Répliquer à Da`âss, le dilettante de science, l’insolent, le prétentieux

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  • 8/2/2019 Rpliquer Da`ss, le dilettante de science, linsolent, le prtentieux

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    Le site officiel du Cheikh Abou `Abd-El-Mou`iz Mohamed `Ali Ferkos - qu'Allah

    le protge -

    Rpliquer Da`ss, le dilettante de science, linsolent, leprtentieux priv de la distinction entre la vrit et la fausset

    et voulant rduire rien les rgles de la charia

    Ladministration du site web du cheikh Abou Abd Al-Mou`iz Mohamed Ali Ferkoussest engage auparavant ne pas rpondre aux attaques rancunires lances [ lencontredu Cheikh] et ne se proccuper que de ce qui est plus bnfique. Mais la persistance dela maladie de la prtention du savoir, qui a incit le critiqueur insolent dit Abou Htim

    Sa`d Ibn Da`ss Al-Machochi Al-Yfi`i Al-Yamani, dans son ptre intitule injustement etpar transgression : Tamdi Farkos Fi Moukhlafat Al-Haqq Wa Bourhanihi Al-ManqolWal-Mahsoss (la persistance de Ferkous contredire la vrit et sa preuve tabliereligieusement et concrtement), sloigner, dune part, des rgles du dialogue et scarter de la voie de la biensance, et adopter, dautre part, les manires descommuns des gens, entre autres les insultes et les injures. Tout cela a incitladministration du site prendre sur soi de clarifier la confusion qui pourrait se prsenteraux lecteurs avertis et justes, et de dissiper les illusions que pourraient avoir ceux qui neconnaissent pas la ralit de ces gens-l ; quoiquil est meilleur de ne pas rpliquer celuiqui est habitu aux paroles obscnes et abominables, qui discrdite et accuse autrui

    dignorance, qui est opinitre et calomniateur des honorables gens. Al-Bdji a dit : On ne doit pas dbattre avec celui qui est habitu dnigrer en discussion, ni avec celui

    qui est obscne dans ses propos, car on ne tire avantage de ses paroles. [1]

    Al-Djouwayni a dit : Tu ne dois pas aborder un dbat avec celui qui est opinitre, car les parolesde lopinitre ou de celui qui ne vise pas la satisfaction dAllah dans la reconnaissance dudroit chemin et de la vrit, cause des mensonges quil invente, entrane lorgueil,lennui, la tristesse et la transgression des limites assignes par Allah en ce qui concerne larecommandation du bien et la rprobation du mal. Si tu ne connais pas quil est fait ainsiquaprs avoir abord la discussion avec lui, tu dois alors tabstenir de dbattre avec lui

    ds que tu le sauras. Et si tu juges que la protection de la religion dAllah consiste sabstenir de lui parler, tu dois alors tempcher de lui parler plus que jamais et

    lviter davantage. [2]

    Ainsi, ce modle dammadji, travers ses mauvaises moralits, ne cesse de mettreen marche les machines de lignorance complexe. Et comment pourrait-on fairecomprendre celui qui pense, par ignorance, que sa comprhension dpasse toute autrecomprhension, et quil dtient seul la vrit, lexclusion de tous les hommes ? Cela estsans doute lun des flaux majeurs des sciences. Ibn Hazm a dit : Il nest de flau

    plus nuisible aux sciences et aux gens de science que les intrus. Ils sont ignorants et croient

    tre connaisseurs. Ils sont malfaisants et croient tre bienfaisants. [3]

    Parmi les aspects de la dfectuosit de sa comprhension et la faiblesse de sa

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    raison, travers lensemble de ses crits, est que cet insolent et prtentieux ne fait pas ladiffrence entre ce qui doit tre et ce qui existe rellement . Trsmalheureusement, il a fond sa conception sur le premier cas, en tant compltementinattentif au deuxime cas. Cela a cr en lme du malheureux et en lme de son cheikh[Yahya Al-Hadjouri] une sensibilit excessive envers les cas de besoin et de ncessit, aupoint de renier et de rejeter les rgles religieuses disant que : Ce qui est religieusementinterdit devient permis en cas dextrme besoin, c'est--dire en cas de ncessit. Et :

    Les ncessits justifient les interdits lesquelles doivent tre dterminesconvenablement. Et : Le besoin pourrait tre considr comme la ncessit, quecette dernire soit gnrale ou particulire.

    En effet, le rejet de ces rgles nest pas trange ce modle dammadji. Son cheikhla duqu en se basant sur cette voie abominable. Il a dit auparavant en toute mprise etfacilit quil urinait quAllah vous honore - sur les rgles jurisprudentielles dAch-Chfi`i

    .[4]

    Certes, toute personne raisonnable sait que le rejet de ces rgles, tires des preuves

    des textes religieux gnraux et justifis, constitue un reniement des textes clairs, telsque les versets suivants :

    Allah dit :

    :] 119.[Le sens du verset :

    Alors quIl vous a dtaill ce quIl vous a interdit, moins que vous ne soyez

    contraints dy recourir [Al-An`m (Les Bestiaux) : 119].

    Il dit aussi :

    :] 173.[Le sens du verset :

    Il ny a pas de pch sur celui qui est contraint sans toutefois abuser nitransgresser [Al-Baqara (La Vache) : 173].

    Et il dit :

    :] 3.[Le sens du verset :

    Si quelquun est contraint par la faim, sans inclination vers le pch... alors,

    Allah est Pardonneur et Misricordieux [Al-M'ida (La Table Servie) : 3].

    Donc, ces rgles sont issues des textes de la charia et des preuves jurisprudentielles.Alors, on ne doit pas les rejeter, eu gard au principe et parce que cela fait parti dudogme, ni sen prendre celui qui les met en application.

    Sur ce, nous nous rendons compte de la raison de lincomprhension complte de cemodle hadjouri et dammadji, dilettante de science ; puisquil ne diffrencie pas entre leprincipe interdisant et lexception justifiant [linterdit] cause du besoin passager,comme la dmontr notre cheikh Abou `Abd Al-Mou`iz Mohamed Ali Ferkous quAllah le

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    protge dans son article intitul Fi Nafy At-Ta`roudh Bayna Al-Asl Al-MouharrimSaddane Li Adh-Dhar`a Wa Al-Istithn` Al-Moubh Li Al-Maslaha Ar-Rjiha (Rfutationde la contradiction entre le principe interdisant obstruant la voie de linterdit etlexception le justifiant cause de lintrt prpondrant).

