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Sainte-Luce Trimestriel d’informations municipales | Automne 2018 www.sainte-luce-loire.com MAG #36 DOSSIER > P. 6 Jeunesse, une priorité lucéenne 5 chantiers pour l’automne VOTRE MAIRIE AGIT > P. 10

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Sainte-LuceTrimestriel d’informations municipales | Automne 2018

www.sainte-luce-loire.com

MAG

#36

DOSSIER > P. 6

Jeunesse, une priorité lucéenne5 chantiers pour l’automne VOTRE MAIRIE AGIT > P. 10

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INTERVIEWSOMMAIRE

Ce magazine fait sa « Une » sur la jeunesse. C’est une priorité communale ?Bien sûr, même si tous les habitants font l’objet de nos attentions. Sainte-Luce est une ville qui rajeunit et vieillit à la fois. En effet, l’allongement de l’espérance de vie fait que le nombre de personnes plus âgées s’accroit. Et le dynamisme démographique augmente le nombre de jeunes. Nous apportons des réponses aux attentes dans les deux domaines. 35  % du budget communal sont ainsi consacrés à l’enfance et à la jeunesse sous toutes leurs formes. Le skatepark, le plateau sportif, le Point Information Jeunesse et bientôt l’accueil périscolaire de la Reinetière sont autant de réalisations qui témoignent de notre intérêt pour la jeunesse de Sainte-Luce.

Quels sont les grands dossiers de l’automne ? En premier lieu, poursuivre le programme de construction et de rénovation d’équipements publics qui va permettre de répondre aux besoins de notre commune qui compte désormais plus de 15 000 habitants de tous les âges. Ces derniers mois, nous avons ouvert les jardins familiaux, le Point Information Jeunesse, rénové le théâtre Ligéria. Cet automne, nous mettons en place les nouvelles installations du stade Philippe-Porcher et lançons la construction de l’accueil extra-scolaire de la Reinetière. Enfin, nous allons commencer la construction de la grande halle des sports de la Minais, dont la mise en service est prévue pour le printemps 2020. Le grand chantier de rénovation de l’en-trée nantaise de Sainte-Luce débute en fin d’année et se poursuivra jusqu’en 2020. Nous relançons aussi le déve-loppement du quartier de la Minais, avec une volonté de mieux équilibrer les logements en accession à la propriété et les locatifs, les maisons et les collectifs. Tout cela est en cohérence avec les orientations prises à l’échelle de la commune et de Nantes Métropole avec le PLUm (Plan Local d’Urbanisme métropolitain) et le PLH (Programme Local de l’Habitat) : nous voulons nous inscrire dans le développement de l’agglomération de façon raisonnée, maîtrisée, en respectant nos spécificités communales. Enfin, nous préparons le budget 2019, qui permettra de mettre en musique tous nos projets.

Des commerces verront-ils le jour dans le quartier de la Minais ?La municipalité souhaite que des commerces de proximité voient le jour à l’Est de la commune, pour répondre aux besoins des habitants de la Minais et des Islettes. Nous devons penser à l’échelle de tout ce périmètre et non d’un seul quartier. C’est un sujet complexe, sensible, car nous souhaitons aussi préserver le dynamisme commercial du centre-ville, réel mais à consolider, très concurrencé par les grandes surfaces commerciales de Nantes et Thouaré. La question de la localisation n’est pas tranchée, nous en avons débattu - notamment avec l’association de la Minais et le Conseil de Développement Lucéen - et commandé une étude à l’Agence d’Urbanisme de l’agglomération.

Une nouvelle fois, Sainte-Luce a été confrontée à des occupations illégales de terrains. Votre réaction ?Des solutions doivent être apportées à la question des migrants à l’échelle nationale et européenne, car les communes sont souvent démunies. Surtout, une règle du jeu commune doit être établie afin que la solidarité soit mieux répartie entre les villes. Les migrants sont une réalité mondiale et nous ne pouvons nous voiler la face. Les efforts doivent être partagés.

Quel sens souhaitez-vous donner à la commémoration du 11 novembre 1918 ?

Cette commémoration, nous l’avons voulu ancrée dans le présent et tournée vers l’avenir. Comme toutes les villes de France, Sainte-Luce a payé un lourd tribut à la guerre, un conflit né des nationalismes exacerbés. Comment ne pas y voir un reflet de ce que nous vivons aujourd’hui, avec la tentation de plus en plus grande du repli sur soi, du rejet de l’autre, du populisme ? C’est pourquoi le 11 novembre est aussi une manière de souligner notre atta-chement à l’Europe, avec la présence de nos amis de la ville jumelée alle-mande Herzogenaurach, une Europe qui, malgré ses défauts, est un rempart essentiel contre la guerre. N’oublions pas qu’avant d’être mondiales, les guerres furent d’abord européennes. Malgré les soubresauts du monde, notre pays vit en paix depuis 70 ans, une première depuis la Révolution française.

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DOSSIER : LA JEUNESSEune priorité lucéenne 6

VOTRE MAIRIE AGIT 10

NANTES MÉTROPOLE 14

MÉMOIRE 15

OPPOSITION 16

MAIRIE PRATIQUE 17

CULTURE(S) 18

Questions à Jean-Guy Alix, maire

35 % du budget sont consacrés à l’enfance et à la jeunesse sous toutes leurs formes

Sainte-Luce MAG

Trimestriel municipal d’informations - N° 36 Automne 2018 - 7 000 exemplaires - Réalisé par le service communication, 02 40 68 16 11 - [email protected] - www.sainte-luce-loire.com Directeur de la publication : Jean-Guy Alix, maire - Rédaction en chef : Thierry Saurat, directeur de la communication - Photos : Yann Boulic, Thierry Saurat, Clémence Mortier, Julie Haumon.Mise en page : Audrey Levy/Valpg - Impression : Valpg, Saint-Aignan-de-Grandlieu - Papier certifié PEFC - Distribution : Adrexo. Dépôt légal : à parution.

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1 692 écoliers font leur rentrée

> 3 SEPTEMBRE

Ils étaient 1265 dans le public et 427 à l’école Saint-Vincent à faire leur rentrée des classes lundi

3 septembre. Si les effectifs sont stables dans le privé, ils sont en augmentation dans le public : + 10 %

de 2014 à 2018. La rentrée a été marquée par le retour à la semaine de 4 jours dans les écoles publiques.

Les Indulgences,début de chantier > 21 SEPTEMBRE

C’est une partie de l’ancien Sainte-Luce qui se transforme avec le projet de rénovation de l’entrée lucéenne de la commune. La démolition des anciennes bâtisses a eu lieu fin septembre/début octobre. Le chantier se déroulera en 2019 et 2020.

25 000 visiteurs à la Sablière cet été> 1ER SEPTEMBRE

Du 10 juin au 1er septembre, la 2e saison de la Sablière a connu une affluence exceptionnelle, avec 25 000 visiteurs, dont 80 % de clients à la buvette, séduits par la formule moules/frites et le terrain de boules. Dans le public, 70 % de locaux (Lucéen(ne)s et voisins), 20 % de touristes (Loire à vélo, camping...) et 10 % de Nantais.

