS D’INFO

Posez votre question sur www. partena-mutualite.be/contact.

VIVRE LE CANCER (ET L’APRÈS)

AUTREMENT !Nous sommes nombreux à être touchés de près ou de loin par le cancer. Ceux qui le vivent savent combien la maladie bouleverse, transforme parfois et épuise mentalement et physiquement. Vous pouvez compter sur la Mutualité Partena pour soutenir les personnes traversant cette longue et pénible épreuve de la maladie.


L’ÉCHANGE DE VOS DONNÉES DE SANTÉCes données sont indispensables aux professionnels de la santé pour vous assurer une qualité de soins élevée. C’est pourquoi ils sont de plus en plus souvent amenés à échanger des informations au travers de réseaux électroniques. Ces échanges sont effectués dans le strict respect de votre vie privée et seulement si vous y avez préalablement consenti. Mais comment faire au juste ?

2 POSSIBILITÉS➜ 1. Vous le faites vous-même Vous enregistrez vous-même en ligne votre consentement grâce à l’application ‘eHealthConsent’ disponible sur le site de la plate-forme eHealth. Surfez sur www. ehealth.fgov.be/fr/citizen, cliquez sur ‘Accéder à eHealthConsent’, et connectez-vous au moyen de votre carte d’identité électronique et son code pin. Pour ce faire, vous devez disposer d’un lecteur de carte.

➜ 2. Vous le demandez à une tierce personne Les médecins, les pharmaciens et le personnel administratif des hôpitaux peuvent, à votre demande, gérer votre consentement. Ils peuvent y procéder au moyen de votre carte d’identité ou de la carte ISI+, même sans code pin.

QUI REÇOIT ACCÈS À VOS DONNÉS ?Si vous y consentez, tous les professionnels de la santé que vous consultez peuvent accéder à vos données. Il peut s’agir de :• votre médecin généraliste chargé de la gestion de votre dossier

médical global (DMG) • médecins spécialistes• médecins en milieu hospitalier• pharmaciens• infirmiers à domicileIls peuvent établir et suivre un programme de prise de médicaments, éviter des traitements superflus, … L’échange de données de santé procure de nombreux avantages.

Une fois que vous avez donné votre consentement, vous pouvez gérer vous-même les droits d’accès à vos données. Vous décidez donc quels sont les professionnels de la santé qui peuvent échanger vos données.

PLUS D’INFO• Des questions sur l’installation de votre lecteur de carte

d’identité électronique ? Surfez sur www. eid.belgium.be.• Des problèmes pour donner votre consentement ?

Contactez la plate-forme e-Health au T. 02 788 51 55 ou à l’adresse [email protected] .be.

LA DIGITALISATION EN COULISSESPartena joue aussi la carte de la digitalisation pour encore mieux aider ses clients. Ainsi, nous travaillons avec un système de scanning innovant, qui catalogue tous les documents entrants, comme les attestations de soins donnés ou les formulaires de demande. Tout sauf une sinécure, si vous savez que Partena reçoit quotidiennement jusqu’à 40.000 attestations de soins donnés et 8.000 autres documents!

Votre SANTÉ à l’heure DIGITALEUne meilleure aide encore plus rapide‘eHealth’, c’est le nom donné à un projet des autorités fédérales relatif à l’échange électronique sécurisé et correct d’informations concernant le patient. De nombreuses initiatives directement utilisables pour vous ou par les intervenants du secteur vous permettront d’être aidé plus efficacement, plus précisément et plus rapidement. De nombreux avantages pour vous en perspective, raison pour laquelle Partena s’inscrit résolument dans ce mouvement.


Si vous devez, vous-même ou un proche, recevoir des soins, épargnez-vous la peine de chercher à l’aveuglette conseils et soutien. Le Service Action Sociale de la Mutualité Partena examine vos demandes dans leur globalité et cherche une solution sur mesure près de chez vous.

DES CONSEILS FIABLES, EN PLEINE CONNAISSANCE DE CAUSEDans quelles conditions avez-vous droit à une indemnité, une intervention ou une prime? Où et comment la demander ? Il est souvent difficile de s’y retrouver au milieu de toutes les directives et recommandations. Chez Partena, nous connaissons ces matières sur le bout des doigts, et nous serons heureux de vous aider grâce à des conseils professionnels. Vous pouvez ainsi vous adresser à nous pour toutes questions relatives aux interventions et primes diverses, pour obtenir une aide financière pour une personne souffrant de limitations fonctionnelles, pour vous aider à introduire une demande auprès de la Zorgverzekering (Assurance dépendance), ou pour un conseil juridique si vous avez des questions par rapport à une facture d’hospitalisation.

UNE AIDE CONCRÈTE QUAND C’EST NÉCESSAIREPartena vous apporte aussi une aide très concrète. Comment

trouver des soins adaptés pour une personne âgée, souffrante ou convalescente ? Quelles sont

les aides concrètes qui existent pour rendre son quotidien plus sûr et

confortable ? Comment adapter une habitation à une nouvelle situation de vie ? Vous pouvez emprunter ou acquérir le matériel nécessaire auprès de notre Boutique santé, vous y serez reçu sur rendez-vous

pour des conseils adaptés à votre situation personnelle, et pourrez y

découvrir des exemples de lieux de vie adaptés dans notre espace d’exposition.

UN PLAN DE SOINS TOTAL Partena ne vous aide pas seulement à trouver les aides et les soins adaptés à votre situation personnelle, mais aussi pour en assurer la coordination sous tous les aspects. Ainsi nous apportons soutien et guidance non seulement aux personnes qui en ont besoin, mais aussi à leur entourage proche.

Connaître vos droits à des interventions ou avantages sociaux ? A la recherche d’aide pour vos parents, votre partenaire en perte d’autonomie ou pour vous-même ? Reprendre des forces en toute sérénité après une maladie ou un traitement ? Le Service Action Sociale de la Mutualité Partena vous fournit des conseils avisés et une aide adaptée quand vous en avez le plus besoin.

ACTION SOCIALE

BESOIN D’UN CONSEIL, D’UNE AIDE CONCRÈTE OU DE SOINS ?PARTENA SE TIENT À VOTRE DISPOSITION !

Luc : “Mes parents habitent encore chez eux, mais ont déjà connu pas mal de problèmes. Ma mère souffre depuis quelques années de la maladie d’Alzheimer. Elle a encore de bonnes capacités physiques, mais oublie beaucoup de choses. Mon père a encore toute sa tête, mais c’est au niveau physique que ça coince. Ma sœur et moi nous relayons pour les aider à entretenir leur maison et à faire leurs courses. Nous veillons aussi à ce qu’ils prennent bien leurs médicaments et à accomplir leurs formalités admini-stratives. Nous prenons congé pour les accompagner chez le médecin… Ces soins quotidiens sont très lourds. Nous n’en pouvons réellement plus.”

➜ QUE PEUT FAIRE PARTENA ?• Demander une allocation de la Zorgverzekering pour les

deux parents.

• Fournir une aide familiale (faire les courses, préparer les repas, …) pour soulager les proches.

• Conseils de notre personne de référence pour la démence, qui, grâce à ses connaissances spécifiques, veillera à apporter une guidance et des soins de qualité à la patiente et à son entourage.

• Prévoir un semainier de la Boutique santé Partena pour suivre aisément la prise de médicaments.

• Constituer une équipe de soins à domicile et établir un plan de soins viable au sein duquel la famille et les dispensateurs de soins collaboreront efficacement.

• Fournir un garde-malades pour permettre aux proches de souffler de temps en temps.

• Fournir une aide-ménagère de Partena Aide à domicile dans le cadre des titres-services.

• Faire appel au transport par des accompagnateurs bénévoles pour les consultations chez le médecin.

Vous vous demandez si vous pouvez faire appel aux prestations du Service Action Sociale ? N’hésitez pas à nous contacter sans engagement. Nous conviendrons d’un rendez-vous dans une agence Partena près de chez vous. Formez le T. 02 201 42 42 ou posez votre question sur www. partena-mutualite.be/contact.


Martine: “Ma maman a 81 ans et vit toujours seule chez elle. Mais depuis son dernier séjour à l’hôpital, le mois passé, elle a beaucoup perdu de son autonomie. Elle a fait une chute chez elle et n’a pas pu appeler à l’aide. Je ne l’ai trouvée que le soir, en passant chez elle. Elle a des difficultés à faire sa toilette et peut compter sur une aide familiale 2 fois par semaine, ce qui, d’après moi, n’est plus suffisant. Je trouve aussi qu’il n’est plus très respon sable de la laisser monter les escaliers jusqu’à sa chambre…”

➜ QUE PEUT FAIRE PARTENA ?• Augmenter l’aide familiale pour intensifier l’aide et les soins

apportés.

• Fournir une infirmière à domicile, qui passera tous les jours pour les soins personnels.

• Demander un système d’alarme personnel, afin de pouvoir recevoir immédiatement de l’aide en cas de chute.

• Conseils d’une ergothérapeute : de petites adaptations dans l’habitation peuvent grandement faciliter la vie et sécuriser les lieux.

• Conseils de la Boutique santé Partena : un monte-escalier assurera un accès sécurisé à l’étage. Ou un lit de soins au rez-de-chaussée fournira un environnement sûr et ergonomique pour la nuit.

