Upload
osanne-hoffmann
View
102
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
SALONS DES INVESTISSEMENTS/JOINT-VENTURES
AGROALIMENTAIRES REGIONAUXCONFERENCE DES MINISTRES DE L’AGRICULTURE
D'AFRIQUE DE L'OUEST ET CENTRALEINSTITUTION CHEF DE FILE DU PILIER II DU PDDAA
CMA/AOC - Conférence des Ministres de l'Agriculture de l'Afrique de l'Ouest et du CentreInstitution principale d’appui au PDDAA – Pilier IITél.: (221) 33 869 11 90www.cmaoc.org
DOMAINE STRATEGIQUE C : DÉVELOPPEMENT DE LA CHAÎNE DE VALEUR ET SERVICES FINANCIERS
SOMMAIRE
• Contextes et concepts
• Composantes
• Premières options de ciblage
• Sélection d’entreprises
• Cas concret : le partenariat avec Bidnetwork
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 2
Un potentiel considérable pour le développement agroalimentaire en Afrique
• À titre de comparaison, les pays industrialisés transforment 98 % de la production agricole, ajoutent une valeur atteignant la coquette somme de 185 USD par tonne de production agricole et connaissent des pertes d’après-récolte minimes.
• L’Afrique transforme moins de 38 pour cent de la production agricole, ajoute une valeur inférieure à 40 USD par tonne et subit environ 40 pour cent de pertes d’après-récolte.
• Le potentiel en Afrique est important mais doit être débloqué.Adapté d’une contribution de l’ONUDI à l’atelier de la FAO
intitulé « Enabling environments for Agribusiness and Agro-industry development in Africa », 2008
• La plupart des produits sont encore vendus non transformés sur le marché national et d’exportation.
• La transformation est toujours principalement réalisée par de petites et moyennes entreprises (PME)
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 3
Faiblesses des PME en Afrique
Organisation et gestion d’une entreprise• Formation des managers• Manque de services disponibles• Processus commercial interne
Matériel• Matériel
obsolète
Compétences• Qualification de la main
d’œuvre
Informations• Opportunités
de marché• Savoir-faire sur
les procédés techniques
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 4
EN
VIR
ON
NE
ME
NT
DE
S A
FF
AIR
ES
Formation professionnelle
Services de développement des entreprises, alliances B2B…
Crédits, investissements,etc.
Services de soutien aux entreprises
La promotion des joint-ventures et investissements pourrait être réalisée grâce à des salons d’investissement
L’objectif de cette intervention PDDAA est de soutenir le développement de l’agro-industrie en Afrique (production innovante, intrants, stockage et transformation, marketing, etc.)
L’intervention traitera essentiellement du développement des alliances d’investissements et commerciales, favorisant ainsi une réunion fructueuses entre entrepreneurs et partenaires/investisseurs potentiels dans les salons de joint-ventures et d’investissements.
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 5
Salon des joint-ventures et des investissements
Entrepreneurs Investisseurs
Réunion et contrats
SOMMAIRE• Définition et concepts
• Composantes
• Premières options de ciblage
• Sélection d’entreprises
• Cas concret : le partenariat avec Bidnetwork
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 6
Principales étapes du processus :
Étape 1 : conception de l’évènement•Produits cibles /
organisateur.•Critères de sélection
Étape 2 : attirer et présélectionner des entrepreneurs• Les entrepreneurs devront
présenter les documents requis par les investisseurs
Étape 3 : attirer les investisseurs et promouvoir l’évènement• Les investisseurs doivent
être informés du climat et des opportunités des affaires
Étape 4 : soutenir la conclusion de contrats• S’assurer que toutes les
conditions nécessaires à la conclusion de contrats sont en place (projets bancables, business plan, etc.)
