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 FONDATION      E.  de  F.  –  K.  de  B.  (Emmanuelle  de  FONSECA.  –  Kapet  de  BANA)  

           

           

FONDATION  PANAFRICAINE    créée  en  application  des  statuts  de  la    

 

Société Savante des Encyclopédistes africains (Association loi 1901- Déclaration légale n°92/54 – 102910P

auprès de la Préfecture de Police de Paris, le 07 janvier 1992)

et du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine (Association loi 1901 – Déclaration légale n°17100/0049 60011 auprès de la Préfecture

de Police de Paris - Journal officiel n°1051 – 5247, le 02 décembre 2000)

Contexte  justificatif,  préambule  et  statuts.    

Ce que veut et peut la diaspora panafricaine des cinq continents.

Rencontres académiques

COORDINATION INTERNATIONALE PERMANENTE – DELEGATION en FRANCE 85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS - tél/fax : (+33) 143.258.050.

« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org Chargé de mission : Victor TOKAM : tokamkaptu@orange.fr

Correspondance nationale : - Fondation panafricaine des devanciers, héros et martyrs : Douala- Tel : 77 67 50 46/ 99 20 09 06 – acrpac@yahoo.fr

- Observatoire des Droits de l’Homme: Yaoundé – Cameroun tél. : +237. 976.00.56 – - Courriel : hsf@livenet.ch Site : www.odh.cmonsite.fr

- OS-CIVILE – Organe de la Société Civile - BP. 3 Kousseri. Cameroun Tél. (00237) 675 06 77/602 94 07 - Cameroun. : os_civile@yahoo.fr

- Correspondance à Genève : Association Maison de l’Afrique à Genève (MAGE) : 19, rue du Perron - 1204 Genève – Suisse tel : +41 22 311 26 30 +41 70 633 38 33 – mail : info@maison-afrique-geneve.org

Secrétariat permanent international : Anne Marie POTTIER : africa@smol.org

 Pour  La  RENAISSANCE  AFRICAINE  et  les  DROITS  DE  l’HOMME.  

(F  .K.R.A.D.H.)  (Ontologie  -­‐Anthropologie  –  Sociologie  –  Langues    -­‐  Civilisation  –Histoire-­‐  Art  –  Culture)  

- - Médaille d’Honneur décernée par la Ligue Italienne des Droits de l’Homme lors du 31ème Congrès de la F.I.D.H. à Turin en 1992. - - Prix International BAOBAB – Citéblack des défenseurs des Droits de l’Homme et du Droit Humanitaire – Paris - Décembre 2001. - - Prix du 1er Colloque International des Droits de l’Homme et de la Culture de la paix pour l’intégration régionale des pays des îles africaines - de l’Océan Indien à Antananarivo – Madagascar, le 30 août 2003. - - Membre fondateur et Président d’Honneur de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme (U.I.D.H.) - - Président d’Honneur de l’Association de la Jeunesse panafricaniste révolutionnaire du Niger.

 

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A – CONTEXTE JUSTIFICATIF

1) L’Afrique et la civilisation universelle, notre vision et notre mission. 2) Evaluation de l’apport et la part de l’Afrique dans le patrimoine commun de

l’Humanité. • Réalisation de la première grande Encyclopédie politique, économique, sociale

et culturelle de l’Afrique contemporaine et de la diaspora (Etat d’avancement des travaux en 240 volumes programmés).

En  CONSULTATION  avec  L’UNESCO  et  le  développement  de  l’Humanité  par  l’Education,  la  Science  et  la  Culture.  

Pour l’observateur habitué, comme nous, à l’évolution de l’UNESCO et à ses pratiques institutionnelles et administratives, la lecture des plans de cette organisation internationale pour la science, la technique et la culture, notamment à partir du Troisième Plan à moyen terme, jusqu’à ceux prévus pour le 21ème siècle, se borne à reproduire presque mécaniquement, oserions-nous dire, les structures et à énoncer des programmes anciens habituels, même si nous rencontrons, çà et là, de nouvelles expressions ou formules vagues telles que : - « développement durable », - « retard de développement des sciences sociales et humaines, par rapport aux autres

sciences », - « mondialisation », - « démocratie », - « santé pour tous », etc.

