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DIX-HiJITIEME ANNEE N. 2.140 'ABONNEMENTS 5 mo n 1.1 fr.; 6 mois, 23 fee I an. 45 fr. LA CRISE MINISTERIELLE Les curieux attendent devant VElysée les personanlités mie M. Doumergue a fait appeler. CONTRE LES REACTEURS DU SENAT Un Ippel la C. G. T. La Confédération Générale du Travail a le devoir d'appeler l'atten- iion des organisations syndicales sur /a portée éConotnique réactiOnnaire que le vote du Sénat fait peser sur les travail/crus. La décision prise pur la majorité du Luxembourg couronne la campa- gne dune oligarchie financière con- tre les projets de justice fiscale sans lesquels il ne peut être question d'as- sainir les finances du pays ou de réaliser les réformes sociales trop attendues. Elle signifie l'opposition des grands capitalistes, des profiteurs de la guerre et de l'après-guerre, de se soumettre aux sacrifices rendus né- cessaires par l'égoime d'une réac- tion qui, au risque de plonger le pays dans tu catastrophe, a exploité adieu Cynisme, contre la volonté certaine du pays, la situation effroyable qu'elle a elle-même créée. Le vole de vendredi est gexpres- dem de hl volonté, des Privilégies de la fortune; il n'est pas fait pour surprendre le prolétariat. Il savait déjà à quoi s'en tenir sur l'esprit qui règne au Luxembourg. La majOrite du Sénat ne s'est-elle pas opposée de toutes ses forces à J'amnistie large que voulait ? N'a-belle pas fait, par tous les moyens, obstacle à la réintégration des révoqués ? N'a-belle pas bloqué, depuis des mois, toutes les reformes sociales qui loi étaient soumises ? Ne s'appête-t-elle pas à saboter les conquêtes réalisées par la classe ouvrière, à suivre le patronat dans les assauts contre les huit henres, à foire obstacle à la législation inter- Mitionale du travail, à. empêcher le fonctionnement du Conseil Econo- Mique, à refuser le droit syndical aux fonctionnaires, comme aux sala- riés des colonies et des pays de pro- Iectorat Le refus de la justice fiscale, du Prélèvement sur la fortune-acquise ne peut avoir pool' conséquence qu'une politique financière qui épar- gnera fies possédants pote &raser les niasses populaires. Sans ces Mesures que as majorité 10 Sénat a voulu rejeter, ce sera le retour aux expédients désastreux du Bloc National, aux emprunts Plus ou moins déguisés, à l'inflation Sratora. La classe ouvrière de ce pays est log, avertie par l'expérience d'on- ces peuples pour accepter l'infla- tion. Elle déclare, dès à présent, qu'elle se dressera contre une action ruineuse pour la collectivité natio- nale et dont elle supporterait tout le poids. L'inflation, ce serait la baisse des 'salaires, l'aggravation des conditions 'd'existence de la classe ouvrière. Ce serait, immédiatemenl. la destruc- dion des Assurances Sociales. Le mouvement ouvrier ne saurait eindiner devant ces calculs détes- tables. Il dénonce les manuvres et les ..13ér000es des réactionnaires so- maux travaillant à rétablir sur le Pays une mainmise dont les effets TIe sont déjà que trop connus. /I entend leur signifier que la 'f.asse ouvrière se dressera contre cuis tentatives. Confédération Générale du In..G0e(i/ appelle les organisations PUti averties à élever, dès à pré- yee7.1teur prolestaton el à se prépa- 5c la bataille qui sera menee taule l'énergie nécessaire. -', travailleurs ne toléreront pas SOCIALISTE Rédaction A Adininimovion Rné Roanelnino - TOULOUSE - Téh n-43 - Cmnpié Chèques postas, Os-77 BUREAUX A PARIS0 46, Roc de Tréélsr, 46 (IX' Aréondménm) Téléphoné ; Bergère 3G-sa que le pays retombe sons la coupe d'une ploutocratie insolente; que les intérêts qui se confondent avec le rétablissement de /a nation et de la paix entre tes peuples soient asser- vis de nouveau aux calculs des inté- rêts égailles particuiiet., et que sombrent tous les espoirs du monde du travail. LE BUREAU CONFEDERAIS DE LA C. G, T. !ENVOYEZ Yele I.Edrrake et intime Ur 'MAROC ALGÉRIE per AVgcp N 50500e poetale pour 0 5rainsens 0.01 LIGNES AÉRIENNES LATÉCOÈRE Comment te problème se présente La journée d'aujourd'hui est une journée historique. Les débats qui vont se dérouler, passionnés et sans doute pathéti- ques, au Conseil national du Parti socialiste, dont les membres ont été appelés, hier, dans toute la France, par télégramme, vont décider du sort du pays et du Parti. M. Briand dit aux socialistes « Je lie veux gouverner qu'ocre-cons. Voulez-vous m'aider 7 » fille Parti, qui déjà deux fois en un an a fait savoir qu'il ne pouvait partager le pouvoir parce qu'il le voulait tout, aujourd'hui même va exdimincr si l'exceptionnelle gravité de la situation, si ce fait nouveau, el soudain s la chute de M. Herriot, et setout les conditions de cette chute, constituent des raisons suffi- santes pour revenir sur une décision récente. Les membres de notre Coraeff national vont assumer une responsa- bilité extrêmement !n'élue. Ils le savent, certes, car ils sont tous de vieux militants, pénétrés du vérita- ble esprit socialiste. Le problème se présente, à mon avis, sous deux faces également inté- ressantes SI NOUS N'ACCEPTONS PAS, M. Briand refusera le pouvoir, ou bien l'acceptera tout de même. S'il le refuse, qui aurons-nous à sa place 7 Qui peut nous inspirer confiance ? Qui peut nous demander confiance 7 S'il l'accepte tout de même, lui accorderons-nous le soutien que nous accordions à M. Herriot 7 Si nous ne le lui accordons pas, avec qui obligeonsgious 11f. Briand de gouverner et quelle sera notre situation devant une majorité doit nous sous serons exclus ? Si M. Briand fait la politique d'une majorité plus mode* que eft pRéeé- AU JOUR LE JOUR Crise de conscience Liman Dmeaues comm. q,e dam tous les mut. eonscience profeesionnelle n'existe Win, emisue dna meecn, d'an coi-demie, d'un os &amis « se travaille plus. on Vele. meiblement mat C'est I. gueee, bon entendu, soi num oest iom, aosra euerre, o,, déni de quelques sécheurs, do samissm eobscaoo (// De Mers) on travaille, mememeett on e.ait son me- t', et on le matiquait non seulement oura con. tantes csiaià,e. iio omit même des rama cati étaient pics uradles d mi cornnErnent qu'à fiera. Maintenon:, chaque intime urabk p dire Puerai °n'on na vas, ic 05 f... du rosie. ds km il s'en Ce édit s'en fiche I Faim, ressemeler une Pas. de chaulé-Pm. à- lie en lime, réfcmer enè camerole, accorder un piano. baie une Incrito, et cnie regardeo d'un nss mis la travail qu'en vous s rend o,. C'est do M belle ocerage ! 'Encore ai ['on os rabais. 0.,04lle on con oicroll.on de se, malfaçons 1 nmie Jasa le Radait n'a dia si clic, qu'ailiouAttleui. On peu Men deicylage irasessies et l'on ce leen plus mal ma/. Cuite cou conscienee soit tura um, Mus inmeitlaaie que mile du franc. dIto dénonce an abaissement mord Jë la risses. Orant/ le 0.0- cailler, se Mcitectual. n'en donne plus à celui qui fennisie « rasa son argent., quand il pod te met de sa Mmeo aupamt qu'il se satiefait do cal gen mutérie, dee qu'il est tocad arme tus. La mec Mau ca ennoblisse la travail, c'est de le bien laite. Le guerre rame cm de l'homme cue noblesse-là. Aède NEC, Aurons-nous un été froid ? New-York, 13 avril. Les metéOrelo- logistes américains discutent avec ardeur la probabilité dc froids exceptionnels au an ciras chi prochain été et de t'été 102-8. D'après le lieutenant commandanbBrand do bureau d'hydrographie de la marine, tout semble prévoir des conditions atmos- phériques analogues à eelles.qui firent do 1916 une semis presque sans saison cati. valu Le professera Cod; de Chicago, qualifie ees prévisions de Simples conjecturas. Ni les radiations salantes ni la teraperaturo do l'Océan ne serahlent les justfier- * dente, que deviennent nos efforts de onze mois, et cette réforme fiscale qui aient de soulever tant de colère clans l'oligarchie, tant d'espérances chez les petits ? ET SI NOUS .ACCEPTONS. M. Briand prend à ses côtés trois ou quatre ministres socialistes. Ce sera la preinière fois que les socialistes pénétreront eri force dans les con- seils du gouvernement. Y ferons-nous sentir notre in- fluence 7 Pourrons-nous l'y faire sentir ? Si non, pourquoi y allons-nous ? Si oui, le Sénat ne le renuersera-t- il pas pour le même Motif qui l'in- cita à renverser 14I. Herriot ? Et si, en mettant les choses au mieux, c'est-a-dire en admettant que le nouveau cabinet fut imprégné de socialisme et que le Sénat voulut tut moment lui faire 'Prédit, quelles directives allons-nous imposer au président de conseil, et seraddl :tette chef, ou notre égal, Os notre prisonnier 7 Enfin, si nous repoussons Si. Briand, pouvons-nous accorder à un autre ce que M. Briand nous deman- de en vain pour lui ? Et à qui 7 Voilà, parmi boaucoup d'autres, des questions intéressantes à résou- d,re. toutes surgf es de la situation générale. Il y ert n faut d'autres que tes socialistes doivent examiner en tant que socialistes, relatives à la vie in- térieure du Parti. La collaboration, acceptée «près deux refus successifs et récents, ris- que-t-elle d'être acceptée par l'en- semble de nos militants, quelles que soient les raisons invoquées pour la justifier ? L'appui, de ovarite nature qu'il soit, accordé à M. Briand peut-il être accepté par un parti que M. Briand a quitté ? Le Parti doildl aujourd'hui noir Mussolini va remznier son ministère Milan, 13 -0.Stefani, minis- tre dm 'finances fait démentir par lm jourraux officieux les bruits qui Pli attri- buaient l'intention de démissionner à a suite des incidents provrques pat l'agita- tion .0. Bourses. Si dent /a s trribuna u te suinislre avait 1 démissionner chaqne fois que le dési- rai. peux dont les mtérêts particuliers Mont à l'encontre de l'intérêt national, il belle lurette qu'il aurait dû quitter trou Poste. Pic mitre, it sr confirme que M. Mus, serait pense à opérer un nouveau rema- niement dans sois cabinet- Il procéderait notamment, avant la rentrée de ln Cham- him, au 'dédoublement de l'éconoinie na- /raies ; d'autres portefeuilles change- raient de 111001. En Outre, le président Mi conseil ayant déclaré qu'il profitera de sue intérim li /a guerre pour faciliter la solution des prin- cipaux problèmes touchant 0 a défense nationale, on s'attend S cc qu'il retarde la désignation du ministre définitif jusqu'au retour du générai Badoglio itutrallemeni au Brésil. tio serait aur le général rado- glie ou sur le ma/miche] CatOrna qu'il ar- rêterait sen choix. Le général &cariera de- viendrait chef de Félat-major. < Les incidents de Damas Londres, 13 On mande de Bey- outra h ragenee Ratier Le vapeur o ophyeso avec lord Bal. four à bord n appareillé hier malin pour Alexandrie. Le général Barrait s'était ron- de à hrad pour saluer lord Bal- four. Le départ du vapeur s'est effectué dans le plus grand mime. Il n'y a pissa. cune mandes:alio. On dit ici que si lirai Balfour avait séjourné S Baalbek et S Be. voile, des désordres étaient inévitables. Un communiqué officiel annonce que doum gendarmes blessés à Damas ont été tram:portes à Fraudai. L'un des émeutiers ayant fait tomber Un spahi lui arracha son sabre et tenta de le tuer. Les autrm spahis vinrent an secours ne leur cama- rade el tuèrent son agresseur. Un cocher de Barre rasait égalemera été tut arci- clentellement par une balle. Les autorités fraie:aises satteinlaisnt appareminent des incients provoqués par la visite de 101,1 Balfour caseras avaient organisé un service seeret h t'intérieur et aux abords de mon bétel. z LES DESTINEES DU PAYS SE JOUENT CET APRES-MIDI en M. Briand l'ancien socialiste ou le nouveau chef inauguraient. d'une ire nouvelle ? Le retour de M. Briand vers nous est-il eine preuve de son ineonstrmce, ou us contraire de ses regrets de nous avoir Quitté 7 Peut-il nous donner des garanties ou ne peut-il pas 7 Faut-il, si nous acceptons de com- poser avec lui, exiger de lui cer- tains concours, ou Pita& exiger qu'il repousse certains COSCOUFS ? Et si, enfin, en acceptant un cabi- net Briand, nous paraissons oublier et même partionitee, le peuple noys approuvera-dil, comprendra-t-il à quels mobiles élevés, tirés de l'amour du pays el de l'amour des Gouailleurs, S011,s F.S.,ns cette force de pardon, et nous en salaud-d gré ? Voila une douzaine de questions à résoudre, ou tout au moins à exa- miner. Si le Conseil national qui délibère aujourd'hui écartait l'une quelcon- que d'entre elles, il risquerait de ne pas retourner le problème sous tou- tes ses faces. Quelles réponses P ? Nous le saurons. é Toulouse, ce soir même: et, dans la région, de- 'main malin, Et nous 'bonnaîtrons, en même temps, les explications de ces réponses. Il inc' suffi d'indiquer ici toute la complexité du problème. Le Conseil national va fixer notre voie mieux que cela o notre destmee et la destinée du Patio. ous sommes tvz earefour : d'an côté la voie qui continue normale- ment la route suivie jusqu'ici; de l'autre côté, une voie_ nouvelle, jus- qu'ici évitée, et qui s'éclaire °ajour- dhui à la lueur des événements Taft jour nouveau. Fasse Pallas Athenée, la déesse de la sagesse, que nos secrétaires fédé- raux, inspirés de ses conseils, tra- vaillent et décident Pour le plus grand bleu de l'Avenir, du Soria. C'est uarle journ.ée historique IL Y A 50 ANS QU'EUGENE V. DEBS MILITE DANS LE MOUVEMENT OUVRIER Le camarade Eugène V. Debs, le do- yen vénéré du memement socialiste en Amérique, vient d'enregistrer une Ente des plus remarquables de sa vie de mi- litant commente années de service à la classe ouvrière I Le viceox chan/Pim/ a passé la journée au milieu de ses ands km Parti Socialiste ées Etat-Unis. Il a, à cette occasion, lancé aux membres du Parti une lettre intitulée e Salut à mes camarades 3 qui est un document mai. ment touchant de la fidélité au mouve- ment ouvrier. En voici le texte En voilà une journée muge dans nia vie. C'est men cinquantième. annive. saim Mans le mouvement ouvrier. " A la itin de cette PY0111ïere. cinquan- taine je passe à la deuxième avec l'a,- deuil bedantei et l'enelarBlimsme mili- tant d'un c_roisé révolutionnaire dont le cur et l'âme sont entièrement dévoués Four la troisième fois dans un an le Parti Socialiste ezamine aujourd'hui s'il doit ou non, 'participer au pouvoir ,MAI1111 14 'RIT. 1925 LA CRISE MINISTERIELLE M. pain/aie moira cm les journalistes à b sortie de l'Elysée. Quelques nouvelles de la Vie socialiste internationale à la carne et qui n'a iacriais connu met s défaite m Je cornirénoe le second Amui-siée> avec la ferme volonté de le finir, sin./ n finisse avec mei. je ne céderai eue devant la mort el Mémé à ell4 dans l'esprit invincible eit invaincu de la victoire. Me voilà à cette tournée dcé fête, en- touré s'Ir rues camarde., fidèles du Paré auencl je le sens et je le di-islam: je consacre à neuve. mes services av. chaque goutte de mon s.ang, /e moindre reste de mes forces et le dernier batte- ment de mon coeur. Reconnaissons la cause ; l'heure est vende ; saisissons l'occasion suprèrne I Dennemmoi vos mains, cm/misas. Là mienne est teste à tous. binais ai-je eu plus besoin de vous' jamais avorte. nous eu plus besoin l'un de l'autre. I9otre mot d'ordre 1 Notre cri de guerre En avant 1 Notre but o /a Victoire t LE ,MOUVEMENT GREVISTE EN GR.ECE Un grande mouvement ée grèves qui a. penaant une semaine, troublé le pays car>, vient de prendre fin. Plus de 15.000 cheminots et é/ratriciens lel deux grormes ouvriers les plus Miura- Balta. dam ce pays peu industrialisé s étalent mis en grève rame que FEtat, Pouvdes raisOns d économie, avait con- gendié 1.5% cheminots. La grève s'est terrninée sans succès. On trouvera la cause de ce résultat de. favorable dans la situation extraorcinaic se me existe en Grècé di, à l'heure aes nielle. Plus d'un million de réfugiés de l'AsimMilieure s'entassent dans les con- ditions /es plue lamentables. On avait toujours exprimé les plus graves aPPré- hensions quant à l'Influence que Moins npit exercées; ces masses sur les conclitiona de travail O et voici en effet ne qui est arrivé cette fois lorsqu'un nombre dei ces réfugiés, travaillés par tontes les /mi- sères ont °gest lems servie. aux eaple talistos pour Miser la grève. LE CONGRES INTERNATIONAL S'OUVRIRA LE 22 AOUT La commission administrative de l'In- ternationale °nature socialiste, dans si dernière réunion, s'est encore rampée de la date Mu Congrès international pour éviter une collision avec la fête du 40e anniversaire clou Paré Ouvrier Belge que celui-ci organise les 15 et 16 août h Biuxellos. Afin de permettre aux délégués inter- nationamc d'assister à /a fête clu F.O.B. on allant au Congrès International la 'commission administrative a décide dm fixer ro tverturcé du Congrès, d'ad/D.1 prévue peur lé 15 août, au 22 août 1925. . La ville où se tiendra le Congrès sa. 1.1.4signée par l'Exécutif de 01.0.5. dang prochaine réunion. UN SOCIALISTE AMBASSADEUR DE TCHE00-SLOVAQU/E A VIENNE Le citoyen Gustave Habrman, minis. tre do Travail Mans le gouvernement de coalition tchéco-slovaquo et un des chefs dc /a Social-Démocratie tcléca- slcvaque vient de donner sa démission p ' le poste de ministre Ce la R s ete épubliceiie 'rchéce slov que à Vienne, Lm député socialiste LléJWinter, sous. tre militant très connu lui succédera ayt gouvernement. Le citoyen Habaran avait éte mem- bre du parlement et on 1.2/et très on vue de. la Social-Démearatie tchèeue déjà vu "secs de t'u,,nieen, Aairiclis ,abi osa loupas e m Me de cachot pour haute trahison si idq'ititta le PnYo et VénUt aux Etats-Unis, période au'll a riecrite plus tard dans un lim intéressant. Devisa membre du gouvernement ré'. publicain tchéco-slovaeoa errés la muer, se, il a surtout été attaché à la réforme de la législation sociale en Tohéco-S/m vaquie et notamment à la toi sut les a. sa:rances moisi., En cette matière, son SucceSseur en d'ailleurs un expert non moins rocenna. A Vienne, Habriman se dévouera à la tâche importante de continue les tel./ tiens amicales qui existent an_fuellemen1 entre les Réauloliquei ut,Trirecoek. Nautile et de Melelie.. 20 ENT. LE GESTE DI? M. DOUMERGUE APPELANT, D'ABORD M. PAINLEVE ; LE GESTE DE M. BRIAND DEMANDANT ENSUITE LE CONCOURS ER- FECTIF DES SOCIALISTES CONSTITUENT DEU4 SOUFFLETS RETENTISSANTS AU SENAT. CELULCI COMPRENDRA-T-IL toute autre chose au monde. /fume qui nous est plus cher que Les militants, aujOurd'hui, atten- dent dans l'angoisse. Il ne m'appartient Pas d'en dire davantage. Léon FIGDELLE. Les assises socialistes Le Conseil National qui se réunit au- ramerai mardi 5 Paris est constitué Bra un délégué ou deux par Fédération. Ordi- nairement le secrétaire fédéral ou l'un des plus anciens militants Ou des élus de la Fédération. Le Conseil National n'a pas, aux termes de nos statuts, la même souveraineté que nes congrès. Ceux-ci seuls décident sans aprpol. Mais le Conseil National a qualité pour interpréter les décisions des congrès rationaux, en degnger J'esprit, et par con- séquent trancher des prradémes connue ce- lui d'aujourd'hui. CE QUE DIT PAUL-BONCOUR Notre camarade Paul Bradons, aperçu dans les couloirs, est accaparé copies pho- tographes. Les journalistes interviennent à leur tour et font subir à l'ancien ministre du &cuisit le petit interrogatoire d'usage, l'us! Bramai- n'est d'ailleurs pas rebelle à l'interview ; u M. Briand, vous le savez, se livre à une vaste consultation technique. C'est, à ce sujet «s'il m'a prit de venir ce malus. Nous avons parlé surtout de /a question de la sécurité et de la recerrassion des araurds cle Genève sur les projets militai. est O déposés t r 11l.lelbtMétrqu'lli:timint de vue du parti socialiste n'avait iras changé et qu'il demeurait toujours attaché au peu- let 5511,5. le1M.Briand m'a parlé également des io,,, financières et notamment do celles urgentes évoqua. Per M. de !dou- ci° ; mals sur cela j'ai dû me récuser, car ces (tamil., sortent un Oen de ma conané- tenm; je n'ai pu que °rasera.; à M.13riand d'entendre notre ami Vincent Auriodpré. aident de 10 crannission des finances de Is Clismbre, plus qualifié que moi pour lui apporter les éclaircissements stressai- - Et la participation du parh socia. rate 2 darancions-nora. 1e General National est, vous le skrvea, convoque pour demain ; il y aura ce...tai- s/orao nt un gros débat, je ne puis préjuger de su lq «Me en deuxième pdge) Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · moyens, obstacle à la réintégration des révoqués ? N'a-belle

