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ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, lige RoqUelaine TOOI101.1SE 0 43 AuolencElornims G fr. 10 fr. 201e, Étranger 9f,. 10f,. 36 fr. QUATRIEME ANNEE.'...'- N. 1 LA VIE CHÈRE Ainsi voilà une question qui a jus- tement préoccupé les économistes et at- tiré l'attention de tous les partis pois, tiques. J'ai signalé, dans un précédent article, les nombreuses récrintinations des adversaires du socialisme. 11 sais plu, eu même temps, de souligner la pauvreté des moyens préconisés par eux pour rémédier à la crise que 150155 De- venons. Aux heures difficiles ceux qui gémis- sent sont légion. Et, dans le régime ca- pitaliste, dont le développement normal 0 poursuit soutenu et parfais garanti par les gouvernants stipendiés, les heu- res difficiles sr succèdent, les plaintes, les récriminations sont la règle. Tout est désordre, anarchie, corruption ! Re West pas un discours de président du Conseil qui réglera l'antagonisme ma intérêts. Et les Caillaux et soirs- ' laux peuvent, ensemble ou séparé- . jeter l'anathème contre le Parti isincirdiele. contre les syndicats ouvriers. i.e problème reste entier. Inl n'est pas résolu par des phrases ru loi iule pour la vie méconnaît. Un fait subsiste, qui domine tout et but menace n Lu Vie est chère ! 'Elle est chère dans la France répu- blicaine, crunnie dans l'Allemagne im- peDalo ci l'Angleterre monarchique. Likasi chère partout. N'accablons donc ,,pas un régime eu un oestre. Recher- chons ailleurs quo dan, des formules haines les causes du renchérissement de la vie. Des effets généraux doivent découler dune cause générale. ,-30 crois, moi, c'est mon opinion là découvrir Dans l'anarchie de la production épassant les besoins de la consomma- tion ou ne les satisfaisant pas. Dans les accaparements scanda- leux que pratiquent dus capitalistes, couverts par ries gouvernants. A ces deux causes générales et prin- cipales, à mon sens, s'en ajoutait d'au- tres secondaires. Elles sont, la consé- quence des deux premierea qui, elles- Dîmes, découlent d'une autre caisse initiale n la propriété indioeduelie con- euquence du Capitalisme. Jose vernira que ai la propriété calter- lice appartenait à tous, orientée dans sa production peur l'intérêt de tous et les besoins de tous, succédait à la pro- priété individuelle étroitement égoïste, supérieurement personnelle, ne tenant pus compte des intérêts généraux et, capricieuse, vivant pour elle, s'isolant des autres qu'elle méconnait, réfractai- re au groupement qu'elle redoute, hos- tile au progrès qui la transformera, j'o- Tee écrire, dis-je, quo ails propriété col- lective succédait à la propriété indi- viduelle, nous verrions disparaître ce désordre de production, cette anarchie dans toutes les branches de l'activité. Il y a des années que je suis, attenti- vement, les convulsions qui agitent /a ' société moderne. J'analyse les crises où elle se débat et, malgré ma benne v, lonté très grande de trouver d'aldines caisses At d'autre solution, je n'ai su en apercetuir. Le propriétaire, roi sur sa propriété personnelle, sans le vouloir, incons- ciemment est lies dangereux perturba- teur. Poussé par l'esprit de More, vou- lant devenir riche, à tout prix, pour ga- rantir ses vieux jours contre Pinfortes- so sentant seul au milieu de tous, preduit selon son destr. S'il savait que, demain, la société ga- rantit à sa vieillesse la sécurité. S'il était assuré sse manquer de rien jus- qu'à sa mort, que lui importeraient les louis un j un entassés au fond du bas de laine. S'il se savait également pro- tégé contre les Méfaits de la grêle, de la sècheressoe, des inondations, des ma- ladies épidémiques qui déciment ses troupeaux et le ruinent,sa propriété in- dividuelle qui est un souci, souvent une 'Marge, toujours la cause d'heures de Poignante angoisse, lui serait agréable et c'est dom cur plus léger, je le crois qu'il la mettrait en valeur. Mais ce n'est pas cela. Le propriétai- re 501 seul, il agit ,oul, subissant les in- fluences miTieu; la hausse ou lobais- OC ils cours d'un produit pèse sur ses démisens ou les dicte; il devient, jo le 'edn. un dangereux pertunbateue. Le, exemples ? Ils abondent. , Qui ne se souvient de la crise phyl- to,érigae, de, ruines qu'elle film ,n0t.re Midi ? A ortie époque oit, une à une, nos ri- . grisa périssaient et étaient arrachées, le vi0 devenant plus rare devenait aussi Plus cher. Des propriétaires nombreux, 'lens des pays où autrefois la vigne était inconnue, qui étaient consommateurs do Vill et non producteurs, n'hésitèrent Pas, pour s'épargner la dépensa d'achat da vin, à planter des vignes. Oui Mu- ait le leur interdire ? N'éteient-ils pas bres d'agir a leur guise, dans leur seul érêt, celui qui comptait, pour eux, en nette époquo individualisée a outrance? Anrni011_CaO écouté les sages conseils 'te celui qui leur eut présenté la folio de l'entreprise ? Se préoccupaient-ils de la constitution du sol, du climat, du Non. Ils no voyaient qu'une n produire do vin pour n'en pas ',pet/Ker. Ils en produisirent. J'ai bu Sons aerisins parkas do Qers du vin de 5 degrés. Quelle affreuse mix- ture qui menait à l'aigre aux premiè- res 0/101eUrs .1 Les propriétaires bu- vaient co vin-là. Ils n'étaient plus ache- teurs, les cours s'avilirent, le vin so vendit 10 centimes. Le Midi. agonisa. -Mais si le Midi souffrit do la alimente des 'tins, tout le pays so'uffrit da PMI- eltérissernent des autres produits. Ces terres argileuses du Gers, ces terres franches de l'Ariège, de l'Aveyron et d'ailleurs qui étaient plantée, en vigne aujourd'hui, ne produisaient plus de blé, de pommes de terre, de betteraves. Le pain augmenta, la viande, le lait sui- virent te mouvement de hausse. Ainsi pas' isn caprice de quelques propriétais ces, maîtres chez eux, c'est entendu, li- bres, je le veux, tout le Midi se vit plon- ge dans la plus complète misère, tout le pays subit les méfaits de la propriété L'intérêt individuel foulait aux pieds Fintérêt collectif. Je devrais, pour être complet, démontrer qu'a cette heure do crise- beaucoup de propriétaires qui. de- puis le phylloxéra avaient reeonstitué leurs vignobles, n'hésitèrent pas in les arracher. Mais une étude approfondie dépasserait le cadre d'un article. J'en ai dit assez pour démontrer que la production individualisée, désordonnée et capricieuse était la cause détermi- nante ils coût élesé de la vie. Et les exemple (le celte nature je pourrais les multipRer. Il me serait fa- cile «analyser l'oeuvre néfaste des so- ciétés qui font disparaître, dans l'A- veyron, flan antiques forêts do oisillon- pers. Je pourrais faire voir, PD 'Parts- el-Ilarresure, à quels abus et à quelles ruines la propriété individuelle a cou- duit les producteurs de fraises et de chasselas. Mêmement les producteurs d'asperge. Mais je serais trop long et je crois en avoir dit assez. La cause, la vraie cause de la vie cleère, la voilà donc 1. Ne la cherchons pas ailleurs. Et il m'est bien permis d'être eunprie que, parmi tous les correspondant, oc- casionnels de P a Express du Midi », aucun, ou presque, n'ait traité la ques- tion de ce point de vue. Aussi quelles misérables solutions nous proposait-on ? La retour à la terre chanté par ! La suppression des intermédiai- res ! Prifiliatifs de valeur limitée, et de conséquences lointaines. Demi-moyens inefficaces, de la valeur de ceux qu'eu son discours do Saint-Calais, M. Cail- laux laissa tonsbnn en phrases creuses de se, ministérielles lèvres. Et cependant il v a dos années quo le SocialiSine scientifique a donné su so- lution. Personne aujourd'hui, de ceux que préoccupent les problèmes sociaux ne l'ignore. Rares sont ceux qui en con- testent la valeur. Et nul ne le fait de façons décisive al victorieuse. Alors quo penser ,inon que ceux, mê- mes, qui sont appelés à se prononcer sur ce eas, ont intérêt à n'en rien dire et se contentent, rageusement, d'acca- bler, en phrases inelyanfes, la classe ouvrière qui s'organise, le monde du trçivutl en marelle vers sa libération I Nuus, nous avons confiance. Les vraies solutions s'imposent toujours quand il faut, justement, résoudre nu problème. En politique comme en éco- nomie, la bourgeoisie privilégiée, en- tend conserver ses uri,ileges. Volontai- rement eltle couche sur les positions conquises, s'y cramponne, s'y main- tient Mentons° h Ses programmes palle tiques. incapable de solutionner les cri- ses économiques dont elle n'aperçoit que les effets, elle doit disparaître et elle rnoisrra de son individualisme. Erni/a BARDIES, ÉCHOS LES FliAcHOYNERIE,4. Les fleurs d'oranger dans le scandale de Mont' Le moire-trin s dum la brayant, affaire de mem. ou If. PM.oa joue, bien malgré lui. le premier elle, perni les inculpées qui ont 055 Pon jet d'un mandat de dépét, il an trouve lino imam fille, majeure collede ibm nt âgée de 20 ans qui muait droit avis ...se do fleur d'oranger. On devine stols dirdeulté quels puis- sants le défenseur de la prévenue compte sises de es- fait ivatbsndu. C'est pourquoi le fiffine 511e, dont la fleur d'0/911ger ole me été effeuillée, a demandé à M. le juge d'insinue:on Portas la no- mination d'ou ou do plueicteurs médecins experts, qui devront se rendre aomp noient...eut de l'exactitude de es allégations. si leur rapport Mi est favorable, mma-t-os lo courage ae oon- damner mie rosière f 72AVEU. Quand ils emelt In la lettre do M. Clemenceau sur l'affaire Métivier, tmelques radicaux s'erra, rèrent Ils tirent pact as lour efferement au a Tigre a. Qmi ! vous 'aveuez l'emploi d'agents se- crets ! Il répondit t On me donnait un million po. oa. 0 fallait dom le mottie dam ma poche ete ces YEGISE. Os sait die Mie Polaire a ramené asAmitique an nègre charmant qui répond au nom de t.inumns Co nEgrt o le défaut 001. trio matinal 11 se lice u une Mure où sa manseso dort encore, et comme n est MM rmututat et très bavard, le bruit qu'il fait la réveille souvent. L'autre matin, 1000i50e, mkentente, prit flmen û parfum et, de la hauteur de premier étage, le laissa tomber sur la MM do Jim.. Jimmy est nit trente.six chandelles. Mais il ra- ma,. le flue., os constatant qu'il se s'était pas brisé, le rendit sa mMtrtsse Toi beaucoup chance, dit-il, Li pas cassa. Pourtant ismi testo dure. Zitt ettaiune sis pardon.. GARD, TIÉRADIM, .7.02kRE, PYRODIlms-oRIENTAAMS, RON,c0RnanE,CANYAL, LOT-ED-DARDNDE, GaRS,L0T,10,11,88,m1D4ES, DAsSES-DYRilakES, DES, TARN-ET-GARONNE, AUDE, ARIDGE, nt, HAUTE-GARONta;, TolaOune S CIAIL/ILS Roquefort, 4 décembre. Pendane que la silane ouvriers crie rami. ci réelmm en vain slea mesures efficams colffee les accapareurs nos bons capitelistes continuent es silence leurs spéculations fructueuses sur la misère du peuple. Voyez pluset rmi se Pas. Roquefort en 1910, année meiveso pour les .brebis, le lait fut rare et cher, les prix du fro- mage nient:Ment, pour compenser /es frais sup- plémentaires entrain. par M hausse du lait. La veut° fut induite; les dividendes aussi. Mais les paysans, éleveurs do troupeaux et. vendeurs de lait, se réjouireni de letum Démences accrus. Pour uao fois, ses pauvres diables n'étaient pas scies. 5551m I la joie fui de courte durée. Nos actionnaires nus abois jetèrent les hauts cris. Pensez donc/ on avait osé toucher n /mirs reve- nus! Birrs vite, ils se remlirent compte que tost, Je ma/ venait de la Imus,, du lait et que, en enraya. tien° hausse. on enlèverait três vite -aux paysans forgent qu'Ils avalent gagne. Habile Tactiquo Ries tfélMt plus fissile: les caves genterslimat, voire ri.ne fusionnèrent; an lieu de se Oses- tee le lait, eues fixèrent d'un comma accent OIS tarif unique liabilencet combiné. Qu'in/Porte que l'armée soit bon. ail mativaMe, que les four rages Adent brûles par 1a sécheresse ouemportés °mi les inondai.. I Le tarif seul fait la Mi sur ic marche; les paysans peuvent. suisse, los am tionnalres ne trembleront plus pour leurs divi- dendes. Aussi, dau les polims nouvelles que les rases viennent de paeer avec les paysan, le tait csoet, maign os °mese, vendit 5 fraues de rosi. par hectolitre que Pais dernier. En vain les journaux ont teopété, en vert les paysans par- laiunt-i19 de corser n oups de triques les ad- misistrateurs du trust des nye. 1.00 itridestas talions les plus véhémentes . sonu peu a peu apaisées, la volonté dos capnalistes gest imposée. Quelques Noms Si Vom etao curiess, ami lecteur,, et que va. vouliez savoir pourquoi les payeatis gent pas été vainqueurs, achetez la liste dim gros actlon- nalres nie sa Suidés? desCaves. Vous comprendrez três vite pour quelle raison les réactionnaires après avoir (uhl par la maladresse do quelque personnalité incongrues denonee ers décembre 1910 la manoeuvre capitaliste qui se dessinait se scat cois dès jamite1911 u soutenir dans ItEcleir sa intetats du trust. C'est que le président du commit dadministration de Mâte Société, primo- mur du trust est M. Paul Leroy-Satilint, men.en de rlmtitut et casdidat progromiste blackboulé . de nombreuses Mutisme, tiest quo-cette nid- Sortiété est, administré par IL le Monade aie FEUILLETS ROUGES De la Parole aux Actes C'est tao banalité de dire qu'en matiere législative il y a Min do la parais aux aeles. Mais que ce mit' une mérité, perstinnc ne ta cardeStera. A celle vérité les radicaux Ont minus armé joule la torse d'un proverbe. Lisez dosa le dernier discours de Pd. René RenOULL Les bonnes intentions' y 'ruissellent. Le metteur, c'est que la 1/018016, on ri°. COrnmun avem la morale et gué l'ihtm01011 meilleUre n'y vaut pas la plus petite es- tiuà Leu intentions ministérielles ? les pro- messes Ion en paverait Paris itt. le monde, el on ieS paverait pour Péterniié, o. in secula sieculorum dirais l'ancien clikricul eruppi. Leu discaurs de gouvern.sent, zens cOmme les Scandai.. 11 y en a peur meus les goûts. Il y en a mémo pour revendre. ES tous, ils débardent do généreuse passion dé/me- urt/tique 1 ; 1005, ils constituent, suivant l'expressiOn Ou si Rappel st, la st préface vaste et hardi programme d:action sociale dont le payS « duit se réjouir it. Mais dans tous CCS discours, des mots, des promesses, des protestation. d'amour Ils se suivons el, ils se ressemblent. M. Viviani inaugura le Ministère du Tra- vail par 10m, belli> préface, que trailleurs il réédita. M. Bantoue la revit et l'augmenta. Et, si M. Laffemas no fut mémo pas capable de la parodier, Al. René Itensult, viens de la reprendre. Mais ffett toUjours la presee. Telle est .la vérité. La vérité est triste. Sur le bureau des (Menthe., les mirTistres accumulent les projets de loi. Mois Ms mi- nistres passent, ej sur les projets, te temps accumule la poussinre el les enveloppe dans son lourd manteau fuite. Ainsi, le peuple attend 1.00urs des réfOrnses 05511 d'espé- rance. L'espérance le fais heureux Que de cette stérili.té la métis:ide du tra- vail parleMentaire sOit Une des causes, cela no fait aucun doute. Les élUs. parlent Stop souvent pour prouver PIM existence et éta- lon, leur utilité. En outre, les ordres du Mur des Chaplin'oa sont bouleversés par les Crises ministérielles et le ministère qui vient en. voie, trop altiArement mus éaleudes co qff é- baucha péniblemens le ministisra qui aen va. EL, tous recommence. Mais ce spi il faut surtout acctMer, n'est l'insouciance, la duplicité et l'insincérité des hm:âme°. qui Io peuple a .plare Sa eonflaree. Si la majorité étals hardie et fidèle, ails toi la guidait ej si, émue par les misères et les souffrances dos travailleurs qui vers 'elle tournent sans cesse leurs regards inquiets, elle avait la volonté d'agir, l'efficacité des actes l'emperlerait bientéj sur la vanité des discours, Mais on parlera longterups encore. On parle pour se consoler de ne pas agir et sur- tout pour en avoir le Prétexte, car s'il Y h loin de la parole atm soles, c'est, parce qu'il y a loin d'abord des .Ifivirs au et Un professions de foi à la sincérité des convic- tions. Vincent AURIOL. Les Poursuites contre Maggi » Lo SuraiMat des Crémiers de Paris amni son siège 0 Paris, 10, rue des Prouvables. niullt déposer entre les mors de If dmat, doyen des juges d'instruction, une plainte contre ni Godet° lainière Maggi Le Syndicat s'est, on outre, cons- MM pose atie dms les pommai. en murs I ,at que, ladite maoees. irEibreiii, président du comité d'Action libérale do Esist-Aftrique. Vous verrez aussi sur mie bonne 1Mte, M. Joseph de CasMinau, frère de P.cien députe, le fin.cier du Wu., et beau- coup d'autre, qui Ont voix cossu/10nm O l'ove- MM de Rodes. Mals, penses-vo. les républicains protes/d- isent ? Oui, sans doute, et à grands cris. M. %li- tre. mune des leçons de syndicalisme dans un guenilles radical; un conseiller général, le doc- teur Jacob, s'emporte jusqu'à parler desabolage; M. Poursui lui-même cessa de contemple° ses gilets pour laisser tomber de sentenniesses paro- Sas. Puis, après avoir hien crie, de peur de s'egos siller, sans doute, ils se turent deux ou tnis moM apres les réoctionnaires. Lecteur Mmieux, vous n'avez pas encore devins 1ft raison ? Crut que ces bon, messieurs étaient, eu: aussi, anions:Ores. Ils reehignarent avant sPaceepmrletrustparoequ'ilene savaient pas s'il reu.rait. Mals tre administrateure leur dénions krérent que l'affaire Mais bonne et une hausse de 100 fr.es sur 5es actions aidant, ils oust fini par ee résigner il tnuelier de meilleurs dividendes. Contre les Consommateurs Car rani50 est bonne, je mus l'assure uns, mulensent on a coule Ms paysans en achetant le lait meilleur marché, mais on a rouM aussi /es consommateurs en vendant le fromage plus Mien Pourquoi se gêner, en effet. ?Toul est à la haus. M : les feuils .nu hors de pris, tes autres fro- mages se vendent autant que demandent les pros doctes., le pain, In Mande, tent suguseute. Peur quelle raison le roquette, no so vendrait-il pas plus tther î Parce tmc, direz-vous, prolétaire nase le prix de retient a diminué et quo M peupla cst surnsammens éprouvd par la sécheresse oison épizooties 05119 quel soit nécessaire d'aecroilre sa misare. ! 