Romans jeunesse mars 2015

Présentation de l'éditeur L'horreur ne cesse de grandir au sein de la zone. Cependant, malgrél'agitation laissée après tous les combats, les divisions, les luttes de pouvoir,un calme momentané s'installe à Perdido Beach. Mais dans la zone, lesennemis dans la zone ne disparaissent pas comme par magie. L'Ombre atrouvé sa voie dans l'esprit du Petit Pete et le contrôle en semant délire etconfusion. De plus, une maladie mortelle, hautement contagieuse, serépand à une vitesse effroyable. Tout aussi sinistre, des insectes prédateursterrorisent Perdido Beach. Sam, Astrid, Diana et Caine sont submergés parun doute grandissant : pourront-ils échapper, ou même survivre, dans laZone ? Dans cette panique générale, quels choix feront-ils pour sauver leurvie et celles de ceux qu'ils aiment ? Biographie de l'auteur Michael Grant est le coauteur des séries à succès Animorph et TheEverworld. Il vit en Caroline du Nord, aux Etats-Unis, avec sa femme,Katherine Applegate qui est également écrivain, et leurs deux enfants.

Présentation de l'éditeur Malgré la faim, les mensonges et l'épidémie, les enfants de Perdido Beachsont déterminés à survivre. Mais aucun répit ne leur est accordé, l'Ombrese glisse dans le monde fragile qu'ils ont construit... avec une arme fatale :la peur. La Zone est désormais plongée dans l'obscurité, les pires craintesde chacun émergent, menaçant l'équilibre de leur société... Présentation de l'éditeur Malgré la famine et les mensonges, malgré l'épidémie, les enfants dePerdido Beach ont survécu. Mais un nouvel ennemi vient rôder dans lemonde fragile qu'ils ont construit. Peut-être le pire de tous : la peur. Dansl'obscurité qui envahit peu à peu la Zone surgissent les angoisses les plusterrifi antes. Pourtant, au sein de chaque clan, les survivants continuent àprendre soin les uns des autres, quel qu'en soit le prix...

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Depuis plus d'un an, d'innombrables batailles ont été livrées. Des combatscontre la faim et les mensonges, des batailles entre le bien et le mal. Desallégeances ont été gagnées, perdues, trahies, et gagnées de nouveau, lesidéologies ont été bouleversées. Les enfants de la Zone ont commencé àcroire en leur nouvelle société, comme la seule vie qu'ils connaîtrontdorénavant. Mais les ténèbres ont trouvé un moyen de renaître en la jeuneGaia, menaçant de briser pour de bon l'existence précaire qu'ils ont mis enplace. Des secrets vont être révélés et des sacrifices inattenduss'imposeront.

Extrait Zut ! Des voisins ! S'il y avait un toboggan accroché à la fenêtre de ma chambre, j'atterriraisdirect dans la ferme d'à côté. Ce serait génial... Je pourrais descendre par làquand je voudrais, et me promener dans ces prés immenses qui ne serventà rien. J'en rêve. Mais Papa ne veut pas me construire de toboggan. Normal ! La ferme n'estpas à nous. Il en rêve aussi, pas du toboggan : de la ferme... - Si seulement on avait les moyens de racheter cette vieille ferme,soupire-t-il. On aurait tellement plus de place... - Bien sûr, coupe Maman, nous aurions plus de place. Mais, inutile de rêver,nous n'en avons pas les moyens. Papa est potier, et Maman, conteuse. Ce sont des métiers qui ne rendentpas riches. Mes parents se sont rencontrés, il y a neuf ans, juste pour me fabriquermoi, Clara, huit ans et trois mois. Ils étaient vraiment pressés de vivre leur grand amour ! Parce que Papaavait déjà vécu un grand amour... C'est comme ça que j'ai une demi-soeurde neuf ans et demi, Lise. Emménager dans la ferme d'à côté permettrait d'agrandir l'atelier de potieret la boutique, et surtout d'installer Lise dans une autre chambre que lamienne, quand elle vient à la maison, un week-end sur deux et la moitié desvacances. Ce serait tellement bien !

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Lise, Nessim et Célestin sont de retour au Crin de Folie pour les vacances.Une grande randonnée équestre les attend cette année ! Mais Clara et sesamis sont loin de deviner ce que leur réservent les sentiers escarpés...

Extrait Futures mamans Je jette un coup d'oeil à ma montre : 16h15. Aujourd'hui, l'école n'en finitpas... L'institutrice me rappelle à l'ordre : - Clara ! Arrête donc de te tortiller sur ta chaise. Tu es pressée ? - Non, non. Je plonge le nez dans mon cahier de textes où j'inscris les leçons àapprendre pour demain. Si je suis pressée ? Oh oui ! Le soleil d'avril m'appelle au dehors. J'aimebien l'école mais, quand on n'a même pas neuf ans, une journée, c'esttellement long ! Après la classe, je rentre à la maison, goûte et fais mon travail le plus vitepossible. Je n'ai qu'une hâte : filer chez mes voisins, Liane et son frèreHugo, qui sont en train de transformer en poney-club la vieille ferme séparéede notre maison par un pré. Moi, je les aide à soigner les huit poneys et lesdeux chevaux.