    Cet insolent et prtentieux dit que puisque, en principe, la mixit est interdite, ellene peut tre justifie en cas de ncessit, telle que la mixit quon trouve en faisant la

    circumambulation de la Ka`ba, la marche entre As-Safa et Al-Marwa et dautres rites ;ainsi que la mixit dans les hpitaux, les moyens de transportetc. Aussi, nous nousdemandons comment les tres de Dammadj voyagent chez eux et se dplacent pouraccomplir leurs rites ? Ils ne nous ont pas dit galement comment leurs prdicateurs etleurs allis parmi les prdicateurs de lexagration et de labomination ont voyag verslAngleterre et vers dautres pays ? Ils ont certes voyag dans la mixit et ont t accueillis par les htesses de lair, qui ont parl avec eux et les ont servis, sachant queleurs voyages nont pas t ncessaires Arrtons, donc, ces scnes de prtention dusavoir et de pit affecte et ostentatoire ! Cest Allah, seul, qui connat celui qui estpieux.

    Le pote Slih Ibn `Abd Al-Qoudoss dit :Combien il est difficile dapprendre [quoi que ce soit] un ignorant tre

    Qui croit par ignorance - que sa comprhension lemporte sur la vtre

    Quand est-ce que ldifice stablit

    Si tu le btis et autrui le dtruit?

    Quand est-ce quun malfaiteur cesse de faire mal aux mes

    Si le regret de lavoir commis nmane pas de lui-mme[5]

    Parmi galement les aspects de sa faible comprhension, le fait quil ne fait pas ladiffrence entre limitation des savants et la citation de leurs paroles. En effet, ladiffrence est grande entre limitation dun savant sans savoir les preuves auxquelles ilrecourt, et la rdaction dune fatwa en lappuyant avec des preuves et des rgles puissoutenir son avis avec les paroles des gens de science, quils soient anciens oucontemporains. Mais son opinitret la empch de voir la vrit. Par consquent,limpossible est devenu ses yeux rationnel, comme le pote Abou Al-`Abbs An-Nchi` adit :

    Si je suis confront un tre ignorant et injuste

    Qui juge impossibles les choses rationnelles et justesJe ne lui accorderai de ma part que silence

    En effet, le silence pourrait tre une bonne rponse[6]

    Quant son explication quAllah le guide - du hadith suivant : Lorsquun pch

    est commis sur terre [7]

    , il la faite sa guise. Les explicateurs de ce hadithnadmettent pas sa comprhension, comme il sera mentionn plus tard.

    Quant la question de laccomplissement des prescriptions en gnral, il la traite

    tort et travers. Et quAllah fasse misricorde Al-Hdi Ibn Ibrhm Al-Wazr qui a dit : Il incombe celui qui contredit la parole dautrui de la comprendre premirement - deconnatre ses vises deuximement et de saisir parfaitement le sens de ses propos et deses expressions. Cependant, sil runit incomprhension de ses vises et reproche [son

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    gard], cause dune lecture superficielle de sa parole, il sera tel un tre qui agit laveuglette et inconsidrment. Et sil lui attribue une parole quil na pas mise etlaccuse dune erreur quil na pas commise, cela sera plus injuste, contrairement larecommandation dAllah , qui dit :

    :] 152.[

    Le sens du verset :Et quand vous parlez, soyez quitables [Al-An`m (Les Bestiaux) : 152].

    Allah dit aussi :

    :] 29.[Le sens du verset :

    Dis: Mon Seigneur a command lquit [Al-A`rf : 29]. [8]

    Cela dit, nous exposons aux lecteurs justes les confusions qui se passent dans lespritde linsolent et du prtentieux, Sa`d Ibn Da`ss, comme suit :

    Premirement : le cheikh Ferkous quAllah le protge ne juge pas permise lamixit qui conduit la fornication et linterdit. Il dit, comme dans lptre quil a

    rdige[9]

    , aprs avoir mentionn les cas de mixit, que le cas de mixit en question esten principe interdit et prohib. Et cest ici que survient lerreur qui consistait direque le Cheikh juge permise la mixit dans ce cas, et non pas comme Sa`d Ibn Da`ss leprtentieux voulait le faire croire, que les propos du Cheikh quAllah le protge au sujet

    des personnes qui il a rpliqu dans son ptre sont ports sur la permission absolue de lamixit, mme celle qui conduit ladultre, car il est unanimement admis que cettedernire nintervient pas dans ce contexte.

    Sur ce, on dit : il incombe de faire la diffrence entre le principe interdisant etlexception justifiant [linterdit] cause du besoin passager. En effet, la mixit estinterdite et prohibe sil ny a pas de ncessit ou de besoin que lon pourrait considrercomme une ncessit. En cas de ncessit majeure ou de besoin imposant, on renonce ceprincipe, linstar de tous les jugements de la charia. Et parmi les rgles tablies enIslam, ce qui suit : La difficult apporte laisance et : La gne doit tre carte ,et ce, conformment au verset o Allah dit :

    :] 78.[Traduction du sens du verset :

    et Il ne vous a impos aucune gne dans la religion [Al-Hadj (Le Plerinage) :78].

    Al-Djouwayni quAllah lui fasse misricorde a dit : Le besoin en ce qui concernetous les gens pourrait tre considr comme une ncessit en ce qui concerne lindividu en

    contrainte.

    [10]

    Chaykh Al-Islm Ibn Taymiyya quAllah lui fasse misricorde a dit : Ilest des choses qui sont permises en cas de besoin, alors quelles ne le sont pas en dautres

    cas : comme il est permis de vendre des palmiers plants contre des dattes. [11]

    Il a ditaussi : La charia tout entire est fonde sur le fait que si le mal impliquant linterdiction

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    est contredit par un besoin prpondrant, linterdit est justifi. [12]

    Il est tabli aussidans une rgle : Ce qui est interdit en lui-mme pourrait tre autoris en cas dencessit, et ce qui est interdit en raison de ce quil entrane pourrait tre autoris encas de besoin.

    Ainsi, il devient clair selon ce qui est tabli ci-dessus pour dmontrer ce principesur lequel lacharia est fonde, comme Ibn Taymiyya lavait dit que les gens dous deraison et dots de bonne comprhension en religion dAllah ne pourraient comprendre quecelui qui autorise une chose interdite en cas de besoin ou de ncessit essaye de faire direaux textes ce quils ne signifient pas, devient un prdicateur de tentation ou contredit lestextes sa guise. Cela ne se dit que par une personne dont la bonne raison est te,frapp didiotie.

    Deuximement : cet insolent et prtentieux considre la citation du cheikh Ferkous quAllah le protge de certaines fatwas des gens de science qui partagent lavis quil atabli dans son ptre, savoir la permission de travailler et dtudier dans les lieux demixit en cas de besoin et de ncessit, comme tant une imitation blmable qui est dueau fanatisme et la passion, malgr que le Cheikh quAllah le protge na pas cit lesfatwas en question titre dimitation comme il la dit au dbut de son ptre et commeSa`d Ibn Da`ss le prtentieux la aussi rapport. Plutt, le Cheikh les a cites pourconsolider son avis, ce qui veut dire quil na pas apport une opinion qui contredit celledes gens de vrit et de science, qui sont les prdicateurs de la Sounna et ses hommes.