55(5 hies de quoi se moquent les ...aires; si le prix reste te nome, lés divi- dendes n'augmenteront pas. les actie02 baiase- ront de nouveau. Itea importe tiise ce soit sur la famine que fon spi..., pour. une /a spécula- tion soit fructueuse I Et nos trimMtirs avisés tint élevé nies Mmes le prix du roquefort. Aussi, les malheureux capitaliMes qui n'avalée pas d'actions des Caves, fou:tells, depuis peu, dee yeux ronds 01 l'on annonce d.s la région que rertMn roi du pétrole fatigué de son royaume, va venir régner sur Roquefort. Heureuse idée, sans dot.. et qui sejsuira le cur de se, futurs sujets, car 55 est Nen certain que cet homme, si. >bre daim les annales 0m l'accaparassent, DEus- <cira à merveille à faire naisses le plis du MM tous 00 augénontant le prix des fromages__ et Measevemm Je ses . Paul RAN.DIER, BAVARDAGES UNE BONNE MACHINE le Chambre des députés a, Veil, jour, re- Pattesé, par 219 rait cotas, IBO, t'amendement l'amendement Voilai, au sujet des fonds seereis. NI 5 y sous, exactement, en séance, vingt dé. putes, Celle opération qu'on pourrait alsIteler us mul- tiplication des bultelitis, et qui ransisle 5 faire, arec vingt députés, près de cinq cents légiste, teurs, est assez famitiMe aux indigènes du Pa- !Ms-Bourbon. ('0550f pas tu Premlére qu'avec quelques itou:enfeu de représentants, on nous Pillibe «ne bonne majorité, compliquée d'u- ne minorité hopounife. Et recloue ramêne arepeesolee Vida que j'ex- pesait hier, à propos de let récente stivenfion d'Edison. Pourquoi silo prPsexce des Plus n'est a,De indispensable à la Chambre, ne psaee ser- stmplentent. de la machine S fabriquer les ? . Celle rrauthine, que tout Français, pourvu de Ses dioits cites, serait tenu de posséder, consis- terait done une combinais-on Ingénieuse de télé- phone, de phosographe et de cinéma. Elle serait fournie grotullement. Pou' les pautnes gens, saris domicile fixe, il saurait des machines Cone- 121.11,,, Et voici couinent t'opération geffeefue- rait c Je atnese que le dépulé Tartempion ad une prepiigition os soumettre. Il s'assied tfetant sa machine, fad jouer quelques hosto., el immé- diatement entre en relelion ares Sons ses s'eh,- eues. Chacun des collègues, par le même mu- cédé, conehnunique ses impressions aux maires, conseillers municipaux, conseillers généraux, etc, soja tsar tour s'arrangrest avec les simples élec- teurs. Après quoi, choque électeur transmet son °eh 01 itio, 5)5155 qu'a canaliser les avis el comp- ter les voix, arase Lite machines centrale, Avec na systonne de ennlrale très rigoureux, la saper- choie Sera 5lripP6Sibie et, ainsi, les lais, comme les nuearonis, sortiraient toutes faites des ma- chines. l'oes qessoco un pareil procédé, il n'y au- rait plus de charme I que les cedribinaisons de couloirs, les eomptele antiministériels denten- dosmat Vous ajoutes que ça ne sem- primerait pas te gouvernement. Sans doute ! Ma., en rte peut tout oyais cl, parti sur cette ssaie, S n'y Sens ele.raisons pour qu'on s'arrEle. Il ne usus resterait plus, en 505, 055, pour ren- dre les hommes heureux, qu'à trouver la s 71111- chine d appliquer les lois s. 53505r IIERIO. .46 PAYS PES INQUISITEGAS Le Procès de Collera Madrid, 4 décembre, Jruill prochain, le eaumil se respira pour ju- ger les occuseus des événements Culiers, pro- vince de Valence. Les accusés sont au .mbre de 50. Le ininistara public demande 7 condamna- fions caunales. 17 si diremates 000oca os sus On- vaux forces. Il abandonne une accusation. Les résultats de ce procès tiennent tout le Pans en suspens. La sentence est critiqués avent d'amie êta prononcée. Les républicains Ont entre- pris une vis/ente campagne en faveur des accu- sés, pour lesquels ils Oct demandé la gram royale. L'impresSion generale est qu'il roues cieux ou trois condamnations à mort. Bien en- tendu les mrservecurs demandent qu'une ré- peension exempicire sait exercO, Il eft certain que M resultat 11501 aura une influence considé- railn sonos sort du cabinet et sera /Milet de vi- ves discussions dès que los Cortes seront ouver- tes. socuat-ts-rn suas Sa enseiqua cr00- 11100 sur toutes les question, dadual. Mumites lu °tamis.° publique. CARNET PARLEMENTAIRE Dans tes Couss Potins et bd pviews De motu sédation parisienne Paris, 4 décembre. Bans les touloirs, on potine toujours. La Cham- Mo ressemble parfois à uue grande loge do don- cierge. Railleries sur /es uns papotages sur les faite du jour, calembours pénibMs. fines pointes de ros- series tout ms fuse à travers le brouhaha des rens martres et des groupes, un à travers les fumeurs de la burette. Nos honorables sav.t aussi se dis. ,t le grand rèle do représentant da P.a. Mo a ses petite eût.. Si l'Officiel disait tout, quel Officiel !! Oie, qu'il dirait 0_ Le Lépinéthéromane Lépine fait otimme Justin, disait ce soir us dé- puté du Midi. Justin, préfet do la Seine, est de- venu ministre parte qu'il était sénateur. MAis qu'est tle plus J'astis que ma:, Lépine ! s'est dit le shel des }Mea et c'es Minai que, las du gouver- nements. lapon. Lépine veut gouverner lo pays. I/ est us fait n'est que la oendidaturs dtt Flic sasse une cerinine émotion dans les muloire. On se rappelle /e culot de ce monsieur lorsqu'il avait l'air de veilier sur sen ami Arimide. Et l'on n'est pas étonné de se profession de foi. On 105li- gera S démissio.cr t Mais c'est es qu'il vent. Fm passant à tab,s dirigeants et régime, eu va lui do.er nus auréole de popularité et, sorti par le gronde porto, il s'imposera, siss ses débute, dans la tanière parlement-aire. Le Lépine de la Compagnie Suez et de l'affaire Esebetto était branlaut sur sen fauteuil fragile II sore uranite.. iastaltie ;mur sonf ans. Et puis. In régirae est si bas quo le Plie peut s'élever ans plus hauts postes.- Pourquoi pas L'Errant Doumer Savez.vous quo l'on pelait aimai Imams., se, iours.M, de la candidature de M. Paul Do.mr e.didaturo au Sénat, évidemment C'est la Corse qui hériterait de.Pancien gonver.iir de l'Inde. Chine. Devait envié un poste dans le Cardel.mais Se sénateur Lentini'e l,Ii a barré In mute. D. lors, sur les instaurons/. président dit IDnecil général do labas, il va partir mair la Corse. 11 espère Te... sir lit mite candidature errante jette un :jour nouveau am ce régime parlementaire qui est bien un régime d'aventuriers... Un qui en Veut 0151. Doumer munir.lo l'intention de remonter à Si surfasse es passant par Io Luxembourg, M Milloritud, mil est à peo pre.s do mn eitlibre. sen prochaine la mort ao Caillaux. Aussi fait-il De. nem, à prends fracas, dans la presse et das» les reMirée.prepthajnesel,intervention, qu'il fait diressenSationnolleifffaXelb end débat mi la poktique extérieure. Veittà êtro ministre des aflalres étrangères ? On Je Oit mais il baisse dire viellas voudmit le gros portefeuille do Cuit Justin contre Joseph DluilleurS, les événements per:tissent propices au étiehaMement des ambitions des ministrables. De Selves se dressas., on effet, Drs du Dibas sur l'amorti franeosallomand. On face de Caillaux. Pour ra tirer d'embarras. dira a C'est lissas. te à Catil.x. s Dimin coutre Joseph : ee sera une lutte épique 1 M. de SMves prétend, nous ami.. tem 555 05 politiqm a GO constumment Contre- eemée par les st. iimilsious autoritaires du ms. aident du conced. C est lui, dit Justin' qui a ou. trepris de violenter l'Esff p s aga^ et de a antre e aux accord° do Mt-. Ainsi le debatds llcou. rant tournerait/d à l'aigre, :Mein s'es ment, à moins que ana désert n'entrain° la Meute du as- binet... On dit ea, dans les couloirs. untis Caillaux erra.° sur 611, majorité toniours prilte à beaueoup eltoses... Flachon et le Pouvoir SI 1m pelitique passionne les uns les antres po- fuient sur le 053 Plaelion. Celui-il, te sent sur- tout les Mevo qu'il intéresse. Os dit dom que M. Flaches no tarderait pus O tir° mis en li- berté.. définitive. C'est pourquoi en lui a refusé Iff05 lert,urs so rappellent. quo lors 0.I la discussion du budget dos affaires étrangè- res de 1011. netre camarade Ellen Prévot avait plaidé de telle sorte la cause do l'Ins- titn. D'entais d'Espagne que M. Pichon, alors ministm. lui avait nruMis d'iliSdrire aIS bud- get de 1912, Us ...lit de 30.000 francs, égal, à celui dons bénéficie déjà l'Institut analcrem de Florence. M. do Selves tint la parole do M. Pichon. Mais 31. Klotz. mil/jette des /Inas, ces, réduisit le crédit à 4.000 Dianes :et, la Commission du Budget, tal veine d'amine- Mion absurdes, le supprium tous entier. Cest contre cette attitude do la Commis- sion du Budget qu'au nem des trois Uni- versités de Toulouse, de Bordeaux OS de Montpellier qui uns organisé l'Institut ut assurent son fonctionnement qu'Ellets ',neer a tenu h protester jeudi dernier. La Cham- bre ifs pis été insensible h l'allusion dis- crète qu'il a faite aux prochaines négocia- tions francO-OspagnoleS et la Cammission du Budget, vaincue. a préféré, plutôt que d'être battue au vote, accorder notre ami une augmentatiOn do crédit de cinq mille francs. " Colt une pretnière satisfaction ,quienregis- trimons avec joie tous la, amis de l'Espagne voisine et amie. C'est u. Première vieloim que l'énergie du député de Toulouse fora suivre d'autres plus décisives encore. Nous crias:tins devoir repraduire les pas- sagesessentiels de l'intervention de notre camarade. fff Io président. La parole est à 10. El- les Prévos qui cm, inséra sur le chapitre. Le citoyen Ellen Prévot. Messieurs, ja me Mins à II. Brouss.e pour demander quo le chapitra 21 soi,. réservé. Notre collègue gess occupé plus particulièrement de ce qu'on peut appeler les écoles primaire° d'Es- pagne et c'ess de l'institut français d'Espa- gne que je voudrais vous entretenir. L'an dernier, en effet comme ils, Descha- nel a bien voulu le rappeler dans son remar- eayacet, 50, Pichon, à la suifs> d'une ri MARDI I DEC 178RE 191.0 ÉDITIONS RÉGIOrinES In provisoire. Et l'on dit que lev hoiranen ponde ques euh a 'Moho/mèresol n dans la Mme,ial villa, malutmant célèbre, eommeiment à respider, car l'aucies directeur Sens Lanterne n'est plus aussi redoutable. Pourtant les révélai.as de l'Echo de Parie sur la déporation do M. Tomps, ancien mem missels° oestral de Toulouse, inquiètent qmodquee parlementaires radina., et eutout Briand, qui se disest o s Estma que lion mit 1051 51 00 chu rait l'histoire Toms._ bu dé.mrahimi Or ee der- nier se faisait altaudre. IL Flarbon, 2à01.9 en vil- légiature amoureuse à Bou/suris, sierra.° aux clasznes de Des jeenes are.iaa et s'et, fut bélégra. idner à M Briand I a Publiez à fiaj01 dot mais nu 0051, 0. Et, /e lendemais. l'Officiel pus Mis. Ainsi o./jasent les immuns politiques sue.- ràe Per costales journalistes os mes. ma. par certains liont d'un aotie ,Pée01/1-.. On dit, sur les rapporta de Plitelion et des hem, mee politiques, be.coup d° <Moses letertekeutes.... Et ces choses rendent isenocoup monis interosSmdi encore le régime 00 . matent de mues siffeleas En Passant-. Ln elniation po:Étique leWrimico et extérieures polmaapo à juste titre 1. amimie perlemontais res et 10 pays. Les ....sisss sérieuses des nom terviens que cuisit OMM el'atmrd Dere Sua, /Mea Briquet, député du PasselaCalais Racer. IfftitelET Député de Passde.Falafe is rom ma part, jc suis tibmlumont hostile t toute politique etranintro omulte. C'est ta fole es, ,ide le Mus gr.d Péril national qu'il soit p.°. bk, de concevoir. J'oui. doue pou: que le Pars hantent soit mis au mimant dos négociations qu'eus tat;1c..5::,,,s ministre des sàtfairos étrangèr. mecp,,, s, Quant au cabinet actuel, je trois dan toms bora après le débat mir 158 traMés. 11 feint nem.- quer kt campagne terrible quo treine ou ce mussent plusieurs joints., eu faveur de Delcassé m poar la formation d'un Cabinet Deleamé, Briard Mis- era passer on Catérei, taielern suser Delemek Ms ...lm son heure qui reviendra. s" .deMnNleegerridre n or faudrait pas deux a..50 nomme la Konnee lomelocleriorttl pour abattre le ininiatère -Caillaux qui, à Mel, CM, s'eu ira apial M débat ,r les affaires extérieure° ist vous slise nariàs eee l'on uura tranché Ins questios» diplokatiques a, l'ordre du jour. -.11-nassptiminsalt pue,. Briatid-ditt loves air sous net10 législaturt, mais, depuis . rEop- norition fi lu tribune, il et.r manifesté un tel moirant en sa faveur. qu'd n'est pas doute. que noue /e reverrons au pouvoir. peut-être pas dans le prochain collera. masis deus le saDatut. moins, 5, dois dire que Os semblmt On favmr dant il parait jouir du 0000 .dess ronge modérés peu, rait esse au.' dangereux pour lui que Pem Réssublinue elle.mgme, s'il ne mit pas équilibrer erflisars,me.nt a gauche POU oriPMetion politique, en de/musent dans ouo base, milieu, et sans mons trer un sentit/eut de feibleede pour le frattiun 5,5- 50r10 de /a Chambre. Dr:aud. qui joue cerfs:ms ment gros elles one nr7mos'i rf A 'si la teitnde:n,e's75, 0,00e. 50mo il fsns lui isssesparnseon (e n'el"; deno'gouirrenem'tuAOs ebe Louche DOUX a donne l'exonsee de ce gesra oie bavardege rmrt.t un grand préjudice au mes- Çge eas président du Onn.il. Quant au secret dos traPée diplomatiques dant il est tent question en ce moine., j'estime qu'il ne doit étro gardé vis.Amis de la Chmuiluie que durant le temps des sentoeleinim, =dei qu'eusse/ qu'en traité sis. Ilne DuinleaUCc Onfungère est su, In polIt doses moral. 01 soit lus nommuniqué au intervention que j'avais faite 34 la tribune, avait pris l'engagement formel d'accorder nu budget de 1912 un crêait égal b celui dont bénéficie actuellement et depuis deux aus déjà l'institut français de Florence, tins-à-dire un <médit de 30.000 te. Le minis-, tee actuel des affaires étrangères, 1..1 la prOUNMSO quo m'avait faite IL Pichon, a proposa dans le projet de budget ce crédit de 300100 fr. ; mais 01, la min1stre des finan- ces Pa réduit à 5.000 fr, et la cOiranission budget, ne tenant sonos compte de l'imper, lance dm cette réduction, na rien accord/3 du tout. M. lo président de la commission, La eonosission du 051000 e sonosolsl l'intégra- lité du crédit da B2.000 Le, demandé par le Cioirvernement. Le citoyen Frérot. Si M. ID press-une do la commission du. budget désire que je me retourna vers le Gouverneniont... M. lo président de ln commission. Cers .tainement I Le citoyen Prévot. ,.,je la ferai valun- tiers. M. le président de la corainki.ion. NoUS aro0-5 fait tout ce que nous pouvions raire, Le citoyen Prévot. i.e Gouvernement Y.s demandait un crédit de 40100 fr. et ao. ne l'arez même pas .cortni, le raiil.rs, ennstate. M. le rapporteur. Permettez-moi de vOus dire quo, depuis lu déT01 do imth port, la etimmissionu du budget a bien vintla relever de 0.020 francs les chiffras qui y figureilt ; le chiffre global go trouva einei porté à 92.000 fr... Le citoyen Prévot. Oui, il s'agis eaue augmentation gisbsmlo de emoo fr. sur le tham pitie I mais tes, mes collègues ont lu In dés,', chapitre en question, ils Savent que los .itemase encourage sent en nom- lire ta'. errositiaratils et qu'il nly essej, tandis spart...eut affecté à l'institut de. cnumd. QD, dant les ligixec 4111045tno ENQUETES MERIDIONALES Le Trust de Roquefort Les Accapareurs -- Réactionnaires et Républicains Producteurs et Consommateurs roulés UNE QUESTION WACTIJALITE FEhAâ.NCE Lt. ESPAGNE L'INSTITUT FRANÇAIS D'ESPAGNE. UNE PROMESSE DE M. PICHON. -- D'UR? BUDGET A L'AUTRE. UNE DE FRATERN/TE INTELLEC- TUELLE ET DE PAIX. NOTRE AP/II PREVOT OB- TIENT UN RELEVEMENT DE CREDIT Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ADMINISTRATION& RÉDACTION