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Extrait Shetland ou double poney ? La fin de l'année scolaire approche. Notre institutrice ne nous donnepresque plus de devoirs, et les journées sont longues, longues... J'adore lemois de juin ! Tout ce temps libre me permet de passer de très longsmoments dans la ferme voisine que Liane et son frère Hugo sont en train detransformer en poney-club. C'est tellement chouette, à huit ans trois quartsde participer à la vie d'une écurie, presque comme si elle était à soi ! Quand j'arrive à la ferme, les six chiens me font la fête. J'ai du mal à meglisser entre eux pour aller embrasser Liane et Hugo. - Ah, Clara ! s'exclame Liane. Veux-tu monter Apache, ce soir ? - Tu crois que c'est raisonnable de recommencer directement sur un doubleponey un peu capricieux après mon opération de l'appendicite ? Ce seraitpeut-être mieux sur un Shetland... - Comme tu voudras... Mais, tu sais, on ne perd pas tout ce qu'on a appris,en un mois ! - Justement, rappelle-toi le nombre de fois où il m'a mise par terre ! - Allez les filles, dit Hugo, je retourne à ma maçonnerie. J'ai presqueterminé la salle de club. Demain, j'attaque la menuiserie. - Si tu as besoin d'aide, je pourrai te donner un coup de main. Demain, c'estmercredi. - Merci Clara, répond Hugo, mais je crois que Liane a prévu tonprogramme. Je ne sais pas si tu auras le temps de tout faire ! Tu es déjàcavalière et palefrenière, tu ne vas pas te recycler en plus dans les travauxde bâtiment !

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Extrait Vers l'inconnu Quand le van freine devant une large barrière vernie, les battements demon coeur s'accélèrent. Nous sommes dans un tout petit village, comme le mien, mais devant ungrand poney-club, bien différent de celui que Liane et son frère Hugo sont entrain de construire dans la ferme voisine de ma maison. - Allons-y, dit Liane, en coupant le moteur. Les enfants, vous sentez-vousprêts pour passer votre Premier Galop ? - Oui ! claironne Lise, ma demi-soeur, toujours sûre d'elle. - Couci-couça, marmonne Célestin, un Parisien de mon âge qui passe lemois de juillet avec nous à la ferme. - Et toi, Clara ? demande Liane. Pourquoi ne réponds-tu rien ? - J'ai le trac ! dis-je dans un murmure. - Cela n'en vaut pas peine. Je vous ai dit que ce premier examen n'étaitqu'une formalité. Je soupire : - C'est parce que nous ne sommes pas chez nous. -Je sais, conclut Lianeen sautant de la cabine, mais je ne peux pas vous faire passer de Galop,tant que le poney-club n'est pas ouvert officiellement. En venant chez monamie Carole, vous allez pouvoir vous confronter avec d'autres cavaliers.Cela vous fera le plus grand bien. Si nous descendions Apache...

"Nessim me prend par le bras. Il fait signe d'attraper le sauvage et de l'obliger à passer la clôture, puis de marcher ensemble vers la clairière pour nous y cacher avec lui. Tu es fou, Nessim. On ne peut pas disparaître, encore moins avec un poney à demi sauvage !" Un serment, c'est sacré ! Non seulement Clara a promis au mystérieux Nessim d'apprivoiser son poney sauvage, mais elle s'est également juré d'aider Liane à surmonter les derniers obstacles avant l'ouverture du poney-club. L'inauguration se profile au galop !

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"Lorsque Câpre démarre au grand trot, je décide de ne pas laisser Idée l'imiter. Je me contente d'allonger un peu le pas. sentier est raide, glissant, comme je l'avais prévu. Maxime a disparu dans le tournant, mais j'entends soudain des cris devant moi. Qu'a-t-il bien pu se passer ?" Le poney-club est enfin ouvert ! Clara est comblée : entre les premières reprises et le stage intensif d'équitation, elle est partout à la fois. Mais certains nouveaux venus sont des cavaliers inexpérimentés. Sauront-ils s'occuper de ses poneys préférés ?

"Tout le temps de la préparation, durant les premier sauts d'essai, et lorsque j'ai traversé à l'appel de mon numéro, je n'avais plus qu'une phrase à l'esprit : "je dois aller jusqu'au bout du parcours !" J'ai vécu dans un rêve le salut devant le jury et la volte au galop préliminaire. Dès que la cloche a retenti, nous nous sommes élancés sur le premier obstacle." Tandis que Clara consacre tout son temps au dressage du farouche Sable d'or, elle apprend qu'elle va participer à son premier concours hippique ! Saura-t-elle vaincre son trac et relever ce nouveau défi ?