    En effet, les gens de science entre eux, que ce soit dans le pass ou dans le prsent,ne cessent de recourir et de citer les paroles des uns les autres pour appuyer leursopinions, car quand un chercheur arrive une conclusion et se rend compte que les autresy sont dj arrivs, il se rassure et se confie son opinion . Pour cela, les savants ont misen garde contre la parole au sujet de laquelle la personne na pas de prdcesseur, et

    aucun des savants na dit que celui qui cite les paroles des savants pour appuyer sonopinion est une sorte dimitation, except Da`ss, lauteur qui persiste dans la fausset,qui invente ainsi une parole au sujet de laquelle il na pas de prdcesseur. On disait : Naccorde pas la science celui qui ne la mrite pas, de peur que tu deviennes ignorant,

    et nen prive pas celui qui la mrite, de peur que tu encoures du pch. [13]

    Laffaire de ces gens-l est trs tonnante, car quand le Cheikh quAllah le protge ou un autre cite des preuves et des arguments quils ne peuvent pas rfuter, ils lecontredisent en disant : Il na pas de prdcesseurs parmi Ahl As-Sounna (les Gens de laSounna) [en cette question], et sa fatwa nest quune suite [de lavis] des gens dviants,

    de ceux qui prennent parti et des frres musulmans. Et quand le Cheikh leur rplique encitant une liste des paroles de savants honorables qui partagent son avis, ils crientmensongrement : Cest un imitateur !! Donc, quels amalgame, fanatisme et insolencedans lesquels ces gens sont tombs ! Cela est sans doute parmi les signes de lidiotie que

    tout tre dou de raison doit vrifier en la personne quil ne connat pas[14]

    En outre, notre Cheikh, depuis bien longtemps, et travers les cours, les cercles desavoir, les fatwas et les rponses quil donne, nous accoutume dsapprouver, sloigneret mettre en garde contre limitation blmable. Ses ouvrages et cassettes sont lameilleure preuve pour ceux qui ne saveuglent pas et ne sont pas couverts par le voile de la

    voie de discrimination. QuAllah fasse misricorde au pote qui dit :Lil pourrait renier la lumire du soleil cause dune ophtalmie

    Et la bouche pourrait ne pas sentir le got de leau cause dune maladie

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    Nous ajoutons dans ce contexte la parole du cheikh Al-`Outhaymne quAllah luifasse misricorde pour appuyer les propos susmentionns. On lui posa la questionsuivante : Honorable cheikh, nous sommes des tudiants dans un institut mdical. Dansnos tudes pratiques, nous travaillons dans les hpitaux. Cela nous contraint rester avecdes infirmires pour bnficier de leur exprience en science infirmire, en parlant avecelle et en les interrogeant. Aussi, elles peuvent tre non musulmanes. Parfois, il se peutquon se retrouve seul seule avec lune delles. Que pensez-vous de cela ?

    La rponse tait comme suit : Je pense que si la ncessit requiert cela, et quevous tes contraints le faire, vous devez alors les viter autant que vous le puissiez. Nevous adonnez pas la discussion avec elles, sauf en cas de ncessit, et vitez de lesregarder autant que possible. Du reste, nous demandons Allah de faire venir le jour oles hommes tudieront seuls et les femmes tudieront seules. Quant au fait de se retrouverseul seule avec une femme, il nest absolument pas permismais comment se fait-ilquun homme soit seul seule avec une femme puisquil y a un malade parmi eux ?! Sauf si

    le malade est inconscient [15]

    Le cheikh Al-`Outhaymne quAllah lui fasse misricorde a dit au sujet de celuiqui travaille dans la mixit ce qui suit : On peut dtailler la question comme suit : si lancessit requiert cela, de sorte quil ny ait pas duniversits et dcoles non-mixtes, onpourrait dire que cela est une ncessit ; dans ce cas, ltudiant doit viter de sasseoiravec une femme, de discuter avec elle ou de la regarder de manire rptitive, c'est--direil doit sloigner autant que possible delle. Cependant, sil peut tudier dans dautrescoles qui ne sont pas mixtes, ou la mixit qui y rgne est moindre, de manire ce queles femmes soient dun ct et les hommes dun autre ct, mme sil sagit dun seul

    cours, [dans ce cas quil le fasse et] quil vite la mixit autant quil le puisse. [16]

    galement, on posa la question suivante au cheikh `Abd Al-Mouhsine Al-`Abbd quAllah le protge : Quels conseils donneriez-vous ceux qui font des tudes mondainesdans les coles et les universits mixtes ?

    Il rpondit comme suit : Il nest pas permis une personne de faire ses tudesdans des coles mixtes, moins quelle y soit contrainte. [Si elle est y contrainte], quelle

    se mette lcart des femmes, car lhomme peut sen loigner. [17]

    Le cheikh An-Nadjmi quAllah lui fasse misricorde est questionn comme suit : Il y a chez nous en Algrie des instituts qui enseignent les sciences islamiques. Les tudesse font comme suit : les tudiants sassoient au devant et les tudiantes derrire. Ce sont

    des hommes et des femmes qui nous enseignent. Nous, les femmes droites, quand deshommes nous enseignent, nous portons nos voiles et nous nous cachons les faces. Nous nousassoyons derrire et nous ne nous assistons quaux cours obligatoires. Cela afin dobtenirdes attestations qui nous permettent denseigner les femmes sous autorisations desautorits. On ne donne ces dernires quaux ayant des attestations de ces instituts. Sansces attestations, les gens des innovations nous empchent denseigner dans les mosques.Quels conseils nous donneriez-vous ?

    Il rpondit comme suit : Je dis : si les choses chez vous sont comme tu les dcris, ilest permis de faire les tudes : condition que vous portiez vos voiles, vous vous assoyiezderrire, vous cachiez vos faces et vous baissiez vos regards sil sagit dun enseignant.

    Cest ce que vous devez faire, et si vous le faites, je pense que vous aurez du bien pourcette intention, qui consiste enseigner les autres femmes.

    On lui dit aussi que la femme qui avait pos la question a dit : Sachant que nous

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    avons pos cette question cheikh Zayd[18]

    hier, et il nous a autoris poursuivre lestudes sous conditions religieuses, savoir nous cacher le visage, nous loigner deshommes et sortir directement aprs la fin du cours. Le cheikh Zayd ma dit [dagir ainsi]jusqu ce quAllah facilite les choses.

    Le cheikh An-Nadjmi a approuv cela en disant : Cest exact. [19]

    On posa la question suivante au cheikh Al-Louhaydne - quAllah le protge : Lamixit est trs rpandue dans les lieux dtude, est-il permis de faire ses tudes ouenseigner dans ces lieux ?

