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NUMERO SPÉCIAL 21 E FORUM COMMUNICATION PUBLIQUE ET TERRITORIALE CITÉ DES CONGRÈS SAINT-ÉTIENNE 2 Le choix de Saint-Étienne 4 La réforme territoriale 18 Le Grand prix de CAP’COM CAP’COM LE PROGRAMME 1, 2 ET 3 DÉCEMBRE 2009 Tout l’monde à Saint’É !

Programme Forum 2009

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Le programme du Forum de la communication publique et territoriale 2009 à Saint-Étienne

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Page 1: Programme Forum 2009

NUMERO SPÉCIAL

21E FORUMCOMMUNICATION

PUBLIQUE ET TERRITORIALECITÉ DES CONGRÈS

SAINT-ÉTIENNE

2le choix de saint-Étienne 4la réforme

territoriale 18le grand prix de CaP’CoM

CAP’COMLE PROGRAMME

1, 2 et 3 DÉCeMbre 2009

Tout l’monde à Saint’É !

Page 2: Programme Forum 2009

Changer d’échelle, le contexte l’impose. L’urgence environnementale implique de traduire à l’échelle des territoires, et des pratiques professionnelles, des enjeux planétaires. La crise, avec les restrictions budgétaires qui l’accompagnent, oblige à repenser les formes et les moyens de la communication. Tout autant que le mouvement perpétuel des pratiques numériques. La réforme territoriale qui s’annonce et les enjeux de la métropolisation viennent bouleverser les manières de penser la géographie, les institutions, les projets. Elles conduisent les institutions sur la voie de la coproduction, de la mutualisation, voire de la fusion.

Changer d’échelle, c’est aussi repenser la proximité avec les citoyens, les habitants, les usagers pour tenter de rompre avec les crises démocratique et sociale. C’est trouver la bonne échelle pour s’adresser à chacun et donner du sens pour tous.

Cette période de mutations profondes se présente surtout comme un temps où la communication se recentre sur des valeurs fortes de service public. Un temps où l’humain redevient le centre des préoccupations.

Un temps où la communication réapparaît comme un élément indispensable du projet collectif.

Le monde change, la communication s’adapte. À Saint-Étienne plus que jamais, la rencontre et le partage d’expériences seront essentiels pour mieux appréhender notre nécessaire changement d’échelle.

Dominique Mégard, déléguée générale de Cap’Com

Chaque année, le Forum Cap’Com prend ses quartiers dans une ville différente et emmène les communicants à la découverte conjuguée d’une thématique et d’un territoire.

nantes2008

• Pour fêter son 20e anniversaire, Cap’Com convoque les créatures imaginaires du Royal Deluxe pour une soirée fantasmagorique. Il invite les 1 000 participants à imaginer ce que pourrait être la communication publique des 20 prochaines années.

strasbourg2007

• Pour saluer l’arrivée du tgV à strasbourg, Cap’Com s’installe en Alsace au moment du Marché de Noël. Comme son territoire

d’accueil, Cap’Com se tourne vers l’Europe et incite les communicants à « dépasser leurs frontières ».

tours2006

• « Risquer la communication ! », un titre provocateur pour une édition créative. Tours joue dans la cour des grandes à force de bonnes idées et

démontre aux Cap’comiens « qu’oser ne nuit pas à la communication publique ».

lyon2005

• la célèbre Fête des lumières de lyon comme un instant magique dans un Cap’Com consacré au temps. Temps politique, temps médiatique, temps du projet et temps de la communication confrontent leurs logiques… le temps d’un

Forum au programme gastronomique.

Symbole allégorique de l’édition, le Monsieur Cap’Com porte les attraits du territoire stéphanois.

le saint-É teaser

La Tour du Design offre, depuis son sommet, un point de vue exceptionnel sur l’agglomération et sur l’avenir résolument design du territoire.

Le pull jacquard rappelle à la fois la culture ouvrière mais aussi toute la tradition d’art et d’industrie de la ville.

Le foot : bien plus qu’un sport, une marque identitaire dont le chaudron reste l’emblème mythique.

GranD jEU ConCoUrS Donnez un nom à notre mascotte 2009. Pour qu’il ne reste pas un illustre inconnu, soumettez vos propositions de nom pour le bonhomme-territoire. rendez-vous sur www.cap-com.org pour proposer et voter.

Depuis l’épopée des « verts », la couleur reste associée au territoire stéphanois qui la cultive aujourd’hui sous d’autres formes, en matérialisant son engagement en faveur du développement durable.

En guise de chapeau, la chapelle Saint-

Pierre de Firminy, dessinée par Le Corbusier, témoigne d’un patrimoine

architectural exceptionnel.

baCk to 2005

Page 3: Programme Forum 2009

saint-Étienne

La 21e dimension

de Cap’Com

Pourquoi Saint-Étienne ? Bonne ques-tion mais réponse diffi cile a priori pour une ville majoritairement vécue par les

futurs participants du Cap’Com comme une non-destination. Bien sûr, l’épopée des Verts résonne encore dans l’inconscient collectif. Cette relation intrinsèque entre sport et image du territoire suffi rait presque à jus-tifi er la tenue d’un Cap’Com à Saint-Étienne (le thème sera d’ailleurs traité dans un par-cours). Or, les ressources du territoire et de ses habitants témoignent d’une vitalité pas-sionnante. Suivez le guide.

La ville est aujourd’hui associée au design, dans son acception culturelle com-me économique. Les acteurs du territoire se sont appuyés sur la longue tradition d’art et d’industrie de Saint-Étienne pour faire émer-ger un pôle de créativité et d’innovation. En 1998, l’École des Beaux-Arts et la muni-cipalité ont créé la Biennale internationale du design puis, en 2005, la Cité du design, outil de formation, d’innovation et de pros-

pective. Première du genre en France, la Cité a ouvert ses portes cet automne.

L’agglomération (400 000 habitants et 43 communes) est engagée dans une dy-namique de projets structurants comme la construction d’une seconde ligne de tram. Plusieurs chantiers de rénovation urbaine bénéfi cient des investissements de l’ANRU. Des sites industriels, comme celui du GIAT, font l’objet d’une reconversion. Le program-me Manufacture – Plaine Achille permettra à un territoire d’une centaine d’hectares de changer de visage et de fonction d’ici 10 ans. L’ampleur de ce mouvement d’urbanisme a justifi é la mise en place d’un établissement public d’aménagement, l’ÉPASE.

L’activité culturelle stéphanoise est très riche. Dernier arrivé, le Zénith, première salle de Rhône-Alpes avec 7 200 places. Il complète l’éventail d’équipements composé de l’Opéra-Théâtre, du Fil (scène de musiques actuelles), de la Comédie (centre dramati-que national). Les musées portent l’image

de l’agglomération à travers la dernière cam-pagne institutionnelle commune « Tous les curieux vont à Saint-Étienne ! ». Fer de lan-ce de ce patrimoine muséal, le musée d’Art moderne détient la seconde collection des 19, 20 et 21e siècles après le Centre Pompi-dou à Paris.

La ville est au cœur de l’actualité de la réforme territoriale. Maurice Vincent, prési-dent de l’agglomération de Saint-Étienne, et Gérard Collomb, celui du Grand Lyon, veulent faire émerger une grande Eurométropole. Elle inclurait le Nord Isère et le pays de Vien-ne. Le projet interroge la relation aux trois départements concernés ainsi qu’à la Région Rhône-Alpes qui préfère au concept de mé-tropolisation celui de multipolarisation.

Saint-Étienne est un terrain de jeu fas-cinant pour les communicants publics qui trouveront là rassemblées les problémati-ques du moment.

Cap sur saint-É !

21e Forum de la communication publique et territoriale

la CoM’ Met le CaP sur saint-Étienne !

321E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

Page 4: Programme Forum 2009

Pascal Perrineau politologue spécialiste de la sociologie électorale, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po.

CaP’CoM Les Français sont-ils attachés à leurs institutions territoriales et à leurs élus locaux ?Pascal Perrineau : Oui, régulièrement dans toutes les enquêtes et les études d’opinion, les Français font preuve d’un attachement particulier pour leurs élus locaux et surtout pour leur maire. Cela montre que la politique locale échappe en partie à la profonde crise de confiance qui affecte à la fois les institutions et la classe politique.

CaP’CoM avec la réforme territoriale, pensez-vous que la lisibilité des institutions locales sera améliorée ?P.P. : Les enquêtes d’opinion démontrent en effet que l’enchevêtrement des compétences, des fonctions et des institutions conduit à un vrai problème de lisibilité des institutions locales pour les citoyens. La réforme prévue tend à une simplification et à une clarification. Cependant, il me semble que la quasi-impossibilité de supprimer un niveau de collectivité locale rend difficile à atteindre cet objectif de lisibilité.

CaP’CoM Faut-il malheureusement s’attendre à une faible participation électorale aux élections régionales de mars prochain ?P.P. : Vraisemblablement, car après le sursaut civique enregistré aux dernières élections présidentielles de 2007 (avec près de 84 % de votants), les électeurs semblent être retombés dans une apathie civique visible lors des dernières élections municipales de 2008 (32 % d’abstention, chiffre record pour des municipales) et lors des dernières élections européennes de 2009 (59 % d’abstention). Les élections régionales de mars prochain devraient s’inscrire dans ce même courant. Cependant, elles seront la dernière confrontation électorale avant le grand combat présidentiel de 2012. Les régionales pourraient se transformer en galop d’essai pour les présidentielles et ainsi, peut être, mieux mobiliser que ce qui est prévu.

3 questions à…

rÉForMe territoriale brain storMing

Tel est l’un des enseignements de la première enquête nationale de référence menée par CSa et IDcommunes, en partenariat avec Cap’Com sur « Les Français et la communication publique locale ».

les questions en DÉbat à CaP’CoMles enjeux de la métropolisation : quel rôle pour la communication ?Le temps des élus / 2 décembre, 11:00

réforme territoriale, élections régionales : quelle lisibilité pour le champ local ?Le grand débat / 3 décembre, 14:30

Fusion, réorganisation, mutualisation : comment la communication peut-elle accompagner le changement ?Parcours « 1+1=mieux ? » / 2 décembre, 14 :30

Faut-il investir davantage sur le web ou sur le papier ? Qu’est-ce qui mar-che pour toucher les jeunes ? Comment

faire pour intéresser davantage les lecteurs du magazine local ? Quels sont les tendan-

ces, les nouveaux modes de consommation de l’information ?

