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Revue de presse Fédération ADMR Vendée Mars 2021 Source : Ouest France et Publihebdos

Revue de presse - ADMR 85

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Page 1: Revue de presse - ADMR 85

Revue de presseFédération ADMR Vendée

Mars 2021Source : Ouest France et Publihebdos

Page 2: Revue de presse - ADMR 85

Uniquement sur rendez-vous sur le siteInternet. Se munir d'un stylo, de la carted'identité. Ne pas venir à jeun.Jeudi 18 mars, 15 h 30 à 19 h 30, sallepolyvalente, Pierre-Henri Gillot. Contact :https://mon-rdv-dondesang.efs.sante.fr

Annoncez gratuitement vos événe-ments sur : www.infolocale.fr

Treize-SeptiersDon du sang

Montaigu-Vendée

tores Fenêtres VoletsPortes de Garage

St

* Voir connditions en magasin.

Affaires à faire

Annonceurs, cette rubrique vous intéresse, contactez Precom par email : [email protected]

À l'agenda de vos communes

Gendarmerie : 10,cours du Mail,tél.02 51 94 00 89Pompiers : 18.Samu : 15 ou 112 (portable).Médecins : tél. 116117, après 20 h.

Pharmacies de garde : composer le3237.Hôpital Georges-Clemenceau : 54,rue Saint-Jacques, 02 51 45 40 00.

Urgences et santé

Treize-Septiers

Depuis 2016, la commune offre auxjeunes de 16 ans à 18 ans, la possibili-té de participer à l’opération argentde poche. Par ce dispositif, les jeuneseffectuent des petits chantiers deproximité d’une demi-journée de3 heures 30 et reçoivent en contrepar-tie une indemnisation de 15 € parchantier. « C’est l’occasion de se ren-dre utile et de découvrir un environ-nement professionnel », expliqueMireille Barbeau, adjointe à la Cultureet la Jeunesse. « Les activités propo-sées, auprès des agents techniquesde la mairie (entretien, désherbage,nettoyage), s’adressent aussi bienaux filles qu’aux garçons. »

Cette année, s’ajoutent des mis-sions auprès de l’Ehpad le Septierd’or ou la maison du Bois de l’île (cui-sine, pliage, maintenance) le matin etanimations (balade, jeux) l’après-mi-di. Une centaine de jeunes sont con-cernés, cette année, et ont reçu uncourrier avec dossier d’inscription.

En 2019, 31 jeunes ont participé àl’opération pour 83 chantiers réali-sés ; en 2020, sur 80 jeunes contac-tés, 25 ont participé aux 71 chantiersréalisés. Il est toujours possible des’inscrire, les dossiers sont à retirer età déposer en mairie.

Mairie, tél. 02 51 41 72 07.

Les premières inscriptions pour l’opération argent de poche ont été déposées,samedi, au restaurant scolaire. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Inscriptions ouvertes pour les chantiers argent de poche

Avec le Covid, ils changent de métier Page 9

Montaigu-Vendée

Maîtrise d’œuvre pour les travauxde la salle FamisolLe conseil décide d’attribuer le mar-ché de maîtrise d’œuvre au groupe-ment représenté par le cabinetd’architecture Le Borgne Didier etassociés, à PLBI (BET structure) etGEFI ingénierie (BET fluides), pourun taux de rémunération de 7,50 %du montant des travaux s’élevant à950 000 € HT, soit un forfait provisoi-re de rémunération le moins-disantde 71 250 € HT.

Sainte-Cécile

Approbation des comptesde gestion 2020Le conseil approuve les comptes degestion du budget principal et de sesbudgets annexes (assainissement,camping municipal, pôle commer-cial, lotissement des Mésanges).

Le conseil adopte le compte admi-nistratif communal 2020 du budgetprincipal et des budgets annexes telsque présentés et procède à l’affecta-tion des résultats 2020 sur 2021 pourl’ensemble des budgets.

Le conseil approuve les comptes communaux

Montaigu-Vendée

Montaigu. Jeudi, l’Aide à domicile enmilieu rural (ADMR), dont le secréta-riat mutualisé se situe à Boufféré, alancé une opération de recrutementde personnels. En effet,100 000 heures d’aide sont assuréestous les ans, sur le territoire, auprèsde 1 150 personnes.

Pour la première fois, trois équipesde deux personnes se sont mobili-sées et ont déposé, dans les dix com-munes de Terres de Montaigu, desflyers, affiches, dans des lieuxpublics : commerces, mairies, cabi-nets médicaux, pharmacies… « Noussommes à la recherche de 15 CDI,de 15 CDD pour répondre auxdemandes d’aides : services à la

personne âgée ou handicapée dansleur vie quotidienne, entretien de lamaison, courses, repas, garde desenfants… », précisent Émilie Pava-geau, responsable du secteur et Loui-se Bironneau, cadre de la fédérationADMR. Elles ajoutent : « La démar-che est simple, il faut avoir l’envied’apprendre ce métier, avec une for-mation spécifique de L’ADMR. Il suf-fit de déposer son CV pour rencon-trer un recruteur. » Bienveillance,écoute, proximité relationnelle, com-munication empathique… semblentdes critères de sélection.

Contact : 02 51 42 44 61 ; [email protected]

« Toujours des accueils bienveillants ! » reconnaissent Émilie Pavageau et LouiseBironneau, dans le magasin Spar de Saint-Georges, avec le gérant, ArthurTurcaud, lors de l’opération de recrutement. | PHOTO : OUEST-FRANCE

L’Aide à domicile embauche des collaborateurs

DécèsLe Motais Michel, 88 ans, La Roche-sur-Yon ; De la Rochebrochard veuveDe Suzannet Balda, 92 ans, Chavag-nes-en-Paillers ; Boursier Marcel, 97

ans, Saint-Hilaire-de-Loulay, Montai-gu-Vendée ; Charron veuve LiaigreMadeleine, 83 ans, Pouzauges ; Poi-roud veuve Prouteau Raymonde, 87ans, Bellevigny.

Montaigu

Montaigu. Vêtus de leurs chasublesorange, les douze bénévoles de laBanque alimentaire ont accueilli lesélus dans leur nouveau local, samedi,pour l’inauguration. « Un lieu plusfonctionnel, plus accessible quinous permet de rationaliser le sto-ckage et la distribution des den-rées », résume Daniel Bousseau, res-ponsable de l’antenne de Montaigu-Vendée. Dans cette nouvelle cellulede 180 m2, les rayonnages contien-nent les 13,2 tonnes de la collecteannuelle de novembre 2020. « Elle amobilisé plus de 250 bénévolesdans les grandes surfaces, sur lestrois cantons de Montaigu, deRocheservière et partiellement deSaint-Fulgent », explique DanielBousseau.

Pour Antoine Chéreau, présidentde Terres de Montaigu : « L’antennelocale de la Banque alimentaire anotre soutien, en lui offrant demeilleures conditions de fonction-nement, le nouveau local a coûté295 000 € dont 137 000 € financéspar le Département. Nous reversonsaussi chaque année une subventionde 2 500 € qui a été augmentée en2020 de 6 000 € pour répondre àl’augmentation des bénéficiaires,due à la crise sanitaire. »

La Banque alimentaire est uneassociation solidaire qui permet decollecter et de redistribuer des den-rées alimentaires aux personnesdans le besoin. « Une chaîne de soli-darité, qui a débuté en 1987 à Mon-taigu », rappelle Bernard Metay, pré-

sident départemental de la Banquealimentaire. L’antenne locale préparechaque mois, des colis alimentairesqui sont envoyés dans les 24 commu-nes du secteur pour être distribuéspar le biais d’une association desecours ou les communes.