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DIX-HiJITIEME ANNEE N. 2.140

'ABONNEMENTS5 mo n 1.1 fr.; 6 mois, 23 fee I an. 45 fr.

LA CRISE MINISTERIELLE

Les curieux attendent devant VElysée les personanlités mie M. Doumergue a fait appeler.

CONTRE LES REACTEURS DU SENAT

Un Ippel la C. G. T.La Confédération Générale du

Travail a le devoir d'appeler l'atten-iion des organisations syndicales sur/a portée éConotnique réactiOnnaireque le vote du Sénat fait peser surles travail/crus.

La décision prise pur la majoritédu Luxembourg couronne la campa-gne dune oligarchie financière con-tre les projets de justice fiscale sanslesquels il ne peut être question d'as-sainir les finances du pays ou deréaliser les réformes sociales tropattendues.

Elle signifie l'opposition des grandscapitalistes, des profiteurs de laguerre et de l'après-guerre, de sesoumettre aux sacrifices rendus né-cessaires par l'égoime d'une réac-tion qui, au risque de plonger le paysdans tu catastrophe, a exploité adieuCynisme, contre la volonté certainedu pays, la situation effroyablequ'elle a elle-même créée.

Le vole de vendredi est gexpres-dem de hl volonté, des Privilégiesde la fortune; il n'est pas fait poursurprendre le prolétariat.

Il savait déjà à quoi s'en tenir surl'esprit qui règne au Luxembourg.

La majOrite du Sénat ne s'est-ellepas opposée de toutes ses forces àJ'amnistie large que voulait

?N'a-belle pas fait, par tous les

moyens, obstacle à la réintégrationdes révoqués ?

N'a-belle pas bloqué, depuis desmois, toutes les reformes sociales quiloi étaient soumises ?

Ne s'appête-t-elle pas à saboterles conquêtes réalisées par la classeouvrière, à suivre le patronat dansles assauts contre les huit henres, àfoire obstacle à la législation inter-Mitionale du travail, à. empêcher lefonctionnement du Conseil Econo-Mique, à refuser le droit syndicalaux fonctionnaires, comme aux sala-riés des colonies et des pays de pro-Iectorat

Le refus de la justice fiscale, duPrélèvement sur la fortune-acquisene peut avoir pool' conséquencequ'une politique financière qui épar-gnera fies possédants pote &raserles niasses populaires.

Sans ces Mesures que as majorité10 Sénat a voulu rejeter, ce sera leretour aux expédients désastreuxdu Bloc National, aux empruntsPlus ou moins déguisés, à l'inflationSratora.

La classe ouvrière de ce pays estlog, avertie par l'expérience d'on-ces peuples pour accepter l'infla-

tion. Elle déclare, dès à présent,qu'elle se dressera contre une actionruineuse pour la collectivité natio-nale et dont elle supporterait tout lepoids.

L'inflation, ce serait la baisse des'salaires, l'aggravation des conditions'd'existence de la classe ouvrière. Ceserait, immédiatemenl. la destruc-dion des Assurances Sociales.

Le mouvement ouvrier ne sauraiteindiner devant ces calculs détes-tables.

Il dénonce les manuvres et les..13ér000es des réactionnaires so-maux travaillant à rétablir sur lePays une mainmise dont les effetsTIe sont déjà que trop connus./I entend leur signifier que la

'f.asse ouvrière se dressera contrecuis tentatives.

Confédération Générale duIn..G0e(i/ appelle les organisationsPUti averties à élever, dès à pré-yee7.1teur prolestaton el à se prépa-

5cla bataille qui sera menee

taule l'énergie nécessaire.-', travailleurs ne toléreront pas

SOCIALISTERédaction A Adininimovion Rné Roanelnino - TOULOUSE - Téh n-43 - Cmnpié Chèques postas, Os-77BUREAUX A PARIS0 46, Roc de Tréélsr, 46 (IX' Aréondménm) Téléphoné ; Bergère 3G-sa

que le pays retombe sons la couped'une ploutocratie insolente; que lesintérêts qui se confondent avec lerétablissement de /a nation et de lapaix entre tes peuples soient asser-vis de nouveau aux calculs des inté-rêts égailles particuiiet., et quesombrent tous les espoirs du mondedu travail.

LE BUREAU CONFEDERAISDE LA C. G, T.

!ENVOYEZ Yele I.Edrrake et intimeUr 'MAROC ALGÉRIE

per AVgcp N50500e poetale pour 0 5rainsens 0.01

LIGNES AÉRIENNES LATÉCOÈRE

Comment te problème se présente

La journée d'aujourd'hui est unejournée historique.

Les débats qui vont se dérouler,passionnés et sans doute pathéti-ques, au Conseil national du Partisocialiste, dont les membres ont étéappelés, hier, dans toute la France,par télégramme, vont décider dusort du pays et du Parti.

M. Briand dit aux socialistes « Jelie veux gouverner qu'ocre-cons.Voulez-vous m'aider 7 »

fille Parti, qui déjà deux fois enun an a fait savoir qu'il ne pouvaitpartager le pouvoir parce qu'il levoulait tout, aujourd'hui même vaexdimincr si l'exceptionnelle gravitéde la situation, si ce fait nouveau,el soudain s la chute de M. Herriot,et setout les conditions de cettechute, constituent des raisons suffi-santes pour revenir sur une décisionrécente.

Les membres de notre Coraeffnational vont assumer une responsa-bilité extrêmement !n'élue. Ils lesavent, certes, car ils sont tous devieux militants, pénétrés du vérita-ble esprit socialiste.

Le problème se présente, à monavis, sous deux faces également inté-ressantes

SI NOUS N'ACCEPTONS PAS,M. Briand refusera le pouvoir, oubien l'acceptera tout de même.

S'il le refuse, qui aurons-nous àsa place 7 Qui peut nous inspirerconfiance ? Qui peut nous demanderconfiance 7

S'il l'accepte tout de même, luiaccorderons-nous le soutien quenous accordions à M. Herriot 7

Si nous ne le lui accordons pas,avec qui obligeonsgious 11f. Briandde gouverner et quelle sera notresituation devant une majorité doitnous sous serons exclus ?

Si M. Briand fait la politique d'unemajorité plus mode* que eft pRéeé-

AU JOUR LE JOUR

Crise de conscienceLiman Dmeaues comm. q,e dam tous les mut.

eonscience profeesionnelle n'existe Win,emisue dna meecn, d'an coi-demie, d'un

os &amis « se travailleplus. on Vele. meiblement mat

C'est I. gueee, bon entendu, soi num oestiom, aosra euerre, o,, déni de quelquessécheurs, do samissm eobscaoo (// DeMers) on travaille, mememeett on e.ait son me-t', et on le matiquait non seulement oura con.tantes csiaià,e. iio omit même des ramacati étaient pics uradles d mi cornnErnent qu'àfiera.

Maintenon:, chaque intime urabk p direPuerai °n'on na vas, ic 05 f... du rosie.ds km il s'en Ce édit s'en fiche I

Faim, ressemeler une Pas. de chaulé-Pm. à-lie en lime, réfcmer enè camerole, accorder unpiano. baie une Incrito, et cnie regardeo d'unnss mis la travail qu'en vous s rend o,. C'est doM belle ocerage !

'Encore ai ['on os rabais. 0.,04lle oncon oicroll.on de se, malfaçons 1 nmie Jasale Radait n'a dia si clic, qu'ailiouAttleui. On peuMen deicylage irasessies et l'on ce leen plusmal ma/.

Cuite cou conscienee soit tura um, Musinmeitlaaie que mile du franc. dIto dénonce anabaissement mord Jë la risses. Orant/ le 0.0-cailler, se Mcitectual. n'en donne plusà celui qui fennisie « rasa son argent., quandil pod te met de sa Mmeo aupamt qu'il sesatiefait do cal gen mutérie, dee qu'il esttocad arme tus.

La mec Mau ca ennoblisse la travail, c'estde le bien laite. Le guerre rame cmde l'homme cue noblesse-là.

Aède NEC,

Aurons-nous un été froid ?

New-York, 13 avril. Les metéOrelo-logistes américains discutent avec ardeurla probabilité dc froids exceptionnels auan ciras chi prochain été et de t'été 102-8.

D'après le lieutenant commandanbBranddo bureau d'hydrographie de la marine,tout semble prévoir des conditions atmos-phériques analogues à eelles.qui firent do1916 une semis presque sans saison cati.valu

Le professera Cod; de Chicago, qualifieees prévisions de Simples conjecturas. Niles radiations salantes ni la teraperaturodo l'Océan ne serahlent les justfier- *

dente, que deviennent nos efforts deonze mois, et cette réforme fiscalequi aient de soulever tant de colèreclans l'oligarchie, tant d'espéranceschez les petits ?

