Programme Culturel Avril - Juin 2014

CINÉMA DU MERCREDIGoethe-Institut, Salle Weimar, 19h30 Entrée libre

Les photographes Bernd et Hilla Becher (2010)Un documentaire de Marianne Kapfer

Les photographes Bernd et Hilla Becher travaillent ensemble depuis 1957. Ils ont surtout documenté et classifié l’architecture industrielle, qui disparaît du paysage moderne. Avec leur approche minimaliste, ils font partie d’un courant de l’art conceptuel qui est né dans les années 60. Leurs œuvres sont considérées comme une étude des premières formes de l’industrialisation et sont exposées aujourd’hui dans les plus grands musées d’art du monde. Le film montre leurs premiers pas dans le domaine de la documentation de l’architecture industrielle du 19ème siècle et guide le spectateur à travers la ré-trospective de leur travail dans le « Hamburger Bahnhof » à Berlin. Bernd Becher est décédé en 2007. (VO sous-titré en français)

21.05.2014

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Goethe-Institut Sénégal Rue de Diourbel x Piscine Olympique, Point EB.P. 25862 - C.P.12524, Dakar, SénégalTél. : +221 33 869 88 80, Fax : +221 33 825 13 [email protected], www.goethe.de/dakar

PROGRAMMECULTURELDAKARAvril - Mai - Juin 2014

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Shanghai Fiction (2008)Un documentaire de Julia Albrecht et Busso von Müller

Shanghai : un gigantesque océan d’habitations et de gratte-ciels. À l’opposé, une idylle bucolique au bord de l’immense fleuve Huangpu. Grâce à des montages contrastés et intelligemment agencés, SHANGHAI FICTION raconte l’histoire de quatre individus de générations et d’ori-gines sociales différentes dans le Shanghai d’aujourd’hui et jette un œil derrière la façade de l’ascension sociale et économique de la Chine.

« Les réalisateurs Julia Albrecht et Busso von Müller parviennent à représenter de manière exemplaire, via l’association cinémato-graphique complexe de quatre vies, la désillusion personnelle et la perte des valeurs sociales. Les montages associant extraits vidéo privés et archives historiques font admirablement le lien entre les utopies sociales perdues et l’isolement dans le monde globalisé d’aujourd’hui. » (Motif de l’attribution du Prix du film documentaire 2009 du Goethe-Institut) (VO sous-titré en français)

VERNISSAGE – CONCERT Goethe-Institut, Salle Weimar, 19h00 Entrée libre

Gardiens du templeavec Mamadou Gomis, Fatou Kandé Senghor, Ibrahima Thiam, ICAN, Pierre Gosse Diouf *Exposition jusqu’au 04.07.2014, Du lundi au vendredi de 09h00 à 17h00

GARDIENS DU TEMPLE est une exposition de photographies, pein-tures, vidéos et textes qui propose des questions et regards croisés sur les rues de Dakar, la société sénégalaise et ses évolutions au travers du prisme des gardiens. Qui sont les gardiens des rues? Com-ment se développe ce temple économique, social, urbain? Qu’en ont à dire les gardiens de la culture? De nombreux artistes participeront au vernissage-concert du 12 juin sous le parrainage de Matador et Didier Awadi. La soirée devrait aussi réserver de belles découvertes musicales parmi lesquelles King Bangoura (R&B Guinée), Yao (chan-teur Togo) ou encore Jean-Paul Ngom (guitariste sérère).

* Programme provisoire – pour tout témoignage ou proposition de contribution artis-

tique, contacter Pierre-Emmanuel Billet avant le 08/05/2014 : [email protected]

CINÉMA DU MERCREDI Goethe-Institut, Salle Weimar, 19h30 Entrée libre

DramaConsult (2012)Un documentaire de Dorothee Wenner

DRAMACONSULT a initié une expédition ethnographique de l’Afrique vers l’Europe. Les protagonistes sont de vrais entrepreneurs de Lagos : un vendeur en pièces détachées automobiles, un concepteur immobilier et un fabricant de chaussures avec des projets ambi-tieux, qui partent accompagnés de deux conseillers en affaires pour rencontrer de futurs partenaires et investisseurs à Berlin, Francfort et Hambourg. Le film suit cette entreprise d’intervention économique comme un périple aventurier à l’ère de la mondialisation. (VO sous-titré en allemand)