Anne (Service Action Sociale Partena): “Nous aidons depuis peu un couple de personnes âgées où les tâches se répartissent de manière très traditionnelle : madame tient les rênes de la maison. Elle a subi récemment une lourde intervention et sait que le futur ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Elle se fait du souci pour son mari. Qui peut lui venir en aide maintenant qu’elle est souffrante et que se passera-t-il lorsqu’elle ne sera plus là… Nous avons écouté attentivement avant tout.”

➜ QUE VA FAIRE PARTENA ?• Demander une allocation de la Zorgverzekering pour les

deux partenaires.

• Prévoir un séjour de convalescence pour madame afin qu’elle puisse récupérer dans le calme de son opération.

• Constituer une équipe de soins à domicile et établir un plan de soins viable au sein duquel la famille et les dispensateurs de soins collaboreront efficacement.

• Fournir une aide familiale (faire les courses, préparer les repas, tâches ménagères…).

• Fournir un garde-malades.

• Fournir une aide-ménagère de Partena Aide à domicile dans le cadre des titres-services.

• Conseils d’une ergothérapeute pour des aides fonctionnelles à domicile.

POUR QUI ?Tout le monde peut faire appel gratuitement à l’intervention de l’Aide Sociale Partena. Nous nous adressons en particulier aux personnes qui éprouvent des difficultés en raison de leur maladie, d’un handicap ou de leur grand âge .

QUE POUVONS-NOUS FAIRE ?✔ des conseils, des solutions et un soutien sur mesure✔ la constitution de votre dossier pour l’Assurance dépendance et pour l’agence régionale

pour les personnes handicapées (VAPH)✔ vérifier si vous avez droit à des avantages et interventions à caractère social✔ l’organisation de l’aide et des soins infirmiers à domicile, de l’aide-ménagère✔ des conseils juridiques✔ le transport non urgent pour raisons médicales✔ les soins après accouchement✔ des conseils pour l’adaptation de l’habitation et les aides fonctionnelles✔ l’achat ou la location d’aides fonctionnelles (à la marche), de matériel paramédical

et de rééducation✔ l’installation d’un système d’alarme personnel


Nous espérons tous pouvoir rester le plus longtemps possible chez nous, ou nous y occuper de nos proches. Même s’il devient difficile de grimper les escaliers. Un monteescalier vous permettra d’encore profiter pendant de longues années de la sécurité de votre chez vous, et d’emprunter quotidiennement les escaliers en toute sécurité.

UN MONTE-ESCALIER PEUT-IL ÊTRE INSTALLÉ SUR N’IMPORTE QUEL ESCALIER ?Qu’il soit raide, étroit ou tortueux, un monte-escalier peut être installé sur presque n’importe quel escalier. Il existe différents modèles qui peuvent convenir quelle que soit la forme de l’escalier d’origine. Chaque monte-escalier est réalisé sur mesure, précisé-ment parce que tous les escaliers sont différents. Des spécialistes vous proposeront une solution sur mesure en fonction de la disposition des lieux, de vos souhaits et de vos besoins. Ils vous remettront aussi un devis sans aucun engagement. L’installa tion d’un monte-escalier d’occasion est vivement déconseillée.

ET QUE SE PASSE-T-IL SI UN OBSTACLE SE PRÉSENTE ?Un panier à linge qui traîne dans l’escalier, un enfant qui joue sur les marches ou un animal domestique couché au bas de l’escalier ? Un monte-escalier équipé d’un système d’arrêt automatique vous évitera toute contrariété. Dès qu’il rencontre un obstacle, le monte-escalier s’arrête automatiquement.

LE MONTE-ESCALIER FONCTIONNE-T-IL EN CAS DE PANNE DE COURANT ?Imaginez une coupure de courant alors que vous êtes seul chez vous et venez de de commencer à monter l’escalier. Aucun souci à vous faire avec un monte-escalier de qualité. Il dispose d’un accumulateur, qui vous permettra de descendre ou de monter l’escalier sans courant.

L’ESCALIER D’ORIGINE OU LE MUR SERONT-ILS ENDOMMAGÉS ?Non, l’installation d’un monte-escalier ne prend pas beaucoup de temps et ne cause aucun dégât. Un monte-escalier est presque toujours fixé sur les marches. Les points d’ancrage les plus petits et les plus sûrs sont utilisés à cet effet. Une seule prise suffit pour l’installation d’un monte-escalier.

COMBIEN DE TEMPS PREND L’INSTALLATION ?Un monte-escalier droit et simple est installé en une demi-journée. Si l’escalier est tortueux ou que le monte-escalier dessert plusieurs étages, l’installation prendra un peu plus de temps, mais le plus souvent sans dépasser une journée. Saviez-vous qu’un monte-escalier peut aussi être installé là où on utilise un chauffage par le sol ?

QUE SE PASSE-T-IL EN CAS DE PANNE UN DIMANCHE ?Tout comme une voiture, un vélo ou tout autre appareil électrique, un monte-escalier a besoin d’être entretenu et peut tomber en panne. Choisissez donc un monte-escalier couplé à un contrat d’entretien et de réparation, avec point de contact accessible 24h sur 24 pour y signaler pannes et problèmes. Ainsi, vous aurez la certitude qu’en cas de panne, même le dimanche à 22 heures ou à 6 heures du matin, un dépanneur sera rapidement sur place pour solutionner le problème.

QUAND EMPRUNTER LES ESCALIERSDEVIENT DIFFICILE…

EXISTE-T-IL DES INTERVENTIONS FINANCIÈRES ?Un monte-escalier permet de prolonger le séjour au domicile. C’est pourquoi les autorités régionales, provinciales et commu-nales encouragent souvent l’installation de ce dispositif. Les mesures de soutien à l’installation sont fonction du lieu du domicile, de l’âge, des revenus du ménage, de la valeur de la maison, …

Vous trouverez les coordonnées des différents organismes et institutions accordant des aides dans ce domaine sur www. partena-boutiquesante.be.

Vous pouvez aussi demander conseil à une de nos ergo-thérapeutes sur www. partena-mutualite.be/contact ou en formant le T. 09 269 63 77.

Les personnes souffrant d’un handicap âgées de moins de 65 ans peuvent éventuellement bénéficier d’une intervention de l’agence régionale pour les personnes handicapées (VAPH). Adressez-vous à nos ergothérapeutes pour savoir si vous pouvez y prétendre.


LA BOUTIQUE SANTÉ PARTENA CHOISIT THYSSENKRUPP ENCASA COMME PARTENAIRE MOBILITÉET NOTAMMENT POUR CES ATOUTS• qualité allemande et 60 ans d’expérience• une solution pour chaque escalier• développé avec le concours de médecins et de kinés• installation par le fabricant • rendez-vous à domicile sans engagement et devis sans surprises• aide en cas de demande de subsides• excellent service après-vente avec helpdesk 24h/24• seulement de 4 à 6 semaines de la commande au placement

VOTRE AVANTAGE À LA BOUTIQUE SANTÉ PARTENA Le site www. partena-boutiquesante.be et notre vaste magasin à Gand vous proposent un grand choix de produits santé et de matériel adapté tant pour les personnes dépendantes que pour celles et ceux qui sont en bonne santé.

La Boutique santé Partena est un fournisseur agréé de matériel pour diabétiques dans le cadre des trajets de soins. Vous y trouverez en outre de nombreux produits pour la période de la grossesse, pour maman et pour bébé. Vous pouvez aussi vous y adresser pour des conseils gracieux et professionnels en matière d’adaptation de l’habitation, de mobilier de confort et d’ergonomie domestique.

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L’activité physique vous déstresse, vous donne la pêche, améliore votre condition et vous aide à garder votre poids sous contrôle. Pour que vos séances d’entraînement, de jogging ou de fitness vous soient pleinement profitables, il est essentiel de maîtriser votre rythme cardiaque et de ne pas dépasser votre nombre maximum de pulsations. Ainsi, vous éviterez les blessures et de fatiguer votre organisme à l’excès.

ZONES DE FRÉQUENCE CARDIAQUE ET RYTHME CARDIAQUE MAXIMALVous obtenez les meilleurs résultats quand vous vous entraînez au niveau d’intensité idéal.

La référence la plus répandue dans ce domaine est le rythme cardiaque maximal, qui correspond au nombre maximum de pulsations par minute à ne pas dépasser.

Voici comment le calculer :220 - votre âge = rythme cardiaque maximal. Par ex., si vous avez 40 ans, votre rythme cardiaque maximal est égal à 180 (220-40).

Attention, cette estimation vaut pour des individus pratiquant régulièrement une activité sportive récréative. Si vous commencez à faire du sport sur le tard, ou que vous bouleversiez radicalement votre mode de vie pour vous lancer dans une pratique intensive, demandez préalablement conseil à votre médecin généraliste.

En fonction de l’objectif que vous vous serez fixé, vous vous entraînerez dans 1 des 4 zones de fréquence cardiaque.

Vous déterminez ces zones sous la forme d’un pourcentage de votre rythme cardiaque maximal.