ET SI NOUS .ACCEPTONS. M.Briand prend à ses côtés trois ouquatre ministres socialistes. Ce serala preinière fois que les socialistespénétreront eri force dans les con-seils du gouvernement.

Y ferons-nous sentir notre in-fluence 7

Pourrons-nous l'y faire sentir ?Si non, pourquoi y allons-nous ?Si oui, le Sénat ne le renuersera-t-

il pas pour le même Motif qui l'in-cita à renverser 14I. Herriot ?

Et si, en mettant les choses aumieux, c'est-a-dire en admettant quele nouveau cabinet fut imprégné desocialisme et que le Sénat voulut tutmoment lui faire 'Prédit, quellesdirectives allons-nous imposer auprésident de conseil, et seraddl:tette chef, ou notre égal, Os notreprisonnier 7

Enfin, si nous repoussons Si.Briand, pouvons-nous accorder à unautre ce que M. Briand nous deman-de en vain pour lui ?

Et à qui 7

Voilà, parmi boaucoup d'autres,des questions intéressantes à résou-d,re. toutes surgf es de la situationgénérale.

Il y ert n faut d'autres que tessocialistes doivent examiner en tantque socialistes, relatives à la vie in-térieure du Parti.

La collaboration, acceptée «prèsdeux refus successifs et récents, ris-que-t-elle d'être acceptée par l'en-semble de nos militants, quelles quesoient les raisons invoquées pour lajustifier ?

L'appui, de ovarite nature qu'ilsoit, accordé à M. Briand peut-il êtreaccepté par un parti que M. Brianda quitté ?

Le Parti doildl aujourd'hui noir

Mussoliniva remznier son ministère

Milan, 13 -0.Stefani, minis-tre dm 'finances fait démentir par lmjourraux officieux les bruits qui Pli attri-buaient l'intention de démissionner à asuite des incidents provrques pat l'agita-tion .0. Bourses.

Si dent /a s trribuna u te suinislre avait1 démissionner chaqne fois que le dési-rai. peux dont les mtérêts particuliersMont à l'encontre de l'intérêt national, il

belle lurette qu'il aurait dû quittertrou Poste.

Pic mitre, it sr confirme que M. Mus,serait pense à opérer un nouveau rema-niement dans sois cabinet- Il procéderaitnotamment, avant la rentrée de ln Cham-him, au 'dédoublement de l'éconoinie na-/raies ; d'autres portefeuilles change-raient de 111001.

En Outre, le président Mi conseil ayantdéclaré qu'il profitera de sue intérim li /aguerre pour faciliter la solution des prin-cipaux problèmes touchant 0 a défensenationale, on s'attend S cc qu'il retarde ladésignation du ministre définitif jusqu'auretour du générai Badoglio itutrallemeniau Brésil. tio serait aur le général rado-glie ou sur le ma/miche] CatOrna qu'il ar-rêterait sen choix. Le général &cariera de-viendrait chef de Félat-major.

<

Les incidents de DamasLondres, 13 On mande de Bey-

outra h ragenee RatierLe vapeur o ophyeso avec lord Bal.

four à bord n appareillé hier malin pourAlexandrie. Le général Barrait s'était ron-de à hrad pour saluer lord Bal-four. Le départ du vapeur s'est effectuédans le plus grand mime. Il n'y a pissa.cune mandes:alio. On dit ici que si liraiBalfour avait séjourné S Baalbek et S Be.voile, des désordres étaient inévitables.

Un communiqué officiel annonce quedoum gendarmes blessés à Damas ont ététram:portes à Fraudai. L'un des émeutiersayant fait tomber Un spahi lui arrachason sabre et tenta de le tuer. Les autrmspahis vinrent an secours ne leur cama-rade el tuèrent son agresseur. Un cocherde Barre rasait égalemera été tut arci-clentellement par une balle. Les autoritésfraie:aises satteinlaisnt appareminentdes incients provoqués par la visite de101,1 Balfour caseras avaient organisé unservice seeret h t'intérieur et aux abordsde mon bétel. z

LES DESTINEES DU PAYS SE JOUENT CET APRES-MIDI

en M. Briand l'ancien socialiste oule nouveau chef inauguraient. d'uneire nouvelle ?

Le retour de M. Briand vers nousest-il eine preuve de son ineonstrmce,ou us contraire de ses regrets denous avoir Quitté 7

Peut-il nous donner des garantiesou ne peut-il pas 7

Faut-il, si nous acceptons de com-poser avec lui, exiger de lui cer-tains concours, ou Pita& exiger qu'ilrepousse certains COSCOUFS ?

Et si, enfin, en acceptant un cabi-net Briand, nous paraissons oublieret même partionitee, le peuple noysapprouvera-dil, comprendra-t-il àquels mobiles élevés, tirés del'amour du pays el de l'amour desGouailleurs, S011,s F.S.,ns cette forcede pardon, et nous en salaud-d gré ?

Voila une douzaine de questionsà résoudre, ou tout au moins à exa-miner.

Si le Conseil national qui délibèreaujourd'hui écartait l'une quelcon-que d'entre elles, il risquerait de nepas retourner le problème sous tou-tes ses faces.

Quelles réponses P ?Nous le saurons. é Toulouse, ce

soir même: et, dans la région, de-'main malin, Et nous 'bonnaîtrons, enmême temps, les explications de cesréponses. Il inc' suffi d'indiquer icitoute la complexité du problème.

Le Conseil national va fixer notrevoie mieux que cela o notre destmeeet la destinée du Patio.

ous sommes tvz earefour : d'ancôté la voie qui continue normale-ment la route suivie jusqu'ici; del'autre côté, une voie_ nouvelle, jus-qu'ici évitée, et qui s'éclaire °ajour-dhui à la lueur des événements Taftjour nouveau.

Fasse Pallas Athenée, la déesse dela sagesse, que nos secrétaires fédé-raux, inspirés de ses conseils, tra-vaillent et décident Pour le plusgrand bleu de l'Avenir, du Soria.

C'est uarle journ.ée historique

IL Y A 50 ANS QU'EUGENE V. DEBSMILITE DANS LE MOUVEMENT

OUVRIERLe camarade Eugène V. Debs, le do-

yen vénéré du memement socialiste enAmérique, vient d'enregistrer une Entedes plus remarquables de sa vie de mi-litant commente années de service à laclasse ouvrière I Le viceox chan/Pim/ apassé la journée au milieu de ses andskm Parti Socialiste ées Etat-Unis. Il a, àcette occasion, lancé aux membres duParti une lettre intitulée e Salut à mescamarades 3 qui est un document mai.ment touchant de la fidélité au mouve-ment ouvrier. En voici le texte

En voilà une journée muge dans niavie. C'est men cinquantième. annive.saim Mans le mouvement ouvrier.

" A la itin de cette PY0111ïere. cinquan-taine je passe à la deuxième avec l'a,-deuil bedantei et l'enelarBlimsme mili-tant d'un c_roisé révolutionnaire dont lecur et l'âme sont entièrement dévoués

Four la troisième fois dans un anle Parti Socialiste ezamine aujourd'hui

s'il doit ou non, 'participer au pouvoir

,MAI1111 14 'RIT. 1925

LA CRISE MINISTERIELLEM. pain/aie moira cm les journalistes à b sortie de l'Elysée.

Quelques nouvellesde la Vie socialiste internationale

à la carne et qui n'a iacriais connumet s défaite m

Je cornirénoe le second Amui-siée>avec la ferme volonté de le finir, sin./

n finisse avec mei. je ne céderaieue devant la mort el Mémé à ell4dans l'esprit invincible eit invaincu de lavictoire.

Me voilà à cette tournée dcé fête, en-touré s'Ir rues camarde., fidèles duParé auencl je le sens et je le di-islam:je consacre à neuve. mes services av.chaque goutte de mon s.ang, /e moindrereste de mes forces et le dernier batte-ment de mon coeur. Reconnaissons lacause ; l'heure est vende ; saisissonsl'occasion suprèrne I

Dennemmoi vos mains, cm/misas. Làmienne est teste à tous. binais ai-jeeu plus besoin de

vous'jamais avorte.

nous eu plus besoin l'un de l'autre.I9otre mot d'ordre 1 Notre cri

de guerre En avant 1 Notre but o /aVictoire t

LE ,MOUVEMENT GREVISTEEN GR.ECE

Un grande mouvement ée grèves quia. penaant une semaine, troublé le payscar>, vient de prendre fin. Plus de15.000 cheminots et é/ratriciens leldeux grormes ouvriers les plus Miura-Balta. dam ce pays peu industrialisés étalent mis en grève rame que FEtat,Pouvdes raisOns d économie, avait con-gendié 1.5% cheminots.

La grève s'est terrninée sans succès.On trouvera la cause de ce résultat de.favorable dans la situation extraorcinaicse me existe en Grècé di, à l'heure aesnielle. Plus d'un million de réfugiés del'AsimMilieure s'entassent dans les con-ditions /es plue lamentables. On avaittoujours exprimé les plus graves aPPré-hensions quant à l'Influence que Moinsnpit exercées; ces masses sur les conclitionade travail O et voici en effet ne qui estarrivé cette fois lorsqu'un nombre deices réfugiés, travaillés par tontes les /mi-sères ont °gest lems servie. aux eapletalistos pour Miser la grève.

LE CONGRES INTERNATIONALS'OUVRIRA LE 22 AOUT

La commission administrative de l'In-ternationale °nature socialiste, dans sidernière réunion, s'est encore rampéede la date Mu Congrès international pouréviter une collision avec la fête du 40eanniversaire clou Paré Ouvrier Belge quecelui-ci organise les 15 et 16 août hBiuxellos.

Afin de permettre aux délégués inter-nationamc d'assister à /a fête clu F.O.B.on allant au Congrès International la'commission administrative a décide dmfixer ro tverturcé du Congrès, d'ad/D.1prévue peur lé 15 août, au 22 août 1925.. La ville où se tiendra le Congrès sa.

1.1.4signée par l'Exécutif de 01.0.5. dangprochaine réunion.

UN SOCIALISTE AMBASSADEURDE TCHE00-SLOVAQU/E A VIENNE

Le citoyen Gustave Habrman, minis.tre do Travail Mans le gouvernement decoalition tchéco-slovaquo et un deschefs dc /a Social-Démocratie tcléca-slcvaque vient de donner sa démissionp ' le poste de ministre Ce laR s eteépubliceiie 'rchéce slov que à Vienne,Lm député socialiste LléJWinter, sous.tre militant très connu lui succédera aytgouvernement.

Le citoyen Habaran avait éte mem-bre du parlement et on 1.2/et très onvue de. la Social-Démearatie tchèeuedéjà vu "secs de t'u,,nieen, Aairiclis

,abi osa loupase

m Me de cachot pour haute trahison siidq'ititta le PnYo et VénUt aux Etats-Unis,période au'll a riecrite plus tard dans unlim intéressant.

Devisa membre du gouvernement ré'.publicain tchéco-slovaeoa errés la muer,se, il a surtout été attaché à la réformede la législation sociale en Tohéco-S/mvaquie et notamment à la toi sut les a.sa:rances moisi.,

En cette matière, son SucceSseur end'ailleurs un expert non moins rocenna.A Vienne, Habriman se dévouera à latâche importante de continue les tel./tiens amicales qui existent an_fuellemen1entre les Réauloliquei ut,Trirecoek.Nautile et de Melelie..

20 ENT.

LE GESTE DI? M. DOUMERGUE APPELANT,D'ABORD M. PAINLEVE ; LE GESTE DE M.BRIAND DEMANDANT ENSUITE LE CONCOURS ER-FECTIF DES SOCIALISTES CONSTITUENT DEU4SOUFFLETS RETENTISSANTS AU SENAT.

CELULCI COMPRENDRA-T-IL

toute autre chose au monde./fume qui nous est plus cher que

Les militants, aujOurd'hui, atten-dent dans l'angoisse.

Il ne m'appartient Pas d'en diredavantage.

Léon FIGDELLE.

Les assises socialistesLe Conseil National qui se réunit au-

ramerai mardi 5 Paris est constitué Braun délégué ou deux par Fédération. Ordi-nairement le secrétaire fédéral ou l'un desplus anciens militants Ou des élus de laFédération.

Le Conseil National n'a pas, aux termesde nos statuts, la même souveraineté quenes congrès. Ceux-ci seuls décident sansaprpol. Mais le Conseil National a qualitépour interpréter les décisions des congrèsrationaux, en degnger J'esprit, et par con-séquent trancher des prradémes connue ce-lui d'aujourd'hui.

CE QUE DIT PAUL-BONCOURNotre camarade Paul Bradons, aperçu

dans les couloirs, est accaparé copies pho-tographes.

Les journalistes interviennent à leurtour et font subir à l'ancien ministre du&cuisit le petit interrogatoire d'usage,

l'us! Bramai- n'est d'ailleurs pas rebelleà l'interview ;

u M. Briand, vous le savez, se livre àune vaste consultation technique. C'est, àce sujet «s'il m'a prit de venir ce malus.Nous avons parlé surtout de /a questionde la sécurité et de la recerrassion desaraurds cle Genève sur les projets militai.est

O

déposést r11l.lelbtMétrqu'lli:timint devue du parti socialiste n'avait iras changéet qu'il demeurait toujours attaché au peu-let 5511,5.

le1M.Briand m'a parlé également desio,,, financières et notamment do

celles urgentes évoqua. Per M. de !dou-ci° ; mals sur cela j'ai dû me récuser, carces (tamil., sortent un Oen de ma conané-tenm; je n'ai pu que °rasera.; à M.13riandd'entendre notre ami Vincent Auriodpré.aident de 10 crannission des finances deIs Clismbre, plus qualifié que moi pourlui apporter les éclaircissements stressai-

- Et la participation du parh socia.rate 2 darancions-nora.

1e General National est, vous le skrvea,convoque pour demain ; il y aura ce...tai-

s/oraont un gros débat, je ne puis préjuger

de sulq «Me en deuxième pdge)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · moyens, obstacle à la réintégration des révoqués ? N'a-belle

!Me. .1_1111, IMMIMISIIIMISUM»,

(Correspondance particulière du eMidiSocialiste »).

Bainl-Gilles, 13 assit - ,Adossii aux con-treforts des Pair-lunes, 1, mimitelnin d'A,los el de Nîmes, Saint-Gilles-du-Gard sur-is! '

fièrement l'immense étendue Xe laam. La population mit accueillir

nies avec une sympathie spontanéeut ri attede ion touristes, déjà- cette saison printanière.

obis mien-pics mois,. le payspaisible, est en proae t, une

et cela It la suite de lamoins suspecte. de pistoleurs

relaté brutalement lesavec une certitudeferro. Antoinetto

ans, d'avoir empoi.e au nombre disque/.

,-frire avec qui ellefans les magasins,Il seuil des perles.

,,n,m,satbas roulent sur le

s cesseCetteihisloire luguhoe re-

n 4 la bouche de teut leiman. uti Celte série

his monstrueux s'il est , cellamei' y s en homicide par empol-

- mese se justifie amplement, on laanal sana peine, Fintilignation des

EylivETE A SAINT-GEL/Fe

Ver. .