38, lige RoqUelaineTOOI101.1SE

0 43

AuolencElornims

G fr. 10 fr. 201e,

Étranger 9f,. 10f,. 36 fr.

QUATRIEME ANNEE.'...'- N. 1

LA VIE CHÈREAinsi voilà une question qui a jus-

tement préoccupé les économistes et at-tiré l'attention de tous les partis pois,tiques. J'ai signalé, dans un précédentarticle, les nombreuses récrintinationsdes adversaires du socialisme. 11 saisplu, eu même temps, de souligner lapauvreté des moyens préconisés par euxpour rémédier à la crise que 150155 De-venons.

Aux heures difficiles ceux qui gémis-sent sont légion. Et, dans le régime ca-pitaliste, dont le développement normal0 poursuit soutenu et parfais garantipar les gouvernants stipendiés, les heu-res difficiles sr succèdent, les plaintes,les récriminations sont la règle. Toutest désordre, anarchie, corruption !

Re West pas un discours de présidentdu Conseil qui réglera l'antagonismema intérêts. Et les Caillaux et soirs-

' laux peuvent, ensemble ou séparé-. jeter l'anathème contre le Parti

isincirdiele. contre les syndicats ouvriers.i.e problème reste entier. Inl n'est pasrésolu par des phrases ru loi iule pourla vie méconnaît.

Un fait subsiste, qui domine tout etbut menace n Lu Vie est chère !

'Elle est chère dans la France répu-blicaine, crunnie dans l'Allemagne im-peDalo ci l'Angleterre monarchique.Likasi chère partout. N'accablons donc,,pas un régime eu un oestre. Recher-chons ailleurs quo dan, des formuleshaines les causes du renchérissementde la vie. Des effets généraux doiventdécouler dune cause générale.,-30 crois, moi, c'est mon opinion

là découvrirDans l'anarchie de la production

épassant les besoins de la consomma-tion ou ne les satisfaisant pas.

Dans les accaparements scanda-leux que pratiquent dus capitalistes,couverts par ries gouvernants.

A ces deux causes générales et prin-cipales, à mon sens, s'en ajoutait d'au-tres secondaires. Elles sont, la consé-quence des deux premierea qui, elles-Dîmes, découlent d'une autre caisseinitiale n la propriété indioeduelie con-euquence du Capitalisme.

Jose vernira que ai la propriété calter-lice appartenait à tous, orientée danssa production peur l'intérêt de tous etles besoins de tous, succédait à la pro-priété individuelle étroitement égoïste,supérieurement personnelle, ne tenantpus compte des intérêts généraux et,capricieuse, vivant pour elle, s'isolantdes autres qu'elle méconnait, réfractai-re au groupement qu'elle redoute, hos-tile au progrès qui la transformera, j'o-

Tee écrire, dis-je, quo ails propriété col-lective succédait à la propriété indi-viduelle, nous verrions disparaître cedésordre de production, cette anarchiedans toutes les branches de l'activité.

Il y a des années que je suis, attenti-vement, les convulsions qui agitent /a

' société moderne. J'analyse les crises oùelle se débat et, malgré ma benne v,lonté très grande de trouver d'aldinescaisses At d'autre solution, je n'ai suen apercetuir.

Le propriétaire, roi sur sa propriétépersonnelle, sans le vouloir, incons-ciemment est lies dangereux perturba-teur. Poussé par l'esprit de More, vou-lant devenir riche, à tout prix, pour ga-rantir ses vieux jours contre Pinfortes-

so sentant seul au milieu de tous,preduit selon son destr.

S'il savait que, demain, la société ga-rantit à sa vieillesse la sécurité. S'ilétait assuré sse manquer de rien jus-qu'à sa mort, que lui importeraient leslouis un j un entassés au fond du basde laine. S'il se savait également pro-tégé contre les Méfaits de la grêle, dela sècheressoe, des inondations, des ma-ladies épidémiques qui déciment sestroupeaux et le ruinent,sa propriété in-dividuelle qui est un souci, souvent une'Marge, toujours la cause d'heures dePoignante angoisse, lui serait agréableet c'est dom cur plus léger, je le croisqu'il la mettrait en valeur.

Mais ce n'est pas cela. Le propriétai-re 501 seul, il agit ,oul, subissant les in-fluences miTieu; la hausse ou lobais-OC ils cours d'un produit pèse sur sesdémisens ou les dicte; il devient, jo le'edn. un dangereux pertunbateue.

Le, exemples ? Ils abondent., Qui ne se souvient de la crise phyl-to,érigae, de, ruines qu'ellefilm ,n0t.re Midi ?

A ortie époque oit, une à une, nos ri-.

grisa périssaient et étaient arrachées, levi0 devenant plus rare devenait aussiPlus cher. Des propriétaires nombreux,'lens des pays où autrefois la vigne étaitinconnue, qui étaient consommateursdo Vill et non producteurs, n'hésitèrentPas, pour s'épargner la dépensa d'achatda vin, à planter des vignes. Oui Mu-ait le leur interdire ? N'éteient-ils pasbres d'agir a leur guise, dans leur seulérêt, celui qui comptait, pour eux, en

nette époquo individualisée a outrance?Anrni011_CaO écouté les sages conseils'te celui qui leur eut présenté la foliode l'entreprise ? Se préoccupaient-ils dela constitution du sol, du climat, du

Non. Ils no voyaient qu'unen produire do vin pour n'en pas

',pet/Ker. Ils en produisirent.J'ai bu Sons aerisins parkas do Qers

du vin de 5 degrés. Quelle affreuse mix-ture qui menait à l'aigre aux premiè-res 0/101eUrs .1 Les propriétaires bu-vaient co vin-là. Ils n'étaient plus ache-teurs, les cours s'avilirent, le vin sovendit 10 centimes. Le Midi. agonisa.

-Mais si le Midi souffrit do la alimentedes 'tins, tout le pays so'uffrit da PMI-eltérissernent des autres produits. Cesterres argileuses du Gers, ces terresfranches de l'Ariège, de l'Aveyron etd'ailleurs qui étaient plantée, en vigneaujourd'hui, ne produisaient plus deblé, de pommes de terre, de betteraves.Le pain augmenta, la viande, le lait sui-virent te mouvement de hausse. Ainsipas' isn caprice de quelques propriétaisces, maîtres chez eux, c'est entendu, li-bres, je le veux, tout le Midi se vit plon-ge dans la plus complète misère, toutle pays subit les méfaits de la propriété

L'intérêt individuel foulait aux piedsFintérêt collectif. Je devrais, pour êtrecomplet, démontrer qu'a cette heure docrise- beaucoup de propriétaires qui. de-puis le phylloxéra avaient reeonstituéleurs vignobles, n'hésitèrent pas in lesarracher. Mais une étude approfondiedépasserait le cadre d'un article. J'enai dit assez pour démontrer que laproduction individualisée, désordonnéeet capricieuse était la cause détermi-nante ils coût élesé de la vie.

Et les exemple (le celte nature jepourrais les multipRer. Il me serait fa-cile «analyser l'oeuvre néfaste des so-ciétés qui font disparaître, dans l'A-veyron, flan antiques forêts do oisillon-pers. Je pourrais faire voir, PD 'Parts-el-Ilarresure, à quels abus et à quellesruines la propriété individuelle a cou-duit les producteurs de fraises et dechasselas. Mêmement les producteursd'asperge. Mais je serais trop long etje crois en avoir dit assez.

La cause, la vraie cause de la viecleère, la voilà donc 1. Ne la cherchonspas ailleurs.

Et il m'est bien permis d'être eunprieque, parmi tous les correspondant, oc-casionnels de P a Express du Midi »,aucun, ou presque, n'ait traité la ques-tion de ce point de vue.

Aussi quelles misérables solutionsnous proposait-on ?

La retour à la terre chanté par! La suppression des intermédiai-

res ! Prifiliatifs de valeur limitée, et deconséquences lointaines. Demi-moyensinefficaces, de la valeur de ceux qu'euson discours do Saint-Calais, M. Cail-laux laissa tonsbnn en phrases creusesde se, ministérielles lèvres.

Et cependant il v a dos années quo leSocialiSine scientifique a donné su so-lution. Personne aujourd'hui, de ceuxque préoccupent les problèmes sociauxne l'ignore. Rares sont ceux qui en con-testent la valeur. Et nul ne le fait defaçons décisive al victorieuse.

Alors quo penser ,inon que ceux, mê-mes, qui sont appelés à se prononcersur ce eas, ont intérêt à n'en rien direet se contentent, rageusement, d'acca-bler, en phrases inelyanfes, la classeouvrière qui s'organise, le monde dutrçivutl en marelle vers sa libération I

Nuus, nous avons confiance. Lesvraies solutions s'imposent toujoursquand il faut, justement, résoudre nuproblème. En politique comme en éco-nomie, la bourgeoisie privilégiée, en-tend conserver ses uri,ileges. Volontai-rement eltle couche sur les positionsconquises, s'y cramponne, s'y main-tient Mentons° h Ses programmes palletiques. incapable de solutionner les cri-ses économiques dont elle n'aperçoitque les effets, elle doit disparaître etelle rnoisrra de son individualisme.

Erni/a BARDIES,

ÉCHOSLES FliAcHOYNERIE,4.

Les fleurs d'oranger dans le scandale de Mont'

Le moire-trin s dum la brayant, affaire demem. ou If. PM.oa joue, bien malgré lui. lepremier elle, perni les inculpées qui ont 055 Ponjet d'un mandat de dépét, il an trouve lino imamfille, majeure collede ibm nt âgée de 20 ansqui muait droit avis ...se do fleur d'oranger.

On devine stols dirdeulté quels puis-sants le défenseur de la prévenue compte sises dees- fait ivatbsndu. C'est pourquoi le fiffine 511e,dont la fleur d'0/911ger ole me été effeuillée, ademandé à M. le juge d'insinue:on Portas la no-mination d'ou ou do plueicteurs médecins experts,qui devront se rendre aomp noient...eut del'exactitude de es allégations. si leur rapportMi est favorable, mma-t-os lo courage ae oon-damner mie rosière f

72AVEU.Quand ils emelt In la lettre do M. Clemenceau

sur l'affaire Métivier, tmelques radicaux s'erra,rèrent

Ils tirent pact as lour efferement au a Tigre a.Qmi ! vous 'aveuez l'emploi d'agents se-

crets !

Il répondit t

On me donnait un million po. oa. 0 fallaitdom le mottie dam ma poche

eteces YEGISE.

Os sait die Mie Polaire a ramené asAmitiquean nègre charmant qui répond au nom de t.inumns

Co nEgrt o le défaut 001. trio matinal 11se lice u une Mure où sa manseso dort encore,et comme n est MM rmututat et très bavard, lebruit qu'il fait la réveille souvent.

L'autre matin, 1000i50e, mkentente, pritflmen û parfum et, de la hauteur de premier étage,le laissa tomber sur la MM do Jim..

Jimmy est nit trente.six chandelles. Mais il ra-ma,. le flue., os constatant qu'il se s'était pasbrisé, le rendit sa mMtrtsse

Toi beaucoup chance, dit-il, Li pas cassa.

Pourtant ismi testo dure.Zitt ettaiune sis pardon..

GARD, TIÉRADIM, .7.02kRE,

PYRODIlms-oRIENTAAMS,

RON,c0RnanE,CANYAL,

LOT-ED-DARDNDE,

GaRS,L0T,10,11,88,m1D4ES,DAsSES-DYRilakES,

DES, TARN-ET-GARONNE,

AUDE, ARIDGE,

nt, HAUTE-GARONta;,TolaOuneS CIAIL/ILS

Roquefort, 4 décembre.Pendane que la silane ouvriers crie rami.

ci réelmm en vain slea mesures efficams colffeeles accapareurs nos bons capitelistes continuentes silence leurs spéculations fructueuses sur lamisère du peuple. Voyez pluset rmi se Pas.

Roquefort en 1910, année meiveso pour les.brebis, le lait fut rare et cher, les prix du fro-mage nient:Ment, pour compenser /es frais sup-plémentaires entrain. par M hausse du lait. Laveut° fut induite; les dividendes aussi. Mais lespaysans, éleveurs do troupeaux et. vendeurs delait, se réjouireni de letum Démences accrus.

Pour uao fois, ses pauvres diables n'étaient passcies. 5551m I la joie fui de courte durée. Nosactionnaires nus abois jetèrent les hauts cris.Pensez donc/ on avait osé toucher n /mirs reve-nus! Birrs vite, ils se remlirent compte que tost,Je ma/ venait de la Imus,, du lait et que,en enraya. tien° hausse. on enlèverait três vite-aux paysans forgent qu'Ils avalent gagne.

Habile TactiquoRies tfélMt plus fissile: les caves genterslimat,

voire ri.ne fusionnèrent; an lieu de se Oses-tee le lait, eues fixèrent d'un comma accentOIS tarif unique liabilencet combiné. Qu'in/Porteque l'armée soit bon. ail mativaMe, que les fourrages Adent brûles par 1a sécheresse ouemportés°mi les inondai.. I Le tarif seul fait la Mi suric marche; les paysans peuvent. suisse, los amtionnalres ne trembleront plus pour leurs divi-dendes. Aussi, dau les polims nouvelles que lesrases viennent de paeer avec les paysan, le taitcsoet, maign os °mese, vendit 5 fraues de rosi.par hectolitre que Pais dernier. En vain lesjournaux ont teopété, en vert les paysans par-laiunt-i19 de corser n oups de triques les ad-misistrateurs du trust des nye. 1.00 itridestastalions les plus véhémentes . sonu peu a peuapaisées, la volonté dos capnalistes gest imposée.

Quelques NomsSi Vom etao curiess, ami lecteur,, et que va.

vouliez savoir pourquoi les payeatis gent pasété vainqueurs, achetez la liste dim gros actlon-nalres nie sa Suidés? desCaves. Vous comprendreztrês vite pour quelle raison les réactionnairesaprès avoir (uhl par la maladresse do quelquepersonnalité incongrues denonee ers décembre1910 la manoeuvre capitaliste qui se dessinait sescat cois dès jamite1911 u soutenir dans ItEcleirsa intetats du trust. C'est que le président du

commit dadministration de Mâte Société, primo-mur du trust est M. Paul Leroy-Satilint, men.ende rlmtitut et casdidat progromiste blackboulé. de nombreuses Mutisme, tiest quo-cette nid-

Sortiété est, administré par IL le Monadeaie

FEUILLETS ROUGES

De la Parole aux ActesC'est tao banalité de dire qu'en matiere

législative il y a Min do la parais aux aeles.Mais que ce mit' une mérité, perstinnc ne tacardeStera. A celle vérité les radicaux Ontminus armé joule la torse d'un proverbe.

Lisez dosa le dernier discours de Pd. RenéRenOULL Les bonnes intentions' y 'ruissellent.Le metteur, c'est que la 1/018016, on ri°.COrnmun avem la morale et gué l'ihtm01011meilleUre n'y vaut pas la plus petite es-tiuà

Leu intentions ministérielles ? les pro-messes Ion en paverait Paris itt. le monde, elon ieS paverait pour Péterniié, o. in seculasieculorum dirais l'ancien clikricul eruppi.Leu discaurs de gouvern.sent, zens cOmmeles Scandai.. 11 y en a peur meus les goûts.Il y en a mémo pour revendre. ES tous, ilsdébardent do généreuse passion dé/me-urt/tique 1 ; 1005, ils constituent, suivantl'expressiOn Ou si Rappel st, la st préfacevaste et hardi programme d:action socialedont le payS « duit se réjouir it. Mais danstous CCS discours, des mots, des promesses,des protestation. d'amour Ils se suivons el,ils se ressemblent.

M. Viviani inaugura le Ministère du Tra-vail par 10m, belli> préface, que trailleurs ilréédita. M. Bantoue la revit et l'augmenta.Et, si M. Laffemas no fut mémo pas capablede la parodier, Al. René Itensult, viens de lareprendre. Mais ffett toUjours la presee.

Telle est .la vérité. La vérité est triste.Sur le bureau des (Menthe., les mirTistres

accumulent les projets de loi. Mois Ms mi-nistres passent, ej sur les projets, te tempsaccumule la poussinre el les enveloppe dansson lourd manteau fuite. Ainsi, le peupleattend 1.00urs des réfOrnses 05511 d'espé-rance. L'espérance le fais heureux

Que de cette stérili.té la métis:ide du tra-vail parleMentaire sOit Une des causes, celano fait aucun doute. Les élUs. parlent Stop

souvent pour prouver PIM existence et éta-lon, leur utilité. En outre, les ordres du Murdes Chaplin'oa sont bouleversés par les Crisesministérielles et le ministère qui vient en.voie, trop altiArement mus éaleudes co qff é-baucha péniblemens le ministisra qui aen va.EL, tous recommence.

Mais ce spi il faut surtout acctMer, n'estl'insouciance, la duplicité et l'insincérité deshm:âme°. qui Io peuple a .plare Sa eonflaree.Si la majorité étals hardie et fidèle, ails toila guidait ej si, émue par les misères et lessouffrances dos travailleurs qui vers 'elletournent sans cesse leurs regards inquiets,elle avait la volonté d'agir, l'efficacité desactes l'emperlerait bientéj sur la vanité desdiscours,

Mais on parlera longterups encore. Onparle pour se consoler de ne pas agir et sur-tout pour en avoir le Prétexte, car s'il Y hloin de la parole atm soles, c'est, parce qu'ily a loin d'abord des .Ifivirs au et Unprofessions de foi à la sincérité des convic-tions.

Vincent AURIOL.

Les Poursuites contre Maggi »Lo SuraiMat des Crémiers de Paris amni son

siège 0 Paris, 10, rue des Prouvables. niulltdéposer entre les mors de If dmat, doyen desjuges d'instruction, une plainte contre ni Godet°lainière Maggi Le Syndicat s'est, on outre, cons-MM pose atie dms les pommai. en murs

I ,at que, ladite maoees.

irEibreiii, président du comité d'Action libéraledo Esist-Aftrique. Vous verrez aussi sur miebonne 1Mte, M. Joseph de CasMinau, frère deP.cien députe, le fin.cier du Wu., et beau-coup d'autre, qui Ont voix cossu/10nm O l'ove-MM de Rodes.

Mals, penses-vo. les républicains protes/d-isent ? Oui, sans doute, et à grands cris. M. %li-tre. mune des leçons de syndicalisme dans unguenilles radical; un conseiller général, le doc-teur Jacob, s'emporte jusqu'à parler desabolage;M. Poursui lui-même cessa de contemple° sesgilets pour laisser tomber de sentenniesses paro-Sas. Puis, après avoir hien crie, de peur de s'egossiller, sans doute, ils se turent deux ou tnismoM apres les réoctionnaires.