•Organiser des réunions B2B ciblées
• Fournir des incitations à la signature de contrat
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 7
La participation des entrepreneurs :
Développer des formulaires et promouvoir l’évènement Nécessite un annuaire/listing des entrepreneurs
Aider les participants à préparer les documents La participation nécessite de préparer le dossier d’investissement : registre des
activités antérieures, business-plan, etc. Une phase de renforcement des capacités pourrait être nécessaire afin de les aider à développer la documentation requise
Présélectionner les candidats et sélectionner le participant Nécessite un comité ou un organe indépendant afin d’évaluer les documents
fournis par rapport à des critères préétablis Peut s’appuyer sur le travail effectué par un concours de business-plans
Attirer les participants sélectionnés (uniquement problématique lorsque des déplacements longs et coûteux sont nécessaires)
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 8
La participation des investisseurs
Préparer la présentation du salon Préparer la présentation du salon / liste des participants Informer sur les opportunités
Promouvoir l’évènement Lors d’un évènement international majeur S’appuyer sur le réseau des partenaires/organisateurs
Inviter des investisseurs ciblés Nécessite un annuaire / listing des investisseurs potentiels Cibler les investisseurs potentiels à inviter
Attirer des investisseurs Tirer parti d’un évènement ou créer un évènement Proposer des incitations Fournir des informations sur les opportunités (changements dans le climat
des affaires)Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 9
Créer des incitations à la signature de contrat
Faciliter les réunions d’affaires– Rapprochement entre entreprises
Fournir des informations– Rapport national– Études de la chaîne de valeur/du marché– Dossier sur les opportunités d’investissement
– Centre d’informations de type « guichet unique » sur les structures de soutien, les services et l’assistance financière proposés par diverses institutions
Proposer des incitations– Des subventions, etc. (fonds d’appuis) peuvent déclencher des
investissements du secteur privé
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 10
SOMMAIRE• Définition et concepts
• Composantes
• Premières options de ciblage
• Sélection d’entreprises
• Cas concret : le partenariat avec Bidnetwork
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 11
Cibler / se concentrer sur des groupes spécifiques d’entreprises
Cible Centre d’attention
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 12
La définition de la cible et des critères de sélection doit être un processus itératif jusqu’à parvenir à un point d’équilibre …
Se concentrer sur des chaînes de valeur prioritaires
• Le Sommet sur la sécurité alimentaire d’Abuja en 2006 a identifié les points suivants : – 9 produits de base stratégique au niveau du continent
• Riz, maïs, légumes, coton, huile de palme, bœuf, produits laitiers, volailles, poissons
– 3 produits de base stratégiques au niveau infrarégional• Manioc, sorgho, millet
• Ces chaînes de valeur devraient être choisies comme centre d’attention du processus, et réorganisées de la manière suivante :– Céréales et graines oléagineuses : riz, maïs, millet, sorgho et huile de palme– Produits frais : légumes et manioc– Produits d’origine animale : bœuf, volaille, poissons, produits laitiers– Coton
• Se concentrer sur des chaînes de valeur signifie que le soutien à la transformation est inclus et fait l’objet d’une attention particulière– Les infrastructures commerciales (telles que les entrepôts et les installations de
réfrigération), les services financiers, la fourniture d’intrants, de matériel, etc. doivent faire l’objet d’une attention particulière
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte 13
Une liste d’indicateurs pour la sélection d’entreprises
Fiabilité : savoir-faire de l’activité principale
Engagement de ses propres ressources : %
Performance documentée
Chiffre d’affaire : supérieur à … USD
Montant de l’investissement : supérieur à … USD
Évaluation du marché
Business Plan ?
Faisabilité : (disponibilité des licences nécessaires pour développer le projet)
Impact social, économique et environnemental
Compréhension des systèmes de qualité / régimes de certification ?Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte
14
Partenariats potentiels pour des tâches clés : à envisager …
Tâches Partenaires potentiels
Coordination CER + CAM/AOC
Informer les entreprises CER + CAM/AOC + partenaires nationaux utilisant : la presse, les associations nationales d’entreprises, les Chambres de commerce, etc.
Préselectionner les candidats Bidnetwork + partenaires nationaux
Aider à préparer les documents Agences nationales de promotion des investissements, CDE, centres des échanges commerciaux, boite à outils, … IFC/PME
Promouvoir le salon et y faire venir des investisseurs CER + CAM/AOC + partenaires nationaux utilisant : l’USAID, la BM, IFC, l’UE, des ambassades, etc.
Préparer des études sur les opportunités du secteur CER + CAM/AOC s’appuyant sur l’ONUDI, l’USAID, les agences nationales de promotion des investissements, etc.
Processus de rapprochement Bidnetwork + partenaires nationaux
Salons des joint-ventures et des investissements agroalimentaires - contexte
15
Agro-industrie en Tanzanie / Présentation détaillée
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
16
Des salons d’investissements pour l’Afrique Australe et de l’Est
• La réunion de partenariat du secteur de l’agro-industrie EU-SADC de 2008 est un forum où des promoteurs et entrepreneurs d'Afrique australe présentent une palette soigneusement sélectionnée de nouveaux projets de développement commercial de haute qualité dans les secteurs de l’agriculture, de l’alimentation et liés à l’agriculture devant des entreprises européennes, internationales et d’Afrique australe.
• Axés sur:– des activités d’ajout de valeur et des initiatives de transformation et, dans une
moindre mesure, purement sur la production agricole primaire (qui n’est pas exclue) ;
– une entreprise d’Afrique australe détenant ou faisant la promotion de projets agroindustriels.
