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Revue de presse kylia semaine 35

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 26 Août au 1 Septembre 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Immobilier à Paris : les prix toujours très élevés ne refroidissent pas les investisseurs Le 26/8/2013

La capitale est réputée pour son marché immobilier qui atteint des prix au mètre carré

très élevés. En retour, les investisseurs, qui se font plus rares, exigent une qualité

irréprochable. Le point sur ce qui se vend... et sur ce qui a du mal à trouver preneur.

@Paris Ron Chapple

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Prix moyen du m² dans l'ancien : 8 260 euros. Son évolution sur 1 an : + 0,1 %

La qualité sinon rien. Comme les provinciaux, les Parisiens ont décidé de ne plus acheter n'importe

quoi à n'importe quel prix. " Désormais, les acheteurs ne se positionnent que sur un seul type de

produit : le bien sans défaut, correspondant à leurs besoins, mais aussi à ceux de leurs éventuels

repreneurs, le tout dans un environnement sécurisé, indique Nathalie Naccache, responsable des

agences Century 21 Fortis Immo des IIer, IIe et IIIe arrondissements de Paris. Pour ce type de bien, les

acquéreurs sont prêts à payer cher, si le produit est au bon prix. "

Moins de 30 mètres carré : le graal de l'investisseur parisien

Rares, les petites surfaces, convoitées par les investisseurs, certes moins nombreux, s'arrachent

toujours à prix d'or. Tel ce studio de 23 mètres carrés, rue de la Michaudière, non loin des grands

boulevards, vendu 10.500 euros le mètre carré. Ou encore, près de Beaubourg, dans le IVe

arrondissement, un studio de 18 mètres carrés vendu 13.000 euros le mètre carré. De même, les

chambres de bonne de belle facture trouvent toujours preneur, malgré la récente taxe sur les micro-

logements fixant un loyer maximal.

Dans un immeuble haussmannien du Ve arrondissement, près de la place Monge, une chambre de 9

mètres carrés en excellent état est partie à 110.000 euros. Pour ces petites surfaces à louer, les

acquéreurs attachent moins d'importance au défaut que pour les grands appartements familiaux et le

F2, recherché des jeunes actifs.

Il faut dire que le prix moyen à Paris s'établit à 8.260 euros. De quoi représenter un engagement

financier conséquent, frôlant 500.000 euros pour un 50 mètres carrés. Dans ces conditions, ceux qui

peuvent encore passer à l'acte sont devenus de plus en plus exigeants. Et, surtout, de plus en plus

rares.

Un volume de ventes en baisse dans tout Paris

" Que ce soit le VIIe, XVIe ou encore le XVe, tous les arrondissements accusent le coup et tous les

biens ont perdu 1.000 euros du mètre carré depuis l'an dernier ", résume Roger Abecassis, directeur

du groupe Consultants Immobilier. " Dans toutes nos agences partenaires, le stock a augmenté. Dix

mille biens à la vente sont en stand-by dans la capitale ", s'inquiète Guillaume Brochut, fondateur de

Wall-Market.com, première plate-forme Internet dédiée à l'immobilier parisien. Parmi eux, des

appartements mal situés, à rénover, sans luminosité, sans ascenseur, en rez-de-chaussée ou en

premier étage, bruyants. Ils ont perdu de 5 à 15% de leur valeur. Et malgré une baisse de prix, ils

restent délaissés. Tel un appartement en plein coeur du quartier Montorgueil à cheval entre le Ier et le

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IIe arrondissement. N'offrant ni luminosité ni ascenseur, il attend toujours son acquéreur. Son

propriétaire actuel n'en veut " que " 8.000 euros le mètre carré, alors que le prix moyen, dans ce

secteur, s'établit autour de 10.000 euros. " La baisse des prix n'est pas encore un élément

déterminant, mais ça peut le devenir prochainement ", note Nathalie Naccache.

