Chers amis,

Chaque année tous les catholiques (pratiquants ou pas) sont invités à donner une somme d’argent pour faire vivre leur Eglise : le Denier de l’Eglise.

À quoi sert le Denier ?

Le Denier sert en priorité à assurer les charges de vie courante des prêtres, leur traitement (environ 600 euros/mois), leurs assurances sociales (environ 660 euros/mois), mais aussi l’aide aux prêtres retraités. Le Denier permet aussi d’assurer le salaire des laïcs qui interviennent au service de l’Eglise diocésaine. Enfin, le Denier soutient les œuvres missionnaires du diocèse auprès des plus défavorisés, des jeunes et des familles, des anciens.

Augmenter le nombre de donateurs

En 2016, les dons ont augmenté un peu, mais pas le nombre de donateurs qui est en légère diminution. Dans le pôle de Melun nous sommes passés de 1252 à 1242 donateurs. Nous comptons sur vous pour que la tendance s’inverse en 2017. Pour y arriver, il faut que chaque famille participe et trouve un nouveau donateur.

Combien donner ?

L’Eglise invite chaque fidèle à donner, dans la mesure de ses moyens, l’équivalent de 1 à 2% de ses revenus annuels, ou bien 10% du montant de ses impôts ou encore la valeur de 2 ou 3 journées de travail.

Comment donner ?

En remplissant le tract du Denier et en le déposant dans les corbeilles de quête ou en le renvoyant directement au diocèse. Ou encore sur le site internet du diocèse www.catho77.fr

Merci !

En mon nom et au nom de tous mes confrères, au nom de tous ceux qui ont été accueillis et accompagnés au long de l’année par notre Eglise, permettez-moi de vous dire : Merci de votre confiance, Merci de votre soutien.

Avec votre Denier notre Eglise, c’est CONCRET ! Père Guillaume de LISLE

Certains font appel à leur foi Sel de la terre,

Lumière du monde.

Le disciple du Christ peut-il vivre retiré sur sa montagne ou doit-il

prendre sa part de la vie que construisent les hommes ? Plus même a-t-il quelque chose à dire ou à faire qui manifeste quel est son maître ? Aujourd’hui nous écoutons Jésus donner des indications à ses amis pour les guider dans leur choix, et pour cela employer des images : le sel, cette substance qui rend les aliments savoureux, mais aussi les conserve ; la lumière qui éclaire la maison. Plus même, il les invite à la

vigilance : un sel dénaturé perd son efficacité et devient impropre à toute utilisation ; mal placée la lumière est masquée par des obstacles qui font écran à son rayonnement.

Héritière de deux mille années d’histoire, l’Église n’a pas à rougir des efforts des croyants pour humaniser la vie commune ; bien sûr il y a eu des fautes et des erreurs, mais aussi que d’initiatives pour promouvoir la paix et une meilleure entente, pour canaliser les conflits et les violences, pour donner accès aux soins, à l’éducation, à la culture, pour participer à la recherche des sciences et au développement des techniques …

Bulletin de liaison des Communautés catholiques du Pôle Missionnaire de Melun Val de Seine (secteurs du Châtelet en Brie, Dammarie Les lys- La Rochette, Melun-Le Mée sur Seine, St Fargeau-Ponthierry-Pringy, Vaux-le-Pénil-Livry et les villages du Nord de Melun).

Le Denier, c’est

CONCRET !

- Dimanche 5 février : 5ème dimanche du temps ordinaire

QUÊTE SPÉCIALE POUR L’ENTRETIEN DES EGLISES ET DES

PRESBYTERES ADM à la sortie des messes

20 h à 21 h 30 à l’église Immaculée Conception de Melun, Soirée Raphaël

« Dieu guérit » : soirée de prière pour les personnes qui souffrent.

- Lundi 6 février : Les martyrs du Japon : st Paul Miki et ses compagnons

- Mardi 7 février : Férie 20 h 30 office de Vêpres en l’église Notre-Dame de la Visitation de La

Rochette village.

- Mercredi 8 février : St Jérôme Emilien, prêtre 20 h à Melun « 49 » parcours ALPHA ayant pour thème : « Pourquoi Jésus

est-il mort ».