Les chiffres. Les aides alimentaires

viennent de l’Europe, de l’État, desindustriels locaux et surtout de la col-lecte annuelle.

Le tonnage annuel distribué sur lesecteur : 33 277 kg pour une valeurde 116 611 €, soit 66 554 repas distri-bués. La collecte 2020 a permis derécolter 13,2 t en 2020 contre 14 t en

2019. Sur le secteur, une progressioninquiétante. En 2020, 1 357 familles,soit 3 107 bénéficiaires ont étéaidées, contre 1181 et 2905 en 2019.En février 2021 : 140 familles aidées,soit 324 bénéficiaires contre109 familles et 237 bénéficiaires en2020.

En présence des élus et des bénévoles, le nouveau local de la Banque alimentaire a été inauguré samedi après-midi.| PHOTO : OUEST-FRANCE

Le local de la Banque alimentaire inauguré samediMontaigu-Vendée — Les élus régionaux, départementaux et locaux ont découvert le nouveau local dela Banque alimentaire, au Dynapôle, impasse de l’Impératrice, zone industrielle Nord de Montaigu.

Saint-Germain-de-Prinçay

L’initiative d’un jardin solidaire estvenue de Denis Lehé, membre del’association Ami aux Herbiers, uneassociation qui soutient les migrantsdans leur parcours pour s’insérerdans la société. L’idée étant d’aiderles associations caritatives (Restosdu cœur, épiceries solidaires maisaussi CCAS) dont la tâche a nette-ment augmenté dans le contextesanitaire actuel. S’appuyant sur desexpériences similaires à Cerizay etMauléon, il a mobilisé une quinzainede personnes, dont cinq retraités« très pointus en jardinage ».

Une parcelle de 600 m2

Une parcelle de 600 m² a été mise àdisposition par une famille de Saint-Germain au lieu-dit Au fief des Cou-draies, sur la route de Rochetrejoux.Un agriculteur s’est proposé pourlabourer le terrain. La coopérativeCavac, via son site des Epesses, four-nira des plants de pommes de terre àAmi : le jardin de Saint-Germain enutilisera 2 000 environ. Des courget-

tes seront également cultivées etpeut-être d’autres légumes un peuplus tard.

La date de plantation des pommesde terre a été fixée au samedi 10 avril(ou 17 si la météo n’est pas favora-ble). Ensuite, des équipes de trois àcinq personnes iront régulièrementdans le champ pour le désherbage,le buttage, l’élimination des dorypho-res… À la récolte, les pommes de terreseront livrées aux associations ou sto-ckées quelques semaines dans lacommune.

Comme le souligne Denis Lehé :« Ce projet est ouvert à toutes lespersonnes intéressées. Un secondjardin doit être mis en place sur lesecteur des Herbiers et Saint-Paul-en-Pareds. Nous sommes prêts aus-si à collaborer avec d’autres collec-tifs qui souhaiteraient faire de mêmedans leur commune. »

Contact : Denis Lehé, tél.06 25 62 37 32.

L’appel de Denis Lehé, au deuxième rang à droite, a été entendu. Le collectifd’une quinzaine de personnes est constitué. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Un jardin solidaire créé dans la commune

La Flocellière. La saison hivernaletouche à sa fin, le stock de bois déchi-queté, qui alimente le réseau de cha-leur de l’Ehpad (Établissementd’hébergement pour personnesâgées dépendantes) Notre-Dame-de-Lorette, commence à s’amenuiseret il faut déjà penser à l’hiver pro-chain. En ce début du mois de mars,c’est la période habituelle pourengranger le bois issu des fermes etabattu un peu plus tôt dans l’hiver.

« Tout s’est passé dans de bonnesconditions », déclare Bruno Rautu-rier, agent responsable de l’approvi-sionnement de la plate-forme. « Lesconditions météo des derniers joursont permis un bon déroulement deschantiers et la nouvelle déchique-teuse acquise par la Cuma (coopéra-tive d’utilisation de matériel agricole)départementale assure un rende-ment supérieur aux années pas-sées. »

Près de 300 tonnes de bois, issuesmajoritairement des haies agricoles,vont sécher durant dix mois pourensuite alimenter la chaufferie boismise en service en 2012.

Engagée dans la filière bois du Pays

Sèvremont

de Pouzauges, la commune participeainsi à une filière courte et locale.« Nous sommes engagés dansune démarche vertueuse, qui pro-vient des exploitations agricolespour chauffer des bâtiments com-munaux. C’est une ressource dura-ble qui participe à l’économie loca-le », se réjouit le maire, Jean-LouisRoy.

La plate-forme située au Champ-de-la-Ville, près des services techniques, areçu le bois déchiqueté qui alimenterale chauffage de l’Ehpad pour l’hiverprochain. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Le bois pour le chauffage de la maison de retraite livré

Les Herbiers - Montaigu-Vendée - Bocage Ouest-FranceMercredi 17 mars 2021

Page 3: Revue de presse - ADMR 85

C’est le nombre de vieilles combinaisons quivont être recyclées grâce à l’appel des Sportsnautiques sablais. Un joli succès puisque

l’objectif initial était de 100 combinaisons.

214

Le chiffre

Mouvements de bateauxL’activité est visible du centre-ville desSables-d’Olonne, même pour lesnéophytes de l’aire technique de laCabaude. Sur cette plateforme de10 000 m² devant les ateliers duchantier Ocea, il y a des mouvementsde bateaux toute l’année.

Et pas que des bateaux de pêche.« C’est l’activité qui reste quandmême majoritaire », note SteveVaillant, le responsable de l’outillageportuaire à la Chambre de commerceet d’industrie.

AttractivitéL’élévateur à bateaux, doté d’unecapacité de 500 tonnes, s’est fait unnom sur le littoral, malgré la concur-rence d’équipements dont certainsont une puissance comparable. Lesconcurrents sont à La Rochelle, l’îled’Oléron ou à La Turballe.

Pourtant, aux Sables, il n’est pasrare de voir des fileyeurs du sud ouestou des bateaux bretons en répara-tion.

Le monde de la réparation navaleUn élévateur à bateaux n’est rien sansle tissu des entreprises de réparationnavale qui font vivre l’équipement.Les bateaux viennent faire leur arrêttechnique pour la peinture, le savoir-faire en mécanique, en chaudronne-rie, en hydraulique, en réparationpolyester…

Chiffre d’affaires en baisseÀ La Cabaude, le chiffre d’affaires2020 de l’élévateur à bateaux est enbaisse de 6 %. Comme ailleurs « il y aeu une période de flottement pen-dant trois semaines, à partir de lami-mars 2020. Nous avons connudes décalages d’arrêts techni-ques », reconnaît Steve Vaillant.L’année s’est toutefois correctementdéroulée ensuite avec l’accueil de350 bateaux qui ont représenté540 mouvements sur le site.

Préparateurs de bateauxL’élévateur à bateaux peut s’appuyersur la clientèle de la pêche, c’est 50 %de l’activité. Mais l’équipement ad’autres clients fidèles comme lespréparateurs de bateaux de plaisan-

ce Yacht Care services et SailingAtlantic services. Les mouvementsliés aux mises à l’eau des catamaransdu groupe Bénéteau et les grossesunités monocoques constituent 35 %de l’activité de l’élévateur. Annéede Vendée Globe oblige, les manu-tentions des Imocas des skipperslocaux ont également apporté unpetit plus. « L’intervention qui est sor-tie de l’ordinaire, s’est déroulée lorsde l’arrivée de Stéphane le Diraisonvictime d’une voie d’eau. Une répa-ration d’urgence a été nécessaireavant que le bateau gagne le pontondu Vendée Globe. »

Avec OceaL’élévateur à bateaux est égalementun outil stratégique pour le chantierOcea qui a fréquemment recours àl’équipement. « Ces mises à l’eau oumanutention représentent facile-ment deux bateaux par mois »,détaille Steve Vaillant. L’équipe del’élévateur est désormais rompue auxmanœuvres des patrouilleurs de32 mètres, le modèle le plus déclinépar Ocea. « La manutention des60 mètres devient aussi plusrodée. » Ocea a sorti de ses ateliersson troisième bâtiment hydrographi-que de cette taille, à l’automne der-

nier.