Le maire visite les chantiers

> 31 AOÛT

Un tour de la commune avant la rentrée… Vendredi 31 août, le maire Jean-Guy Alix

a visité les chantiers en cours : le Point Information Jeunesse, l’école maternelle des

Pommes de Pin, la coulée des Islettes...

Un micro-crédit pour les Lucéen(ne)s > 3 JUILLET

Depuis septembre, la mairie propose aux Lucéen(ne)s des micro-crédits personnels de 500 à 3000 € pour « financer un projet de vie tout en bénéficiant d’un accompagnement social ». Afin de mettre en place ce nouvel outil de solidarité, la mairie a signé le 3 juillet une convention de partenariat avec le Crédit municipal. La durée du prêt est de 6 à 36 mois maximum.

Les premiers jardiniers

de la Minais> 22 SEPTEMBRE

29 parcelles de 50 et 70 m2 (dont l’une accessible aux personnes à mobilité réduite), un préau, un barbecue, des cabanons, le tout sur un terrain de 4000 m2 au sud du quartier de la Minais. Les premiers jardins familiaux de Sainte-Luce sont habités depuis le mois de juillet par des Lucéen(ne)s de tous âges et de tous horizons. Ils ont été inaugurés le 22 septembre par le maire Jean-Guy Alix, Patrick Myran, conseiller municipal à l’environnement, le conseil municipal et l’association qui les gère désormais, les Jardins de la Minais.

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Le PIJ ? « Un lieu d’information pour les 15/30 ans », explique Claudia Grollier, qui occupe désormais le poste d’informatrice jeunesse. Le visage de la jeune femme est bien connu des jeunes Lucéen(ne)s

puisqu’elle était auparavant animatrice au Patio, le lieu dédié aux animations pour les 12/18 ans. Quelle différence entre le Patio et le PIJ ? « Le Patio propose des animations qui nous permettent ensuite d’apporter du contenu aux jeunes. Le PIJ est un lieu d’information permettant un accom-pagnement individuel ». Concrètement, il s’agit d’un espace ressources où les 15/30 ans peuvent se documenter sur tous les sujets liés à leur vie quotidienne : études, orientation, emploi, logement, mobilité internationale, santé, béné-volat, aide aux projet... «  Nous proposons des documents papier et des accès multimédia  », précise Claudia, en soulignant qu’il s’agit « d’un premier niveau d’information. Si besoin, nous orientons les jeunes vers des structures plus spécialisées ». Le « nous », c’est Claudia et Clara Jauzelon, la volontaire en service civique qui va l’accompagner dans sa mission auprès des jeunes pendant 8 mois.

Label régional. Le PIJ, c’est aussi un lieu, situé près du service éducation/jeunesse/sports, du Patio et de la médiathèque. Ce bâtiment de 45 m2, aménagé par la mairie pour 180 000 €, est ouvert chaque semaine durant une vingtaine d’heures et accueillera des animations thématiques :  confé-rence sur les jeunes et les jeux vidéos, atelier sur la recherche de stage ou formation baby sitter. Le PIJ organise également des événements annuels : forum job été en mars et un «  baby sitting dating » en septembre dernier. Un forum sur l’apprentissage est prévu en janvier. Le projet a vu le jour dans le cadre d’un groupe de travail mené par Géraldine Babonneau, adjointe à la jeunesse : «  à partir de 15 ans, les jeunes deviennent autonomes en matière d’animation. Ils attendent davantage de la collectivité un lieu ressources de proximité, avec une personne qu’ils connaissent et en qui ils ont confiance. L’objectif du PIJ est d’apporter «une éducation à l’information ». Précisons enfin que la mairie a obtenu le label régional «  PIJ  » décerné via le CRIJ (Centre Régional d’Information Jeunesse) par la Direction régionale Jeunesse et Sports.

Point Information Jeunesse, mail de l’Europe. Ouverture le mardi, jeudi et vendredi de 16h à 18h30. Mercredi de 14h à 18h30 et sur rendez-vous le matin, les 1er et 3e samedis du mois de 10h à 13h. Pendant les vacances scolaires : du mardi au vendredi de 14h à 18h30. Suivez la page PIJ Sainte-Luce sur Facebook et Instagram. 02 40 68 16 48 ou [email protected]

Des activités adaptées à un âge de transitionContrairement aux enfants, les ados sont davantage acteurs de leurs loisirs. L’offre d’activités de la mairie veut répondre à ce besoin d’autonomie encadrée.

Si les parents inscrivent leurs enfants au centre de loisirs, il en va autrement pour les activités destinées aux adolescents. Même si la décision parentale est encore là, les jeunes souhaitent être acteurs, à une période-charnière de leur vie. Capter l’attention des adolescents est un challenge pour l’équipe du service éduca-tion, jeunesse & sports de la mairie et pour la municipalité. D’où des actions dans différents domaines, de la construction d’équipements à l’organisation d’activités. Sur le budget muni-cipal, 35 % vont à l’enfance et à la jeunesse sous toutes ses formes : 22 % pour les écoles, 9 % pour la jeunesse et le sport et 4 % pour la petite enfance En 2017, cette « priorité jeunesse » a pris la forme de la mise en service du skatepark et du plateau sportif de la Minais, pour un coût de 400 000 €. Le skatepark est en train d’acquérir une notoriété régionale, que conforte la mairie avec l’organisation d’un événement annuel, le «  Sainte-Luce Contest  », dont la 1ère édition a eu lieu le 22 septembre. Et une association de skateurs a vu le jour à Sainte-Luce, «  Ride of Minais  ». Bien entendu, d’autres équipements, de la médiathèque aux salles et terrains de sports, profitent directement aux jeunes de Sainte-Luce. La mairie propose également des

Relier la Loire via la rue du Plessis-Maillard et la route des Sables.

La jeunesse une priorité lucéenne

Mis en service le mois dernier, le Point Information Jeunesse (PIJ) complète le dispositif d’activités et

de services proposés par la municipalité aux adolescents et aux jeunes. Sainte-Luce mag fait le point.