Les prix exagérés se font plus rares

Chaque bien retrouve aussi sa valeur dans le XVIIIe arrondissement. " Les appartements sans défaut

résistent mais, pour le reste, les biens avec défauts, les vendeurs qui n'appliquent pas de décote ne

sont pas près de voir leur argent ", note Brice Moyse, directeur du groupe Immopolis. " Heureusement,

les vendeurs commencent à s'ajuster, les prix exagérés sont plus rares mais il y en a toujours ",

remarque t-il. Rue Berthe, un appartement de 84 mètres carrés sans ascenseur avec vue sur tout

Paris, affiché au départ à 1,2 million s'est négocié 905.000 euros ! Un appartement de 69 mètres

carrés à rénover près du cimetière Montmartre s'est vendu 520.000 euros.

Dans les quartiers moins prisés, les propriétaires doivent aussi revoir leur prétention à la baisse. C'est

le cas du XVIIe, vers l'avenue Guy-Moquet, ou dans le XIIIe, côté avenue de Choisy, boulevard

Masséna et rue du Chevaleret. " Dans ces secteurs, les acheteurs sont rares et d'autant plus vigilants

sur le prix car ils ne peuvent pas se prévaloir d'un emplacement comme dans le Ve arrondissement.

Le défaut ne peut pas être compensé par autre chose ", explique Guilhem Struyve, de l'agence

Laforêt Monge. Si les Notaires de Paris et les leaders des réseaux d'agences immobilières anticipent

une remontée des prix parisiens, les acheteurs ont plus que jamais la main sur le marché de Paname.

Source : L’Express.fr

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Immobilier : jusqu'où les prix vont-ils baisser ?

Le 27/8/2013

© REA

Le repli de la cote est manifeste depuis un an. Mais il devrait marquer le pas dans bon nombre de

grandes villes, comme le montre l'enquête réalisée par les journalistes de Capital, à l'occasion du

numéro Spécial Immobilier, actuellement en kiosque. Voici les grandes tendances du marché.

Un terrible bras de fer. Voilà la scène qui, depuis huit mois, se joue derrière les vitrines des agences

immobilières ou dans les études de notaires de l’Hexagone. D’un côté de la table, les vendeurs, qui

défendent bec et ongles leurs prix, quitte à retarder la transaction ou à la faire capoter. De l’autre, les

candidats à l’achat, qui jouent la montre. Rien de plus normal : ils peuvent compter sur un large choix

de logements et sur des conditions de financement ultra favorables. A ce petit jeu, ce sont d’ailleurs

eux qui l’emportent. Car cette fois, il n’y a plus de doute : la cote a amorcé son recul, quel que soit le

type de bien (–1,1% sur un an pour les appartements et –1,6% pour les maisons, selon les chiffres

des notaires).

Ce reflux, nous l’avons constaté au cours de notre enquête, est à l’œuvre dans les villes de taille

moyenne comme dans les grandes métropoles régionales, à l’exception notable de Lyon. Mais aussi,

fait nouveau, dans les stations balnéaires huppées et la totalité des arrondissements parisiens (– 4%

en moyenne dans la capitale). Si, dans le même temps, l’activité a nettement fléchi (–.1% sur un an,

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avec 635 000 ventes attendues pour 2013 dans l’ancien), on est cependant loin de l’effondrement

généralisé des prix pronostiqué par certains experts. «Les acheteurs qui franchissent le pas visent les

logements de bonne facture, dont les tarifs sont plus difficiles à faire baisser», observe Fabrice

Abraham, directeur général du réseau Guy Hoquet.

Et vous, que vous soyez acheteur ou vendeur, de quelle marge de négociation disposez-vous ? Pour

le savoir, Capital publie la cote exclusive de plus de 110 villes en région, sans oublier Paris et

50 communes de sa périphérie, dans le numéro en kiosque jusqu'au 3 octobre (également disponible

sur iPhone/iPad ou Android). Vous y trouverez des cartes de prix encore plus détaillées que celles

des années précédentes, ainsi que la tendance à attendre pour les mois à venir dans chaque ville

traitée.