Zones de fréquence cardiaque

Objectif

50 - 60% rééducation, sportifs débutants

60 - 70% amélioration de la condition, ajustement et maintien du poids

70 - 85% développement de la capacité cardiaque et respiratoire, et de la fonction pulmonaire, amélioration de la condition

85 - 90% sportifs aguerris, pendant de courtes périodes, 1 ou 2 fois par semaine

> 90% sportifs de haut niveau

S’ENTRAÎNER AVEC UN APPAREIL DE MESURE DE LA FRÉQUENCE CARDIAQUECet appareil se compose d’une sangle pectorale et d’un computer qui enregistre les données de l’entraînement. La montre sportive du temps jadis a fait place à des outils ‘connectés’ qui commu-niquent avec les Smartphones. Les senseurs de la sangle pectorale mesurent à une fréquence de quelques secondes, les petites impulsions électriques émises par le cœur, et les transmettent au computer ou au Smartphone. Le cardio fréquencemètre traduit ainsi l’intensité de l’entraînement. Voyez-le comme votre coach personnel qui vous indique quand l’intensité de l’entraînement est trop élevée (avec un risque accru de blessures ou d’acidification musculaire) ou trop faible (vous n’atteindrez pas votre objectif).

Faire du SPORTavec votre atout CŒUR


CARDIOFRÉQUENCEMÈTRE BLUETOOTH RUNTASTIC• Liaison sans fil et communication entre le cardiofréquencemètre

et le Smartphone.

• Bluetooth low energy 5.3kHz : consommation d’énergie réduite de la batterie du Smartphone.

• Compatibilité : iPhone 4S, 5/S, 6/S et 6plus, Android 4.3 avec Bluetooth smart ready.

• Un code d’activation gratuit pour une App PRO est fourni avec le cardiofréquencemètre pour accéder à toutes les fonctions PRO de Runtastic.

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RUNTASTIC ORBIT• Combinez le cardiofréquencemètre Bluetooth Runtastic avec la

montre sportive Orbit Runtastic. Lors de chaque activité Runtastic, la montre Orbit vous donne votre rythme cardiaque, la distance parcourue, la vitesse moyenne, …

• Compte le nombre de pas, donne les minutes d’activité, les calories brûlées, la durée et la qualité du sommeil.

• Propose des objectifs à atteindre et vous tient informé de vos progrès.

• 100% étanche, donc aussi utilisable pour nager.

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APPAREILS DE FITNESS TUNTURI Le vélo est une forme d’activité physique idéale à tout âge, quels que soient votre poids et votre condition. Si vous voulez vous entraîner confortablement, choisissez un vélo couché. Il offre un soutien optimal du dos, est facile à enfourcher, et la position assise stimule la circulation sanguine dans les jambes.

TUNTURI GO 50• Régulé par rapport à la fréquence cardiaque : adapte lui-même

l’intensité pour un entraînement efficace et sûr.• Ergomètre traduisant l’effort en watts.• Sur réseau (transformateur 9 volts).• 32 niveaux de résistance.• 19 programmes.• Conserve les données personnelles de 4 utilisateurs.• Ecran couleur, chiffres faciles à lire.• Poids maximum d’utilisation : 135kg.

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La Boutique santé Partena vous recommande Runtastic. Le site et les applications sport Runtastic collationnent toutes les données et présentent clairement l’évolution de vos résultats. Vous y trouvez aussi des plans d’entraînement qui vous aideront à atteindre vos objectifs de manière contrôlée et dans le respect de votre santé.

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BOUTIQUE SANTÉ


LA CUISINE BELGE DE DEMAIN

Les professionnels transmettent leurs expériences !

Seize chefs étoilés livrent leurs meilleures recettes ‘noir-jaune-rouge’. Avec le chro-niqueur gastronomique Philippe Bidaine et l’intervention d’une brochette de jeunes chefs témoins de la cuisine noir-jaune-rouge de demain, cet ouvrage a pour ambition d’ouvrir avec bonne humeur la porte de la gourmandise bien de chez nous.

La cuisine belge de demain - Pierre Wynants, Philippe Bidaine, 200 p. EAN : 9782873868963 25,46 euros au lieu de 29,95 euros

MON POTAGER

La culture en pots, en bacs ou dans des potagers surélevés

Créer un potager et en gérer tous les aspects n’est certes pas une mince affaire ! Et pourtant, quelle belle et enrichissante aventure ! Quelle fabuleuse école de patience et d’observation. Après vous avoir familiarisé avec un élément majeur de la réussite des cultures, c’est-à-dire le sol, ce livre détaille les diverses façons d’effectuer les semis avant de vous plonger dans le monde des légumes avec toutes ses facettes : périodes de semis et de récolte, cultures associées, maladies et ravageurs...

Mon potager - Marc Knaepen, 176 p. EAN : 9782873868987 16,96 euros au lieu de 19,95 euros

BRUXELLES, HISTOIRES INSOLITES

Redécouvrez la capitale sous un jour inattendu

De Jean-Baptiste Van Helmont et le secret de la fabrication de l’or à Alexandre Dumas, son hôtel particulier et ses maîtresses, du sculpteur François Duquesnoy empoisonné par son frère à Sacha Guitry qui monte pour la dernière fois sur scène au Théâtre royal du Parc, vous découvrirez un Bruxelles bien surprenant...

Bruxelles, histoires insolites - Marc Pasteger, 160 p. - EAN : 9782873868406 16,11 euros au lieu de 18,95 euros

BELGIUM XTRA BOLD

Une représentation graphique de la Belgique

Sanny Winters lâche tous ses démons dans cet ouvrage impertinent. Elle dissèque ce pays par une recherche typographique de symboles, où s’expriment toutes sortes de vérités ou demi-vérités sur Flamands, Wallons et Bruxellois. Un concept total, alliant cartes postales et affiches à un fantastique travail de la main de l’auteur. Un livre qui fait regarder par-dessus la haie et tend un miroir à tout habitant de ce pays. Enrichissant, rafraichissant, graphiquement époustouflant.

Belgium Xtra Bold - Sanny Winters, 128 p. EAN : 9789401416108 25,49 euros au lieu de 29,99 euros

LE GUIDE DES PROMENADES SUR LES TRACES DE NAPOLÉON

Suivez les pas de Napoléon en Belgique entre le 14 et le 18 juin 1815

De Beaumont à Waterloo, sur les traces de Napoléon en empruntant des chemins campagnards et villageois, des sentiers pittoresques. Vous découvrirez ainsi tout au long de chaque parcours les endroits où Napoléon et/ou son armée se sont arrêtés, ont dormi, livré bataille, gagné et... perdu.

Le guide des promenades sur les traces de Napoléon, Nathalie Demain - 144 p. EAN : 9782873869090 16,96 euros au lieu de 19,95 euros

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La BOUTIQUE EN LIGNE LANNOO expédie vos commandes en Belgique pour seule ment 2,50 euros par envoi. Si vous comman dez plusieurs ouvrages et que votre colis soit relativement lourd, vous ne paierez malgré tout que 2,50 euros ! Le module de paiement en ligne est sécurisé et on ne peut plus sûr. Vous avez encore des questions sur cette formule ? Posez-les en adressant un e-mail à [email protected], ou formez le T. 051 42 42 11.

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Apprendre à manger et à bouger dès le plus jeune âge prévient le surpoids, et réduit les risques de voir l’enfant avoir des problèmes de surcharge pondérale, une fois arrivé à l’âge adulte. Mais au fait, quand parle-t-on de surpoids et d’obésité chez les enfants? Grâce au plan de traitement multidisciplinaire ‘Elsitas’, Els Vercruysse aide des enfants en surpoids à retrouver la forme et la santé.

Quelle est la différence entre surpoids et obésité ?Els Vercruysse: “Ce sont deux termes utilisés pour définir un poids corporel qui n’est pas sain par rapport à la taille. Si en cas de surpoids, on ne parle pas de maladie chronique, c’est bien le cas pour l’obésité.”

Quand un enfant est-il trop lourd ?Els Vercruysse: “On peut le déterminer en calculant l’Indice de Masse Corporelle, l’IMC ou BMI dans la terminologie anglo-saxonne (voir encadré). A chaque âge, ses limites pour définir surpoids et obésité. Cette distinction est nécessaire parce que le rapport entre le poids et la taille varie en fonction de l’âge. En outre, il existe aussi des valeurs différentes pour les filles et les garçons. D’autres facteurs comme la circonférence abdominale, la tension artérielle et l’inactivité physique peuvent s’avérer importants pour distinguer surpoids et obésité.”

Le surpoids chez les enfants est-il dangereux ?Els Vercruysse: “Le plus souvent, le surpoids ne constitue pas un danger vital, même s’il représente une réelle menace pour la santé de l’enfant, susceptible d’amener l’apparition d’autres maux à long terme. A défaut d’être traité, le surpoids peut conduire à l’obésité. Etre obèse, c’est souffrir d’une maladie chronique, nécessitant un suivi tout au long de l’existence, et être exposé à un risque de rechute. C’est pourquoi plus tôt on commence et être exposé à traiter le surpoids, et plus grandes sont les chances d’inverser complètement la tendance et/ou d’en venir à bout.”

Nos remerciements à Els Vercruysse d’Elsitas.

VOTRE ENFANT EST-IL TROP LOURD ?Calculez son IMC. Divisez son poids (en kg) par le carré de sa taille (en m). Si le résultat obtenu est inférieur à la valeur correspondante dans le tableau, le poids de l’enfant est correct.

Surpoids Obésité

Age IMC garçons IMC filles IMC garçons IMC filles

2 18,41 18,02 20,09 19.81

3 17,89 17,56 19,57 19,36

4 17,55 17,28 19,29 19,15

5 17,42 17,15 19,30 19,17

6 17,55 17,34 19,78 19,65

7 17,92 17,75 20,63 20,51

8 18,44 18,35 21,60 21,57

9 19,10 19,07 22,77 22,81

10 19,84 19,86 24,00 24,11

11 20,55 20,74 25,10 25,42

12 21,22 21,68 26,02 26,67

Votre enfant est-il en SURPOIDS ?

