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John Geens et son frère Florian avaient un rêve : ouvrir un magasin de jeux vidéo. C’est désormais chose faite grâce à la SOCAMUT qui leur a apporté son soutien financier. John et Florian sont accros aux jeux vidéo depuis leur plus ten- dre enfance. C’est donc tout na- turellement que les deux frères ont voulu faire de leur passion leur métier. « Nous avons eu envie de devenir nos propres patrons en commercialisant des produits que nous connaissions sur le bout des doigts », expliquent-ils. L’aventure a débuté il y a un an, alors que les deux frères se retrouvent sans emploi. John et Florian font appel au guichet d’entreprise Job’in qui les aide à monter un dossier solide. « Nous avons déterminé qu’il nous fallait 57.000 pour nous lancer », se souvient John. Mais les frères ne disposent ensemble que de 12.500 de fonds propres. « Nous avons sollicité une aide finan- cière auprès d’un premier organisme, racontent les frères Geens, mais après deux longs mois d’attente, nous apprenions que notre demande était refusée ». John et Florian ne se découragent pas pour autant. Ils contactent alors leur banquier et lui parle du Produit Mixte de la SOCAMUT. En moins d’une semaine, ils reçoivent une réponse, positive cette fois. « Grâce au Produit Mixte, nous avons pu contracter un prêt de 37.500 et notre banquier a accepté de nous prêter les 7.000 restant », détaille John. Les frangins sont heureux et confiants. « Si les choses se passent moins bien que prévu, les risques sont très limités, pour nous comme pour la banque, souligne John, En revanche, si l’avenir nous sourit, pourquoi ne pas envisager l’ouver- ture d’un second commerce ? Une chose est sûre : nous n’hésiterons pas à refaire appel à la SOCAMUT ! » La SOCAMUT propose jusqu’à 37.500 de crédit pour les micro-entreprises et les indépendants wallons Un nouveau prêt pour les entrepreneurs wallons L es entrepreneurs volon- taires ne manquent pas en Wallonie. Seulement voilà, au moment de lancer une affaire, bon nombre d’entre eux se voient refuser l’accès au financement de leur projet. En cause : ils ne disposent pas de suffisamment de garanties pour rassurer les organismes dispensateurs de crédits. Pour répondre aux besoins des micro-entreprises et des indépen- dants, la SOCAMUT a imaginé un nouvel outil financier capable de leur faciliter l’accès au cré- dit et d’alléger les démarches administratives. Ce produit est dit « Mixte » car il combine un prêt et une garantie. Jusqu’à 37.500Micro-entreprises, indépendants (à titre principal ou complé- mentaire), artisans, titulaires de profession libérale, commer- çants : tous peuvent bénéficier du Produit Mixte de la SOCAMUT pour autant que le siège de leur entreprise (ou future entreprise) soit situé en Wallonie. Cette méthode de financement peut intervenir à la création de l’en- treprise mais aussi à différents stades de vie de celle-ci. Ainsi, le Produit Mixte peut être utile à tout entrepreneur qui acquiert de nouvelles machines, du ma- tériel, qui achète ou transforme un bâtiment, ou plus simplement qui a un besoin de trésorerie. Concrètement, l’entrepreneur qui sollicite un crédit auprès de sa banque (de 25.000 maximum) peut bénéficier d’une garantie de 75% sur ce crédit de la part de la SOCAMUT. Il aura par ailleurs la possibilité d’obtenir un prêt su- bordonné de la SOCAMUT d’une valeur maximale de 12.500. En résumé, l’indépendant peut obtenir jusqu’à 37.500 de crédit sans que ne lui soit réclamé de sûreté ni de mise de fonds per- sonnels. Le banquier, de son côté, est lui aussi satisfait car le risque qu’il encourt est minime. Sans délai Mais ce qui est réellement no- vateur dans ce produit, c’est son caractère automatique. Fini les démarches administratives à rallonge : la banque ne doit pas obtenir l’aval préalable de la SOCAMUT pour accorder le financement. La décision re- vient au banquier qui s’engage simplement à informer la SO- CAMUT. Celle-ci contacte alors l’entrepreneur afin de signer la convention de prêt et de libérer les fonds. Simple, efficace et ultra-rapide ! www.socamut.be John et Florian ont décroché un prêt grâce à la SOCAMUT. Pourquoi pas vous ? Simple et rapide L’idée 1. Vous avez une idée pour lancer ou développer votre propre affaire. Le plan d’aaires 2. Avec l’aide d’un profes- sionnel vous étudiez la faisabilité de votre projet et concevez un plan d’affaires réaliste. La recherche 3. de financement Vous avez besoin d’un crédit : vous allez voir votre banquier. Il juge votre projet prometteur malgré le fait que vous n’ayez pas de garanties suffisantes. L’octroi du crédit 4. Grâce à la garantie de la SOCAMUT, la banque consi- dère les garanties comme suffisantes pour octroyer le crédit. Le lancement 5. de votre aaire La banque débloque les fonds nécessaires et vous lancez votre activité. 18451080