ÉVÉNEMENTDOSSIER

Claudia Grollier et Clara Jauzelon vont animer le Point Information Jeunesse

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activités pour les 12-18 ans, au Patio. 220 adolescents y sont inscrits à l’année. Ce lieu, dédié aux activités pour ados, a été construit en 2006 près de la mairie. Les jeunes se sont tellement appropriés le terme qu’il est devenu aussi le nom des « animations jeunes » municipales. Pour les faire vivre, 3 animateurs permanents dirigés par Katou (auxquels s’ajoutent 6 animateurs supplémentaires durant l’été), qui proposent des activités (gratuites ou payantes) ainsi qu’un « accueil libre pour se retrouver entre copains ». Les locaux sont composés d’une grande salle dotée d’une table de ping-pong, d’une télévision, d’un babyfoot et d’une bibliothèque, d’une salle de billard, d’une salle créative, d’une salle informatique et d’une «bricoroom». Les activités, elles, sont souvent organisées en partena-riat, notamment avec les associations lucéennes. Elles vont (pour les dernières vacances) de l’initiation au yoga au théâtre d’impro, d’un stage secourisme à une soirée Halloween. Autrement dit, un juste équilibre entre le ludique et l’apprentissage. Car toutes les activités orga-nisées par la mairie en direction des jeunes reposent sur un «projet pédagogique» élaboré par l’équipe d’ani-mation. «  Notre but est d’accompagner les jeunes vers l’autonomie, commente Xavier Coutanceau, directeur du service éducation/jeunesse/sport à la mairie. Nous voulons susciter la curiosité et la découverte par des activités inno-vantes, favoriser le vivre ensemble et développer le sens critique ». C’est pourquoi plusieurs activités reposent sur l’initiative des jeunes, que ce soit la soirée Bouge T Potes, fin octobre ou le séjour d’été 100 % vous, entièrement conçu par de grands adolescents, qui ont pu cette année autofinancer un beau périple en Andalousie.

Passerelles. L’été dernier, sur les 17 séjours organisés par la mairie, 7 étaient destinés aux 12-18 ans, permettant à une centaine d’entre eux de partir en Auvergne, à Annecy ou sur la côte pour des activités de surf, d’équitation ou pour assister au festival musical de Poupet. «  Pour les adolescents, nous proposons des séjours plus longs, 5 jours minimum, précise Christophe Iltis, coordinateur des activités au service jeunesse. Les jeunes sont acteurs de leurs séjours car ils doivent gérer un budget et se répartir les tâches de la vie quotidienne  ». Des adoles-cents ont également découvert le métier d’animateur en

participant aux « 1ers séjours » destinés aux 5-6 ans. Cette logique de passerelle est permanente : le Patio est aussi un rite de passage pour faciliter la transition du CM2 à la 6e. Le service jeunesse travaille sur plusieurs actions avec le collège (en particulier pour le rallye citoyen annuel) et avec les structures jeunesse d’autres communes, comme un projet de soirée pour décrypter le fonctionnement des médias avec le service jeunesse de la Chapelle. Des actions sont également menées avec la Maison des solidarités de la mairie sur le thème de la prévention, avec la société Scolarest (restauration scolaire) sur le thème de la nutrition et avec des clubs sportifs locaux (pelote basque, radiomo-délisme...). À l’heure des réseaux sociaux et du numérique et à un âge de transition, il n’est pas simple d’intéresser les adolescents. Les animations (Patio) séduisent davantage les 11/14 ans. Les plus âgés recherchent davantage l’au-tonomie, l’échange et l’accompagnement. Des initiatives comme le séjour 100 % vous, le nouveau Point d’Information Jeunesse (PIJ) et des équipements comme le skatepark sont là pour répondre à leurs attentes.

ÉVÉNEMENTDOSSIER

Repères

220 jeunes inscrits au Patio (Animation Jeunesse)

7 séjours d’été pour 99 jeunes de 12 à 18 ans

3 animateurs permanents au Patio

6 animateurs supplémentaires durant l’été

1 informatrice jeunesse au PIJ et un emploi civique

9 % du budget pour la jeunesse et le sport(35 % du budget pour l’enfance et la jeunesse sous toutes leurs formes).

3 questions à Géraldine Babonneau, adjointe à la jeunesse

Pourquoi un PIJ à Sainte-Luce ?Notre projet politique avait pointé les besoins d’accueil des jeunes adultes. Si le Patio (Animation Jeunesse) nous semble répondre aux attentes des collégiens, les Lycéens et les étudiants attendent un besoin personna-lisé et ont des préoccupations différentes. J’ai donc créé et animé un groupe de travail composé de personnes connaissant bien la question de la jeunesse. Ce groupe a émis l’idée d’un PIJ, ensuite validée par les élus.

Quelle place pour la jeunesse à Sainte-Luce ? La population s’est renouvelée ces dernières années. Plus que jamais, les jeunes et leurs familles ont besoin d’être accompagnés au quotidien par des services muni-cipaux adaptés. Mon objectif est de faire en sorte que tous les enfants et les jeunes soient bien accueillis dans les différentes structures municipales (accueil périsco-laire et de loisirs, Patio, séjours...) par des animateurs compétents et au profil varié (sport, musique, danse,

théâtre, activités créatives...). La jeunesse tient une place très importante et nous lui proposons des activités et des services que l’on ne trouve pas forcément dans les autres communes de l’agglomération.

Des projets ? Ils ont été nombreux ces dernières années : portail famille numérique, retour aux 4 jours, Point Information Jeunesse... La prochaine étape importante est la mise en service en 2019 de l’accueil extra-scolaire de la Reinetière. Nous travaillons également à des temps partagés entre enfants et seniors, à l’évolution des séjours d’été… Et surtout, les équipes d’animateurs bouillonnent d’idées. Je les soutiens au quotidien  ! Enfin, l’idée d’un conseil municipal d’enfants me tient à cœur, car il permettrait de préparer les enfants à la citoyenneté... C’est un projet de longue haleine.

Accompagner les jeunes vers l’autonomie

En septembre, le 1er baby-sitting dating

Des séjours thématiques pour les ados.

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VOTRE MAIRIE AGIT

5 chantierspour l’automne

1 La Halle des sports de la Minais

C’est le plus gros équipement du mandat 2014/2020, une halle de sports de 3000 m2 construite près de l’école Félix-Tessier sur un terrain de 6000 m2. La grande salle (1450 m2) sera dédiée au handball, basket et badminton, avec des tribunes et une salle de convivialité. La plus petite (340 m2) accueillera l’expression corporelle, le kickboxing et les activités douces. coût des travaux : 5,8 millions d’€ TTC. Début des travaux cet automne. Mise en service : prin-temps 2020.

2 Les nouveaux vestiaires du stade Philippe-Porcher

La mairie construit un espace de convivialité et des nouveaux vestiaires au stade de football Philippe-Porcher. Ces nouveaux équipements permettront d’améliorer les conditions d’accueil et d’organiser des compétitions de niveau supérieur. Coût de l’opération : 840 000 € TTC. Début des travaux en octobre. Mise en service fin 2018.

Après un été riche en travaux, Sainte-Luce continue sa mue avec5 grands chantiers qui se déroulent ou débutent cet automne.

3 L’accueil extra-scolaire de la Reinetière

C’est le seul groupe scolaire à ne pas encore disposer d’un lieu unique dédié aux activités péri et extra-scolaires. Ce sera chose faite au printemps 2019 avec la construction à l’école de la Reinetière, impasse Calmette, d’un bâtiment de 370 m2 comprenant trois salles d’activités, une salle de repos pour les petits, une BCD (bibliothèque centre de documentation) et doté d’une cour. Le projet a été conçu par le cabinet Plast Architecture. Les travaux débutent en fin d’année pour un coût de 800 000 € TTC.