Pic d’activitéLes mois du printemps sont d’ordinai-re les plus chargés sur l’aire de laCabaude, car ils cumulent notam-ment les arrêts des navires à passa-gers saisonniers, mais aussi les chan-gements de saison à la pêche. C’estactuellement le cas avec la prépara-tion de la campagne de la sardinedes chalutiers de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.

Jean-Marie LE PROVOST.

Les voiliers de 60 pieds du Vendée Globe comme ici La Mie Câline Artipole génèrent des manutentions pour l’élévateurde la Cabaude. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Outil pour la flotte de pêche, les navires à passagers, la plaisance, l’élévateur XXL du bassinde commerce est un équipement stratégique pour la réparation navale.

L’élévateur à bateaux garde sa vitesse de croisièreLe projet

Lors du dernier Vendée Globe, c’estlui qui a pris soin, en tant que boatcaptain de PRB, du bateau de KevinEscoffier. En 2022, Damien Guillounaviguera sous les couleurs del’entreprise vendéenne basée auxAchards, pour la seconde édition dela Golden Globe Race (départ le4 septembre 2022), un tour du mon-de en solitaire, sans escale, sansassistance et sans moyen moderne

de communication.En 2018, PRB avait pris part à cette

course avec Philippe Péché. Formé àla voile olympique et au Figaro, lemarin breton de 38 ans, soutenu parKevin Escoffier, évoluera sur un Rust-ler 36 acheté en février. Le voilierentrera en chantier pour environ deuxmois chez Vincent Riou, ancien vain-queur du Vendée Globe sous les cou-leurs PRB en 2004.

Damien Guillou, skipper PRB sur la Golden Globe Race 2022 avec KevinEscoffier | PHOTO : MARTIN LE ROUX/POLARYSE

L’entreprise PRB repart sur la Golden Globe Race

« Mon centre-ville déballe tout ! »C’est le slogan de la braderie qui sedéroulera dans les rues du centre,samedi 27 mars. Celle-ci est organi-sée par l’association des commer-

çants du centre-ville, l’UCSO, de9 h 30 à 18 h. L’office du commerce etde l’artisanat rappelle que « le port dumasque et le respect des gestes dedistanciation sont obligatoires ».

Repéré pour vous

Une braderie dans le centre-ville samedi

« Ça fait longtemps que l’on y pen-sait. Sous l’ancien mandat, l’idéecourait déjà », admet NicoleÉdouard, adjointe au maire pourl’environnement. L’ouverture de jar-dins familiaux est un projet qui se revi-site aujourd’hui. Il vient de faire l’objetd’une enquête auprès des habitants.Toutes les boîtes à lettres des deuxbourgs, La Mothe-Achard et La Cha-pelle-Achard, ont reçu le questionnai-re sollicitant leurs avis ou leurs idées.Les retours seront dépouillés en mai-rie dès la semaine prochaine.

L’idée est réapparue à la lumièredes nouvelles conditions imposées àl’habitat local, en particulier la diminu-tion des surfaces des terrainsallouées aux constructions neuves.« Beaucoup d’Achardais regrettentle manque de place pour cultiver unjardin potager », fait remarquer Nico-le Édouard. S’y ajoute, l’émergencede nouveaux comportements en lienavec l’exigence de s’approprier la cul-ture de produits de consommationsains.

L’emplacement des futurs jardinsfamiliaux demeure indéfini, « il n’y arien d’arrêté », confirme l’adjointe aumaire. Même si certains lieux sont évi-demment bien en vue, ils ne sont pasdévoilés. En revanche, les critèresauxquels ce terrain devra répondresont bien calés. Le premier est laproximité : « Si nous avons desdemandes dans les deux quartiers,il y aura deux emplacements pourles jardins familiaux, l’un à La Cha-pelle, l’autre à La Mothe, afin d’éviteraux jardiniers de trop longs déplace-ments », assure l’adjointe au maire.Le second critère est la présenced’eau, indispensable au jardin.« L’eau proviendra soit d’une sourcenaturelle, soit d’une réserve d’eau

de pluie de récupération. » Puis,autres exigences, l’endroit sera clôtu-ré, doté d’une aire de stationnementet pourvu de toilettes.

Échanger ses techniquesde jardinage

Les initiateurs du projet conçoiventles jardins familiaux comme des lieuxde rencontres et d’échanges entrepersonnes partageant la même pas-sion. « Le jardin pourra être l’endroitoù chacun pourra confronter ses

expériences de jardinages, sestechniques, ses choix et ses con-naissances en la matière. » Pourl’heure, les aménagements sont enréflexion, mais on favoriserait unendroit avec des tables et des chai-ses sous abri. « Pourquoi ne pasexposer les surplus des cultures,qui sont fréquents, et les proposer àl’échange simple ou à un troc plan-tes ? », propose Nicole Édouard.

L’usage des pesticides et herbici-des sera strictement interdit. On pen-

se même encourager les techniquesde cultures nouvelles, « celles qui uti-lisent par exemple le paillage et quiévitent les labours avec les enginshorticoles ». Et pour couronner cetteréflexion, les jardins familiaux seraientgérés par une nouvelle associationqui se saisirait de son fonctionne-ment.

Renseignements en mairie au02 51 38 60 49.

Le site de l’ancien Potager extraordinaire, un lieu qui disposerait de bien des avantages et qui serait en vue ? | PHOTO : OUEST-FRANCE

Y a-t-il une demande pour des jardins familiaux ?Les Achards — Le projet d’ouverture de jardins familiaux fait l’objet d’une enquête auprèsdes habitants. L’emplacement sera défini selon les retours et ils seraient gérés par une association.

Saint-Mathurin

Le projet

Mercredi 17 mars, les acteurs du pro-jet de construction d’une résidenceautonome du Moulin se sont retrou-vés pour la pose de la première pier-re. Joseph Chevallereau, présidentde l’Aide à domicile en milieu rural(ADMR), en sera le gestionnaire, Pier-re Berthomé, le maître d’œuvre, Char-les Goujon, l’architecte, Annie Com-parat, de l’Agglomération, et SéverineBulteau, du conseil départemental,aidant aux finances.

La résidence du Moulin est desti-née à des personnes âgées (moyen-ne de 80 ans) non dépendantes.Chaque résident meublera son stu-dio de 28 m2 comme il le souhaite.Chaque logement est équipé d’unekitchenette, d’un espace de vie etd’une salle de bains adaptée.

L’accès sera possible de l’extérieur,par une terrasse et un chemin piéton-nier. Des espaces seront communsaux résidents, comme une salle desfamilles, une pièce de vie et salle àmanger, dans laquelle les personnespourront prendre leur repas. Destemps d’animation seront proposés.