CINÉMA DU MERCREDI Goethe-Institut, Salle Weimar, 19h30 Entrée libre

Im Himmel, unter der Erde (2011)Un documentaire de Britta Wauer

Au nord de la ville, caché dans un quartier résidentiel, entouré de murs et couvert d’une forêt vierge faite d’arbre, de rhododendron et de lierre, se trouve le cimetière juif Berlin-Weißensee. Aménagé en 1880, le cimetière s’étend sur 42 hectares, contient 115.000 tombes et jusqu’à aujourd’hui, on y inhume des morts. Ni le cimetière ni son archive n’ont jamais été détruit. La cinéaste Britta Wauer y est allée à plusieurs reprises et y a trouvé un endroit très vivant. Des per-sonnes des quatre coins du monde s’y rejoignent et témoignent de l’histoire juive, berlinoise et allemande en même temps – l’histoire à partir de laquelle cet endroit est fait. (VO sous-titré en français)

AU CŒUR DE LA LITTÉRATURE Goethe-Institut, Salle Weimar, 17h30Entrée libre

Cedotode ou l’enfance brisée de Casimir Aboki-Koudjo

Nul n’est prophète chez soi. La vie d’Enangnon rebaptisée Wossilatou par sa tutrice devient une cascade de circonstances. Après la mort de sa mère, emportée par le SIDA, elle part à la recherche de ses origines dans son village natal. Elle tombe enceinte de Souley, son bien-aimé, le fils de sa tutrice. Cette dernière la chasse de la maison sans savoir qu’elle porte son petit-fils. Dans les rues de Cotonou Wossilatou devra faire face aux vicissitudes de la vie.

Contribution : Mme Anta Mbow « Empire des enfants »

04.06.2014 12.06.2014

11.06.2014 18.06.2014

28.05.2014

MAI 2014 JUIN 2014


Romance et violence de Mariama Nianthio Ndiaye

Une région belle comme le Paradis et dotée d’énormes richesses naturelles, agricoles et minières entre en rébellion contre le pouvoir central. Le mari de Madina prend les armes et rejoint un groupe de rebelles qui n’épargnent pas les populations innocentes et com-mettent les pires atrocités. Lorsqu’elle apprend la mort de son mari et le rôle joué par ce dernier dans les massacres qui ont frappé la région, Madina souffre terriblement d’avoir été trahie par l’homme qu’elle aimait...

25.06.2014

BIBLIOTHÈQUE

APPRENDRE L’ALLEMAND

Les étudiants du Goethe-Institut profitent gratuitement des services de notre bibliothèque.

Accès Internet gratuit (WIFI et ordinateurs sur place) Une grande variété de documents en allemand et en français Ouvrages de référence et dictionnaires Matériel d’apprentissage « Allemand langue étrangère » Hebdomadaires allemands et périodiques sénégalais Revues spécialisées en allemand CDs et DVDs Utilisation de IPADS, FAZ en ligne

Horaires d’ouverture du lundi au jeudi de 09h00 à 17h00 et les vendredis de 09h00 à 13h00.

Nous offrons des cours d’allemand de tous les niveaux et à chaque période de l’année. Pour de plus amples informations, consulter www.goethe.de/dakar ou contactez Nina Melnikowa, responsable des cours de langue.

Nina Melnikowa, Tél. : +221 33 869 88 80, [email protected]

