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SEMAINE 4. DÉCRIRE
• C’est vs il est
• Adjectifs possessifs
• Professions
• Adjectifs qualificatifs
• Il y a
• La comparaison
Session 1 : Expliquer l’agenda. La photo comme complément de la mode et la vie quotidienne
Session 2 : Expliquer l’agenda. Regarder et comparer ses photos de devoir. Faire une gallérie
explicative avec ses 3 photos.
A LIRE (module 2)
L’évolution de la photographie de mode
La mode et la photographie sont deux arts qui partagent un point commun essentiel : ils reposent sur
l’image et le visuel. Nulle surprise donc qu’ils soient si étroitement liés depuis deux siècles. Pourtant,
tout comme sa cousine la peinture, la photographie a d’abord servi à promouvoir des personnes avant
de commencer à promouvoir des habits. À l’instar des portraits sur toile, il fallait avant tout mettre en
valeur le protagoniste. La tenue, les accessoires et le décor n’étaient là que pour renforcer son image
et véhiculer son pouvoir ou sa richesse quitte à stimuler l’illusion au maximum – un peu comme
Photoshop veut aujourd’hui nous faire croire que le temps n’a aucune prise sur les stars d’Hollywood.
La photographie de mode a donc connu un long parcours pour présenter un panorama de styles aussi
riche qu’aujourd’hui. Jetons un coup d’œil sur ses acteurs clé au fil du temps !
Le XIXème siècle et les premiers passionnés de style
Une des premières à marquer son intérêt pour la mode dans la photographie est Virginia de
Castiglione, alias la Comtesse de Castiglione et accessoirement la maîtresse de Napoléon III. Cette
noble piémontaise est prisée pour sa grande beauté dès l’adolescence, et surnommée « La Perla
d’Italia ». C’est suite à son arrivée à la Cour de France à ses 18 ans et à sa scandaleuse relation avec
Napoléon que les portes des salons privés d’Europe s’ouvrent à elle. C’est une occasion fabuleuse de
rencontrer tous les grands de l’époque, malgré une réputation controversée, la rumeur lui prêtant
un caractère capricieux et assez snob. C’est une diva des temps anciens en somme !
Passionnée de mode et d’accessoires, elle aime jouer de ses parures et se réinventer
continuellement. C’est donc tout naturellement qu’en 1856 elle commence à collaborer avec Pierre-
Louis Pierson, photographe de l’Empereur qui tient un atelier avec les frères Mayer. Elle restera son
modèle et sa muse quarante ans, si bien qu’il présentera son portrait en « Dame de Cœur » à
l’Exposition Universelle de 1867 à Paris.
Virginia aime mettre en scène, jouer avec la lumière et les illusions, créer un contexte dramatique, se
déguiser et arborer des tenues incroyables pour les photos. Sa somptueuse robe « Dame de Cœur »,
portée lors d’un bal masqué et jugée indécente avec son absence de corset et son cœur cousu à
hauteur du vagin, est un parfait exemple de son audace et son amour du style. Il n’y a pas de styliste
pour ces photos, ni de concept de marque ou de « produit ». Ce n’est donc pas encore à proprement
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parler de la « photographie de mode » mais c’est le début
d’une mise en avant des vêtements et de la recherche de
style sur papier glacé.
À la même époque, le photographe germano-français
Charles Reutlinger ouvre à Paris le premier studio photo
spécialisé en portrait des personnalités, en particulier
celles du monde du spectacle. Inspiré par les tendances
pictorialistes de la peinture, il crée des mises en scène
variées et recherchées, entre exotisme et traditionnel
dans un univers plein de rêverie. Il retravaille ensuite ses
photos avec de multiples effets. Les modèles deviennent
une forme d’art et le look est minutieusement étudié.
Dans le travail de Reutlinger, il y a une volonté de toucher
l’imaginaire collectif, d’amener le public à adopter un
style et donc de créer une certaine massification du goût
et du sens de l’esthétisme. On retrouve ici le concept de tendances, et bien ficelé puisque les
mannequins sont des célébrités aptes à diffuser celles-ci et à influencer le public.
Le début du vingtième siècle : l’expérimentation
Après ces débuts hésitants mais prometteurs au siècle précédent,
la photographie continue de se développer en matière de mode et
de style. Les photographes se lâchent, testent, proposent, innovent
et la mode prend un tournant majeur dans leur objectif. Les trois
frères Seeberger notamment fondent un atelier en 1905 et se
concentrent tout d’abord sur les paysages urbains et les quartiers
de Paris. C’est en 1909 qu’ils se lancent dans la mode et
immortalisent par la suite les plus belles créations françaises de
l’entre-deux guerre. Nombre de leurs photos paraîtront dans la
revue La Mode Pratique et dans la presse mondaine.