Ce projet devrait permettre de créer

sept emplois. Les trois MAD (main-tien à domicile) des T3 locatifs deplain-pied de 68 m2 permettront auxrésidents de prolonger leur indépen-dance. Le maire, Albert Bouard, expli-que : « Nous faisons le choix d’undéveloppement raisonné. Ce projetétait dans les cartons lors des der-niers mandats. Nous avons achetéle terrain, pour un lotissement quiest déjà construit et occupé, au fondde la parcelle et cet espace intergé-nérationnel, réunissant les tout-pe-tits de la crèche et les personnesâgées. » Il évoque aussi la réhabilita-tion du moulin, avec mise à jour despierres, reconstruction du toit et miseen place des ailes. Le tout sera entou-ré de jeux, bancs et pelouse.

Pierre Berthomé, président de Ven-dée habitat, qui se charge des tra-vaux, précise : « Nous accompa-gnons les évolutions démographi-ques qui font revivre les centre-bourg, la région compte un grospourcentage de personnes âgées,environ 57 %. Chaque année, l’officeconsacre 80 millions d’euros à laconstruction et réhabilitation delogements et foyers, avec plus15 000 logements déjà construits. »

L’architecte du projet, Charles Goujon, Annie Comparat, Séverine Bulteau, le mai-re Albert Bouard, Joseph Chevallereau et Pierre Berthomé. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Première pierre posée pour la résidence

Les Sables-d'Olonne - Les Achards - Talmont Ouest-FranceMardi 23 mars 2021

Page 4: Revue de presse - ADMR 85

Le moulin des Gourmands relance sa productionSaint-Révérend — Depuis le 15 mars, le moulin des Gourmands a repris son ballet mécanique.Dès avril, sa farine sera vendue en ligne pour répondre à la demande des clients les plus éloignés.

« Nous avons un budget très confor-table à Landevieille, ce qui nous per-met d’envisager des investisse-ments nourris. » La maire, IsabelleDuranteau, trace donc tout naturelle-ment la voie.

Lors du conseil municipal du16 mars, les comptes administratifs2020, dont la section fonctionnementmontre un excédent de 280 352 €,sont approuvés à l’unanimité. Quantau budget primitif principal 2021,également validé, il s’équilibre aujour-d’hui à 826 000 € au niveau du fonc-tionnement et à 1 464 000 € s’agis-sant des investissements.

Au menu de ces derniers, sontannoncés en priorité : programme devoirie et réseaux pour 385 000 €,aménagement du centre bourg pour251 000 €, achat de terrains en vued’une réserve foncière pour155 000 €, création de WC au stadepour 20 000 €.

Le conseil valide également lesbudgets primitifs du Champ Deniauet du bâtiment relais du restaurant.Plusieurs demandes de subventionssont lancées, en lien avec le plan derelance, le contrat Vendée Territoires,ainsi que la subvention au titre desamendes de police.

Du vendredi 26 au dimanche28 mars, l’association Marie-Léonieorganise une braderie de livres dansle hall d’Intermarché de Saint-Jean-de-Monts. L’objectif ? Cette associa-tion œuvre auprès des enfants por-teurs de handicaps, notammentauprès de l’institut médico-éducatifd’Aizenay où elle vient d’offrir un sacde frappe avec son support pour lesjeunes après une vente de crêpeslors de la Chandeleur. Après une col-lecte importante de livres tels queromans, drames, culture, biogra-phies, jeunesse, elle les met en vente.L’originalité : chacun fait son prix !

Du vendredi 26 au dimanche28 mars, à partir de 9 h, hall d’Inter-marché de Saint-Jean-de-Monts.

Repéré pour vous

La médiathèque de Saint-Hilaire-de-Riez propose la deuxième partie deson escape game en ligne Mystère àSaint-Hilaire. La première partie avaiteu lieu en janvier. Les joueurs, seulsou famille, ont trente minutes pourrésoudre une enquête autour d’unmanuscrit retrouvé de Julien Gracq.

« À la fin du premier escape game,le joueur a retrouvé le manuscrit àcôté d’un corps, indique MatthiasRocher, l’un des concepteurs du jeu.Au début de ce deuxième jeu, le

joueur s’aperçoit que le manuscritest faux et il essaye de découvrirpourquoi la personne qui le détenaitest morte. »

La médiathèque propose de jouertoute la semaine, du 22 au 28 mars2021, en cliquant sur le lien disponi-ble dans un post Facebook. Des lotssont à gagner pour les participantsqui arrivent à finir l’escape game. Etvous pouvez aussi jouer à la premièrepartie, accessible sur le site de lamédiathèque.

La médiathèque de Saint-Hilaire-de-Riez propose un escape game en ligne du 22au 28 mars 2021. | PHOTO : DR

Jouez à un escape game en ligne avec la médiathèque

Le bon plan

L’association Marie-Léonie organiseune braderie de livres dans le hall d’In-termarché, du vendredi 26 au diman-che 28 mars. | PHOTO : FOTOLIA

À Saint-Jean, braderie de livres où chacun fait son prix

Saint-Gilles-Croix-de-Vie

Installés depuis le 16 février sur lequai de la République, à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Frédéric Truchy et safille Emy Truchy proposent des platsfaits maison à emporter, dans leurboutique Les petites barquettes. Leurparticularité ? « Ces plats sont condi-tionnés sous-vide, dans des bar-quettes pour une meilleure conser-vation », explique Emy Truchy qui estvenue accompagner son papa pen-dant les six premiers mois de l’ouver-ture de la boutique.

« L’idée est de faire comme à lamaison », explique Frédéric, le chefen cuisine. « On fait de tout, et aussisur commande », ajoute sa fille. Enplus de la vente de plats à emporter,

la boutique propose un choix de vinset d’épices. D’autres projets sont àvenir : « Cet été, nous proposeronsdes pastas-box, des salades àemporter et des plateaux de fruitsde mer en format individuel », annon-ce Frédéric Truchy. En prévision de lasaison estivale, le chef d’entrepriserecherche des saisonniers prêts àservir la clientèle.

Les petites barquettes, du mardi ausamedi, de 9 h à 13 h et de 15 h à18 h ; 10, quai de la République85800 Saint-Gilles-Croix-de-Vie.E-mail : [email protected]. Tél. 09 83 42 61 12.Site Web : lespetitesbarquettes.com.

Frédéric Truchy a ouvert Les petites barquettes. Il est accompagné de sa fille EmyTruchy à la vente. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Père et fille proposent des plats fait maison sous vides

Landevieille

Comptes administratifs 2020 et budget primitif 2021 votés

Pourquoi ? Comment ?

Comment fonctionne l’ADMR (ser-vice d’aide et d’accompagnementà domicile) sur le territoire ?Le Pays de Saint-Gilles propose unmaillage important, avec un centre desanté infirmier et cinq services d’aideet accompagnement à domicile, àBretignolles, Coëx, Commequiers,Saint-Hilaire-de-Riez et Saint-Gilles-Croix-de-Vie, couvrant les 14 commu-nes du territoire, plus Notre-Dame-de-Riez. Ils sont gérés par des équi-pes de bénévoles, très investis locale-ment, et emploient 126 aides àdomicile qui interviennent auprès de1 500 clients, représentant136 000 heures d’intervention par an.

Comment l’associationva-t-elle évoluer ?Après un regroupement sur deuxsites administratifs il y a quelquesannées, à Saint-Hilaire-de-Riez etSaint-Gilles-Croix-de-Vie, l’ADMR asouhaité regrouper tous ses serviceset s’est mis en quête d’un nouveaulocal en 2019. Et elle a trouvé sonbonheur au Bégaud Pôle, « un lieucentral, dans une zone dynamiqueet facile d’accès, avec une belle visi-bilité, en bordure de la route de LaRoche », explique Céline Jalier, cadrede secteur.