Elle restera globalement à l’avantage des acheteurs, même si le ciel s’obscurcit. En effet, ils devront

supporter, dès le 1er janvier 2014, le relèvement de 3,8 à 4,5% des droits de mutation, un impôt inclus

dans les frais de notaire. Cette hausse alourdira sensiblement leur facture : 1.400 euros de plus, par

exemple, pour un achat de 200.000 euros. «Cela pourrait dissuader un certain nombre de jeunes

primo-accédants de se lancer», analyse Jacky Chapelot, président adjoint de la Fnaim. Ajoutons que

les taux de crédit, après avoir atteint un plancher en juin dernier (à 2,95% sur vingt ans), ont, pour la

première fois depuis fin 2011, amorcé leur remontée. Elle reste limitée à environ 0,3 point, mais, pour

une même mensualité de 1.200 euros versée pendant vingt ans, c’est tout de même 5.000 euros de

capacité d’achat en moins. «Ennuyeux, quand on sait que beaucoup de ventes sont loupées pour

10 000 euros de divergence entre vendeurs et acheteurs», note Bernard Cadeau, président du réseau

Orpi.

Source : Capital.fr

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Immobilier : pour les promoteurs, la priorité est

à la maîtrise des stocks

Le 29/8/2013

Face à la faiblesse de la demande, les promoteurs freinent les mises en ventes de logements. Une

situation paradoxale à l'heure où le gouvernement s'est fixé des objectifs de taille en matière de

construction.

L'amélioration récente du nombre de ventes de logements neufs par les promoteurs immobiliers ne

leur a clairement pas redonné le moral. Ils ont pourtant enregistré entre avril et juin 16.465

réservations nettes, soit 10,4% de plus qu'au même trimestre de l'année précédente, a indiqué ce

jeudi la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). La montée en puissance du dispositif

d'investissement locatif "Duflot" y est pour beaucoup : les ventes aux investisseurs ont représenté

40% des ventes totales lors du second trimestre 2013, contre 32% au premier.

Inquiétude face à la faiblesse de la demande

Mais les promoteurs ne cachent pas leur inquiétude face à la faiblesse de la demande, lourdement

affectée par la crise et dont les dispositifs de soutien disparaissent progressivement sous la volonté

du ministère du Logement qui craint d'alimenter artificiellement une hausse des prix.

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Résultat, les promoteurs freinent le lancement de leurs programmes : les mises en ventes ont reculé

de 22,4% au premier semestre 2013, avec seulement 37.766 logements mis sur le marché. "Cet

effondrement traduit l'inquiétude des promoteurs à l'égard des perspectives de marché et leur volonté

de limiter le risque de gonflement de l'offre commerciale", indique la FPI.

Le risque d'invendus, pire cauchemar des promoteurs

Les promoteurs ne se souhaitent pas accroître le risque d'invendus, leur pire cauchemar. Il s'attelle

donc à maitriser leur offre commerciale. Elle est restée assez stable depuis la mi-2012, en hausse de

seulement 2,4% et atteint 13,8 mois de commercialisation. La durée idoine étant de 12 mois au sens

de la profession. Les promoteurs n'ont absolument pas l'intention de s'exposer à de lourdes pertes :

près de la moitié de leur offre commerciale (44%) est constituée de logements non-commencés et

donc susceptibles de ne jamais voir le jour dans le cas où la pré-commercialisation des programmes

ne serait pas suffisante. Pour l'instant, le volume des logements achevés non-vendus reste assez

faible, « il représente 8% de l'offre », indique la FPI.

Un déficit de logement en France

La situation est paradoxale, puisque les promoteurs disent ne plus trouver preneurs de logements,

alors qu'en quantité la demande excède largement l'offre en France : on estime en effet qu'il manque

sur le territoire entre 800.000 et un million de logements. De surcroît, le gouvernement a fixé pour

objectif très ambitieux de construire 500.000 logements par an d'ici la fin du quinquennat. En 2013, ce

chiffre devrait tout juste excéder les 300.000. L'appareil productif n'a semble-t-il, dans les conditions

actuelles, pas les moyens d'assumer une telle production.

"Il est de plus en plus compliqué de lancer des programmes à des prix compatibles avec le pouvoir

d'achat des ménages car diminuer les prix de revient (qui comprennent principalement le prix du

terrain et le coût effectif de la construction ndlr) reste pour l'instant difficile", explique François Payelle,

le président de la FPI.