Les communicants comme les élus se posent régulièrement toutes ces questions sans pour

autant disposer de données objectives et chif-frées. Des éléments de réponse sont désormais

disponibles. Plus de 1 000 Français ont été interro-gés sur leur perception de la communication locale

à l’échelle de leur commune, intercommunalité, départe-ment et région. De quoi éclairer la plupart des stratégies de

communication.Aussi surprenant que cela puisse paraître, les Français mani-

festent un intérêt fort pour la communication publique locale (à 93 %). 36 % d’entre eux estiment qu’il n’y a pas assez de commu-nication. Autre surprise de taille, les magazines des collectivités constituent le premier média d’information locale, devant la télé-vision, le bouche-à-oreille, la radio, la PQR ou Internet ! La parole publique a de l’avenir…

Les résultats du baromètre seront distillés au fil des débats du 21e Forum Cap’Com. En attendant, la synthèse de l’étude est consul-table sur www.cap-com.org (espace presse)

93 %des Français

intéressés par la communication

publique locale…

Page 5: Programme Forum 2009

quels qu’en soient les contours, la réforme des collectiv i-tés à venir va bouleverser les

représentations territoriales. Le mille-feuille institutionnel, diffici-lement communicable, pourrait bien se densifier. Et la pédagogie se com-plexifier alors que les distorsions entre territoires vécus et territoires administratifs se multiplient. La car-tographie représente en la matière un outil précieux. « En quelque sor-te, les cartes font autorité. Bien plus qu’une illustration, elles sont une aide à la compréhension et à la décision. Il

s’agit des les faire parler en jouant sur le va-et-vient entre l’écriture et la cartographie » précise Jean-Christophe Victor qui ouvrira le 21e Forum Cap’Com consacré au change-ment d’échelle.

De formation universitaire en langues orientales et titulaire d’un doctorat en an-thropologie, le fils du célèbre explorateur Paul-Émile Victor a débuté sa carrière en

Afghanistan pour le ministère des Affaires étrangères. Convaincu de la pertinence de l’outil géopolitique, il a créé le Laboratoire d’études politiques et d’analyses cartogra-phiques (LEPAC), laboratoire de recherche appliqué, privé et indépendant, spécialisé en politique internationale et en prospec-tive. « Le Lepac doit fournir des éléments susceptibles de faire évoluer les mentalités des décideurs locaux pour les aider, par les cartes, à raisonner à plusieurs échelles. Dans notre culture actuelle de l’urgence, les déci-deurs viennent chercher de la lenteur. » Le Lepac est intervenu plusieurs fois aux cô-tés de collectivités pour offrir cet éclairage stratégique.

Au-delà de l’activité d’accompagne-ment et de formation du labo, l’émission Le Dessous des cartes, diffusée sur Arte de-puis 1991, offre une fenêtre médiatique aux questions géopolitiques. Elle permet à Jean-Christophe Victor et à son équipe de faire de la pédagogie à grande échelle. De changer le regard sur les enjeux du monde

qui nous entoure à l’aide, par exemple, de cartes en anamorphose redessinées en fonc-tion du poids démographique ou économique des territoires, ou des temps de trajets qui les relient.

L’analyse des cartes montre combien ces supports de représentations, réelles ou supposées, aiguillent la compréhension et par conséquent l’adhésion aux projets. Des exemples historiques peuvent ainsi éclairer la réforme très actuelle des collectivités : la construction des États-Unis d’Amérique à la fin du 18e siècle, la réunification des deux Allemagnes en 1990 ou la fusion des communes au Québec au début des années 2000. En élargissant l’horizon spatio- temporel, Jean-Christophe Victor nous donnera de précieuses clés de lecture pour traiter des enjeux très concrets de commu-nication.

F.B.

réforme territoriale

Moins D’institutions, Plus De lisibilitÉ ?l’État jacobin serait-il de retour ? Porté par la crise

économique et sociale, par l’ampleur des enjeux éco-logiques et par une pratique présidentielle nouvelle,

l’État affirme sa prééminence jusque dans la gestion quo-tidienne du territoire.

C’est dans ce contexte qu’est débattue la réforme ter-ritoriale, annoncée par le rapport Balladur et cadrée par le Président de la République. Cette réforme, qui ne se place pas dans le mouvement décentralisateur des der-nières décennies, affiche une volonté de réorganisation des collectivités locales. Mais faut-il limiter quelque peu leur autonomie, encadrer leurs ressources, les conduire au regroupement, réduire le nombre de leurs édiles ? s’in-quiètent certains.

un non-ÉVÉneMent Pour l’oPinion Publique ?

Voilà une réforme qui va changer progressivement mais profondément le paysage des institutions locales. Aucun mouvement d’opinion ne semble s’y intéresser, aucun groupe de pression se mobiliser, aucune communication porter un débat.

Même l’approche des élections régionales ne parvient pas à intéresser les médias et à sensibiliser les citoyens à ces questions. Rien d’étonnant si l’on constate une large abstention à ces élections comme ce fut le cas lors des dernières municipales.

En cette période de bouleversements économiques et écologiques, de crise civique et sociale, la question de la répartition des responsabilités entre l’État et le niveau local est pourtant essentielle. Et les collectivités locales n’ont pas à rougir de leurs capacités à assumer leur rôle, disposant d’un bilan positif dans la mobilisation de leurs compétences et la gestion de leurs ressources.

Les maux dont souffrent les collectivités locales ne se-raient-il pas d’abord un déficit de lisibilité ?

Enchevêtrement de compétences, complexité des niveaux territoriaux, opacité fiscale et financière, inin-telligibilité de la gouvernance, incompréhensibilité des modes de scrutin… l’action publique locale est-elle ac-cessible pour des citoyens en attente de transparence et de sens dans l’action publique ?

En quoi la réforme territoriale s’attaque-t-elle à cette question qui préoccupe certains élus et bon nombre de communicants publics ?

l’autoritÉ, FaCteur De CohÉrenCe et De CoMPrÉhension ?

La création de conseillers territoriaux siégeant à la fois au sein des Conseils généraux et régionaux et la modifica-tion des modes de scrutin dont la diversité et la complexité sont maintenues vont-ils permettre une démocratisation et une plus grande lisibilité de la gouvernance locale ?

La création autoritaire de métropoles, d’intercommuna-lités ou de nouvelles communes regroupées, et l’affichage d’une nouvelle répartition des compétences entre les ni-veaux locaux sans aborder l’articulation avec celles de l’État, vont-ils permettre une plus grande cohérence et plus grande compréhension ?

Le bouleversement soudain de la fiscalité locale avec la suppression de la TP et l’encadrement plus strict des dépenses des collectivités locales vont-ils permettre une plus grande transparence et un plus grand attachement à la gestion locale ?

Comment le secteur local peut-il – par lui-même – fa-voriser sa lisibilité, rendre compréhensible son action, s’ouvrir à la participation des citoyens ?

Le débat s’ouvre à Cap’Com entre communicants, élus et observateurs. Il est temps. La question est essentielle.

B.D.

la communication est un facteur clé dans l’accompagnement du vaste mouvement de réorganisa-tion du secteur public local.

Réorganisation des administra-tions déconcentrées, des hôpitaux, de l’armée, fusion des CCI, mu-tualisation des services entre intercommunalité et ville-centre… la tendance est au rapprochement, au regroupement. Dans le secteur public, ce changement d’échelle n’échappe à personne. Sur le pa-pier, les objectifs affichés semblent frappés du coin du bon sens mais c’est dans la mise en œuvre que tout se complique avec l’arrivée d’un paramètre aussi déterminant qu’im-prévisible : le facteur humain.

Anticiper, conseiller, compren-dre, informer, expliquer, partager, accompagner, motiver, reconstrui-re… : la communication devient dès lors un enjeu majeur de la réus-site du changement. Ou une source d’échec.

1+1 = Mieux ?

Parcours 1 / 2 décembre, 14:30

Le temps des élus / 2 décembre, 11:00Le grand débat / 3 décembre, 14:30

Créateur du Dessous des cartes, magazine de géopolitique diffusé sur arte, il fera parler les cartes lors de la conférence d’ouverture du 21e Forum.

Carte blanche à jean-Christophe Victor

521E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

Conférence d’ouverture / 2 décembre, 9:30

Le Comité Balladur

Portrait

Page 6: Programme Forum 2009

europe

l’euroPe, arlÉsienneDe la CoMMuniCation… MalgrÉ tout

Désignées comme des relais de proximité, les collectivités doivent approcher la

Commission européenne et les institutions

européennes comme un véritable partenaire de

communication.

le Dessus Des Cartes

Le Comité Balladur souhaite ramener le nombre de

régions de 22 à 15. Mais on peut faire mieux et plus audacieux ! En créant des régions respectueuses des spécificités de notre beau pays. Voici quelques idées de regroupements proposées par Corinne Guillemot(directrice de la communication de l’agence d’urbanisme d’Île-de-France). Enfin une réforme respectueuse de nos sensibilités individuelles et collectives !

Projet en 8 rÉgions

� Région OM

� Région OL

� Région FC Sochaux

� Région Lens

� Région PSG

� Région FC Nantes

� Région Girondins de Bordeaux

� Région stade Toulousain

La France des écoles philosophiques

Projet en 6 rÉgions

Projet en 4 rÉgions Projet en 3 rÉgions

� Tino Rossi

� Georges Guetary

� Alan Stivell

� Maurice Chevalier

� Pierre Bachelet

� Herbert Léonard

La France chanteurs morts ou presque qu’on chante à la veillée

la France des grandes passions

� Région Anisette

� Région Pinard

� Région Calva/Pur Malt

� Région Bière

la France des cuisines locales

� Restauration au beurre

� Restauration à l’huile

� Restauration hors de prix

l’Europe reste un sujet difficile de communication. Les élections européennes l’ont une nouvelle fois confirmé par un taux record d’abstention de 60 %.

L’incompréhension institutionnelle joue pleinement son rôle. Le Parlement n’est pas politiquement polari-sé comme les parlements nationaux – la présidence est systématiquement partagée entre la droite et la gauche – et le président José Manuel Barroso a été reconduit par les chefs d’États à la tête de la Commission avant même les élections de juin. Cet éloignement démocrati-que manifeste conforte le désintérêt du sujet européen déjà malmené par une représentation bureaucratique de « Bruxelles ».

nouvelle stratégie. La proximité de l’Europe avec les citoyens est pourtant une préoccupation partagée et récurrente. Elle était inscrite dans les trois priori-tés de la présidence française et sera portée à l’agenda de la présidence belge en 2010. La Commission a pris conscience qu’elle ne pouvait pas porter seule cette rela-tion au citoyen et est entrée dans une nouvelle stratégie. « L’Europe doit s’appuyer sur des relais de proximité dans les États-membres, a expliqué Claus Sorensen, directeur général de la communication de la Commission, lors du 20e Forum Cap’Com. En France, les collectivités locales sont des relais privilégiés. » La Commission se positionne dé-

sormais comme un partenaire de communication. Soit directement, en fournissant arguments et supports aux relais ou en cofinançant des opérations de communica-tion. Soit par l’intermédiaire des Relais Europe direct, structures de proximité souvent adossées à des collecti-vités. À l’occasion des élections de juin dernier, la ville de Montbrison a mis en place, par exemple, une démarche de mobilisation des nouveaux électeurs en partenariat avec le Relais Europe direct de Saint-Étienne.

Freins. Malgré les bonnes volontés et en dépit du ca-dre légal, le sujet reste épineux. L’Europe n’est pas une priorité sur la feuille de route des communicants locaux. Sans compter que les élus ont tendance à considérer « Bruxelles » comme un argument politique pratique. La communication de l’Europe passe aussi par un travail préalable de conviction partagée. Au risque de voir les initiatives europhiles sanctionnées.

l’heure est au pragmatisme. Un atelier de pro-duction sera organisé à Cap’Com. Ce groupe de travail réunissant des représentants de la Commission, des ac-teurs européens, des représentants de la Belgique et des communicants publics dressera des pistes d’actions concrètes. Et invitera à l’expérimentation.

atelier de production / 2 décembre, 14:30

Conférence d’ouverture / 2 décembre, 9:30

Page 7: Programme Forum 2009

Développement durable

la CoMMuniCation DD est une CoMMuniCation De la PreuVe

Quelques jours après la clôture de la 7e Université d’été pour la communication sur le développement durable de Buoux, dont Cap’Com est partenaire, Gilles Berhault, président d’ACIDD*, revient sur les grandes tendances du développement durable.