- Jeudi 9 février : Férie

- Vendredi 10 février : Ste Scholastique, vierge, sœur de St Benoît

- Samedi 11 février : Notre Dame de Lourdes

25ème JOURNÉE MONDIALE DU MALADE (voir message du Pape François à l’intérieur)

18 h 30 à l’Immaculée Conception de Melun messe avec participation des

jeunes de l’aumônerie (6ème à terminale) de tout le Pôle. Pour les 4/3ème

repas partagé ensuite au « 49 ».

- Dimanche 12 février : 6ème dimanche du temps ordinaire

DIMANCHE DE LA SANTÉ

- Lundi 13 février : St Gilbert, évêque de Meaux (Xème siècle)

- Mardi 14 février : St Cyrille, moine, et st Méthode, évêque, copatrons de l’Europe

- Mercredi 15 février : Férie

- Jeudi 16 février : Férie

- Vendredi 17 février : Les Sept saints fondateurs de l’ordre des Servites

DU 17 AU 19 FÉVRIER RETRAITE POUR LES LYCÉENS

A ANDECY AVEC LA COMMUNAUTÉ DU VERBE DE VIE

- Samedi 18 février : Ste Bernadette Soubirous, vierge

- Dimanche 19 février : 7ème dimanche du temps ordinaire

L’année 2017 est pour notre pays une année électorale, et depuis des semaines les informations sont remplies des propositions des uns et des autres pour un meilleur avenir ; des propositions qu’il nous faut accueillir, sur lesquelles il nous faut exercer un discernement, car toutes ne sont pas équivalentes. Dans leur argumentation certains font appel à leur foi, d’autres par respect de l’intimité et des choix de chacun souhaitent que les choix religieux n’imposent pas des décisions. Le mot laïcité revient souvent. Est-ce à dire que les croyants n’ont rien à dire ou à apporter au débat ? Certes nous ne sommes plus à l’époque où l’organisation de l’état était liée à l’Église. Mais les croyants n’ont-ils rien à dire pour autant ; sans vouloir imposer leur foi ne sont-ils pas porteurs de valeurs qui peuvent être importantes pour tous et qui doivent être expliquées ? Depuis quelques années beaucoup se sont impliqués dans la mise en cause des recherches concernant la famille, et le message était important, mais il ne conviendrait pas non plus d’oublier que sur d’autres questions les chrétiens ont aussi une parole : le respect de toute personne humaine, la liberté de conscience, l’équité dans les relations sociales et économiques, l’avenir de la planète, la place des migrants, « tout l’homme et tous les hommes » disait autrefois Paul VI, les trois « T » dirait aujourd’hui François (avoir pour chacun : un toit, une terre, un travail). La démarche synodale du diocèse a choisi parmi ses pistes de réflexion : aller aux périphéries et rencontrer nos contemporains, vivre la charité qui témoigne du Christ ressuscité, évangéliser les jeunes et accompagner leurs familles, vivre le jour du Seigneur. N’est-ce pas dans ce contexte humain que notre réflexion doit s’exercer ?

Père Jean THURET

Secrétariat du Pôle Missionnaire de Melun-Val de Seine / 49, rue du Général de Gaulle – 77000 Melun Tél : 01 64 52 26 52 / E. mail : secretariat@meluncatholique.fr

http://www.meluncatholique.fr/

En raison des vacances scolaires, il n'y aura pas de Pôle Infos le

dimanche 12 février. Prochaine parution prévue le dimanche 19 février.

DIMANCHE DE LA SANTÉ LE 12 FÉVRIER C’est sur le thème « CHOISIS LA VIE » que se déroulera le dimanche de la santé, le 12 février.

Dans ce cadeau de la vie qui nous est fait, il s’agit de toujours choisir pour devenir témoin de Celui qui est la Vie !