Le programme culturelA

VR

IL

02.04.14 CINÉMA Barbara

09.04.14 CINÉMA Die Farbe des Ozeans

16.04.14 CINÉMA Dakar Trottoirs

17.04.14 VERNISSAGE FESTIGRAFF Exposition jusqu’au 08.05.14

23.04.14 CINÉMA Black Brown White

30.04.14 LITTÉRATURE La vie sur un fil

MA

I

07.05.14 CINÉMA Carte Blanche

09.05.14 VERNISSAGE La mécanique des sols Exposition jusqu’au 08.06.14

10.05.14 VERNISSAGE Terre de la teranga Exposition jusqu’au 08.06.14

12.05.14 FILM et DÉBATNotre agenda étranger : La commissaire européenne et l’artiste sénégalais

13.05.14 VERNISSAGEVoyage dans Colobane Exposition jusqu’au 08.06.14

14.05.14 CINÉMA Gerhard Richter Painting

21.05.14 CINÉMALes photographes Bernd et Hilla Becher

28.05.14 LITTÉRATURE Cedotode ou l’enfance brisée

JUIN

04.06.14 CINÉMA Shanghai Fiction

11.06.14 CINÉMA DramaConsult

12.06.14 VERNISSAGE Gardiens du temple Exposition jusqu’au 04.07.14

18.06.14 CINÉMA Im Himmel, unter der Erde

25.06.14 LITTÉRATURE Romance et violence

VERNISSAGEGoethe-Institut, Salle Weimar, 19h30 Entrée libre

Fally Sene Sow « Voyage dans Colobane »Exposition jusqu’au 8.06.2014Du lundi au vendredi de 09h00 à 17h00

Fally Sene Sow est un jeune artiste dakarois inspiré par son envi-ronnement, le quartier Colobane de Dakar. Pour lui, c’est une source d’inspiration permanente de par ses couleurs, ses mouvements incessants, son agencement : l’ordre et le désordre de la vie quo-tidienne. Un lieu où l’on voit plein d’objets jetés et parsemés, dans lesquels se cristallisent toutes les impressions de ce quartier. Ils sont les matériaux qui conduisent à son art : « Je me demandais pourquoi continuer à peindre alors que je voyais ces objets désagrégés… Et en étant artiste, tout événements, objets, actions devient digne d’être un sujet picturale ». Le résultat sont des mises en collage de ces ob-jets jetés pressés sous verre : Ils donnent des aperçus du quotidien à Colobane, de son atmosphère et de ses couleurs, un art « purement africain, purement sénégalais, purement dakarois, purement colo-banois ». L’idée de ramasser ces objets et de les faire communiquer entre eux sous le verre révèle un contraste entre la netteté de ces derniers et leur réalité.

13.05.2014

FILM et DÉBATGoethe-Institut, Salle Weimar, 15h00Entrée libre

Daniela Swarowsky et Mansour Ciss « Notre agenda étranger : La commissaire européenne et l’artiste sénégalais »

Un documentaire sur une performance interactive créée durant la Biennale Dak’Art 2012. Il s’agit d’un dialogue discursif entre un artiste africain de la diaspora, représenté par Mansour Ciss Kana-kassy, et une commissaire européenne, représentée par la berlinoise Daniela Swarowsky. Ils discutent sur le milieu culturel international et local et sur le rôle qu’y joue l’Europe, afin de sonder les images sur « l’autre » et les stéréotypes. Le spectacle se transforme de plus en plus en une discussion émotive et attisée entre Ciss et le publique sur le rôle des artistes, les définitions possibles de l’art et les rela-tions tendus entre l’enracinement national et l’implication globale. Qui a le droit de définir « l’art africain » ? Où est-elle, l’intelligentsia africaine ? Quel rôle joue l’Europe ? Existe-t-il un vrai dialogue ?

12.05.2014FESTIGRAFF : CONFÉRENCE ET VERNISSAGE Goethe-Institut, Salle Weimar, 11h00 Entrée libre

Thème : Graffiti et espace urbain, une législation particulière au SénégalExposition jusqu’au 8.05.2014 Du lundi au vendredi de 09h00 à 17h00

Le Sénégal jouit d’une grande tolérance en matière de graffiti. Les précédentes éditions du Festigraff ont exploré avec les artistes et les universitaires invités, les fondements de cette liberté d’expression. Pour certains, elle vient en droite ligne du mouvement sénégalais « Set Setal » (wolof pour « Propre et rendre propre ») qui a émergé dans les quartiers dans les années 1980. Pour d’autres, elle prend racine dans le besoin d’éducation et de sensibilisation des popula-tions. Ou encore, elle permet de consacrer des espaces dans la ville pour transmettre des messages et garder un lieu propre et entre-tenu. L’objet de cette conférence sera donc d’aller plus loin dans la conceptualisation de cette thématique en enrichissant les échanges grâce aux visions des intervenants invités en 2014. En parallèle à la conférence nous ouvrons une exposition photo, qui retrace la vie du graffiti au Sénégal.