Lecteur Mmieux, vous n'avez pas encore devins1ft raison ? Crut que ces bon, messieurs étaient,eu: aussi, anions:Ores. Ils reehignarent avantsPaceepmrletrustparoequ'ilene savaient pas s'ilreu.rait. Mals tre administrateure leur dénionskrérent que l'affaire Mais bonne et une hausse de100 fr.es sur 5es actions aidant, ils oust fini paree résigner il tnuelier de meilleurs dividendes.

Contre les ConsommateursCar rani50 est bonne, je mus l'assure uns,

mulensent on a coule Ms paysans en achetant lelait meilleur marché, mais on a rouM aussi /esconsommateurs en vendant le fromage plus MienPourquoi se gêner, en effet. ?Toul est à la haus.M : les feuils .nu hors de pris, tes autres fro-mages se vendent autant que demandent les prosdoctes., le pain, In Mande, tent suguseute. Peurquelle raison le roquette, no so vendrait-il pasplus tther î Parce tmc, direz-vous, prolétaire nasele prix de retient a diminué et quo M peupla cstsurnsammens éprouvd par la sécheresse oisonépizooties 05119 quel soit nécessaire d'aecroilresa misare. ! 55(5 hies de quoi se moquent les...aires; si le prix reste te nome, lés divi-dendes n'augmenteront pas. les actie02 baiase-ront de nouveau. Itea importe tiise ce soit sur lafamine que fon spi..., pour. une /a spécula-tion soit fructueuse I Et nos trimMtirs avisés tintélevé nies Mmes le prix du roquefort.

Aussi, les malheureux capitaliMes qui n'avaléepas d'actions des Caves, fou:tells, depuis peu, deeyeux ronds 01 l'on annonce d.s la région querertMn roi du pétrole fatigué de son royaume,va venir régner sur Roquefort. Heureuse idée,sans dot.. et qui sejsuira le cur de se, futurssujets, car 55 est Nen certain que cet homme, si.>bre daim les annales 0m l'accaparassent, DEus-<cira à merveille à faire naisses le plis du MMtous 00 augénontant le prix des fromages__ etMeasevemm Je ses .

Paul RAN.DIER,

BAVARDAGES

UNE BONNE MACHINE

le Chambre des députés a, Veil, jour, re-Pattesé, par 219 rait cotas, IBO, t'amendementl'amendement Voilai, au sujet des fonds seereis.NI 5 y sous, exactement, en séance, vingt dé.putes,

Celle opération qu'on pourrait alsIteler us mul-tiplication des bultelitis, et qui ransisle 5 faire,arec vingt députés, près de cinq cents légiste,teurs, est assez famitiMe aux indigènes du Pa-!Ms-Bourbon. ('0550f pas tu Premlérequ'avec quelques itou:enfeu de représentants, onnous Pillibe «ne bonne majorité, compliquée d'u-ne minorité hopounife.

Et recloue ramêne arepeesolee Vida que j'ex-pesait hier, à propos de let récente stivenfiond'Edison. Pourquoi silo prPsexce des Plus n'esta,De indispensable à la Chambre, ne psaee ser-

stmplentent. de la machine S fabriquer les? .

Celle rrauthine, que tout Français, pourvu deSes dioits cites, serait tenu de posséder, consis-terait done une combinais-on Ingénieuse de télé-phone, de phosographe et de cinéma. Elle seraitfournie grotullement. Pou' les pautnes gens,saris domicile fixe, il saurait des machines Cone-121.11,,, Et voici couinent t'opération geffeefue-rait c

Je atnese que le dépulé Tartempion ad uneprepiigition os soumettre. Il s'assied tfetant samachine, fad jouer quelques hosto., el immé-diatement entre en relelion ares Sons ses s'eh,-eues. Chacun des collègues, par le même mu-cédé, conehnunique ses impressions aux maires,conseillers municipaux, conseillers généraux, etc,soja tsar tour s'arrangrest avec les simples élec-teurs. Après quoi, choque électeur transmet son°eh 01 itio, 5)5155 qu'a canaliser les avis el comp-ter les voix, arase Lite machines centrale, Avecna systonne de ennlrale très rigoureux, la saper-choie Sera 5lripP6Sibie et, ainsi, les lais, commeles nuearonis, sortiraient toutes faites des ma-chines.

l'oes qessoco un pareil procédé, il n'y au-rait plus de charme I que les cedribinaisons decouloirs, les eomptele antiministériels denten-dosmat Vous ajoutes que ça ne sem-primerait pas te gouvernement. Sans doute !Ma., en rte peut tout oyais cl, parti sur cettessaie, S n'y Sens ele.raisons pour qu'on s'arrEle.Il ne usus resterait plus, en 505, 055, pour ren-dre les hommes heureux, qu'à trouver la s 71111-

chine d appliquer les lois s.53505r IIERIO.

.46 PAYS PES INQUISITEGAS

Le Procès de ColleraMadrid, 4 décembre,

Jruill prochain, le eaumil se respira pour ju-ger les occuseus des événements Culiers, pro-vince de Valence. Les accusés sont au .mbre de50. Le ininistara public demande 7 condamna-fions caunales. 17 si diremates 000oca os sus On-vaux forces. Il abandonne une accusation.

Les résultats de ce procès tiennent tout lePans en suspens. La sentence est critiqués aventd'amie êta prononcée. Les républicains Ont entre-pris une vis/ente campagne en faveur des accu-sés, pour lesquels ils Oct demandé la gramroyale. L'impresSion generale est qu'il rouescieux ou trois condamnations à mort. Bien en-tendu les mrservecurs demandent qu'une ré-peension exempicire sait exercO, Il eft certainque M resultat 11501 aura une influence considé-railn sonos sort du cabinet et sera /Milet de vi-ves discussions dès que los Cortes seront ouver-tes.

socuat-ts-rnsuas Sa enseiqua cr00-

11100

sur toutes les question, dadual. Mumiteslu °tamis.° publique.

CARNET PARLEMENTAIRE

Dans tes CoussPotins et bd pviews

De motu sédation parisienneParis, 4 décembre.

Bans les touloirs, on potine toujours. La Cham-Mo ressemble parfois à uue grande loge do don-cierge. Railleries sur /es uns papotages sur les faitedu jour, calembours pénibMs. fines pointes de ros-series tout ms fuse à travers le brouhaha des rensmartres et des groupes, un à travers les fumeurs dela burette. Nos honorables sav.t aussi se dis.

,t le grand rèle do représentant da P.a.Mo a ses petite eût.. Si l'Officiel disait tout,quel Officiel !! Oie, qu'il dirait 0_

Le LépinéthéromaneLépine fait otimme Justin, disait ce soir us dé-

puté du Midi. Justin, préfet do la Seine, est de-venu ministre parte qu'il était sénateur. MAisqu'est tle plus J'astis que ma:, Lépine ! s'est ditle shel des }Mea et c'es Minai que, las du gouver-nements. lapon. Lépine veut gouverner lo pays.

I/ est us fait n'est que la oendidaturs dttFlic sasse une cerinine émotion dans les muloire.On se rappelle /e culot de ce monsieur lorsqu'ilavait l'air de veilier sur sen ami Arimide. Et l'onn'est pas étonné de se profession de foi. On 105li-gera S démissio.cr t Mais c'est es qu'il vent. Fmpassant à tab,s dirigeants et régime, eu va luido.er nus auréole de popularité et, sorti par legronde porto, il s'imposera, siss ses débute, dansla tanière parlement-aire.

Le Lépine de la Compagnie Suez et de l'affaireEsebetto était branlaut sur sen fauteuil fragileII sore uranite.. iastaltie ;mur sonf ans. Et puis.In régirae est si bas quo le Plie peut s'élever ansplus hauts postes.- Pourquoi pas

L'Errant DoumerSavez.vous quo l'on pelait aimai Imams., se,

iours.M, de la candidature de M. Paul Do.mre.didaturo au Sénat, évidemment C'est la Corsequi hériterait de.Pancien gonver.iir de l'Inde.Chine. Devait envié un poste dans le Cardel.maisSe sénateur Lentini'e l,Ii a barré In mute. D. lors,sur les instaurons/. président dit IDnecil général dolabas, il va partir mair la Corse. 11 espère Te...sir lit mite candidature errante jette un :journouveau am ce régime parlementaire qui est bienun régime d'aventuriers...

Un qui en Veut0151. Doumer munir.lo l'intention de remonter

à Si surfasse es passant par Io Luxembourg, MMilloritud, mil est à peo pre.s do mn eitlibre. senprochaine la mort ao Caillaux. Aussi fait-il De.nem, à prends fracas, dans la presse et das» les

reMirée.prepthajnesel,intervention,qu'il fait diressenSationnolleifffaXelb end débatmi la poktique extérieure. Veittà êtro ministre desaflalres étrangères ? On Je Oit mais il baisse direviellas voudmit le gros portefeuille do Cuit

Justin contre JosephDluilleurS, les événements per:tissent propices au

étiehaMement des ambitions des ministrables. DeSelves se dressas., on effet, Drs du Dibas surl'amorti franeosallomand. On face de Caillaux.Pour ra tirer d'embarras. dira a C'est lissas.te à Catil.x. s Dimin coutre Joseph : ee sera unelutte épique 1 M. de SMves prétend, nous ami..tem 555 05 politiqm a GO constumment Contre-eemée par les st. iimilsious autoritaires du ms.aident du conced. C est lui, dit

Justin'qui a ou.

trepris de violenter l'Esffp

s aga^ et de a antreeaux accord° do Mt-. Ainsi le debatds llcou.rant tournerait/d à l'aigre, :Mein s'es ment, àmoins que ana désert n'entrain° la Meute du as-binet... On dit ea, dans les couloirs. untis Caillauxerra.° sur 611, majorité toniours prilte à beaueoup

eltoses...

Flachon et le PouvoirSI 1m pelitique passionne les uns les antres po-

fuient sur le 053 Plaelion. Celui-il, te sent sur-tout les Mevo qu'il intéresse. Os dit dom queM. Flaches no tarderait pus O tir° mis en li-berté.. définitive. C'est pourquoi en lui a refusé

Iff05 lert,urs so rappellent. quo lors 0.I ladiscussion du budget dos affaires étrangè-res de 1011. netre camarade Ellen Prévotavait plaidé de telle sorte la cause do l'Ins-titn. D'entais d'Espagne que M. Pichon, alorsministm. lui avait nruMis d'iliSdrire aIS bud-get de 1912, Us ...lit de 30.000 francs, égal,à celui dons bénéficie déjà l'Institut analcremde Florence. M. do Selves tint la parole doM. Pichon. Mais 31. Klotz. mil/jette des /Inas,ces, réduisit le crédit à 4.000 Dianes :et, laCommission du Budget, tal veine d'amine-Mion absurdes, le supprium tous entier.

Cest contre cette attitude do la Commis-sion du Budget qu'au nem des trois Uni-versités de Toulouse, de Bordeaux OS deMontpellier qui uns organisé l'Institut utassurent son fonctionnement qu'Ellets ',neera tenu h protester jeudi dernier. La Cham-bre ifs pis été insensible h l'allusion dis-crète qu'il a faite aux prochaines négocia-tions francO-OspagnoleS et la Cammissiondu Budget, vaincue. a préféré, plutôt qued'être battue au vote, accorder notre amiune augmentatiOn do crédit de cinq millefrancs. "

Colt une pretnière satisfaction ,quienregis-trimons avec joie tous la, amis de l'Espagnevoisine et amie. C'est u. Première vieloimque l'énergie du député de Toulouse forasuivre d'autres plus décisives encore.

Nous crias:tins devoir repraduire les pas-sagesessentiels de l'intervention de notrecamarade.

fff Io président. La parole est à 10. El-les Prévos qui cm, inséra sur le chapitre.

Le citoyen Ellen Prévot. Messieurs, jame Mins à II. Brouss.e pour demander quole chapitra 21 soi,. réservé. Notre collèguegess occupé plus particulièrement de cequ'on peut appeler les écoles primaire° d'Es-pagne et c'ess de l'institut français d'Espa-gne que je voudrais vous entretenir.

L'an dernier, en effet comme ils, Descha-nel a bien voulu le rappeler dans son remar-

eayacet, 50, Pichon, à la suifs> d'une

ri MARDI I DEC 178RE 191.0

ÉDITIONS RÉGIOrinES

In provisoire. Et l'on dit que lev hoiranen pondeques euh a 'Moho/mèresol n dans la Mme,ial villa,malutmant célèbre, eommeiment à respider, carl'aucies directeur Sens Lanterne n'est plus aussiredoutable. Pourtant les révélai.as de l'Echo deParie sur la déporation do M. Tomps, ancien memmissels° oestral de Toulouse, inquiètent qmodqueeparlementaires radina., et eutout Briand, quise disest o s Estma que lion mit 1051 51 00 churait l'histoire Toms._ bu dé.mrahimi Or ee der-nier se faisait altaudre. IL Flarbon, 2à01.9 en vil-légiature amoureuse à Bou/suris, sierra.° auxclasznes de Des jeenes are.iaa et s'et, fut bélégra.idner à M Briand I a Publiez à fiaj01 dotmais nu 0051, 0. Et, /e lendemais. l'Officiel pusMis. Ainsi o./jasent les immuns politiques sue.-ràe Per costales journalistes os mes. ma. parcertains liont d'un aotie ,Pée01/1-..

On dit, sur les rapporta de Plitelion et des hem,mee politiques, be.coup d° <Moses letertekeutes....Et ces choses rendent isenocoup monis interosSmdiencore le régime 00 . matent de mues siffeleas

En Passant-.Ln elniation po:Étique leWrimico et extérieures

polmaapo à juste titre 1. amimie perlemontaisres et 10 pays. Les ....sisss sérieuses des nom

terviens que cuisit OMM el'atmrd Dere Sua, /MeaBriquet, député du PasselaCalais

Racer. IfftitelETDéputé de Passde.Falafe

is rom ma part, jc suis tibmlumont hostile ttoute politique etranintro omulte. C'est ta fole es,,ide le Mus gr.d Péril national qu'il soit p.°.bk, de concevoir. J'oui. doue pou: que le Parshantent soit mis au mimant dos négociations qu'eustat;1c..5::,,,s ministre des sàtfairos étrangèr. mecp,,,

s, Quant au cabinet actuel, je trois dan tomsbora après le débat mir 158 traMés. 11 feint nem.-quer kt campagne terrible quo treine ou ce mussentplusieurs joints., eu faveur de Delcassé m poarla formation d'un Cabinet Deleamé, Briard Mis-era passer on Catérei, taielern suser Delemek Ms...lm son heure qui reviendra. s"

.deMnNleegerridre

n or faudrait pas deux a..50 nomme laKonnee lomelocleriorttl pour abattre le ininiatère-Caillaux qui, à Mel, CM, s'eu ira apial M débat

,r les affaires extérieure° ist vous slise nariàs eeel'on uura tranché Ins questios» diplokatiques a,l'ordre du jour.-.11-nassptiminsalt pue,. Briatid-ditt loves

air sous net10 législaturt, mais, depuis . rEop-norition fi lu tribune, il et.r manifesté un telmoirant en sa faveur. qu'd n'est pas doute. quenoue /e reverrons au pouvoir. peut-être pas dans leprochain collera. masis deus le saDatut.moins, 5, dois dire que Os semblmt On favmr dantil parait jouir du 0000 .dess ronge modérés peu,rait esse au.' dangereux pour lui que PemRéssublinue elle.mgme, s'il ne mit pas équilibrererflisars,me.nt a gauche POU oriPMetion politique,en de/musent dans ouo base, milieu, et sans monstrer un sentit/eut de feibleede pour le frattiun 5,5-50r10 de /a Chambre. Dr:aud. qui joue cerfs:msment gros

elles one nr7mos'i rf A 'si la

teitnde:n,e's75,

0,00e. 50mo il fsns lui

isssesparnseon (en'el"; deno'gouirrenem'tuAOs

ebe Louche DOUX a donne l'exonsee de ce gesraoie bavardege rmrt.t un grand préjudice au mes-Çge eas président du Onn.il.

Quant au secret dos traPée diplomatiques dantil est tent question en ce moine., j'estime qu'ilne doit étro gardé vis.Amis de la Chmuiluie quedurant le temps des sentoeleinim, =dei qu'eusse/qu'en traité sis. Ilne DuinleaUCc Onfungère est su,In polIt doses moral. 01 soit lus nommuniqué au

intervention que j'avais faite 34 la tribune,avait pris l'engagement formel d'accordernu budget de 1912 un crêait égal b celuidont bénéficie actuellement et depuis deuxaus déjà l'institut français de Florence,tins-à-dire un <médit de 30.000 te. Le minis-,tee actuel des affaires étrangères, 1..1 laprOUNMSO quo m'avait faite IL Pichon, aproposa dans le projet de budget ce créditde 300100 fr. ; mais 01, la min1stre des finan-ces Pa réduit à 5.000 fr, et la cOiranissionbudget, ne tenant sonos compte de l'imper,lance dm cette réduction, na rien accord/3du tout.

M. lo président de la commission, Laeonosission du 051000 e sonosolsl l'intégra-lité du crédit da B2.000 Le, demandé par leCioirvernement.

Le citoyen Frérot. Si M. ID press-unedo la commission du. budget désire que jeme retourna vers le Gouverneniont...

M. lo président de ln commission. Cers.tainement I

Le citoyen Prévot. ,.,je la ferai valun-tiers.

M. le président de la corainki.ion. NoUSaro0-5 fait tout ce que nous pouvions raire,

Le citoyen Prévot. i.e GouvernementY.s demandait un crédit de 40100 fr. et ao.ne l'arez même pas .cortni, le raiil.rs,ennstate.

M. le rapporteur. Permettez-moi devOus dire quo, depuis lu déT01 do imthport, la etimmissionu du budget a bien vintlarelever de 0.020 francs les chiffras qui yfigureilt ; le chiffre global go trouva eineiporté à 92.000 fr...

Le citoyen Prévot. Oui, il s'agis eaueaugmentation gisbsmlo de emoo fr. sur le thampitie I mais tes, mes collègues ont lu Indés,', chapitre en question, ils Saventque los .itemase encourage sent en nom-lire ta'. errositiaratils et qu'il nly essej,tandis spart...eut affecté à l'institut de.cnumd. QD, dant les ligixec 4111045tno

ENQUETES MERIDIONALES

Le Trust de RoquefortLes Accapareurs -- Réactionnaires et Républicains

Producteurs et Consommateurs roulés

UNE QUESTION WACTIJALITE

FEhAâ.NCE Lt. ESPAGNEL'INSTITUT FRANÇAIS D'ESPAGNE. UNE PROMESSE DE M. PICHON. -- D'UR?