(…) Dieu nous demande non pas de subir les évènements, mais, au fil de l’existence, dans les épreuves et les crises, de choisir le chemin de vie. Ce choix suppose de se poser pour ne pas laisser dominer en nous les émotions, les préjugés, les habitudes… Prendre le temps du discernement pour inscrire ce moment difficile dans une histoire. Ce travail de la conscience, même lorsqu’il est difficile, nous fait grandir en humanité (…)

(…) Choisir la Vie devient une invitation à mettre en œuvre la miséricorde de Dieu. Choisir de suivre le Christ jusqu’à la croix qui prend sens dans la logique du don de soi. Choisir sa vie ne se réduit pas à prendre la voie de la facilité ou du bonheur immédiat, mais à être témoin de Celui qui est la Résurrection et la Vie.

Extrait de l’éditorial du Père Jean-Marie ONFRAY Directeur adjoint du Service National Famille et Société

Ce dimanche se veut un temps fort de prière et d’attention au monde de la santé : les personnes malades mais aussi les soignants, les médecins, et tous ceux qui œuvrent pour le bien-être des patients ; notamment les bénévoles engagés par leur présence auprès des personnes souffrantes.

APRES-MIDI JEUX ET CHANTS À LA CHAPELLE SAINT FRANÇOIS

Une après-midi jeux (à l’intérieur et à l’extérieur si le temps le permet) et chants aura lieu à la chapelle Saint François le mercredi 15 février de 15 h à 18 h. Elle s’adresse à toutes les générations de 7 à 77 ans et plus … Une autorisation parentale écrite est nécessaire pour les mineurs. Contact : Père Olivier Dupont (06 78 71 19 79)

CONFÉRENCE : PRÉSENTATION DE L’OUVRAGE « Le Père Jacques - Carme, éducateur, résistant » M. Alexis Neviaski, docteur en histoire et conservateur du patrimoine, présentera l’ouvrage « Le Père Jacques - Carme, éducateur, résistant » le mardi 28 février prochain à 18 h 30 aux Archives départementales de Seine et Marne, 248 avenue Charles Prieur à Dammarie-lès-Lys. Entrée libre. Réservation obligatoire par téléphone au 01 64 87 37 81 / par mail : archives@departement77.fr / ou sur le site : archives.seine-et-marne.fr/resa-rdv

Le Père Jacques est le héros du film « Au revoir, les enfants » : ces paroles sont les dernières que le Père Jacques, directeur du Petit Collège d’Avon, adressa à ses élèves. Arrêté par la Gestapo le 15 janvier 1944 pour actes de résistance, il est déporté au camp de Mauthausen. « Juste parmi les Nations », son procès de béatification est en cours.

2017 - La rénovation de l’accueil-secrétariat du secteur de Melun-Le Mée et du Pôle Missionnaire

Comme annoncé pendant l’automne, les travaux de mise en conformité de l’accueil-secrétariat de la paroisse de Melun et du pôle vont bientôt démarrer. Le Père Guillaume de Lisle invite ceux qui le désirent à se retrouver le jeudi 23 février à 20h 30 au 49 rue du Général de Gaulle à Melun pour une présentation des travaux et de l’immobilier du secteur de Melun. Il répondra aux questions.

PRIÈRE POUR LA PAIX

Intention proposée par Pax Christi-Melun pour février 2017

Pour que les dialogues, fragiles, conduisent à des actes de réconciliation, le chemin peut être long et a besoin du soutien de la prière. Quelques exemples actuels peuvent attirer notre attention : accord passé entre belligérants pour cesser les combats en RD Congo, signature de la paix civile en Colombie, conférence sur la paix en Birmanie… Certes l’ombre persiste sur le Proche-Orient et, ailleurs, des frontières se ferment. Mais 2017 encore toute jeune est porteuse d’espoirs.

(…) « Mon Dieu, je T’offre (…) l’immense douleur de ce monde que Tu as créé et racheté :

les souffrances des enfants innocents, le long ennui des exilés, l’angoisse des chefs, et ce poids qui pèse si lourdement sur tous.

« Mon Dieu, qu’une étincelle de ta charité éclate en nos ténèbres et que l’aube de la paix se lève en cette année.