5 Des nouveaux logements dans le quartier de la Minais

Sur un ensemble de 1338 logements, il reste 463 logements à construire d’ici 2031, 235 maisons et 228 logements collectifs. Après une pause de quelques années, le développement du quartier de la Minais, à l’Est de Sainte-Luce, reprend sur un rythme de 35 nouveaux logements par an. Les premières opérations sont la construction de 64 logements collectifs par La Nantaise d’Habitations à partir de 2019 et la commercialisation de 80 lots libres pour construire des maisons, tout cela près de l’école. La municipalité a en effet demandé à Nantes Métropole un développement équilibrant davantage les collectifs et les maisons, le logement social et l’accession à la propriété. Enfin, la mairie étudie l’implantation de commerces de proximité, avec pour enjeu de ne pas concurrencer le centre-ville, lequel doit maintenir son attractivité face à la proximité des grandes surfaces des communes voisines. Un cabinet paramédical va déjà s’implanter dans le quartier.

4 Logements, commerces et espaces publics aux Indulgences

Jusqu’à la rentrée 2020, l’entrée nantaise de Sainte-Luce va connaître de profondes transformations pour élargir l’espace public et accueillir des logements, commerces et services. 90 logements en accession à la propriété sont prévus, ainsi que des espaces commerciaux (dont un restaurant), un pôle santé, des espaces verts, des sentiers pédestres et cyclistes et 17 places de stationnement supplémentaires... Le nouvel espace commercial de la Luciole sera livré fin 2019 et les logements du projet «Archipel» à l’été 2020. Les travaux commencent cet automne.

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VOTRE MAIRIE AGIT

Ces petits travaux qui ne se voient pas

Temps de travail à la mairie : adapter le service public

Cet été, la mairie a installé des jeux dans la cour de l’école maternelle des Pommes de Pin, aménagé une partie de la cour en espace vert en gazon

synthétique, rénové le bureau de la directrice de l’école élémentaire des Tilleuls, installé des sèche-mains dans les écoles et les bâtiments publics. La climatisation et le chauffage ont été modernisés au multiaccueil Bidibulle, des pein-tures refaites dans la grande salle du Théâtre Ligéria. Une partie des locaux du service de soins à domicile, géré par une association mais installé dans un bâtiment municipal en bord de Loire, a été rénovée. Ces travaux sont certes moins spectaculaires que les grands chantiers

en cours, mais ils contribuent à entretenir le patrimoine communal, cet ensemble d’équi-pements publics bâti au fil des années, depuis une cinquantaine d’année. «  Nous établissons notre programme de travaux en fonction des demandes des conseils d’école et des associa-tions, après arbitrage des élus », explique Marc Descharles, directeur de l’aménagement de la Ville. Au sein de cette direction, une équipe entière est dédiée à la rénovation et à l’entretien des équipements. Placée sous la responsabilité de Philippe Chaussé, elle comprend 2 électri-ciens, 1 plombier-chauffagiste et 2 agents poly-valents. Cette année, un budget de 200 000 € est prévu pour ces interventions indispensables.

La mairie de Sainte-Luce, c’est une équipe de 239 professionnels, des agents municipaux, représentant l’équivalent de 198 emplois à temps plein. Tous les métiers sont représentés, du policier à l’ATSEM, de

l’urbaniste à la puéricultrice, du comptable au webmaster, de l’électricien au technicien du spectacle. La politique en matière de personnel est donc un pan très important de l’action municipale, puisque la mairie consacre 62 % de son budget de fonctionnement (8,5 millions d’€) au personnel communal, dont la rémunération dépend essentiellement des évolutions de carrière fixées par la fonction publique territoriale (avec les grades A, B et C), à laquelle s’ajoute un système de prime. C’est Claude Besnard, conseiller muni-cipal aux ressources humaines, qui gère ce secteur, en lien direct avec le directeur général des services, Nicolas Geng, et la directrice des ressources humaines, Lorena Demalaine. Ensemble, ils ont établi un «  agenda social  », autrement dit un ensemble d’actions réparties jusqu’en 2020 dont le but est «  d’assurer un service public performant tout en améliorant les conditions de travail », dans un contexte où la commune grandit, les demandes des habitants aussi, mais où les ressources financières (notamment celles en provenance de l’État) se tarissent.

Nouvel accueil. « Nous avons mis en place un système de primes plus équitable et plus transparent, souligne Claude Besnard, en prenant en compte la façon de servir et les résultats. Nous avons augmenté le nombre de jours de formation par agent, qui est passé de 4 à 6 par an. En 2018, nous travaillons avec les agents sur la prévention des risques, physiques et psychosociaux, avec un plan d’ac-tion pour 2019. Nous avons mis en place une expérience (positive) de télétravail et nous préparons un Intranet pour améliorer la collaboration entre les différentes équipes. Toutes ces actions ont pour but d’améliorer les conditions de travail et permettre de mieux concilier vie profession-nelle et vie personnelle  ». L’un des gros chantiers de cet «  agenda social  » est celui du temps de travail, que la municipalité a souhaité remettre à plat, en travaillant sur les cycles de travail. Selon un accord de 2001, les agents municipaux travaillaient jusqu’à présent 1547 heures par an. La municipalité a souhaité l’application du temps légal, à savoir 1607 heures annuelles par agent municipal. Au 1er janvier 2019, les agents municipaux travailleront donc 5 jours de plus, l’opportunité de revoir l’organisation du travail, avec des cycles adaptés selon les métiers (35h, 36h, 39h ou annualisation) et une meilleure coordination des horaires : la fermeture de certains services 1/2 journée pour traitement administratif des dossiers aura lieu désormais le même jour (le jeudi après-midi) et tous les services muni-cipaux (et pas uniquement l’état civil) fermeront le vendredi à 17h30. L’organisation de la mairie en 6 grandes directions va être accompagnée d’une relocalisation des services dans l’Hôtel de Ville, avec, courant 2019, des améliorations visibles pour les usagers  : un nouvel accueil du public, plus moderne et plus convivial et un guichet unique pour la billetterie des spectacles et l’accueil des asso-ciations.

Repères

L’équipe bâtiments des services techniques est composée de

6 agentsEn 2018, un budget de

200 000 Epour ces interventions de proximité.

Repères

Claude Besnard, adjoint aux ressources humaines

La mairie modifie le temps de travail des agents municipaux à partir du 1er janvier 2019 pour répondre aux obligations légales et moderniser le service public.

239 agents en mairie

1607 heures par an : le temps légal de travail

des agents municipaux

8,5 Millions d’E de budget de personnel (62 %

des dépenses de fonctionnement)

Les services municipaux effectuent des travaux de peinture dans les équipements publics.