Ses locaux rénovés, de 226 m2,accueillent désormais les bureaux desix assistantes et trois responsablesde secteur, et deux secrétairesd’accueil. Une salle de réunion per-met également aux bénévoles de seretrouver pour échanger.

Pourquoi un regroupementadministratif ?« L’objectif est d’offrir un meilleurservice aux clients en augmentantl’amplitude horaire d’accueil et encréant des conditions qui favorisentune meilleure planification des inter-ventions. » La proximité facilite aussiles relations de travail et l’harmonisa-tion des pratiques et impulse unenouvelle dynamique à l’équipe. Et lamise en place d’un secrétariat mutua-lisé a permis de créer des postes

d’assistantes de secteurs, en appuiaux bénévoles et deux postes « d’aideà domicile volante » pour assurer lesremplacements d’urgence.

Qu’est-ce que ça changepour les utilisateurs ?Pour répondre à la demande deproximité, les permanences sontmaintenues, une demi-journée parsemaine, dans les quatre communesde Brétignolles, Coëx, Commequierset Saint-Hilaire-de-Riez. Dans les nou-

veaux locaux, l’accueil physique sefait du lundi au vendredi, de 9 h à12 h 30 et de 14 h à 17 h. L’accueiltéléphonique se fait sur les mêmescréneaux, à partir de 8 h 30, avec, endehors de ces horaires, une perma-nence téléphonique départementalepour prendre en charge les urgen-ces.

ADMR du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie : 50, rue des Couvreurs,local 10. Tél. 02 51 54 43 73.

Une partie des bénévoles et salariés de l’ADMR devant les nouveaux locaux sur le site de la Bégaudière. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Le moulin des Gourmands tourne denouveau à Saint-Révérend. Aprèsavoir nettoyé, entretenu et réglé lamécanique de cette emblématiquemachine à moudre construite en1842, Fabien Benéteau a pu, lundi15 mars, relancer la production defarine de blé tendre et de sarrasin.

« L’objectif est d’avoir une tonnede farine en stock avant de débuterla saison, confie le meunier. Il y aencore du pain sur la planche. »Actuellement, le moulin et son meu-nier produisent environ « 20 kg defarine par heure ».

Sauf contretemps, l’ouverture auralieu lors du week-end de Pâques,dimanche 4 et lundi 5 avril. À partirdes vacances de printemps, dès le11 avril, la saison sera définitivementlancée, tout comme les traditionnelsjeux de pistes, organisés pour lesenfants dans le parc attenant.

Visites sur réservation

En attendant, le meunier travaille.Heureux d’exercer dans « ce cadreextraordinaire » où il peut « favoriserle patrimoine local » avec des pro-duits du coin, il approvisionne le mou-lin en blé, extrait la farine à la façond’autrefois puis la conditionne ensachets…

Maître en sa demeure, il prêtel’oreille et garde un œil sur tout. « Voi-ci la bluterie, qui sépare la farine duson. Là, c’est la meule de silex, quiécrase le blé. Il faut bien la réglerpour obtenir la meilleure extractionpossible. Et voilà le rouet », explique-

Le sarrasin sert essentiellement à laconfection de galettes. Cette saison,pour assurer la production, 2,5 tonnesde sarrasin et 12 tonnes de blé ont étéachetées. | PHOTO : OUEST-FRANCE

t-il face à l’imposant engrenage quiconvertit le vent en énergie.

« Il faut être à l’affût et bien écou-ter. Selon le vent et le soleil, on varégler la vitesse et l’orientation desailes ainsi que l’écartement de lameule. Depuis quand je travaille ici ?Quinze ou seize ans… Quand on

aime, on ne compte pas », sourit lemeunier.

Mais cette saison, le contexte sani-taire chamboule les règles. Les visi-tes, limitées à 12 personnes au lieude 19, seront organisées sur réserva-tion via le site internet du moulin.

En 2020, la crise a entraîné une

diminution de 23 % des ventes, maisla nouvelle saison « laisse présagerde bons chiffres », assure l’équipe dumoulin. Entre 2015 et 2019, « les ven-tes ont augmenté de 200 % ».

De la vente en lignecourant avril

Si bien que le moulin des Gour-mands devrait, dès avril, se lancerdans la vente en ligne via les sitesinternet du moulin et de l’office dutourisme du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. « Ça vaut le coupd’essayer, estime Fabien Benéteau.Notre farine était difficile à trouverpour les personnes qui habitentloin. » Pour l’aider dans sa tâche, un« renfort meunier » investira les lieuxfin mars, « pour toute la saison ». Unautre les rejoindra dès juin pour unepériode de trois mois.

Antoine MORIN.

Moulin des Gourmands : www.mou-lin-gourmands.fr ou 02 51 60 16 72Office du tourisme : www.payssaint-gilles-tourisme.fr

Depuis plus de quinze ans, le meunier Fabien Benéteau assure la production de farine au sein du moulin des Gourmands.| PHOTO : OUEST-FRANCE

A l'aide de cette corde, le meunier Fabien Benéteau peut à loisir augmenter ouréduire la voilure, afin obtenir l'énergie idéale pour broyer le blé ou le sarrasin.

| PHOTO : OUEST-FRANCE

Leserviced’aideàdomicilemutualisesonsecrétariatSaint-Gilles-Croix-de-Vie — Un lieu unique et un seul numéro de téléphone. Au Pays de Saint-Gilles, l’as-sociation d’aide et d’accompagnement à domicile (ADMR) s’est restructurée pour être plus efficace.

Pays de Vie- Pays de Monts Ouest-FranceMercredi 24 mars 2021

Page 5: Revue de presse - ADMR 85

La Chapelle-Hermier

À la bibliothèque, une exposition estdestinée aux 0-3 ans, elle s’appuiesur le livre Le tout petit d’Anne Letuffe,qui a été prêté pour l’occasion par labibliothèque départementale.

Ce livre fait le parallèle entre la natu-re et le corps, ainsi l’arbre est compa-ré à une main, la rivière à des larmes,le blé à des cheveux. Quoi de plusdrôle pour ces petits bout que dedécouvrir le monde en s’amusant !

Toute une sélection de livres bébéainsi qu’une lecture filmée d’albumpoétique sont également proposésaux petits visiteurs. Les bénévoles lesaccueillent le mercredi de 16 h à17 h 30 et le samedi de 10 h à 12 h,jusqu’au 21 avril.

Par ailleurs, l’activité de la bibliothè-que se porte bien. Ainsi, pour 2020,ce sont 2 879 livres, 265 documentsacquis, 2 580 prêts de livres surl’année et dix-sept nouveaux inscrits.Sans oublier un arrivage de nouveau-tés, trois fois par an, achetés par labibliothèque et catalogués par lesbénévoles.

Thomas William et toute l’équipe debénévoles au nombre de 12, rappel-lent que depuis 2017, un livre estoffert pour chaque naissance,140 familles en ont déjà bénéficié surle territoire.

Facebook : bibliothèque du pays desachards. Contact : 02 51 48 15 51.

Thomas William et l’équipe de bénévoles à côté de l’exposition. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Les bébés lecteurs à l’honneur jusqu’au 21 avril

Longeville-sur-Mer

Ce dimanche, une cinquantaine departicipants ont répondu à l’appel deSurfrider Foundation 85 pour le net-toyage de la plage des Conches àLongeville-sur-Mer. Cette initiativeOcéane, organisée en partenariatavec le club de surf du LongevilleSurf Club, a permis de récolter l’équi-valent de près de 1 000 litres dedéchets (12 sacs de 80 litres) : bou-teilles en plastique, cannettes, filetsde pêches mais aussi chaussures,boule de pétanque et les désormaistrop fréquents masques chirurgicaux.