Antresvenait,`rean-fl

leur

1

retiremet si tari ..5an

.lita pi risumile no parutPar cette morf Elle Mannid., temps. a La Rossi-

il-amitié avec une de!laie Martin, agie dedans le mente anmem

unie Vas foyer.Un si., détail tris important, vers la

fin Ma amis dernier, les trois Miennes,ient réunies. Antoinette préparo le

senvit. En le buvant, MlleI Ile mit s'empêcher de dire II

mn mauvais, ce café, Madameii.» Elle l'avala quand mena, d'un

Malt Dans la eut, elle Ba .prIse ale vin-lentes coliques et de vointssoments. LelendeMain, mn niai empira, et my'rsurribic agonie, la pauvre sexagénaire

rendit Came. Mine couve Bel., qui avaitI,, une gorgée du breuvage, dut s'aliter.

n'est pas encore rétablie. Ce ein-e. décès fut na roide coup peur lestalleis. Néanmoins, pan sou. de l, il faut dire quo 3111e Merlin et anamical dégusté des Moules huitaiparavant. On attribua donc cette

. iMmication. Polirai pas tout.

suvr_esmuls S'EMMA-MTde jours apr., li Le itoseignol »

m c reit a laina a uno

unpleur publique sel:Posdignol d'm

v Pim

polit

io l'amuie Minière,ainsi d'Algues-Vises,ordalies as. son11.01. âe de Er ans,ata, fige de 3 ans. A

Mari, Antoinetteménage avec Jeanson état fie cetteenfants. Rossignolmi premier lieu

I, que leurbanc>, épi'

les alluress, prévenantene (l'attardait

I habl.4nolo 00M,,ieille

05 ans,la rue

quinzaine dea rait presque

elle lesiti nOr.

'émets

, de l'ecce-enlisent de lat paa moins

LaPhas

,e, le jour de Noël,Minime succombaient

d'un empoisonne-. avaient mangé des

, déduisit que la mortpar ers oiseaux, esti ou

lii u LA ROSSIGNOL »,f/INT VICTIME DU POISON

ccx Mis qui suivirent, au.so produisit, mais

pers Murs de mars, le char-n expirait soudainement. Sades murmures dans in que-

Ssierri dodue que soubé des inoules. Cette esse,

niint contrôlée. C'est dom-

mt parM. Maga o il bri-tode Rla am mies-du-ales], dm51' n venonsdé relater. 1. , do MmeGrain résel ,luciole li, con-fanait les - fa police, missum éveil par I ,dilique. if. Odny,le d'aineel juge inimiruetion de »nes,interrogea une premiere fois AntoinettScierri Cell,ei ris énergiquennthit lesmes tiont l'acensait la ii, plilutiee. Ellelanteste véhateentement eontro la me-sure do natice prisé à son égard.

tell.POiSONNÉLSÉ AVOUE...

tjjeeee,o1;:e.dO4.LINgemsoollpoinee

:An ifulmei dé. prendre te Main à has-t. glerethigli.e _qui malle Saint-Gilles itpliai 15, per Stines., le brigadier de on,flarreerb et le Conan/Maire de po!ne,1/1. Pujol, interrogèrent une des-lib lireels

Mine

1é en baie,-5ra e LaV; Mme

ue, cf la; aussitôt5 lm lyn-mulet dem trans-.1. aux

Rosaignoi ff, Ile lei 'dirent, b brûle-pourpoint

A Nam, vous devriez dire la ' vérité,Sana 01101 YOM° peine n'en sera que pluscuisante. a

Antoinctle Scierri répondit malgré elle.e Comment faudra-ta que je fasse t»Céteit Le départ fut ajourné.

liT DESIGNTI SA COMPLICE4 la Mairie, cii la questionna de près.

L'empoisonnentne consentit alors à dévoi-es le meire qui entourait la

mort des six meilleure.. iviehnes.La ensemble raeonta qu'avec l'aide

dbue Closali° Caire, elle avaitvolonlaireineat el suceessivoment empli.-somM lapauvre bille Audnumul, les épouxLachapelle, son ami et beau-frère Missi-001, MIM Martin, Mme Criquat-Gauen, clautres encore qui sont actuellement ali-

tés et très gravement malades. Toutkibordl, telle avait invoqué la méprise

jointe li nivrosse, pins elle préf..moue,

Sm l'insistance deS magistrats et ducapitaine de gendarmerie ilIgelentallx, é LiMimante » indiqua qu'elle' ev.ii 11111inueda 184"alitait avec do Vales pour lnoc sesrielatlieS, de CeipPlicilé amcc la fenMMGire.

Nantis Su signalement de celte timatire,le Capitaine ViteOuroux, le commiasaire dePoliee Pejo] et la brigade de gendernieriede Faint.tailles ont opéré l'arrestation dela comparse &Antoine. Scier. C'estdans la rue Dupai}, que Rosalie (lire ri étéfuretée. Elle a nfé ni imploré le ciel de-vant ce qu'elle appelait une alimeecalomnie p.

S. les indications de « La ReSsiginden a découvert dans lire écurie du quar-tier do la Briea ntleninla à l'habitationde Mme veuve Timon une bot/terni} -ren-fermant lo failleux peinait La bouteilleétait renfermée dans an long sac à provi-simie nein'. Mise on présence de la fiole,itoealie Ohm a persisté d mer l'évidence.

Détail peignani 1 dans la pièce du ren-de-chausse, la famille Oman était re-cueillie devant le cercueil de ta deritierecmpoisunnéci La Minute était véritable-ment, traginne. Fn apprenant la terril.'snob, la grand-père se leva et désignanttiraaii,' (Mo,cria ; Tuez-lit ! Tue.lbDaim la rue, les habitant, réclamaientjustice. D° mémoire de journaliste, nousavons rimement vicu d'instants aussipath6tiques,

ELLES VOLAIENT LEURS VICTMIES

A l'heure A Mins télégraphions, nousappranoas aae fa, Rossignol com-p/i110 see premier. dUclaretions. Elle a

not.anent, qu'elle avait lao avec gaoomplice . par cupidité. Toutes deux

délaient, en effet, partagé l'argent quepossedaient leurs Malheureuses victimes.Antainette Salerai est pat-lia pour Nîmesce Matin. Sua, Rosalie Giro a été Mratiéeà /a gendarmerie on attend.t d'aire Mans-férUe à NIMes demain matin preable-ment.

On signale enfin qu'une nonnnee MmeMainate, vieil. de, agissements hoir 1-Mos des della elnpoisonneuses, est telssnoffrante. L'indignation dans Ita pays esth son comble

L'INTERROGATOIRE A MIMES

lloreoles détails« La Rossignol », escortée par Peux gen-

armes, eSt errivée Mimes, vers 10 heu-res, on elle a été interrogée b nouveaupar Ml Gan y, juge d'instr.tion. kloina

eISdlrsaistlemst,ded'ne,b,J,Iisei.mr

;C.elle

We a reconnu tenteenis :voir tuéson amant Rossignol le 10 mars, et lesépoux Laohapelle, de complicitéRoaalie Gao,

Voie dans quelles eirconslances parti.-hivernent odieuses elle empoisonna sonami : d'abord, le vendredi 13 ruais, elleeut ime violente altercation ar.ee Rossi-que, discussion qui so termina paréchange de coupa; elle aiu put, ee jour-la,mettre son Prelet à moletai.- Le In telsuivant, lui préparant dans /e tau le, vic-tuaifies destinées à son repas, pris oommedbabitufle en plein champ, elle versaquelques gouttes de pyralien, produit in.aectieidei Mossis./ fut traneporte dansfittpremmidi à son domicile, Mt il devaitexpirer dan, le courant de la nint.

Quant aux epeux Lachapelle, leur mortlui rapporta la Somme infime de 800 francsqu'elle partagea avec Rosalie Cire- Elle nedit pue que les autres n'aient pas 010empoisonnPS, mais elle n'y est pour rien.

Pendant l'interregatoire, Anteinetteoieriii paraissait surexcitée, tantôt pieu-

Mnt, tante rima, donnant lilinpressiond'une démente. Elle a falt la réflexions::'.vente

« Si la poreen n'est pas bon pour tuertes puisais., il est ben pour expédierles gens radicalement, les médecins n'yrocentmissent Gen. e

Avant de tern-liner l'interroges/ire, lemagistrat instructeir lui demande pou,ouoi elle n'avait pro fait net aveux avant,lem; elle répondit que cette nuit RosalieOMS avait plusel d se glisser sous lalucarne de sa eeliule pour la supplier delie rien divulguer, qu'elle se shammail deIn garde de son enfaht et qu'elle l'assiste-rait pendent sa &Melon. N'eyant mienneconfiance en cette femme qieelle croiteapable de /ui tuer son fils, elle a prébrilla dénis.. pour qu'elle alt sa part doresponsabilité:

Jean TOURETTE.*

Un hydravion du serviceTouleuse-Marec orabe en mer

L'ES:ORAGE EST SAUVEAlger, 13 avril. - Le camolank

menae Vicie a recueilli en mer l'équi-page d'un hydravion élans les circons-tances suivante

Sam,edi, vers 6 h. 45 dit soir, avantque la nuit fût complètement venue, la'tipis signalait à l'avent du navire, versj'est nem épave d'Où semblaient Êtrefaits des signaux flfe détresse. C'était unliyernVion castel de la Compagnie Laté-coère, de Toulouse, revenant du Nikon,et qui était tombé en mer 1, 5 heures di.soir. L'apparéit àe trouvait alors à 120kilomètres au large du cap l'Unes, et cen'est oeil 10 heures soir que les ovin-teces purent être recueillis à bord due Vien- qui, allant ee New-York à&voile, a fait escale ici pour ti6bartmarles naufragés.

L'hvdravion a été abandonné.

.11.1.0

M. DE ItIONZIEPROPOSE UN CABINET DE 24 /FERRES

M. de Monate a &Maré à ne de bau con-frères quo la situation financilie doit Oreréglée avant le 15 avril is tout prix, l'Etatne Penvard plus demeurer, vis-a-vis dc asBanque de prance, dans l'état OP il estCompte, d'autre part, M. Briand ne Poepas constituer ttle cabinet ferme avant celledate, M. de Momie aurait suggèrê enaident Ms kt République de former d'ur-gence, dès ce soir mime si pordible, un.binet provisoire Muai la lashe essen-tielle, pourra pan dire unique, sema dedéposer dès deimin, sur le bureau desChambres, un p.inm de loi réglant le pro.triasse de la maculation fiduCiaire ci lmquestiOPs financières rIt cour. les Plus ur-gentes.

Il serait bien entendra eue ee cabinet,dont la durée serait volontairement éphé-mère, abccepterait aucun débat de niella-ge° généride.

M. Briand continuerait ges .nsualations,co.tituerait son cabinet, ou s'IL rencon-trait des difficultés se récuserait et pas.serait la main à un autre homme PRIM-que ; mais le plus urgent serait fait etnous sortillons de riummse dam laquellenousnous tri/mine,

- M. Briand a-t-il paru abonder dansce sens 7 dernandtme-nons.

- Je crois, ripond la. de Monzie, queM. Briand, soucieux des intérêts suPé-rieurs du pays se prêtera n la combinaisonque je viens de vous nec', c'est pm.queune question de patriotisme.

UNE DECLARAT1ONVINCENT AURIOL

Vincent Auriol, député, a deelaré h d.Murnalietes qui l'interviewaient ;

M. Briand, voulait muraut me dama.dati mon avis sur la suggestia ode lat. doMomie, nous dit-il. Je lui ai dit tont netque je n'en Mais pas parlisan. /1 no peutlaite de dota, qu'une long., discussions'instituerait sur l'artielo Ift du projet,dont In diejenction u déjà el demandée,teim le mye, Alors le but ne serait pasaLieint, eenaiste su1-1001 à Obte-nie un vote iapide. :-

MATS M. BRIAND NE MARCITE PAS-- Je suis vem voir le président de la

Béimblique pour lui rendre compte demes démarches -el des entretiens que pateus en matin, notamment avec M. Robsnom, avec M. de Monzie et avec M. Vin-cent Auriol.

Il Je Continuer:II Inas démarches Setaprès-midi. Je compte voir rettiniment,défaut de M. blillins.lacroix, président dela commission des finances du Sénat, as-tacite/nein dans les Landes, le micalertetilgénéral du budget devant la limao Assem-blée, M. Henry Ramager. Ji compte ifift-Muent adenircienir avec divers rte...sen-tants de groupes et de commissions.

a Mon intention est de revu.. à l'Ely-sr, entre 6 et 7 heures. Je pense qu'il amstro possible, à ce meulent, de donner uneappose à M. Doumergue.

- Mais, demandons-ifous, Miment lepouvre.mpus, >Bagne le Conseil nationaldit poli smitdiste ne se réunira que de.main ?

- Evislemmenit ! nous répond M. Briand.Je crois cependant qu'il me sera possible,' la fin de Verismidi, d'avoir une Bei-cation suffisamment nette sur la décisionnom Prendra demain le C,onseil Natio-ital.Muni d'une indication générale, je décide-rai dans un sens ou dans l'autre.

- Et le ministère de vingt-quatre heu-ms nagera par III. de Momie 2

- Sa réalisation me parait se heurter àdes impossibilités matériel., Je n'ai donepas l'intention de donner suite à ce projet.En quittant les journalistes, IL Briand I,,'11010 pour qu'amante publication de listeministérielle ne Soit faite.

Et M, Briand s'en va déjeuner.AU PARTI RADICAL SOCIALISTE

A la suite de la réuni. de ce matin ducomité exécutif du parti radical socialiste,la rate suivante a cté communiquée

e Le bureau du comité exécutif rahlifeloqu'aucun membre du parti radical et rmdical socialiste ne peut accePtesi de Parti-ciper à aucune ciambinaison ministérielleMM uvule revu Ingrém.t du parti n

Quelques ailaises qui pressentUN DOUROEME PROVISOIRE

Au ministère des finances, on envisageda.s à primat reeliaration de faire voterun douzième provisoire applicable au moisde mai et eo donne de la nécessité d'anvote rapide les raisons suivantes

« Le budget de 1925 n'est pas encorevoté et il n'est Pas h espérer d,ac le noueded deux assemblées interviendra avant lafin du mois, Dans ces conditions, il im-porte de se prémcuper de fournir au gou-vernement /es moyens ne...mires pourassurer le fonctiorinument des services ge-n/ira pendant le mmm de mai et de l'auto-riser à percevoir les papes pendant ccmême mois.

A mt effet, il convient d'envisager ledémit d'un projet de lPi de douzième pro,.../Mire, Ce projet est prêt. Fait à l'imagedts dotai.ims provisoires prieedents etcompte tenu des abattements du Sénat, ilne .40. :nuettne disposition pi/Gicl-a/00e de nener à retenti, la décision desaseeinbbies.

e Le vote Immédiat du al nus de mai,pute formalité deus les eiroonstances pré-sent.. Penteettrait d'éviter une comme.tien ultérieure Mi Parlement Or, on neMM pas petrire lie ame quiet, ternien dela loi, les conseils aimée.% se renaissentdans l'avanteeraière semaine d'avril »

L'AJOURNEMENTDES CONSEILS GENERAUX

Paris, 13 avril. - Le président du si.est a reçu M. Ili.% Merlin, président dean compassion de Padinanletration gine-

LE MIDI SOCIALISTE

crimesLa Grise

..-El.,,a+aaarsseaaasaa,

"La Rossignol", l'amoisonnonse do Sainl.Rillas (s2. AVIE, AUX CHAMP sUNE MISE Al.' POINT DE LEON BLUM ONSIXIMMRSP4453815.132,7MMISIIEGRIZELPSIEltiOlgeaStalGE

Liill/5) GARDE-MALADE EMPOISONNAIT CEUX QU'ELLE SOIGNAIT dirini.à leVenpreil'se-euioAlialre3 airenn'e;ert.;,enne,r115,4511.1illmge

POUR S'EMPARER DE LEUR ARGENT a prés fin, et Léon Blum a fait lapresse la démitentMn suivante

« p,mitaiass jour.. de ...tin impri-ment que la réuni. du Conseil nationala été provoquée par la démarche de 3.1.