– toutes les phases du développement de projet considérées, sous réserve que les critères de sélection soient remplis
– les initiatives qui encouragent le développement commercial indigène, la création de richesse/d’emplois et la pérennité à long terme dans la région étaient prioritaires
• Cibler des investisseurs internationaux
Agribuiness Joint ventures / Investment fairs - case studies 17
Un large éventail de secteurs cible
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
18
SOMMAIRE
• Présentation détaillée de l’agro-industrie en Tanzanie
• Présentation de l’agro-industrie au Sénégal, 2002
• Réseau BID
• Autres
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
19
Fondation du réseau BID
La Compétition Business in Development (BiD) : pour développer et exécuter des business plans visant à bénéficier aux pays en voie de développement et à y réduire la pauvreté
La Compétition BID est un projet financé par les Pays-bas et basé à Amsterdam, soutenu en particulier par le ministère hollandais des Affaires étrangères et les organisations hollandaises ICCO et NCD.
BID dépend considérablement d’un soutien « en nature » d’entrepreneurs et de sociétés ayant réussi.
Depuis 2005, la Compétition BID a soutenu le lancement de 60 entreprises en Afrique, en Asie et en Amérique.
Présent en Afrique de l’Est : Kenya, Tanzanie, Ouganda
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
20
Le processus annuel de la Compétition BID
• La Compétition BID ne propose pas uniquement aux entrepreneurs une chance de remporter des prix en espèces, mais aussi d’accéder à une communauté en ligne d’entrepreneurs, d’investisseurs, d’entreprises et d’organisations. Le réseau BID garantit la visibilité de leurs plans et met des entrepreneurs en relation avec des financements et une expertise. Les participants reçoivent un retour professionnel et une assistance de coachs d'entreprise issus de sociétés hollandaises et d'ONG.– Les plans proposés pour la compétition sont jugés par certains dirigeants du secteur des
affaires hollandais. – Les meilleurs plans sont associés à des coachs professionnels, qui soutiendront et
encourageront les participants à rendre leurs plans bancables. – Les participants peuvent remporter jusqu’à 20 000 euros. En 2007, le jury a remis un total de
17 prix, de 5 000 à 20 000 euros chacun.• Le processus repose beaucoup sur un réseau virtuel de personnes, incluant plus
de 25 000 membres. – Plus de 800 professionnels venus de tous pays ont pris part à la compétition en tant que
sélectionneurs, coachs ou membres du jury. • Un lieu de rassemblement international fournit aux participants des opportunités
supplémentaires de trouver des investisseurs et d’établir des réseaux pour leurs futures entreprises. De nombreux entrepreneurs retournent chez eux avec un engagement d’un ou de plusieurs investisseurs.
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
21
Processus d’évaluation
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
22
Le round 2007 BID a reçu plus de 8 000 propositions de business plans, tous enregistrés dans
une base de données destinée aux investisseurs partenaires potentiels.
Le premier round a sélectionné plus de 2 000 entrepreneurs issus de 144 pays pour prendre part à cette compétition des business plans au profit des pays en voie de développement et y réduire la pauvreté.
Après le second tour de qualification, 38 plans d’entrepreneurs ambitieux ont été sélectionnés dans la compétition pour remporter jusqu’à 20 000 euros de prix en espèces, afin de pouvoir lancer ou développer leur propre entreprise dans un pays en voie de développement.
Concernant l’Afrique, en 2007, le Kenya et la Tanzanie participaient à une compétition nationale spécifique dans le cadre des 7 pays sélectionnés. D’autres entrepreneurs africains ont pris part à la compétition internationale.
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
23
Le Round 2007 au Kenya et en Tanzanie
• Propositions enregistrées :– 699 pour le Kenya – 391 pour la Tanzanie
• +/- 50 % des propositions d’affaires enregistrées ont passé le 1er tour.
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
24
Besoins des participants
Besoins en investissements des participants
75-80 % des propositions concernaient des start-ups.
Dans les deux pays, les projets agro-alimentaires représentaient la majorité des propositions
AECF, Fonds d'Appui Africain pour le Développement de l'Entreprise : un créneau spécial pour l’industrie
agroalimentaire
• L’AECF a été lancé en juin 2008• Son Conseil d’administration est composé des principaux bailleurs : DFID, NMFA,
BM, FIDA + PDDAA, etc.• L’objectif de cette proposition est d’utiliser l’AECF (un mécanisme testé et
éprouvé) afin de montrer comment l’approche du PDDAA (et en particulier la partie définie dans le domaine stratégique C du Pilier II) peut fonctionner :
– grâce à un cofinancement des investissements du secteur privé dans 3 à 5 (en fonction des fonds disponibles) chaînes de valeur spécifiques. Des subventions et des subventions remboursables (prêts à taux d’intérêt zéro) seront fournies aux projets du secteur privé [et des associations professionnelles] qui augmentent les revenus tirés à chaque phase de la chaîne de valeur en réduisant les coûts, développant la production et/ou ajoutant de la valeur au produit final.