BUDGET A L'AUTRE. UNE DE FRATERN/TE INTELLEC-TUELLE ET DE PAIX. NOTRE AP/II PREVOT OB-

TIENT UN RELEVEMENT DE CREDIT

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: S CIAIL/ILSimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1911/B315556101_MIDSOC_1911... · Qmi! vous 'aveuez l'emploi d'agents se- ... L'autre matin, 1000i50e, mkentente, prit ... le lait

traite, da iaipart De,ribaaal. set ton,citait Sel dis'eotoiiaans OttO

Coq ce rr&dat de 20. te. qua la su-ruStre dan affaires étaaaaPrOs as ait 000nuadé,srsalarrutaeeris ii Or eaigageoiøiat polo pue M.FriPon. Par'niite dae acreositals iotltfftlalree,r,llr drraia,ualu Saab 010 r(.duiu cii 1.000 Ir.

Ces 4,001 fa. Ol,tent daatintO à l'tunyhlaitOrsaçaba 51e 'rteitrid pat eompraeil à 1 loi,i.'insattto arahua-liiapxei tue lit Bordeaux,Contre do, altrodicauts français et etpa000lsdeToatousu, et no qu'an pelet sppu,er l'a-Cier ter ateartianln Lraugaia et orpaguple deMoutpaltiuv Il y n trois aaivrraitds traiter,-'ides es cr4011 aIr 4.000 le., q, jn li, ruerasOsai lx a'sppor1 de M. Pareoherel qua laaanuoaai,sioaa du bioli0rt 14e pas cru davolgaccorder cc crédit de 4.000 Or.

U. le pi'èstdsal Os la xoiaeealexloa Os bxd-gos. - t'le l'a raPtalili doçinir.

La citoyen Fricot. .- hans-vont '141e.b'tire 4.000 fa'. pour qu'i r ai Irait liant tu0ide ModulO O C'est axa nogaorasteliox çlnbslaOr 0.000 fa. ipia voua as an déeldale.

U. le pri000e,st dx la axnaadsnioa do basal-gos, - Nous nr rotors pas ne budgets parnettoies, nuls Boa pue chapitres, q, Il estlOisible au Oonvnraemaat do faire l'rusploila plu, nus des ardOisa uni lut cent 1410005.l'lOO, bio, Très bien

La sitairan PrOVat, s-. 0rt, 70005 et M. betisisiri dc,, d'airer dteaoga"is voulait litere'inrpiecr le l'intention 'xanafestde l'uT, dru-P100 P50 71, Fleurir poat_Otu nrereoot.irail-il a ablnliener lan 4.000 Ir. gua vous lai Co-cardes, à l'ïaaattn1 du 01051010. l'aurais atarisera srttsfùrtintr parliull' otars tout b Oeiltnsrfflsasto, Otaul, do4a £uoirtesue dal'oeuvre gai arr faite b-bas, tint OEuvras ana-15011es arrt urtreprsses d'ailleurs Cars tau-tata pava.

tisas in deruiar encrier paru de Ii o P.r'vo, de Perla e, il s 014 yrebltt ou corel uniarticle de M. Sultan Laobaire, sue l'iortitutfronçai, rIa ffluraaoa. Bous rat article Il.tuellatro n'serupaut eu asSes oinaopr Or teittle, aateea iaatiaalr qui aaistest ej, des ro-uer, asaloçuee, met es ruiner Içi surviensrOc Irs's Sorte qua pouvonS Foudre ces tisa-

Ne s'insista pas ancrant que rend l'lentr.nt friaipai, do Made .1. J'en ai paria Ion-

Ode dnrailu'a. Mue, ueeyre-vOrs que cor,, 00rayerai pas Navru do ceintes t 3e peaux queperle" I mapugne iii sa mouvai ou patotrOter iasdifisraat b pxreaoraa. ('POPs talon I

'Orbe bien liTara0 derajbrersarst In rnnuioipulitd tOn

Sorgua e cr00 ail aunas aMure' nt gestalt dula as française, Un pariai n 114 pn'Oarnléet ludit par' e uu,,reil g000eul du ratio per-Vessa pan' unvoyer na eesteioi rombrr deboutai ara espagnols aas lus nnieetuitdamerldsanalea, Seagas, ,asenaieu's, qu'il a'y sidani aireras anis'eraitd espagnole do raseside Isagur rt du trtrtrediava fr'Sayuirvt Or, ilnierai5 ruaSê, paraIt_t', è l'illnetrs roseau-ointe, Poses Pesta Bux,i,u.

Si sous auuiar qnu unu een:rusat lesinstituts 51e nu genre er,der4 eu sartrIen surit

i0ralso pays dlvnotgoru et arsM, le ruppgrtear tssiadeal. - Viunlee-'uaree

W puessart -u na oint t.lis citoyen ProteS. - Muuuienr la eapaar-

traite rOuera1 r-1-on ruse eue Cornu? dliv-Ogutiou PI e000rdau-vvlia lev 70.000 francs Iesuuuirux

N. la raprartOsar qalcdral. .. Noir. roule,e,nlua-Vaas ace puneisatinu une nbmersat'a,s?

Leattapers Filent, ._. huart, j.a ereablara.

5f. ('reliera tuoha,re diei',uit lori ,PlslameuCasa I avalais du la., Rauk.e du Psodit ii deal10 parlais

« Ces li,si,itnats voua des Ouulau rl'ntirus'va-lapS de la vis suntuaanaraorr. où sent ra-eiatoatlss les tuais ut le.n upiuuuee qua iustdrerc.suat se rapparIe, entra Ce, pans et t.Sreare, va gai, ru easliulr.a ra,, pourraient4eaeuir la basa d'aoaorda iatarsetaoaauretc sfil. menaieara, il s'agir, ana pa pour

galon pap s dx mener, b lu Laveur daces ans-til,sStaioq. Casa Ire psy, uaist, airs 0x005-

.eiits aataecaaée isarliaurèts, dnrmaatrlea aSitspiaaée, mcs do sentir an 000araira 1er isa..COnte camasses intelteeeoel, q, moraux du

Macr1nn part, ii no parait bob ïlseare ohcolis sommas, la r,taOdser corail auge detirlsre peu ioransible à la oritru guis jo laiaitresse, I'fras 'bien t très bien C

U. la te-tairlisat On la naisstan du hand-5at. - fions n'y tinamou pse Ireonsatoenereqe-acèsiar,.

Le clapsas PrIvai. - Ce aient pent-dlrr potl'lsvuee da dtsapuiav qs.lalqnrrs dareinsu dx mli.¶140, dx letnas b I lan-cru sa ontarenssiate quiSet seeessytrr per I iea'a,iret tcasiç,aio d'gepx-

daga la pst, raierai si ami ' et si latbamlrne a'leptiit euce attitada anntaaaee,mn. assis et moi, .la norias ,pauvaar le direcrus se acre, ex aerrmmudrrions pea easrrien teintsar 'rtritsblu, (Applsadrunnmaots,)

li. la préCOces. -. lia parois euh è M. lacsppertear Otuérnl.

Se. 15 rappsptece glarral. -. La constats-5110e rIa budget, gal esuit loCh rtelnvd nec',051 sa ublifre penpusi par ut Gna'earrrau,eul,en I esg'meutaa du 0000 Baron", ornarde 000naruaslto tarama de I000 t"ataus.

La disayeai 5145000, - 0e I aneeptu velor-

N. Os padstdsiss. .,- tri utsapiten runaii druspeald 'n 07.000 froues

U. la s'apparenr glaIseS. Ont oruorturela peduidrut.

BI. le présldast. - pe000suse ne rlaaiandaplots la purris rue te nlsap,tee Par...

lac le riants ana nuan, na uhiffra de 91.000 0e,Ct.e elsepitre itt, isis', ure0000, net rais seau

axe rt sdapatd.'

CHAMBREOn ncalsiane 15 sbausssstar du bnd1as Os 0015.

Ierareaatieae ta Prdeat et de tscaletro-Mmml.

BOlaere alu trottoirPreiu, I Oeenaeteu

Plus amont sut nanertr I t hallier, rare la lorScoluara ra ut, Punch, 5leepalnidata,

L Budget de 1912'CUIMIET ItoS POSTES hT TLLEIGOiAP005

Oa ae'amunsu la dianunnier du budget des lier-"Saut ldila,apbry

vi llliaenl perle an faseue dru irunur la000lu',li qui no ua troue iran la prnpirn'na d'anrpluialads msrilrus, Mania pue lac p150. na 1aué!r-rares la, sur-nos an'ileic,n.

Il dueuseria as ulule a un aluosruurt eelirraudes silos au geint de sur ds "luroourito Os crut.loirs saur la raaa de la cherté 05 la Oie,

9f Bernent 51450e oc pauege on eupport Osf0, Dalim,ae cia ruS repraés la adra,,'ai.d de acOreSan asirrierars Ors pnsiru.

M, Laaa e prasuara anales nitre marelle las.pruaa et dit grau lieu es oroan' are iel,rlrtlearos dnreein as ,upprlancr, raterauerl In miuisae-sdua'nmucrss qr,' purirrue aoae aeelurhe h culaIrIra recueil.

M. armera 014x511 qu'ue rnar.susrotarra d'OIPI70e pin' Irre torOnner laPe ilrnrrtie rIen ettcreies,eed, qu'or selsisiva y p,rvlssursir

Le Orel en sraunlit aeelsarx l'applieatars niaçrr,uearel ra' Iront', t, la lei seuls ruons hebdoisadaier dauo sur saeegestltt.

La culpa' néiuiatls eupote ta, rannudrrales,Ornalirt par lsmoaiatiair gererai nias posa,,.

p5 as 5701 rOustie la sur,,ra ainbalsaO il l'ian-nsarrteo pertrislesoO'tlo, les 000115 5005 boom.anal, ai la peaeaaael autO, rea000sarr s5gaienxoaas rrrstéeil rcuaumi, oie,

f,'urst&r,r dasanada b ta sujel au, a00arnars.Lai, da nrtd5t,

M. Clsaetarid ranieri, mils euros rriasan sa,Iéiaeauda cpiastanl du aliteluO roi il, tuolerra!m000,,iaaoiin :°ms lias Ira Lil' anglr-

lis flores saille I'atleid carrer, pae sabir deIbrahOta ara granits orslrparaoseols 0e rend'

.0. i'jre,rd, mi ,u,aaCO, mais la

use pasres frasliausa cl mal qu'an au doit pastut nucdrr curare es maolsmadt d'orgual.

0f. Cilunloraa. - la sala Lita euuaaleua; l'ob,ur,ail, airai la liii pu,, 'na usele I bout, u aaul',,,telea lu olirpan paurul dues 'i li' Or Punir.

Apers qia,tqacn utisreualuiva 1res'nlu',a linr le.5f citai, la Marna cal len'la rai reun,open à I heu-oui ru durris pi't la 000ttuuat'nu du boîgul,

rOsera de t'epees.uirlttha aéerea cst uuuuvla u f h. la rias la Irrunt.

ilouaa do Id. Ormeau

bar 000bITd prJpps.rrdçtrAluLa F1'sambea ibnrdr l'ua'iura da pr'oiri lai,tsa'

elietes'trareelarusilallou du, urtdir, ana l'aaneduelui lot la rt0uurinatlua dru Serrai, au titra 0evbn.rtgeao cancres de t nonnes de nec de l'Ctat,

I.e Oienosutaa 0000mb rai noarete.7f. alnnmsuuel Benania poterie moto lira-

ponraner On roc neulili, aappldmrenloieeu gaio'tltvesn a plus du il ont orr

la, Eoruernaal ereaure, - Fa bauger 0,100Imprelarue noarme la nuira sa Oao'rc,l pas 51g.flisee na sala aepuaae,noets dx uraulits,Or. amuras, otOeasr dace laua500 iaa riirure

ehapilers de or tinter ra reniais, apprc a mIe

xaaabauamee ureaqrirs ocalu-e la l,mn005anuu doqu'lquae.uux desreo est: rodutinn uu(u000In,larailas B l'telorseo', di'penara ln,rillas ii 10701-eCu nias On lrelrr'Vsri d'i,,avd'utu an utelaltrada I' nsterlraan outrager la,al'ltld , dil de.monOe pirec arr,eeager It Palets Bnyol ou suad'y dtutarer 1er derrnieuls dola Cura Or, Csup-155, nir,n ana baron-arts, 'n .'opeiuulartor; t pro.pua rIs lors las silslslaras, en rie nier, enlignaanalogue.

lIIlP010',P DO Pnib DPI L'0x5,Tse. reaueee. - posai nua rnn',,,ir Ou rue ils

l'Ttar. mIr 000nbeui. u n'ois unira an'-, anaol' ers lia rtauor ri P.uo

1 uns' assai Olengaallr humOur ruilles lei te ddsrlrorn aonilnin-reatil al un 0111 faut, ddno,-nralr. peusee del'airaI Irdeiurroul.

,eP. ,daéu000ur. - Il 50 a'uetl, pour la airraint,qur la acedula p, te l'a repoussa eagaam,n etors,.' in ermrun Iueuo pour ulrjra Cnaaalineataaun rein dli t,ueaonnel l no ddpeeisas rat dli 50g-bu perla illoainbeu.

.00515 10 ,aistatei, 'if. aVIve anprao dx snu-trrieea ruslparu elle in ranvnuaurrraorua On riOaces: an'tausln, rsisrgs, ai eue Is elsuarins h-umraièsa rlu.plrrurda.

r!, gicle, - Osa, ars ers dsau jouIra. ta Gbaaaia.bas crea appntalr à Cannaise la budget sIre 40e,lilas do Inc lIa CElas; ura, sera, elars ioda letaupe 00 diao,ater; rais aopnru-dlrrr t' ans nonse-triades que le, ddpar,ae,sarr de rrédtt dortraau O'rOs ptslgrei n'eut d'asie, riens pas Ira-055015 de I'arolvamaie admirsislralaria da IBaral..Durlaaiudtaae cl prrloalellans arr aants'r etdm115; aIaF'arilintrrsarrt, O oarmbyt

li, Brearrdrrla, - C est aas rivues:nirl n-rut.b ptrerrs do d'vataes srrldanre, la saIs icte i,,esu,u'on n ageale dma t.'ensaa r,adtsl,eurabln, b as,.as sI laatsalalxt'aeoa, srsego, 5y raI reoiaxeu,

0f. glosa. - In etates xlii atlas pipuas, àIrIrniare neeaeilr. lus finIra do l'aoeisn rOsses dorouent

L"rEESuriTaOOi 100 P00501'bOots tac ubacriaa.aus alt Pose. nrçe.-ai'i ii

Meaise, 15 dtsainsras g,ranslr «'eu rIsse.Oses lu alta'rasatee des .'beprl"a, SI herst"

prerealn msrrn la bvassfartentlua 05 10000 BI-non en 1155.0, de Jnnuees Colins.

trottruer peoaaa demanda lmoim"sda'e'u drr'ruagés don nana', aira agengés pro' les tac,baadflote' dc,. actant d'inanétuia4 Fera nstudistees la ntrnrspra dn la ea&'airr

lin mIlSilsn du b Iasrriorliaa prabliqmtu sexaro011aoeIl- dsrurado unrr lan'eui'.

.50 balpat des tasva'es aaaliue. lu a,tuviuProrea prand t oesaveura la parsie ra raOpubautla gnasstaaa Ors lsorlalaeteas de Tsalaaiuo liauasds n 151. .Oiiqugsuisr dl titan bOuse in doperOu projet do doteras aelaslternaal anatié psi' 10srrslea aarspas,usr

La rarisdsfrs desSina qu'il laisels sac la dOnCOn peanot cl axiesil u, oarssqeaaser'.

Pats per 411 sons rustre 16, lu, medrIlOu aux-gdemeotOa'su anal adcpeds.

Pais on psuso b la duaouss,ur du prnluo Or leipreie.rl atiasetura da ,elditu aptdssa ta taxantclin ans ci Cri l'enr,eieo parmi,

A ls,asundld Or tua soin, In peatel ml sdapll,pIncolias 0E Co0sPErmP,'sEfrPIl,

Puis ii liliasuhea aapraad la duonlnuroe gm'x'i-raln Ou bridgel do, P T, P.

Le u'lnyeu tlanpèat-tIe,vl paeln dec ilote, dea-oerrai, panemamal peur t'araiaomant

Couptra Saucer. - Cactnlueu ds mn auBe, v,aualla lnyabiams repablir.aln; al roua n' sauts de ceahvl dr, aluna; 00,1 la paria musseS, à l',rbr-table,.

BI oimieelrae clan huIt ae localisant Ces sa-pa on suaI pas enuuealqaésn aria irnstressds xla'eea In prrsel gai las dors..

Parue ace demandas de osasaru, acta sonore laprassl qui, nord, autrui druaae sna arIa,

C'en1 rurena et teajauex 10 peOdel qui auge 05eles damlsdea aeltatin'ea auu drna.iastlaar,

1,0 perles1 na puaraet aIrs partant à la 10_n,bon rer000l t gal laareorrennloaar t

Qui 'n mnrreeigamfl sur le 1070115mo d'as pas-aine t Ce mea aa bcuahar, san ddemohlear, s'i,a'pante ipit

boita. Sans bllmaris 1m 051005, d'os pi allaséoieiiOat la pceannaal narrai rimer pruleasa ars.no' culai l"darraex dols pnlltuaa anas les allaI.aria gui 150 auua daeaedilece.

L'rrarrnr perlouSe circule 0,-arec la aironiarrequ' ute,Olu sas ngral,s al xuar lignaIs d'Onarstara les jalrxnan ptlinqaos au menues.

I.e alun palugas sacs à gus peur la fuçadaan rialsea. la-s luuraaan pestsn'sosnals se tau'vaai 5h s', s'ixér dons l'ianeemlieraes.

Cauuariee dan pousse, auurraeia, n dtià ers5mai00 de ruile rirniulro.

lias artotes llu'aa lei aiprcdrs as 5051 rapua.donS pas sIrlosto; na néants use des appot, CI humaI 0 BuS aeur,e si 15 pont persararel des9outox o'e plus lx 14511 do peseta en d euriar,

cOur rat non., us mcmx lot dan a'applgnaruus ldaxhuasaioas Ion plan iaasOe,

Lun radias,ri, daon tsar peegramanr, prrleatd'euahaeso, da seoisdlsalins Ors seeuree, rra,a dlan raieiees, applules da 101er dsao nacra rotmspt'ua, perOrat Irons dulin ra 1.0cm-pornO,, pan-sna.staS gu',a notairaIrnou r

Jurptre gu-lo tau, ru mars ruetunira oie seelmrnlolra ri qu'Il s'affnaeirn O'ueeordnr plus deternit 5 noue qu'il rnrplets.