Briand auprès du groupe ;51 Win est Geta,Cette rimai. avait été prévue an début dula crise.

« S'il ne s'était agi que de donner àM. Briand une réponse sur In PartieiPsTiondes soCialistes I son ministère, nous nanae7: 11s 1,:ses$ ààfisammen.t qualifiés pourlui donner nom-mêmes et sans attendre

11 resulte des convemations avectres membres du groupe, que ln deisiondu groupe socialMte col absoluirtent nega.tive en oc qui concerne la parlieinattondes smialistes an ministère Brime.

Le grimpe socialiste se renishia de nou-veau a 16 h, 39.

Un cabinet de 24 heures

La CuscuteLa °amuie .t une plante parasite vivant

au detrnnota d'autre, plantes On la ren-contres. Its thym, la bruYirc, la vesce,le Mille, la luzerne, otc. Au pMnt, de vueagricole, elle est surtout dangeréuse dansle, Marnières, toui au moins dans la ré-gion meidionulti Sa tige filiforme, decouleur Jaunâtre, s'enroule aux plantes deluzerne; elle porta des suç.ons qui s'en-foncent dans nes tissus ae Ces nlernièreSet détourne ainsi it son prollt la sève dola tige hospitalière

Les pieds do luzerne attequeis ne lue.dent pas b te dessécher et ainsi il satamme dans les Imerniires des taches cir-entai., qui s'il/theme rapidement cetache d'inule, dans laquelle la luzerne di,.parait- Un champ attaqué voit sa produe-fion rapidement diminuer. e.M. does duPlus Mate intérêt d'amaties le dévelop-pement do la cuscute lorsque rselle-ci aima-rait et, ce qui est mieux one., de pr.-

re les mesnres eureeptibles d'éviter eoparasite.

La casent, se inulliplie par' grailles. Cesgraines petites et Iris dures peuvent /maiServer leur bruité germinative pendantde imiguea années. Ainsi, enfoui. dans lesoi par un labour profond, elles ce couse,vent intactes el si un deuxième labour lesreatine Plue.ra années après b la sur.face, elle, sont eapahlee de germer etd'Infecter à n.veau le champ si on cul-tive une lUgumineusei De même ces grai-nes peuvent traverser l'estomae mi. l'imteslas des animaux sans rien perdre deleur vitalité; ne les retrsame intactes dansle fmnier, qui est ainsi souvent un fac-teur de propagande Oie le ceseate

Enfin, l'infection d'une terre se railégalement au moment de l'ensemence-ment par Itue graines de cuscute méIamfiées b eeles de luger.; il faut donctai-

r'es l'iniÎuusre's2rielç'',la' garantie flanelles aontVon achète dés mai_

exemptes de eumule. Constatons, eu nag-eant, que la production de grainesdeluzerne est h peu près rendue impossibledaes un clamp fortement ...té.

Ainsi aine, pane éviter la euseute, il nefaut eMer des 111teralitres (pie sur des ter.res n'ayant pas PI ré do lugerve cuscu-te°, n'employer que des graines exemp-ter 1.,ençusente. et arehibergelan, ln funin.

d meu t fumier provenant el animauxayant consomme des fourrages cumulés.

Lorsque la cumule est apparue dans listChamp, elle se multiplie ensuite per frag_mente de tiges qui s'enracinent avers uneestesmoe facilite et que l'on diesdhane parles hersagee et les travaux de réeollefa/mitage et fanage. llie qu'une maire deCusoute apparaît dans une lugernière, ilest donc nécessaire de la détruire et lesinfOnits Préconises dans ee but sont itemsnonihroux.

Quelgus soi/ Ic procédé employé, 1c suc-els est lié à la rapidité da l'intervention;il faut agir aux premières minatestations

rale, venu, alise qu'un rtain nombre desens coitègues, lui faire part de Margeneequ'il y aurait S adopter le projet de loitendant I retarder, en raison des Cir...tances, l'ouverture de la membre sessiondes conseils généraux pour 1925e projetdent /a Haute Assemblée n'a été mute quele jour niginc de la démission a cabinetHerriot.

Le rainfort de M. Emile Saisi concluantà l'adoption du texte voté par la Chambrele 10 avril, la de Selove a dois. à M. Hen-ry kierlin l'assurance que le Sénat semiteanyealle en temps utile pour en délibéreravant lu vendredi 17.

Ce que dit la PresseL'Ere Nouvelle »

« La Cilmnbre cmare le Sénat I Ce Mi..rait tout Poinet de /a politimm ne Cartel tliMoutons estto nvenfurs dont se réjoui-raient - car elfe marnerait il leur profit... les concervate.s, les millerandisses etles aventurimi de Ion! genre. Il ne Mutpas imicr avec la Répine/que. Crut pour-quoi j'écria ces lignes en demandant h ue,.amis de eanserver leur calme-' « -Une souclusi. simple, dameque irréfutable pulaqu'elle est acieforme àla Ibise republicatne h Le munsters dedenmin serait parfait s'il somprenait lesreprésentants de tous les partie dém.ra-tiques, depuis les s.ialistes jusqu'aux ré-publicains de gauche. Pour emPloYer nume quelque peu hardi, la formule actuellec'est la concentration a gauche, le plusgrand .rtei.

fi Le Figaro aIl est probable que le Conseil Natio-

nal se prononcera contre la Pirtielareilouau pouvoir. N'en fut-il pas ainsi data aumois de juin dernier, alose qu'il s'agieseatde coalaboreo avee IL Herriot I Anse, filAristide Briand ne gardait-11 hier mir quepeu &Mua. sur le succés de Son entre-prise. Après avoir « Mit le tour O de rho-rive, politique, il est revenu à la Ire dela journée, représenter M. 'Painlevé quelui seul pomma obtenir /e .ncours dess.ialistes jadis-pensable au maintien ducartel. 8

« RE.° de Paris »i.e Conseil National du Parti a été

amena pour mardi. La solution de lacrise scralmlle oioarcue /Mque-ilà,même la garantie que leu sueiaLStes lafavoriseront dans le sens ionique Par M.Briand ? Verimnsanous ce speaSitele Mou(du chef de l'Etel, du Par/muent, du futurprésident du conseil à la disposition, auton plaisir, sinon aux otems de M. Léon

Des raisons majeures, des raisons 'd'ordrefinaneich qui toucnesit directement auxplus graves intàrals du pays, imposent desrésolutions rapides, un peongst dénoue-ment. »

e Le Polit Journal »« M. Painlevé et il. Briand estime l'un

et l'autre que les quatre groUpes qui Inc.ment. la mnjorité issue des élections du11 mai doivent être repréSentés dans leMinistère, en qui revient I dire que lesMandistes doivent naarer de la politiquedé Maths°, gaills obi pratiquée 11 l'égarddu Cabinet Herriot, S la politique de cola.barattait Il devaset do. y 'avoir des vicia.Hetes dans le procimin cabitmt. Ainsi tom-berait le reproche fait ces temps dminiers«un Pouvoir « moult° » s'exerçait hcôté du punir., efileici,

Le Malina Il y a Un inidet de documentation in-

discutable b m que Ion programmes dosdivere groupes S'affrontent ainsi. Toute-

et avant la formation des graines qui soproduisent vers /c miliru Jo IMté. C'estcloue au printemps qu'il faut traite °.D'autre part, H ne faut pas limiter le trai-tement a la partie visible de la tache carh la priplerie, les plantes, quoique dappa-renée saine, portent déjà des /liementsde euseute; on traitera donc tont autansde la Moho une bande de tin mitre aumoins de largeur.

L'un des inoyees de destruction les plusanoiene conaiste à répandre sur la Mebtet son pourtour prés/ables/sent fanent, dila paille h laquelle on tnet le feu aprbal'avoir arrogée d'un peu de petrol°. Appli-qqai dès de début de d'ingestion, cetteopération a l'avantage de ne point nuire àla luzerne qui repoussa par la suite.

On a recommandé l'emploi do eulfure,do calcium, répandu sur Mute la surfaceenvahie; en deux jeu,, ce produit viemdrain à bout de la ameute, qui noircit etgo« roi, ..n plus ms% remisas. 6 l'aiden'un linteau.

lin proredé 'fréquemment utilisé con-siste, après avoir fanehd les parties attein-tes et serti bar tigea einigées hors duobamp auera précaution, à arroser la sur-face du sol mee une solution de MINSrede for h 5 On I %. Il est parfois necesaairedo remimineneer 'l'opération au bout déatteignes sernainee peur détruire °empié-tement lea filaments qui auraieat puÉchapper.

Enfin, lo mayen p/ue simple Ça en-cor° sortent st les taches sont d'unesertaine étendue, de pionnes profondémentle terrain moenm100nteo,t par les bardepour finir au centre et fle semer ensuite.0 graminée telle que do Pare«, parexenfille Si la litifernière del être conse,

merie encor° plusieurs entMes, un mélangede gramineee vivasee, fromental raetylepelotonné, garnira avantageusement bsvifies

La haie oontro la Miaule ne doit PasM. négligée, ear non seulement ce para-site diminue Ita rendement des luzersibrestet les fait disparaître prématurément,mais eimere ce tern. ainsi infectées de-viennent impropres à la Plieroe pour delongues annbe.s

Un Congrès de rEcole runes

On a SOMent répété que l'enseignementdenvé dans les écoles de village inciteleurs meilleurs ellèvea Gm anandminerprofession agricole et h lui préférer desmétiers urbains 2 Cela est-il exact 7 Lesprogrammes et les meitodes doivent-ilsêtre modUlês peur mieux préparer /es filsd'agriculteurs h exercer lo métier auquelis nrist desluola . o e murale pell -elle exercer une action pour mainturtirl'attachetnent des PaYmis i la terre

Folles sont quelques-mies des questIonsque les agriculteurs et les membres de4...gueulent sont invités h examiner

fois, il ne faut pas oublier le carectère decette crise. Mie est à ln foie.gstrès grave etScia urgente I résoudre, Il s'agir de trou-ver, pendant l'année 1025, ales sommespour le rembeursmnent des bons, et es,sommes, d'après les expli.tions do gou-vernement démissionnaire, peuvent obis.vue à 33 milliards. Il d'agit, avant Mer-credi soir, de Inettre la Banque de,Franceen mesure de fere un bilan régsdier, eueon ne saurait supposer que Pâtablissementqui symbolise le crédit de la Flaitnce pren-ne l'habitude des émissions illégales. Mus',que/ que soit l'intérêt dma réunions degroupes, la France, dont les finances sontmenacées, ne saurait attendre. C'est pour-quoi il faut espérer que la crise, niaise hFattande c/aire et aux efforts combinés duprésident de /a République et de l'hommeinvesti de sa confiance, se terminera leplus tôt possible. 4

PETITS FAITSUN NOUVEAU-NE

DANS UN CONITI.SMONNALCaen, 13 avril. - Hier, en passant près

d'un confeMidnual, le sacristain de l'égliseperout de, vagissements qua

attirèrent son attention. 11 écarta l'un desrideaux et découvrit un nouveatnne songneusemeril emmailloté sur le pairometconfessionnal. Le bébé fut remis a l'hos-pice Saint-Louis, et la police, informés,procéda a une enquête.

Quelques heures aprés, on retrouvait lamire de vat enfant abandonné, MarisMalherbe, femme Oeubert, ménagère, de-meurent, 67, rue du Vaugueux. Elledéclara que son mari ayant refuse do lereconnaître elle s'était .empressée do le

r a g se ben.

La Vie SportiveRUCBY

L'ANGLETERRE BAT 1,1 FRANCE,pai. 13 d 11

Pa, 13 smil. - De m. une fou ...Mme...Mime et par un tempe s'es jouée larencontre annuelle entie les Maisacs de France et

A Leur enaée sür le ternis, tee dem aulareeent trie applaudis. Au coup d'envol, siffIé parM. Ffeely, de la Welsieriusby..Unlon. Mieuxéunities mt la composition mamie

FrancoDamne., (Stade Media/

Trois -maris 13..son 1C.0.0.0.1. d. Laboide-pe Mammon (Amie, Baronnei, Clu.shsalo (Biurrits,11110MOM.

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Omesinno Oves (Biadfort); mêlée,A,-T. 'tonna iCamlpidge.

Atiants Cap. MT .W. Wakefield datalermadA.F. limbe. atvemmilb R Core Smith oidMerchant Taylm.), laça Cammins (Candaddsei,

Luddington 1elvice8Mec. Leman est Mershant Terlea),

Tusker filagiall), Vorco

casent/Me au eters du pro clgo

Rouen,l'Agricureult française o

du 1a au lb mal.Miteurs, tous les membres demont sont Mollis, qu'ils patIVrer an

C01,51.tMursatr

présent leurs avis, eue thlanj;'observations do faits précis 1--dévalas!. Nef:Saale des Ass'oel na,cules, Sn, rue d'Amsterdam,comm

s,unication menai tranalitilitge,snesrapporteuse pour qu'ils eu

2dans leurs rapporte. Ainsi le paps.,-2) talprécédé d'une empesa gni p m.-mise sentons ceux nui ne pannation4Pag

as'inplacer d'uni utiles/men aats HiRude qui présente nu st -pratique pour la Rem-peiné Ut, aotgoiculture

Conseils pratiquesEAcuwee GmenmenvE

nes eLANTret CULTIVEtsOe sait que /ee graines des di

vées, pense bion ede.mlldss aicodent peu h peu leur Bleui

tfve; un bout d'un tenamlong, elles goarrent rua, en dplantes peu vigoureuses tra tuile a,Insit Pies du fout mLn soutissaur-d.,eë getrainative dm d

g,iversesOit done utile; elle pomma d, ----,aen6teles-ei liOn &casât el dadrie-esgrgines que l'on estime park% tr'pritged.-et qui peuvent donner cependaied'exceblentS résultats.

D'une façon enérale on Peat adtque Pom les Plantes de grande ciatu'reill,id arie geoni.tive ne dalla., pasare.. papa les plantes potagères, elle est assezvariable. Voici la durée emannatim étiM'insane-ni Hg... vlid%urt .

perse, mil/erg/ne, betterave, 3 ans;don, 5 am ; carotte, 2 ont ; ced, 9serfouit, 1 0e; chicmée, 5 amis;3 ans

'concmuhre et cense, rem; er,

a., 3 ans; épinard, 4 ans laie, 5 nu,barise, 3 ans ; laitue, 4 ans; macle, 5ans ; melon, 5 ans; pastèque. 6 alla; nenet, 3 ans; oignon, 2 ans. oseille, 4 ans;persil, 3 ans; panama, 4 ans; poireau,3 sana ; poirée, 6 a.; pais, ms; ne%5 ans ; eslmolis, 2 am ; Intrbgm, 5 uns;tomate, 4 ans.

