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1 Quand Ça Devient Réalité J’aimais discuter sur ce site un peu pervers. Qu’importe si les gens derrière leur écran mentaient sur qui ils étaient vraiment, j’aimais parler de mes fantasmes avec eux. Je discutais souvent avec des femmes, ou peut-être des hommes se faisant passer pour des femmes - et parfois la discussion déviait sur leurs enfants, et on se laissait aller. On parlait de sexe, de pédophilie, de viol parfois...... seul devant mon ordi je me branlais en discutant. J’avais 65 ans et je n’avais jamais eu l’occasion de tenter quoi que ce soit sur des petites filles, alors depuis internet, je laissais libre court à mon imagination. Les (fausses) mères sur ce site me parlaient de leurs petites filles, que leur mari les violait, et qu’elles approuvaient. Je trouvais ça tellement gros que je n’y croyais pas. Mais ça me permettait de fantasmer. Certaines me donnaient leur email pour une correspondance, mais ne répondaient plus jamais. Je ne me faisais pas d’idées. J’allais sur internet pour passer un bon moment, c’est tout. Faut dire que je vivais seul, j’étais encore très actif et j’entretenais mon corps. J’avais besoin de ces fantasmes et de ces discussions. Un jour je me suis mis à discuter avec une jeune femme, qui avait une petite fille de 7 ans appelée Farah. Elles habitaient dans mon département. On a parlé à plusieurs reprises, elle venait toujours vers moi discuter, par politesse je répondais, mais elle ne m’intéressait pas plus que ça. Elle n’avait pas de discussion « perverse » comme je le désirais. Mais à chaque fois j’en savais un peu plus sur sa vie. Elle vivait seule à 25 minutes de mon domicile (je trouvais ça d’ailleurs tellement gros que je n’y croyais pas), avec sa fille qui avait des problèmes de troubles visuels, qui demandaient des soins chez un ophtalmologue spécialisé là-dedans. Cette petite voyait très mal sans lunettes (comme on dit, sans « culs-de- bouteille »). Considérée comme mal voyante, elle devait se faire opérer pour retrouver une vue plus ou moins normale, mais n’avait pas assez d’argent pour avancer la somme. Je ne relevais pas, je la plaignais, lui souhaitais plein de courage. Au fil des discussions j’essayais de lui faire comprendre, par des phrases subtiles et détournées, que les petites filles m’intéressaient. Mais elle ne répondait pas ou ne comprenait pas. Moi je me confiais un peu à elle, disant que j’avais eu un emploi qui me permettait d’avoir une très bonne retraite, que je vivais bien, mais seul, et que la solitude me pesait parfois. Un jour, pendant une discussion, elle m’a demandé si sa fille m’intéresserait. N’étant pas sûr de comprendre, je lui ai demandé dans quel sens. Et elle me répondit : – J’ai bien compris, depuis le début, que les petites filles, c’est ton truc, que tu fantasmes sur elles, et tu dois même te branler en pensant à elles. Donc je te demande si tu as envie de la mienne ? Un peu étonné, mais franc (et n’étant pas sûr non plus que ce soit une vraie mère derrière son écran), je lui réponds que oui, je me la ferais bien. Et là elle me proposa de (et c’était ses mots) violer sa fille en échange du montant de l’opération. Sûr que c’était encore un de ces pervers qui se faisaient passer pour une mère, je lui dis que j’acceptais, j’avais l’argent, je pouvais l’aider sans problème et je me ferais une joie de baiser sa gamine. Elle me donna son email. Sans grande conviction, le soir même, je lui écris un petit email pour lui rappeler ce qu’elle m’avait dit.

Quand Ça Devient Réalité

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Un vieil homme viole une fillette à la demande de sa mère.

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Quand Ça Devient Réalité

J’aimais discuter sur ce site un peu pervers. Qu’importe si les gens derrière leur écran mentaient sur qui ils étaient vraiment, j’aimais parler de mes fantasmes avec eux. Je discutais souvent avec des femmes, ou peut-être des hommes se faisant passer pour des femmes - et parfois la discussion déviait sur leurs enfants, et on se laissait aller. On parlait de sexe, de pédophilie, de viol parfois...... seul devant mon ordi je me branlais en discutant.