• Créer un créneau au sein de l’AECF compris entre 15 et 25 millions d’USD afin de cofinancer des projets du secteur privé [et des associations professionnelles] conformes à l’approche de chaîne de valeur du PDDAA Le créneau financerait entre 3 à 5 appels d’offre en 2010 et 2011, chacun visant à allouer 5 millions d’USD en subventions aux projets au sein d’une chaîne de valeur donnée sur la période 2010 à 2015.
• L’attention est accordée aux moyennes entreprises, avec des subventions minimum de 250 000 USD
Agribuiness Joint ventures / Investment fairs - case studies 25
Rapport Doing Business, Banque mondiale
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
26
Bizclir / USAID….lancement d’Agclir
• En 2006, l’USAID a lancé le projet Bizclir, afin de promouvoir de meilleurs climats d’affaires, une croissance économique durable et un développement transformationnel par le biais d’une réforme des lois et réglementatiosn commerciales et d’un renforcement des capacités institutionnelles dans des pays cibles.
• Le programme propose une large gamme de services, outre le rapport d’évaluation général :– les outils de diagnostic : l’évaluation utilise les thèmes du Rapport Doing Business
(BM), mais détaille davantage l’évaluation (1 000 indicateurs analysés)• cadre juridique • institutions de mise en œuvre • institutions de soutien • dynamiques sociales.
– des produits de connaissances afin de partager les expériences liées à la réforme de l’environnement des affaires
– des services d’assistance technique pour cibler les contraintes identifiées au cours de l’évaluation
• En 2008, l’USAID a lancé une nouvelle série de rapports appelée Agclir qui utilise la même approche mais spécifiquement conçue pour l’environnement de l’industrie agroalimentaire. Le Ghana est arrivé premier, suivi du Sénégal et d’autres pays en Afrique de l’ouest et est.
Agribuiness Joint ventures / Investment fairs - case studies 27
Conseil des entreprises pour l’Afrique (CCA, Corporate Council on Africa)
• Créé en 1993, il vise à renforcer et faciliter la relation commerciale entre les États-Unis et le continent africain.
• Il réunit des partenaires potentiels et renforce le profil de l’Afrique aux EU en termes d’investissements en établissant des contacts et des relations commerciales essentiels et en fournissant un forum pour l’échange d’informations et d’idées.
• Le CCA et l’USAID se sont associés afin de créer la Public-Private Agriculture Initiative (PPAI), qui consiste en un processus sur trois ans conçu pour mettre en œuvre le Pilier II du PDDAA, par : – le renforcement des capacités des CER d’Afrique – l’engagement du secteur privé et l’affirmation de son rôle dans les processus de
prises de décisions – la facilitation des liens entre entreprises et commerciaux sur le plan régional et
mondial.
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
28
Conseil des entreprises pour l’Afrique (CCA) : Forum agroalimentaire EU-Afrique
Le Forum agroalimentaire EU-Afrique permet de discuter et d’échanger des idées sur l’investissement dans la production agricole, la transformation et la commercialisation des denrées alimentaires, les combustibles et le changement climatique.
Le Forum de deux jours inclut des sessions spécifiques à l’industrie, des opportunités d’établissement de réseau et des tables rondes traitant de questions transversales, telles que le financement, les marchés d’échanges de produits de base et la sécurité alimentaire, les investissements dans les infrastructures pour relier les marchés africains, l’amélioration des systèmes d’informations de marché, l’innovation de produits, la production et l'investissement dans les cultures industrielles et l'élevage, la croissance de l’industrie pharmaceutique et des biocarburants, les crédits carbone et les technologies de production
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
29
Initiative africaine de développement de l’agroalimentaire et de l’agro-industrie (3ADI)
• L’ONUDI, la FAO et le FIDA, en collaboration avec la BAD et l’Union africaine, ont lancé l'initiative de développement 3A.
• Cette initiative serait présentée aux Chefs d’Etat africains au cours de la Conférence de haut niveau sur le développement de l’agroalimentaire et de l’agro-industrie en Afrique qu’ils souhaitaient organiser en novembre 2009.
• Le principal objectif de l’initiative est d’augmenter le flux d’investissements du secteur privé vers le secteur agricole en Afrique en mobilisant des ressources pour le développement de l’agroalimentaire et de l’agro-industrie auprès des systèmes financiers nationaux et internationaux, par :– des politiques favorables et la fourniture de biens publics– des compétences et technologies nécessaires aux segments de post-production– des institutions et services innovants– des mécanismes de financement et d’atténuation des risques
Salons des joints-ventures et investissements agroalimentaires – études de cas
30