    Il rpondit comme suit : Sans doute, lhomme doit sappliquer autant quil lepuisse viter les causes du danger et dsapprouver les causes de la corruption. Parailleurs, les gens ont besoin dapprendre, et sil nest pas possible quune personneapprenne que dans un milieu mixte, [dans ce cas] Allah dit :

    :] 30.[Le sens du verset :

    Dis aux croyants de baisser leurs regards et de garder leur chastet. Cest plus

    pur pour eux [An-Nor (La Lumire) : 30].Il dit aussi :

    :] 31.[Le sens du verset :

    Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chastet [An-Nor(La Lumire) : 31].

    Donc, les hommes et les femmes se rencontreront invitablement. Ils se rencontrentforcment dans la circumambulation de la Ka`ba, il ne peuvent se dbarrasser de lamixit. Ce quil leur incombe de faire est dviter la mixit autant quils le puissent. Eneffet, lenseignement [tatique] est devenu indispensable. On ne trouve [quasiment] defonction, et on acquiert un apprentissage que dans un milieu mixte. Aussi, la personnepourrait ne pas avoir de quoi payer celui qui lui fait des cours. Elle doit craindre Allah envitant la mixit autant quelle le puisse, et doit tre sincre en cela. Certes, Allah aide

    ceux qui sollicitent Son aide. Ainsi, et comme le pote le dit :

    Ceux-l sont mes parents, amne-moi de pareilles gens

    Si nous nous runissons Djarr un jour publiquement

    Ainsi, Da`ss, qui persiste dans la fausset, qui a os port atteinte notre cheikh,oserait-il et ses semblables, qui suivent une voie fragile, dcrire les cheikhs que nousavons susmentionns de prdicateurs de la mixit et quils persistent dans la fausset ?!Sachant que leurs paroles en ce qui concerne la question en dbat convergent avec laparole que notre Cheikh quAllah le protge - a adopte.

    Pourquoi Da`ss, qui persiste dans la fausset, na-t-il pas crit une ptre danslaquelle il rplique aux cheikhs susmentionns et les dcrit comme il a dcrit notre Cheikh quAllah le protge, vu quil y a bien une raison pour le faire ; car les cheikhs du Hidjzet de Nadjd, tels que les cheikhs Ibn Bz, Ibn `Outhaymne et An-Nadjmi quAllah leur

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    fasse misricorde - et les cheikhs Al-`Abbd, Zayd quAllah les protgeetc. sont plusconnus que notre Cheikh, et leurs fatwas sont adoptes par un nombre trs important demusulmans, qui dpasse le nombre de ceux qui adoptent les fatwas de notre Cheikh quAllah le protge ; ou bien ces cheikhs selon Da`ss et ses confrres sontparticulirement intouchables, en dehors de tous les savants, de sorte que porter atteinte eux vaudra Da`ss et ses confrres des coups fatals ?!

    Et si nous admettons hypothtiquement que les paroles des cheikhssusmentionnes et autres sont fausses et errones, qui est alors plus digne de critiques :celui dont la renomme est plus grande ou celui qui a rdig une rponse ces concitoyenset ceux qui sont dans la mme situation ? Toute personne juste connatra la rponse !

    Sur ce, le fait de focaliser sur le cheikh Mohamed Ali Ferkous quAllah le protge -dans les rpliques, en le dnigrant, en le diffamant et en laccusant faussement, en dehorsdes autres qui partagent la mme opinion que lui, a deux explications dont lune est pireque lautre :

    La premire : la diffamation vise le cheikh quAllah le protge personnellement,par jalousie et par rancune ; les questions en dbat ninterviennent point alors. Notre

    Cheikh quAllah le protge a-t-il tort sil sest appliqu fournir des efforts et estparvenu la mme conclusion laquelle les gens de science et de pit sont parvenus ?!Ceux qui sont jaloux de lui meurent-ils de regret et de tristesse cause de la faveurquAllah lui a accorde ?!

    Un pote a bien raison quand il a dit :

    Lambre gris ne doit pas tre gn si lboueur

    Et le scarabe meurent en sentant son odeur

    La deuxime : les gens diffamateurs sont des personnes qui agissent leur guise et

    nont pas de balance valable dans leurs rpliques. Ils laissent le plus dangereux selonleurs rgles par crainte de perdre leurs statuts de prdicateurs et sen prennent autruisous prtexte de jalousie pour le Manhadj (la voie). Cela suffit seul rduire rien toutce quils ont crit injustement et par transgression.

    Quant lillusion que Da`ss, qui persiste dans la fausset, a eu en accusant notreCheikh injustement, en disant que les paroles de ces savants contredisent dautres parolesdautres savants qui sont plus nombreux et plus connaisseurs selon ses paroles elle nestpas vraie, car tous les savants et sommits saccordent pour dire que la mixit estnormalement interdite et la justifient en cas de ncessit, conformment aux textes etaux rgles susmentionns.

    En outre, la fatwa dAl-Ladjna Ad-D'ima (le Comit Permanent) quAllah protgeles vivants parmi eux et fasse misricorde aux morts et ce que dit notre Cheikh quAllahle protge dans son ptre La mixit et ses diffrents cas ne se contredisent pas, car lafatwa du Comit Permanent est porte sur le principe, qui est ltat normal dontlinterdiction fait lunanimit, alors que ce que notre Cheikh quAllah le protge dit estport sur lexception due au besoin et la ncessit, deux cas qui sont diffrents duprincipe. Ce qui prouve que cette conciliation est valide est que le Comit Permanent amis cette fatwa alors que le cheikh Ibn Bz quAllah lui fasse misricorde tait sonprsident ; ce dernier a donn une fatwa aux fonctionnaires du secteur mdical, enloccurrence le fait que la femme prodigue des soins dentaires aux hommes ; la fatwa tait

    comme suit : Il doit y avoir des mdecins femmes propres aux femmes et des mdecinshommes propres aux hommes, sauf en cas dextrme ncessit o lhomme serait atteintdune maladie que seule la femme peut traiter. Dans ce cas, il lui est permis de le traiter,car Allah dit :

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    :] 119.[Le sens du verset :

    Alors quIl vous a dtaill ce quIl vous a interdit, moins que vous ne soyez

    contraints dy recourir [Al-An`m (Les Bestiaux) : 119] [20]

    galement, le cheikh Al-Fawzne quAllah le protge a dit que la ncessit fait

    exception, tel que notre Cheikh la cit dans son ptre La mixit et ses diffrents cas[21]

    Cela dune part, dautre part, la fatwa du Comit Permanent concerne les pays qui ne sontpas touchs par la mixit dpravatrice ; alors que la fatwa de notre Cheikh quAllah leprotge est porte sur les pays qui sont touchs par cette tentation, o ni les lieux detravail ni les lieux dtudes ne sont exempts de la mixit dpravatrice. Aussi, son recoursau Comit Permanent ne fait-il pas parti de limitation blmable prtendue dont il aaccus auparavant notre Cheikh quAllah le protge ? En fait, tel est pris qui croyait

    prendre. Limam Ach-Chfi`i quAllah lui fasse misricorde - a bien raison quand il a dit :

    Dtourne-toi de ltre ignorant et stupide

    Tout ce quil te reproche sincarne en lui

    Par consquent, soit lauteur du Tamdine fait pas la diffrence entre le jugementport sur ltat normal et les autres cas ; alors comment crit-il en critiquant ce quil necomprend et ne saisit pas ? Ce qui est grave ! Soit, il comprend ce quil fait, mais ilsaveugle et sobstine attribuer la fausset celui qui ne la mrite pas, et ce, afin de lecritiquer et de le faire tomber ; ce qui est plus grave. Dans ce cas, nous ne pouvons quedemander Allah, le Trs Haut et Tout Puissant, de nous prmunir contre leur mal, denous faire viter leur transgression et calomnie.