Si votre enfant accuse un surpoids, le médecin généraliste peut vous aiguiller vers un diététicien ou une équipe spécialisée près de chez vous.

PARTENA VOUS AIDE À PRENDRE EN CHARGE VOTRE SURPOIDS Votre IMC est supérieur à 25 ou un de vos enfants présente-t-il un IMC trop élevé ? Dans ce cas, la Mutualité Partena vous accorde

• un remboursement unique de 200 euros pour le suivi d’un programme de guidance dans un centre multidisciplinaire comme Elsitas.

• toutes les 2 années calendrier, un remboursement de 10 euros par consultation pour max. 12 séances chez un diététicien.

• aux personnes souffrant d’une maladie chronique, un remboursement de 15 euros par séance (max. 12 séances par an) chez un psychothérapeute.

Voyez les conditions sur www. partena-mutualite.be ou informez-vous auprès de votre conseiller clientèle Partena.

De plus en plus d’enfants font face à des problèmes de surpoids. Outre la surcharge pondérale, ils courent de réels risques de santé. Sans oublier les conséquences sociales et émotionnelles qui ne peuvent être sous-estimées.


PAPIER OU ÉLECTRONIQUE : COMMENT ÇA MARCHE ?Sofie Jaques, Manager Opérations chez Aide à domicile : “On commande les titres-services papier ou électroniques chez Sodexo, l’entreprise qui émet les titres-services. Les titres-services papier sont envoyés par la poste et livrés environ 5 jours ouvrables après la commande. Lors de chaque passage de votre aide-ménagère, vous lui remettez le nombre exact de titres-services. Votre aide-ménagère les transmet à Partena Aide à domicile, qui les fait suivre à son tour à Sodexo. Chaque titre-service papier effectue donc tout un parcours, qui peut durer jusqu’à 6 semaines.

Un titre-service électronique effectue le même trajet, mais beau-coup plus vite. Comme client, vous effectuez votre commande de la même manière, mais votre portefeuille électronique est crédité dès le lendemain de la réception de votre paiement. Lors de son passage, votre aide-ménagère communique par téléphone, grâce au système d’enregistrement de Sodexo, le nombre de titres-services qui doivent être prélevés de votre portefeuille. Nos con sul tants contrôlent l’exactitude de l’opération, et vous confirmez ensuite le paiement, que nous transmettons à notre tour à Sodexo. En tout, le traitement du titre-service électronique n’aura pris que 5 jours.”

QUEL EST VOTRE INTÉRÊT COMME CLIENT ? Johan De Neve, client chez Partena Aide à domicile :“Je dois avouer qu’il nous arrivait souvent de penser au tout dernier moment à commander des titres-services … De ce fait, nous n’étions pas toujours en mesure de remettre les titres-services dus à notre aide-ménagère. Nous sommes passés récemment aux titres-services électroniques, et le problème est résolu. J’effectue mon paiement à Sodexo, et les titres-services électroniques sont disponibles dès le lendemain. Fini le stress parce que nous étions en retard pour passer commande. Et plus de confusion possible à propos des heures déjà réglées ou encore à payer. Sodexo m’avertit par e-mail quand mon portefeuille électronique est presque vide. Ce qui me permet de toujours renouveler mes commandes bien à temps.”

POURQUOI CONFIRMER LE PAIEMENT ?Sofie Jaques: “Si vous souhaitez vérifier que le nombre de titres-services correspond bien aux prestations effectuées, vous pouvez le faire grâce à la confirmation. Une fois que l’aide-ménagère a communiqué le nombre de titres-services qui doivent être prélevés, le paiement n’est effectué automatiquement dans le portefeuille

du client que 10 jours plus tard. Le client dispose donc de tout le temps nécessaire pour contrôler et confirmer les prestations effectuées.”

Johan De Neve: “Nous vérifions toujours le paiement et le confir-mons directement dans l’espace sécurisé du site de Sodexo. Notre consultant nous a aussi dit que cela permettait de payer plus rapidement notre aide-ménagère. Ce n’est vraiment pas un problème pour nous, alors pourquoi pas ? Nous pouvons aussi consulter l’historique de nos paiements dans l’espace sécurisé du site. Je trouve ça très pratique.”

TOUT LE MONDE PEUT PASSER AUX TITRES-SERVICES ÉLECTRONIQUES ?Sofie Jaques: “Tout le monde peut adapter son profil dans l’espace sécurisé du site de Sodexo. Vous pouvez facilement demander un identifiant si vous n’en avez pas encore un. Avertissez ensuite votre consultant de votre changement de mode de paiement. Ainsi, nous pouvons aussi adapter votre profil de paiement dans nos fichiers.”

Y A-T-IL D’AUTRES AVANTAGES ?Johan De Neve: “Les titres-services électroniques vous épargnent de réels problèmes. Ainsi, nos titres-services papier se sont égarés une fois avec la poste. Parfois, alors que nous avions commandé nos titres-services papier bien à temps, il nous arrivait, dans la préci pitation du matin, d’oublier de les préparer pour notre aide-ménagère … Impossible d’égarer des titres-services électroniques. Et pas besoin de les préparer ni de les compléter : moins de travail donc !”

Sofie Jaques: “Les paiements par voie électronique sont beaucoup plus rapides et précis. Nos consultants gagnent ainsi un temps précieux, qu’il peuvent consacrer au coaching des aide-ménagères. Les titres-services électroniques sont donc profitables à la qualité de notre service.”

N’oubliez plus jamais vos titres-services ou ne soyez plus jamais en retard pour les commander …

Gagnez du temps grâce aux TITRES-SERVICES

ÉLECTRONIQUES

Vous payez encore votre aideménagère avec des titresservices papier ? Pourquoi ne pas payer par voie électronique ? Cela fonctionne très simplement et très vite, selon Sofie Jaques de Partena Aide à domicile. Et comme client, on gagne aussi du temps à payer par voie électronique, nous confirme Johan De Neve, déjà client depuis 7 ans, et qui vient de passer aux titres-services électroniques.

AIDE-MÉNAGÈRE ET REPASSAGE

• Plus d’info sur l’utilisation des titres-services électroniques auprès de votre consultant ou sur www. partena-titres-services.be

• Commandez vos titres-services électroniques sur le site de Sodexo www. titres-services-onem.be


LES TITRES-SERVICES VOUS APPORTENT UNE SÉCURITÉ JURIDIQUE ABSOLUE Depuis peu, les personnes faisant effectuer des tâches domestiques à leur domicile doivent payer des cotisations de sécurité sociale, qui permettent au personnel domestique de bénéficier d’un statut social décent. Pour les particuliers, cela se traduit par un surcroît de formalités administratives, et de responsabilités en tant qu’employeur.

En confiant ces tâches à un tiers par le système des titres-services, vous n’avez pas à vous soucier de ces nouvelles obligations. Votre aide-ménagère dans le dispositif des titres-services dépend d’une entreprise agréée du secteur, et vient travailler chez vous en toute légalité, tout en se constituant des droits sociaux. Vous réglez ses prestations avec des titres-services, et n’avez pas de responsabilités en tant qu’employeur.

Source : Federgon

Votre aide-ménagère aimerait travailler dans le système des titres-services ? Transmettez-nous l’information grâce au formu laire de contact disponible sur www. partena-titres-services.be. Nous l’inviterons volontiers à un entretien.

LES JOURS FÉRIÉS EN 2015Votre aide-ménagère ne travaillera pas ces jours-là en 2015 :

• jeudi 1er janvier - Nouvel An• lundi 6 avril - Lundi de Pâques• vendredi 1er mai - Fête du travail• jeudi 14 mai et vendredi 15 mai (pont) - Ascension• lundi 25 mai - Lundi de Pentecôte• lundi 20 juillet - Jour de remplacement pour le 15 août• mardi 21 juillet - Fête Nationale • mercredi 11 novembre - Armistice• jeudi 24 décembre - Jour de remplacement pour

le 1er novembre• vendredi 25 décembre - Noël

CONSEILS POUR L’HIVER Contribuons à un hiver harmonieux et sûr, aussi pour votre aide-ménagère :

• Epandez du sel en temps opportun pour éviter que les abords de votre habitation ne soient glissants.

• En cas de gel, ne jetez pas d’eau sur votre trottoir, au risque de le transformer rapidement en une dangereuse patinoire.

• En cas de gel, nos aide-ménagères ne doivent pas nettoyer les vitres. Cela n’a guère de sens, et augmente sensiblement les risques d’accidents.

• Veillez à ce que votre aide-ménagère dispose toujours d’eau chaude pour son travail.

• Veillez à ce que votre habitation soit chauffée au moment où votre aide-ménagère vient travailler.

Vous souhaitez une aide-ménagère ou du repassage ? Surfez sur www. partena-titres-services.be !

Facilitez-vous les choses et payez votre aide-ménagère avec des titres-services électroniques.

Vos avantages :

• Plus de risque de perte ou d’oubli de vos titres-services.

• Les titres-services électroniques sont disponibles le lendemain de la réception de votre paiement.

• Vous recevez un avertissement automatique quand vos titres-services sont presque épuisés.

• Pas besoin de les dater, ni de les signer.

• Vous pouvez demander un historique de vos commandes.

• Vous pouvez suivre facilement vos paiements.