« Je te le demande en union avec tes saints, avec ton Eglise, avec ton Fils, Jésus-Christ, prince de la paix. »

Madeleine Daniélou

PÈLERINAGE à NOTRE DAME du LAUS

Cette année, du 25 au 28 mai, le pèlerinage annuel du Pôle de Melun nous

conduira au Sanctuaire de Notre Dame du Laus, en célébrant la fête de

l’Ascension le 25 mai à la Basilique Notre Dame de Fourvière à Lyon.

Nous nous imprégnerons du message et de la spiritualité du Laus dans un site

montagneux remarquable. Nous visiterons l’abbaye de Boscodon. Retour par

Grenoble que nous visiterons.

Coût du séjour : entre 260 € et 280 € (possibilité d’arrangement pour les familles).

Les inscriptions sont ouvertes dès à présent au moyen d’un tract à retirer à la Cité

paroissiale de Melun, au 49 rue du Général de Gaulle, ou dans les églises du Pôle,

avec versement d’un acompte de 50 €.

Vous pouvez venir à ce pèlerinage en famille, en couple, tout/e seul/e ou avec des

amis.

Message du Pape François pour la XXVe Journée Mondiale du Malade en 2017

Chers frères et sœurs,

Le 11 février prochain sera célébrée, dans toute l’Église et de façon particulière à Lourdes, la XXVème Journée mondiale du malade, sur le thème : Émerveillement pour tout ce que Dieu accomplit : « Le Puissant fit pour moi de grandes choses … » (Lc 1,49). Instituée par mon prédécesseur saint Jean-Paul II en 1992, et célébrée pour la première fois justement à Lourdes le 11 février 1993, cette Journée constitue une occasion d’attention spéciale à la condition des malades et, plus généralement, de ceux qui souffrent ; et en même temps elle invite qui se prodigue en leur faveur, à commencer par les proches, les personnels de santé et les volontaires, à rendre grâce pour la vocation reçue du Seigneur d’accompagner les frères malades. En outre, cette occasion renouvelle dans l’Église la vigueur spirituelle pour développer toujours mieux cette part fondamentale de sa mission qui comprend le service envers les derniers, les infirmes, les souffrants, les exclus et les marginaux (cf. Jean-Paul II Motu proprio Dolentium hominum, 11 février 1985, n. 1). Les moments de prière, les Liturgies eucharistiques et l’Onction des malades, le partage avec les malades et les approfondissements bioéthiques et théologico-pastoraux qui auront lieu à Lourdes en ces jours offriront certainement une nouvelle et importante contribution à ce service.

Me plaçant dès à présent spirituellement près de la Grotte de Massabielle, devant l’effigie de la Vierge Immaculée, en qui le Tout-Puissant a fait de grandes choses pour la rédemption de l’humanité, je désire exprimer ma proximité à vous tous, frères et sœurs qui vivez l’expérience de la souffrance, et à vos familles ; comme aussi mon appréciation à tous ceux qui, dans leurs différents rôles et dans toutes les structures sanitaires répandues dans le monde, agissent avec compétence, responsabilité et dévouement pour votre soulagement, votre traitement et votre bien-être quotidien.

Je désire vous encourager tous, malades, personnes qui souffrent, médecins, infirmières, proches, volontaires, à contempler en Marie, Salut des malades, la garante de la tendresse de Dieu pour chaque être humain et le modèle de l’abandon à sa volonté ; et à trouver toujours dans la foi, nourrie par la Parole et par les Sacrements, la force d’aimer Dieu et les frères aussi dans l’expérience de la maladie.

Comme sainte Bernadette, nous sommes sous le regard de Marie. L’humble jeune fille de Lourdes raconte que la Vierge, qu’elle a appelée “la Belle Dame”, la regardait comme on regarde une personne. Ces simples paroles décrivent la plénitude d’une relation. Bernadette, pauvre, analphabète et malade, se sent regardée par Marie comme une personne. La Belle Dame lui parle avec grand respect, sans prendre un air supérieur. Cela nous rappelle que chaque malade est et reste toujours un être humain, et doit être traité comme tel. Les infirmes, comme les porteurs de handicaps même très lourds, ont leur inaliénable dignité et leur mission dans la vie, et ne deviennent jamais de simples objets, même si parfois ils peuvent sembler seulement passifs, mais en réalité, ce n’est jamais ainsi.