    QuAllah fasse misricorde Ibn Al-Qayyim qui a dit : Si tu trouves un seul hommeparmi les gens de science qui cherche la preuve, sy conforme et suit la vrit o elle soitet avec qui elle soit, lalination disparat et la familiarit prend place ; sil est endsaccord avec toi, il te contredit, mais il texcuse. Par contre, ltre ignorant et injustete contredit et texcommunie ou te considre comme un hrtique sans raison valable,seulement parce que tu te dtournes de sa mauvaise mthode et sa conduite blmable.Donc, ne te laisse pas tromper par la multitude de ce genre de personnes. Des milliersdentre eux ne valent une seule personne parmi les gens de science, alors quune seulepersonne parmi les gens de science quivaut un nombre aussi important que le contenu

    de la terre de ces gens.

    [22]

    Troisimement : certes, parmi les choses les plus tonnantes que le lecteurconstaterait au sujet des crits de cet insolent et prtentieux le fait quil a altr le sensdu hadith suivant : Lorsquun pch est commis sur terre, celui qui y assiste et ledteste - dans une autre version, il dit : et le rprouve - est comme celui qui en estloign. Et celui qui en est loign et lapprouve est comme celui qui y assiste. , etce, en disant : (Premirement), ce hadith indique que celui qui dteste le pch et lerprouve avec son cur, et ne le commet pas, est comme celui qui ny assiste pas. Ainsi,ltudiant, lenseignant ou le fonctionnaire dans un lieu de mixit est en faute. Il est deson devoir de renoncer ce pch, en loccurrence quitter et sloigner des lieux de

    mixit. O sont donc la comprhension de Ferkous et les rgles de dduction authentiquesquil allgue et ne cesse de crier.

    Cela rvle une ignorance patente de la part du prtentieux, qui a donn ce

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    hadith un sens dont tout le monde reconnat la fausset. Il sagit l dune significationdonne sa guise et loin des sens que les explicateurs de hadiths lui ont accords ; car sinous admettions hypothtiquement sa comprhension, nous aurions reni la significationdu hadith tout entier ; car assister au pch implique le fait de le commettre seulement sion ne le rprouve pas, ne serait-ce par le degr minimum de la foi comme il est cit dans

    le hadith connu[23]

    .

    Ce hadith signifie plutt que celui qui assiste ou voit une action blmable et larprouve est tel que celui qui ne voit rien, car il nencourt pas de pch pour sarprobation, alors que celui qui nassiste pas au pch nencourt pas de pch, car il nevoit rien comme la cit le cheikh `Abd Al-Mouhsine Al-`Abbd quAllah le protge -. Cesens pourrait tre dmontr par le contenu de la deuxime phrase du mme hadithexprimant le contraire : Et celui qui en est loign et lapprouve est comme celui qui yassiste. Cette partie dmontre que la personne qui approuve le pch sans y assister estpareille la personne qui y assiste et lapprouve. Et si lapprobation est une chose que lonfait par le cur, la dsapprobation se fait galement par le cur. Ainsi, leconditionnement mentionn [dans la citation] devient nul et la tare de son auteur stablit

    clairement.Ce qui prouve ce que nous avons cit est la prcieuse parole dAl-Hfidh Ibn Radjab,

    quAllah lui fasse misricorde, qui a dit : Celui qui assiste un pch et le dsapprouvedans son cur est tel que celui qui ny assiste pas sil est incapable de le dsapprouververbalement et en acte. Cependant, celui qui ny assiste pas et lapprouve est tel que celuiqui y assiste et est capable de le dsapprouver et ne le fait pas. La raison en est quelapprobation des pchs compte parmi les interdits les plus abominables cause delaquelle la dsapprobation du pch dans le cur ne se fait pas. Cette dernire estconsidre comme un devoir permanent que tout musulman doit accomplir en tout

    cas.

    [24]

    Cest ce quAs-Safrni a dit aussi

    [25]

    comme le dmontre clairement le hadithrapport par lintermdiaire dOum Salama que le Messager dit : Il y aura des gouvernants qui feront de bonnes et de mauvaises actions. Celui quireconnat leurs mauvaises actions et les dsapprouve sera sauv et nencourra pas depch, alors que celui qui les approuve et les suit en encourra. [Les Compagnons]dirent : Ne les combattrons-nous pas ? Il rpondit : Non, tant qu'ils accomplissent la

    prire. [26]

    Dans une autre version, on rapporta : Celui qui dteste et dsapprouve

    leurs mauvaises actions sera sauv et nencourra pas de pch. [27]

    Cela concerne bien

    sr celui qui ne peut pas dsapprouver le blmable en acte et en parole. Dans ce cas, ildoit le dtester et le renier dans son cur. An-Nawawi quAllah lui fasse misricorde adit : Cela (le hadith en question) est une preuve que celui qui ne peut pas mettre fin une action blmable nencourra pas de pch parce quil se tait ; il nencourra de pch

    que sil lapprouve, ou ne le dteste pas ou sy adonne. [28]

    Quant la parole suivante dans laquelle il dnigre notre Cheikh quAllah le protge en disant : O sont donc la comprhension de Ferkous et les rgles de dductionauthentiques quil allgue et ne cesse de crier , elle rvle une me et un fondrancuniers dprciant le Cheikh et remettant en cause la vracit et la fiabilit des rgles

    des fondements de la jurisprudence et des rgles jurisprudentielles que le Cheikh rapporte.Ce dnigrement renforce davantage notre certitude quant la vracit de la sagacit denotre Cheikh quAllah le protge qui a dit : Ce comportement reflte, certes, les vils

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    caractres de leurs personnes et montre quils sont au-dessous du niveau requis. [29]

    Ce dnigrement et autres qui sont lgion dmontrent la sensibilit que ses gensont envers lune des sciences qui comptent parmi les sources de fiert auprs desmusulmans, savoir la science des fondements de la jurisprudence . Quand lacomprhension des fondements de cette science et sa mise en application leur ont tdifficiles, ils se mettaient la sous-valuer et mobiliser leurs agents agressifs pourmettre en garde contre elle. Parfois ils prtendent donner des conseils qui consistent nepas trop user de cette science, et parfois ils dnigrent ceux qui la matrisent et disentquils rfutent les textes clairs moyennant les rgles qui sont sujettes divergence. Nousdemandons lassistance dAllah !