Gerbe, les semonces Rouverte encore ger-mer mais Page quo nous indifla.s, ashisImatiquement il est bon de ne fins lm uti-liser aprée ce délai ; Megse le elles domcent des résultats satisfaisaes et cala estutile S connaître, ces beaucoup de cultiva-teurs pensent quo les grame,s doivent dmutilisées dans la minas suivait leur ré,mate A ce propos, ajoutons qu'il est avéraque pour certaine,s Plaid. teins Mie Hunolon et les pois, M gama in dges 2 ans etmême 3 ans sont préfère/Sis lb ruiles deannee p, on ,

LA PREMIME MITE/g1PSEn première meamme, rAmdereure ma doms

am ma mante tél..* dente ee.ake tr...fonat.on mmc me coup hune. &Mei Mima

d%a,fziaureid uem.,eteries,relf,t

mue de pied dsuivre Casées.emeol,et mie. W akeeld mem.. Laekkaato

quig chelems avinai été à ea plage, en

osa Larduionmrn.Per Han.. Weekea Le bot est 50001

Pende. m mimai, Inc Mima memientpointa. L'essai de la Suavaa San Auee aprèsMsase d. Besson osé, pacti de la tamile, ramaBerthe, Co demi.. mapme Dimattese

55545aaate..A.eraultatda 13 paion

Le Prame domine en drupes. maieleOPISEndeuxième relreame., alma rem lee Amilesnoie. famehit 051m hg. de Me, /esnui miment à lem tour l'avantage et jos..

B.fpda, vont dem foie à remet

In moelle sui sans, une aefitée eot faim PrèsSur coup de pied à More do

bau analais. On Manoir lame à dsnui passe à Beeson. Co &mea mammri

La fin arrive sur rbaultat de 13 BOalleen nommasdes Anslals a/ma m. Pi mnet malique de peu mis mm cons,mas-

IMPRE4S7ONSDès le début, I' Angletens inanifiaa ane

anaghJsi,ssurto,i, aueem: doIMi

avants anstala se mantris.ent. tiquée tel005 In, ils jo,..Ment miempuL/

Du Manoir réussie de, emme-Mposes

g'7107: fit des troMses inummtamminimsen pmfait à son ails.

Hélas on Mt dos avants ban,. tem.rnal

m dahu sic èa,as,s0e

temps splendide.1"`

ourmin:

Les Anplais margaimit â ;louve., .veala befle erras de la amure-am., 1.1.°dm nous le jeu plus 00555m mit mains m

Da Mords et B.6.7 réelleseet

ff7iniee l''fiio'tem'iiennrCehlcin''''Ime. 4°.

eikimit par mshs pomme, pur longs '1'.Les avants françaiz Ba

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Chronique de ToulouseLE PREMIER MAI

MANIFESTATION INTERNATIONALECONTRE LA GUERRE

La Fédération S'Ymer/ale Interrrafioonak ,,,édant auii suggestions de plusieurscentrales adhérentes, a décidé d'intensi-fier son oPposition au militarisme et à /aguerre.

Afin d'intéresser les populations âproPagancic elle a pris l'initiative d or-ganiser une grande mnnifestation contrela gueme nom le Premier Mai 1925.

Cette action a une valeur incontesta-hie. Elle peut et doit avoir une répercus-sion considérable pour le développementdes idées Pacifistes.

Les années précédentes chenue Paysmganisait sa manifestation à la date guihti Plaisait. Cette année il n'en sera plusrie même dans tous les pays et le mémemur /es travailleurs exprimeront en cgjour dz Premier Mai leur haine ao mili-tarisme et de la guerre.

Dans notre région, nous entendonsrépondre à l'appel de la Fédérationdiealeictcsnetioeule et nous ne négli-permis; aucun miceen tee donner lemaximum de retentieernent à cette ma-mistation.

Antimilitaristes, none le sommes pro..fondément. Nos. avons la haine et ledégoût de la c.erne MA, Oies itumaeseefait des automates, et de la .guerre fatale,où existe le Militarisme.

Nous sommes Contre la guerre, nonde:liement pmce etue nes. nonce lePeCt de la vie humaine, ranis aussi parer/1'eue /a guerre ne peut qu'engendrer leréaction et rendre plus misérable la si.tuation do prolétariat gui en fait tuefours les frais.

Malgré le passé douloureux mi de-i/rait pourtant faire réfléchir les hongmec et devrait ',carter d'eux tout esprittent sentiment de chauvinisme.

Im presse, les hypocrites mgr-doses-tiens patrimiques et militaires ont con-tribué à enraciner plus profondémentengoue ces :mauvais sentimonta indignes'r.YhOmment civilisés,

Seules les olganimtions d'avant-gare.,les sendiests en particulier ont réel,ment travaillé à mcdifier cette mentalitéilr lsrutes.

Pour sa tsar, l'Union dessymlicatsIPte' iut,'r dans le versé

s i n s o errilu ei,appstilde à la guerre.

Fin juillet 1914, à la veille de h_ ramie,ses militants avaient décidé une actionauprès de la population, action qui neout s'accomplir. La foule, ivre et stupidehurlait stars o A Berlin » <fans les

rrée Toulouse et nulle force ne pou-vait la ustenir n le boue/rage cl crâneavett d0:5 fait son ceuec.

Cette impuissance, dans un momenteiesi tiagifire, nous laissa à tous un 91.0-h, d sentiment d'amertume. Ah ! fouleimbécile qui acclamait les reuvaishemers conduisant de, millione d'hem,u es à la tuerie, tu as payé cher tonaveuglement et ta lâcheté.

Ces souvenirs sont évidemment clouslo.nux à évoquer, trais ils ne peuventmus nous raffermir tiens nos convictionsnt notre haine du militarisme crri l'en-gendre. De tout cage nota parti...»tant Obuu à la propagande contre laLunure en cette date du ler mai.

Mais d'ici cette date, il nous faut Pré-parer !es eamits. Q/e nos camarodes,pénétrée de la valeur de cette action, selivrent à une activer tormegaultke PG11I

eu premier mai des manifestationsimposantes, de force et de, dignité, vien-nent mommer au monde capitaliste quele melétaciat veut mainte ont la Paix etqu'il mettra tout en uvre pour la réa-liser ribss lv irmride entier.

Le mot d'ordre des travailleurs doitêtre dans tous les pays o A Bas le Mil.tarire lAb,srleresereel,t

Et tenant travail de reonsuande Pomo,ue la d'érnonstration du Premier Mar1925 soit la mczNlisation générale detoutes les forces de la paix.

La commission de propagande cicl'Union des Syndicats confédé-rés. - julien l'orgues.

PROPOS D,AR7'/Voir le Mnii Socialiste du 25 mars 1925)

LE PEINTRE JEAN LA13ARTHE170g- 762- 176g- 1775

Malgré mes ph..a actives recherche,Isarrni a,. vieux papiers et n ayant pasles facilités né...4ms Pour fouille,avec fruit, parmi les documents déposésmix archives de la ville, au Donjon duCapitole et à la Préfecture, j'ai peu

trouvé sur le peintre Jean Lalsarthe.Né à Toulouse, en 1700, Labarthe fut

et 'rit parmi ieséRves d'Antoine&quel il chercha à devenir un fidèleimitateivr. Ses efforts louables ne lui per-niiIent pas 'd'arriver, eependant, à lacorrection, à la grâce, à la facilité desen maitre, ni à ses facultés de com-re,ition. I/ en resta Même assez loin.

Néanmoins, Labarthe avait acquis unehabileté relative en étudisnt, et en co-piant, tous les chefs-Temere des mande99.Itom, dee Ou Italie.

ivant de MM. emdvank 13 janvier 19fi',:livr7CLI'..

the fut nommé membre de 4e dasse dela société des Arts, et professeur tempo-robe de l'Académie de Peinture, pourle mois d'avril de la même tennée.

En 1760, il fut nommé membre asso-cié-artiste de cette inéme Académie, quiI onfia ch e dèle

'tis. À: es"r in e riant celle succCoins/in/1.e Cannnas, en 1762

Le 17 janvier 1768, M. U'

alearthe en,Ja qualité de professeur, formula unedemande de traitement fix

pas de surprendre ses con', s-el,. là, apôtres dévoués et bénévolesculte des axas.

Parallèleseent à ses leçons de COMIDO-tinn Labarthe faisait pour ses élèves

r.m>en'e g'..,4'papartriseirt/-iirfu'aleas'SerDent le- derniers mais de lamée

tout enseignement, et il céda sa chaire 5.I an-Baptiste Despax.

Cependant, dans le courant de l'an-née 1775, Labarthe était nommé com-missaire de l'Académie pour juger lesépreuves d'admission du peintre Maillot

Il moulut cette même année. il Y adonc 150 ans, luisant dans quelqueséglises ou couvents de /a région descompositions religions., assez midi./cres ailleurs, suivant les critiques del'époque, ci retraçaient des scènes dela vie de ésus.

Vers 1820, sud nues auteurs ont écritode le Musée de Toulome possédait untibleau de Labarthe. Aucun cataloguec'en fait état et, celui de Roschech,rédigé en 1901, pour l'Inventaire des Ru'charmad'art de la Frarme, qui les réosure tous, avec des références sérimisies,ne aire même pas le nom de ce peintre.

Sen oeuvre est donc depais longtempsdéjà à peu près pesé., son nom auraitfort probablement fini par sombrer dansl'oubli le plus profanA, sans ces quel-ques notes, qui maroseront modeste-ment sa biographie à l'occasion du 150eanniversaire de sa mort. - Cilles L.

Chez les Pescofis

CONGR.ES DE L.1 FEDERATIONDES SOCIETES DE PECRE

DU SUD.OUEST-IMID/

.C'est le vendredi 17 avril, à 15 heures,l'amphitleatre de l'ancienne Faculté de

Lettres, que s'ouvrira le Congre do laFédération Oct Sociétés de pêche du Sud-Onest-Miai, auquel ont adhéré lentes celut. La plupart des groupements pire/tec-ks de la région.

Par l'intérêt des questions qui Y sertimttraitées, cette manifestation paraît devoirrevêtir une importance exceptionnelle.Aesi Ies ministères de Pagrienittme, destravaux publies, de l'instruction publiqUeent-ils tenu à y être officiellement repré-sentés par : M. le conservateur Oct eauxet fârêts ; M. l'ingénieur en chef des Pontiet Chau.ssées ; M. le groles.. Jammes,!recteur de la station de pisciculture.Dans la première journée serein ,PM-

sontées deux études sur t La Salmonicul-ture et la Cpprinineture ;bu Législationdes Eaux.

Plusieurs parleMentaims ont prenaisd'assister h cette séance Mange:de.

C'est un grand succés Pour les organi-sateurs.

CHEZ LES ANCIENS POILUS

Troistême journée da la Semailledu Combattant

Hier matin, les membres de la Ferrminsdu Combattant Mtlai$ h l'Hôtel d'Assêntont nominé lette nouvenn bureau. Cetteélection n'a doané 211 a aucun inetdent,le nouveau bureau donnant satisfaction htoutes les associations représentées. Parmices imenbres deux : N/M. Marent et Es-guerre des Hautes-Pynenées, ont été char-gés d'assurer /a -permanence du ;bureau àl'exclusion des outres dont la présence ausiège pourra n'être qu'intermittente.

Il a été décide es la Semaine du Gen-battant prendrait désormais le nom de

Union des Groupements adhérents à laSemaine du Combattant

A midi

s'ouvrli,IzIaeilanaculniere

el

a rrirdiVi=onlseset7r/ ont Mer noue ta: Pons''Ditar'i'-

ni /e texte t, nos lecteurs.Un grand banquet de clAture préside par

5f. Ruffenacht a termine le Canges auOrand 1101 cl. Après un excellent menu,plusieurs toasts ont été port., et notant-ment par 57 Ruffenacht.

Oral duiru lu joie rileta Itur?)te- a 1 .5- Ie p jo_

de travail parfaitement rempliesZ.

CA ET LA

nELEG"S ET SVCCICV/Mt=111COLESLes OM.bres dagribillum Compren-

nent des délégués, dêSignés â paisto de unI551. arrondissement, par les associations etsyndicats seiColes du départsinent.,

Pour participer à réduit. des delegues

esgroupements susvisés sont tenus par

lune -déolaratlon faite avant le 30 avril deManifester leur intention de prendre 'mét-aux opérations Mectorales. Cette déclara-bru et a.dressée psr le _président au pré-rot. MM indique la date de la fondation 4ugroupement, le nembre des adhérents nt-dividuels, le nombre et la désignation, s'ily a lieu, des groupergents affiliés, la conneposition du bureau, du eouseil d'admit:1s-ration eu de l'organe qui co tient lien

141Ie est appuyée 031 texte des statuts, del'extrait des mropteS des cinq dernièresannées, et de l'indication du montant descotisations effeetuernent encaissées remdant eette période.

VENTE DE L'ESSENCELe commerçants du département qui

vendent de l'essence sent In/fermes que,confmmtlinent aux preseiptions des arrê-tes préfeetoraux des 10 février et 10 murs1925, ils sont tenus d'off .1er obligatoire-ment, de façon très apparente et en chif-fres très lisibles, le prix de l'essence aubidon, soit en qualité pelds lourds suit enir alibi touriM%

lec'eence

sMt livrée

nIe_jeslie'c raçticfis' trauxiaplos'iliOns des ar-rêtés susvisés seront relevées et poursui-vies.

LICITE DES DROITS DE L'HOMME

As.mleb;Iterel'erra,bextraordinaim

Mire' suie GaleCea."PlsoLirciele'île:

rem ac els.jour

La Ligne et les êvén.ents tu

VOLSMme Perati Jenny, revemleuse, rue Poezonville 8, a porté plMnte à M. le Com-

resC,'.,r;ed% Z:e13:,rre'onnlrinTer::pour vol ahme somme de 80 francs

porte tle ta cor reStant toujours ou-

De"tôl ea'ir agt'edueorril'eertian115"elrecycle samedi, pendant l'absence de MmePereti. Une enquête est ouverte-

-o- Sur phiinte de M. Jules Crubillte,employé aux Cbeinies de T., demeurantrue au Dix.-Avril, ILI. le Commissaire ilePott. dit 3e arrondissement a dressé pro-ede-verital contre immun, pour vol du.rt°hien berger albomna valeur 250 tramseommis au Medice du - I i nant

---e- M. 7enn Drobem, chef de chantier,. ne de Fontaines, a .gualé à 51. Io

Commissaire de. Potine do service à laPermanenee qu'une barque de pêche, linappartenant et qui étRt amarrée aU CheteatedTau de 13.massol, lui a été déro-bée (la chatte en fer qui servait d'mnarrea êt6 brisée) da valeur est de 250 francs.hop a Iule de kniaçans. Plainte a été dé-posée contre inconnu.

-e- M. le ROMPliSSaihe de Police du3, arrondissement a dresse procès-verbaleontre la nommée j. I. 28 ans, domesti-que pour Nul de le ms serinette cl rl'OOCouteau, commis au restauent des OmetMets.

DISPARITIONSLa demoiselle Jeanne Digon, âge de tg

ans, tailleuse, n'a pas reparu au domicilede ses parents, lue Haeirpe, S, Pav.t-hier midi.