Les enfants et leurs parents ont

ensuite pu participer à la réalisationd’une fresque représentant la Vagued’Hokusai baignée de déchets afinde sensibiliser les participants et lespromeneurs sur l’état de nos océans.

Surfrider Foundation Europe estune association à but non lucratifayant pour but la défense, la sauve-garde, la mise en valeur et la gestiondurable de l’océan, du littoral, desvagues et de la population qui enjouit. Elle regroupe, à ce jour, plus de13 000 adhérents et intervient suronze pays via ses antennes bénévo-les.

Les bénévoles trient les déchets sur la plage des Conches. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Près de 1 000 litres de déchets sur la plage des Conches

La fresque représentant la fameuse estampe d’Hokusaï revisitée par les enfantsau vu des dégâts écologiques. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Les élus et partenaires visitent la micro-crècheSaint-Mathurin — La micro-crèche est sortie de terre et sera prête à accueillir les petits pour la rentréede septembre. L’Aide à domicile en milieu rural (ADMR) sera l’employeur.

Paris ; celui des secrétaires, quel vaccin àquel âge ; le conseil du bibliophile, la Trilo-giede Templiers ; photo de la semaine, lesMenhirs de Carnac ; ça s’est passé un24 mars ; mettre à la Jaille, faire Charrette ;PierreLevée;petiteshistoires.Envoyezvossujets à Alain le rédacteur de la gazette.Jeudi 25 mars. Gratuit. Contact etréservation : 06 49 21 06 99,06 15 17 24 55,[email protected], http://www.arso85.fr

Nieul-le-DolentMesses des Rameaux - ParoisseSaint-Joseph du GarandeauVie paroissiale. Pour la fête des Rameaux,(en raison du couvre-feu) messe à 9 h àSainte-Flaive et à 10 h 30 à Nieul (avecmasque, distanciation et gestes barriè-res). Bénédiction des rameaux au débutde chaque célébration. Nous entronsdans la semaine sainte, en célébrantl’entrée de Jésus à Jérusalem. Au coursde la semaine, messe du Jeudi Saint(1er avril) à15hàSainte-Flaive,célébrationdu Vendredi Saint (2 avril) à 15 h auGirouard. Messes de Pâques (4avril) à 9 hà Nieul et à 10 h 30 à Sainte-Flaive.Dimanche 28 mars, 9 h et 10 h 30,Église.

Annoncez gratuitement vos événe-ments sur : www.infolocale.fr

GrosbreuilEntente Sportive Grosbreuil Girouardrepas à emporterA emporter. Repas à emporter : menuadulte 15 € : 1 verre de punch paella ouconfit de canard gratin, fromage salade,pâtisserie. Menu enfant 6 € : briquette dejus de fruit, jambon grillé pomme de terre,pâtisserie. Vente de vins : rouge (Chama-sutra ou cote du Rhône) 10 € la bouteille,rosé (moment de plaisir) 8 € la bouteille,blanc (isatis)10€ labouteilleetmousseux10 € la bouteille. A retirer au stade deGirouard ou Grosbreuil entre 11 h 30 et13 h le 10 avril sur réservation.Samedi 10 avril, 11 h 30 à 13 h, Stademunicipal, De Girouard et de. Payant.Inscription avant le 2 avril. Contact :06 99 58 09 47, 06 31 54 34 69.

Les Sables-d'OlonneAmicale de la Retraite sportive desOlonnes, ArsoOpération solidarité. Le n° 20 de la gazettedu reconfinement est disponible sur le sitede l’Arso, rubrique gazette. Les thèmes : lemot du président, Paris sera toujours

Saint-Vincent-sur-Graon

Malgré la pandémie, l’Ogec (organis-me de gestion de l’enseignementcatholique) de l’école Saint-Joseph amaintenu sa traditionnelle carbonna-de. Freddy Potier, président de l’asso-ciation, explique : « La carbonnadecette année a été un bon cru malgréle contexte actuel. Les bénéficesserviront à financer, entre autres,l’entretien des classes de l’école,l’aménagement extérieur du nou-veau pôle maternelle. Les repas sontentièrement préparés par lesparents d’élèves bénévoles. »

Et cette année, ils ont eu du boulot,pas moins de 237 repas adultes et 51repas enfants à confectionner.

Dès samedi matin, les parents d’élè-ves étaient sur le pied de guerre pouréplucher les 40 kg d’oignons, les80 kg de pomme de terre et faire mijo-ter les 90 kg de morceaux de bœufnécessaires pour la carbonnade sanscompter la garniture des bouchées àla reine. A 16 h, tous les colis étaientprêt à emporter et à 18 h tout étaitparti. Rendez-vous l’année prochai-ne.

À gauche, Fabrice Delavergne accompagné de Kévin Potier à la manœuvre.| PHOTO : OUEST-FRANCE

Malgré le Covid, la carbonade de l’école a fait le plein

Le projet

Mercredi 17 mars, Albert Bouard,maire, recevait Pierre Berthomé, pré-sident de Vendée Habitat, JosephChevallereau, président de l’Aide àdomicile en milieu rural de Vendée,ainsi que les partenaires financiers,Annie Comparat, de l’Agglomérationet Séverine Bulteau, conseillèredépartementale. La visite de la micro-crèche s’est faite en présence del’architecte Charles Goujon, d’Ouestarchitecture urbanisme (OAU), et deGilles Lollivier, chef des travaux.

Répondre aux besoinsde la commune

Le bâtiment de 160 m2, fera face aumoulin, et à la future résidence pourpersonnes âgées. Il sera équipé detrois chambres, d’une grande salle demotricité centrale, sous poutre appa-rente, d’une lingerie, sanitaire, bureauet cuisine.

L’ADMR, porteuse du projet, aremarqué, dès 2017, que l’offred’accueil des jeunes enfants, ne cor-respondait plus aux besoins de lacommune. La population jeune aug-mente, ses besoins aussi. Un parte-nariat s’est fait entre la commune, quiapporte le terrain, Vendée Habitat,maître d’œuvre, l’Agglomération et leconseil départemental, aidant aufinancement. Le projet avance bien,la micro-crèche, « Le Moulin Enchan-té » pourra accueillir jusqu’à douzeenfants, âgés de 10 semaines, à

4 ans. Cette structure ouvrira en sep-tembre, avec une responsable édu-catrice jeune enfant, deux auxiliairesde puériculture et deux assistantsd’accueil.

Joseph Chevallereau précise :« Nous en sommes à notre quatriè-me crèche en Vendée et notre cin-quième résidence autonome. » Ven-dée Habitat investit plus de 4 millionsd’euros, résidence autonome compri-se, et vendra la crèche à l’ADMR, larésidence autonome leur sera louée.

Au premier plan, Joseph Chevallereau, Albert Bouard, Pierre Berthomé, Annie Comparat et Séverine Bulteau, les acteursprincipaux du projet. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Vue en perspective de l'entrée de la crèche. | PHOTO : DR

À l’agenda de vos communes

Vairé

Les élèves de l’école Saint-Pierre ontsuivi la course du Vendée Globe deBenjamin Dutreux de très près, ils ontbaptisé le bateau, puis chaque jour,suivi la course du skipper.

Lundi, le navigateur, qui a terminé9e pour sa première participation àcette grande course mythique, leur afait la surprise de venir les rencontrerà l’école. À cette occasion, les enfantsavaient préparé banderoles et des-

sins. Un moment d’échange dans lacour, suivi de chants et remise dedessins personnels a clos la journée.