CaP’CoM Les préoccupations environnementales semblent aujourd’hui largement reconnues et partagées par tous. Est-ce que cela change la manière de communiquer ?Gilles Berhault : La question est aujourd’hui : faut-il communiquer sur le développement durable ou commu-niquer avec responsabilité ? Les collectivités ne sont pas à l’abri du green washing. Quand on veut communiquer sur le développement, on prend un risque politique. Par contre, quand on communique sur les transports, l’habitat, le développement économique, la démocratie locale… il est important de mettre en avant les arguments dévelop-pement durable. C’est une demande affi chée des citoyens.

En parallèle, la collectivité territoriale commence à prendre ses responsabilités et diminuer les impacts environnementaux et sociaux des stratégies de com-munication qu’elle met en œuvre.

CaP’CoM Existe-t-il des différences d’approches entre public et privé ?G.B. : Elles se rejoignent. Les communicants pu-blics se sont intéressés un peu avant les autres aux achats responsables mais ils comprennent mainte-nant seulement qu’associations et consommateurs peuvent les mettre en face de leurs responsabili-tés. Car la communication développement durable est une communication de la preuve, pas de la

déclaration. Pour les entreprises, la grande évolution est la communication produits. Longtemps réservé à la com-munication institutionnelle, le développement durable est entré dans les directions marketing.

CaP’CoM Le développement durable ne se résume pas aux questions environnementales. Qu’en est-il des dimensions économiques et sociales qui semblent sous-représentées dans le discours ?G.B. : La dimension sociale est beaucoup plus délicate à gérer que l’argument environnemental porté positivement par des leaders d’opinion forts comme Nicolas Hulot. L’as-pect social est plus compliqué, surtout à une période où la situation des plus démunis s’empire. Les vrais progrès à faire sont dans une approche globale.

CaP’CoM Que veut dire « communiquer responsable » ?G.B. : C’est prendre conscience de ses impacts sociaux, en-vironnementaux, économiques et culturels, et agir pour les diminuer. A-t-on besoin de cet outil ? En quelle quan-tité ? C’est une question d’analyse de cycle de vie com-plet de chaque outil. La seconde étape est celle de l’effi -cacité. Nous devons faire très attention à l’utilisation de la peur, de la culpabilité… Les campagnes qui marchent sont plutôt celles qui font appel à l’optimisme, la créati-vité, l’humour.

*Association pour la communication et l’information sur le dévelop-pement durable

721E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

CoMMuniquer resPonsable : les labels en DÉbatles chartes d’engagement se multiplient

chez les organisations professionnelles comme l’ARPP, l’ANAÉ ou l’APACOM. Sont-elles suffi santes pour favoriser la généralisation d’une communication responsable ? Non pour ceux qui travaillent avec l’AFNOR à l’établis-sement d’un cadre normatif comprenant ré-férentiel et évaluation. Oui pour ceux qui, à l’instar de l’Ademe, préfèrent la liberté d’une « démarche » moins génératrice d’inégalités entre gros et petits organismes. Le débat s’engage à Cap’Com autour d’une évolution majeure du métier de communicant.

Le temps des métiers / 3 décembre, 16:30

Pour assurer la lisibilité de ses actions autour de l’eau, la ville de Saint-Étienne a mis en place une ligne graphique unique déployée tout au long de l’année. Baisse du tarif de l’eau, ouverture d’une nouvelle

station d’épuration, mise en place du plan rivière, sensibilisation au développement durable : 2009 a été labellisée année de l’eau. Une visite professionnelle permettra d’analyser l’ensemble du dispositif communi-

cation, le mardi 1er décembre.Visite pro 2 / 1er décembre, 15:00

2009annÉe De l’eauPour saint-Étienne

En [s]avoir + : www.acidd.com

En parallèle, la collectivité territoriale commence à prendre ses responsabilités et diminuer les impacts environnementaux et sociaux des stratégies de com-munication qu’elle met en œuvre.

CaP’CoMd’approches entre public et privé ?G.B. : blics se sont intéressés un peu avant les autres aux achats responsables mais ils comprennent mainte-nant seulement qu’associations et consommateurs peuvent les mettre en face de leurs responsabili-

Page 8: Programme Forum 2009

Développement durable

MobilitÉ : Vers une CoMMuniCation MultiMoDale

jusqu’ici, la communication sur la mobilité s’est essentiellement placée sur le plan du chan-gement de comportement. Comment inciter

les citoyens à préférer les modes de déplacements doux et les transports en commun à l’usage de la voiture. La prise de conscience environnementale porte opportunément cette communication, sa-vant mélange d’incitation, de culpabilisation et de contournement. Et ça marche. On voit apparaître de nouvelles pratiques de déplacements : covoiturage (voir ci-dessous), autopartage, pédibus, retour du tram… Le succès du « transport individuel public » que sont Vélo’V, Vélib’ et autres Bicloo, est assez ca-ractéristique de l’alliance féconde entre innovation et communication.

Mais la mobilité ne se résume plus à une com-munication transport. « Avec le développement des technologies numériques, nous sommes entrés dans un nouveau paradigme » précise Georges Amar, res-ponsable de la prospective à la RATP.

nouVeaux esPaCes De CoMMuniCation

Le paradigme traditionnel envisage le transport comme un rapport temps-distance que la technologie cherche à réduire. Celui du xxie siècle veut faire de ce temps un temps utile. Les transports, mais aussi les lieux de la mobilité comme les gares, les arrêts de bus, les aires de covoiturage, représentent de nouveaux territoires de communication à investir. C’est ce que font, entre autres, les régions Bretagne et Rhône-Alpes en équipant et en utilisant les TER comme des outils de communication.

Lorsqu’on analyse la fréquentation du mé-tro parisien, on constate que la part des trajets domicile-travail diminue au profit des trajets oc-casionnels. Le métro, comme d’autres modes de transport, y compris la voiture, deviennent des lieux de reliance, c’est-à-dire des lieux de socialisation, de rencontres, d’opportunités. Le phénomène de co-présence favorise la fabrication de lien social que

la communication ne peut laisser échapper. C’est le principe de l’expérience menée par la SNCF avec ID-TGV qui rencontre un franc succès.

CoMMuniCation MultiMoDale

Ce changement de paradigme de la mobilité implique une évolution vers une communication multimodale. Elle fait intervenir une multiplicité d’acteurs, dont les usagers eux-mêmes, une multipli-cité de canaux et d’outils, mais aussi une multiplicité de fonctions. Elle doit à la fois rendre intelligible cette nouvelle approche de la mobilité et favoriser les comportements durables, assurer une pédagogie de la multimodalité et former les usagers, et enfin investir un espace-temps retrouvé. Des questions qui seront au cœur du parcours consacré aux échelles de la mobilité, le mercredi 2 décembre.

La mobilité fait l’objet d’une approche nouvelle qui appelle au dépassement de la communication transport.

soyez tenDanCe,

CoVoiturez !l’avantage est triple : partager les frais de déplacement, réduire

l’impact environnemental de sa participation, mais aussi favoriser la convivialité. Sans compter que le covoiturage, c’est aujourd’hui

trendy !Sur le plan opérationnel, Cap’Com s’appuie sur la plateforme

www.covoiturage76.net développée par le Conseil général de Seine-Mari-time. Ce site de mutualisation de l’usage de la voiture s’inscrit dans une démarche globale de promotion des transports en commun dont la commu-nication a été récompensée au Grand Prix 2008 par un Cap’Com d’argent.

En un an, le site a réuni plus de 1 500 adhérents et proposé 1 700 tra-jets consultés près de 400 000 fois. La fréquentation est encourageante et incite à la mutualisation du service. D’autres collectivités locales, comme l’agglomération de Rouen, qui avaient prévu de créer leur propre plateforme, ont ainsi décidé de rejoindre le site départemental. De gran-des entreprises, comme France Telecom, l’ont également inscrit dans leur Plan de déplacement d’entreprise.

En pratique, le système est simple. Il suffit de se connecter et de créer un compte personnel gratuit. Après avoir accepté la charte du covoiturage, chacun peut proposer des trajets et consulter les offres.

Le dispositif sera mis en place à la fin du mois d’octobre. Il sera ouvert à l’ensemble des Cap’comiens, partout sur le territoire national. Il devrait permettre d’améliorer le bilan carbone de la manifestation dressé en par-tenariat avec l’Ademe.

Pour la première fois, Cap’Com propose aux participants du Forum de covoiturer pour se rendre à Saint-Étienne.

Parcours 2 / 2 décembre, 14:30

En [s]avoir + : www.covoiturage76.net

Page 9: Programme Forum 2009

921E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALEtri

attituDes

le premier critère qui prédispose au tri est la perception de sa facilité. Entrent ensuite en ligne de compte le type

d’habitat (collectif ou individuel), l’âge puis le statut propriétaire/locataire (un proprié-taire âgé trie plus qu’un jeune locataire). À l’inverse, les doutes sur les consignes et les aspects de propreté perturbent le geste de tri : les emballages métalliques et les bri-ques alimentaires sont moins triés.

Communication. Les supports d’infor-mation plébiscités sont les autocollants sur les bacs, les codes couleurs, puis le guide de tri. Des investissements élevés en communi-cation ne garantissent pas pour autant des performances élevées. Celles-ci dépendent aussi du dispositif technique. Les enjeux de

facilitation du tri sont donc essentiels pour augmenter les performances de tri. Le sac de pré-tri dans la cuisine permet par exemple de répondre à ces deux exigences.

Cette analyse inédite est la synthèse d’un ensemble d’enquêtes, menées avec un questionnaire quasi commun et administré à près de 60 000 personnes représentant 15 millions d’habitants. Des données com-plémentaires sur les performances de tri et les investissements communication ont été ajoutées à la base de données. Les résultats complets seront présentés lors d’un atelier à Cap’Com, le mercredi 2 décembre. Ils ali-menteront les réflexions dans le cadre d’un atelier de production consacré au local pou-belle, acte de communication.

Presque 70 collectivités ont réalisé

une enquête d’opinion, d’usages

et de satisfaction sur le service

déchets et ont mis leurs résultats

en commun avec Eco-Emballages

pour en tirer des analyses.

les instants DÉVeloPPeMent Durable Du ForuML’eau, une année thématique de communicationVisite professionnelle / 1er décembre, 15:00

le local poubelle, acte de communicationatelier de production / 2 décembre, 11:00

tri des déchets : analyse des usagesatelier / 2 décembre, 15:00

objectif 75 % de triatelier / 2 décembre, 16:30

Réduire l’empreinte écologique de ses impressionsatelier / 2 décembre, 18:00

Le temps des métiers : communiquer responsableTable ronde / 3 décembre, 16:30

Page 10: Programme Forum 2009

à cause de la grippe A, la communica-tion publique de crise vient de subir deux inflexions majeures. Après une

longue période chaotique, la canicule d’août 2003 fut le révélateur de l’incapacité gou-vernementale à sortir de ce vieux réflexe de rassurer coûte que coûte et de clouer au pilori médiatique le coupable désigné. Jean-François Mattei, ministre de la Santé en 2003, peut en témoigner.