En 2019, un nouvel accueil du public, plus moderne et plus convivial

L’équipe bâtiments de la mairie

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1514NANTES MÉTROPOLE MÉMOIRE

Pourquoi célébrer le 11 novembre 1918 ? « La guerre 14/18 est un fait majeur de l’Histoire, un déclencheur des événements qui ont émaillé le XXe siècle, en particulier la seconde guerre mondiale. Se pencher sur la grande guerre, c’est aussi comprendre le

monde d’aujourd’hui» , explique Philippe Brasselet, adjoint à la culture et à l’animation. Si la commune (1112 habitants en 1914) n’a pas été le théâtre de batailles, elle a pourtant été touchée dans son cœur par le conflit, avec 268 hommes envoyés sur le front. À l’échelle du Sainte-Luce d’aujourd’hui, c’est comme si 4 000 hommes partaient. Ne restèrent que les femmes, les enfants et les anciens. Toutes les familles furent touchées et 60 Lucéens ont perdu la vie. Le rationnement a aussi durement touché Sainte-Luce, qui érige dès 1920 (dans l’église) un monument aux morts en mémoire des victimes. L’association Au bord du fleuve vient de publier un opuscule d’une centaine de pages qui replace la vie quotidienne de Sainte-Luce dans le récit de la grande guerre.

Lettres. L’équipe d’historiens locaux a retrouvé des lettres de soldats qui témoignent de l’horreur du front et de l’éclatement des familles. Quand à la mairie, elle a bâti un programme en partenariat avec les associations d’anciens combattants, le Cercle d’amis, Au bord du fleuve, la chorale Rouges Gorges et Cie, le collège, le cercle de lecture de la médiathèque et la paroisse, qui proposera « une messe pour la paix » dimanche 11 novembre à 10h. Au programme du week-end des 10 et 11 novembre, des expositions, une conférence, des projections de films, des lectures de lettres de poilus et bien sûr une cérémonie officielle. La Ville a aussi souhaité donner une tonalité européenne et une perspective d’avenir à la célébration. « Le conflit mondial fut d’abord européen. La guerre a donné naissance à une paix tout d’abord éphé-mère puis à la création de l’Organisation des Nations Unies et à l’Europe, souligne Philippe Brasselet. Sainte-Luce est jumelée depuis 30 ans avec Herzogenaurach, une ville allemande située près de Nuremberg. Pour consolider le jumelage, mais aussi pour donner du sens à cette célébration de paix, nous avons invité nos amis allemands ». Le maire d’Herzogenaurach, German Hacker, conduira une délégation officielle pour participer aux cérémonies du 100e anniversaire de l’armistice. Sainte-Luce a obtenu le label de la mission du centenaire de la première guerre mondiale.

LE PROGRAMMESamedi 10 novembre15h à la médiathèque : Lettres de Poilus, avec le cercle de lecture.17h à la médiathèque : « Victorine et Manuela, les fusillées de Nantes », conférence de l’historien Jean Bourgeon.

Dimanche 11 novembre10h à l’église : Messe pour la paix.11h15 devant le monument aux morts : cérémonie commémorative et prestation de la chorale Rouges Gorges et Cie.16h au Théâtre Ligéria : projection du film « Cheval de guerre » de Steven Spielberg. Gratuit.

La Métropole nantaise est l’une des plus attractives de France, en raison de son potentiel économique, de sa situation géographique et de sa qualité de vie. D’où un développement important, en particulier dans la première couronne, dont fait partie Sainte-

Luce. D’autant plus que l’Est de l’agglomération (Sainte-Luce, Carquefou, Thouaré...) connait une expansion vécue il y a quelques décennies par l’Ouest (Saint-Herblain, Orvault...). Le logement est un domaine d’action de Nantes Métro-pole, tout comme l’aménagement du territoire. «  Le PLH (Programme Local de l’Habitat) est un document stratégique de planification qui régule l’ensemble du développement urbain et démographique », explique Jean-Louis Vasserot, adjoint aux affaires foncières et urbaines. Avec la création de Nantes Métropole (2001), le développement est désormais pensé à l’échelle de l’agglomération. Pour les communes, l’enjeu est de trouver le juste équilibre entre cette vision globale et le respect des spécificités communales, sachant que chaque citoyen souhaite vivre dans une métropole active et dynamique, tout en voulant la tranquillité. Une aspiration légitime, mais aussi un challenge pour les élus locaux. Les échanges entre la commune et Nantes Métropole, tant sur le PLUm (Plan Local d’Urbanisme métropolitain) que sur le PLH, résultent justement de la recherche de ce point d’équilibre. Les avis favorables émis par la commune sur les deux sujets montrent que la voix de Sainte-Luce a porté. « Nos réserves ont été entendues et nous arrivons à un résultat satisfaisant », commente Jean-Louis Vasserot.

Besoins. À l’échelle de l’ag-glomération, le nouveau PLH a pour objectif de produire au moins 6000 logements neufs par an d’ici 2030 pour répondre à l’arrivée de nouveaux habitants. «  La contribution de Sainte-Luce a été ramenée à 140 loge-ments neufs par an, contre 160 dans le précédent PLH », précise Jean-Louis Vasserot. La commune va construire 980 logements d’ici 2025, pour une population estimée à 20 000 habitants en 2030 (15 000 aujourd’hui). Cette maîtrise du développement urbain est d’autant plus nécessaire que la commune est celle qui s’est le plus urbanisée entre 2009 et 2014, accueillant 3000 nouveaux arrivants. « Nous devons absorber cette évolu-tion en construisant les équipements nécessaires ». Autre principe du PLH dans sa déclinaison locale, « le développe-ment de la commune concentrée sur le centre-ville et l’axe du Chronobus, afin de préserver la spécificité de Sainte-Luce et de ses quartiers pavillonnaires ». La commune prévoit également un seuil de 35 % de logements sociaux dans toutes les opérations nouvelles, « afin que tous les habitants aient accès à un logement correspondant à leurs besoins et à leurs ressources ». C’est dans cet esprit qu’a été conçue la nouvelle phase du quartier de la Minais, avec 435 logements à construire d’ici 2031, dont 50 % de collectifs et 50 % de maisons. « Les maisons et les logements collectifs seront aussi pour moitié en accession à la propriété et pour moitié en location ».

La commune a donné un avis favorable au Programme Local de l’Habitat (PLH) de Nantes Métropole, car ses réserves ont été entendues. La commune accueillera des nouveaux habitants tout en préservant ses spécificités.

La mairie souhaite donner une tonalité européenne à la commémoration et invite une délégation allemande d’Herzogenaurach, sa ville jumelle.

Sainte-Luce, acteur du Programme Local de l’Habitat (PLH) métropolitain

Sainte-Luce commémore le 11 novembre et célèbre la paix

Repères

Le Programme Local de l’Habitat est un document qui prévoit le développement urbain de l’agglomération.

6000 nouveaux logements par sont prévus jusqu’en 2025, dont 140 à Sainte-Luce.

La commune réduit son rythme annuel de construction en raison de son développement important de 2009 à 2014 tout en répondant aux besoins en habitat.

Jean-Louis-Vasserot, adjoint aux affaires foncières et urbaines.