Benjamin ne pourra ouvrir sonenveloppe pleine de dessins, que le5 avril, jour de son anniversaire.

Une dernière séance de dédicaceset photos avant la promesse de seretrouver dans quatre ans, pour unenouvelle aventure autour du monde.

Que de questions sur la course et l’aventure autour du monde. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Les élèves reçoivent leur skipper Benjamin Dutreux

Curzon

Après le départ de Julie Charles Aris-tide fin janvier, Flavie Dorin a assurél’intérim au poste de secrétaire géné-rale de la mairie, jusqu’au 15 marsdernier. Olympe Leriche, qui ne pou-vait être présente qu’à partir du8 mars, a pris ses fonctions de secré-taire générale de la mairie. Nouvelle-ment installée en Vendée, elle occu-pait un poste identique à Château-

neuf-sur-Loire dans le Loiret.« Nous remercions chaleureuse-

ment Flavie pour les quelquessemaines passées dans notre com-mune. Nous lui souhaitons lemeilleur possible dans ses nouvel-les fonctions à la préfecture de Ven-dée, où elle sera en charge des élec-tions », note Didier Roux, le maire, aunom de l’équipe municipale.

Olympe Leriche (au premier plan) vient de prendre ses fonctions à la mairie.| PHOTO : OUEST-FRANCE

Olympe Leriche, nouvelle secrétaire générale de mairie

Barilla investit dans l’usine Harrys et l’agranditPage 9

Talmont-Saint-Hilaire

Vous organisez des événementsen ligne : expositions, jeux, ate-liers, concerts, conférences,

cours etc. ? Annoncez-les sur Infolocale.fr, nous les publieronsdans nos agendas numériques et dans nos pages locales.

En ligne !

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Les Sables-d'Olonne - Les Achards - Talmont Ouest-FranceJeudi 25 mars 2021

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Chauché« Être seul, pas si simple » invitation àl'échange animée par I. Thareau, psy-chosociologueRéunion, débat, rencontre. Dans le cadrede la prévention seniors, le CIAS organise2 h 30 d'échanges : «de l'isolement et dessolitudes» de quoi parle-t-on ? «des situa-tionschoisiesàcellessubies»quellescon-séquences ? « les solitudes et les maniè-res de lutter contre les effets négatifs » par-lons-en. Groupe 10 personnes.Lundi 12 avril, 14 h 30. Inscription avantle 12 avril. Contact : 06 73 71 94 65,[email protected]

Annoncez gratuitement vos événe-ments sur : www.infolocale.fr

BeaurepaireÉcole Saint-JosephVide-greniers. 100 exposants. Accueildes exposants dès 7 h. Informations etréservation par mail ou téléphone, de 18 hà 20 h. Protocole sanitaire strict.Dimanche 11 avril, 9 h à 18 h, terrain defootball, 19, rue de la Galissonnière. Tarif :exposants, le mètre linéaire 3,50€,visiteurs : gratuit. Contact et réservation :06 12 85 22 10,[email protected]

Les gens d’ici

Après un bilan de compétences etvingt années dans la restauration sco-laire d’un lycée, Claudia Blandin hési-te alors entre la peinture décoration,« que j’aime depuis tout le temps »,ou les services à la personne. Elleopte pour la première option.

La mère de famille laisse alors,« mari et enfants à la maison », pours’engager dans une formation deneuf mois, à Vertou, afin de préparerson CAP de peintre en bâtiment avecl’option décorateur, en candidatelibre. Formation assortie de stagesqu’elle effectuera chez des profes-sionnels de la décoration, à Pouzau-ges, aux Châtelliers-Châteaumur et àChantonnay.

« On verra bien »

Le précieux diplôme en poche, Clau-dia se tourne alors vers « l’autoentre-prise qui, à l’époque, commençaitjuste à démarrer », confie-t-elle. Avecpeu d’investissements « un camion,un escabeau, deux, trois brosses »,la jeune entrepreneuse se lance, et

camion. « C’est de la publicité quivoyage », s’amuse-t-elle. Et pour« des grands travaux, des plafonds àtoiler », elle fait appel à des collèguespeintres. Du travail qu’elle réalise tou-jours « sur le canton auprès des par-ticuliers ».

« On peut m’appelerque pour ça »

Mais sa préférence c’est la peinture,peinture décorative, pose du papier,du sol. Mais aussi, occasionnelle-ment, de la rénovation de meubles.« Une petite niche que j’adore et queje fais de temps en temps », précise-t-elle. Elle réalise aussi de petits tra-vaux extérieurs, comme des dessusde fenêtres, les volets, mais pas defaçades. Par passion, « je donne aus-si des conseils, on peut m’appelerque pour ça », sourit-elle. Et par chan-ce, « le papier peint, que je pose éga-lement, revient à la mode en pans demurs ! »

Peintre décoratrice, Toutes les cou-leurs du monde : [email protected]. Tél. 06 58 41 59 61.

« on verra bien ».Au tout début, la clientèle se fait

« avec des gens que tu connais, puisau fur et à mesure, c’est par le bou-che-à-oreille », avoue Claudia. Et lefait est que… « ça a toujours fonction-né depuis onze ans, c’était le 15 juin2010 ».

Gage de réussite, elle n’a pas eubesoin de faire de publicité pourorganiser son travail à presque tempsplein. Simplement une pancarte àl’entrée de son hameau de la Grande-Barre, route de La Pommeraie-sur-Sèvre, ainsi que ses coordonnées etle logo de son entreprise sur son

Claudia Blandin, et son fidèle camion atelier ambulant, intervient que dans le Paysde Pouzauges. | PHOTO : OUEST-FRANCE

« Peintre décoratrice, c’est mon vrai métier »Pouzauges — Claudia Blandin ou l’histoire d’une reconversion professionnelle réussie. C’est en 2008qu’elle a fait son changement de cap, après « 20 ans dans la restauration scolaire » d’un lycée.

L’entreprise

Valérie Moreau ne cache pas sa joie.Son salon de coiffure, Avenue 73,vient de décrocher le label Préféren-ce commerce remis par la Chambrede commerce et de l’industrie de Ven-dée (CCI).

Lorsqu’on a toujours le nez dans leguidon, il arrive parfois que le com-merçant ne prenne pas le recul suffi-sant pour analyser ses pratiques.« Cette démarche, sur la base duvolontariat, permet de se remettreen question », estime Valérie Moreau,également gérante du salon Cocoonet moi aux Herbiers.

C’est justement par l’Union descommerçants et artisans des Her-biers (Ucah) que la coiffeuse a euvent de ce label. C’est naturellementqu’elle postule avec les deux sitespour l’obtention du diplôme. « Nousavons eu à deux reprises un clientmystère, une première fois au télé-phone, puis un second au salon. »

De nombreux critèresde notation

Avec son employée Hélène, les deuxprofessionnelles n’ont pas détecté cefameux client mystère. Ce qui obligeà prêter une attention particulière àchacun de ses clients. Le salon aobtenu l’excellente note de 98.3 %sur une base de 80 critères évaluésallant de l’accueil, à la présentation autéléphone, à l’affichage des produitset services en magasins, à la tenuedes locaux, à l’efficacité des répon-

ses…Les communes soutiennent les

commerces pour l’obtention de celabel. « Chaque fois qu’un commer-çant s’engage, la commune prenden charge les frais de labélisation àhauteur de 50 % », précise HélènePoingt Gaska, adjointe à l’économieet aux commerces.