Avec ce trio, la mode sort des studios et s’immortalise enfin à
l’extérieur. Tels des « cool hunters » à l’œil avisé, ils ciblent les
tendances de la rue pour illustrer un cadre de vie et un
environnement en temps réel. S’ils étaient nés à notre époque, ils
auraient sans doute formé une équipe de bloggers street-style hors
pair.
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En parallèle, le photographe franco-allemand Adolf De Meyer suit
les traces de Reutlinger et de sa photographie poétique aux mises
en scène bien calculées. Son travail est constitué de jeux de
lumières et de contrastes, de flous délicats, d’ambiances fumées
et de poses étudiées, toujours avec un accent prononcé sur la
tenue vestimentaire et le rendu des tissus. Ses mannequins
apparaissent ainsi fantomatiques et aériennes dans une grâce
absolue.
Enfin, nous l’attendions toutes, il y a eu Man Ray. Photographe
mais aussi peintre et réalisateur, c’est un artiste complet et
polyvalent. Littéralement « homme du rayon de lumière », il a
intégré les idées du pictorialisme avec des mises en scène
élaborées dans ses photos et a détourné les protagonistes de
manière parfois – souvent – farfelue. L’exemple le plus frappant
et célèbre reste sa photo de Kiki de Montparnasse, sa muse
éternelle, enrubannée dans un turban et transformée en violon.
Le Violon d’Ingres de Man Ray (pris sur
l’Internaute).
Au-delà de l’objectification de ses modèles,
Man Ray aimait expérimenter à travers la
technique avec une double exposition, des
impressions en négatif, la solarisation… On le
fait nous aussi à chaque selfie sur Instagram,
sauf que lui n’avait ni logiciel ni téléphone et ne
pouvait pas compter sur un simple clic pour se
la jouer arty avec ses photos. Il a ainsi amorcé
de nombreuses innovations dans le traitement
d’image.
De rocaille.it.
Les années 20 et l’avènement du modernisme
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Après l’ambiance feutrée et exagérément poétique du pictorialisme pendant des décennies, de
nombreux photographes souhaitent retourner à un style plus
simple, à la recherche de l’objectivité. On passe donc d’une
photographie basée sur l’imaginaire à une photographie
centrée sur l’image tout court. Celle de la mode n’y échappe
pas et retourne à une approche plus épurée.
Avec Edward J. Steichen, les protagonistes connaissent
également une autre évolution, de mannequin à top model.
Elles ne sont plus statiques mais représentent un corps vivant
et dynamique, une personnalité et un style de vie.
De dantebea.com.
Entre les deux guerres mondiales se développent également
d’autres concepts dans la photographie en général, dont le
photojournalisme, soit les reportages.
Le milieu de siècle : la mode dynamique
Avec Munkacsi et Richard Avedon, les top models autrefois si concentrés
et figés peuvent enfin se mouvoir et gambader la truffe au vent tel
Snoopy. Aussi bien en studio qu’à l’extérieur, les photographes veulent
apporter plus de souplesse et de dynamisme à leur travail tout en
prenant des risques. Parce que le mouvement est flatteur pour les
modèles, mais également pour les vêtements qui semblent alors
prendre vie.
Sans surprise, un climat sportif se développe en même temps dans la photographie de mode au milieu
de cette effervescence. Les modèles gagnent en autonomie et pouvoir, et leur rôle devient bien plus
central et intéressant car elles doivent communiquer le décor et le mouvement telles des actrices.
On se détache un temps de la pop-culture mais on y retourne assez rapidement dans les années 60
avec le mouvement « Swinging London » et un esprit ultra pop bardé de néons et de lumières.
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Photo de Veruschka par Richard Avedon en 1967
(trouvée sur 8x10p).
À partir des années 70, la révolution sexuelle
C’est un tournant majeur pour le rôle de l’habit
dans la photographie de mode : on ne cherche plus
à couvrir le corps mais à le révéler, le sublimer et
l’exalter sans retenue, si bien que la nudité –
partielle ou totale – devient quasi omniprésente.
Si c’est un paradoxe, ce n’est pas le seul : la femme
devient une femme objet exposée, à la sensualité
exploitée sous tous les prétextes, et en même
temps elle gagne en pouvoir. De passive et
délicate, elle devient dominatrice, puissante et
manipule les hommes. Elle endosse même leurs
rôles en revêtant des vêtements (smoking,
cravate) ou attitudes (cigarette, alcool) autrefois
considérés comme masculins.