La sultanat ro"suyda B daranbe usaS, telscOcues oIt laaei u r h, Ir.

Moir llax ?

utnisnroe le marst ,nqaietu de lu uie,di'tstuaa Ur.epmao, M, Qa'llusu ou aunait rurrotaru 'lx, 0e, hocco,

l,'cuOeetra, no 00 001, verusO ruts usinai'.Gels or uummtrruil,

Solda des e000nu qu'rn t'vabuota les priasloauhnxsOivr,, qu'us lare inOvrd't de puuere,d'ennirsn disstbe sa, Otautux lrlu,eeui, tutu -u-err',,uiaora. gnon dito' ra. qutau eisopir louaroua qui se ,narularra pas ru doigi al n l'n'l,roua qsi u'oOe'lbanl a d'auaeen pacas pue a pain'naieni, quI adaeeant à d'nrtnos snaurte ars larnam°V vlssercand,

glvanlnn'd quaa 0m hosto tnaitiruoouereOr In PI, P., an dom nxaon, On don grur. 'au 0earIa uni touetiael 71,000 haro - en pbne asmat dons la luêtSc uae quo roi aerde,

Il un'liçua, 1 runauro srr aosiheu rl eoprmOsant les mnprsesinos tnoanss du prooidaat nIu'.00sOml, 1 dnunundO l'a Olso-5000 Ions gnnvrr-als

Isir S Cuaellu OnirInrel E,uhoas'as Ira,.oom;,I

1m jsnrnaua rersliaaueieto ummahare,aOdaOOst us potet du mt,aalaat quI ,a 1011 gb,ieoOr sa prises, qua ha-bar aua asag,-eeun'aa marc.

anea laI eppuqoor la casaran ' d,nit rota.mue Sapas ra Scias ra eudusnrr',s 140e

Qu'an puesou'oo. Clnslinini, tri que ,nlredbr 5,10pnsOoas d'asn,a rnrop:snn pel,Ogss

puas parera-bu, OmIlianlu, Chnruma do max.ve,rremusrt unI gensuere,' f Ta eson-ini s.gnaeflsi?

Qrop Sialiste auParIeit110,5105 da Inc MOratepeo loIr

Pxliaèl,i,i , tlrtlnil,Pebaur , u-l'usai Ilasus,, itubrial, billon'

blini 5701.1100, banian, Boss,aa, F'd'y, riuurp.itu.MolaI, Chauaauli tisas Onaria, bàaaqnu,tr, Bnuiaus, ilreaoaie,e, linbsal toluaeo, Jaitir,. Lagrn.a'ltlbri, Lauah,, Loce,ute, Imhusia, .Sluusa, Muagea,Mseilua, al,,Oea', Nursuua, Niralna, L0eadrr tue-hr;,l'ililan l'ninnl, PsOOn.tauganr, Qubnal, Qn:,i:u,B' igu'os, Ouur'Cnsoarau, Oen'iat, aixro'qienn,Vaiibsat, Vsbee, SouPa, Wil an,

loriqnsr sna;,tait à le Or, o' les résaioe,Ilubuoc;bl, L'at,mlllxat, ,Oauxni'l, ilnn'rot,' Pu

1mo or la eiOiyoaau basanai audslaus 'nie claire00 ra jour.LA 007000010 ul'ON'O11tl CGLIIP

le Qooa1,o déni le O'uoo'eir une soasiapliax «I'La nr, ,nae b'u pers le paissent os l'smeeliailligla ii Cily, loappO pal bsernaurs, La eori(ia0e nun'ma uneu,ra us uadu in hua Os iulirinat,taè ChIp ml as O,i,rpr n es

L'P101fel,IIDICTiOIO Di CIIJOIlIlLeurbe lsOoen,a le C,roap, 'On 'il rs Oili1nue

en pante, Oau,Iaun u la siu'epyhemtiro no l'ioi,nr'O nt,n,r ds',ummue no ''isiars aaadsuséa prouBios 0e grOin,

Lui l,nollprl 1500 CIOIilMIIm'IYCBPu plia une Os l's,used 000 pim ta neaape 11e

ehrotiva Or 0x0 è la matas Os utosps auu,ahairpeux li aé,uiigeatdmu du rt_u,ïuale, le groupedédda Onmuanror na dinahuit,n ouaio'tira ria notulepe,tlauttatoioo Os, nhraB,m 10 arr on rhuma Foc'do pod'notee al difaomios Ires sua dsa pins maola,'aa,auenr dx lu Clausuce un panisl do aisa

L', B'liMhl,'flrp rIlesaurel iatiqae sa reardih,ssdss, lui on1 pi-

puants I n',unnaoa0aa pselsisastaira Os i'iCas,i'nitie aLunrmi es lui s'entsottoat h co mIS serslnosmbme,Oonleonye.

L00 CR0008 MeliitIu'OEePase les dilpallu Os la pseaiaes Iloaisa. Omaibai

tais pieu na ueanps de manateus srrassa pue epm,trasmsa iulernauuaau parie piors,ren sein,, Iraaa's, ils ganosoaemaaa taea;da n t'ag.a,a dos ra.polar 0e In pasmièta Eutaus.

LES BC,hia'D.lIiES PIl"rIClli'ipLasdtsp.asda Prs,saaaoar,Cmaktaau.En,ao'

tbetrp nnpastaal an asoapo as lua5's al erSe laui.aaaaauls'sseaclaseairsla Oseras uadigra quel selsIors'r di cas iOteraourior

La uoanpr diOOa qn '50 notre dia 55cr sern,,psr.sasa aesdrr,5i psaeàals as sna sen imogoa SSsal iraOts esnn eàseglrdasiaoSaosos.

fiA COITPEMTIOOIO FIrI,TCO.aLtENLtNpblWdIu dmuouds au Orsapa d 'masumose l'ail'-'

lads ipo'il deara pouadmoeci. anal Sanas 105500'aflsasaa,1,.

L'haeora,acnto us peraaadsia pie suas l5ag50disauadaa, In Craapu Mai05 la raa,n bas rdaeimaplaata lundi, à Il limai.,,

fiES fllpgSelltEcruen MiEtçrLtPtTSPurladsmnsda Oagsoabae ielireaas té,n1050s

as casait t'apmar-auti pci. «isa ,aaaaaamnelncnbIcabas dm Oliousgesmrs os-tvore

lia Massa cet lunes b nui la,Las aeeréac,meo n

ituasIur, Bsnenauu, ta,ns,e,ax, Os ta Peaae,B.una,us da 1 Dêeai,sBeO teit

Pnlri'daaa r iuerxnooPeénao,s , Veuimoos .pnarlrs, sristai, L rammc

soiees.dgaria, Olirarai, ,sat,dan finirons, irlaadst.F-tairo,, Lunebe, Baubars, Bures. Bascolir,

0.1,1 IlfTbm.IitlItltIiS M,t,P1TTIMICOLx ileu'iga n anrredu I'scpoiail Ou uaypsrt On'

atropaaa Mnoeel Esobar ma trai,saon et s aunes'et l'aramon Ose tuevaslttua,

Ce persilroron

llai I Arsiiix maries1gO l7,'OIBUCTILrSS 'MlliltuTalRltLLa

altarrbnusg, 1 décor.'La I'anl'r uraei'iuoo a ems'a dli u0ai00 'e .5

moeur, des rocaerleelaxr ra nr grIl roueras liseuia,',iras b penulua ria Ils roue gels', issu'laxIlu dxs leas voleta t b oerecul,

Polis la airera caserèro sa s'ernoeul pst do arsnouait'. xlix atiaini cnn unerucro loIs éCOuta50e p-epars blanc cppaaar 15 loves da na mati'ars la plus g,ncde tOi b,uetd xieformeaar.

A TOL'LOIa'tennlnr, 4 dneembms.

lia leolu Ou la dOrismxlmau durs l'sloelmnqoamaar la rapr,lra 'tes «darses cases le s)'t,dioainI 10 prrfl't msOBue, aaaln 51e mrmts C Mas trslnansnur lutins par le u;Iayoe Larmarqum, 5e'nrauaoi élu ,nueeraire gcakal do spsdioai, aoexaopineaia"nI na Bmeb,oio, ddmialoesséra, àaivaa no asa adno,i&ea à la naaexile,

l.s oirabus Laua"qao mes la nuisant bi eu eu.-,,aOr la dlnresun du t'am'Iallaai, de 00,000 gus araramsradas asaiaat doslgno pear aller rcpeésis-Ire ana uiesgmns dx, Gosntderl_aIs gesSulsa laIensa,l, à Brrlia. au ieaecaun ruditafeas

sa se mnuieas gais 91. tnulmasd a'aieaina pua

xe1,rs.7i0ricinstioa milsmeaoola',im s'mlmsraarstpas bsaloaaag 'ma apxdirnt qui, labo as naet,aOrdaai la'Or noIr, n fdi Oeesd,r gus al la masureilretdée nulle les 005'siane Is I'ansaaàl do l,r-rIens 4001 misa à oadcaOon, il ddeimiomdo la dec. ndan brae teoisa, pour le pore Or Teaioo al pie-nisraran dans colas .1115,01 10554% mmpllterarisealiudue.

ais unertimi titi jauisTuslo,, t dfreaibor,

U' bors.ia Or la Pldtraaue l,naiascls dre Tra-10,lbsoou dia puaIs de gnome ma des ésablisea-orne de 1m «cisOre, e,asni 11,50 rasta, a louai uudépemllas poam stflensxe Il salidsalea do raiesbat angaadaanlons des truvafllsure ds Is maclasds laiSsa,

1.0 brirrara aenunxo que ta pnnsroaesre Or sueaunnianlantluu 0,0 dapsulsla pour edpsrter àI l,tr Caaoltoabll.

1110 adresae 0505 adtor,sta sa ecura du lunepenrmshai enslrm las isxsiras prisas pue l'Os-bouIf.

b croies pari, la bynd'rnl dma ieaadliearr sipuni exonnito, ion l,ueiuua Or mrliaas na ecu,-srti,sss peur' aa ar,r si faal appel b 001mo sesada4rasrs poser us 00000iag gral sarcla lisu asoedi

A L'ETRANGERLP0 P0010900 DC nos'IALturin',

An.X a'rpTi-llhlIlLaa penpe'S du Potelivm,, quI ipinarani lis

plus un plus roerraorir ergtmse, sr,or 10 OslOdom' mur' de, 0,n'°'O5i pci o0rr,a-'uI tourie lIrecoa Eluts-L'uic.

Pour te p,rrsitct rue, 'os aeml.'i,susu rot 144

un mrtuhan dmrs las ldi,hbalueom.i, 'isos.'Cueli,enoine-IsrsaO 51 btariaeliaeusno, us net aueo ru0550 o,amnru dsoa rosir, or Oses 10mo ru liun''ierLmOncatnos 0500 CL'Iuh, 10 hrnersnto inpuonl'io'an:u al 15 vlixensipi. Il' est 05gO 0cgadh i'aonnP Or sniu à tuieogn, palu bios lu 1(05-sot, I 'it'uenlùro. 15 ln'nsarau-hl utqna, frsur l'a-mat de xrw.'h'ort. la nln1nrr dr mare arffra0eos cagmanr1 dr in p, tout,

Inri hEFOOPotI 5'.LhCTOtSI,Q Ltd AIiF5LETOIi5III00 puisa-t peurte aua le dOl,sOtoiinoni sac

gis n 0e 9f. ,OruOiOO uCnil, pinraaerre u,rs(a»alla sur Ira ann,vcnaleura, nrlrnprx ma cas-uelle luI Olirlounle, 0500910 us Ssvrue mx ce'paesnOtar In saisis ana OIsnisar oplalous pIPI'pars d'AsgIrlei're.Plain il taon d'rinautme Lu rorraaos tlsoirnals

nues polir bot On ili,a',turr 1ers nia rxs,eeenaol'ers, porc Is pIlle aeaad pr Dl Ors liloresos,0015 5eS, nunus esiniage pers l'sunnalmnirr,to 0001, iI er r'agm gos du auppc,mst la enlupinesl ni Cnro Im,u einyuila Oisr, Os soIrcolins du fIls q,m'ui,a toI dx tlsiduaasa ,tarl O -0cm ses Ciesunanrlpr000.

tu .boglslncr,, Il 1,5101 pelas lira tIn5 O'rblsarrla asaie'iO relssise.

IA POkITIQElm,'a BUCCII,OOIliel 1501 ul, L0'PINO

Pntta,Ou('oo,n-a.Il, Ceillino n ers5 a ,luaed'hui MM. Toilposs,

palLot du NrsO, et nnnleomcnl, peaoal ulsa bau.nhSlde'llPBao,

Ou Sali pro 10e uoms Or os dais ruaer'seu,ar,as, lai une ado an u sot puos la turraraimn liomi.nielle dc M. Lteo.

.tumsi aes sltlss sisi.nllns trIe ,rooenldas,

L'.tIPietIItI' IIOS7IdETTIIPaeia,4daaa,il,,s.

Lu uou,nlis,iao dheqsSla su, l'alaIn Runhasla,qui mauu,o,llnir dnpusru lnogtmtap,, linO Iuu,r-aria, sap.inl'hai, par ai,i padeidrai, Il, land,,t 108cr O'atanniner s'l au nousenais 05 0e 00.,aunuee la Imarannos du oagpmmu Ou IL Oc Pelle.n,lmo ai tri dlltee 'ta la ssssiae.

M, Lirlahao'u, dépota 0e Msinu.ol 'Loto, onl drupselur non raine oia:aitr, s niemssrli. an on,isua domu i-lb Os senti, la «iolO du 04h50 sa o&mu Os

s nsr'OO è a-e 0CC,.

LALU1TEliA 0111E VO DES CI1AOIFFODRO D'AUTO

Pne' 1 deermbola drr:u dol Iaub-nuie'.'' il, te 50x0 lu-

ni °nve. Lo urrnbeu lie "mu :tuiaea gnd'-suIes rune lu mètss, glu5 'u Paria sumo bam-

Bou-n résxirun scat daraaier uhogrxe jeanIn mntio h Lqvsllaml, 'nprirs-aaidi 's lu Ruer.nu do truveil, Las ahatoffesr, y sasistrutuonuinmruamts_sst tas un ami esur taS des rai.bullais do lrrnr action par Is anurdlaien duCyud inca.

Doc sitsaicou o paon ehaiaod dame Ims uld-pBls. Ca mollo, la mmutisliu,a'o eassaaesaqniepar la pr0teeiuro dc pelles iudlqane ga'tt 9 nraSeZ vomtmrs star 7MB "0 t.urrs grlu rcmlum-mtssl loa vmgé-dnsis ddp0bu do Ponts. Il y eOane en trx,a coches de moisa qrs'iliea.

LE REPOS HL500MaLDA!REiialot.Olihirl I déurarbar,

Lluuaolnielr Or ta e'runenarrptlex jslinmui_05 Os Osinr-lul:uni' u est niteid., par titvoi'nraarce lia, d'uppleguxu In bol du repos buta-domadarer ri Or nu pille pnoeedoc la moaaouvenin, lmrsninn. ni uoim,ss arien, cl dimurehe,b ponhe do 1er lusura,

SYfgDlCATS ET SYNDIQUESParA, I Ouecmbrr.

La d'raelmon nu tea.,ail sa pablr: l'caaasaeadns aludaoana pru005alasosls liattassebels, rom.memneam, abriootmi qui donner ta slasiasrgss doxc, ssmotsdam au 15e tamisa 1111.

cr050 date, ni nrlasall ±0,011 n7adimaex lisnesabea O,stsI dab ayldiquls Ferres, et ouscaosa1mu dx '2,Se6,$t, se repimmouart da la Saurs su,.alOse

uaudiquOa panroxs, 003.7001 apaulqant ra-re,,.uu, t,alo,aueu nhndrgass aass,s, iOulAS: rias-0,5,10, age,aalm, rO'1,o51.

La tIFF LIT I1IIDSD-pEEO,ttl

a Si1ut s1gaï.laprèr In refot per le Nlemilimaa do l'ultime.

10m rua,c, udiégnnpbir-t'os dc Plteeshnomg,les teoupu's cr5555 ast graillé DariIt aE mmlregs l'ardro do s aeaexer jmmrqa'à lt'Oasusse,

Esus'isO eus son u°lie penaud qui se trois-50 pnéaiulinaont n mi,uihnhalas do Roula thtrme. ra 0500 dv, basSe ooetogaoa, da '10-beeao. 0101 stpamnal c-aIx dtr'siumt ville du' la51e,- Caiariimno. Lrr PIston pourrarosrt çoeruile mneldrm ia moita sac In oiplalo qui ueipureba, blsaa arroI rus.i'a 1. latta?

T0'miq, les ei&pdehes Onealniln1 gus Ils Pur.rar, eOer,Oraruni eOmlbil non un ocr I ulsimu.lus,s do lu rinm-in, CCII l'nppsa,heo ail paysgain ubligé Ir saisiatère, désaliu,iurlssira au-joard'ham. 'o nIp pulaa pouvorber.Le pooape

to'irar roua lori porinut as'au pour isbn d'ue:dna e SInO na Lsbermd

lis Ruelle urtnsprenuiaa pnmt-tt"e lux louissa fxrax ara parvIendra pal aibéou'uO à bru-car la miaintanro tèneupreét p111 b'atlnnd "Iaile mulxoipracd 15 eoeqriBiu 0110 paye gaisnu5 oestre libae.

L'S'ITIILèTL°,l 01080Proie, O 545smboa

Las iaeiausairn caos Is Ruanais ar,etls 000aaupxa'd,ln. Ou ermmaulc bauairuap les it'dgssua,umdu rainillte On Pooru C Plat, menroillas. au gos'rei'aa,erm d'eOnpaer tlbu artecOl e000ilianto mara qsi turuanus Is ieoaia n taselbonsuiem dienu.gara au PmSr.

i.e oslelsa,s ssggies ma, xabanso de la Boxaloc 1m pei,saanrn roisoas aIr de elnouumoan,sue élis pour i,arao, Is rulionulita dus forehea.ssiaes qtd pusa'raa aies ongargts doua as 0051é 'tan na de deum aan

Ce prnira'amae pluelI gdcénalumrnn a.aeipinble,mao le au.. di Pnolamsai tenliaar uns uégoeiudaae amas duruutaa h Iphiaso. as5egs cpecarua,dasr las milaa,in OuplOnomruilmmnrs, qas 0e uanarrnasaul posson p-oslo lia puamase ra lit, veomosola1.Paos,prasusesqoes-srnist1saaFaaoa rajeter les bases dIa amaou.