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Socamut. La Société des Cautions Mutuelles de Wallonie.

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Page 1: Socamut

John Geens et son frère Florian avaient un rêve : ouvrir un magasin de jeux vidéo. C’est désormais chose faite grâce à la SOCAMUT qui leur a apporté son soutien fi nancier.John et Florian sont accros aux jeux vidéo depuis leur plus ten-dre enfance. C’est donc tout na-

turellement que les deux frères ont voulu faire de leur passion leur métier. « Nous avons eu envie de devenir nos propres patrons en commercialisant des produits que nous connaissions sur le bout des doigts », expliquent-ils.L’aventure a débuté il y a un an, alors que les deux frères se

retrouvent sans emploi. John et Florian font appel au guichet d’entreprise Job’in qui les aide à monter un dossier solide. « Nous avons déterminé qu’il nous fallait 57.000 ! pour nous lancer », se souvient John. Mais les frères ne disposent ensemble que de 12.500 ! de fonds propres.« Nous avons sollicité une aide fi nan-cière auprès d’un premier organisme, racontent les frères Geens, mais après deux longs mois d’attente, nous apprenions que notre demande était refusée ». John et Florian ne se découragent pas pour autant. Ils contactent alors leur banquier et lui parle du Produit Mixte de la SOCAMUT.

En moins d’une semaine, ils reçoivent une réponse, positive cette fois. « Grâce au Produit Mixte, nous avons pu contracter un prêt de 37.500 ! et notre banquier a accepté de nous prêter les 7.000 ! restant », détaille John.Les frangins sont heureux et confi ants. « Si les choses se passent moins bien que prévu, les risques sont très limités, pour nous comme pour la banque, souligne John, En revanche, si l’avenir nous sourit, pourquoi ne pas envisager l’ouver-ture d’un second commerce ? Une chose est sûre : nous n’hésiterons pas à refaire appel à la SOCAMUT ! »

La SOCAMUT propose jusqu’à 37.500 de crédit pour les micro-entreprises et les indépendants wallons

Un nouveau prêt pour les entrepreneurs wallons

L es entrepreneurs volon-taires ne manquent pas en Wallonie. Seulement

voilà, au moment de lancer une affaire, bon nombre d’entre eux se voient refuser l’accès au fi nancement de leur projet. En cause : ils ne disposent pas de suffi samment de garanties pour rassurer les organismes dispensateurs de crédits.

Pour répondre aux besoins des micro-entreprises et des indépen-dants, la SOCAMUT a imaginé un nouvel outil fi nancier capable de leur faciliter l’accès au cré-dit et d’alléger les démarches administratives. Ce produit est dit « Mixte » car il combine un prêt et une garantie.