Philippe Brasselet, adjoint à la culture et à l’animation

EXPOSITIONS« Jaurès vivant » et « La guerre des Lulus », du samedi 10 au mercredi 28 novembre à la médiathèque-ludothèque René-Goscinny. Heures habituelles d’ouverture.« Les femmes pendant la guerre » par Au bord du fleuve, du samedi 10 au mercredi 28 novembre à l’Hôtel de Ville. Heures habituelles d’ouverture.Projections de films et sélection d’ouvrages à la médiathèque-ludothèque René-Goscinny du vendredi 9 au samedi 17 novembre.

Le premier monument aux morts, inauguré le 4 juillet 1920 dans l’église

Le futur programme « Archipel » aux Indulgences

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1716OPPOSITION MAIRIE PRATIQUE

« UNE ÉNERGIE NOUVELLE POUR SAINTE-LUCE »

L’ÉDUCATION DOIT REDEVENIR UNE PRIORITÉ DE LA MAIRIE !

La rentrée scolaire s’est bien passée, et c’est une bonne nouvelle.

Cette année, la ville a accueilli 26 élèves de plus que l’année dernière, mais avec une classe en moins sur la totalité des écoles. Cela a pour conséquence d’augmenter le nombre d’élèves par classe dont certaines avoisinent les 30 élèves. Les classes surchargées ne facilitent pas les apprentissages, notamment pour les enfants qui ont le plus de difficultés.

Notre ville, attractive, connait un phénomène régulier depuis plusieurs années : le renouvellement des maisons du centre-ville. Des Lucéens vendent leur maison à des jeunes couples avec enfants qui s’installent près des écoles pour scolariser leurs enfants au plus près de chez eux et profiter des commodités du coeur de ville. C’est en partie cette réalité qui explique l’augmentation des effec-tifs scolaires que la municipalité ne peut pas vraiment anticiper, contrairement aux logements nouveaux.

Dans ce contexte, la rentrée scolaire 2019 risque d’être très tendue. Dans l’attente d’une présentation de l’étude sur les effectifs sur laquelle la mairie refuse de débattre, nous ne pouvons qu’exprimer notre inquiétude. Pour nous, donner la priorité à la jeunesse, ce n’est pas simplement exhiber fièrement le montant du budget alloué aux enfants en laissant entendre que l’effort est sans précédent, alors que le budget pour l’éducation a toujours été le premier budget municipal. Non, la prio-rité à l’éducation, c’est de vouloir le meilleur pour nos enfants. D’agir pour qu’ils bénéficient des meilleures conditions d’apprentissage. C’est de leur permettre une plus grande ouverture à la culture qu’il soit possible. C’est de les aider à éveiller leur regard au monde qui les entoure. C’est aussi de leur permettre d’avoir accès à une alimentation de qualité et de veiller à leur santé. C’est en fait leur donner les clés pour qu’ils entrent progressive-ment dans le monde adulte.

Malheureusement, même si la situation économique s’améliore, les inégalités demeurent. Le rôle de l’école est de les diminuer. C’est à l’Education Nationale qu’il revient de maitriser le contenu des apprentissages. C’est à la mairie d’être responsable des conditions d’accueil, des moyens donnés aux écoles publiques et privées. Ces moyens ne sont pas suffisants et la municipalité doit renforcer son soutien aux élèves et aux jeunes de notre commune car ils sont les citoyens de demain.

Anthony Descloziers, Christine Le Goff, Marc David, Véronique Cadieu

www.facebook.com/uneenergienouvelle [email protected]

« BIEN VIVRE ENSEMBLE À SAINTE-LUCE »

PARC LOIRE ? PARC NATUREL LOIRE ? NATURELLE LOIRE ? LOIRE SAUVAGE ?

Le «  Parc Loire  » de Ste Luce concerne 5 lieux bien connus de toutes et tous : le camping de Belle Rivière, l’île Clémentine, l’étang du Plessis, le village de Bellevue et son manoir.La municipalité demande de classer toutes les parcelles NS (secteurs naturels remarquables) en Nl (zone naturelle à vocation d’équipements de loisirs de plein air et d’espaces de nature en ville). Notre avis est différent.Il faut préserver la biodiversité de ce territoire, riche en zones humides et espèces remarquables. De ce point de vue, nous souhaitons que cet ensemble soit nommé différemment.

Nous approuvons le classement du camping Belle Rivière en ‘Nl’ parce que c’est sa vocation, mais pourquoi modifier la réglementation au sujet des zones naturelles et agricoles des bords de Loire...

L’île Clémentine doit rester un espace naturel, sauvage et paisible. Nous n’avons pas besoin de la «renaturation de l’île Clémentine». C’est pour le moins contradictoire d’accepter le cyclo-cross qui détruit violemment la nature et de souhaiter que la nature reprenne ses droits. Nous souhaitons simplement un entretien régulier, judicieuse-ment pensé et équilibré mais pas de saccage programmé. La passerelle permet un accès pour des promenades fami-liales avec vues sur la Loire, observations des oiseaux, des fritillaires, de la diversité de la nature si spécifique à cet endroit.L’étang du Plessis est actuellement un lieu de tranquillité notamment pour les pêcheurs, les navigateurs de l’aéro-modélisme, les sportifs et les promeneurs.Pourquoi faire de l’île Clémentine comme de l’étang du Plessis des musées de plein air, des observatoires privés seulement réservés à des spécialistes, c’est une aberration !Toute cette richesse naturelle doit être valorisée sur ce territoire de Loire : notre patrimoine.

Nous mobiliserons pour que le village de Bellevue ne soit pas classé touristique, avec parking à l’entrée et voie de contournement, ouvert au public seulement à certaines heures.Nous souhaitons un tourisme «  nature  » qui puisse s’appuyer sur « la Loire à vélo » et nous avons des projets pour valoriser le manoir de Bellevue et l’aménager pour-quoi pas en auberge de jeunesse ou gîte d’étape.

Nous aurons l’occasion de donner notre avis sur ces sujets et nous serons vigilants pour que l’avis des citoyens soit respecté, dans l’esprit du Bien Vivre Ensemble à Ste Luce.

Marie-Do Jourdon, Georges Projean, Henri [email protected]

LUC GEISMAR, ÉLU CENTRISTE INDÉPENDANT

PAR TOUTATIS ! QUEL AVENIR POUR LA MÉDIATHÈQUE RENÉ GOSCINNY

À Sainte Luce comme ailleurs, les bibliothèques sont entrées dans le XXIème siècle en se transformant peu à peu en lieu de vie favorisant toutes les pratiques cultu-relles et innovant sans cesse dans leur relation aux diffé-rents publics.

Objectifs : faciliter l’accès aux contenus et aux pratiques culturelles en développant les animations, les formations aux outils numériques.

Les chiffres témoignent pourtant de l’abandon progressif par les publics jeunes des bibliothèques, fragilisant ainsi leur image, leur légitimité et remettant en cause la démo-cratisation des savoirs.

Il faut désormais prévoir l’inéluctable transformation qui rendra bientôt obsolète les services traditionnels de locations de livres, magazines, films, disques pour les intégrer dans une large offre de catalogues collectifs subventionnés en ligne, consultables depuis son domicile.