En plus d’être spécialiste du blond,dans le salon, on trouve aussi un bar

bio à recharge qui apporte un servicecomplémentaire écologique favori-sant le zéro déchet. Les cheveux sontégalement recyclés avec l’associa-tion Coiffeurs justes. Autant de pointsqui apportent une touche positive etdynamisent ces points de vente. Pourrépondre à la demande croissante, lagérante propose d’ailleurs deux pos-tes à pourvoir dont un de suite enContrat à durée déterminée à temps

plein.

Contact : tél. 02 51 57 46 79. Siteinternet : www.avenue73.com.Ouvert le lundi, de 14 h à 19 h ; dumardi au jeudi, de 9 h à 12 h et de14 h à 19 h ; le vendredi de 9 h à 19 h ;le samedi de 8 h à 16 h.

Valérie Moreau et Hélène relèvent le défi de l’obtention du label Préférence Commerce pour que chaque clientse sente accueilli et conseillé selon ses attentes. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Avenue 73 obtient le label Préférence commerceLes Épesses — Initié par la chambre de commerce et de l’industrie vendéenne, ce label permetaux commerces d’afficher leur volonté de valoriser la qualité de l’accueil près de leurs clients.

Pouzauges

Le Centre aquatique du Pays de Pou-zauges compte parmi les quatre pis-cines de Vendée, et la seule à l’est dudépartement, autorisées à accueillirle grand public, grâce à leurs bassinsde plein air.

Ouverte en 1996, cette piscineintercommunale a connu une rénova-tion complète en 2019, avec la bonneidée d’y construire un bassin en pleinair, ce fameux bassin nordique de140 m², muni d’un sas d’entrée.

Face à la demande, la piscine duPays de Pouzauges innove en lan-çant des matinales, dès 7 heures dumatin, chaque jeudi, pour les nageursdésireux de se mettre en forme avantle travail. En prime, le café est offert.

Douze heureux nageurs ont répon-du présent dès le lancement desmatinales, ce jeudi. Ils sont tout aussinombreux à participer aux différents

cours d’aquagym proposés.Le Centre aquatique Pouzaugeais

propose aussi un large choix de cré-neaux d’aquagym. Le tout dans le res-pect des règles sanitaires. En raisonde la pandémie, la fréquentation estlimitée à 18 nageurs. La réservationest donc conseillée.

En plus des créneaux de nage libreet de remise en forme, du lundi ausamedi, des créneaux sont réservésaux publics prioritaires (sportifs dehaut niveau, personnes en formation,bénéficiant d’une prescription médi-cale d’activité physique adaptée oupublic handicapé).

Contact : tél. 02 51 57 04 33. Tarifs :entrée adulte, 4 € (carte 10 entrées33, 10 €) ; enfant, 2,70 € (carte10 entrées, 22 €). Cours de remise enforme : 9,15 € (10 cours, 75 €).

Pour tous les sportifs qui tombent du lit de bonne heure, l’établissement proposedes créneaux dès 7 h, chaque jeudi, dans son bassin nordique. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Le Centre aquatique lance ses matinales

La 26e édition du festival les Feux del’été, prévue les 11 et 12 juin 2021, estde nouveau reportée. Une décisionprise malgré les directives de l’Étatautorisant la tenue de festivals avecune jauge de 5 000 personnes assi-ses.

Pour son président, Antoine Bou-chet, « la jauge aurait été de toutefaçon difficile à atteindre dans lechamp où se déroule le festival. Deplus, nous n’avons aucune visibilitésur la restauration et la boisson, quireprésentent une part non négligea-ble de notre budget. Il y a aussi toutela logistique extérieure, le parking, lecamping, qui aurait été très compli-quée. Financièrement, ce n’était pasviable ».

Des solutions, il pouvait peut-être yen avoir comme un « click & collect àl’entrée », mais il y avait surtout unobstacle infranchissable pour lesmembres de l’association : « La tenued’un festival de rock assis, c’est tota-lement en dehors de notre vision decette musique qui est festive et quidonne forcément envie de bouger. »

C’est pourquoi, les Feux de l’été

Saint-Prouant

soutiennent totalement l’initiative desplusieurs grands festivals de l’Ouestqui militent pour se tenir debout avecdes photos de chaise vide accompa-gnées du hashtag #deboutlesfesti-vals.

Antoine Bouchet, président des Feuxde l’été, au milieu du champ qui devaitaccueillir le festival, reporté au 10et 11 juin 2022. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Les Feux de l’été : nouveau report pour le festival

À l'agenda de vos communes

Pour faire paraître gratuitement uneannonce de manifestation, de réu-nion ou de permanence ou tout autrerendez-vous, dans le journal Ouest-France, connectez-vous sur

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Pour paraître dans le journal Ouest-France

Pendant 39 années Marie-HélèneBossard a soigné, écouté de nom-breux patients mais a aussi pris soinde ses collègues infirmièr(e)s. « À sonarrivée au centre de soins, l’équipeétait composée d’infirmières laï-ques et religieuses », explique sa col-lègue, Laëtitia Bridonneau.

En 2008, Marie-Hélène devientinfirmière responsable du centre desanté du Boupère avec les antennesde Mouchamps et de La Flocellière(devenue Sèvremont).

En 2021, à l’aube de sa retraite, cen’était pas moins de 21 infirmièresdont elle a eu la gestion, notammentcelle des plannings, des formations,des recrutements, etc. « Elle a égale-ment supervisé trois secrétaires etdes agents d’entretien. »

Le centre a évolué à grande vitesse.Elle a été épaulée par les bénévolesde l’ADMR (aide à domicile en milieurural) dont dépend le centre. « Marie-Hélène se sera surtout définie par sabonne humeur, sa disponibilité, sonsens de l’écoute et sa patience, fai-sant d’elle une infirmière responsa-ble appréciée et respectée de

Mouchamps

tous. »Elle ne quitte pas le navire sans pas-

ser le relais. Émilie Pasquiet, actuelle-ment infirmière au centre, est désor-mais la nouvelle responsable. « Toutel’équipe lui souhaite une agréableretraite. »

Marie Hélène Bossard profiterade sa retraite après 39 ans de service.

| PHOTO : OUEST-FRANCE

Marie Hélène Bossard, infirmière, part à la retraite

Chauché

Une installation en présence deChristian Merlet, le maire, qui expli-que que « les conditions sanitairesn’avaient pas permis de rencontredepuis les élections du 16 octobre2020 ».

Le CMJ est composé de sept filleset deux garçons : Manon Bellanger,Jasmine Bouillaud, Apolline Fauchet,Emma Fournier, Joanna Gaborieau,Tia Potier, Lola Rousseau, Noa Huc-teau et Abel Fauchard. Ils sont aidésde sept élus adultes qui composentla commission Enfance, famille, cultu-re, social, présidée par Myriam Baron,adjointe. « Les jeunes élus ont choisiun projet dans chacun des quatre

thèmes proposés dans leurs profes-sions de foi », précise le maire.

Les actions à mener porteront surl’environnement, avec une journée deramassage des déchets dans la com-mune ; l’entre-aide, par un don dejouets de la part des écoliers pour lesenfants hospitalisés ; loisirs culture,par la réalisation d’un Escape gamepour découvrir la commune ; la sécu-rité, en apprenant les gestes de pre-mier secours avec les pompiers.« Chaque projet va être travaillé lorsdes prochaines rencontres, afin derespecter le budget de 1 200 € quileur est alloué », conclut ChristianMerlet.

Les jeunes élus, encadrés par leurs aînés du conseil municipal, pour leur premièreréunion d’installation. | PHOTO : OUEST-FRANCE

Le Conseil municipal des jeunes est installé

Ouest-FranceLundi 29 mars 2021Les Herbiers - Montaigu-Vendée - Bocage