Faire FaCe

Cette mise en accusation d’un État in-capable de répondre face à un phénomène extrême a conduit à une réelle prise de conscience : la nécessité d’un discours cohérent s’impose face à la méfiance géné-ralisée des citoyens. Un cadre de cohérence fut mis en place et des procédures enga-gées. Un département “Communication de

crise” a été créé au sein du Service d’in-formation du Gouvernement (SIG) et une circulaire adressée en mars 2006 à tous les ministres pour les informer en matière de réaction aux crises : “faire face” est devenu le mot d’ordre.

Le lancement d’une campagne natio-nale de sensibilisation sur la grippe A, le 24 août dernier, s’inscrit dans ce contexte. Connaissant parfaitement le rôle de fusible potentiel d’un ministre de la Santé, Rosely-ne Bachelot sait également que les crises sanitaires sont celles qui marquent le plus fortement et durablement les esprits. De surcroît, pour avoir été le ministre de l’En-vironnement qui a proposé l’intégration du principe de précaution dans la Constitution française, Roselyne Bachelot mesure l’am-pleur de cette nouvelle donne. Elle ouvre la porte aux attaques publiques, aux recours juridiques.

Autre changement majeur et pour la pre-mière fois, en dehors des alertes de nature terroriste et du plan Vigipirate, nous as-sistons à une réelle complémentarité des approches nationales et locales face à la survenance d’un même ris-que. L’ensemble des acteurs est aujourd’hui mobilisé autour d’un même plan de lutte contre une crise potentielle. Chacun a com-pris que cette épidémie ne pouvait être combattue que dans une conjonction de forces. C’est donc tout à la fois à un change-ment de nature et à un changement d’échelle auquel nous assistons.

T.L.

gestion de crise

griPPe a : un tournant Pour la CoMMuniCation Publique De CriseThierry Libaert, directeur de l’Observatoire international des crises, revient sur le double changement de nature de la communication autour de la grippe A.

Conférence stratégique 2 / 2 décembre, 17:30

grâCe à la Crise, Faites Votre rÉVolution

Conséquence de la crise et des transferts de compétences, les collectivités sont contraintes d’opérer une mutation organisa-tionnelle. Les communicants ont pour mis-sion d’accompagner le changement au sein des institutions. Ils doivent redonner du sens à l’action publique tout en introduisant une notion d’efficacité, voire de performan-ce. La communication devient un outil de management à ne pas négliger. “Faire plus avec moins” est présenté comme un mot

d’ordre général. Le service communication est concerné au premier chef. Il doit affirmer l’utilité de son action, l’évaluer pour assu-rer de son efficacité et de sa crédibilité. Il doit aussi repenser sa stratégie, son budget dans un univers numérique désormais bien installé. En résumé, les communicants sont invités à saisir la crise comme une oppor-tunité de révolution intérieure.

CoMMuniquer, C’est ÉConoMiserEn temps de crise, un acte fort de communication est de dimi-nuer ostensiblement le budget de la communication. Démons-tratif mais tout aussi contre-productif. Car, vue comme un in-vestissement, la communication permet de maîtriser les coûts d’un grand projet. Une concertation bien menée, un climat fa-vorable, une appropriation par les futurs usagers limitent les risques de recours et les retards de chantiers. La communica-tion est donc source d’économies.Jean-François Lanneluc, dircom et dircab de Lyon, le démontrera lors d’une conférence stratégique. Il partagera des arguments propres à convaincre son maire et son DGS.

Conférence stratégique 3 / 3 décembre, 9:00Parcours 5 / 3 décembre, 9:00

Page 11: Programme Forum 2009

1121E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALEinVitÉ

Martin hirsCh

la communication à caractère social est l’une des plus difficiles. D’abord parce qu’elle est sensible. Elle court le ris-

que permanent, par un effet de loupe, de la stigmatisation de personnes déjà fragilisées. Elle est difficile aussi parce que les commu-nicants ne disposent pas d’une connaissance précise des publics concernés. Encore plus dans un contexte de crise où le nombre de personnes potentiellement bénéficiaires des dispositifs sociaux augmente. La généralisa-tion du revenu de solidarité active illustre de nombreux aspects des problématiques partagées par les acteurs publics au pre-mier rang desquels les Conseils généraux, les CCAS, les bailleurs sociaux, les CAF ou Pôle Emploi.

Droit à rien

La communication fait partie intégran-te du processus de mise en œuvre du rSa. L’enjeu est double. D’abord, informer les bé-néficiaires des minima sociaux – RMI, API principalement – du changement de dispo-sitif. Le plan de communication est assez

simple dans la mesure où les destinatai-res sont connus individuellement. Le

second objectif est plus complexe : toucher les nouveaux bénéficiai-res. Car ceux que l’on appelle les travailleurs pauvres ne se sentent pas concernés par le rSa puisqu’ils « n’ont jamais eu droit à rien ».

C’est l’objectif de la campagne « Le rSa, ça sert à ça ». S’adresser à

ces nouveaux publics pour leur fai-re prendre conscience de leur statut

d’éventuel bénéficiaire. Une campa-gne dont toutes les composantes ont été

testées par des panels de bénéficiaires. Y compris la campagne média. Elle avait pour objectif de permettre aux nouveaux bénéfi-ciaires de mieux s’identifier. C’est pourquoi Martin Hirsch a souhaité qu’il soit fait appel à des futurs bénéficiaires plutôt qu’à des co-

médiens professionnels. Avec le risque que l’un d’entre eux, Marc le cariste, ne soit en réalité plus concerné par le RSA.

CoProDuCtion

Pour renforcer l’appropriation du rSa, le dispositif a été doté dès sa phase expé-rimentale d’une charte graphique propre déployée de deux manières. D’une part, à travers la communication globale portée par le gouvernement. D’autre part, à travers les campagnes menées par les relais de proxi-mité que sont les Conseils généraux ou les Caisses d’allocations familiales. La copro-duction a été permanente et indispensable. Elle constitue, en la matière, un facteur clé de réussite ou d’échec.

En décembre, 6 mois après la générali-sation du rSa, un premier bilan pourra être tiré. La démarche d’évaluation, intégrée dès le départ, permettra de mesurer l’efficacité de la communication et d’orienter son évolu-tion. La transition des anciennes prestations sociales vers le rSa s’est-elle passée correc-tement ? Combien de travailleurs pauvres bénéficient du rSa ? Faut-il intensifier ou modifier la communication pour augmenter leur nombre ? Et puis la question des jeunes sera posée. Le Président de la République vient de décider l’élargissement du dispo-sitif aux moins de 25 ans. Un nouveau défi pour la communication institutionnelle qui a beaucoup de mal à toucher efficacement les publics jeunes.

L’analyse de la communication sur le rSa éclairera utilement les communicants en charge de la communication sociale dans leurs institutions. Car la démarche, ex-ceptionnelle par son objet et son ampleur, permet de nombreuses transpositions en termes de méthodes.

F.B.

Martin Hirsch, haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté et à la jeunesse, sera l’invité exceptionnel de Cap’Com. Il viendra expliquer comment la communication a accompagné le processus de mise en œuvre du revenu de Solidarité active.

Parcours 4 / 3 décembre, 9:00

CoMMuniquer sur les questions soCiales : un exerCiCe D’Équilibriste

question/rÉPonsesMartin Hirsch se prêtera au jeu

des questions-réponses avec les communicants lors d’une séance plénière. Expérimentations, rSa, jeunesse… À vous de définir les thèmes qui vous intéressent et d’interroger le haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté et à la jeunesse, qui fut aussi président d’Emmaüs et directeur général de l’Agence française de sécu-rité sanitaire des aliments (AFSSA).

La boîte à questions / 3 décembre, 12:00

Page 12: Programme Forum 2009

MarDi 1er DÉCeMbre14:00

Accueil à l’offi ce de tourisme de Saint-Etienne Métropole

14:00

15:00

Visite Pro 1

Du MAIà la Cité du design :

un parcours dans la ville

Visite Pro 2

L’eau : une année thématique de communication

Visite Pro 3

Manufacture/Plaine Achille : anatomie d’un grand projet

urbain

Visite Pro 4

Roanne : l’opération Cœur de Cité

15:00

16:00 16:00

17:00 17:00

18:00 18:00

grand Prix CaP’CoMCérémonie

de remise des prix

19:00 19:00

20:00 20:00

21:00 21:00

MerCreDi 2 DÉCeMbre MerCreDi 2 DÉCeMbreConférences stratégiques Parcours Parcours Parcours Ateliers de production Ateliers Ateliers Ateliers Carrefours numériques Visite

09:00 09:00 09:00 09:00

Conférence d’ouverturejean-ChristoPhe ViCtor

10:00 10:00 10:00 10:00

11:00

le temps des élusles enjeux De la MÉtroPolisation

atelier de production 1Le local poubelle,

acte de communication

11:00 11:00

atelier 1Relations presse à l’échelle

d’un territoire

atelier 2Communication budgétaire :

faire parler les chiffres

atelier 3La typographie à l’échelle

des territoires

carrefour numérique 1 / Home-pages (échelle internationale)

11:00

12:00 12:00 12:00carrefour numérique 2

Le citoyen à portée de clic

12:00

L’apéro des nouveaux Remise du prix de la presse territoriale13:00

Déjeuner

13:00 13:00

Déjeuner

13:00

14:00 14:00 14:00 14:00

Parcours 1

1+1 = mieux ?

Parcours 2

Les échellesde mobilité

Parcours 3

Sportet territoires

atelier de production 2Europe : rendre proche ?

15:00

conférence stratégique 1Design et lisibilitÉ urbaine

rueDi baur

15:00 15:00atelier 4

Prix de la presse territorialeatelier 5

Tri : analyse des publicsatelier 6 / Petits territoires :

communiquer économiecarrefour numérique 3

L’échelle des cartes

15:00

16:00 16:00 16:00carrefour numérique 4

Mesurer son infl uence sur internet

16:00

atelier de production 3La distribution des

publications territoriales

atelier 7 Économie des supports

atelier 8Objectif 75 % de tri

atelier 9Identité sonore

17:00 17:00 17:00carrefour numérique 5 / Consommation

d’internet, point sur les usages

17:00

conférence stratégique 2retour sur la Crise De la griPPe a

thierry libaert

18:00 18:00 18:00atelier 10

Conduire des achats médiasatelier 11 / Empreinte

écologique des impressionsatelier 12

Le langage des logoscarrefour numérique 6

Les équipes face aux réseaux sociaux

18:00

19:00 19:00 19:00 19:00

20:00

Soirée Chaudron

20:00 20:00

Soirée Chaudron

20:00

21:00 21:00 21:00 21:00

jeuDi 3 DÉCeMbre jeuDi 3 DÉCeMbreConférences stratégiques Parcours Parcours Parcours Parcours Ateliers Ateliers Ateliers Carrefours audiovisuels Visite

Petit déjeuner le Corbusier

Visite De FirMiny

09:00

conférence stratégique 3CoMMuniquer C’est ÉConoMiser

jean-François lanneluCParcours 4

Communiquer sur les questions sociales : un exercice

d’équilibriste ?