La mardIs en avant des RusseTéllesa, 4 adtanitee,

.5, Kase,a isa Snunpoa eusnas 05 Osleasui la allieu bail, al mnupé 10 toscan Osa luleurapàoe.

531cr s14asaua maima si la gaa,.m émana ,tdolaola,Troau cIlle Raaams ssoamoui aaaisan à Itea50 ni

lu 55 uuràt,Vbsm.miaq ensegeos sans auei,ir à Plii,au,pc's- anus sono n Essras.

LES SIa41éIEESTÂTIUNS EN PERSETidhdeax. 4 ddcanxbre,

Las erauigeuubioas mueruphiabe, se siolli-piurni, lis pnnln'Srai. et s rlsa'pl rl'rleaar.xlla gusers 5meir orntrs s Relaie. Ors peu-ilsosutioos dantrubriéao dors Ico rans jirè-rhmnsh l'uarossaast du riabsietea dx Dusair. I.eàaymeltagu des murrlsasdiae, russes prendda0rssandmupa'uParbnsa.

es fossue dol'assise shab I avmarqoe OsSa loua :0ap Les dterfasate xIx maa,gestd dm'xup Ion

llgntions Otveosgbeos. lis sel tu race proleslo.ban vs grasaçaas esotro la Rassir, fin ardu' tda pxluat muraIt IiI arnasalal. Ou nialmand "u

ànr quI la PtussaS snl.iâe us domase ultamn-Itim aussI d beau er TOrdrais,

liardes est afalaeai, dasa In oapilmle, arqui 0es as'gaai3O son polio

L'ipuPS8lON EN 1051111ElltoastnsliBrple. 4 O'etuoloee,

La s luuliou dx In Pcr'cea,i,u Or pcuadneiagniélnotn taon 1cr srII,ruus olfariela, LaPolie u liBeidé do ervf,rco"o 'rr.gacd-'e 001.Inicua des e,luss na rtsr000s en Peton. Coudli mOms nue le songo b luira ur'auren nupuema lu 0m rou'ps d'orme:, Tn'.otteoir, insnaiui psa 'vIn noua, e,, poulvo In Ruumist cd, nuire i'anvrrlurn 000 dc,'uuubo.

L'OPSIeCTEltliil VA..T-ELLE INTEB1OEIIIR Il,nrftrc°, 1 mlèrumu 'e.

Ou lliiilprnpt:u do Te'lrOonn go on dalsnhe_rend du Inuamena 100 aras.'se r'ndont ii Ichus I été nttuq,mx pur dss bridnulo. L'a nI.

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mo,tsnls 0es i,iaia,mnli 05 Perce nI niutlot saI'iuuuobon b lan,usLs eau uiadxumado l'ut 'urgesan enlie ebe,oIauoau 7,50 As, l'oaa b'eae,te utcrtl.r'r,,tns es pls14orC qu, I',tie'magae levure pas-

luas les pairea Oa5000s nul co On pseaae oamoxlaeLu Pone, ni' irut l'.O,, si nihtusiaala 0, 10 pouSip 10 lerssipoonni ,ux, vu ,ulu,o trou 'la lé. 'ruqus 1',tl nuopso mesauus e l'Anglndcs.x des rom'pmin',lirue pour si b'usalé ,I'a,i'nn ra Parer. Lugoaror On l',Ilrrcar:,r di NctO 151 ,l'arie',:'pe'OltlO ipr lI'eanpsuisu pto Ion lisiva,Is Ire'tsinsO la 0es de lu l'osa, Clins donoC les nrsa'hIes 'utOsimooe qsi as 5001 mcm'uuoimnlae,p.s0005 paa néali,elOe. Xxus 000 usn inunorulo, alco.Os'Iisàa, euas'lieeo aunlunoru um l'srOoa Cliiunin 05 00 roesaed Oraa la paya, gusul aa 00e'mus Tevolilnil, u o dii pe000sdd 0e là raout'

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Ioamua'ne, qui a'asl dioinneoesnla On l'ue, lut, suissujorcoOmd, as snralstnies Itsrn000, lai IsOaelm paotngve le Ponms

La Sluinlnmog mou t,'nn romnoolesiion O'aatBllgn..nus ieleesal an baonni do colle s-rc'.a'0110 p00 lx 00 510 pouaoa Ou cmnnrssoisuple. Lesbiguclaitia do Idlugnatrue an plaigoctit eusuita 05l'u'Iin,Slue autan, al diteot tau l'ou uxoeee

do Idou nrapuun dia, la porno sup.susin'nnabo 010 pays. I, ineiretanu mercI Is se-lenu ssbba au doua inrsn,otOosul et à la digoimdlonaium, Ils Oaeuluxvs sa O,eïrast lan, 1er némsn.coula Or In digoiri h,s,aivs, On 0,010 don guoectOn s jull'ta, ,1euOn 'pu unI 151e enlieraI la,v'naeàro yrrir pueanl'ot,

LE 11IIIAMIIADE ITALIEN

Earolloh co îrIitallin TipoHtatnra

Il aol Oioario 10 1tn nue ,a's'nu naselocrue la miloanuu es Toipd O'dnm. Les Z000r prsi'mosOrcI duos bans OOpl'hno uvale enosu,ali 000

r'uaIOiOs ton,essatlu 1m I'uliums a,burmeul nomlna,pausni loess u,lvoutcieai,

ON COM0f,IT li O0PÇ.l. -. ou ir,truen'ip,SUBAIIO'ÇT III TyPe

Pari '1 Oérsnabra,tm'ssnbcasaun si'msasa lets Is rouoonivaiiao

« Cders Parba, eoe,mssmsaat 0e Tubs ulI nu.anexc use, amassaI as auppurs O 'BIsas dry, asdaIs 0e Ii aureaihle, as Dsans, lue t'otxra alla'uexm 000 lIa s'lnqoiss par en 011aCuueaeul ils'1150 masqnrol a''ca r'steiloa ,tSnd.umsa.-Im. d'usabetlenia Os uautegsa ml 0550 Inesleims Os 1x1.isollleo,as,

- Ses Irsiams saS Cté sepoacaon «o aimais 210bu, 00 le patIO rnnbrs de blasséa, amli tasboauamrp Ossues lb d'oasis niutaben s

A BBIC(t51i5,11

Pater, I dlmoabse l,caare ataitousmi.11e, sosnnl'aa eo.,exs lacsoipitiss seul aerivlus

Mas mie, h Boum, s'a eurO d'an ciuteaf rOsmbsaqui s eu IisS Ilira malir t 11euglrsei. si Sur autsuaagameel Iota aialnus aoni à Doras.

Il paxall qua oau Onia balaiDas ssst las 5x5-,éqsassar d, 1. ddaialuo pa'.es par l'Osas ta psos'are t'aotoo seitlaue eim,asasesu,cl ru lIopmIl'salua sI es Cpeéasrr1aa

Coa aesnnbiaa rOsi eoansrxlss lgabavest pso 0mtOi.Igouasmoo neausis sa IOulas.

Les Teru as lu uàa'sbcs aol onaxepauls anan0,. poelm iepurlaanao,

Dl nia ;saum, r, oumpto, pour las danu Ira'liste una nuslalne du urne, 01 blaunis,

Pas ddluilo potos mauquoms vite ses nos tapai'

LEI OPCTau'uTllSil MARITObPBISDeas la moo Enruga

TernIra, 4 décembre.La cuoleuun u Veilnr Plxomai r usl repari au.

,lx000'hm crural à bord In dur itas .¼beueomsaura ta llotilio dos dealcnysm's mn lar Ilboses,

Doua cruiueues vnt,l Sunu clé de laflotte POlI" Orme es000ls Osas In oru Itongonhi'aeorea ilalinane os probalobemaat s 0-Isuidro,

Iota EESIATS.NCE OTTOMANE'rlonstostmsiaple, A dduualbre.

Os enaume quo la peasarascasul Illussuscri plus idiulpul lue Jomals du I idxs do si.guoier avnn t'Insile, Tans rOuage kolaPe pur IraIe000rsrlionqurs 05 Trtpobslabnr se c,otleelparue soma u la naane.m 00m gouvmnirraaocl_

BoulIn pnrl. tointru 15e pellouimiixsn saolpalsub pose 0011m Ous.etnnlinopin à I'nbnld'an cr011 do train. Lx déteoif, des Darainnel-les unI psurvu 05 flulues at lan e000tlmO quola Iluhe mlahrauu no soumit se scnuasrex, .5,otiln:elor, 1,100 brinsanu onsuneul ta dllesruet xernaeout prcnepsrnost cmnloreéa 0x000 debooms. i,ss Tnnen a'oyass pas are ioariaeraarcbunno mmdournst mu l'sution m5'aSlsrOblndon rmursemoa'u duxo In 'Oléditerrausbn,

Duos ces noadatisno, ml 0,1 oenbalaln gan10109 dx ounrrr ep ppolorgarj raOrt i00gIsopu que lea loalioes o'nsmnrat Iras briré auAle,qrus la rtxistanru dru nigelires ou drs

La RviMuePOP P11501. lllC011dit000n ,snyiEaEuuP IO,aiuitIN

ilaoàme, O 000r'mnss,La n" n lanlse-, de,,o I rsoe:000 dns muer dl

Os-boa, a 010 i,eaiur 55es la pCxmlsstoa do, nia.rualm, Es dahnrs do net acre, l'ireupabat dcNain,, par Is, r0nalubnasa,sss e ale s7vidma.iiqlia.

PIliaa. II drermbrr.O.' uOipanouarnr dola Moxgslieo dlii pmolbSnoda,

LE OENERAL CISANIPAtio. A li,inohne.

Lob-si, celui nun 10 grcdral Cbanp, ana,.orsutlutil dru mmp(nioliulre u Ynnàiug, montant_100.

0011 ,0mPSAIPESPSARQCAI001

Ale CIrerssI,s'e FrnasçoluaLu. Ola-TInir lu,uroT nr In0 auot'pon

b,tubuinatxParis, a d'eenliea,

as cuuelss radmrn,o s dl0tnal lors, nnasrnvLa,'vn Onunel, nolise,i et alr,avesi, polir a-o ne.prlsrntvr , li relmau 0mo d10OguOs OC Ions legeuopss dc la Cl000lbrs, alto alssun Ou a'chercher I-v umennue ds IlIums-n In Mass sue luSu'sul,i fmsnun.nlio'rrand à la dtmumlun cselousavrdo on ieuuld,

Ler pnaprouatovo u'nol dluigre gos 110mo dm1'.Oidn à lu rus Sure ds l"nom 15151, i4orerd, lulaen,thr Cl L.e,uaer, ri elsimo les uemaobees Onpoix'' unul rui Ots000n sur la glmsss Or na'-il,u,it, iIi n'uul 000iuli ,omsnno uxturs irs000 àlotes rupneronannu.

1,0 grrlux csdleol snr,ai'emm a liasigou ont 11e.biar, OmbInuc. Onuluommux, aoaard "u noies Olmonpnue In nepenirnier ii la rrndos de, doe0ouuduo gtsuiu,,

te pou ,po boa, pruonuro I nvoui,e,ie uro.ars la nia bon l,nrien ieabur'

tua la piopovrinl do l, 11mb Ire. Il a 010 dcci.do egaloaent 05 dmnrea u usiat I ses diilatoasdu penymure la dis'nuinun dos ieluqtertntivas quiv'u,m5UIPa5'0r5tt0nnO Otconi 01 l'nuutnru 5500

IlsrliurCLu,s1n'lltis CollaIsPal e, 4 ddconlipr.

us, Peuqu Cauuio oient de d'prau' morale bu-e un ux lu i'hsubea 0cv 000mildu d'trmnrprllu-nus soin lu pu' '1 'mime Ou In prsm,l au vluuOs

1170 lldel'101i Dli Ite tlPtliTd1Ploie. a dCouI,brr,

lis nauiru 51100010 s Itou dipssOe anlnu,sl'lrircnn le hueeau Ode, Cllunhrv

leu Ousri.etus 0x1 ivesunue lie 000sodeel'amnOerro0aI Ou 0(1151 50i' I'nrrumu O'meen alla-iunur es s,Or ton ,ule-pomlsnrna ianus'eu mourrc'lub 10 g000ureouomO cIra es nrmuce Os drauen tla Clslasaoro Osa ladluattael ara'slisW 6m' l'ctas

m'es engoulai iOOe Plia Ctupceur''''nos prtvsasnrn Sto,aaiuuars 0e lIais t tOssa

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Les Rela,Iians FrancsPOlila' allaiuo .5507 L',5NOLC.rueqtt

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170 probat colla dli 011Iioes daan xc huaMM, ameegos Lunla II llaiffI'iy, un,- In cirasuas I la Penny, daim ours d'mnlnunux oses.et rue las eainis,s nom llSpmgeo Poseraira,o sono le 0511mo. 51m.

L'nsn du l'Andio sers n'oal pas asns,0à Pluie u il 5e sauromI tarder; ° 5Ppnqor 's pmmnu:po O. 15 mmpensatni,

roml.ovdrru, maie II y a rus ere,srnunrs sur lselle 00011m 05e nlmIensuliusa, na,

Lx bteil d'al nne.tmlnls mnduoloieq frae,erpagnul poemli 50 onbllemur,11 011 duolaor. quo s gueserseasas

6ulo0isquA5dua5e,qunoonnaen'oaa

Osueiiva,,5, au quaI d'Oroay mi.., dia, jdr uara rsiidnos I MIurlO, nia erqmu de taalisgoniaruon' le e,'m"lrn dOlaI pausa 'elaSeIanPse1 do ruo'aleae np'onxI Prolo la

Drao dc a

Pues, 4OnsodanunOo li Oousot, l'eurent

urlma upo lt'suu Os Oh1.iuCaI.en.Baia s'colts 11e nmemno lia la haIllon.Ou rosi, na iusllnlo0u, dons ta oiqsula o.analuoaO è lolo do Buauei, 01501 d'Oece sapeI'euluisabfomn U Oli,iseu na uuumoe Juequu nue, ae14amto rio ieoutantbuaptx aostedrsO, sa-r 1 veuf hO, nur, a Pasisjaobbson

0e OlmIar, asa es OO'om dapsoe du gas' sas.rauconlun .10 u'entoea aI 005 'agure asComma il s 'uslit eux In 550mo pap.or n°daum,macplsqsaqnnnl ltnn,ua robs0105

te105e11 anoneai es Opine, PlaFo, O b.ur

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Il ose «epondoan saiSir liaI 5 fe&motm Fur,oontmn 00 00 IsollO minsu umtra Issgsa, al tas es.flan go 'il far 01m porearo Ira sasout eitouaa60 amI pns oo,ieuasis de neesOe,

0m albtluto psraisssat b Sono Ogaela Il,' graameute, ,i na mea mu, Ooinn toansféol o, nto,5mailss,s rosa la Oispeutsisa uni55, O'ïiaboss

flanquaIs se pusesail d'autun p655 C Lana alroarse010e goma cannar, q'u: se lsms.s'I appela.exIl O00éssrss ssuo, c'snal lors, amies ds taOnanidlos dtuldxauts,

ta Mariée n'étaR pas làEsrgaesn,odinglbs,

Rlra ulrnlsramd, un enrage duom' S'a, ,ueniàistsauoia000ni,se,le

usuue. la mmci es s,, sla isa na 'sroo 005e,Ol.'levonS l'u5loire Oel'Otci ,l11t, depeba sexbauoau,d'm 'i mouds parelart axe huese, ra a cala speaqra'ello xoaenea,r 5 mrarnmmes e,eoon

Datu nonnas mu,, acprnar, la f ih.r épeas amisine celAI OvO ooa 000o'os.

IJU VPOQEU 15e 111 Femmeiiuo'.00, t odmab,a

Un rxsrIbl, da500u 00 Fslturlame xlrsr Os lLu emuasmesasen dma I, qutOler aarlim Os 005'ban

Josuph'Praaçnia Ioeams,e, 5,rIIa au,, x'aaeftossh la ae,spnpris 0m es° mIesO omrti hima acta tairas d 'meoolae, 00,001 close h nooaeau Osa' taaalrdsu sa uoer,o tsssuuu s'y apprat su sas letss'oagugma ueuoe 15, deux Ipesa.

LoaoI,eo, iuolerrs 5,remrsr l'asçanse5 ssetcxsaleaao I'esuoleo, eu,ais us 0110-d ru Lu, flan braitC ermapu de feuror la euaoniro, vols loe,gr5,iaaésl,lu Conul la aapoaau, II alarme 5110 d'as pOiSeéerls,r Os peuàs. Lu ua('asaoasoe masrsCeIst'

u,meea,,, La mml fluo moulmuusdrl,emcos, iégnsmé, al'i pniaso.r les os'nra 50 0

15mo nr,uius amas ri olnarv, L panisuu qua iieaap est psntl lrlvpborlernli

SoiLiagJnaire ASsasSinéeLunul. I sénestre,

Vu o°eo, poli reo,neoà500 001151es da l'Oro gIn dfruen'rI 11es il OOn000, La t rsours es 0efesses lu 14 sna. lstem t'uuss Billot, La nuain'causa sole aacaigln dan In sou Ou 00 uexae.

La.e soastas 00 ta risticil, qai analoatana abneus,'. es noaaal aaat O'siiard psa aliatod"ocpocsacrs, penasea gre Is .vusak'o m'.ara ISP50000 pesas qealqula joues sbiaa no Ils. isi 55'510e la nebxo, dia. Ii Celvamlsa Psepsm, oa555'eaet qua MoIra Bides s'aIt pdl pesaasna la et'gena ana trIos, las sa'olna, mqinolr, illnmrtsSsOddans idal I'mnmaubIe. lia p55150 0,10,5 a ait e'rooaslu Osse ses lis, le Iguas oucrpltsacass4rcrae par 'ta càals nOnnes,

Tuas las iilroics 0m mmsts'au sxolAn COI taaBIOsml,, son oc «0,00,1, 1 'erramb scsi' rosai dis 'tin'sic, ohseba--s es dosA dan nssecse à l'airais °hubilaale do be5rg,

L'nalopaio On lu eislmo «SI im1irso,bln1.s parqsdl, qni oral c-lama rapide erqet'

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Mgirlrière de sot Marisou s m O°'55'°"

l'on 00mo,, 'O ptlnnnId h'rr epaix-nnil' 't5',oerm'esairm de Dallas 00 lu nogoOr O

Jn iimns do 5115e mre miel I l'bI 0t55pc's 10 Irais p550' Saougep-run.000e no l'al tOf

ou lanle n la rions mc onnutlncelias 000lieelmnes iII utslx lemme Ot.ainnl n05

IaisI rsa nuu ois', Perenl, d'os 10OP

Pue'., a ronrmhe"LI lnr,ms Pasrsl pu' s',sl uanellubr prise'

niner, lis», ou n'uennuanl rua Ooogla aoaaesls'remi eienlo 0e 05 eut,

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sua oxo', silo aCtais 000lise Im SmniquYOnW'0'uhcOons' tué ni taie.