17.04.2014


Barbara (2012)Un film de Christian Petzold

Neuf ans avant la chute du mur : Barbara, médecin originaire de Ber-lin, avait demandé l’autorisation de quitter la RDA. Elle s’est retrou-vée en prison. À sa libération, en été 1980, elle est mutée d’office dans un hôpital de province. Tandis que l’amant de la jeune femme, à l’Ouest, prépare sa fuite via la mer Baltique, elle travaille au ser-vice de chirurgie pédiatrique. Elle fait souvent l’objet de surveillance et de contrôles. André, son nouveau responsable, semble coopérer avec des agents de la Stasi. Mais jusqu’où irait-il s’il devait découvrir ses intentions ? Toujours est-il qu’il semble approuver l’engagement de Barbara pour Stella, une jeune femme marginale. Est-il amoureux de sa collègue ? Au moment de fuir, Barbara prend une décision qui ne surprend qu’à moitié. (VO sous-titré en français)


Dakar Trottoirs (2013)Un film de Hubert Laba Ndao

DAKAR TROTTOIRS est l’histoire d’un amour singulier entre Siirou et Salla, tous deux enfants des rues, portés par leurs rêves d’adoles-cents et confrontés aux dures réalités sur les trottoirs de Dakar. Le film met en scène un groupe d’adolescents sans famille, libres mais marginaux qui se retrouvent confrontés à de nouveaux projets et rêves. Siirou qui se veut protecteur du groupe poursuit le rêve mo-deste d’une vie tranquille auprès de la belle Salla à laquelle il voue une passion sans limites. Salla, quant à elle est en train de devenir une femme et porte des ambitions et des rêves légitimes. Un policier corrompu et un riche avocat entrent en scène et vont bouleverser le quotidien tranquille du « squat » dans lequel vivent nos person-nages. L’éclatement est inéluctable, mais Siirou et Salla vont chacun à leur manière tenter de reconstruire « la famille ». Drame ! (VO)


Black Brown White (2011)Un film de Erwin Wagenhofer

BLACK BROWN WHITE révèle des images impressionnantes du voyage d‘un camionneur autrichien se faisant appelé « Don Pedro ». A l‘aller, il transporte de l’ail ukrainien depuis Vienne jusqu‘au Maroc, et au retour, il emmène des clandestins cachés dans son fourgon en Autriche. Deux de ces clandestins sont Jackie et son petit fils Theo, à qui elle veut octroyer une éducation et un meilleur avenir chez son père en Suisse. Elle refuse de se mettre dans le fourgon et sans y aller par quatre chemins, elle s’installe à l’avant à côté de Don Pedro dans la cabine – le début d’un road-movie qui va changer toutes les personnes impliquées. (VO sous-titré en allemand)

En coopération avec l’Ambassade d‘Autriche à Dakar.


La vie sur un fil de Abdoul Kane

La vie dans les centres de soins ou dans les centres hospitaliers du Sénégal ne tient qu‘à un fil. D’où le titre explicite de l’œuvre d’Abdoul Kane qui stigmatise le manque de professionnalisme du secteur : mauvaise qualité de l‘accueil, environnement repoussant et pannes fréquentes d’appareils. Un cri du cœur poussé par le Professeur Abdoul Kane pour lutter contre ces dysfonctionnements. Nos hôpi-taux ont perdu leurs âmes en faisant de la personne humaine non pas une fin en soi mais plutôt un moyen d’accroître la rentabilité financière.


Die Farbe des Ozeans (2010/2011)Un film de Maggie Peren

Catastrophe au paradis des vacances : aux îles Canaries, la touriste allemande Nathalie est témoin d’un drame. Un bateau rempli de réfugiés africains s’est échoué sur la côte ; elle aperçoit parmi les survivants un homme avec son jeune fils. Nathalie veut les aider mais un policier lui ordonne de s’en aller, son quotidien l’ayant ren-du impitoyable. Cependant, le clandestin Zola et le petit Mamadou prennent contact avec l’Allemande et elle décide de leur fournir l’aide dont ils ont besoin, contre la volonté de son mari. Hélas, l’argent avec lequel elle espérait permettre aux deux Africains de se réfugier sur le continent donne lieu à un désastre que Nathalie ne pouvait pas prévoir. DIE FARBE DES OZEANS est un film d’une actua-lité brûlante sur les problèmes humanitaires et politiques de l’Europe face au flux d’immigrants africains. (VO sous-titré en français)