Maîtres dans le jeu de ces nouveaux codes, Guy
Bourdin et Helmut Newton s’en donnent à cœur
joie et photographient sans filtre la femme sous
toutes ses coutures et toutes ses courbes. Suite à
cette ambiguïté des rôles et la suggestion de
séduction entre les femmes et les hommes, ceux-ci
finissent par intégrer la photographie de mode. Ils
n’échappent pas non plus à l’hypersexualisation
ambiante. Leur nudité est cependant moins
flagrante et joue plus sur la sportivité du corps à
travers l’exposition des muscles saillants, comme
on peut le voir dans le travail de Bruce Weber ou
de Herb Ritts. Les années 90 se font bien plus
sobres après toute cette frénésie, et on prêche un
retour au minimalisme et au basique avec par
exemple Peter Lindbergh. C’est la décennie de l’élégance et de la simplicité.
Photographie d’Helmut Newton (de brandarex.fr)
Le XXIème : le melting-pot
Une seule règle d’or pour ce début de siècle : liberté ! Il n’y a plus de limites, et cet âge d’or de la
photographie de mode permet à chacun de développer son propre style. Certains comme David
LaChapelle choisissent d’aller à contre-courant du minimalisme des années 90 en recréant des décors
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complètement excentriques avec des couleurs flashy et acidulées, des paillettes et du clinquant,
narration fantastique et culture pop à l’extrême…
De davidlachapelle.com.
On est en plein dans le glamour
kitsch, pour mon plus grand
bonheur. D’autres visent le
réalisme et la provocation, à la
limite de la pornographie pour
Terry Richardson, le très
controversé photographe des
stars.
De chicquero.com.
Enfin, on retrouve un mix des deux avec de la photographie suggestive dans un contexte commun,
loin des studios monochromes ou des décors sophistiqués. Pour le photographe Juergen Teller, cela
peut être Kate Moss déchirée dans un vieux salon ou Vivienne Westwood nue comme un ver
les jambes écartées sur un fauteuil.
Sur artribune.com.
Comme l’ensemble des arts, la photographie de mode
innove continuellement tout en puisant régulièrement
dans le passé, en remodelant ce qui fut pour créer la
tendance de demain. Sans surprise également, les
limites sont constamment repoussées dans la
technique comme dans les sujets et la provocation ne
passe jamais de mode. Le corps de la femme est devenu une clé de ce phénomène, on déshabille pour
promouvoir les habits, on casse les codes des genres, on censure puis on surexpose. Quels nouveaux
paradoxes nous présentera la photographie de mode dans les décennies à venir ? Suspense… Mais
avec cette petite rétrospective, nous sommes parées pour détecter toute inspiration découlant du
passé !
C'est et il est
1. Emploi de c'est Pour identifier une chose ou une personne, on utilise c'est (ce sont au pluriel) + nom. Exemples : - C'est un livre. - Ce sont des amis.
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- C'est un cousin. - C'est Sophie, ma voisine.
2. Emploi de il est Pour décrire une chose ou une personne, on utilise il est/elle est (ils sont/elles sont au pluriel) + adjectif ou profession. Exemples : - C'est un livre. Il est cher. - Ce sont des livres. Ils sont chers. - C'est un bon ami. Il est très gentil. - C'est Sophie. Elle est belge. Elle est professeur.
Les adjectifs possessifs
1. Emploi On utilise l'adjectif possessif pour désigner un possesseur. Exemples : - Ce n'est pas ton livre, c'est mon livre. - Vos cousins sont devenus nos amis.
L'adjectif possessif s'accorde avec le nom auquel il se rapporte. Exemples : - Mon père (masculin singulier) est blond. - Ma mère (féminin singulier) est blonde. - Mes parents (masculin pluriel) sont blonds. - Mes sœurs (féminin pluriel) sont blondes.
2. Tableau des adjectifs possessifs
je tu il/elle
mon
père
ton
père
son
père
ma
mère
ta
mère
sa
mère
mes
parents
tes
parents
ses
parents
nous vous ils/elles
notre père votre père leur père
notre mère votre mère leur mère
nos parents vos parents leurs parents
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Attention ! Devant a, e, i, o, u et h ma, ta, sa s'écrivent " mon, ton, son.
C'est mon amie (une amie) et non c'est ma amie. C'est mon école (une école) et non c'est ma école.
Les professions
1. Règle générale Le nom de la profession s'accorde avec le nom auquel il se rapporte. Quand une profession est au féminin, on ajoute un e à la fin. Exemples : Mon père est avocat, ma mère est aussi avocate.
Quand le nom d'une profession se termine par e au masculin, il ne change pas de forme au féminin. Exemples : Mon père est psychologue, ma mère est aussi psychologue.