J’avais 65 ans et je n’avais jamais eu l’occasion de tenter quoi que ce soit sur des petites filles, alors depuis internet, je laissais libre court à mon imagination. Les (fausses) mères sur ce site me parlaient de leurs petites filles, que leur mari les violait, et qu’elles approuvaient. Je trouvais ça tellement gros que je n’y croyais pas. Mais ça me permettait de fantasmer. Certaines me donnaient leur email pour une correspondance, mais ne répondaient plus jamais. Je ne me faisais pas d’idées. J’allais sur internet pour passer un bon moment, c’est tout. Faut dire que je vivais seul, j’étais encore très actif et j’entretenais mon corps. J’avais besoin de ces fantasmes et de ces discussions.

Un jour je me suis mis à discuter avec une jeune femme, qui avait une petite fille de 7 ans appelée Farah. Elles habitaient dans mon département. On a parlé à plusieurs reprises, elle venait toujours vers moi discuter, par politesse je répondais, mais elle ne m’intéressait pas plus que ça. Elle n’avait pas de discussion « perverse » comme je le désirais. Mais à chaque fois j’en savais un peu plus sur sa vie. Elle vivait seule à 25 minutes de mon domicile (je trouvais ça d’ailleurs tellement gros que je n’y croyais pas), avec sa fille qui avait des problèmes de troubles visuels, qui demandaient des soins chez un ophtalmologue spécialisé là-dedans. Cette petite voyait très mal sans lunettes (comme on dit, sans « culs-de-bouteille »). Considérée comme mal voyante, elle devait se faire opérer pour retrouver une vue plus ou moins normale, mais n’avait pas assez d’argent pour avancer la somme. Je ne relevais pas, je la plaignais, lui souhaitais plein de courage.

Au fil des discussions j’essayais de lui faire comprendre, par des phrases subtiles et détournées, que les petites filles m’intéressaient. Mais elle ne répondait pas ou ne comprenait pas. Moi je me confiais un peu à elle, disant que j’avais eu un emploi qui me permettait d’avoir une très bonne retraite, que je vivais bien, mais seul, et que la solitude me pesait parfois.

Un jour, pendant une discussion, elle m’a demandé si sa fille m’intéresserait. N’étant pas sûr de comprendre, je lui ai demandé dans quel sens. Et elle me répondit :

– J’ai bien compris, depuis le début, que les petites filles, c’est ton truc, que tu fantasmes sur elles, et tu dois même te branler en pensant à elles. Donc je te demande si tu as envie de la mienne ?

Un peu étonné, mais franc (et n’étant pas sûr non plus que ce soit une vraie mère derrière son écran), je lui réponds que oui, je me la ferais bien. Et là elle me proposa de (et c’était ses mots) violer sa fille en échange du montant de l’opération. Sûr que c’était encore un de ces pervers qui se faisaient passer pour une mère, je lui dis que j’acceptais, j’avais l’argent, je pouvais l’aider sans problème et je me ferais une joie de baiser sa gamine.

Elle me donna son email. Sans grande conviction, le soir même, je lui écris un petit email pour lui rappeler ce qu’elle m’avait dit.

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Elle me répondit en joignant une photo d’elle et la petite. Je me disais que c’était le genre de photo qu’on pouvait trouver dans Google Image, j’y croyais pas trop. Je les trouvais jolies, et la petite encore plus. Je me suis branlé en regardant leur photo et imaginant ce qui pourrait arriver.

Le lendemain je la retrouvais sur le salon de discussion. Elle me demanda si j’avais bien reçu sa photo et je l’en remerciai. J’avais l’impression qu’elle avait tout planifié. Elle me dit que comme sa fille ne voit pas grand-chose sans lunettes, je pourrais la violer comme je voudrais, qu’elle ne me reconnaitrait pas. Elle avait même pensé à des scénarios : j’arrive chez elle, fait croire que je suis un voleur, et la petite ne voyant rien, je me la fais et m’en vais. Ou alors, je l’emmène quand elles se promènent en rue, la viole, et la re-dépose à un endroit convenu pour que sa mère la retrouve.