En matière de troubles psychiques, rien n’est simple mais pouvez-vous nous éclairer sur les causes qui peuvent les provoquer ?An Vandeputte : “Nous nous mettons beau-coup trop la pression et ne prenons pas assez le temps de vraiment profiter. Nous avons également du mal à relativiser : nous ne voulons plus simplement bien faire les choses, mais les réaliser parfaitement. Nous allons donc nous évaluer, nous-mêmes et les autres. Le mécanisme s’enclenche dès l’enfance : lorsqu’un enfant montre un dessin à ses parents, une appréciation y est automatiquement liée. “Oh, comme c’est joli” ou “Qu’est-ce que tu dessines bien” sont des phrases qui sortent presque auto-matiquement, alors que nous pouvons très bien rester objectifs en disant : “Tu as utilisé beaucoup de couleurs différentes dans ton dessin”. Vous gardez ainsi le contact avec votre enfant, sans l’évaluer. Ce petit changement peut aider l’enfant à accorder moins d’importance à la pres tation.”

N’est-il pas bon de faire de temps en temps des compliments à son enfant ?

A.V. : Oui, bien sûr ! Mais il faut distinguer les compliments axés sur la personne et ceux axés sur le processus. Si quelqu’un dit : “Chaque fois que tu es là, la fête est réussie”, l’intention est peut-être bonne. Mais si un jour la fête n’est pas réussie, l’enfant pourrait penser que c’est à cause de lui. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Nous devrions éviter au maximum ces compli-ments axés sur la personne et les remplacer par des compliments axés sur le processus, dans le style de “J’aime la manière dont tu as abordé la chose”. C’est également possible quand le résultat n’est pas vraiment positif, en disant : “Tu as déjà beaucoup appris” ou “Ta chambre est déjà bien mieux rangée que la dernière fois, mais il y a encore du travail”. Encouragez l’enfant à se comparer à lui-même et pas aux autres, la pression sera moins grande.”

Comment pouvons-nous aider les enfants un peu plus âgés ? A.V. : “Lorsqu’un enfant grandit, le jugement des camarades prend de l’importance. Beaucoup de jeunes se sentent mal à l’aise et préfèrent les contacts virtuels via

l’ordinateur aux contacts sociaux réels. Je trouve donc judicieux que les instituteurs donnent des travaux de groupe, qui invitent les jeunes à se rendre chez leurs copains de classe et à découvrir leur monde, avec les bons et moins bons côtés. L’ordinateur rend les choses plus belles qu’elles ne le sont en réalité. Le besoin de perfection apparaît également lorsque l’on se concentre sur un domaine : l’école ou un loisir bien précis. C’est pourquoi il est bon de faire découvrir différents domaines aux jeunes. Si ça ne fonctionne pas bien à un niveau, il y a ainsi encore d’autres possibilités. Les jeunes résistent mieux aux obstacles s’ils ont plus de possibilités de retomber sur leurs pieds.”

Comment aider les jeunes qui se replient sur eux-mêmes et ne se lient pas facilement avec les autres ?A.V. : “Vous pouvez les motiver, mais sans les forcer. Il est important qu’ils prennent l’initiative eux-mêmes. Ces changements ne doivent pas se faire du jour au lendemain. Il vaut mieux discuter avec le jeune pour savoir où il souhaite arriver, ce qu’il souhaite atteindre et par quelles étapes vous pouvez

Troubles alimentaires, peur de l’échec, stress, solitude… La liste des troubles émotionnels et psychiques qui touchent de plus en plus de personnes en Belgique est longue et inquiétante. Une étude a révélé qu’un tiers d’entre nous ne se sent pas bien dans sa peau. Les tourments se manifestent en outre de plus en plus tôt. Comment préserver nos enfants de ces maux ? Que peuvent faire les parents, les instituteurs et les proches pour encourager l’enfant à avoir une bonne image de lui ? Profil s’est entretenu avec An Vandeputte de Eetexpert, un centre de connaissances spécialisé dans les problèmes alimentaires et de poids chez les jeunes.

TROUBLES PSYCHIQUES DES ENFANTS ET DES JEUNES GENS comment l’estime de soi peut-elle aider ?


l’y aider. La solidarité à la maison est très importante, tant pour les enfants que pour les jeunes gens. Procéder étape par étape avec eux et attirer l’attention sur les points positifs est une excellente base. Une période difficile pour les adolescents est le passage de l’école primaire à l’école secondaire. Alors que l’école primaire est petite et agréable, au secondaire, les jeunes se retrouvent en terrain inconnu et ne sont plus qu’un visage parmi tant d’autres. Nous constatons beaucoup plus qu’avant que beaucoup de jeunes préfèrent ne pas attirer l’attention et se fondre dans le décor.”

Quel est l’impact des médias (sociaux) sur les jeunes ?A.V. : “Une étude a démontré que se plonger trois minutes dans les “magazines” fait déjà baisser l’estime de soi et rend les jeunes moins à l’aise par rapport à leur propre corps. Notre société est tellement orientée médias que nous pouvons difficilement y échapper, mais nous pouvons apprendre aux jeunes à être critiques face aux images. Notre asso ciation fournit par exemple du matériel à utiliser en classe : un DVD expli-quant le principe de Photoshop à l’aide d’un exemple parlant. Nous expliquons aux jeunes que toutes ces images par-faites sont trompeuses, ce qui est également le cas des médias sociaux comme Facebook ! Vous y trouvez toutes sortes d’histoires menées tambour battant : de belles personnes, des vacances magnifiques, un bon repas… rien que du bonheur. Conséquence ? Des jeunes angoissés qui pensent que leur vie n’est pas si géniale que ça. C’est pourquoi nous soulignons l’importance des contacts réels pour tout le monde, à l’école, au club de sport, à la maison… Les histoires vraies qui y sont racontées annuleront partiellement l’impact des médias et de toutes ces images.”

Un adolescent résiste mieux aux médias qu’un autre. Concrètement, comment procédez-vous par exemple avec une jeune fille qui développe un trouble alimentaire à cause d’images retouchées ?A.V. : “Si une jeune fille montre des signes avant-coureurs d’un problème, par exemple d’un trouble alimentaire, il ne faut pas focaliser sur ce problème. Essayez de vous concentrer sur le côté sain de la jeune fille

et soulignez également les choses qui vont bien. Parler est essentiel, mais pas en partant d’un diagnostic ou d’une étiquette. Dites que vous êtes inquiet par rapport à sa manière de s’alimenter et invitez-la à chercher des solutions avec vous. Dirigez-la vers une aide professionnelle et gardez surtout le contact avec elle. Pour certains adolescents, un problème alimentaire est une sorte de repère dans la jungle. Si quelqu’un dit : “Tu as quelque chose de dangereux en main, donne-moi ça”, l’adolescent va encore plus s’y accrocher !”

Vous travaillez surtout à la prévention. Cette approche des troubles psychologiques a-t-elle également changé au fil des années ?A.V : “Nous nous souvenons encore tous des cours que nous avions à l’école sur toutes sortes de troubles et de dépendances. Mais “faire peur” ne fonctionne pas chez les jeunes. Dans les années 90, des chercheurs se sont fait une meilleure idée de ce qui rend les jeunes plus résistants : encourager l’estime de soi, un esprit critique face aux médias et la solidarité a un effet préventif.

L’image que nous avons de nous dirige notre comportement. C’est donc

également le cas des réac-tions que nous recevons.

Si nous pensons être bons dans un domaine, nous nous y inves-tissons davantage et en recevons un écho positif qui nous fait à nouveau évoluer. Un

cercle vertueux est ainsi enclenché, tant à

l’école qu’à la maison.”

Profil remercie An Vandeputte, coordinatrice de Eetexpert et créatrice

de eetstoornis.be, pour son aimable collabora-tion. Pour plus d’informations sur l’estime de soi chez les enfants et les jeunes, rendez-vous sur www. eetexpert.be (site en néerlandais).

A LIREPour en apprendre davantage sur l’estime de soi grâce au carnet de jeux pour enfants de 8 à 12 ans ‘Je suis trop cool !’, disponible sur www. bonpourvou.be/brochures.

“Les jeunes sont plus résistants aux revers de l’existence, s’ils sont mieux armés pour y faire face.”An Vandeputte


Pourquoi davantage de femmes souhaitent-t-elles accoucher par césarienne ?R.G. : “Ce n’est pas aussi simple. Les césa-riennes sont effectivement plus nombreuses, mais seule une minorité est réalisée à la demande de la patiente. Les gynécologues sont de plus en plus soumis à la pression de mettre ‘l’enfant parfait’ au monde et optent dès lors parfois pour une césarienne. Accoucher par voie basse ou par césarienne n’est pas une science exacte. Il y a une zone intermédiaire, dans laquelle la meilleure option n’est pas toujours évidente et dans ces cas, les médecins opteront aujourd’hui plus facilement pour une césarienne.”

La formation des médecins joue-t-elle un rôle ?R.G. : “Je crains en effet que les médecins qui sont formés à l’heure actuelle aient plus tendance à pratiquer une médecine défen-sive et optent donc plus facilement pour une césarienne. Ils tombent ainsi dans une spirale négative, puisque si le premier accouchement d’une femme se fait par césarienne, les suivants aussi. En un mot, la meilleure manière d’éviter une césarienne est d’opter pour un accouchement par voie

basse la première fois. Les éventuels deuxième et troisième accouchements pourront ainsi se faire plus facilement par voie basse. La clé pour réduire le nombre de césariennes est donc ce premier accouche-ment.”