Bernadette, après être allée à la Grotte, grâce à la prière transforme sa fragilité en soutien pour les autres, grâce à l’amour devient capable d’enrichir son prochain, et surtout, elle offre sa vie pour le salut de l’humanité. Le fait que la Belle Dame lui demande de prier pour les pécheurs nous rappelle que les infirmes, les personnes qui souffrent, ne portent pas seulement en eux le désir de guérir mais aussi celui de vivre chrétiennement leur vie, en arrivant à la donner comme d’authentiques disciples missionnaires du Christ. Marie donne à

Bernadette la vocation de servir les malades et l’appelle à être Sœur de la Charité, une mission qu’elle exprime dans une mesure si haute qu’elle devient un modèle auquel chaque agent de santé peut se référer. Demandons donc à l’Immaculée Conception la grâce de savoir nous mettre toujours en relation avec le malade comme avec une personne qui, certainement, a besoin d’aide, parfois aussi pour les choses les plus élémentaires, mais qui porte en elle un don personnel à partager avec les autres.

Le regard de Marie, Consolatrice des affligés, illumine le visage de l’Église dans son engagement quotidien pour les personnes dans le besoin et celles qui souffrent. Les fruits précieux de cette sollicitude de l’Église pour le monde de la souffrance et de la maladie sont un motif de remerciement au Seigneur Jésus, qui s’est fait solidaire avec nous, en obéissance à la volonté du Père et jusqu’à la mort de la croix, afin que l’humanité soit rachetée. La solidarité du Christ, Fils de Dieu né de Marie, est l’expression de la toute-puissance miséricordieuse de Dieu qui se manifeste dans notre vie – surtout quand elle est fragile, blessée, humiliée, marginalisée, souffrante – infusant en elle la force de l’espérance qui nous fait nous relever et nous soutient.

Tant de richesse d’humanité et de foi ne doit pas être perdue, mais plutôt nous aider à nous confronter à nos faiblesses humaines et, en même temps, aux défis présents dans le monde de la santé et de la technologie. À l’occasion de la Journée Mondiale du Malade nous pouvons trouver un nouvel élan pour contribuer à la diffusion d’une culture respectueuse de la vie, de la santé et de l’environnement ; une impulsion nouvelle à lutter pour le respect de l’intégralité et de la dignité des personnes, également à travers une approche juste des questions bioéthiques, de la protection des plus faibles et de la sauvegarde de l’environnement.

À l’occasion de la XXVème Journée mondiale du Malade, je renouvelle ma proximité dans la prière et mon encouragement aux médecins, aux infirmiers, aux volontaires et à toutes les personnes consacrées engagées au service des malades et des indigents ; aux institutions ecclésiales et civiles qui œuvrent dans ce domaine ; et aux familles qui prennent soin avec amour de leurs proches malades. À tous, je souhaite d’être toujours des signes joyeux de la présence et de l’amour de Dieu, en imitant le témoignage lumineux de tant d’amis de Dieu parmi lesquels je rappelle saint Jean de Dieu et saint Camille de Lellis, patrons des hôpitaux et du personnel de santé, et sainte Mère Teresa de Calcutta, missionnaire de la tendresse de Dieu.

Frères et sœurs, tous, malades, personnels de santé et volontaires, élevons ensemble notre prière à Marie, afin que sa maternelle intercession soutienne et accompagne notre foi et nous obtienne du Christ son Fils l’espérance sur le chemin de la guérison et de la santé, le sens de la fraternité et de la responsabilité, l’engagement pour le développement humain intégral et la joie de la gratitude chaque fois qu’elle nous émerveille par sa fidélité et sa miséricorde.

O Marie, notre Mère, qui, dans le Christ, accueille chacun de nous comme un enfant, soutiens l’attente confiante de notre cœur, secours-nous dans nos infirmités et nos souffrances, guide-nous vers le Christ ton fils et notre frère, et aide-nous à nous confier au Père qui accomplit de grandes choses.

Je vous assure tous de mon souvenir constant dans la prière et je vous adresse de grand cœur la Bénédiction apostolique.