Jusqu’à 37.500!Micro-entreprises, indépendants (à titre principal ou complé-mentaire), artisans, titulaires de profession libérale, commer-

çants : tous peuvent bénéfi cier du Produit Mixte de la SOCAMUT pour autant que le siège de leur entreprise (ou future entreprise) soit situé en Wallonie. Cette méthode de fi nancement peut intervenir à la création de l’en-treprise mais aussi à différents stades de vie de celle-ci. Ainsi, le Produit Mixte peut être utile à tout entrepreneur qui acquiert de nouvelles machines, du ma-tériel, qui achète ou transforme un bâtiment, ou plus simplement qui a un besoin de trésorerie.Concrètement, l’entrepreneur qui sollicite un crédit auprès de sa banque (de 25.000 ! maximum) peut bénéfi cier d’une garantie de 75% sur ce crédit de la part de la SOCAMUT. Il aura par ailleurs la possibilité d’obtenir un prêt su-bordonné de la SOCAMUT d’une valeur maximale de 12.500!. En résumé, l’indépendant peut obtenir jusqu’à 37.500 ! de crédit sans que ne lui soit réclamé de

sûreté ni de mise de fonds per-sonnels. Le banquier, de son côté, est lui aussi satisfait car le risque qu’il encourt est minime.

Sans délaiMais ce qui est réellement no-vateur dans ce produit, c’est son caractère automatique. Fini les démarches administratives à rallonge : la banque ne doit pas obtenir l’aval préalable de la SOCAMUT pour accorder le fi nancement. La décision re-vient au banquier qui s’engage simplement à informer la SO-CAMUT. Celle-ci contacte alors l’entrepreneur afi n de signer la convention de prêt et de libérer les fonds. Simple, effi cace et ultra-rapide !

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John et Florian ont décroché un prêt grâce à la SOCAMUT. Pourquoi pas vous!?

Simple et rapide

L’idée1. Vous avez une idée pour lancer ou développer votre propre affaire.

Le plan d’a! aires2. Avec l’aide d’un profes-sionnel vous étudiez la faisabilité de votre projet et concevez un plan d’affaires réaliste.

La recherche 3. de fi nancement

Vous avez besoin d’un crédit : vous allez voir votre banquier. Il juge votre projet prometteur malgré le fait que vous n’ayez pas de garanties suffi santes.

L’octroi du crédit4. Grâce à la garantie de la SOCAMUT, la banque consi-dère les garanties comme suffi santes pour octroyer le crédit.

Le lancement 5. de votre a! aire

La banque débloque les fonds nécessaires et vous lancez votre activité.

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Vanessa Grolman cherchait une opportunité d’affaires depuis des années. Dans quelques jours, elle ouvre son premier bar à sou-rire. Grâce au soutien fi nancier de la SOCAMUT.

La dernière tendance pour ob-tenir un sourire éclatant, c’est de se rendre dans un bar à sourire. Ce nouveau concept commercial qui promet une dentition immaculée en 20 minutes remporte un franc succès. Il n’a pas échappé à Vanessa Grolman qui s’apprête à inaugurer son premier bar à sourire à Liège. « Je suis esthéti-cienne de formation, souligne-t-elle, depuis plusieurs années, je cherchais une opportunité pour me lancer en tant qu’indépendante ». L’aventure de Vanessa commen-ce il y a quelques mois, alors que la jeune femme regarde

une émission télévisée sur le concept des bars à sourire im-porté des Etats-Unis. « Je me suis dit : voilà ce que je veux faire ! Dès le lendemain, j’appelais le guichet d’entreprise Job’in », se souvient la Liégeoise. Les conseillers Job’In l’aident alors à monter un dos-sier solide.« Nous avons déterminé qu’il me fallait environ 45.000! pour lancer mon affaire », précise Vanessa. Mais elle ne dispose que de 12.000! de fonds propres, pas assez pour rassurer les orga-nismes de crédit qui redoutent d’investir dans un marché en-core peu connu. « Je suis allée