Pourtant, selon nous, il serait plus souhaitable, sinon plus pratique, qu’au seuil du 21ème siècle, l’UNESCO procède à :

1) Un diagnostic analytique et critique de la situation mondiale, continent par

continent, dans le triple domaine qui lui est dévolu : éducation, science, culture.

a) Etat de l’éducation, de la science et de la culture dans le continent européen

(Force, faiblesse, causes et remèdes, prospectives, perspectives)

b) Etat de l’éducation, de la science et de la culture dans le continent américain (Force, faiblesse, causes et remèdes, prospectives, perspectives)

c) Etat de l’éducation, de la science et de la culture dans le continent africain (Force, faiblesse, causes et remèdes, prospectives, perspectives)

d) Etat de l’éducation, de la science et de la culture dans le continent asiatique (Force, faiblesse, causes et remèdes, prospectives, perspectives)

e) Etat de l’éducation, de la science et de la culture dans le continent australien (Force, faiblesse, causes et remèdes, prospectives, perspectives)

En effet, comme il arrive à toutes les époques, la crise intellectuelle qui affecte les foyers culturels des Nations correspond à une période de transformation sociale.

Ainsi, il suffit de consulter notamment : 1) Les quatre tomes de l’Histoire Mondiale de l’Education publiés en 1983. 2) Les neuf volumes de l’Histoire Générale de l’Humanité publiés par l’UNESCO en

1968.

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3) L’importante brochure sur l’enseignement des Droits de l’Homme publiée par l’UNESCO en 1980.

4) Le grand programme de l’UNESCO 1986/1987 et 1988/1989, notamment les grands programmes n°12 et 13 relatifs, respectivement, à l’action pour la paix, la coopération, les Droits de l’Homme.

Pour évaluer :

L’action passée, présente et future de l’UNESCO au service de l’Humanité dans le domaine de l’éducation, de la science et de la culture au seuil du 21ème siècle que nous abordons. La Civilisation Universelle est menacée lorsqu’elle cesse de reposer sur la dignité et le culte de l’Homme. Une civilisation qui humilie l’homme, se condamne à elle-même. C’est dans la notion de l’humanisme que tous les peuples peuvent se rencontrer. Une véritable critique de l’évolution de l’Humanité devrait amener l’UNESCO (avant la formulation de sa nouvelle politique, la programmation de son action, l’élaboration de ses projets) à constater que, depuis trois mille ans, notre société avait relativement peu changé dans ses structures et qu’elle a plus changé en trente ans qu’en trois mille ans. Mais, dans le monde en mouvement qui est le nôtre aujourd’hui, l’UNESCO devrait repréciser le rôle de l’éducation face à l’évolution de la science et de la technique. L’UNESCO devrait, notamment au seuil du 21ème siècle, faire en sorte qu’il n’y ait plus de science sans technique et plus de technique sans science. Le monde de l’informatique, du téléphone portable, en un mot, le monde satellisé, mérite d’être plus pédagogiquement et méthodiquement encadré dans l’objectif essentiel : LE PROGRÈS POUR TOUS. Dans cette perspective, la Société Savante des Encyclopédistes africains considère, quant à elle, que le monde en devenir, en raison même de l’amélioration de son évolution, doit voir plus loin dans l’avenir et prendre une attitude prospective, s’il veut infléchir l’événement et éviter la régression de la civilisation humaniste ; car les idées elles-mêmes évoluent à l’épreuve des événements. Car, nous estimons que l’usage que l’homme a fait des sciences, a suscité des inquiétudes partagées par les savants eux-mêmes, mais ceux-ci surmontent leur appréhension par leur confiance en la science…. et en la sagesse de l’Homme. Ils regardent résolument vers l’avenir !

2) La Société Savante des Encyclopédistes africains considère que la thérapeutique de l’UNESCO, au seuil du 21ème siècle, devrait obéir à : 1) Une mentalité nouvelle 2) Une pédagogie nouvelle 3) Une éducation nouvelle 4) La capacité à restructurer, à innover, à promouvoir et à réaliser.

Aussi, la nouvelle pédagogie que préconise la Société Savante des Encyclopédistes africains interpelle les penseurs, savants et chercheurs pluridisciplinaires pour redimensionner le problème d’homme et de compétence pour la formation de la Conscience Universelle. C’est le rôle de l’éducation dans le monde moderne pour un Nouveau Monde de progrès et de paix sociale, et c’est cela l’une des principales missions encouragée par la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme (Ontologie -Anthropologie – Sociologie – Langues - Civilisation –Histoire - Art – Culture).