J’étais sûr que c’était du bluff. Alors j’entrais dans son jeu. Je me dis que je ne les verrais jamais. Mais elle me proposa d’utiliser Skype... là, mes doutes se sont un peu dissipés. Curieux, j’acceptai. Le soir même, j’étais connecté, et finalement, elle se connecta. La même jeune femme que sur la photo. Elle n’avait pas menti. Sa fille étant au lit, elle me montra des photos de famille. Petite fille avec de grands yeux cachés sous ses grosses lunettes. Elle ne voyait pas que je me branlais en regardant tout ça et en fantasmant. Là, ça devenait de plus en plus réel, mais j’étais encore sceptique. Je voulais voir la gamine pour être sûr qu’elle ne s’inventait pas une vie.

Ce qu’elle fit le lendemain. Je vis l’enfant, ignorant même la caméra de l’ordinateur. Je ne pus pas rester longtemps connecté, car j’ai dû me branler plusieurs fois sachant qu’elle n’avait pas menti et que je venais de voir une gosse que j’allais peut-être violer.

La mère me paraissait sincère, mais pourtant, je ne voulais pas trop y croire quand même. Pourtant la petite Farah était dans toutes mes pensées. J’allais peut-être réaliser mon fantasme... quand quelque jours plus tard, elle me proposa un rendez-vous. Juste boire un verre ensemble. Pourquoi pas... j’allais sur le lieu de rendez-vous comme prévu, et vu qu’on n’habitait pas loin, c’était dans la ville, un café bien connu. Je m’attendais à ce qu’elle ne vienne pas, mais non, elle était là, avec sa gamine. J’avais de plus en plus de mal pour cacher mon excitation. Tout naturellement, elle me demanda ce que je préférais comme scénario. Je regardais la petite avec ses énormes lunettes, jouer sur sa chaise, sans même me regarder. Je lui proposai le mien...

– Je viens « cambrioler » un soir... elle est dans son lit et je fais mon truc. Toi tu ne bouges pas, tu diras que je t’ai attachée ou autre, tu inventes. Et je te file le blé après.

Elle accepta en disant qu’on fixerait une date par Skype. Encore une fois, je m’attendais à ce qu’elle ne me donne plus jamais de nouvelles. Mais aller jusqu’à une rencontre, c’était inespéré. Pourtant quelques jours plus tard, je la retrouvais sur Skype. Elle me dit qu’elle était chez elle quasi tous les soirs, n’ayant que peu d’argent pour sortir et s’amuser. Je lui dis « le weekend prochain ». Et elle me donna son adresse avant de raccrocher.

La semaine fut longue, et elle ne coupa pas les ponts. Je lui parlais sur le salon de discussion et sur Skype. Puis vint le jour J, où je n’ai eu aucune nouvelle. Tant pis... je décidai d’aller chez elle. Il était 21h... elle habitait une petite maison qu’elle louait, un peu reculée par rapport à la rue, presque isolée, avec un bois derrière, et pas en très bon état. Il faisait sombre, je m’étais garé loin. Je frappai plutôt que de sonner. Et elle m’ouvrit.

– Entre...

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C’était une toute petite maison, j’aurais plutôt dit un appartement sur deux étages... elle me dit que la petite venait d’aller au lit. Elle n’avait pas l’air angoissée. Mais quelle mère pouvait laisser faire ça ? Même si c’était pour une somme d’argent ? Pourquoi pas elle ? Pourquoi sa propre petite fille, d’à peine sept ans ! Pendant un instant, je pensais même que c’était un piège. Mais l’excitation était là...

– Si tu as changé d’avis, je comprends, me dit-elle.

Elle me suivait dans les escaliers. Qu’allait-elle faire ? Écouter ? M’arrêter ? Et si c’était une policière ! ? Elle me montra la chambre. Une porte écrit en très grosses lettres « FARAH ». Elle fit un oui de la tête et disparu dans sa propre chambre. Je restais là au moins trois minutes, à réfléchir. Puis, pour être sûr, j’ouvris la porte de la chambre de la mère. Quel ne fut pas mon étonnement quand je la vis nue sur le lit, prête à se masturber ! Quoi ? M’entendre violer sa fille allait l’exciter ?? Moi aussi alors !! Je refermai la porte, bien qu’elle m’ait vue... et j’ouvris celle de Farah.