Parcours 5

La crise et après ?

09:00 09:00Carrefour audiovisuel 1 / Vidéo

sur le net : arrêt sur image et perspectives

09:00

atelier de production 4L’attractivité des villes

excentrée

atelier 13Les panels

atelier 14Le numéro unique

atelier 15 / Réunions publiques innovantes

10:00 10:00 10:00Carrefour audiovisuel 2

Web TV : défi nir une politique éditorial

10:00

conférence stratégique 4la CaMPagne obaMa à l’ÉChelle

De la FranCethierry VeDel/riCharD Collin

11:00 11:00 11:00atelier 16 / Méthode des

marchés d’impressionatelier 17

L’accueil des nouveauxatelier 18 / E-administration

individualiséeCarrefour audiovisuel 3 / Projet

télévisuel : développer des partenariats

11:00

12:00

La boîte à questionsMartin hirsCh

Les apéros des communicants

12:00 12:00Carrefour audiovisuel 4 / Télévision

locale : augmenter son territoire

12:00

13:00

Déjeuner

13:00 13:00

Déjeuner

13:00

14:00 14:00 14:00 14:00

le grand débatrÉForMe territoriale, rÉgionales…

quelle lisibilitÉ Pour le ChaMP loCal ?

15:00 15:00

16:00 16:00

le temps des métiersla CoMMuniCation resPonsable

17:00 17:00

18:00 18:00

PlÉniÈreà ne Pas louPer

PlÉniÈreà ne Pas louPer

PlÉniÈreà ne Pas louPer

Page 13: Programme Forum 2009

MarDi 1er DÉCeMbre14:00

Accueil à l’offi ce de tourisme de Saint-Etienne Métropole

14:00

15:00

Du MAIà la Cité du design :

un parcours dans la ville

L’eau : une année thématique de communication

Manufacture/Plaine Achille : anatomie d’un grand projet

urbain

Roanne : l’opération Cœur de Cité

15:00

16:00 16:00

17:00 17:00

18:00 18:00

Cérémoniede remise des prix

19:00 19:00

20:00 20:00

21:00 21:00

MerCreDi 2 DÉCeMbre MerCreDi 2 DÉCeMbreConférences stratégiques Parcours Parcours Parcours Ateliers de production Ateliers Ateliers Ateliers Carrefours numériques Visite

09:00 09:00 09:00 09:00

Conférence d’ouverturejean-ChristoPhe ViCtor

10:00 10:00 10:00 10:00

11:00

le temps des élusles enjeux De la MÉtroPolisation

atelier de production 1Le local poubelle,

acte de communication

11:00 11:00

atelier 1Relations presse à l’échelle

d’un territoire

atelier 2Communication budgétaire :

faire parler les chiffres

atelier 3La typographie à l’échelle

des territoires

carrefour numérique 1 / Home-pages (échelle internationale)

11:00

12:00 12:00 12:00carrefour numérique 2

Le citoyen à portée de clic

12:00

L’apéro des nouveaux Remise du prix de la presse territoriale13:00

Déjeuner

13:00 13:00

Déjeuner

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14:00 14:00 14:00 14:00

1+1 = mieux ? Les échellesde mobilité

Sportet territoires

atelier de production 2Europe : rendre proche ?

15:00

conférence stratégique 1Design et lisibilitÉ urbaine

rueDi baur

15:00 15:00atelier 4

Prix de la presse territorialeatelier 5

Tri : analyse des publicsatelier 6 / Petits territoires :

communiquer économiecarrefour numérique 3

L’échelle des cartes

15:00

16:00 16:00 16:00carrefour numérique 4

Mesurer son infl uence sur internet

16:00

atelier de production 3La distribution des

publications territoriales

atelier 7 Économie des supports

atelier 8Objectif 75 % de tri

atelier 9Identité sonore

17:00 17:00 17:00carrefour numérique 5 / Consommation

d’internet, point sur les usages

17:00

conférence stratégique 2retour sur la Crise De la griPPe a

thierry libaert

18:00 18:00 18:00atelier 10

Conduire des achats médiasatelier 11 / Empreinte

écologique des impressionsatelier 12

Le langage des logoscarrefour numérique 6

Les équipes face aux réseaux sociaux

18:00

19:00 19:00 19:00 19:00

20:00

Soirée Chaudron

20:00 20:00

Soirée Chaudron

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21:00 21:00 21:00 21:00

jeuDi 3 DÉCeMbre jeuDi 3 DÉCeMbreConférences stratégiques Parcours Parcours Parcours Parcours Ateliers Ateliers Ateliers Carrefours audiovisuels Visite

Petit déjeuner le Corbusier

Visite De FirMiny

09:00

conférence stratégique 3CoMMuniquer C’est ÉConoMiser

jean-François lanneluC

Communiquer sur les questions sociales : un exercice

d’équilibriste ?

La crise et après ?

09:00 09:00Carrefour audiovisuel 1 / Vidéo

sur le net : arrêt sur image et perspectives

09:00

atelier de production 4L’attractivité des villes

excentrée

atelier 13Les panels

atelier 14Le numéro unique

atelier 15 / Réunions publiques innovantes

10:00 10:00 10:00Carrefour audiovisuel 2

Web TV : défi nir une politique éditorial

10:00

conférence stratégique 4la CaMPagne obaMa à l’ÉChelle

De la FranCethierry VeDel/riCharD Collin

11:00 11:00 11:00atelier 16 / Méthode des

marchés d’impressionatelier 17

L’accueil des nouveauxatelier 18 / E-administration

individualiséeCarrefour audiovisuel 3 / Projet

télévisuel : développer des partenariats

11:00

12:00

La boîte à questionsMartin hirsCh

Les apéros des communicants

12:00 12:00Carrefour audiovisuel 4 / Télévision

locale : augmenter son territoire

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Déjeuner

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Déjeuner

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le grand débatrÉForMe territoriale, rÉgionales…

quelle lisibilitÉ Pour le ChaMP loCal ?

15:00 15:00

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le temps des métiersla CoMMuniCation resPonsable

17:00 17:00

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21e Forum de la

communication

publique et territoriale

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Ateliers

Communication budgétaire :

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Communication budgétaire : faire parler les chiffres

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faire parler les chiffres

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La typographie à l’échelle des territoires

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Tri : analyse des publicsatelier 6 /

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Petits territoires : communiquer économie

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atelier 8Objectif 75 % de tri

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Objectif 75 % de triatelier 9

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atelier 9Identité sonore

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Le langage des logos

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Soirée Chaudron

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Le numéro uniqueatelier 15 /

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L’accueil des nouveauxatelier 18 /

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Cochez les différentes étapes de votre Forum

conférences stratégiques : 45 minutes d’exposé, 45 minutes de débat avec des experts pour mieux cerner les enjeux stratégiques. Parcours thématiques : 3 h pour analyser et mettre en perspective des thématiques fortes de communication.

Ateliers méthodologiques : 1 h pour une approche concrète et concise des sujets pratiques. ateliers de production : une séance de travail en petit groupe pour réfl échir ensemble et ouvrir de nouvelles voies d’action.

Visites professionnelles : un rendez-vous sur le terrain pour mieux appréhender les enjeux de communication et découvrir un petit coin de territoire.

carrefours numériques et audiovisuels : 45 minutes, un format court et interactif pour mieux comprendre l’usage des technologies numériques et des supports vidéos.

Conférences et séances plénières Récréations !

Visites, parcours Ateliers de production

Ateliers Carrefours numériques/audiovisuels

PlÉniÈreà ne Pas louPer

Séances plénières “à ne pas louper”

Programme arrêté au 1er octobre 2009 susceptible de modifi cation. retrouvez le programme détaillé et actualisé sur www.cap-com.org

Page 14: Programme Forum 2009

réseaux sociaux, identités et territoires. Environ 170 directeurs, chargés de com, webmasters et élus étaient rassemblés dans le très bel amphi des

Champs libres. Les plénières avaient posé le cadre et la barre assez haut : pour Stéphane Hugon, sociologue, si les réseaux sociaux se développent, c’est une réponse à la désacralisation de la société, à la perte de confiance dans les institutions et à la nostalgie communautaire.

Les réseaux sociaux seraient-ils alors une évolution subie, issue d’une grande remise à plat de la société ? Non ! Pour Dominique Cardon, chercheur à l’EHESS, qui a dressé les grandes lignes de son étude Sociogeek. L’utilisation des réseaux sociaux reproduit les compor-tements (en les accentuant) en fonction des typologies et des inégalités du monde réel. La propre mise en scène des personnes y répond à une stratégie de construction d’image et de conquête… dont les bénéfices sont at-tendus dans la vraie vie. Une étude qui aurait mérité de longs développements.

Plusieurs ateliers ont permis d’entrer dans la pratique. À défaut d’être exhaustif, on retiendra quelques petits trucs intéressants. Ainsi, on parlera de « service de ré-

seautage social » si on veut parler bien comme il faut devant le juge. On saura aussi que l’application « social ads » de Facebook permet d’évaluer, gratuitement, le potentiel de profils intégrant une appétence pour un pro-duit… ou un territoire. De même, Samepoint.com permet de surveiller votre réputation en ligne, par le suivi de l’activité déployée autour du nom concerné.

Fermement inscrit dans les usages de demain, Cap’Com Net a adressé deux messages d’espoir aux allergiques aux réseaux sociaux :

1 : si vous n’avez pas une stratégie et une utilisa-tion réfléchies, décidées avec les élus, mais juste pour y être, n’allez pas sur les réseaux sociaux car vous n’y améliorerez pas votre réputation numérique ;

2 : si Rennes est à la pointe de la e-technologie, c’est encore (voire plus que jamais) dans la rue Saint-Michel que se réunissent tous les étudiants rennais le jeudi soir, pour discuter sans la médiation de leur ordinateur !

Y.Y.B.

les rÉseaux soCiaux, reProDuCtion Virtuelle D’un MonDe bien rÉel !

Les réseaux sociaux à l’usage des collectivités étaient au cœur des deuxièmes rencontres Cap’Com Net 2.0 qui se sont tenues à Rennes les 24 et 25 septembre dernier. Notes d’un participant dir’com…

innovation et nouvelles technologies

Page 15: Programme Forum 2009

la campagne Obama s’est appuyée sur les réseaux sociaux pour mobiliser des

armées de militants. Perçue comme un nouveau modèle par les élus et les futurs candidats, elle fait l’objet de toutes les at-tentions. Ce qu’on a tendance à oublier, c’est que les systèmes politiques et les pratiques numériques sont totalement différents en France et aux États-Unis. Tout n’est donc pas transposable à l’échelle de notre pays.

Thierry Vedel, chercheur au Centre de recher-ches politiques de Sciences Po, a analysé les mécanismes de cette campagne 2.0. Il pré-sentera, lors d’une conférence stratégique, les mécanismes et les limites du genre ap-pliqué au contexte français.

Vidéo etc.

1521E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

internet, ÉChelle tÉlesCoPiqueSix carrefours numériques permettront de faire le point sur les dernières tendances du web dans les institutions publiques locales, le mercredi 2 décembre :

11:00 L’échelle internationale : que traduisent les home-pages des capitales européennes ?