Progressivement notre belle médiathèque de centre-ville devra être partiellement réaffectée à d’autres usages pour devenir le « laboratoires» de nos futures politiques culturelles en réseau avec les acteurs culturels, associa-tifs, éducatifs, sociaux du territoire.

Je propose l’ouverture d’un chantier permettant d’en définir les contours pour assurer cette opportunité de mutation, vers l’avenir, sans tabou, sans peur, dans un esprit de concertation et de large ouverture de la culture à la population.

Luc Geismar,Elu municipal, Député suppléant LREM - [email protected]

HÔTEL DE VILLEEsplanade Pierre-Brasselet, BP 88109 44981 Sainte-Luce-sur-Loire Cedex02 40 68 16 00Du lundi au jeudi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30 ; vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à [email protected] - www.sainte-luce-loire.comN° d’urgence des services municipaux (week-end et jours fériés) : 06 17 04 37 63

HORAIRES D’OUVERTUREAccueil et Vie citoyenne (état civil, formalités)Du lundi au vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30 ; samedi : de 9h à 12h.

Service Éducation/JeunesseDu lundi au mercredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30 ; vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 16h15.

Service aménagement de la Ville (permis de construire…)Lundi de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30 ; mercredi de 8h30 à 12h15 et vendredi de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 16h15.

Service animation de la VilleLundi, mardi, mercredi et vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30 (16h15 le vendredi) ; jeudi : de 13h30 à 17h30.

Billetterie - 02 40 68 16 39Du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30.

Espace Emploi, solidarités et petite enfance Lundi, mardi et mercredi de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30. Jeudi de 8h30 à 12h15, vendredi de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 16h15. Lundi de 9h30 à 11h30 : permanence gratuite de l’écrivain public.

Police municipale - 06 17 04 37 26Du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30. Samedi de 8h à 12h30, permanence téléphonique.

Médiathèque-ludothèque René-GoscinnyMédiathèque : 02 40 68 16 51 - Ludothèque : 02 40 68 16 54Mardi, jeudi et vendredi de 14h à 19h, mercredi et samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h (le samedi matin seulement pendant les vacances d’été).

Multi-accueil Bidibulle - 02 40 68 16 91- Accueil régulier : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30.- Accueil occasionnel : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30

Multi-accueil Félix-Tessier - 02 72 65 79 40- Accueil régulier : du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30.- Accueil occasionnel : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30

SERVICES DE GARDEMédecins> Blais Mélanie - 12 rue Maréchal De Lattre De Tassigny 02 40 25 73 22> Cluis Patrice - 3 rue de la Planchonnais 02 40 04 26 99> Deheeger Anne - 3 rue de la Planchonnais 02 40 25 87 76> Diétlin Jean-Éric - 6 allée des Rossignols 02 51 84 34 69> Huneau Karine - 12 rue Maréchal De Lattre De Tassigny 02 40 25 73 22> Papin Hubert - 3 rue de la Planchonnais 02 51 13 73 86> Paque Gaël - 3 rue de la Planchonnais 02 40 25 72 72> Robine Antoine - 6 allée des Rossignols 09 70 32 08 59> Servetto Thierry - 100 rue Louis Gaudin 02 40 25 64 67> Turon Jean-Pierre - 21 rue Jean Moulin 02 40 25 90 32> Vidal Yann - 4 rue Jules Verne 02 40 25 79 70En cas d’urgence, contacter les urgences médicales (15) ou SOS Médecins à Nantes (02 40 50 30 30).

Pharmacies> Bothorel - 74 rue Louis Gaudin - 02 40 25 67 07> Dedron - 9 rue Jean Moulin - 02 40 25 60 76> Pharmacie de la Loire - 10 rue de la Loire - 02 40 25 89 75> Misler - 1 rue du Stade. 02 40 25 62 87Le service de garde change chaque nuit et tous les week-end. La pharmacie de garde est indiquée sur la porte de chaque pharmacie. Il est également possible de composer le 3237

InfirmièresCabinets d’infirmières :> 07 85 98 49 72 : Patricia Barrault (3 rue de la Planchonnais)> 06 79 26 50 86 : Pascale Bothorel, Édith Langny et Noëlla Perrot (3 rue de

la Planchonnais)> 02 40 75 62 38 : Émilie Girard et Marie-Laure Cossé (2 rue Jean-Moulin)> 06 75 01 58 83 : Cécile Addor-Fruchaud et Charlotte Lancereau

(3 rue louis Gaudin)

Ambulances de Sainte-Luce> Ambulances de l’Étoile - 18 avenue des Floralies - 02 40 25 84 52> A.P.L - 96 rue de la Loire. 02 40 25 96 16> Alliance Ambulance - 88 route de la gare - 02 40 54 45 45

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CULTURE(S)

HumourLa tragédie du dossard 512Vendredi 9 novembre à 20h30 au Théâtre LigériaSans mauvais jeu de mots, voici un one-man show qui sort des sentiers battus, qui vous prend par la main pour vous emmener dans une aven-ture physique et psychique peu commune d’un homme ordinaire en manque d’héroïsme. Sur scène, Yohann Metay participe au trail du Mont Blanc, 160 km et 9600 mètres de dénivelé à parcourir à pied. Un enfer de crampes, de doutes et de délires hallucinatoires que nous fait vivre en temps réelle notre coureur. Un «seul en scène» drôle, rythmé et imaginatif sur une aventure insensée. De 15 à 22 €. Abonné : 10 à 17 €.

ThéâtreAprès une si longue nuitMardi 27 novembre à 20h30 au Théâtre Ligéria (nouvelle date)Comment se construire lorsque, enfant, la guerre et l’horreur nous ont tout pris ? En plongeant dans l’histoire commune de quatre jeunes d’origines

et de religions différentes, Michèle Laurence, dramaturge, et Laurent Natrella, sociétaire de la comédie française, signent une pièce boulever-sante sur le vivre ensemble, la tolé-rance et l’humanité dans ce qu’elle a plus de plus tragique et magnifique. 4 rescapés se retrouvent après des années de séparation au chevet de leur mère adoptive. Ces retrouvailles ravivent des cicatrices jamais vraiment refermées, mais aussi la tendresse et la fraternité nées de ce clan familial. De 9 à 15 €. Abonné : 6 à 12 €.