Crue Iuute ber" ci . I °'O du Mail, à enuipaf'Cli. s' uoumiir 'ilila P00551 cl doIt ungla sa

005ssyasnIl db saur narem,s or dOUid

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Cxl e leeeOee sut mxrnu amer sx,r u le tasdon sulloc d-r ObOe'Oorrs qomu ml anal filI"

Lu pxrmiése a,ilinoe, M. Paurd, sIul sgl0na sue,

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rEclutrTos DU 6 DE1Oani9611.11 1911 18

La Mèche d'OrPar Pierre SALES

S'il était arrivé une demi-heure plus tôt,41 aurait trouvé le chef de la Sûreté met-tant sa soeur en état d'arrestation. Toutesses pensées se tournaient maintenant versThérèse, II se représentait le bonheurqu'elle devait éprouver auprès de Serge.

Chère sur I murmura-t-il. Commeelle mérite d'être heureuse !

Il remontait bien vite la rue de Flome,mécontent de s'être attardé, et tout Monnede rencontrer une foule de gens, dans cequartier habituellement désert. Quand ilarriva au coiu de la rue des Dames, ilsentit qu'on lui prenait le bras, et la voixde Sa mire qui disait doucement.

Viens, Claude ! Eloignons-nous d'ici.Viens L.

Quoi ! rna mère ! Que se passe-t-ildonc ?

Un malheur épouvantable !There. !Mu sur I...

La veuve ne répondit pas ; elle entrut-osait Sen file, n balbutiant t

Tout a l'heure... Jo vals t, exp muer.-clonons I

Claude s'était mis à trembler. Il dit mercolère

Reproduction interdite aux journaux qui n'ontigne un traité 'atae MM. Gammen Léo, éditeuead Ports.

MM...6110Se

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FEUILLETON DU I DEOEMBRE 1911 73

LU ROI DC LA LUCPar Paul MA/IA.1.1N

Madame, protesta le due avec veva-Cité: les sentiments qui m'attachent à relic.enfant n'ont rien que d'avouable eu toutpoint, et si je vous disais...

parle à l'époux de Catherine deClèves, interrompit la douairière sévère-ment, et il ne me sied de rien apprendrede ce qu'il est de mon devoir de paraîtreignorer.

Elle ajouta après One pause' Je sais encore que TOUS are.cette Jacqueline 13uisson vous voyezque je suis suffisamment instruite .un logis proche la Bastille, h l'angle de larue Seitile-L'atherine, où VOL. l'allez voirtous les soirs... Or, ce sent Ces visites quieeepeueentent pour vous... Si vos enne-mis soupçennaient que vous leur faitesie jeu si beau L.. Un piège est sitôt ten-du le Un coup de dague est si tôt reçut...Un coup d'arqcirbcise est Si fie tirnl...

Bon I répliqua le Balafra, on nia pusraison du chef d'une famille comme la

nôtre ainsi qu'on roule un lièvre on plaineon Citron boule un lapin sous bois... J'aile bras solide et IL vie dure_ Demande. à

MM. les huguenots et à MM. les Alle-

mands !

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Ah 1 Pourquoi donc suis-jo sore PRCuir?

Cela vaut trien mieux !Quand tu eau.

Et elle marchait toujours vite, parlantd'une voix coupée par l'émotion

Je me disait bien que men instinctde mère me guiderait, mie je te trouve-rais avant que tu arriees à Io, massons.

Je t'en supplie, ma mère ; dis-moice qui est arrivé à Thérèse.

Plus loin- On pourrait nous enten-dre... Si un agent de police savait que tues mon fils, il earraterait...

Après avoir couru quelques minutes, ilsarrivèrent au boulevard Malesherbes.. IlsSoient sur le trottoir, qui borde le pareMonceau. Personne ne passait là ;

pouvaient parler sans crainte. La veuvetomba, épuisée, sur la muraille basse quisoutient la grille et elle pleura en baisantles mains de son fils

Sois courageux, Claude !

Parle ! Je eéeotiteLe commandant borain a été assas-

siné, ce Fuir, il l'heure même ,06 iSergerentrait de son bureau.

011 mon Dieu I fit Claude, en ,n/1..geant que c'elati l'heure où il avait été siheureux de voir la jeune fille qu'il aimait.Achève, ma mire. Ont l'a tué 1

On ne le sait pas, mon fils ! On nesait qu'une chose, c'eSt que Serge a étésurpris, tenant h la main l'arme du cri-me. Et en l'accuse !

Lui t c'est impossible 1... Oh ! com-me Thérèse doit souffrir t Mais où est-elle ?

On na'oeuse pas Serge seulement: On avu une femme qui sOrfait en courant do

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MANU I.2Rhumatismes

[testeurs

tr. 13. France, y I., Goutte-Sciatique

Voire père parlait comme vous...Comme vous, il n'avait peur de rien- Et,en jour, on me l'a rapporté frappé traî-treusement par derrière... '

El, levant la main vers le tableau quireprésentait l'assassinat de François deGuise par Poltrot de Maré :

-- Regardez, c isouvenez-vous ! pronon-ça Anne de Nemours.

Puis avec des larmes dans les yeux elda. la voix :

Henri, allez-vous me forcer ii pleu-rer sur le corps sanglant de mon fils Omri-me j'ai déjà pleuré sur celui de monmari ?

Cotte émotion, qui n'avait jamais trans-paru sur le visage de cette matrone stoï-que, troublait profondément le due.

.Madame ma mère. demanda-t-il, que

puis-je faire pour vous rassurer ?

Elle se recueillit un instantMon Dieu, reprit-elle, vous n'êtes

plus d'âge à être traité cousine un pageou comme un écoliers. Je nexigergi douepas que vous renonciez à des visites quiont si fort le don stie vous plaire... Seule-ment, faites-vous aecompagner. Oh ! jene dis pas par inc escortes. Mais parquelque bonne epée emmanchée dans unemain fidèle... Et, tenez, il me semble querit officier...

Le capitaine Pergamele me paraît nous Pire entièrement

dévoué....En effet, rai tout lieu de le croire....Eh bien, que ne Pemmenez-vous

dans vos courses nocturnes...,Lui ?Deux hommes valent mieux qu'un

deux ép,es valent mieux qu'une.

la reeisen,.Te,soeur est passeeseb, Menme borure.... Et.- 011 1 mon file, je n'aipas le courage d'achever.... C'est trop af-freux I

Elle se tut.; Claude restait immobile, lesyeux flues, Comme si la vie ce fût arrêtêeen lui, Ce ne fut qu'au bout d'un momentqu'il eut le courage de demander

Et._ on l'accuse, elle aussi ?Ils sont venus.... ils font ieterrogée...,

Il y a une coïncidence épouvanSable enEt ils ont pris mon enfant.

Ils l'ont arrêtée ?Il se leva brusquement !

Où vas-tu donc ? s'écria la mère matremblant.

Mais l'arracher de leurs mains, MaMère. Icor dire, leur prouver que c'est uneerreur monstrueuse ! Thérèse. ma surchérie, aceu.sée d'un crime L.. Maiac'estdevenir 'fou !... Mais, si j'avais été là, jel'aurais défendue 1

C'est pour velu qett Thérèse s'eut lais-sée armter sans résister à ces hommes,dit la veuve, en foreaçnle sçonç çfils b sera.ssenir auprès d'elle. Et puis, on Cucu-se, toi aussi....

Moi, ma mère ?Oui. 11 paraît mie M. Feurmon/ a re-

çu] ce matin un teetament en faveur de M.Morain, et que 4.n as dû le lire...

Non, je ne l'ai p. vu.Et tu l'aurais communiqué à Serge

ou b ta sur ... Ces gens imentent des in-famies:se Alors, quand ils ont eu pris mafele l'ai voulu défendre mon fila ! ils ont

acê des agents dans la maionn, pourt'arrêter Si tu rentrais.... J'ai déjoué leurTU. : j'ai réussi à sortir de che zrnoisans utero reconnue. Iii e faut pas qu'ils te

esse FE 01

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Thomas).il. La .Gter,

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Maladies

TISÂIIR W°3d'Est°InacGastralgiesfranco, F. Gastrites

prennent, toi ! One doviendraissie Snuië,pour luter contre cette jestice qui hrrêtedes ion ncmotn .

Il Y eut un long silence ; Clandé, touten plaisant, essayait de dominer sa çelér,pl son chagrin.

En effet murmura-tell il va falloirMeer délivrer ma sur el son fiancé.

Ti, ne crois pas plus à la euipabilitado Serge guet celle de Thérèse, sfestece

pu%lai,croire que mon emi, mon frère,est capable de commettre une mauvaiseaction ?... J'ignore ee qui s'est passé; maisjr suis prêt a jurer que Serge e=t inno-rent !

Et si tu savais les preuves qu'ils outréunies contre Thérè'o et contre lui !

Oontre Thérèse !... Ma sur est enprison! Ali! 'ru as raison, il vaut mieuxope je n'aie pas ela IM J'aurais tné leshommes qui ont osé l'errai°,

Jo t'en supplie, pas de violences I

Mon cher eisfant, je n'ai plue que toi... Sion t'arrêtait, je crois que je mourrais !

Il prit sa mère dons ses bras et l'em-brassa longuement.

Ecoute, dit-il. Tu as supporté, dansla rie, ma pauvre Mère, bien des épreuves.Il parait que ce n'est pas assez, et que Làdois souffrir encore; mata, s000iens-t0ique tu es la femme d'un soldat ! Tu sup-porteras cette dernière épreuve, noble-ment ci dignement, comme tu l'as tou-jours fait... Je te promets que maigri/mon rndignation, je consentirai a me ca-cher, b disparaître; el, si c'est possible,je viendrai te voir en .cret; cela te don-nera la force de résister à la douleur.

Quant à relie epouvantable accusation

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Vous avez grandement raisoti, fit le

duc rondement désormais, le capitainene me quittera pl. ....

Vues me le eromette. ?Sur l'honneur.Surtout quand vous isen chez Cette

Jacqueline Buisson ?Surtout lorsqlur l'irai chez Jacqueline

Buisson.Et, riant sous cape

Tatebleu t ajouta le Balafré, m'estavis que le brave garçon ne trouvera lia,avis que le brave garçon ne trouvera pasque viol une corvée.

Puis, saluantela douairièrePermetten que je me retire ; missi

bien, je suis attendu..., Allez, mon Ms, et que Dieu UPItte

garde onies vux et mes prières voussuivmnt.

Ensuite, interpellant les trois compa-gnons groupés au seuil de l'oratoire

Messieurs, conclut la noble dame,je vous confie le roi de Paris.

Elle s'adressait non moins à Saint-PaulPl. h Mayneville guet notre ami Pergumr.Mais son regard visait particulièrementce dertiier. Un regard qui commandait etsuppliait en même temps.

Le jeune homme comprit cette requêtesilencieuse et cette injonction muette. Ilfil hardiment un pas en avant.. Et, dansune envolée d'enthousiasme qui lui fit nu-huer ces lois dc l'étiquette, d'après les-quelles un subalterne peut prendreparole devant des personnes d'un rangprincier que sur une question ou une in-,.vit0000

.

II dans', s'écria-tel, no-us vous leramènerons Fin 4e France 1

;taux bluettes/Xe:, sadiques, gueuses

Four-ans.. dos Allitistèresde 25 guerre, de És Marine, des Colonies

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Ramenez-le seulement ; soupira An-ne de Nemours.

Puis, tandis que notre Lorrain fléchis-sait le genou pour effleurer pieusement deses lèvres ainsi qu'il l'avait déjà lait,trois jours auparavant, à tette mea'. pla-ce la main qu'elle lui présentait avecun mouvement royal

Ei revenez avec Mi, murmura-t-ellepour lui seul t. c'est la velouta de samère.

A ce le même heure, Chicot arrivait auLouvre. Il avait la mine soucieuSe.

La journée s'annonçait Magniflquo.L'aurore montait resplendissante dans uciel bleu transparent. Les clochers chan-taient matines. Les toits reluisaient derayone. Deti atomes d'or dansaient dans lalumière crue avec des vols de papillons.

Toutefois; quelque chose d'anormal etde menaçant Fondait au fond de ce cal-me à fleur de peau

On remarquait un mouvement inusitédans les rues étroites qui formaient Morsles trois quarts de la ville. De vaguesrumeurs s'élevaient des maisons à hal-eur., à pignons et colombages. Puis,ces maisons. s'ouvraient et déversaientbrusquement leur contenu au dehors I dosfera/nes irritées, des homme-sen armes etde smarinots attelas à la pique démesurée,à la rouillarde gigantesque ou au mons_trueux mousqueton de leurs pères.

Peu à peu les rassemblements men._/aient devant les postes occupés par tesSuisses.

j'examerferai demain file quoi olie repneesJe te prourrrl, 10 m r, mesevas Me promettre aussi de ne l'humilierdevant aucun des hommes de la justice !Sois fière devant nus t N'oublie pas quotu portes le nom de notre père !

E éprouvait le môme sentiment, quoThérèse avait ressenti, lorsqu'elle avaitvu sa J'aère mrpplier le chef de la Sûreté.

Tiens, dit-elle ponse que tuconsentirais se vivre Callhé; je pap apponté

franes, ce que nous avions, à la mai-son, Tu m'écriras demain, poste reatante,à mes initiales, pour me dire ois tu t'esMugie' .

Oui, je te le promets !Et je te jure que je me feras tuer

.plutat que de révéler ton secret. Adieu,mon fils t

Au moment où es s'embrassaient, ilsentendirent le bruit d'une voiture. Sergeregarda, machinalement, et, h la lueurd'un bec de gaz, aperçut M. Pourmont,qui reconduisait Angeline Verdier. Il murmura

Et moi qui ce soir, étais si heureux!Moi qui faisais de si beaux rêves !

Courage, mon enfantVs-l'Ion, ma mère ! Ton absence a

trop duré...Il força sa reircei s'éloigner; et, une

fois seul, il s'écria avec énergieMo, sur! Emprisonnée avec des co-

quines... avec des voleuses?... Tonnerre !

Je ne l'y laisserai pas longtemps I

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Et les racontaines d'aller leur trainOui, ma chère, ces chiens de Mon-

tagnards crient bien haut que ceux de nosmaris qui oseront sortir avec Pépée ou lepmoreqtua

busebils les p:nd,r_ont au bout d'Une

El ils nous ont commande de mettredes draps blancs à nos lits parce qu'ilsqu'ils comptent y coucher ce soir.

Il y en a un qui m'a tâté les pochescoma conseillant de Inc tenir plus plei-ne,.

Et se autre qui m'a demandé ai nousavions de polies filles.

Aue offices du maliti, les prêches in-cendiaires avaient recommencé.

A Saint-Gervais. un officier et des sol-dats avaient pénétré dans Pégase pour

u,rurêmi

terpolerti deuruoiérLineestre, accusé d'avoir

,Mais le peuple avait pris parti pour lecure et avaient chasse les soldats et lot-

neSiViepléatnéabdeattL. Louvre. /e bon Cril-lon était de fort méchante humeur.

Se Majesté dormait. Les ordres man-quaient. En s'y prenant de suite, i/ étail.encore f selle d'écraser la sédition danspied ; mais si on lui permettait do pren-dre de Inssort, pouvait-on soupçonner ohs'arrêterait son vol ?

Dans la chambre à coucher du monar-que, Du Raide, conformément mite ins-tructions reçues la veille. disposait sur unMeuble do toilette les différentes pièces del'armure de son maître.

Pendant que son écuyer vaquait à ces

40

leDGELINA VERDIER

Ln seer du cominaffulant Mora".SPImariée contre le gré de sa famille.

la vive opposition de ses parentsson frère Louis, elle avait vouluun petit 'avocat de Rayonne quo

saesnîr

desto dot séduisait, et qui l'emmon'asilet à Paris, prétendant qu'un homnisu';sa valeur ne pouvait pas s'enterrer envinee. Après la men de leurs parmild ér:'frère ot da cossèrent toutes relatiMet Angeline fut élevée à Paris,qu'elle mût une famille, car se.avait défendu qu'on no prononçai i O05devant el!e de nem des parents dome. Il les avait leujours &testqu'il y avait entr'eux une vieillede famille; et, après son mariage,concentré sur min la haine qu'iliserouvée jusque/à contre la vsciété euneral; il leur reprochait des chosesgimaires, il les accusait de dui avoir nos.mauvaise chance, il les rendait reee,'sables de me qu'il ne raussi.aitA Bayonne il plaidiat forl, peu; à Ilnaris;il ne plaida plus du tout.

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TIMM N°8 CONSTIPATIONTISANE

1i°7Maladies de h Peau

Or Fratco,1 I.f. Eczémas-Dartres

préparations, dilue III paraissait repliertranquillement dans son grand 111 11°pisserie d'or de soie à personnages trif'thologiques.

11 avait sur la figure le petit masqueenduit de pommade qui lui couvre/1seulement le front et les joues et Wei+tait û la moustache, et, sur la tëte,coiffe de nuit, de damas blanc.

Chicot qui était entré par la Petit'porte dont il M'an la clef s'en fut tudroit au Pt du royal pamssenx, et,nant sa115 faon celui-ci par les ules, le secouani, le houspillant :

Holà, mon fi'le 1 1M eria-hd,aSseZ faire l'accouchée et te elehotiorIre deux draps I hous avons de la tees,gine et de la rude ce Matin.

Le monarque souleva ses paupiérespeine. Il bâilla à se illéeslabovioli s'étira les bras elles 18uubusd'une voix ensommeillée

Saint Dieu pourquoi tout ce teD11:,

ge ? Toute cette canaille parisi.ne nie?E.pas encOre dans EaMichambre, que 1,,

sache... Il lui eût fallu pour cela, pass5sur le ventre de sors gardes et de me,diles Quarante-cinq...

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