12:00 L’échelle humaine : le citoyen à portée de clic

15:00 L’échelle des cartes : anciens territoires institutionnels, nouveaux territoires numériques

16:00 L’échelle de mesure : mesurer son infl uence sur internet

17:00 L’échelle des comportements : consommation d’Internet, un point sur les usages

18:00 L’échelle des compétences : les équipes face aux réseaux sociaux

Conférence stratégique 4 / 3 décembre, 10:30

une CaMPagne 2.0 Pour les ProChaines ÉleCtions ?

obamania

De la plénière au « oNe To oNe »les formats du Forum jouent aussi sur les échelles. Cap’Com vous propose de prendre

rendez-vous pour un web diagnostic et des conseils méthodo pour vos projets web… 30 minutes de discussion en tête-à-tête avec Loire numérique, l’association spécialisée au service des TIC.

Fatigué de lire ? Il vous reste la séduction des ima-ges. Les internautes, nous dit-on, passent en

moyenne 2,5 h par mois à regarder des vidéos sur le web. La génération Internet veut que ça bouge ? Elle est servie. L’audiovisuel envahit les écrans… du net.

Un zoom sur les chiffres suffi t à confi rmer ces mu-tations. Youtoube : 25 millions de recherches par jour. L’équivalent de Google, il y a 3 ans. Plus d’1 milliard de vidéos vues par jour. 15 heures de vidéo téléchar-gées toutes les minutes.

Selon Ipsos, les internautes de plus de 12 ans sont 17 % à avoir regardé un fi lm en streaming au cours des 30 derniers jours, soit 3 fois plus que l’an dernier. ABI

Research, un cabinet spécialisé, estime que le nombre d’internautes qui regardent des vidéos en ligne devrait doubler d’ici 2013. Le constat est toujours le même : les mots seuls ne disent pas tout ! Attention cepen-dant : il est diffi cile de mesurer la durée d’attention des internautes. Le fournisseur de solutions TubeMogul estime que 10 % des internautes quittent une vidéo dans les 10 premières secondes et 44 % ne dépassent pas les 30 secondes. Vous voulez communiquer par la vidéo ? Vous avez raison. Mais faites vite.

Source : www.journaldunet.com

La vidéo en ligne est devenue un support de communication

incontournable, notamment chez les jeunes.

Incontournable mais pas forcément effi cace au regard

d’une conso zapping.

tenDanCe aCCro ?auDioVisuel : nouVelles Pratiques, ChangeMent D’ÉChelleDe la vidéo sur le net au lancement de télévisions hertziennes, en passant par la web TV et la création de chaînes thématiques, l’audiovisuel est au cœur des stratégies de communication des collectivités. Bouillonnement, évolution, nouveaux médias, changement d’échelle : 4 carrefours sont dédiés à la place de l’audiovisuel, le jeudi 3 décembre au matin.9:00 Vidéo sur le net : arrêt sur

image et perspective10:00 Web TV : quelle politique

éditoriale ?11:00 Projet télévisuel : développer

des partenariats12:00 Télévision locale : augmenter

son territoiretenDanCe Conso+ 3:24

Page 16: Programme Forum 2009

t enir un Forum à Saint-Étienne sans parler des liens entre sport et communication d’un territoire ? Impossible, tant la légende des Verts est ancrée, tenace, tant l’image de cette ville est liée au football et à tout ce que génère le sport. Ce sera donc…

Comment travailler sur et par le sport en attractivité comme en lien social, la question se pose aux communicants publics. Les modes d’entrée sont multiples, les échelles d’inter-vention aussi. Les villes surtout, mais pas seulement, misent sur le sport comme véhicule d’image et d’attractivité. La création d’un événement, comme le Vendée Globe, porte haut les couleurs d’un territoire et participe à son développement.

un VeCteur iDentitaire PoPulaire

Une compétition réussie permet de mesurer tout à coup, comme à Bourg-Péronnas, Car-quefou ou Guingamp, quel vecteur identitaire populaire le sport peut être. Devenir ville étape du Tour de France, non sans difficulté, représente une occasion unique de faire parler de soi, mais aussi de fédérer petits et grands. Un dossier majeur comme celui de l’accueil des Jeux Olympiques mobilise tout un territoire, des acteurs économiques aux clubs de quar-tiers, dès l’étape de la candidature.

Le sport constitue une opportunité dont les collectivités et leurs communicants peu-vent ou non se saisir. Cela mérite réflexion et illustration : un parcours y sera entièrement consacré.

D.M.

La relation entre le sport et les territoires illustre sans concession les changements d’échelles de notre temps. Frictions entre mondialisation et identité locale, tensions entre individuel et collectif, menaces du tout business et aspiration pour des modèles plus respectueux de l’homme et de son environnement… Autant d’enjeux qui impactent la relation du territoire, de ses institutions, de ses citoyens et du sport. Et donc l’activité des communicants publics, « passeurs » stratèges et acteurs de ces changements exponentiels.

sPort, territoires et CoMMuniCation

une trilogie gagnante ?

Parcours 3 / 2 décembre, 14:30

VerbatiMQuelques mots en forme de réflexion du directeur de la communication de saint-Étienne, Fabrice Van borren

Depuis plus de 30 ans, la ville de Saint-Étienne capitalise sur l’épopée de son club de foot, plus simplement appelé « Les Verts ».Aucun club de sport n’a autant marqué une ville, une région et même un pays. Et pourtant, depuis les résultats sportifs de l’ASSE n’ont jamais plus atteint les sommets.Pendant toutes ces années de galère économique, les Verts ont sauvé la ville d’un oubli médiatique. Et si le renouveau de Saint-Étienne n’est pas dû à son club de foot, personne ne peut nier son impact en terme d’image.La légende des Verts est et restera encore longtemps un élé-ment fédérateur et attractif fort du territoire, et le design ou tout autre activité ne sont pas prêts à la supplanter.Pour la collectivité, il n’y a aucune difficulté à les faire coexis-ter, et elle souhaite toujours s’appuyer sur les Verts, sa dimen-sion sportive et identitaire. On ne peut plus aujourd’hui être « mon produit » lorsqu’on souhaite être un pôle d’attractivité à dimension nationale et même internationale.La difficulté provient de l’évolution du sport professionnel qui s’éloigne inexorablement des territoires. La réflexion des col-lectivités est de savoir jusqu’où elles doivent aller pour main-tenir leurs clubs dans leur environnement. Et les clubs jusqu’où ils peuvent aller sans tuer « la poule aux œufs d’or ». Les Verts peuvent-ils vivre sans Saint-Étienne, et Saint-Étienne peut-elle laisser partir les Verts ?Voilà des questions auxquelles il faudra apporter des répon-ses rapidement, car les électeurs-supporters ne resteront cer-tainement pas sans agir. Le sport spectacle fait partie de la politique événementielle de la ville pour les institutionnels mais les Verts, comme la mine ou le mutualisme font partie du patrimoine stéphanois.

Page 17: Programme Forum 2009

art&Design

Depuis le 19e siècle, le musée d’Art et d’industrie conserve les savoir-faire et métiers d’art stéphanois autour

de trois collections : les armes, les rubans et les cycles. Conçu comme un lieu de forma-tion, il est d’abord destiné aux étudiants de l’école régionale d’arts industriels – deve-nue école des Beaux-Arts de Saint-Étienne – avant de s’ouvrir au grand public.

À la suite de sa rénovation, au début des années 2000, le MAI est devenu un véritable musée de société. Médiateur d’une identité locale, miroir de la ville, il joue un rôle à la fois social et prospectif. Il a pour mission de faire le lien entre le riche pas-sé industriel de la ville et ses traductions contemporaines. La muséographie de l’ins-titution illustre cette volonté de médiation entre passé, présent et futur. Elle allie une présentation historique permanente des col-lections à une programmation d’expositions temporaires offrant un regard contemporain sur les savoir-faire stéphanois.

Dialogue entre art et inDustrie

Les passementiers, les armuriers et les fabricants de cycles ont été les moteurs économiques de la région mais aussi les pionniers du design industriel. Leur volonté était à la fois de concilier création et pro-

duction en série et d’en assurer la diffusion la plus large possible. Dès lors,

la ville de Saint-Étienne a toujours voulu préserver les conditions de ce dialogue en-tre art et industrie. Aujourd’hui, la Biennale

du design et la Cité du design s’inscrivent toujours dans une continuité avec cette tradition.

La visite professionnelle du 1er décembre, dans un parcours allant du MAI à la Cité du design, montrera comment s’est faite cette transition vers la modernité, comment les acteurs institutionnels et économiques ont convergé vers « l’évidence du design ».

les instants Design Du ForuMDu Mai à la Cité du design : un parcours dans la villeVisite professionnelle / 1er décembre, 15:00

Design et lisibilité urbaine ruedi baurConférence stratégique / 2 décembre, 15:00

la typographie à l’échelle des territoiresatelier / 2 décembre, 11:00

le langage des logosatelier / 2 décembre, 18:00

les home pages des sites des 27 capitales européennesCarrefour numérique / 2 décembre, 11:00

MusÉe D’art et D’inDustrie : Des raCines et Des ailes

Portes ouvertes à la Cité du DesignPlateforme de recherche, de création, d’enseignement et de formation, la première Cité du Design de France a été inaugurée le 1er octobre à Saint-Étienne. Conçue comme un véritable outil de développement territorial, elle rassemble des acteurs économiques et culturels régionaux comme nationaux et internationaux autour de projets communs. Son programme de travail s’articule autour des évolutions à l’échelle de la ville et du quartier.La Cité s’organise en trois pôles architecturaux. L’ancienne Manufacture d’armes de Saint-Étienne cohabite avec deux réalisations contemporaines : la Tour observatoire et la Platine. Pour marquer l’événement, la Cité s’est dotée d’un tout nouveau site, au design forcément innovant.Lucky you ! La Cité du Design accueillera la cérémonie de remise du Grand Prix Cap’Com le mardi 1er décembre à 18h30.

En [s]avoir + : www.citedudesign.com

1721E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

City

Visite Pro 1

1er décembre

15:00

Page 18: Programme Forum 2009

ouvert à la seule candidature des struc-tures, le Grand Prix Cap’Com cultive cette particularité dans le monde des

palmarès « communication ». Plus attiré par l’argument que par l’image, il s’attache avant tout à la dimension stratégique de la communication, à des démarches globales, à l’adéquation entre objectifs et moyens.

Les catégories du concours ne sont seg-mentées ni par type d’organisme ou taille de collectivité ni par support mais distinguent les cinq grandes fonctions de la communica-tion publique (voir ci-dessous). La gratuité et la simplicité de la participation sont éri-gées en principe pour garantir l’accès de tous au concours. Conséquence, les petites collectivités sont primées comme les gran-des et les campagnes élaborées en interne

sont tout autant valorisées que les campa-gnes d’agences. Le Grand Prix 2008 en est une illustration : Les Sables d’Olonne a su rebondir sur l’échouage sur ses plages du cargo Artémis. « Les Sables, vous ne voudrez plus les quitter » : une belle opération de marketing territorial totalement imaginée par le service com et qui aura coûté en tout et pour tout 600 € !