02.04.2014 16.04.2014 23.04.2014

30.04.2014

09.04.2014

AVRIL 2014

VERNISSAGE Musée Théodore Monod, 17h00Entrée libre

Ulrike Arnold « Terre de la teranga »Exposition jusqu’au 8.06.2014Tous les jours de 09h00 à 19h00

L’artiste peintre Ulrike Arnold a beaucoup voyagé à travers le monde, toujours à la recherche de coins reculés auxquels sont attribuées ri-tuels et propriétés magiques. La terre et les pierres qu’elle trouve sur le terrain lui servent de matériaux. Elle les utilise directement comme peinture rupestre ou les mélange à un liant transparent afin de les mettre sur toiles. Les tableaux de Ulrike Arnold pourraient être lus comme un profil psychologique d’elle-même, comme un conte de ses voyages, comme un journal intime visuel ou comme des portraits abs-traits des contrées lointaines. Au cours de son séjour au Sénégal, elle a créé 11 toiles immenses de terres et de pierres de Popenguine, issu d’une magnifique chute de pierres colorées sur la plage. Ulrike Arnold a été fortement inspirée par l’océan, la magie de cet endroit avec sa lumière si particulière et la joie de ses habitants. Cet ambiance a influencé le processus de son travail et les tableaux qui y sont nés.


Carte Blanche (2011)Un documentaire de Heidi Specogna

La Cour pénale internationale de La Haye enquête sur les crimes de Jean-Pierre Bemba, ancien commandant militaire puis vice-président de la République démocratique du Congo. Sur l’ordre d’Ange-Félix Patassé, président de la République centrafricaine, Bemba a envoyé ses soldats dans le pays voisin pour semer la peur et la terreur. Leur chef leur avait quasiment donné carte blanche pour tuer, violer, pil-ler et détruire. En 2008, les enquêteurs commencent leurs investiga-tions sur place tandis que Bemba est détenu à La Haye. Les premiers débats devront établir si le procès en cours contre lui est légal. En juillet 2010, l’audience est repoussée à une date indéterminée.

CARTE BLANCHE est à ce jour le seul documentaire dont l’équipe du tournage ait jamais reçu la permission d’accompagner les enquêteurs de la Cour pénale à l’étranger. (VO sous-titré en français)


Gerhard Richter Painting (2009 - 2011)Un documentaire de Corinna Belz

Il est l’un des peintres contemporains les plus importants et a « sauvé la peinture au XXIe siècle » (SZ). Né en 1932 à Dresde, Gerhard Richter a étudié à l’Académie des Beaux-arts de la même ville, puis, après sa fuite à l’Ouest, à l’Académie des Beaux-arts de Düsseldorf. Au fil de sa carrière, il a reçu de nombreuses récom-penses internationales et ses expositions ont été applaudies dans le monde entier. La réalisatrice C. Belz a obtenu l’autorisation d’obser-ver le peintre au travail dans son atelier. Elle a suivi la genèse de quelques tableaux, jusqu’au vernissage de l’exposition, à New York. Sensible et curieuse à la fois, elle a réalisé un documentaire unique en son genre, bien différent des habituels portraits de peintres tradi-tionnels et plus ou moins académiques. (VO sous-titré en français)

VERNISSAGE Hôtel Sokhamon, 20h30Entrée libre

Gil Madeira « La mécanique des sols »Exposition jusqu’au 8.06.2014Du lundi au vendredi de 09h00 à 18h30, Samedi 09h00 à 13h00

Les photographies du jeune artiste Gil Madeira ont été pris dans le Sine Saloum au Sénégal. Elles sont présentées en plusieurs séries pour pouvoir recréer l’espace et l’ambiance des paysages de cette région. Différentes techniques ont été utilisées pour enregistrer ce qui émerveille, ce qui reste en empreinte dans la mémoire du visiteur. Les images cherchent à fixer l’intemporalité de ce paysage tel que les marques d’un voyage, laissant le temps effacer les objets pour permettre l’immersion dans la diversité des sols et dans le spectre des couleurs.

Une exposition de EUNIC, le réseau européen des instituts culturels nationaux.

10.05.2014 07.05.2014

14.05.2014

09.05.2014

MAI 2014

Documents

Programme Culturel Avril - Juin 2014