La petite dormait et j’entendais son souffle. Il y avait deux veilleuses dans chaque coin pour éclairer timidement la chambre. Je m’approchai et enlevai la couverture... elle dormait nue, entièrement à poil ! Elle avait la position d’une petite fille, en grenouille, jambes totalement écartées. Ses lunettes étaient posées sur sa petite table où elle devait souvent jouer. Je sortis mon sexe, raidit par toute cette aventure. Je caressai son visage pour la réveiller un peu, et elle ouvrit un œil. Quand elle me vit elle se redressa, paniquée. Mais elle n’eut pas le temps de crier après sa mère que je lui sautai dessus et la violai aussi excité qu’un chien en rut. Ses cris devaient réveiller tout le quartier. Je lui défonçai le vagin comme je ne l’avais jamais fait auparavant. Un petit vagin meurtrit par mes coups de bitte, je sentais mon gland cogner tout au fond, et j’essayais de m’y enfoncer encore plus, blessant sans doute son utérus. Je pouvais voir le sang sur son petit lit, j’avais une main sur sa bouche, et je la baisais.

Je ne me contrôlais plus. Je m’allongeais sur elle, je la violais. Quand elle se calma malgré le fait que je la pilonnais tel un sauvage, je la retournai sans sortir ma queue de son vagin d’enfant, et la pris en levrette. J’accélérais mes aller et venues, je sentais ma bitte déformer son ventre, je la tirais vers moi pour la prendre plus profond. Elle pleurait, criait. Je m’imaginais sa mère se prendre des godes entendant sa fille se faire culbuter. Je sortis ma queue de son vagin tout dilaté, et cracha sur son anus pour avoir la conscience de l’avoir un peu lubrifiée. Et je me mis à sodomiser l’enfant d’un coup, jusqu’à la garde. Elle poussa un cri de douleur, comme un cochon qu’on égorge. Je réalisais mon rêve. J’enculais et violais une petite fille. Avec l’accord de la mère, en plus ! J’étais à genoux, la tenant par les hanches et la tirant vers moi, pendant que je lui donnais des coups de bitte difficilement supportables pour une femme adulte, alors pour une gamine de sept ans...

Elle ne criait plus, mais pleurait à chaudes larmes. Je continuais la sodomie sans aucun sentiment de pitié. J’avais du mal à me calmer. J’étais excité et je n’étais pas prêt de finir. Je sentais ma queue au fond de ses entrailles, serrée comme jamais. Je l’enculai encore et encore, cette petite. Puis la retourna comme une poupée, et la pris de nouveau par le vagin. Le lit grinçait au rythme de la baise que je lui infligeais. Je pensais qu’il allait se rompre. Je sorti ma bitte, et toujours en missionnaire, décida de la sodomiser à nouveau. Je la relevai un peu, et enfonça mon pieu dans son anus agrandi en me couchant sur elle. Elle poussait des râles de douleur, mais je continuai mon viol sans me soucier d’elle. Excité par cette position, je sentis que j’allais me vider. Ce que je fis dans l’anus de Farah. Je laissai ma queue

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jusqu’à la fin, et je quittai sa chambre, la laissant seule, en la menaçant de ne pas bouger de son lit.

J’entrai dans la chambre voisine, où je surpris sa mère allongée sur le lit les cuisses grandes ouvertes, agitant un gode énorme dans sa chatte luisante de mouille. Je m’approchai d’elle... Elle se redressa, un peu honteuse.

– T’as pas envie de me faire la même chose ?

– Non j’ai eu ce que je voulais, tu ne m’intéresses pas, je vais te donner le fric.

Ce que je fis. Je ne lui demandai pas comment elle allait faire croire qu’il y avait eu un cambrioleur. Elle allait pouvoir faire opérer sa fille. C’était le principal. Je partis, et d’un commun accord, on décida de ne plus prendre contact ensemble. Du moins pendant un certain temps. Car j’aimerais revoir Farah dans un an ou deux, pour voir ce qu’elle est devenue, comment elle vit après son viol... et peut-être le refaire...

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