La diversité des campagnes et des émet-teurs permet au jury de découvrir les tendances de la communication publique. Elle conforte le Grand Prix dans sa fonction d’observatoire. Ainsi, on a vu apparaître le développement durable comme axe fort de l’action publique bien avant le Grenelle de l’Environnement et le « green washing » des grandes marques. Le Grand Prix a vu aussi

la montée en puissance de la coproduction, dont Only Lyon reste une référence, ou en-core le rôle joué par les collectivités dans la mobilisation des citoyens lors des prési-dentielles de 2007.

À cette connaissance de la communica-tion locale, s’ajoute la reconnaissance de la fonction au sein des structures. Un prix Cap’Com légitime parfois en interne l’action du service communication. Il valorise le pro-fessionnalisme de l’équipe tout autant que l’action des élus. Bref, d’où que l’on parle, un prix ça fait toujours plaisir…

Chaque année, les dossiers doivent être présentés avant le 10 octobre. Le palma-rès est proclamé à l’occasion du Forum Cap’Com.

entre connaissance et reconnaissance de la communication

granD Prix

PhiliPPe bertranD, PrÉsiDent Du jury 2009Cet homme de radio est aussi un homme des territoires. Journaliste à France Inter, il sillonne la France et présente, chaque jour à 12 h 30, l’émission Carnets de campagne. Depuis 4 ans, il met à l’honneur les acteurs du local et part en croisade contre la déprime trop vite partagée.

5 CatÉgories Pour DÉFinir la CoMMuniCation territorialeLes catégories du Grand Prix Cap’Com définissent une géographie de la communication publique locale en 5 territoires d’intervention : faire évoluer les comportements, assurer la pédagogie de l’institution, animer le territoire, accompagner les projets et les chantiers, promouvoir le territoire.

Des sÉanCes Posters Pour bien CoMPrenDre

De courtes séances de présentation des opérations primées au Grand Prix seront proposées tout au long du Forum. Les lauréats seront invités à expliquer points forts et points faibles de leur démarche avant d’échanger de manière informelle avec le public. Les séances posters se tiendront dans l’espace d’expo des campagnes primées.

la Presse territoriale PlÉbisCitÉe Par les FrançaisLe premier baromètre sur « les Français et la communication locale » confirme la place fondamentale de la presse territoriale dans le paysage communicationnel. Les journaux de collectivités apparaissent comme le premier média d’information locale (89 %) devant la télé (88 %), la radio (62 %), la PQR (52 %) et Internet (37 %). Le 11e Prix de la presse territoriale, organisé par l’Université Bordeaux 3 et Cap’Com, récompensera les meilleures publications internes et externes des collectivités de l’année 2009. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 10 novembre. Le palmarès sera dévoilé lors du Forum Cap’Com à Saint-Étienne.

Le Grand Prix Cap’Com distingue depuis 21 ans les campagnes de communication des institutions publiques et révèle les nouvelles tendances de la communication locale.

Téléchargez le dossier de candidature sur www.cap-com.org

Des ateliers autour Des

PubliCations territorialesPremiers supports de

communication des collectivités et des

organismes publics, les publications feront l’objet d’ateliers spécifiques. Au

programme : pub ou pas pub, l’économie des supports ;

papier, encre, transport : les critères de l’éco-impression ;

les tendances 2009 de la presse territoriale.

Page 19: Programme Forum 2009

Rien de tel qu’une présentation in situ pour comprendre la réalité des enjeux de communication propres à un projet. L’occasion de porter un autre regard sur la ville, de vivre le Forum dans son territoire d’accueil.

avec son patrimoine Le Corbusier exception-nel, Firminy constitue l’un des trois points forts d’attractivité touristique de l’agglomération sté-

phanoise.Venir découvrir Firminy, quelle drôle d’idée ! Mettre

ses pas dans ceux de plus de 30 000 visiteurs par an, dont plus d’un tiers d’étrangers, pour se laisser griser par l’architecture audacieuse de Le Corbusier puissance 4 : la Maison de la culture et son chantier de restauration, le stade et l’église Saint-Pierre qui forment le centre civi-que, et l’unité d’habitation. Principale réunion en Europe et en un site de l’architecte de la Charte d’Athènes, ad-miré et/ou haï, qui ne laisse jamais indifférent.

Découvrir Firminy, pour savoir comment cette vil-le de 18 500 habitants se lance éperdument dans une démarche d’inscription de ce patrimoine moderne au Pa-trimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO.

Découvrir Firminy, tout son patrimoine, son château magnifiquement restauré, son musée des Pompiers et la belle collection en France de véhicules de pompiers, son centre ville, lieu de chalandise qui irrigue toute la vallée de l’Ondaine jusqu’en Haute-Loire, son passé in-dustriel et minier, ses habitants, nommés les Appelous, en référence à… à vous de le découvrir.

Laissez-vous guider dans l’univers corbuséen le temps d’un petit déjeuner à l’église Saint-Pierre pour mieux comprendre l’architecture du site mais aussi celle de la communication d’une ville qui a bien d’autres cho-ses à dire.

M.P.

Visites professionnelles

1921E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

roanne Vient De Donner le CouP D’enVoi Du Projet Cœur De CitÉL’opération de rénovation du centre ville s’étalera jusqu’en 2013 et s’articulera en deux phases. Une charte graphique spécifique a été créée pour abriter l’ensemble des supports de communication. La première Lettre du projet Cœur de Cité est parue en septembre. Elle présente les points forts et les points faibles de deux projets alternatifs d’aménagement. Une exposition de sensibilisation à la consultation a été installée cet été sur les grilles du lycée et un questionnaire administré à la population. La phase de concertation sur les travaux débutera à l’automne 2010. La totalité du projet sera animée à travers d’autres supports de communication : site Internet, dépliants, signalétique de travaux… La visite professionnelle, organisée le 1er décembre, permettra de discuter de l’ensemble du processus. Mais pas seulement : la ville de Troisgros pourrait bien réserver une petite surprise !

Petit-déjeuner Le Corbusier / 3 décembre, 8:30

Visite Pro 4 / 1er décembre, 15:00

les Visites ProFessionnellesMardi 1er décembre, 15:00Départ depuis toteM, l’office de tourisme de saint-Étienne Métropole

– Du MaI à la Cité du design : un parcours dans la ville

– L’eau, une année thématique de communication

– Manufacture – Plaine achille : un grand chantier de rénovation urbaine

– roanne : l’opération Cœur de Cité

&

CitiesForuM

© Philippe Hervouet

Page 20: Programme Forum 2009

«C ap’Com c’est bien, mais c’est trop cher. » La remarque, fréquente, est souvent justifi ée, notamment pour les petites collectivités,

mais pas seulement. Et pourtant, à bien y regarder, le coût d’inscription n’est pas très élevé par rapport à l’économie globale de la manifestation. Car la structure n’est pas fi nancée par des cotisations annuelles comme le sont généralement les associations professionnelles ou les fédérations. Elle ne bénéfi cie pas non plus de subventions de fonctionnement de la part de ministè-res ou de grandes institutions. Le budget est fi nancé à 50 % par des partenaires, au premier rang desquels les collectivités du territoire d’accueil. Les 50 % restants sont partagés entre les participants qui acquittent des droits d’inscription établis en fonction de la taille de leur organisme.

une annÉe De CoProDuCtion

La réalité est celle d’un budget de 500 000 € répartis à parts à peu près égales entre le travail de préparation – une année entière est nécessaire pour coproduire la manifestation avec les acteurs du territoire – et les coûts logistiques d’une manifestation de 1 000 personnes. Sans le soutien des partenaires, le coût d’inscription moyen serait de 1 200 € alors qu’il s’établit à 545 €. Un chiffre à comparer au coût de journée de la formation continue – généralement 600 à 1 300 € – et qui peut être envisa-

gé comme un investissement. En 2009, les tarifs restent identiques à 2008.

Chaque année le budget du Forum est à reconstruire avec plus ou moins de visibilité. En période de crise, l’in-vestissement des partenaires est plus diffi cile. La fi délité et l’engagement de long terme deviennent des arguments économiques. En période de grippe, c’est la fréquenta-tion qui peut inquiéter les organisateurs. Car seule la participation garantit au Forum sa pérennité.

une institution Fragile

En 20 ans, le Forum Cap’Com est devenu une sor-te d’institution. Cela ne doit pas masquer la fragilité structurelle de son économie. Car c’est à la fi n que l’on équilibre dépenses et recettes. Ou pas. Le jeu en vaut la chandelle. Par conviction, Cap’Com assume le risque. Le risque, pour l’équipe, une institution, lui aussi.

D.M./F.B.

FlashFaire parler les chiffres est un exercice diffi cile. Un atelier consacré à la communication budgétaire apportera des éléments de méthodologie.

un DisPositiF D’aCCueil sPÉCiFique Pour les PriMo CaP’CoMiensVous venez pour la première fois au Forum. Vous vous retrouvez au milieu de 1 000 personnes qui, comme vous, s’attellent aux mêmes missions professionnelles. Vous avez beau être communicant sur le papier comme dans l’âme, il n’est pas forcément facile de se repérer, de s’intégrer… Cap’Com essaye cette année de faciliter votre « baptême initiatique » à travers quelques dispositifs :– des badges de couleurs différentes

pour savoir à qui s’adresser– un temps de rencontre avec les

membres du comité de pilotage– et parce que l’utile peut-être

agréable, un apéro des nouveaux, rien que pour vous !

atelier 2 / 2 décembre, 11: 00

les esPaCes Du ForuMl’espace partenairesUn lieu pour rencontrer les partenaires de l’action locale sur leur stand ou sur un canapé.

le bistro de la com’Un café, une bière et des

brèves de comptoir !

la librairieUne riche bibliographie sur les thématiques du programme, les dernières parutions sur la communication publique et tous les ouvrages des intervenants.

l’espace multimédiaDes ordinateurs en

libre-service, des web diagnostics personnalisés,

des présentations de nouveaux outils.

Décryptage

le ForuM en ChiFFres : ÉConoMie D’une ManiFestation

L’économie du Forum, remise en cause chaque année, est partagée à parts égales entre partenaires et participants.

Page 21: Programme Forum 2009

U N T O T E M P O U R É C L A I R E R L A L A N T E R N E

D E S C O M M U N I C A N T STous à l’OT ! L’Offi ce du tourisme de Saint-

Étienne Métropole, plus connu sous le nom de

TOTEM, se met à disposition des Cap’comiens

pour faciliter leur séjour à Saint-É. L’équipe de

Benoît Remy a organisé l’hébergement des par-

ticipants au Forum en pré-réservant des cham-

bres d’hôtel. L’offi ce de tourisme sera également

le point de rendez-vous des participants aux

visites professionnelles du mardi 1er décembre

après-midi.www.tourisme-st-etienne.com

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Nous avons sélectionné pour vous une série d’articles destinés à faciliter votre séjour à Cap’Com. Lire attentivement les notices avant

de passer commande. Les articles ne seront ni repris ni échangés. La maison ne fait pas crédit.

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pratiques du site de Cap’Com)

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réservant votre billet en ligne depuis notre site.

• En voiture : grâce au dispositif de covoiturage, vous voyagerez responsable

et ferez connaissance avec vos camarades cap’comiens pendant les heures

de route ! Rendez-vous sur le site www.covoiturage76.net

• En transports en commun : accédez à tous les plans et les horaires de tram et de bus sur www.stas.tm.fr

le site de la STAS, les transports urbains de Saint-Étienne.