Son signalement a été donné ntr servicede la sureté.

o- hime Vve Tu telle Antoinette, re-passeuse, demeurant 31 rue de la Colore-bette, signale la disparition de sa filleBerthe, Je° de 16 ans, ouvrière papetièrequi n'a Pas repart: b son domieile depuissamedi matin.

Son signalement a été donné au serviede la sûreté.

-o- Le jeune Geser Roger, 11 ans, adisera dans la journée dliier-

Son signalement a été tranarnis à la SCEvete, aux fins de recherches.

BRIS DE GL1CF.S

An cours de la nuit dernière, des in-Connus ont brisé d'un reop de pierre, unedes glaces de la devanture du Magasin neChaussures a Vidal r. 50 sua Alsace. Cetteflore mesure 2m 5f sur 6 métre. Plaint,ri étr, portée à àfi le Commissaire de Po-lie, de service à la Permanence.

Egalemenl, une glaCe mesurantM. 50 sur 3 nt. 30 appartenant à la de-

vanture Mt illtagasitt de M. Marion ,Erelle,Me. Aime, 37. La glace a été brisée te COupde perte. Ji,e préjudiee Causé est de 2.500balles .Drquête.

RENVERSE PAR UNE AUTOlIme vers 19 h. 15,1a jeune Henri

uliseé, 14 ans, demeurant avec ses parentse AragO été renversé par l'autoT 6 qui ne set pas entête, rue de

iole a hauteur du iminéEo 9. Contusionss gravité. Une enqueto est euiterte.

COURRIER ARTISTIQUE

GALAS R. EARSEXTV AU CAPITOLEdest ce soit qu'a /im la magnifique re

Présentation de gala _de l'admirable piècedc Pertmllicho n Le Vieil Homme ave0le rumeurs de la grande étoile parisienneMme Frense-Ellys.

M. R. Earsenty, Pacte impresario n'arien neglisê pour faire de cette soirée ittemanifestation d'art ineomparabb. Réunirsur une mem affiche les noms de FraneeCense, Vargas et /byte:é:irae est déjà unMur de dorite prit banal ; si l'on ajoute queles autres partenaires sont tous et toutesdes vedettes des grandes seenes partsien-nes que les toilettes sont signées des eusgrands noms de la haute tenture ; quela mise en sene est soignée peine dansles moindres débile ; celit explique la fa-veur dont jouissent aunes du eiblic leu

P. Kersenty o galas organisés pourla pré:pats-Mien de (Art Français par leTheatre à travers le mande.

La feuille de location est presque entiè-rement eolivelLe, que les retardatairev sehâtent pour assiSter à cette éclatante ma-',Mutation d'art.

PARTI SOCIALISTE S. F. I. O.

COMMISSION ELECTORALELes membres de la commission Eleasamle

(C. A et Commis:son munimpale réunies) sontpriés de m réunir meromdi 15 av., è 21 heure

'Oree do toor Venons ume.5,,,te,:ime. de /a ennemie électorale

Le Secrétesee t Puni VICTM.poe.VIE OUVRIERS

Syndicat des services publics. - Nous faisaneun pressant appel aux mdhérents de la semion desemployés municipaux peur qu'ils asedent engr.d .1.i/ire à L rguen de propagande gut 01'tal,suisedi 16 av5/. à 21 heures, selle du, Séné-chal (ancienne Faculté des Lettres).

Les emasades Forgeai, d.étégué de l'Union desSesdems: Pool, délégué de la C. G T demot ydévelopper des nrablèmea d'ordre smint ri est deetre Meyer d'y répondre, car noue présence si-anIfiera rtue nous voulons les voir réaliser.

Syndicat nnitaire des chemin. iTodouse Midi),- Tous les ahembuts syndiqués sont Mvités d'as-sister à la rémnic, nqui aura anierd'hul mardi14 murant, à 2/ hemes (ss11. Mari.

Camete rendit do Congrès de rems.

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S'ADRESSER AU SUREAU SPECIALDE POMPES EliNE13RES

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Cette amie enteod la dévelomemem de la téléphonie sana fil et Member pluePaegulièrement à lui donna, de l'extension dansD Midi. Ene reelerchera l,r move,. eraniucar cLPermenre sensé/Mem de La région de recevoirdes rieditans intéressantes dans des conditionsdonnant à tous la fmalie de Prober de. émis-sions

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Tnutes I s communie-usions doivent être adres-sées jusou'à neuve/ onde à M. Ripert, ingénie,domem Eiences à Saint-Sulpice.mr-Lève (HIe-Gmonne).

I' striée/se s. siège social18, ru. des 13amdam, Tuolrnss. - Nues polére,cisclessons o compositlen du Conseil egAdminivsanton de la eociété r Ariègeise r Pour Fannm1925-26 r

Président r M Béranger Frai*, président dumissel d'arrondissement de Fme. avocat à le Comd'Arad, maire de S,. Pool de Jartat, place St.Sernin.

Vie-président: t MM. Roussel Charles. Tue des

Parada.. 18; Gsbmlessiuietts. tse PsItsa'd2.; Labadie Isidore, im Ft.-Flonest, Il; AlesAgnela kottl. de le Gare. 87.

Seciétalte yénéral t MM. Sée/miss Fe ma desRamdam. O.

Trésrum véuu,sl M. Somme Nevis. ruaSt..124nrésy, 23.

geerétairmadioins: Lmnlim JeandliaPtiRetSt -Bernard, /é.

TyésederudjMni M. Pagés Gemmi., rue Del.. 17.

Feeavems , MM.13aues I 5,6o/d(Sue'. me Pei.roaes. 27; Lamy Dure (Centré), rua d. la Co -

/cule., 73, Clam Pive (Nord), rus d. ,Concorde, 32.: Ana>. Jean (Ouest), rue de laRépublique, 17.

V. 3 eu MM Ltboor 1-.1. (Sue place 1,-0e cd, 4; Damen Joseph trame, Côte Pavée.

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Adynimammus KM. Bénezet Jean, rueddrae.16: Caen bue rue Compans, 21 let LadreFree., beml. de /a Ger,, Il, Sabra Jean-Ptetre,rue do Temps, ah Delrieu Edmond, allée de Cuanaux, 39. -

Cane/Amon des vadieelubs du SuebOnest,tac °senne - L'Assembles générale den treteradio-clubs Os Sud-Ouest formera la Confédé-Leen des radio-due muta lieu dan am PP.miern Emin du moi de ine'

Des délégués dgnon. d. Marseille et de'Toulon bien one ne faineint en la té.sion de Sud-Ouest masure: probablement àcette rémion comm. ils en ont formulé la de-:made afin nue rmenismion mehoehonieme des:étaies du Sed-Ouest et du Sud se fasse ens'inspirant de ta nemo ligne de end.° muras

lrdélarnsrdssomencrr,.Ratlio.Club den Perénéan el du Midi, Tour dos

R01,,ef L. me:Mariai du Radio-Chris damné-renées et do Midi, Tour des Roquette, 9, rueOvenne avlss tous ses adhérems nue In réuniond'Aml est reportée après les fêtes de Pâques.

Il sem procédé inceseamment à l'envoi des car-tem d'adhérents rjai rimaient tan être remises ie.-

Le Radio-CI., des Pyrénées et du/N.4P. Mst:animent tons ses adhérents de lui signaketee st les nouvelles entsuons de Moscou ont eténerees dans noire région.

Rallye StaItubert Toulousain. - Réuniav séné-mde autourethut Mardi 14 murant, à 9hemes, caféde la Régence, ntese du Capitole.

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A L'L5LMORTELLE. rue Rémest 6

VIE SPORTIVE

CIRCUIT i LA RAFALE aOrganisé par l'Intime Sportive Toutou.

mine, sous le patronagedes Grands Magasins it Au Cabil.e m

REGLEMENT GFoNERALArticle ler. -- Il est °rami/se, le 26ésitmil

1925, par l'Intime Sportive Toulousaine,tine course cycliste sur route, dénomméeo Circuit La Rafale m

Art. 2. - Le circuit est divisé en deuxépreuves

Enceuve nationale, ouverte aux cou-reurs indépendants de toutes eateeries

2. Epreuve régionale, ouverte aux gon-:teins débutants, aspirauls arnateum detoutes cafeteria /des degertenents sui-vents t flaute-Garonne, Tarn, Tarn-Ut-Ga-ronne, Gers, Hautes-Pyrénées, Ariège,And

Act 3. - Les parcours à effectuer sontles suivants

1, Po. la course nationale ; Teilleuse,Peiers, Foix, hlasal'AzIL Montesquieu-

Valvestre, Caebonne, Muret, Toulouse2. Pour la poisse régionale t Totgouse,

Llec-Jourdain, Samstan, Lombes, 51oupe-rat, Riennus, Muret, Toulouse,

Art 4. - Les cyclistes ages de moi. de18 ans ne peuvent participer mt petitcuit, et ceux de moins de 21 ans, au grande son gueuses. L.hh uisile méelienlr.naunis du certificat du docteur les autori-sant a prendre part à ces rereaves.

Act 5, - La course emportera des con-bâties fixes, volants et secrets et se dis-putera sans enfçaîneur, ni suiveur, nt soi-gneurs t les somneurs seront scitinnedautorises dans lés eontrél. fies. Au rocCie les coureur. se prieenteratent tropnombreux au rentraie fisc av.: signatu-res, /es oriel:battue se réservent le droitde supprimer MUes-el et de eunirGkr edm-plement les coureurs an passage, par erscontrôle secret

Art. 6. - Les causeurs devront, souspeine rie disqualification

a) N'accepter, sous aucun prétexte, Pai-de de seigneurs ailleurs que dans un con-trôle ;

h) Pourvu., avec leurs propres moyens,aux réparations de Icor vélo, sauf dansInc contrôles, où ils Penment se faire ai'der ;

S'abstenir de projeter sur la routedes récipients en verte dont l'usage estrigoureusement interdit ;

Refuser le eellbours de tee-niveauou entrai.oe humain et mécanique.

Art, 7. - Conformément aux disn.j.tionS de Peptide 167 du règlement desCOUrheS, rarreifié par une décision de incommission sportive de PU. V. F.

T1 est interdit aux voitures ropesentantune maison de cycles ou de pnenmatiquesou appartenant boue société intéresse àl'épreuve de suivre la murs, si elles n'ontpas à bord un easemissaire désigné par 10commission sportive organisatriee.

Tous les coureurs moniant une marquede bicyclette ou de pneumatiques apparte-nant à une smillé dont la voie'r n'ayantpas de commismire à bord sera vue sur leparcours, seront mis hors de course, quel'occupant de la voitum soit le direetmrde la maison, un manses, un soigneur,

menihre quelconque de la seieté inté-ressée. De reme, conformément audit 0-lite 167, il est formellement interedt, souseine de pénalité aux coureurs limacie,non engagés dans la course sans entraî-neurs, d'en suMre I tbiuèpoipc. sous quelquemotif que ce soit.

kLufin, il est indiqué, aux automobilesou autres autorisés à suivre la coursésqu'afin de ne pas gêner les opérations°mitage, il seront tenus de conserver.,en murs accoste, le eamemmt suivantleur numéro d'ordre qui leur sera désigneavant le départ per le Comité directeur,et de s'arrêter cent métres en avant dechaque colmate, au moment de l'arrivéedes coureurs.

Art. 8. - Les mureurs sont priés, sur-tout à leur Passage dans les vikles et lesImalitse traversem, de conserver unegravide mrrection da. leur /roue, etlentsa propos, seus peine de misé hors deCOUPSC.

Art. 9. - Les prix seront répartis airminobles est prMise d'entre part.

et. 10 - Après In sigmture à l'arrive,des concurrents devront remettre leursdossards au commismire chargé de les re-cueillir.

Art. 11. - Les organisateurs déclinentpouvant arriver en cours de route, au ades personnes autorisées à suivre la cour-se, on que ceux-el pourraient ocmsionnerà des tiers, ainsi que pour les frais dermie ou autres qui devront être acquittéspacks intéressés.

Art. 12. - La distribution des PH8. 00Prhnes aura immédiatement aprèsl'homologation de la course er TE V. F.Les prix et peintes seront payés aux béné-ficiaires. Les mix cl-dessous attribue auxcoureurs de Sc et le catégorie ne se et:-mutent pas. Dans le eas où un coureur deSe on de catégorie se el.serait Premiermie elassemmt général, un prix d'une va-leur égale à celui dos lie et 2nie catégo-ries lui sera attribué.

Art 13. - Le fait d'être engagé indigne< reMe ks couurs auront Peis Menaissaneedu présent règlement et qu'ih en Muett-e. ton es a /AM. 14. - Toute infraction audit règle-

meat centaines, après enquête, Is disque-lifimton du coureur pris en faute.

Ae. 15. - Les organisateurs se réser-vent le droit de nmdifier, s'il y a lieu, leterasse règlement, mais seulement aprèsen an oie informe la Commissi. sportivede l'IL V. F., auquel cas Ion coureurs se-

1rouit prévenus au moins huit jours àl'avance par la Voie des journauX

Art, 10. - Les engagements doivent êtreadresses mir remis au siège de l'inhumaSenitive Toulousaine, Calée Chabau, 14,

place du Capitole; ils ne seront valablesque tout autant qu'ils seront accoMPagné9de la somme de 3 franm et :mentionnevont le numéro de la licence nationale, lacatégorie et la société à laquelle appar-tient te coureur.

les engagements doivent être mis à laposte /e 23 avril avant minuit, ou remisau siège de l'Intime Spoeivete 2.5 avant midi.

Art. 17. - Les concurrents secs. tenusnu courant, dans la chmnique sportive.des journaux « Auto et Sports oScorbIf , n Pbnmrlb/liehe a, a L'Express du Midi a, .7:

gramme e, « Le Midi Socialiste a, r L'h 1Petite Gironde etc. 1

Des renseignements seront fournis surshatple ileannee par le Comité directeur ttile la course siégeant à 'Toutou., place du

ramenems, vesmemarreanamementCOSTES. Cenronnes Mortuaires

21. rue de gement. 25

THIEATIUSli GDIEPIASTHEATRE DU CAPITOLE. - Aujourd'hui à

du . 30, tournée Cassure ^ Le Vieil Homme ataveela °amour. de Mme France En), MM. Ven.

PDCZ:12,"2:1,Mte Pe lrotV.ès le! '""Le bureau de location m ouvert Pour celie

préentation.Service spécial de tramways à la sortie du

Théâtre.THEATRE DES VAR1ETES. - C soir, mardi

relaeh..Demain mercredi, une seule représentation de

s la Fille Elisa r, pièce tirée par Ajallmrt do ro-man de M. de Gomes:, e5 E eommes de MIEDamia, Ln Bernhardt n de la chanson, laplus magnifique interprète de la chanson damne.eue-

Lsesuss sti'Flts/THEATRE DES NOUVEAUTES. - Tous les

Ana. tanin ! ! ! daris ses irnimtions de Draaem,Marot, Fo. Mme Ouvmd, Edds, Mme SuzanneVol. ras. etc, ete... t l'extraordinaire Nathal et luautres numéros.

