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r =S5 tSuérison de M. Henri LEBRJGTÛK ;>.- «««ut de tuberculose pulmonaire PAR L'ÉLIXIR DDPEYROUX M. Henri LEBRJETON, que- représente 1* photogravure ci-contre, «art »*.» Argentan (Orne) en 1879 et habite 5», rue Saint-Andre-dea-Arb. Paris. Reforme au ré- giment pour bronchite tuberculeuse. En août IOOA, la maladie avait fait dea progrès con- sidérable» -, amaigrissement, transpiration» nocturnes, crachats, oppression autres symptômes de la tuberculose. 11 se mit alors à rEUXIB. DUPEYROUX de lui-même sans venir à ma consultation. Aujourd'hui, «-race 4 ce médicament, il est complètement guéri v'. je l'ai ausculté, ses lésions sont cicatrisées. I> DUPEYROUX, S, Square de Messine, 5, Paris.' P.-S. La fruerison de M. Lohreioo a «té obtenue - fr »y > rrliansml i rKIfadr Dupeyronz as vu et au su de toates les personnes qui le 3 aasBassasaant. CetteeaérMoa n'est bas un^ exception : on compte par saillie» les malades réputés incurables guéris par rglndr Dupeyroui. L..?."» """""E"? 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On ne peut pcKirtant pas tare autre- fnent ! murmura ReginaJd. 'Art moment le jeune homme venait de ttrononcer ces paroles. Trouseeliier. qpa s ô - Uit tenu un peu a lécart iwq^aiora. de- bout sur les dernières marohee de reaaaSor, TrousselBer bondit. Même d'effroa. an mi- laèu du groupe de ses compagnons, en J&ïant : — Ecoulez ! Eoaatez 1 fi» prêtèrent l'oreille ! a,__^» On entendait distinctement 16 Irai allonge (Ton cheval mêlé an roaieinent d u n e vc*- hjre lancée a toute vitesse. claquaient de trayeur. Il nous a suivis!... I) est accompagné, sans doute. En ce cas, il ne nous resterait plus qu'à vemlrre cïiùrement notre vie, rérpondit Cban- terose avec catene- Eli bien l qu'il me tue torat de suri te et que ce soit fini 1 s'écria impétueusement Re- en s'élançant ver» l'escalier. — Nonl non 1 il est toujours temps de penser ainsi, fit Chanterose. — Mvrrton, vous répondez, dé M. de ;a Fougeraye. Et le vaittamt jeune homme, remettant sa lanterne à Juliette, se glissa vers rouvertare de la oave. Il se passa quelques instants véritable- ment atroces. Murton caressait d'une main le manche de son coutelas, et de l'autre retenait René qui se débattait et voulait suivre Chantero- se, tandis que TrousselMeT, porteur de l'une dea deux lanternes, la balançait au bout de son bras tremblant comme si elle eut été agitée par le vent. Enfin, la sahouette de Cbantefioee se dé- gagea des ténèbres. Il est seul 1 prononça-Vu avec un ac- cent de triomphe^ Cette voiture est un cabriolet qu'il est oc- cupé à remiser sons le hangar. Mais le voici ! 