• Et pour coordonner l’ensemble de vos moyens de transport, rendez-vous sur www.multitud.org la plate-

forme d’intermodalité de la Région Rhône-Alpes.

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Contexte économique oblige, les tarifs d’inscription sont identiques à ceux de l’an

dernier. Pour garantir l’accès de tous, ils sont établis en fonction de la taille de l’or-

ganisme. En cas de situation particulière, n’hésitez pas à contacter Cap’Com.

• 1 journée (mercredi ou jeudi) : tarif unique / 490 € HT

• 2 ou 3 journées (mardi, mercredi, jeudi) :

– villes de moins de 10 000 hab., communautés de communes / 390 € HT

– collectivités de 10 000 à 50 000 hab., associations / 630 € HT

– collectivités de + de 50 000 hab., organismes publics, agences, consultants, entreprises privées / 790 € HT

• Les visites professionnelles (mardi après-midi) : tarif unique / 150 € HT

• Tarifs spéciaux :

– universitaires / 200 € HT

– étudiants et demandeurs d’emploi / 50 € HT

• Abonnement annuel au centre de ressources en ligne : tarif spécial Forum / 100 € HT (au lieu de 150 € HT)

NB : l’inscription au Forum Cap’Com relève de la formation professionnelle. Elle est prise en charge par les fonds formation et les OPCA.

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s’insCrire en ligne…

…www.cap-com.org

2121E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

Page 22: Programme Forum 2009

PeoPle21e cérémonie de remise du Grand Prix Cap’ComMardi 1er décembre à 18 h 30 à la Cité du design

ConCertAlain SouchonMardi 1er décembre à 20 h au Zénith de Saint-Étienne

Presse11e cérémonie de remise du

Prix de la presse territorialeMercredi 2 décembre à 12 h 30 au Centre de congrès

PeoPleSoirée

guinguette de la communicationMercredi 2 décembre à 20 h au stade Geoffroy Guichard

CultureVisite privée des collections d’art moderneJeudi 3 décembre à

18 h au musée d’Art moderne

briColageDémontage de stands et de kakémonos auto-portantsJeudi 3 décembre à 20 h Centre de congrès

à table

Florilège de bonnes tables stéphanoises, en fonction de vos envies…

les gastronoMiques

nouvelle(restaurant étoilé, ambiance contemporaine-zen)30, rue Saint-jean04 77 32 32 60

Le regency(cadre intime et reposant)17, boulevard jules janin04 77 74 27 06

restaurant andré Barcet(meilleur ouvrier de France, déco style anglais)19, bis cours Victor Hugo04 77 32 43 63

les bonnes aDresses

Insens restaurant(jeune chef, cuisine créative)10, rue de Lodi04 77 32 34 34

L’Épicurien(la cuisine d’un jeune chef créatif)13, rue Praire04 77 41 09 19

Le Carré soft(esprit tendance)3, place Grenette04 77 25 83 47

Le Bistrot de Paris(une « institution » stéphanoise)7, place jean jaurès04 77 32 21 50

Corne d’aurochs(cuisine bouchon lyonnais)18, rue Michel Servet04 77 32 27 27

La Mandragore(cuisine italienne)15, rue des Martyrs de Vingré04 77 38 50 70

LeS « SuR Le Pouce Dans un joli DÉCor »

on s’appelle revient5, rue de Lodi04 77 32 57 08

Brèves de tables(seulement le midi)2, rue Dormand04 77 25 31 76

blogosphère

Contexte

1er jour de boulot à Saint-Étienne, pause déjeuner. Horrible, un gros moment de solitude.Un de mes nouveaux collègues :

– Qui va au Chaudron ce soir ? Ça va être le feu !Moi, avide d’intégration, ne connaissant ni la ville ni quoi faire, je saute sur cette opportunité d’insertion dans la discussion :– Le chaudron, marrant comme nom

(j’essaie de me sociabiliser oui !) C’est un bar ?

Et là, le moment d’extrême solitu-de : une quinzaine de regards os-cillant entre étonnement, moque-rie et condescendance.– Tu déconnes là ?– Non (rouge comme une pivoi-

ne, m’étant rendue compte que l’heure était grave ici à Saint-Étienne).

– Le Chaudron. THE STADE. Geoffroy Guichard, les verts. Mais, c’est pas possible, tu sors d’où, toi ?

J’ai pas osé répondre.

… 4 ans Plus tarD : Ma VengeanCe.

La soirée du 21e Forum Cap’Com, dans les salons… du Chaudron ! Alors là, s’ils savaient.En plus, la soirée promet d’être atypique. Une guinguet-te, un orchestre, 900 communicants et là : le Chaudron bout, la potion prend…

A.L.

Vu sur la toile, cet extrait du blog d’une exilée lyonnaise à Saint-Étienne.

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soirÉeChauDron

un ÉquiPeMent MÉtroPolitainConstruit en 1931, le stade Geoffroy Guichard doit son nom au fondateur des magasins Casino dont le siège est à Saint-Étienne. Baptisé le « Chau-dron », il dégage les soirs de match une fumée qui lui donne ce surnom. Ses 2 600 m2 de panneaux solaires en font la première centrale photo-voltaïque de France capable de produire l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 60 maisons individuelles.Le stade est un élément d’attractivité important pour la Métropole qui en est propriétaire. L’office du tourisme métropolitain y organise régu-lièrement des visites, des salons et des séminaires.Après rénovation, le stade verra sa capacité passer de 35 600 à 41 000 pla-ces. Il permettra à Saint-Étienne Métropole d’accueillir de grandes manifes-tations sportives et de proposer un projet ambitieux pour l’Euro 2016.

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horosCoPe

lionDésolé. Voir à poisson.

girafeau moins, vous n’avez pas besoin d’échelle.

escargotPas de chance, ils viennent juste de partir. rendez-vous au Cap’Com 2010.

PoissonSaint-Étienne 2009, année de l’eau. Cette année, vous êtes le roi des animaux.

bananeVous, vous n’avez rien à faire dans l’horoscope.

taupeLe bout du tunnel n’est plus très loin.

FuretCourez, courez…

zèbreLes rayures vous grossissent, essayez le pull jacquard.

ChienEt paf !

MoustiqueMalgré le réchauffement climatique, sortez couvert !

DindePlus que trois semaines… chauds les marrons !

PerroquetÇa va, on sait que le 21e Forum Cap’Com se tiendra à Saint-Étienne les 1er, 2 et 3 décembre 2009 !!!

DÉtente

horizontaleMent1 – Voie d’accès à Saint-Étienne. Accueilli avec faveur. 2 – Ceux de Cap’Com ne supportent pas le bricolage. Communicateurs africains. 3 – Qui se fait par les deux yeux. Moderne à Saint-Étienne. 4 – À Saint-Étienne, celui de la rue Aristide-Briand a été restauré. Note. Cité mafieuse. 5 – Négation. Joliment découpé. Long fleuve tranquille. 6 – Tenir la barre. Article. Prophète qui sépara le bien du mal. 7 – Communicateurs très à cheval sur les dépêches. Dernier mot du curé. 8 – Dans le courrier ou l’effectif, par exemple. Multinationale très branchée. Union africaine. Le haut du panier. 9 – Bonne pour la gamelle du chien. Attaché au pieu. 10 – Insulte haddockienne. Saint des Pyrénées. 11 – Le tchache à Bill. Rédigent pour le dir’com. Ville du Burkina Faso. 12 – Ville célèbre pour sa dépêche. Diffuseurs d’infos. 13 – Célébrité sportive stéphanoise. Adverbe. Infinitif. Couleur de robe. 14 – Initiales d’un célèbre journaliste du Canard enchaîné. Il a droit de cité à Saint-Étienne. Arbre. 15 – Débat d’experts rugueux entre communicants (deux mots pour un jeu de mots !).

VertiCaleMent1 – Pour bigophoner. Saint-Étienne n’a jamais mis les siens au rancart. 2 – Emploierons. On y trouve même des mains ! 3 – On y convole à la sauvette. Âmes errantes. 4 – Pâté de maisons. Agent de liaison. Non communiqué. Guerrier parti sans laisser de thraces. 5 – En anglais : « Oh ! I see. ». Courons le jupon sur le cours Fauriel. Entre Charybde et Scylla. 6 – Délaissée sur le cours Fauriel. Met les voiles… en plis. École supérieure de commerce. 7 – Elle aussi revendique la couleur verte. Moitié de Badinguet. 8 – Tout sauf Albert. À la taille

du rat. Transport routier de marchandises. Abréviation d’un célèbre éditeur scolaire. 9 – Glace. Salie. Début de collection chez Gallimard. 10 – Échassier des mers chaudes. Licencieux. 11 – Cause d’étranglement. Accompagne Paulo. Pétoche. 12 – Bras armé d’Obama. Quand le dir’com est une mère pour le maire. Note. 13 – Dans la Loire, sa côte finit par une bonne descente. Cimetière pour élus déboulonnés. 14 – Embrassade provoquée par la remise du Grand Prix de Cap’Com. Maladie professionnelle reconnue chez certains dir’com. 15 – Bloc en morceaux. Émotion engendrée par le Grand Prix de Cap’Com. Possessif.

Cap’Com le programmerédaction : Cap’Com – 3, cours Albert Thomas – 69003 Lyon Tél. 04 72 65 64 99 – Fax 04 72 65 66 80 – [email protected] de la publication : Dominique Mégardrédacteur en chef : Florent Bonnetainont participé à la rédaction de ce numéro : Anne Lyonnet, Bernard Deljarrie,Thierry Libaert, Fabrice Van Borren, Yann-Yves Biffe, Laurent Michel, Muriel PelissierPublicité/Développement : Lucie TexierCourrier des lecteurs-inscriptions : Sabrina Prido, Mathieu VivantWeb : Pierre Gilbert, www.cap-com.orgCréation du visuel : Communiquez – Lyoncréation de la maquette : Génaro Studio – Lyonsecrétariat de rédaction, mise en page : Chorégraphic – Bourg-en-Bressecrédits photographiques : Cap’Com/Hervé Hugues, Ville de Saint-Étienne, Saint-Étienne Métropole, Radio France/Christophe Abramowitz, Corinne Guillemot, Fotolia.impression : Komodo Graphic 2000. Imprimé sur papier recycléJournal programme – Document non contractuel

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2321E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

Page 24: Programme Forum 2009

CAP’COM

21E FORUM CAP’COMDE LA COMMUNICATIONPUBLIQUE ET TERRITORIALE

NOS PARTENAIRESPartenaires institutionnels

Partenaires offi ciels

Partenaires professionnels

Partenaires réseaux

Partenaires médias

365 jours De CoMLe Forum Cap’Com est le rendez-vous annuel des communicants de la sphère publique locale et de leurs partenaires. Il est, depuis plus de 20 ans, le lieu de rencontre des petites et des grandes structures, des jeunes professionnels et des vieux routiers, des acteurs publics et privés qui, toutes compétences confondues, partagent une même approche de la communication de service public.

Tout au long de l’année Cap’Com anime le réseau des communicants publics et territoriaux et met à disposition plusieurs outils :– un catalogue de formation

spécialisé– des rencontres

professionnelles thématiques– un centre de ressources en

ligne– un Grand Prix de la

communication publique – des outils d’échanges et de

mise en relation du réseau– une newsletter sur l’actualité

de la communication publique

www.cap-com.org