2. Cas particuliers Certains noms de professions s'écrivent de la même manière au masculin et au féminin. Exemples : Mon père est médecin, ma mère est aussi médecin.
Certaines professions changent de forme au féminin. Elles sont détaillées ci-dessous.
Les professions qui changent de forme au féminin
-er boulanger
fromager
boucher
pâtissier
infirmier
boulangère
fromagère
bouchère
pâtissière
infirmière
-eur serveur
danseur
vendeur
serveuse
danseuse
vendeuse
-teur acteur
éditeur
agriculteur
instituteur
Exception : chanteur
actrice
éditrice
agricultrice
institutrice
Exception : chanteuse
-ien musicien
chirurgien
musicienne
chirurgienne
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Les adjectifs qualificatifs
» A. Emploi Les adjectifs qualificatifs servent à qualifier une chose ou une personne. Exemples : - Sophie est charmante et intelligente. - C'est une grande maison. Ils s'accordent en genre et en nombre avec le nom auquel ils se rapportent. En général, ils prennent un -e au féminin, et un -s au pluriel. Exemples : - Il est grand et fort. (masculin singulier) - Elle est grande et forte. (féminin singulier) - Ils sont grands et forts. (masculin pluriel) - Elles sont grandes et fortes. (féminin pluriel)
» B. Formes particulières Certains adjectifs changent de forme au féminin. En voici une liste. Tableau des adjectifs qualificatifs
masculin féminin
-if actif
agressif
productif
active
agressive
productive
-on bon
mignon
bonne
mignonne
-eux heureux
joyeux
heureuse
joyeuse
-er étranger
particulier
étrangère
particulière
Les adjectifs qui ont un masculin en -e ne changent pas de forme au féminin. Exemple : Il est stupide. Elle est stupide.
» C. Irrégularités Certains adjectifs courants sont irréguliers. Leur féminin suit une autre règle.
masculin féminin
-eau beau
nouveau
belle
nouvelle
-ieux vieux vieille
-anc blanc blanche
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-os gros grosse
-il gentil gentille
Il y a
Il y a s'utilise pour identifier des choses ou des personnes dans un lieu.
Cette forme est toujours au singulier.
Exemples :
- Dans le salon, il y a une table.
- Il y a une femme qui attend.
- Dans le salon, il y a des tables.
- Il y a des femmes qui attendent.
La comparaison
Pour comparer deux personnes, deux choses, deux actions (supériorité, infériorité, égalité), on utilise les expressions suivantes : - plus + adjectif + que Exemples : - Paul est plus grand que Jacques. - Kim est plus jeune que Diana. - Il fait plus chaud qu'hier. - plus + adverbe + que Exemples : - Paul parle plus facilement que Jacques. - Kim cuisine plus légèrement que Diana. - Tu conduis plus prudemment que Carlotta. - moins + adjectif + que Exemples : - Paul est moins grand que Jacques. - Kim est moins timide que Diana. - Il fait moins froid qu'hier. - moins + adverbe + que Exemples : - Paul parle moins facilement que Jacques. - Kim cuisine moins légèrement que Diana. - Tu conduis moins prudemment que Carlotta. - aussi + adjectif + que Exemples : - Paul est aussi grand que Jacques.
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- Kim est aussi gentille que Diana. - Il fait aussi froid qu'hier. - aussi + adverbe + que
Exemples : - Paul parle aussi rapidement que Jacques.. - Kim joue du piano aussi bien que Diana. - Tu joues aussi nerveusement qu'hier.
Attention ! : - que devient qu' devant a, e, i, o, u, y, h. - le comparatif de bon est meilleur, celui de bien est mieux. Exemples : - Ce café (cette tarte) est bon (bonne), mais l'autre est meilleur (meilleure). - Cet exemple est bien, mais l'autre est mieux.
Travaille
Complétez les phrases ci-dessous par un adjectif possessif 1. Papa a une voiture. C'est _____________________________ voiture. 2. Les enfants ont fait _____________________________ devoirs avant d'aller jouer. 3. Est-ce que c'est votre chien Paul ? -Oui, c'est _____________________________ chien. 4. J'ai des souliers noirs. - Ce sont _____________________________ souliers. 5. Nous avons tous des stylos rouges. -Ce sont _____________________________ stylos. 6. Vous avez deux dictionnaires. -Ce sont _____________________________ dictionnaires. 7. J'ai deux frères. -Ce sont _____________________________ frères. 8. Elle a un chapeau noir. -C'est _____________________________ chapeau. 9. J'ai une bicyclette. -C'est _____________________________ bicyclette. 10. Tu as une amie. -C'est _____________________________ amie.