voir mon banquier en lui parlant du Produit Mixte de la SOCAMUT. En moins, d’une semaine, je recevais une réponse positive ». Grâce à cet outil fi nancier, Vanessa contracte un prêt de 37.500! et accède à son rêve. « Sans l’appui de la SOCAMUT, aucun banquier ne m’aurait sui-vie», estime-t-elle. D’ici quelques jours, le bar à sourire de Va-nessa ouvrira ses portes. Mais la belle ne compte pas s’arrêter là. « J’ambitionne d’ouvrir plusieurs établissements en créant un réseau de franchisés. Et si mon projet aboutit, je n’hésiterai pas refaire appel à la SOCAMUT ».

Un coup de poucepour les femmes entrepreneurs

Vanessa a décroché un prêt grâce à la SOCAMUT. Pourquoi pas vous!?

L a Wallonie regorge de femmes dynamiques, prêtes à lancer leur

entreprise. Seulement voilà, au moment de démarrer une affaire, bon nombre d’entre elles se voient refu-ser l’accès au fi nancement de leur projet. Mais des initiatives sont mises en place pour booster l’entre-preneuriat féminin.

A en croire les chiffres, l’acte d’entreprendre se conjugue plus diffi cilement au féminin. En Wallonie, à peine 30% de l’entrepreneuriat est repré-senté par des femmes. Qua-tre raisons majeures à cela : le manque de formation, la crainte du risque, la volonté de

concilier vie de famille et vie professionnelle, et la diffi culté d’accès au fi nancement.

Un crédit adaptéDans le but de favoriser le lan-cement d’entreprises féminines et le fi nancement de l’activité des indépendantes, des initia-tives ont été lancées en Wal-lonie. Une structure comme la SOCAMUT (fi liale de la SO-WALFIN - Société Wallonne de Financement et de Garantie des Petites et Moyennes Entreprises) collabore notamment avec les grandes institutions fi nanciè-res pour répondre aux besoins des petits entrepreneurs, tant féminins que masculins.La SOCAMUT a ainsi imaginé un nouvel outil fi nancier ca-

pable de faciliter l’accès au cré-dit et d’alléger les démarches administratives : le Produit Mixte. Particulièrement bien adapté au profi l des femmes porteuses de projets qui rencon-trent des diffi cultés à fournir des garanties au banquier, le Produit Mixte peut intervenir à différents stades de vie de l’entreprise : à sa création, mais aussi au moment d’acquérir du matériel, de transformer un bâtiment, ou plus simplement de répondre à un besoin de trésorerie.

Jusqu’à 37.500 !Concrètement, celui ou celle qui sollicite un crédit auprès de sa banque (de 25.000 ! maxi-mum) peut bénéfi cier d’une

garantie de 75% sur ce crédit de la part de la SOCAMUT. Il a par ailleurs la possibilité d’ob-tenir un prêt subordonné d’une valeur maximale de 12.500 !. En résumé, l’indépendant peut obtenir jusqu’à 37.500 ! de crédit sans que ne lui soit réclamé de sûreté ni de mise de fonds personnels. Le banquier, de son côté, est lui aussi satisfait car le risque qu’il encourt est minime.Autre atout du Produit Mixte : la banque ne doit pas obtenir l’aval préalable de la SOCAMUT pour accorder le fi nancement. Le banquier décide et la SOCA-MUT libère les fonds. Simple, effi cace et ultra-rapide !

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Page 3: Socamut

Giuseppe Speciale rêvait d’ouvrir son propre restaurant depuis de longues années. C’est désormais chose faite grâce au soutien fi nancier de la SOCAMUT.