    Certes, les savants reprochent celui qui ne matrise pas la science des fondementsde la jurisprudence et considre cela comme tant un dfaut de sa part. Abou Yossouf quAllah lui fasse misricorde a blm son opposant de ne pas matriser les fondements

    de la jurisprudence[30]

    . Aussi, Chaykh Al-Islm Ibn Taymiyya quAllah lui fassemisricorde a dit : Certes, il tombe dans lerreur celui qui ne matrise pas lessignifications des termes de la langue, ne distingue pas entre les types des fondements dela jurisprudence transmis oralement et ne sentrane pas aux paroles affrant aux

    jugements de la charia quant aux personnes religieusement responsables. [31]

    Ainsi, il convient au Cheikh de dire ce quun pote a dit :

    Je suis tonn par cette poque et ceux qui la vivent

    O nulle personne nchappe aux reproches des gens

    Mon poque ma retard et a avanc autrui

    Alors que je suis connaisseur et ils sont dignorantes gensQuatrimement : quant la rplique ses propos au sujet de la rgle que le Cheikh

    a mentionne en disant : Le mfait de la tentation est, dautre part, submerg dans lebienfait de ladoration ; car laccomplissement des prescriptions est plus important quele dlaissement des interdictions , elle est comme suit : nous avons appris de notrecheikh Abou `Abd Al-Mou`iz Mohamed `Ali Ferkous que les rgles fermes en ce quiconcerne les bienfaits et les mfaits sont au nombre de quatre, comme les avaitdmontres Al- Iz Ibn `Abd As-Salm As-Soulami dans son uvre intitule Qaw`id

    Al-Ahkm Fi Masslih Al-Anm, comme suit :

    - Si deux mfaits se contredisent, on tient compte du mfait le plus nuisible encommettant le mfait le moindre, car le fait de commettre linterdit nest permisquen cas de ncessit, et il ny a pas de permission au-del du degr de ncessit.

    - Si deux bienfaits se contredisent, on tient compte du bienfait majeur.- Si un bienfait et un mfait se contredisent, repousser le mfait alors prime sur

    lobtention du bienfait en gnral.

    - Si un bienfait et un mfait se contredisent, et le mfait est submerg dans lebienfait, ce dernier prime sur le mfait puisquil est prpondrant, car ce qui estprpondrant prime sur ce qui est rare.

    Cela concerne le cas de contradiction entre les mfaits et les bienfaits de sortequils soient indissociables. Al- Iz Ibn `Abd As-Salm As-Soulami quAllah lui fassemisricorde a dmontr cela comme suit : Si les bienfaits et les mfaits se runissent,et que lon peut repousser les mfaits et obtenir les bienfaits, on doit agir ainsi. Et sil

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    nest pas possible de les concilier : [dans ce cas], si les bienfaits sont prpondrants, nousles ralisons sans gard pour les mfaits commis ; et si les mfaits sont prpondrants,

    nous les repoussons sans gard pour les bienfaits manqus. [32]

    Cela dit, les rgles traitant du ct de la prpondrance de linterdiction et lerepoussement de son mfait auront lieu dtre mentionnes seulement sil y acontradiction entre une preuve qui implique linterdiction et une autre preuve qui impliquela permission ; dans ce cas, on donne la prpondrance celle qui implique linterdiction selon la plus valable des paroles des savants -, et ce, en guise de prpondrance donne linterdiction et au repoussement du mfait ; car la charia tient compte plus dudlaissement des interdictions que de laccomplissement des choses permises, ce qui estune prpondrance donne lillicite par rapport au licite. Dans ce contexte, nous citons

    le voyage de la femme pour accomplir le hadj. La prsence du Mahram[33]

    est-elle unecondition pour son voyage ?

    Les savants divergent [sur cette question] : certains exigent le Mahram. Cela estlopinion dAbou Hanfa et dAhmad. Dautres ne lexigent pas, mais ils exigent pluttquelle soit en scurit. Cela est lopinion de Mlik, Ach-Chfi`i et lune des deux opinionsdAhmad. On rapporta [aussi] que cette dernire opinion est celle de `'icha, Ibn `Omar,Ibn Az-Zoubayr, Ibn Srne, Al-Awz`i, Dwod Adh-Dhhiri et autres. Et si on adopte ladernire opinion et en dpit de lavis prpondrant elle ne constitue pas un argument eton ny trouve pas une signification laquelle on peut sattacher. Bien au contraire, on citeparmi leurs arguments le fait quils considrent le voyage de la femme dans ce cas commeobligatoire, et que le Mahram nest pas requis. Cela est pareil au cas o la femmemusulmane senfuirait des mains des mcrants, ou son voyage pour assister auxassembles darbitrage de peur de voir ses droits rats ou si elle est exile ou expulse dulieu o elle aurait commis la fornication.

    Quant lopinion de ceux qui exigent le Mahram, ils considrent que cela entre dansla capacit, et il nest pas requis la femme de faire le hadj si la condition de ce derniernest pas runie. Donc, il ny a pas de contradiction entre la prescription de faire le hadjet linterdiction de voyager sans Mahram. Et si nous admettons hypothtiquement laprsence de cette contradiction, elle serait une contradiction entre linterdiction et cequi est requis. On donne alors la prpondrance linterdiction par rapport ce qui estrequis,comme il est cit dans les rgles tablies dans ce contexte, [Par exemple] : Silinterdiction et ce qui est requis se contredisent, on donne la prpondrance linterdiction, moins que ce qui est requis ne soit majeur.

    Notre question concerne le cas o lobligation serait en contradiction avec uneinterdiction. On tiendrait compte alors du bienfait de lobligation, par exemple : il est

    interdit la femme de se cacher le visage en Ihram[34]

    , alors quelle ne peut faire celasans dvoiler une partie de sa tte, et le fait de se cacher la tte est obligatoire en faisantla prire. Donc, quand elle fait la prire elle doit tenir compte du bienfait de lobligation.Aussi, lmigration de la femme des pays mcrants est obligatoire, mme si son voyage

    seule sans Mahram est interdit[35]

    . galement, la personne contrainte manger de la btemorte doit en manger mme si elle est interditeetc.

    Ainsi, et comme la personne juste pourrait le constater, cet homme a confonduautour et alentour.

    Dautre part, Da`ass, le pseudo jurisconsulte, oblige-t-il la femme accomplir sonpremier plerinage si les conditions permettant son accomplissement se runissent, y

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    compris le Mahram ? Ou va-il exiger comme condition supplmentaire labsence de lamixit dans la voie menant au hadj, que ce soit dans les salles dattente, dans lavion,dans la chane quand on vrifie le passeport, dans le bus ou quand on accomplit les rites duhadj, ou cela constitue une ncessit ou un besoin pressant ?! Les hros dAl-Hadjouridammadji vont-ils renoncer considrer que la mixit est absolument interdite ou ils vontconsidrer la ncessit comme une excuse la justifiant ? Veuillez nous en informer en toutevrit et honntet !