Simplifier le processus de construction

Pour réduire ce coût de revient, le ministère du Logement a entrepris de simplifier et d'accélérer le

processus de construction des logements par le biais d'ordonnances qui interdisent notamment la

création de nouvelles normes pendant 2 ans. Mais les promoteurs ne ressentent pas encore l'effet de

ces mesures. C'est également le cas avec la loi sur la cession du foncier public avec une possible

décote qui est opérationnelle depuis le mois d'avril dernier. Une telle mesure devrait théoriquement

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libérer des terrains et faire baisser la pression sur les prix du foncier. Mais le nombre de cessions

effectives est encore trop marginal, selon François Payelle.

Diviser par deux la taxation des plus-values des terrains constructibles

La fiscalité des plus-values des terrains constructibles est également à revoir selon la FPI. Elles ne

bénéficieront en effet plus d'abattement pour durée de détention après le 31 décembre 2013.

A l'inverse, pour créer un réel choc foncier, François Payelle milite pour diviser par deux pendant 2

ans la taxation des plus-values sur les terrains constructible. Bref "diminuer la taxe pour élargir la base

taxable", explique-t-il.

Enfin, il serait souhaitable selon les promoteurs de réfléchir à des mécanismes d'accession sociale à

la propriété qui n'ont pas d'impact sur les finances publiques. Car pour François Payelle, il est urgent

de "permettre aux ménages qui ont la capacité d'acheter de le faire".

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : la réforme des plus-values entre

en vigueur

Le 30/8/2013

Annoncée en juin et précisée au cours de l'été, la réforme des plus-values immobilières entre

en vigueur à partir du 1er septembre. Une bonne nouvelle pour les propriétaires car les

nouvelles règles du jeu vont leur permettre d'alléger la facture, même si la juxtaposition de

mesures rend le tout peu lisible.

Rappelons que la plus-value réalisée lors de la vente d'une résidence secondaire (la résidence

principale n'est pas concernée) est taxée forfaitairement à 19 % à l'impôt sur le revenu et soumis aux

prélèvements sociaux de 15,5 %. Soit 34,5 % au total. A cela s'ajoute une taxe pour les plus-values

supérieures à 50 000 euros (2 % à 6 % selon le montant).

ABATTEMENT PLUS AVANTAGEUX

Mais un abattement, lié à la durée de détention, est appliqué, ce qui permet de diminuer le montant à

payer pour le vendeur. C'est cet abattement qui devient plus avantageux à partir du 1er septembre. Il

est désormais de 6 % par an à partir de la 6e année de détention et de 4 % à partir de la 22e année.

Cela permet une exonération totale après 22 ans de détention, contre 30 ans auparavant.

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Pour compliquer un peu les choses, l'abattement change aussi pour les prélèvements sociaux. Il est

de 1,65 % par an à partir de la 6e année de détention, de 1,60 % pour la 22e année et de 9 % pour

chaque année au-delà. Au final, il faut attendre 30 ans pour ne plus payer de prélèvements sociaux

sur la plus-value réalisée.

"Ce nouveau rythme d'abattement est même défavorable par rapport aux règles en vigueur, explique

Florent Belon, consultant chez Fidroit. Le gouvernement ne veut pas fragiliser le financement de la

protection sociale."

COUP DE POUCE EXCEPTIONNEL

Enfin, afin d'inciter les propriétaires à vendre leur bien et fluidifier le marché, le gouvernement a

décidé de créer un "effet d'aubaine" : toutes les cessions conclues d'ici au 31 août 2014 bénéficieront

d'un abattement exceptionnel de 25 % sur le montant de la plus-value net imposable, c'est-à-dire

après les abattements évoqués ci-dessus. Un coup de pouce à condition, toutefois, que la vente ne

soit pas réalisée dans le cercle familial (au profit de son conjoint, son concubin, un enfant...).

Au final, le vendeur paiera donc nettement moins, comme le montrent les simulations ci-dessous

réalisées par Cheuvreux Notaires.

Montant des impôts payés en cas de plus-value de 100 000 euros

Source : LeMonde.fr

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18