Giuseppe a fait toutes ses études dans la restauration, sa passion. Après quelques années passées à travailler pour différents pa-trons, il décide d’ouvrir son propre restaurant. « J’avais envie de me lancer un nouveau défi , je voulais partager ma cuisine ». Giuseppe se met alors en quête d’un établissement à remettre pour un prix raisonnable. Il trouve rapidement son bonheur à Liège. Mais le parcours du combattant commence... Sûr de lui et de son projet, Giu-seppe se rend dans sa banque, celle chez qui il a toujours été et qui va certainement pouvoir

l’aider. Les premiers rendez-vous sont encourageants mais très vite, notre restaurateur déchante. Après plus de 4 mois de tractations, de rendez- vous, de documents à renvoyer, Giu-seppe reçoit un refus du siège central. « J’étais très stressé car j’avais donné ma parole à l’ancien propriétaire du restaurant. Je pensais que l’argent allait m’être prêté sans problème. C’était avant de réaliser que les banques font diffi cilement confi ance aux jeunes entrepreneurs. On me réclamait une somme folle en fonds propres, ou alors je devais mettre la maison de mes parents en garantie. Inacceptable pour moi ».

Notre Liégeois décide alors de tenter sa chance dans une autre banque, quitte à tout recommencer à zéro. « Dès le début, le banquier m’a parlé de la SOCAMUT et de la possibilité d’obtenir un prêt de afi n de pou-voir me lancer », se souvient-il. Grâce à l’aide de la SOCAMUT, Giuseppe a reçu un prêt de 30.000! lui permettant de racheter le fond de commerce et d’enfi n vivre son rêve. « Sans le soutien de la SOCAMUT , je n’aurais jamais pu ouvrir mon restaurant. J’en ai d’ailleurs parlé à un ami qui désire également se mettre à son compte ».

Un partenairepour vous aider à reprendre un commerce

Giuseppe a décroché un prêt grâce à la SOCAMUT. Pourquoi pas vous ?

s avez-vous qu’en Wal-lonie près de 30 % des dirigeants de

PME ont plus de 55 ans ? Dans un cas sur trois seu-lement, le patron verra son entreprise reprise par un membre de la famille…

Reprendre une entreprise n’est pas chose facile. Les démarches sont souvent multiples et le manque de fi nancement peut rapidement devenir découra-geant. Pour aider les entrepre-neurs et soutenir les reprises de PME, le Groupe SOWALFIN (Société Wallonne de Finance-ment et de garantie des peti-tes et moyennes entreprises) a

mis en place différents outils de fi nancement. Par ailleurs, sa fi liale SOWACCESS met en relation des vendeurs de PME et des acheteurs potentiels. Elle lancera prochainement un service de mise en contact spécialisé dans les secteurs du détail et de l’horeca.

Un concept novateurDébut 2011, la SOCAMUT (une autre fi liale de la SOWALFIN) a lancé sur le marché un produit original « le produit mixte ». Cet outil fi nancier vise à faciliter l’accès des micro-entreprises et des indépendants au crédit, tout en simplifi ant au maximum les démarches administratives.

Le produit est « mixte » car il comprend à la fois un prêt su-bordonné et une garantie en lien avec un crédit bancaire. La grande nouveauté, c’est le carac-tère automatique du produit. La banque ne doit pas obtenir d’accord préalable pour accorder le fi nancement, elle s’engage simplement à en informer la SO-CAMUT qui prend contact avec l’entrepreneur, afi n de signer la convention de prêt subordonné et de libérer les fonds.

Jusqu’à 37.500 !Que ce soit lors de la reprise d’un commerce, de la création d’une entreprise ou encore pour l’achat ultérieur de matériel,

le produit mixte de la SOCA-MUT peut vous venir en aide. Concrètement, celui ou celle qui sollicite un crédit auprès de sa banque (de 25.000 ! maximum) peut bénéfi cier d’une garantie de 75% du montant du crédit de la part de la SOCAMUT. De plus, il peut obtenir un prêt subordonné de maximum 12.500!. Au total, il a donc la possibilité d’emprunter rapi-dement jusqu’à 37.500!, sans apport de fonds propres ou de garantie. De son côté aussi, le banquier est rassuré puisque le risque encouru est minime. Rapide, facile et effi cace !

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