1Nous allons donc lutter 1 fit ReginaM. •4 Y pensez-voTJS t reprit Qiaatexose. Croyez-vous que ce fin renard ne ssrâirai* pas refuser le combat et courir chercher des complices, après nous avoir enfermés au moyen d'une de ses combinaisons inferna- les T Cette maison est un nid da chausse-tnap- N 'cmiMkms pas qu'il existe uni secret pour, ouvrir cette porte, et qu'une seule personne peut nous le révéler. Cette personne, cVst le faux César lui- même. — Oui, vous avez- raison 1 ., monsieur Chan- terose, dit Juliette. —• <J'esit Dieu qui nous livre ce-miséra- ble... •— Reste à savoir nous cacher, reprit Chanterose, car le temps presse. Ici ! par ici ! baibuitia TrousselEer, q"Jû tremblait de se retrouver en présence de son terrible patron, et que les mesures de prudence enchantaient fort. flr désigna donc un renfoncement du cou- loir, à droite, une porte basse percée dans la muraille et qui ouvrait suc un petit ca- veau où se voyaient encore des tonameaux vides à moitié pourris. — Courons l courons ! commanda Chan- terose. Tous se glissèrent en une seconde par l'étroite porte du caveau et se dissimulèrent derrière les futailles. — Eteignons les laniternes, ajoutât Tarni. de Juliette, et faisons silence. Sitôt la porte ouverte, M. de la Fouge- raye. Murton et moi, nous bondirons sur le misérable et nous nous emparerons de lui. N'oubliez pas, surtout, qu'il le faut vi- vant. L'obscurité et le silence devinrent pro- fonds. Les amie de Claire entendirent Meillan} qui descendait précipitamment l'escalier. Le bandit s'était aperçu le soâr seulement de la disparition de TrousseHier. La bonne foi de Jenny TrouaseUiier, qui lui avait remis d'elle-même la lettre de son mari, n'était point douteuse ; et comme cette r 1 -^t^-fS-,,, f ~ ~ -r.UTStvS.1 , « « , . « J p ^a P J npn*.yj»* M *-- a «-"° > » aaBË^Xt^^^m^wAae^wtiivtwÊvewA, ésrite st sifinée par Troussellier, semblait écarter ton* soup- car. d'enlèvement, le faux César n avait pu s'arrêter qu'à une seule idée : Troussellier avait machiné quelque enose en dehors de son maître et de sa femme Mais a était possible que 1 ancien méde- cin voulut simplement espionner son com- plice afin de s'assurer des armes contre feii, pour le cas où MeiDlard ne tiendrait pas ses promesses. Oui ! c'était certainement la l'idée qui avait venir à ce coquin de Trousseldier. Parvenu à ce point de ses déductions, Meillard avait éprouvé, non pas des crain- tes mais une légère inquiétude un désir, très vif de hâter au plus tôt le dénouement de son entreprise. *„*»_» „_, Puisque Troussellier voulait pénétrer ses secrets le mieux n'était-il pas d anéantir tout ce'qwi pourrait Faider dans ses reciher- Le faux César, dont l'esprit de décision était l'une des premières qualités, résolut de se rendre immédiatement à Avron, d ar- racher coûte que coûte son secret à Claire parte tortureTet de la livrer ensuite aux chiens qui le débarrasseraient proprement et complètement de cet embarrassant té- moin. Le surlendemain, Juliette devait être as- sassinée; puis 00 serait, aussitôt ap™, tour de René de la Fougeraye de <hsparr*i- tre, et alors Meillard, triomphant sur toute la ligne n'aurait désormais rien àjcrsindre; pas plus des indiscrétions de TrousselUer que des investigations de la P°Jice Ceat en agitant ces pensées dans son es- prit que MeSlard, plus ému qu d ne voulait se Pavouer à toi-même, avait gagnéle pla- teau d'Avron de tonte la vitesse djwnW leur noir, et que maintenant il dégrmgotad plus quli ne descendait, aa lanterne a D en était à réfléchir