A.C. : “En effet. C’est pourquoi il est essentiel de sensibiliser les futures mamans aux risques liés à une césarienne sans raison médicale et à l’importance d’accoucher par voie basse la première fois. Ce serait déjà un grand pas en avant.”

Quels sont les risques liés à une césarienne ?A.C. : “Une césarienne est et reste une intervention chirurgicale. Les risques sont donc plus importants qu’en cas d’accouche-ment par voie basse. Il faut aussi souligner l’existence de risques tant pour la mère que pour l’enfant. Le bébé peut ainsi connaître des complications respiratoires, très certainement en cas de césarienne anti-cipée. Une césarienne ne doit de préférence pas être réalisée avant la 39e semaine de grossesse, car l’immaturité néonatale et la morbidité sont plus importantes. Pour les mères, les risques d’infection et le risque de complications lors d’une prochaine

grossesse sont plus importants. L’hospitali-sation est également plus longue et son coût est donc plus élevé pour la patiente et l’assurance maladie.”

Est-il donc raisonnable que 15 % des gynécologues répondent favorablement à une demande de césarienne, comme l’a révélé une enquête de l’association flamande d’obstétrique et de gynécologie ?R.G. : “Je peux les comprendre jusqu’à un certain point. Le raisonnement de ces médecins est en effet qu’il n’y a parfois pas suffisamment de bons arguments pour ne pas opter pour une césarienne. Certains médecins subissent en outre parfois la pression de ne pas ‘perdre’ de patientes, car ce n’est pas bon pour le financement de leur hôpital. Si une femme souhaite une césarienne et que le médecin refuse, le risque est en effet grand qu’elle obtienne ce qu’elle veut ailleurs. Ou imaginons que le médecin opte pour un accouchement par voie basse malgré la demande de la femme, que quelque chose se passe mal et que la femme porte plainte. Ce facteur intervient également.”

Le nombre de césariennes est en hausse, en Belgique comme au niveau international. Une enquête récente a en outre révélé que 15 % des gyné-cologues répondent favorablement à la demande d’une patiente de réaliser une césarienne. Les risques sont pourtant plus importants qu’en cas d’accouchement par voie basse. Comment pouvons-nous inver ser cette tendance ? Entretien avec Ronny Goethals, chef du département de gynécologie et directeur médical adjoint de l’AZ Maria Middelares à Gand, et Ann Ceuppens, Médecin expert des Mutualités Libres !

De plus en plus de CÉSARIENNES

sans raison médicale…


Comment pouvons-nous sensibiliser les médecins et les futures mamans ?A.C. : “En tant que mutualité, nous pouvons très certainement jouer un rôle important dans l’information sur les risques d’une césarienne, pour la mère comme pour l’enfant. Sans perdre de vue qu’il y a parfois de réelles indications médicales pour une césarienne et que cette intervention peut sauver des vies. Nous souhaitons bien entendu aussi éviter le scénario inverse, à savoir des femmes qui refusent une césarienne alors que la situation l’exige.”

R.G. : “Il revient en outre également aux centres de formation et hôpitaux universi-taires d’accorder davantage d’attention à l’importance de ce premier accouchement par voie basse. Si les médecins pratiquent de plus en plus de césariennes, ils maîtrise-ront moins les accouchements par voie basse. Nous serons alors confrontés à un problème de qualité qui peut constituer une menace pour la santé publique. Pensons par exemple à une césarienne pratiquée au cours de la 32e semaine, alors que l’accouche ment aurait encore pu être reporté. Cela alourdit les soins néonataux. Les centres de formation et hôpitaux universitaires ressentent toutefois de plus en plus la pression de mettre ‘l’enfant parfait’ au monde et font donc clairement comprendre aux futurs médecins qu’ils ne peuvent pas se permettre le moindre doute à ce niveau. C’est un problème et j’appelle donc ces établisse ments à enseigner l’obstétrique de la manière la plus correcte et objective possible.”

A.C. : “Une autre manière de sensibiliser les médecins serait la publication des chiffres par hôpital. Si les chiffres relatifs au nombre d’accouchements par voie basse et de césariennes par hôpitaux sont rendus publics, les médecins seront peut-être plus enclins à opter pour un accouchement par

voie basse. Informer uniquement le patient ne suffit pas. Pour endiguer le nombre croissant de césariennes, nous devons viser une approche plus large.”

Et il y a encore évidemment l’aspect financier…R.G. : “En effet, une césarienne coûte plus cher, tant pour l’assurance maladie que pour la patiente. C’est pourquoi je plaide pour l’introduction d’un honoraire d’urgence pour un accouchement par voie basse. Les gynécologues recevraient ainsi un com-plément lorsqu’ils réalisent un accouche-ment par voie basse la nuit ou le week-end. Pour l’instant, l’honoraire est toujours le même, que ce soit en journée, la nuit, en semaine ou le week-end. Ce n’est pas logique. Si l’INAMI créait ce soutien financier, les gynécologues seraient peut-être encouragés à déclencher l’accouche ment moins rapidement et à opter plus souvent pour un accouchement par voie basse.”

A.C. : “Une césarienne sans raison médicale est en effet le plus souvent planifiée et représente donc de ‘l’argent facile’ en comparaison avec un accouchement par voie basse. Dans ce dernier cas, le gynécologue doit en effet être en attente pendant plusieurs heures, ce qui n’est pas le cas pour une césarienne.”

R.G. : “Je me rends bien compte que cet honoraire d’urgence serait peut-être nécessaire pour 50 % des accouchements et engloutirait donc une bonne partie du budget. Il serait toutefois bénéfique à la santé publique et aura au final des retombées financières positives. Le nombre de césariennes en serait réduit et la durée d’hospitalisation raccourcie.”

Profil remercie le Docteur Ronny Goethals, chef du département de gynécologie et directeur médical adjoint de l’AZ Maria Middelares à Gand, et le Docteur Ann Ceuppens, Médecin expert des Mutualités Libres, pour leur précieuse collaboration.


Si la météo vous décourage des entraînements extérieurs, vous pouvez pratiquer à l’intérieur la ‘position de la chaise’. Cela consiste à prendre la position assise, cuisses bien horizontales sur un siège imaginaire. Au début, n’hésitez pas à prendre appui contre un mur. Répétez l’exercice autant que possible sur une journée.

Vous pouvez aussi demander qu’on vous concocte un programme spécial ‘sports d’hiver’ dans votre salle de fitness.

S’ACCLIMATERL’heure du départ a sonné ! Si une bonne préparation est impor-tante, être en pleine forme au moment de skier l’est tout autant. Vous n’y arriverez pas en vous crispant derrière votre volant pendant douze heures pour arriver le vendredi à midi et dévaler les pentes le samedi matin ! La fatigue de la route et le manque de sommeil auront considérablement réduit vos capacités de réaction. En outre, votre organisme n’est pas habitué à l’air raréfié de l’altitude. Prenez le temps de dormir, de faire une bonne promenade, de vous détendre sur une terrasse ensoleillée. Vous êtes en vacances, non ?

BLANC : NEIGE ou PLÂTRE

Tapis blanc, soleil, bonnets et lunettes noires… Les stations de ski attirent chaque année les fanas des sports d’hiver ! En route pour les sommets montagneux ! Mais attention, il serait dommage d’échanger vos bâtons de ski contre des béquilles…

ENTRAÎNEMENT Que vous pratiquiez le ski alpin, le ski de fond ou le snowboard, avant tout il est important d’être en bonne condition physique ! De plus, des vacances de neige réussies dépendent aussi d’une bonne préparation qui doit commencer deux à trois mois avant le départ.

Votre état général doit être satisfaisant. Un peu de vélo et de jogging vous aideront à atteindre cet objectif à un prix… d’ami ! Il faut, de plus, que certains muscles et ligaments soient spécifique-ment préparés. Les jambes vont devoir travailler ! L’idéal est de pouvoir vous entraîner intensivement sur une piste artificielle. A défaut, le patinage est également indiqué. S’il n’y a pas de piste synthétique près de chez vous, d’autres méthodes donnent également de bons résultats.

RENFORCER LES MUSCLES Un seul mot d’ordre : renforcer les muscles des cuisses et solliciter vos genoux car la pratique du ski va les mettre à rude épreuve !

Le vélo est un excellent moyen d’entraînement. Prenez soin de diminuer sensiblement la hauteur de la selle et ne pédalez pas avec la partie avant des pieds, mais poussez plutôt sur les talons ! Cette technique, absurde au niveau cycliste, ne vous permettra sûrement pas de gagner Paris-Roubaix, mais elle est excellente pour muscler les cuisses.


SOINS MÉDICAUX À L’ÉTRANGER : MEDIPHONE ASSISTDu fait de votre affiliation auprès de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une assurance assistance de voyage, et pouvez faire appel à la centrale d’assistance Mediphone Assist en cas de problème de santé urgent. Ceci vaut en cas d’hospitalisation ou pour les soins ambulatoires consécutifs à un accident de sports d’hiver.

QUE POUVEZ-VOUS ATTENDRE DE MEDIPHONE ASSIST ?• Assistance à l’étranger : Mediphone Assist fournit des conseils

médicaux, informe la famille, organise, si nécessaire, un rapatriement en Belgique et en règle la facture.