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On ne s’ennuie pas au poney-club ! Tandis que l’étalon d’un voisin sème lapanique dans le trou-peau, Liane et Hugo se voient proposer dereprendreles chevaux de Paule, une vieille fermière qui apprend l’équitation auxjeunes citadins défavorisés.

Quand une troupe de cavaliers inexpérimentés débarque au Crin de Folie,c'est le chaos ! Clara n'hésite pas à prendre les commandes d'unentraînement. Mais l'arrivée d'une mystérieuse cavalière ne va - t - elle pastout changer ?

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Imaginez... Cela fait six mois que tous les adultes ont disparu de PerdidoBeach. Six mois, que les enfants errent dans les rues, abandonnés, tenailléspar la faim, assoiffés d'un profond désir de vengeance. Six mois qu'unebulle surnaturelle les coupe du reste du monde. Jusqu'au jour où lesrumeurs les plus folles circulent, propagées par Orsay qui se proclameProphétesse . Elle affirme que la mort est le seul moyen de quitter la Zone.Désormais les enfants ne songent qu'à une chose : fuir. Mais sont-ils assezdésespérés pour croire que seule la mort les délivrera ?

Elles étaient trente-cinq candidates, elles ne sont plus que six…Ces jeunes filles font désormais partie de l’Élite et chacune est prête à toutpour conquérir le cœur du Prince Maxon et être couronnée Princesse d’Illéa. La Sélection de 35 candidates s’est réduite comme peau de chagrin, etdésormais l’Élite restante n’est plus composée que de 6 prétendantes.L’enjeu pour ces jeunes filles ? Convaincre le Prince Maxon, le Roi et laReine ses parents, qu’elles sont les mieux à même de monter sur le trôned’Illéa, cette petite monarchie régie par un strict système de castes etdéchirée par deux factions de rebelles qui veulent la faire tomber. Pour America Singer, la donne est encore plus compliquée : ses sentimentspour Maxon viennent se heurter à son amour d’enfance pour Aspen, garderoyal qui hante les couloirs du palais, et à son sens aigu de la justice tropsouvent déçu par les décisions royales… Entre intrigues de cour, dilemmestragiques et loyautés divisées, America navigue à vue dans la tourmente, enquête de la décision qui changera à jamais sa vie…

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Extrait Au-dessus de l'Atlantique, quelque part sur le 38e parallèle, de nos jours - Ici G-ANGEL. Je répète. Ici G-ANGEL. - Ici Lisbonne. Nous vous écoutons G-ANGEL. - Je suis sur le 90 à 7000 pieds. Je conserve mon cap en direction desAçores. Je m'apprête à quitter votre fréquence. - Bien reçu G-ANGEL. Bonne route à vous. Darius Tindelli coupe sa radio etcontrôle ses instruments de bord. Mille kilomètres d'océan et de ténèbres leséparent de la prochaine balise. Contrairement aux règlementsaéronautiques, lorsqu'il sera à portée, il omettra de signaler sa présence,son altitude et sa destination. Il basculera sur l'aile à l'aplomb de la troisièmeîle de l'archipel pour voler plein sud jusqu'à la limite du rayon d'action de sonPiper Aztec. Le contrôleur aérien dont il graisse la patte notera que DariusTindelli, fondateur et PDG de l'empire Tindelli, leader mondial dans lesdomaines de l'électronique, du divertissement et des médias, s'est posé àl'aéroport de Ponta Delgada après une escale à Lisbonne, comme l'indiquaitson plan de vol au départ de Londres. En réalité, le milliardaire sera sur l'île,son île, le sanctuaire. Pour l'heure, il profite. De la solitude. Du ronron du moteur et des hélices. De la nuit sans lune qui l'environne de toutes parts. Darius adore cemoment, quand il vole entre les balises. Coupé du monde. Il a l'impressionde retrouver sa place et sa mesure sur cette planète dont il est l'un desmaîtres d'après le magazine Forbes. Il sourit à cette pensée... et revient à laréalité. Il branche son MP3 sur la radio, choisit Heroes de David Bowie,morceau qui l'a toujours transporté, le met à fond. Il chante à tue-tête tout enjouant avec les gouvernes de son appareil. Le Piper danse une valse avecles étoiles. Darius Tindelli, hilare, affirme avec le chanteur : - We could be heroes, just for one day ! ! ! Fin du single. Le calme revient dans le cockpit. - Qu'est-ce qu'on écoute maintenant ? Les Clash s'imposent. London calling. Il s'apprête à le lancer. Une lueur,dans le lointain, arrête son geste.

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