au genre de souf- îrance qu'il allait taire subir 4 sa captive pour la fanoer à. parler, tarsquil parvint dans le petit couloir. Sans hésitation, ayant approché sa lan- terne die la muraille de gauche, il frappa cette muraille de son poing fermé à l'endroit convenable et aussitôt tes amis de Claire qui, de teuir cachette, avaient pu, sans que MeiBard s'en aperçut, avancer la tête dans lé couloir les amis de Claire, dosons-nous, virent la lourde porte tourner sur ses gonds et s'ouvrir toute grande, démasquant un passage rempli de ténèbres. Medllaid s'engagea dans ce passage et 00 l'entendit crier : Me voici, Oaire Henriot, me voici pour la dernière fois, car c'est cette nuit que voua allez mourir. Le cri d'épouvante que poussa la malheu- reuse ieune fille, si exlraordioairement dé- çue dans ses espérances, en voyant son per- sécuteur entrer dans sa prison au moment ou elle s'attendait à y voir pénétrer ses sau- veurs retentit cruellement jusqu'au coeur de René de la Fougeraye. Sans attendre le commandement de Chan- terose, sains réclamer l'aide de ses compa- gnons armés, l'impétueux jeune homme se jeta sur Bastien Meillard et lui noua se» deux mains autour de la gorge. Il se passa alots une scène qui eut la, ra- pidité de l'éclair. Avant que Murton et Chanterose eurent pu ae lancer pour, prêter main-forte à René, lé faux César, poussant un hurlement terri- ble, et se secouant comme le taureau sous tes nwrsures des banderilles, s'était déjà arraché à l'étreinte de son adversaire. D'un seul bond, MetBard avait déjà r-oané l'extrémité du passage, et s'était appuyé à la porto du compartiment de Claire» fais»»! tes ûmBèrea rr*«+~ffl 4* l'unn-Nr 'ftmn.a un. «frWMire. René allait se jeter de nouveau 6ur lof lorsqu'on piU voir Meillard élever a la liaiv leur de son visage la lanterne qu'il n'avait pas lâchée dans la lutte, et en même temps le canon d'un revolver briller à son poings Il visa une seconde sans que sa maia tremblât Le coup partit et René de la Fougeraye. atteint en pleine poitrine, battit l'air tlj 9M mains et s'écrasa sur le sol- On entendit ie gémissement de Claire quL derrière sa grille, avait reconnu Reginald et venait de s'évanouir au spectacle de sa) chute ; puis la voix de Meillard qui cenit avec un accent de défi : — Touché, compagnon Regtnald... Et d'un l Mais au même instant Murton Peotaoan dans ses bras. La lanterne, cette fois, a'écnappa des mains de l'imposteur et s'éteignit. Dans cette tragique obscurité, on ne porm vjit percevoir que la respiration sifflante des deux hommes luttant 1 un contre Vautrai et les grondements sourds des chiens, leav q-uels sentant auprès d'eux toute cette chai», fralctie, faisaient des efforts désespérés pou» franchir la grille et pénitrer dans 1s cotu partiment théâtre du drmae... Ensuite, ce fut le bruit d'une chute fan midable qui ébranla toute la cave. Lequel des deux combattants avait eu la dessus?, A ce moment, une lueur se dégagea dea ténèbres, et le visage calme de Chanternaa* qui venait de rallumer une de ses InnltsTsi—, parut. La Mène, alors, «'éclaira tant bien <*g na*A-