Faites le bon choix.
1) Dans notre pays __________________ dix ou douze grandes villes. [ ]est [ ]il y a 2) Ces villes __________________ beaucoup d'habitants. [ ]sont [ ]ont [ ]il y a 3) Notre ville __________________ la capitale du pays. [ ]est
12
[ ]a [ ]il y a 4) Dans notre rue __________________ trente maisons à peu près. [ ]sont [ ]ont [ ]il y a 5) Ces maisons __________________ à deux étages en général. [ ]ont [ ]il y a [ ]sont 6) Notre maison __________________ grande et très belle. [ ]est [ ]a 7) Dans notre maison __________________ trois chambres et deux salles de bains. [ ]il y a [ ]sont 8) L'une des salles de bains __________________ au rez-de-chaussée, l'autre à l'étage. [ ]est [ ]il y a [ ]avons 9) En face de notre maison __________________ un joli parc. [ ]est [ ]il y a 10) Ce parc __________________ toujours très bien entretenu. [ ]est [ ]il y a [ ]a 11) Dans ce parc __________________ une dizaine de bancs. [ ]il y a [ ]sont [ ]a 12) Trois de ces bancs __________________ rouges, les autres bruns. [ ]il y a [ ]sont 13) Dans ce parc __________________ toujours beaucoup d' enfants avec leurs parents. [ ]sont [ ]il y a [ ]ont
13
14) Pendant la nuit, __________________ personne dans ces rues. [ ]n'est [ ]ne sont [ ]il n'y a 15) Personne __________________ content s'il y a trop de bruit la nuit. [ ]n'est [ ]n'y est pas [ ]n'il y a 16) Les personnes qui __________________ souvent dans le parc, y plantent des fleurs. [ ]ont [ ]sont [ ]il y a 17) Dans notre quartier, __________________ trois ou quatre supermarchés. [ ]avons [ ]il y a [ ]sont 18) Nous faisons nos achats dans le supermarché qui __________________ dans la rue d'à côté. [ ]est [ ]il y a [ ]avons 19) Dans ce supermarché __________________ de tout: des choses à manger, à boire, pour la maison et le jardin aussi. [ ]il y a [ ]sont [ ]ont 20) Quand nous __________________ faim, nous pouvons manger dans un restaurant pas trop cher. [ ]avons [ ]sommes
Exercice : Accorder l'adjectif entre parenthèses
1. Cet enfant mange trop de plats (sucré) ______________________________, il faudrait qu'il fasse attention. 2. Cette année les pluies ont été (abondant) ______________________________, je crains que les fruits soient hors de prix. 3. Que cette femme est (nerveux) ______________________________, regarde-la, elle ne tient pas en place. 4. Les enfants avaient mis leurs chemises (rose) ______________________________ et s'apprêtaient à entrer en scène. 5. Magalie et Sandrine sont très (coquet) ______________________________, on ne peut pas en dire autant d'Anaïs.
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6. Ces jeunes filles sont vraiment (intelligent) ______________________________, leur professeur leur prédit un grand avenir. 7. J'aimerais bien acheter ces pantalons mais ils sont trop (grand)______________________________ pour moi. 8. Ces deux fillettes sont vraiment très (gentil) ______________________________, leurs parents ont de la chance ! 9. Ne trouves-tu pas que les poneys, avec leurs robes (fauve) ______________________________, sont du plus bel effet dans le défilé ? 10. Ces fleurs (blanc) ______________________________ seront à livrer demain à Madame Martin. Elle marie sa fille.
Dans l'exercice : (+) supériorité, (-) infériorité, (=) égalité
Il y a (+) _____________________________ moustiques que l'an dernier. Cette nuit Tom a été piqué (=) _____________________________ que son frère si ce n'est plus.
Je travaille (+) _____________________________ que toi, je fais (+) _____________________________ révisions que toi. Ce n'est pas normal que tu aies d' (=)_____________________________ bonnes notes que moi.
Lyne sert (+) _____________________________ que Marie, mais Marie a un (+)_____________________________ coup droit. Je pense que Marie est (+) _____________________________ et qu'elle va gagner le match.
Je suis désolée de constater que Sophie est l'enfant (-)_____________________________ sérieuse de la famille. Elle ne pense qu'à s'amuser, elle travaille (-)_____________________________ que ses sœurs et obtient bien sûr les résultats (+) _____________________________ faibles.
Fred est (-) _____________________________ exubérant que son frère, c'est évidemment, lui qui parle (-)_____________________________, mais ce qu'il dit est souvent (+) _____________________________ intéressant.