• Remboursement a posteriori : Mediphone Assist rembourse tous les frais médicaux urgents à votre retour en Belgique. Remettez les factures originales à la mutualité. Les frais médicaux relatifs à des soins ambulatoires consécutifs à un accident de sports d’hiver sont remboursés intégralement. Il en va de même pour les frais de transport vers un hôpital après un accident ou pour cause de maladie, ainsi que pour les frais de secours sur piste.

• Information : Mediphone Assist vous informe sur l’offre médicale disponible là où vous séjournez.

BON À SAVOIR!• En cas d’hospitalisation ou d’accident de sports d’hiver, appelez

Mediphone Assist au plus vite (et dans tous les cas, endéans les 48h).

• Restez sur les pistes ! Le ski ou le snowboard hors-piste sont considérés comme des comportements risqués et ne sont pas couverts. Il en va de même pour les accidents ou les maladies sous l’influence de l’alcool, de somnifères ou de produits stupéfiants.

• Pour bénéficier de l’assistance de Mediphone Assist, vous devez être en règle de cotisations mutualistes et être domicilié en Belgique (exceptions : travailleurs frontaliers et détachés, et retraités vivant à l’étranger).

• La couverture ne vaut que pour des soins médicaux urgents et non planifiés

S’ÉCHAUFFER… ET SE DÉCONTRACTERVous voilà donc en pleine forme, heureux et détendu, prêt à chausser vos ski ! C’est le moment de songer à l’échauffement. En effet, les sports d’hiver se pratiquent dans un environnement froid, peu favorable à la musculature humaine. Des mouvements de stretching et d’assouplissement sont donc conseillés. Ne les pratiquez pas à l’hôtel avant le petit-déjeuner, ni en attendant le remonte-pente, mais plutôt immédiatement avant d’entamer une descente. Prenez donc votre temps en arrivant au sommet et pratiquez des mouvements pour détendre et réchauffer vos muscles.

De même, pratiquez des mouvements de décontraction en fin de journée afin de limiter au maximum les courbatures du lendemain.

CE MAUDIT TROISIÈME JOUR Les skieurs confirmés se méfient du… troisième jour. Ils savent que c’est le moment où se produisent souvent les accidents. Les recherches scientifiques nous fournissent des explications rationnelles.

On constate que le premier jour, les muscles des skieurs présentent une coloration d’un beau rouge sombre : le sang y circule abondamment. Le deuxième jour, les muscles sont plus roses et donc moins irrigués. Et le troisième jour, ils sont devenus presque blancs. Au cours des jours suivants, la circulation sanguine revient à la normale. Ce phénomène apparaît chez tous les skieurs, débutants ou champions.

Alors le troisième ou le quatrième jour, n’ambitionnez rien de plus compliqué que les pistes bleues, avec vos enfants par exemple, ou profitez d’une terrasse et des joies de l’après-ski !

LA TÊTE AU CHAUDPas de bonnes performances sans une excellente protection isotherme ! L’influx nerveux est en veilleuse et la flexibilité des muscles, des articulations et des ligaments sera moindre dans un corps refroidi. Donc moins de force, de souplesse et de coordination. Un visage au vent glacé diminue le rythme cardiaque. Il faut vous habiller chaudement et ne pas oublier de vous couvrir la tête ! Rien ne sert d’empiler des couches de pulls si votre crâne reste exposé au froid, et n’oubliez pas vos gants. Important : veillez à porter des lunettes protectrices, le soleil et la réfraction intense sur la neige peuvent occasionner de sérieux problèmes ophtalmologiques !

Mettez en pratique tous ces bons conseils et passez de bonnes vacances !

NOUVEAU AU 1ER JANVIER 2015Si vous faites appel à un médecin sur place pour un petit bobo, vous devez, dès votre retour, envoyer vos papiers et dépenses acquittées à la mutualité. Depuis le 1er janvier 2015, une avance vous est octroyée le plus rapidement possible et vous ne devrez plus attendre aussi longtemps pour être remboursé.

COMMENT CONTACTER MEDIPHONE ? ✔ Appelez la centrale d’assistance Mediphone Assist dans les

48 heures au T. +32 (0) 2 778 94 94.

✔ Vous pouvez joindre Mediphone Assist 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.

SOINS MÉDICAUX À L’ÉTRANGER


ELEPHANT CAMPS7-17 ans INTERNAT

Camp Full Skate • Camp Surf & Beach • les deux peuvent être combinés avec du wakeboard

Elephant Camps organise des camps sportifs encadrés en néerlandais pour les enfants de 7 à 17 ans. Un encadrement professionnel veille à ce que vos enfants vivent des vacances inoubliables. Outre le skate, de nombreuses autres activités ludiques et nautiques sont organisées en intérieur, ou à l’air libre, comme sur la plage de Wenduine, que les enfants peuvent rejoindre en VTT. L’hébergement est assuré dans des bus aménagés et concourt à l’esprit sympa, original et actif de ces vacances solidement encadrées !

En tant que client de la Mutualité Partena, vous béné-ficiez de 10% de réduction.

www. elephantcamps.be (site en néerlandais)

SÉJOURS LINGUISTIQUES ROELAND9-19 ans INTERNAT

Séjours linguistiques en néerlandais et en anglais en Flandre et en Grande-Bretagne

L’asbl Roeland s’appuie sur 44 années d’expérience dans l’apprentissage créatif des langues. Cette organisation pratique l’immersion linguistique totale dans toute les activités proposées, le tout grâce à une méthode créative et ludique, servie par une atmosphère de groupe unique. Les animateurs expérimentés ont au moins 18 ans.

En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 10 euros sur les stages ne comportant pas d’hébergement, de 20 euros sur les stages avec hébergement de 6 ou 7 jours, et de 30 euros sur les stages avec hébergement de 10 à 13 jours.

www. roeland.be/fr

IDEE KIDS 3-12 ans INTERNAT & EXTERNAT

Des camps de vacances • 24 endroits en Région flamande et à Bruxelles

Vous cherchez un chouette camp pour vos enfants, qui leur apportera une valeur ajoutée sur le plan pédagogique ? L’asbl Idee Kids est le plus grand organisateur de camps en externat du pays, tout en proposant aussi certains séjours en internat. Ces camps, organisés et encadrés en néerlandais, offrent un grand choix de projets proposant beaucoup d’activités sportives, ludiques et de bricolage. Les moniteurs expérimentés ont au moins 19 ans et ont tous une formation pédagogique. Nouvelle localisation pour un camp organisé en Région bruxelloise en 2015, sur le campus de la VUB, à Etterbeek.

En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 10 euros par camp auquel vos enfants participent.

www. ideekids.be (site en néerlandais)

VACANCES POUR ENFANTS ET JEUNES GENSVous cherchez des occupations pour vos enfants pendant les vacances? Cette année encore, Partena a soigneusement sélectionné des partenaires à la qualité éprouvée. En tant que client de la Mutualité Partena, vous profitez en outre de très belles réductions. Vacances sympas, à l’aventure, créatives et enrichissantes, stages linguistiques, camps de vacances en externat, à la mer ou à l’étranger… Il y a tout ce dont les enfants et jeunes gens de 3 à 22 ans peuvent rêver. Adressez-vous directement à nos partenaires si vous souhaitez des informations complémentaires ou effectuer une réservation.

DES VACANCES JEUNES POUR TOUS AVEC LA MUTUALITÉ PARTENA


KONING KEVIN 5-22 ans INTERNAT & EXTERNAT

Spécialisé dans le travail créatif et personnalisé • échelle réduite • en Belgique et à l’étranger

Koning Kevin organise depuis plus de 30 ans des vacances créatives encadrées en néer-landais pour les enfants et les jeunes gens, en jouant la carte de l’ambiance familiale, de petits groupes, de l’aspect ludique, de la créativité et de moments prodigieux. Cette organisation attache aussi un soin particulier à la qualité et à la variété de l’alimentation, ainsi qu’au cadre de l’hébergement. Il existe aussi des formules plus courtes pour permettre aux plus jeunes de s’habituer à l’esprit du camp, et une offre spéciale pour les plus de 18 ans, aussi en septembre. En partant avec cette organisation, vos enfants auront l’occasion de participer pleinement à l’élaboration du contenu de leurs vacances !

En tant que client de la Mutua-lité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 15%.

www. koningkevin.be (site en néerlandais)

CHAT BOTTÉ 3-15 ans INTERNAT

Centre de vacances familial à la mer

Le Chat Botté est un centre de vacances à l’agréable atmos phère familiale, au Coq-sur-Mer. Depuis 1947, la famille Dissmann y accueille chaleureuse ment et régale des générations d’enfants. Il propose de très nombreuses activités culturelles, sportives et linguistique à des groupes bilingues. L’encadrement est assuré exclusivement par des moniteurs diplômés, suivant ou ayant suivi une formation pédagogique.

En tant que client de la Mutua-lité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 10%.

www. chatbotte .be

VACANCES JEUNES OUTSIDE3-19 ans INTERNAT & EXTERNAT

Vacances ‘aventure’ et actives • en Belgique et à l’étranger

Les stages organisés et encadrés en néerlandais sont centrés sur les activités sportives, les langues ou la créativité, le tout baignant dans une atmosphère d’aventure. Tous les moniteurs sont des enseignants diplômés en éducation physique ou en langues modernes, rompus aux activités qu’ils encadrent et animent.