Lo gioctade rosuseneera par « Ciné-Agence,vaudeville en I me c0c0Dumiel et tome be uoope

-AUGE l booThila, des Nomentén. - C'entà paria du veudredi 17 mul une seront donnéesles représei.ons de e Taupin a des idées noi-ras n, en 3 actes eve, Le man. eominua

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APOLLO-TFIEATRE. - On mai. à 3 h. et ensMrée à 9 h. t s Le chevalier mns le sou a,grand Marne: s Pillage a (2n chapitre),

Jeudi 4 Un nuage essa A mec RiibdGAUMONT-PAL,ACE TOULOUSAIN. - En

anatinée à 3 limres et en soirée à 9 heureri L'Arabe t, sunevereduation Mena, mea Il séeleisent Ramon/Novare, Alice Terry, Hasudiant« Le retour de MaMvel T. air, Marcel Emmen,

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9 heme La dietenice e, nec Gloria Sen-son.

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LA.FRICAINAiTeltOTIF A LA MANDARINE

Oc. FAUFILà Saint-Ambrais, (Gard)

lialâte.nagmakitHeCAMIONNE

PARTI SiD/i/i/ALISTE -Commc suite à un ordre du jour Paon.e le g Midi » émanant de /a seotion deLangages. concernant l'uni. cantonale.In section considérant que dan0 Ir nos-Sou de Carbonno deux sections seul.-me ent sont constituées. Langages et Car-bonne, depuis la foncefion oie cm sec-tions respectives aucun difficidté n'a pusurgir, car, jusqu'ici ha réunion des ege-t/cria communs es en Ccoenèscanbnn-na., furent organisés par /es soins di-recteurs de la Fédération et présirjfés Parle secrétaire fériéral (19221.

Le se,,on de Cerbonne grOleedeo:pli:lé, décide de se card/amer, censme toujours, aux statuts fédéraux dési-rant l'usité toute entière au sein au pare

estime que la création d'un organis-me cantonal n'aura vraiment d'utilitéque lorsque la propagande faite danschaque canton aura porté ses fruits etme /es cantons auront ttn nombre plusélevé de sections.

La section constate que la propaganderiest pas suffisaminent organisée dansle dépertemlent ; l'organisme centralayant une organisation de b7OPRR8802,la section décide que la Fédération or-ganise dans la régi. des tournées ré-golieres, afin que / action du Parti soitPmtée à la connaissance dieu éle,cteursavant la prochaine consultation electo-do e,

PoLl4 Stiereet/iorci,ertn,p1r o...dre r Le

PARTI SOCISLISTE. - Commation du parapour hindi arrivée trop tard dans nos buseeslundi niatin

THEATRE DU ROSIER. - Au:ou:dbui ensoirée, Rem la Honte it grand drame.

FOIRE - Ccurs pratiqués à hs foire du 9avril 1925

Mardhé à la seluibo. - Dindon., de II à85 fr., dindes de 58 à 64 h.; dindon... de35 à 40 fr.: pintades, de 32 à 36 fut elmeen).de 30 0 35 Id t xios nealets. do 30 a Si lugres males d. 30 à 32 fr., pmdets, de 22 à10 1,, poulardes, de 18 à 2t) fr. canards mu-lards, de 54 à 58 lr.l niera do 9 à 10 frunoms canards. de 7 à 8 fr.; °Mens de 25 à24 f r. poussins, de 3 à 4 fr., te met La paire.

e in,%---zUZ;rjre1),311 ba'renes. de

sire d. 10 à 12 D, In out le kilo.Cho. pommés. de Ils, à 1 fr. 25; salade, de

0,25 à 0,45; dies ems, de 0,40 à 0,60 le toutla mme; emnes, de 1 h. à 1 fr. /0; seEtais,de 050 à A90, le tam /e parme,

Marché ms Merlu, de II anfv:helian, de 6 à 7 fr.; petit merlan, de 4 à, mye de 4 à 5

fr...dorades de 5 à fr

plies aarelets, ale 7 à 6 fr.; nde h8 ::Mesde. de 18 à 20 fm, manerese, de 8 à 7 fa:sardines. de 7 à fr.: Tale 7 hm aveiler, de3 à 4 Ir, naine, 2 fr.; /ansees d'avocats, de8 à 9 ft., le tout le kilo.

Hens aux grains. -III. de 04 à 106 fr.avoine, tde 43 à 44 hm ma de 71 à 74 r.; orge,de 66 à 70 r.; fêvm. de 60 à 65 fr.; banco..de 1200 /30 fr.: vesces, de 85 à 90 fr.; pmemen de tare. de 28 à 311 fr le tom l'hectolitre.

MONTESQUIEU-VOLVESTRESECTION SOCIALISTE. - Rémion ce mg,

mardi ait siège Formarion définitive de le listeaux 6lectiono musisisalz, - Prame de el.Coeur. I, Secrétaire.

LA HERNIEN'EST PLUS UNE INFL/IMITE

reeptir,,tfeelioneganei

.A. CLAVERIE.Ce sont des centaines d'attestations que

ascite jo,..d.iemeut «no précieuse,.o:,îve,lei D is.raeln. no te rd,a6et.;;.:...preic2,

séFssdueiII000pox sont leennes gin on p ,s tinertie de s et en1001590r

C'est pc.;,i el de leurs fore..h...9ga et gs,,e_ 'suies les personnes,

Suarent Mar;

bite etc., ';`,0i3, itê, Reit, me.

' Spécialiste 1:4s dupoussée 40

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réunion du 11 avril, /a Section socialiste(S.F.I.O.) de l'Isle-en-Dodon a voté l'or-dre du jour survant a La section socia-liste de Ftele-en-DoOon constate que leSénat en renversant 1 ministère 'Herriotn'a fait qu'exécuter une fois de plus lesordres de la ploutocratie financière etclérica/c - el/e adresse 1 témicignagetde se vive sympathie au grand citoyenHerriot et voue à l'eécnation a, tous lescitoyens Geais de justice cl de libert4cette assemblée issue d'un suffis», con-traire à la volonté du peuple souverain.

o Elle dédore oue si la majorité dolSénat est réactionnaire, c'est grâce ,à latrahison des dlélégués sénatoriam,

disent républicains pois mieux terreper leurs électeurs votèrent aux électionssénatoriales dernières pour /es hommesdu Floc National, dans la Haute-Gari,-ne notamment.

Enfin, R section sociahsie éntm le'vu que le mode d'élection au Sénatsoit révisé dans un se. nettement dé-mocratique, et qu'une campagnes, à ceec/et dei t'être faire sans retard dam lepays par les partis de gauche et d'ex.trême-geuche

SALIZT-LYSPANDORE FAIT DE LA POLITIOLD.

-1.0 campagne Clectorale bat son plein,candidats et agents électoraux prennentleurs positions de combat Des politiciensmarrons parcourent ne niantes ennuis-gnes à la reoherche tic eandidats disposesà servir leurs appétits. Parmi ces erreraon en remarque us diqdn'-u,ta.ieeetirilàqui se lui est pas trouturtiere. 11 Part ilslbou matin, bien ciré, astiqué, !timoré, sortképi sur Pormalc et ses moustaches bienmtroussées, comme pour une revue de gé-néral. Chemin faisant, il prépare le petitboniment qu'il va débiter 3 celui qu'il aChoisi pour victime. Et c'est ha bouche eneceur qu'il aborde celui qu'il veut mirées.r la bute soi-disant radie:de. Il magot,tout mn üdent oratoire et de su Toi>: laplus mielleme il débite une diatribe deoeus fiedleuses contre la !Isle socialiste.Noie eonsidération ne le retient, pas me-nte fonction qui le lient ebbe do'urne et l'oblige à rester neutre. Au moins

attmare la retraite avant de 13110 tant dezèle.

Dieu qu'il soit candida à une fonctionmunicipale garderlitin.p.sm oit secré-taire, à moins que cc ne soit à relie decantonnier chargé de la prcpreté des ri-goles, car depuis le temps qu'i/ fait làcorvée du quartier pas mec'aura autantde chic pour manie la balai cl /a broitet.

1.%nilrelr'tse sbiresi, par hasard, le jour des é:cotions, cemagistrat est obligé de /e requeir poursévir C0111.1, queiques perimEtéteurs quipourraient bien être de cent lorI mutservir.

Scrsit-il assez indépendant, oureit-ill'autorité nécessaire et croit-il que son at-titaile rehausse le prestige rime. P.défraîchi de la gendarmerie, surtout par-mi les combattant, de Veld. ? Il devraitavoir meilleure mémoire et surgie plus'de modestie ; et je me demmdc si seschefs, ayant connaissanee de son incons-cience, laisseront ce héros de théâtre G:n-et. comprontéliro aussi malencontreusesnient son units/me et narguer les citoyens

Un, mesure sévère s'impose, cu la dis.-eine est un vMa mot pour ceux qui laminclament CADOURS

nrFonlE DU 8 /AVRIL. - La pluie quitomuait par inlermiience a quelque peucontrarie notre refonte qui, néanmoins,a- il attiré imattenup do vendeurs ciaboi...Mirs. De nombreuses affaires se

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LE MIDI SOCIALISTE3 lentelltIlln

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: SOCIALISTE - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1925/B315556101_MIDSOC_1925... · moyens, obstacle à la réintégration des révoqués ? N'a-belle

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'de la chose... ct dites-le moi.Le notaire /unaus'. M. de Csnalheilles

avec un tel ébahissement que ce1M-0i'Ito demanda t

Qtiest.ce que vous avez ? Oh Ients en savez plus long que vous nevoulez le laissai/ croire.. Frossard, dansl'intérêt de Séverac, je vous eia)ure detOC raconter tout, ce détail.

.le 00e sais rie, monsieur /e comte,.s:écria. le jeune homme ; ce sost vosîltIppositions crig Ont causé colon étonne-

en lubroême, Frossard se disait t

eus,- C4eorges OPEINTalr.

1.0 raconter les choses._ et en détailencore ! Comment donc I Quelle °Ma-sos, !

La vahe finissait, Sarah, au bras deLa Livinière, toute esse, un peu 5000.Fiée, soupant les lvères ouvertes pourrespirer cils à Puise, s'avançait dans sarobe blanche courte, dont le bord laie-sait apercevoir ses petits pieds chaussésde S01111e0S en WOU mordorée. Elle vo-uai/ si directement VCCE Séserac que lemule homme, inquiet ce voulant éviterà tout plix un ntretien, se leva cérénem&émanent. commo saur offrir saPlace,et se dirigea vers la porte-fenêtre don-nant sur In terrasse. Là étaient Blancheet Madeleine. Cosme attiré par un ai-mant irrésistible, Pierre, malgré /ni, al-lait tad/ours du cêté de la jeune fille,

Au é' bore ré/gisait une fraîchet,/dense. La nuit était douce et transies.reste. Des étoiles inteanbrabls étince-laient dans le ciel sombre. Pieme sesou-vint pue, pendant les nuits de campe-

L'EPARGNE v

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rant, lomaue /e sommet/ /e fuyait, il luiétait arrivé de faire choix d'une de cesétoiles qui brillaient, tremblantes. 11 luiadreisait de Muettes invocations. III pen-)sait ea..e Blanche, penOtre on mêmetemps que lui, la regardait, et que, derstette contemplation, leuT pensée se re-Po/gr/ait 1/1 chercha à la tetrouver,il ne la reconnut pas. Elle n'illuminait

1-oliu,s,,,da,..ns

voûte obscure. Severscis

Sen mYstérieux'''Z.n.ailti sreprOauemn-'are. n e et m.

Au même moment, 15 d-uce voix deI. jorne fille vint à mn oreille

--- VOUS of/par/cg, mens,. Séverac,raton dit. Votre séjour ocra été /sencourt.

Pisre s'inclina sans répondre. Blan-de poussa OP soucis. Elle ss.sit sur lesléses des paroles qu'elle n osait pasdire. Madeleine, plus libre, vint à senaide.

Scyyre plis ir,L/nmei de vo',ne, diLelle ces nvosieurs, le comte etmon Orc, assurent que vous êtes unmc0o. comment ont-ils dit T..SOU-. Pardon I A un soldat essai bave

O011..,.1 011 pELlt recommencer la pu-dence. Vous avez une mère, monsieurSéverac, et des anus._ Conservez-vouspeur eux

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MÉR1D!arouisil n'avait senti son coeur si torturé.Il ait qu'un mot à prononcerle comprenait bien 0000 cnee BlancheInt à Ici. La recommandation touchanteque lui faisait entendre Madeleine, c é-était mademoiselle de Cygne qui la luiadressait pat la voix de son varie. Lebenheirr était là, à 00111éS de sa main,tel qy.11 1 avalt reve, calme, profond,doux et lm peu grays Et il fallait se dé-tourner de loi et s'éloigner. Il n avait:même pas le droit de parler, S'ouvrirson cur, d'en MOtatelt la Plate satgnan-te et de faire comprendre à cette adoraiInle fille eue, s'il paraissait rte pas devi-ns l'amour clans ses timides Pérole, nepas le surprepa'aie dans SES puis rrgerds,c'était parce on ii était condamné à semontrer sourd et aveugle. Il eût vouluse rouler 5 am pieds, ce déchirer la poi-trind aven les ongles, souffrir physique_ment amant qu'Il souffrait musletn.ent,une écules no colle devons fahe paroi5e l'ancienne Moins cruelle. Et, dans.se ra

ige,il souhaita Ps posséder un ,pou-

voir nfern aal, pour abîmer dons un pouf'for tout ue qui 1)er/bu/rait. SIrêva unedent/us:éon formidable, à Iscuellé il sr.rechernit Blanche, on 1'e.. .sortant palpi-tante et éperdue sur mn cur. Il ...ritintérieurement et montra aux CMntt jeu-,/ fil/es ;;,1 viseee tellement décomposé

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par /a douleur qu'elles ne purent clissi-perler leu frayeur.

Qu'avez-vous donc ? demantdaBlanche, la voix tremblante.

Rien, mademoiselle, dit Pierre sour-dement.

Et, craignant de commettre une im-prudence irréparable, il voLlut partir.

Adieu, madsroiselle, reprit-il. Peutêtre serai-je longtsrms sans revenir enFrance. Qui sait les -changements quipeuvent se proluire Poncho, tlIgn ab-sence ? Il est probable que vous vousmarierez._ Je, souhaite, du plus profondde mon coeur, mie voxu soyez heureuse.

Cos paroles, Pierre Is Pro/COI-aOc aVectue douceur pénétrante. Il sembla dire1, la ieune fille t Oublissenei ct noyer àun autre. Ce fut, de sa port, un acte desuprême loyauté 11 votilut faire com.,Tecnere à mademoiselle de Cygne au'elle ne devait pas Eetteedte, co cm'entreelle et lui, un obstacle insuemontable s'é-levait. Planalm, vit, A/us I. yeux dePierre, l'angoisse du sacrifice. Elle se senlit glacée, eooliosn le tète, et, prenent lebras oc mn amie, s'enfuit po. ne paslaisser miblicturgrsed couler SCP larmes.

Piecre la suivit un instant des yeux, etrésolument, se dirigeant vers la comtesseil s'apprêts à lui fairc. ors adieux, Il névoulut pas rester un Instant de plue a

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Peu m'importe ! Vous le retarde

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lutes Oui ont engage/ le fer, et cluimesurent du renard avant M'ai/muserlutte sucreare. Pierre vit Sarah pâle, te"!impassible. Elle souriait. Seulement,deux coins de la bouche, un terinblment nerveux agitait ses lèvges,

Ce que vous mie denuareoz "'ut pas dit-il.Deux éclairs jaillirent C'es, Yotix 51:

rab. Elle devint blême. Ses doigts se cl'o,ptaxs,ut avec tant de violence catàphalanges craquèrent.

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