    Cela est donc la rplique de lAdministration linjustice du dilettante de science.Elle fait face sa transgression avec une transgression quivalente conformment auverset o Allah dit :

    :] 40.[Le sens du verset :

    La sanction d'une mauvaise action est une mauvaise action [une peine]

    identique [Ach-Chora (La Consultation) : 40], et :

    : ] 194.[Traduction du sens du verset :

    Donc, quiconque transgresse contre vous, transgresses contre lui,

    transgression gale [Al-Baqara (La Vache) : 194].

    Certes, la rtribution de celui qui fait injustice celui qui le dpasse en statut et enperfection est que la parole suivante sapplique lui : cest sur linjuste que fondront

    finalement les malheurs.

    [Un pote a dit] :

    Chaqq vint pour exhiber sa lance

    Ceux chez qui tu vins ont des lances

    En effet, ces gens appartenant la bande hadjourie et dammadjie prtentieuse dusavoir nont pas examin le savoir de manire approfondie, ne lont pas tudigraduellement et nont acquis de lart de la science que des dissimulations par lesquellesils trompent le commun des gens. Aussi, ils ne se sont pas pars des bonnes moralits etdes caractres vertueux. Ils ont t atteints plutt dans le fond de leurs moralits et de

    leur conduite.[On disait] :

    Si les gens sont atteints dans leurs moralits

    Fais-leur donc des obsques et des lamentations

    QuAllah fasse misricorde Al-Imm Ach-Chawkni qui a mentionn lune desprcieuses paroles de `Ali Ibn Qssim Hanche dont il a cit la biographie ; ce dernier admontr que lorigine des troubles sont les jeunes gens en religion. Ach-Chawkni -quAllah lui fasse misricorde - a dit : Parmi les prcieuses paroles que jai entenduesauprs de lui, ce qui suit : les gens sont au nombre de trois catgories :

    La catgorie suprieure : les grands savants, qui connaissent la vrit et lafausset. Sils divergent, il nmane pas de troubles de leur divergence, car les unsconnaissent ce que les autres dtiennent.

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    La catgorie infrieure : le commun des gens, qui sont sur la nature saine et nontpas de laversion pour la vrit. Ils suivent celui quils imitent ; sil a raison, ils aurontraison aussi, et sil a tort ils auront tort galement.

    La catgorie moyenne : elle est lorigine du mal. Les jeunes gens en religion sontles fauteurs de trouble. Ils nexaminent pas le savoir de manire approfondie au pointdatteindre la catgorie majeure, et ne le dlaissent pas au point de faire parti de la

    catgorie infrieure. Quand ils constatent que quelquun de la catgorie suprieure dit cequils ne connaissent pas parmi ce qui contredit leurs opinions [fausses] dues leurdficience, il sen prennent lui, lui attribuent toutes les paroles abominables, altrent lanature saine de la catgorie infrieure en suscitant leur aversion pour la vrit avec des

    dissimilations vaines. Les troubles en religion battront alors leur plein. [36]

    Notre cheikh Abou `Abd Al-Mou`iz Mohamed `Ali Ferkous quAllah le protge at questionn dans lun des cercles du savoir quil tient aprs la prire de laube au sujetdu modle hadjouri et dammadji actuel que lon veut imposer comme un modle ducatifde la voie salafie, notamment parce que les jeunes tudiants chez nous en Algrie se sonttromps leur sujet, puisquils apprennent le Coran, les textes des ouvrages et les pomeset tudient plusieurs ouvrages et ptres en un temps court, savoir une semaine ouquinze jours. La rponse du Cheikh quAllah le protge a t comme suit : Les causespermettant la nation de se jouir du bonheur, du progrs, dassurer la stabilit et laprennit de son rgne consistent en les bonnes moralits quAllah a institues pour sesserviteurs et dont Il a soulign limportance. Allah a aussi appel tablir une ducationfonde sur la bonne moralit et laccrotre dans les mes des musulmans. Il a certesenvoy Son Messager pour parfaire les bonnes moralits grce auxquelles les musulmans semettent sur la bonne voie et tablissent leur tat, comme le pote a dit :

    Certes, les nations ne valent que par leurs moralits

    Si leurs moralits disparaissent, elles disparatrontParmi les traits comprhensifs de la bonne moralit envers les gens, tre bienfaisant

    envers eux en paroles et en acte et sabstenir de leur porter atteinte que ce soit par lesparoles ou par les actes, comme il est cit dans le hadith o le Messager dit : Le [vritable] musulman est celui qui ne lse les musulmans ni avec sa langue ni avec

    sa main. [37]

    Il dit aussi : Il nest de chose plus importante en faveur du croyant aujour de la rsurrection que la bonne moralit ; et certes Allah excre ltre obscne et

    vulgaire. [38]

    Il dit galement : Certes, le croyant atteint par sa bonne moralit le

    statut du jeneur passant la nuit en priant. [39]

    Et du moment que lIslam appelle runir les causes permettant la nation de sejouir du bonheur, dtablir son tat et son rgne au moyen des moralits, et puisquilconsidre le bien comme synonyme de la bonne moralit comme dans le hadith suivant :

    Le bien est la bonne moralit. [40]

    , comment se fait-il alors que celui qui ne dtientpas ces valeurs et ces normes morales soit un modle ducatif dont la conduite reflte lapuret de la voie salafie droite ?!

    Quant aux cercles de savoir intensifs dispenss, [leur utilit] dpend du cheikhducateur qui sen charge et la manire de cristallisation de ces sciences et de leurinculcation aux tudiants. Ainsi, si les prmisses sont vaines, la conclusion le sera aussi. Etil est connu que celui qui veut acqurir le savoir en entier, en un temps court et sans

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    accompagnement, son savoir sera fragile et ne tardera pas lui manquer. On disait : Celui qui veut acqurir le savoir en entier, le ratera en entier. Ibn Al-Mounkadir a dit :

    Le savoir sollicite la pratique. Si la pratique na pas lieu, le savoir sen va ! [41]

    Quant la saturation des mes avec les sciences religieuses et littraires sans lamise en application des sens [quelles contiennent], auxquelles lIslam appelle et exhorteet dont il souligne limportance comme susmentionn -, ces sciences deviendront alors unargument contre la personne et non pas en sa faveur et seront une simple mmorisation deconnaissances sans aucune importance, voire elles seront comme un corps sans me. Lepote a dit :

    Nest pas tabli ldifice de gens

    Si leurs moralits sont dcadentes

    Cela dit, lAdministration demande Sa`d Ibn Da`ss, ses suppts et tous ceuxqui sont derrire lui de se repentir auprs dAllah, de se parer des moralits vertueuses etde sexcuser auprs de notre cheikh Abou `Abd Al-Mou`iz quAllah le protge pour letort quil lui ont port sans arrogance ni opinitret comme Abou Mouhammad `AbdAl-Hamd Ibn Yahya Al-Hadjori sest auparavant - excus quand il a rencontr notreCheikh dans le sige de son site officiel, et ce, afin que leur droiture et excuse leur serautile :

    . :] 8889.[Le sens du verset :

    le jour o ni les biens, ni les enfants ne seront daucune utilit, sauf celui qui

    vient Allah avec un cur sain [Ach-Chou`ar' (Les Potes) : 88-89].