r Pochette Nationale NUTRIGÊNE Commerçante f · 2011. 5. 15. · Saint-Andre-dea-Arb. Paris. Reforme au ré giment pour bronchite tuberculeuse. En août IOOA, la maladie avait fait

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  • r =S5 tSuérison de M. Henri LEBRJGTÛK ;>.-« « « u t de tuberculose pulmonaire

    PAR L'ÉLIXIR DDPEYROUX M. Henri LEBRJETON, que- représente 1* photogravure ci-contre, «art

    »*.» Argentan (Orne) en 1879 et habite 5», rue Saint-Andre-dea-Arb. Paris. Reforme au ré-giment pour bronchite tuberculeuse. En août IOOA, la maladie avait fait dea progrès con-sidérable» -, amaigrissement, transpiration» nocturnes, crachats, oppression eï autres symptômes de la tuberculose. 11 se mit alors à rEUXIB. DUPEYROUX de lui-même sans venir à ma consultation. Aujourd'hui, «-race 4 ce médicament, il est complètement guéri v'. je l'ai ausculté, ses lésions sont cicatrisées.

    I> DUPEYROUX, S, Square de Messine, 5, Paris.'

    P.-S. — La fruerison de M. Lohreioo a «té obtenue -f r » y > rrliansml i rKIfadr Dupeyronz as vu et au su de toates les personnes qui le 3 aasBassasaant. CetteeaérMoa n'est bas un^ exception : on compte par saillie» les malades réputés incurables guéris par rglndr Dupeyroui. L . . ? . " » """""E"? " * " " " " V* h 'uherculose fait, chaque année, en France, « 0 . 0 0 0 *VKaBMS, cala vient de ce que les médecins ne savent pas la soigner. Pour permettre à Chaque malade de se soigner ha-mcme, j'envoie gratis et franco sur demande, mon TruiUétt «salasses de I appareil rtspiratoirc et une brochure intitulée : « Comment I f çuèris m e s taberouleux s ; de plus, je consulte gratuitement, tous les jour».

    oruia. J'envoie le petit flseau franco à domâsùe

    «•capte le jeudi, de 1 h. à 3 1 * , * • _ • * • • I" Miiiriisjiisssssiis. On questionnaire eal'envové gratis sur deiuasda. .-. L fafaur Dupeyronz 4 base de créosote vraie de houe gsyacoiée, iode, tanin et giveé-• ! ( • l | l l l de chaux, deatrise les lésions pulmonaires, donne de rsppetil, améliore les shgaatiios et prévient Souvent les crachemecU de sang. 11 guérit en provoquant la lur-sastioo d'antitoxines dans le sérum ssnguia. J'envoie la j •untre l fr. 5 0 en timbres o Dépôt a Armentieres chez M. J. LOGEZ, 42, rue des Jardina. ^ i i l6-B

    Annonce Légale i Se M* Francis-J., DE-

    \LASALLE, avoué à Paris, B41, faubourg St-Honoré, et de M» René DËLOZIERE, avoué à Boulogne-s.-Mer,

    ,006, rue Faidherbe,

    fille de Boulogne-sur-Mer

    UNE GRANDE

    PROPRIÉTÉ fîvisée en sept lots d'une con-tenance totale de 3,306 mè-tres carrés, située entre les rue d'Artois, Wissocq, de la Barrière Saint-Michel et de la place de Picardie..

    A V E N D R E te SAMEDI 27 AVRIL 1907

    à 9 h. 1/2 du matin S l'audience des criées du tri-bunal civil de Boulogne-sur-Mer y tTotai des mises à prix :

    80,000 francs

    ^'adresser au greffe du tribunal civil, à M. DUEZ, gdministrateui' judiciaire à Paris, 17, rue Bonaparte, et *ux avoués en cause.

    3797-6

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    par Troussellier, semblait écarter ton* soup- • car. d'enlèvement, le faux César n avait pu s'arrêter qu'à une seule idée :

    Troussellier avait machiné quelque enose en dehors de son maître et de sa femme

    Mais a était possible que 1 ancien méde-cin voulut simplement espionner son com-plice afin de s'assurer des armes contre feii, pour le cas où MeiDlard ne tiendrait pas ses promesses.

    Oui ! c'était certainement la l'idée qui avait dû venir à ce coquin de Trousseldier.

    Parvenu à ce point de ses déductions, Meillard avait éprouvé, non pas des crain-tes mais une légère inquiétude un désir, très vif de hâter au plus tôt le dénouement de son entreprise. *„*»_» „_,

    Puisque Troussellier voulait pénétrer ses secrets le mieux n'était-il pas d anéantir tout ce'qwi pourrait Faider dans ses reciher-

    Le faux César, dont l'esprit de décision était l'une des premières qualités, résolut de se rendre immédiatement à Avron, d ar-racher coûte que coûte son secret à Claire p a r t e tortureTet de la livrer ensuite aux chiens qui le débarrasseraient proprement et complètement de cet embarrassant té-moin.

    Le surlendemain, Juliette devait être as-sassinée; puis 00 serait, aussitôt a p ™ , '« tour de René de la Fougeraye de