Théâtre Comme à la maison Samedi 15 décembre à 20h30 au Théâtre Ligéria Après son succès parisien, la pièce interprétée par la truculente Annie Gregorio fait étape à Sainte-Luce. La comédienne incarne Suzanne, une mère de famille au caractère bien trempé qui s’apprête, comme chaque année, à recevoir ses enfants pour le 1er janvier. Mais ce qui devait être une soirée comme les autres va prendre une tournure explosive. Entre non-dits, révélations et règle-ments de compte, les festivités vont mal tourner. Dialogues désopilants, rythme trépidant, comédiens drôlis-simes, la comédie de la fin de l’année. COMPLET

HumourLe comte de Bouderbala 2Mardi 15 janvier 2019 à 20h30 au Théâtre LigériaAprès avoir fait rire plus d’un million de spectateurs avec son premier spec-tacle, le Comte de Bouderbala (alias Sami Ameziane) vient présenter à Sainte-Luce son nouveau one-man show, Bouderbala 2. À 36 ans, cet ancien joueur de basket franco-algé-rien balaie avec humour les travers de ses compatriotes, en traitant de sujets d’actualité : le terrorisme, la religion, le mariage pour tous, le célibat à 40 ans, les paroles de chansons... De 21 à 30 €. Abonné : de 16 à 25 €.

ChansonGarçonsJeudi 7 février à 20h30 au Théâtre LigériaComme un garçon, elles portent une ceinture, un nœud papillon... Elles chantent comme les mecs chantaient dans les années 50, 60, 70. Ce trio féminin revisite Brassens, Bécaud, Gainsbourg, Lapointe, Lemarque et d’autres pointures dans un spectacle très « music hall ». Ces « garçons » se nomment Carmen Maria Vega, Zaza Fournier et Cléa Vincent. Ces trois jeunes artistes à la voix magnifique se glissent dans ce monumental répertoire comme l’on se glisse dans un pantalon. De 9 à 15 €. Abonné : de 6 à 12 €.

Les mercredidu jeune publicConcert rock à partir de 5 ans Lila et les pirates Mercredi 21 novembre à 17h au Théâtre LigériaAttention, Lila et les pirates débarquent. Suite à la disparition du capitaine Edward, chef des pirates, sa fille Lila part à sa recherche. Peut-être est-il parti à la chasse au trésor sur l’archipel des Mouluques ? Pas si simple de partir comme ça sur un bateau, d’affronter la tempête et un tas de personnages aussi loufoques les uns que les autres.Tarif unique : 4 € enfant, 6 € adulte.

Musique urbaine Retour vers le bitume Mercredi 12 décembre à 17h au Théâtre LigériaAux commandes de ce vaisseau festif, Tioneb, spécialiste du Human Beat Box et champion du monde 2012 de live looping (technique d’enregistre-ment et de transformation de boucles sonores en direct). Sur ses platines, il sait comme personne réinventer différents répertoires, certains funkys, d’autres électroniques. Attachez vos ceintures pour un voyage musical de haute volée. Mercredi 13 décembre à 14H30 et 15h30 : ateliers Human Beat Box et sampling avec Tioneb (sur inscriptions places limitées). Tarif unique : 4 € enfant, 6 € adulte.

À la médiathèque-ludothèque

Café littéraireSamedi 17 novembre à 11h salle polyvalenteAutour d’un café, Sandrine, bibliothécaire, vous présente ses coups de cœur et ce qu’elle a retenu de la rentrée littéraire.

Soirée jeuxVendredi 23 novembre de 19h30 à 22h30En famille, seul ou accompagné, profitez d’une soirée ouverte à tous. Les ludothécaires seront là pour vous accueillir sur trois espaces.

Samedis de NetSamedi 8 décembre de 19 janvier de 11h à 12h30Des conseils, astuces et nouveautés pour vous accompagner dans vos pratiques numériques.

Café musique : le best of 2018Samedi 15 décembre à 11h salle polyvalenteFranck, le discothécaire, vous présente la sélection des meilleurs albums de l’année.

Heure du conteMercredi 21 et samedi 24 novembre à 11h.Mercredi 19 et samedi 22 décembre à 11h.Mercredi 9 et samedi 12 janvier.

CinémarmaillesMercredi 26 et jeudi 27 décembre à 15h.Mercredi 2 et jeudi 3 janvier à 15h. Mardi 12, mercredi 13 et jeudi 14 février à 15h.

La nuit de la lectureSamedi 19 janvier de 18h à 22h30La médiathèque-ludothèque sera exceptionnellement ouverte de 18h à 22h30 dans le cadre de la nuit nationale de la lecture, initiée par le Ministère de la culture et de la communication. Des animations pour tous seront proposées à cette occasion.

Sieste musicaleToutouig Lala Mercredi 23 janvier 2019 à 9h30, 11h et 16h30 au Théâtre LigériaDans un petit nid douillet et chaleureux, « Chapi Chapo et les petites musiques de pluie » a imaginé une sieste musi-cale baignée de formes lumineuses projetées. Durant près d’une demi-heure, les bébés sont bercés par une musique douce, composée pour l’oc-casion à l’aide de beaux et vieux jouets musicaux en provenance du monde entier. Toutouig lala, du nom d’une berceuse bien connue en Bretagne, se veut un moment de détente, une bulle de douceur entre le bébé et ses parents. Tarif unique : 4 € enfant, 6 € adulte.

Les grands événementsLancement des festivités de NoëlSamedi 1er décembre à 17h30 place du 11 novembreDéfilé aux lampions, musique et père Noël.

Patinoire de NoëlDu samedi 22 décembre au dimanche 6 janvier salle Renée-Losq. De 14h à 19h, sauf les samedis 22, 29 décembre et 5 janvier de 10h à 19h, les lundis 24 et 31 décembre de 14h à 17h et les mardis 25 décembre et 1er janvier de 16h à 19h.

Avec près de 4500 patineurs durant les dernières vacances de Noël, la pati-noire est devenue le moment incon-tournable des fêtes de fin d’année. Elle revient salle Renée-Losq pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Entrée libre.

Festival du jeuÀ vous de jouer Samedi 26 et dimanche 27 janvier de 14h à 19h au Théâtre LigériaLigéria et ses 1000 m2 se transforment en une salle de jeu géante. En famille ou entre amis, vous pourrez tester les jeux de la boutique Sortilèges, accom-pagner votre enfant sur les parcours de motricité, développer votre dexté-rité avec les jeux surdimensionnés en bois ou laisser libre cours à votre créativité et votre imagination avec les incontournables Lego ou Playmobil. Entrée libre.

La saison culturelle

RÉSERVATIONSau service culturel (mairie) du lundi au vendredi de 13h30 à 17h30. 02 40 68 16 39 ou www.sainte-luce-loire.com

La tragédie du dossard 512© Fabienne Rappeneau

Après une si longue nuit© DR

Le comte de Bouderbala 2© Ben Douchez

Comme à la maison© Céline Nieszower

Garçons© Raphaël Neal

Lila et les pirates© François Guillement

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Page 11: Sainte-Luce MAG5 Sainte-Luce MAG # 36 Automne 2018 Sainte-Luce MAG # 36 Automne 2018 RETOUR EN IMAGES ÇA S’EST PASSÉ À SAINTE-LUCE 4 692 1 écoliers font leur rentrée > 3 SEPTEMBRE

22 DÉC. 6 JA

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Salle Renée-LosqENTRÉE

LIBRE

LANCEMENT

DES ILLUMINATIONS DE NOËL

Samedi 1er décembre à 17 h 30 place du 11 n

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