    Alger le : 4 Djoumda Al-Ola 1431H

    Correspondant au 18 avril 2010

    [1] VoirAl-Minhdj Fi Tartb Al-Hidjdj dAl-Bdji (p.10).

    [2] VoirAl-Kfiya Fi Al-Djadal dAl-Djouwayni (p.532).

    [3] VoirAl-Akhlq Wa As-Siyar Fi Moudwt An-Noufos dIbn Hazm (p.23).

    [4] Dans une cassette intitule Tabyn Al-Kadhib Wa Al-Mn.[5] Voir Djmi` Bayne Al-`Ilm Wa Fadhlih dIbn `Abd Al-Barr (1/109).

    [6] Voir Bahdjat Al-Madjlis dIbn `Abd Al-Barr (2/431).

    [7] Rapport par Abou Dwod (4/515), chapitre des Grandes batailles , concernant lefait de commander et dinterdire (hadith 4345), At-Tabarni dans Al-Mou`djam Al-Kabr(hadith 345), daprs Al-`Ours Ibn `Oumayra Al-Kindi . Ce hadith est considrcomme Hassane (bon) par Al-Albni dans Sahh Al-Djmi` (hadith 702) et dans SahhSounane Abi Dwod(4345).

    [8] VoirAl-`Awssim Wa Al-Qawssim (1/71).[9] Cette ptre est intitule La mixit et ses diffrents cas. Voir Srie deRecommandations Salafies 2 (p.99) et Collection des Sries de Recommandations Salafies (p.189).

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    [10] Voir Ghayth Al-Oumam dAl-Djouwayni (p.345).

    [11] Voir Madjmou` Al-Fatwa dIbn Taymiyya (29/480).

    [12] Ibid. (29/49).

    [13] Voir Djmi` Bayne Al-`Ilm Wa-Ahlih (1/110).

    [14] Voir les signes de lidiotie dans Rawdhat Al-`Ouqal'dIbn Hibbn (p.124).

    [15] Voir Liq' Al-Bb Al-Maftoh (cassette numro 140).[16] Extrait de Charh Hilyat Tlib Al-`Ilm du cheikh Bakr Abou Zayd quAllah lui fasse

    misricorde -, cassette numro 5, 2me face.

    [17] Extrait de lexplication de Sounane Abi Dwod(p.92).

    [18] C'est--dire : le cheikh Zayd Ibn Hdi Al-Madkhali quAllah le protge -.

    [19] De ltude des surs dans les instituts religieux mixtes en Algrie. Extrait de lacassette intitule Questions et rponses datant du 1/4/1427 de lhgire du cheikhAn-Nadjmi.

    [20] Voir Fatwas urgentes aux fonctionnaires du secteur mdical, collection de Mou`awadh`'idh Al-Lihyni (31-32), publications du Ministre des Affaires Islamiques en ArabieSaoudite.

    [21] Voir : Srie de Recommandations Salafies 2 (p.111) et Collection des Sries deRecommandations Salafies (p.201).

    [22] Voir I`lm Al-Mouwaqqi`n dIbn Al-Qayyim (3/396).

    [23] Rapport par Mouslim, chapitre de La foi (1/41) (numro 49), par lintermdiairedAbou Sa`d Al-Khoudri de faon Marfo` (Un hadith Marfo` : propos, acte ou

    approbation attribu au Prophte ) comme suit : Celui qui aperoit uneaction blmable, quil la change avec sa main. Sil ne peut pas, quil la change avec laparole, sinon [quil la rprouve] par son cur, ce qui constitue le degr minimum de lafoi.

    [24] Voir Djami` Al-`Oulom Wa Al-Hikam dIbn Radjab (321).

    [25] Voir Ghidh' Al-Albb dAs-Safrni (p.176).

    [26] Rapport Par Mouslim, chapitre de La gouvernance (2/899) (hadith 1854).

    [27] Ibid.

    [28] Voir Charh Mouslim dAn-Nawawi (12/243).[29] Voir : Srie de Recommandations Salafies 2 (p.99) et Collection des Sries deRecommandations Salafies (p.189).

    [30] Voir Mawsou`at Al-Oumi dAch-Chfi`i (8/114).

    [31] Voir Madjmo` Al-Fatwa dIbn Taymiyya (31/104).

    [32] VoirAl-Faw'd Fi Ikhtissr Al-MaqssiddIbn `Abd As-Salm (p.47).

    [33]Mahram (singulier), Mahrim (pluriel) : cest lhomme avec qui la femme ne peutjamais se marier tel que le pre, le fils, le frreetc. Note du traducteur.

    [34]Ihram : tat de conscration en hadj ou en `Omra. Note du traducteur.

    [35] VoirAl-Manthor Fi Al-Qaw`iddAz-Zarkachi (1/132-133).

    [36] VoirAl-Badr At-Tli` dAch-Chawkni (1/473).

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    [37] Rapport par Al-Boukhri (hadith 10) (1/9) , chapitre de La foi , concernant le faitque le [vritable] musulman est celui qui ne lse les musulmans ni avec sa langue ni avecsa main et par Mouslim, chapitre de La foi (1/39) (hadith 41), par lintermdiaire de`Abd Allh Ibn Omar .

    [38] Rapport par At-Tirmidhi, chapitre du Bien et du maintien des bonnes relations ,concernant ce qui est rapport au sujet de la bonne moralit (hadith 2002), par

    lintermdiaire dAbou Ad-Dard' . Ce hadith est jug authentique par Al-AlbnidansAs-Silsila As-Sahha (2/535).

    [39] Rapport par Ahmad dansAl-Mousnad(hadith 25537) et par Abou Dwod, chapitre de La biensance , concernant la dtestation de la vanit (hadith 4798), parlintermdiaire de `'icha . Ce hadith est jug authentique par Al-Albni dans

    As-Silsila As-Sahha (2/421).

    [40] Rapport par Mouslim, chapitre du Bien et du maintien des bonnes relations (2/1190) (hadith 2553), par lintermdiaire dAn-Nawws Ibn Sam`ne .

    [41] Voir Iqtidh' Al-`Ilm Al-`Amal dAl-Khatb Al-Baghddi (36).

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