En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 8% sur les séjours en Belgique et de 3% sur les séjours à l’étranger.

www. outsidejongerenvakanties.be (site en néerlandais)

VACANCES VIVANTES 3-18 ans EXTERNAT & INTERNAT

En Belgique et à l’étranger • Accent éducatif

VACANCES VIVANTES (3-18 a)Vacances Vivantes organise depuis plus de 35 ans des séjours où vos enfants appren-dront à vivre et à s’exprimer au sein d’un groupe et à s’épanouir socialement Grand choix d’activi tés, de l’équitation aux ateliers de danse et de comédie, en passant par les stages linguis tique ou d’informatique, sans oublier les vacances spor tives, le ski, le snowboard, ou encore les voyages culturels …

PLAINES DE JEUX (KIDS’ DAYS) (3-14a )Amusement garanti pour les enfants. Possibilité d’inscription à la journée, repas chaud fourni.

En tant que client de la Mutua-lité Partena, vous bénéficiez d’une réduction de 30% sur les séjours en Belgique et de 20% sur les séjours à l’étranger (jusqu’à 18 ans accomplis !). Pour les Kids’ Days, la réduction est de 2 euros par jour et par enfant.

www. vacancesvivantes.be

AVANTAGE SUPPLÉMENTAIRE PARTENA• Outre la réduction accordée par les organisateurs des activités et séjours, vous

bénéficiez, grâce au Package d’avantages, d’un remboursement annuel de 40 euros par enfant pour les activités s’étendant sur plusieurs jours. Téléchargez le formulaire de remboursement sur www. partena-mutualite.be/formulaires.

• Une attestation fiscale est délivrée par l’organisateur pour chaque participant jusqu’à 11 ans accomplis. La déductibilité fiscale est limité à 11,20 euros par jour.

profil janvier 2015 31

A chacun son SAUNALes saunas et les bains de vapeur sont un véritable bien-fait pour la santé. Le corps se purifie de ses toxines et l’esprit se détend. Il existe cependant de nombreux types de saunas et de bains de vapeur, avec leurs caracté-ristiques propres. Découvrez celui qui vous convient.

LE BAIN TURC La température et la vapeur font s’ouvrir les pores, qui permettent l’évacuation des toxines et à la peau de paraître plus fraîche et plus éclatante. Le bain turc est aussi parfait pour les voies respiratoires, qu’il contribue à dégager.

LE HAMMAM MAROCAINLe gommage et la douche renouvellent la peau. Au Maroc, le hammam a une signification religieuse symbolique de pureté. Cette perception rejoint le fameux ‘un esprit sain dans un corps sain’ de l’Antiquité romaine ! Après être passé au hammam, le corps éprouve un réel sentiment de renaissance.

LE SAUNA SUÉDOISLa combinaison de la chaleur extrême et du froid glacial permet aux muscles de se relâcher. La tension artérielle baisse et la circulation sanguine s’en trouve améliorée. L’interaction du chaud et du froid stimule fortement les cellules cutanées et donne une peau bien ferme.Notre conseil ! Des douches alternant le chaud et du froid vous permettront de bénéficier d’un effet ‘sauna suédois’. Passez de l’eau chaude à l’eau froide. Vous remarquerez des picotements de la peau qui vous donneront un véritable boost d’énergie.

LE SAUNA INFRAROUGEIl assure une meilleure irrigation des muscles et des articulations. Ce sauna est particulièrement efficace après une activité sportive, en permettant l’évacuation rapide des impuretés. Il favoriserait aussi la résistance. Et cerise sur le gâteau, il brûle des calories et réduit la cellulite.

LE SAUNA À OXYGÈNEL’oxygène est parfois comparé à une fontaine de jouvence. Le processus de vieillissement va de pair avec une réduction de la capacité de prise d’oxygène. Ici, on respire de l’oxygène concentré. Attention, ce type de sauna est déconseillé aux femmes enceintes et aux personnes souffrant de problèmes pulmonaires ou cardiaques.

Sans oublier les nombreuses autres variantes de sauna. A vous de choisir !

BIEN-ÊTRE

Wu Wei est un centre de bien-être et un hôtel 4 étoiles, niché dans un oasis de verdure à Courtrai, disposant notamment de piscines intérieures et extérieures à 32 degrés, d’un hammam traditionnel, de 3 saunas originaux, de douches sensorielles, d’un bain japonais, …

Wu Wei offre des réductions aux clients de la Mutualité Partena.

FORFAIT 1: UNE JOURNÉE BIEN-ÊTRE POUR 2Profiter pendant toute une journée des espaces partagés de bien-être avec les piscines intérieures et extérieures, les saunas, le hammam, les solariums et les différents espaces de repos.

Prix pour les clients de la Mutualité Partena 49 euros pour 2 personnes au lieu de 69 euros.

FORFAIT 2: UNE JOURNÉE À SAVOURER À 2Outre une journée de bien-être sans limites, profitez d’un traitement pour 2 personnes au choix comprenant un soin du visage ou du dos.

Prix pour les clients de la Mutualité Partena 149 euros pour 2 personnes au lieu de 189 euros.

PLUS D’INFO OU RÉSERVER ?Surfez sur www. wuwei.be ou formez le T. 056 29 01 00. Précisez que vous réservez un forfait de la Mutualité Partena. Wu Wei: Kongoweg 23, 8500 Kortrijk.


SENIOR DEPARTMENTpour épicuriens à partir de 50 ans Bénéficiez des offres avantageuses de la Mutualité Partena en collaboration avec notre partenaire Senior Department (Lic. A 1802)

CIRCUIT CULTUREL EN TURQUIE OCCIDENTALEDu 5 au 19 juin et du 11 au 25 septembre 2015

Combinaison d’un circuit culturel d’une semaine en pension complète et d’une semaine de détente à l’hôtel Ideal Prime Beach 5 * à Marmaris en formule all in. Le circuit vous fera découvrir le riche héritage grec et romain en Turquie occidentale au fil des visites d’Ephèse et de son fameux amphithéâtre, de la cité oubliée de Salagassos et de ses champs de fouilles, d’Aphrodisias et de son stade, le plus grand du monde grec antique, et de la légendaire cité d’Hiérapolis, nichée au sommet de la colline calcaire de Pamukkale.

Compris dans le prix : séjour en pension complète pendant le circuit et en all in lors du séjour à l’Hôtel Ideal Prime Beach 5* à Marmaris, Vols Brussels Airport - Bodrum - Brussels Airport, guide officiel tout au long du circuit, accompagnateur AEP Senior Department, entrée aux sites et musées, transport en autocar confortable, assurance assistance.

Prix par personne pour les clients de la Mutualité Partena Chambre double : 950 euros Chambre individuelle : 1.150 euros

UN WEEK-END D’ÉVASION AU COQBesoin de quelques jours de repos ? En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez de réductions exclusives dans 2 hôtels, nichés au cœur de la pittoresque station balnéaire du Coq-sur-Mer. Réputé pour son quartier des concessions en style Belle Epoque, l’endroit constitue un havre de paix rêvé pour décompresser. La plage, la digue de mer mais aussi la riche nature des environs vous invitent à la promenade, à la balade à vélo, ou tout simplement à profiter de ces moments à ne rien faire. Les deux hôtels ont obtenu le label ‘résidences vélos admis’ pour les facilités et services offerts aux cyclistes.

HÔTEL ASTORIA• Hôtel de style art-déco, construit en 1930, mais récemment

rénové. • Une grande salle de jeux et de petites plaines de jeux dans les

environs pour les plus petits.• 65 grandes chambres répondant aux exigences du confort

moderne.

HÔTEL APOSTROPHE• L’ Hôtel Apostrophe compte 8 charmantes chambres doubles,

avec salle de bains.• Télé digitale écran plan avec radio et connexion Internet.• Atmosphère artistique et littéraire.

RÉDUCTION PARTENA DE 20% En tant que client de la Mutualité Partena, vous bénéficiez

d’une réduction Partena de 20% sur les tarifs de la chambre avec petit-déjeuner.*

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PLUS D’INFO SUR CES VOYAGES ET D’AUTRES OFFRES DE SENIOR DEPARTMENT ?T. 02 648 98 23 - [email protected] www. seniordepartment.be

Vous souhaitez un complément d’info ou réserver ?• Hôtel Astoria, Leopoldlaan 7, 8420 De Haan - T. 059 24 24 11

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Partena, le réflexe sain.• Mutualité Libre

• Hospitalia & Dentalia Plus

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A votre service

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Guichet on-line PartenaEn ligne avec la mutualité… 7 jours sur 7! Commander ou imprimer des vignettes, télécharger des formulaires de demande d’intervention, suivre votre dossier… c’est possible où et quand vous le souhaitez, sur www. partena-guichetonline.be.

www. partena-mutualite.be /contactPosez votre question grâce au formulaire de contact disponible sur notre site, nous serons heureux de vous venir en aide.

Service clientèleDes questions ? Posez-les à nos collaborateurs au T. 02 201 42 42. Nous sommes à votre écoute du lundi au jeudi de 8 à 18h, le vendredi de 8 à 17h. Et même le samedi, de 9 à 12h.

Agences : aussi sur rendez-vousVous aimez passer en agence? Nous serons heureux de vous accueillir pendant nos heures d’ouverture. Ou prenez rendez-vous au moment qui vous convient. Plus d’info à ce propos sur www. partena-agences.be.

Point de contactSatisfait ? Dites-le autour de vous ! Mécontent ? Dites-le nous ! Faites-le sur www. partena-mutualite.be/pointcontact ou formez le T. 0800 21 040. Nous étudions toutes les réactions et trouvons avec vous la solution la plus appropriée.

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Profil 132 édition janvier 2015