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L’expansion de la civilisation industrielle ne va pas sans le développement de l’enseignement technique. Il s’agit de briser les vieilles routines de l’humanisme classique, attardé, pour être à la taille. C’est la mission de la Culture et de l’Education du 21ème siècle du 3ème millénaire de la mondialisation démocratique pour une renaissance universelle.

Car, rappelons et répétons-le, le progrès, c’est ce qui accroît le pouvoir lucide de

l’Homme, sa maîtrise sur lui-même et sur les lois de la nature ; ce qui lui permet de triompher des forces de l’absurde en vue de satisfaire les besoins fondamentaux et d’éprouver la joie de vivre épanoui.

En effet, pour accéder à la modernisation, ne faut-il pas que les peuples enrichissent ou

rénovent et dynamisent leur vieux passé culturel ? C’est ce que tentent d’apporter en réajustement conceptuel du patrimoine commun de l’Humanité, les encyclopédistes africains par le Projet de Réalisation d’une Encyclopédie Globale, Politique, Economique, Sociale et Culturelle de l’Afrique Contemporaine et de sa diaspora à travers tous les continents. C’est dire, à l’échelon local comme au niveau mondial, que l’Homme devrait être la mesure de tout.

La science moderne, en particulier, comprend quel rôle capital est le sien dans

l’établissement de la Paix du Monde et de l’élaboration de l’humanisme des temps à venir. Le rôle de l’éducation dans la sauvegarde et l’accomplissement de la personne humaine devient essentiel, mais il faut qu’elle s’adapte aux conditions de notre temps :

1°) En élargissant le cadre de l’humanisme traditionnel ou classique. 2°) En unissant l’expérience de l’université et celle des hommes qu’elle a formés. Car, quelle que soit l’orientation de la Culture, il apparaît indispensable que les

chercheurs confrontent leurs visions différentes du Monde et comblent le fossé qui les sépare de la foule des autres.

Le développement durable doit résulter obligatoirement d’une pédagogie nouvelle, de l’éducation et de la formation scientifique, technique, technologique et culturelle pour le développement économique et social des Peuples et des Nations.

En définitive, la Société Savante des Encyclopédistes africains, dans le cadre de la

Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme (Ontologie -Anthropologie – Sociologie – Langues - Civilisation –Histoire - Art – Culture) estime que c’est sur cette base qu’il devient opportun que l’UNESCO traduise l’ensemble de ses activités en projets concrets et réalisables, au triple domaine de l’EDUCATION, de la CULTURE et de la SCIENCE.

Notons que cette réflexion réactualisée à l’attention du nouveau Directeur Général a été

déposée à l’UNESCO, concernant le 3ème plan à moyen terme, en septembre 1989, après les bonnes intentions non suivies d’effets du Directeur général de l’UNESCO, à qui le collectif de l’encyclopédie africaine a adressé, des années après, une lettre d’explications contributives en date du 03 novembre 1995, lisible sur « Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org/files/ency/ency05.pdf

Ainsi, nous avions, en son temps, saisi l’occasion de l’arrivée à la tête de l’UNESCO du

deuxième Directeur Général originaire de ce qui a été convenu d’appeler « Tiers-Monde », c’est-à-dire le Japon, pour réaffirmer la Réflexion Pédagogique sur les projets de l’UNESCO pour le troisième millénaire et renouveler, en même temps, notre offre de collaboration au programme de l’UNESCO en vue d’y intégrer la part et l’apport de l’Afrique que constitue le Projet de Réalisation d’une Encyclopédie Africaine, en 12 tomes comprenant 240 volumes.

C’est ainsi que nous concevons notre pédagogie de dialogue des civilisations pour la

Paix mondiale et la Concorde universelle, et ce, dans le cadre actuel de la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme Ontologie – anthropologie – sociologie –langues - civilisation – histoire- art - culture).

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3) INTERROGER ET INTERPELLER L’AFRIQUE ET LES AFRICAINS D’abord interroger l’Afrique :

- sur sa nature pour connaître ses richesses, - sur sa vocation à être parmi les plus grands ensembles développés du monde, - sur ses Hommes et ses Peuples pour l’éclosion et le développement de leur génie à

maîtriser la science, la technique et la technologie, - sur son Histoire pour comprendre et faire comprendre qu’elle a fourni et continue à

fournir les moyens de tous genres pour le développement du patrimoine général de l’Humanité,

- sur ses valeurs morales et spirituelles qui la distinguent des autres civilisations ou cultures et font d’elle un grand berceau de l’Humanisme,

- sur sa présence et sa représentativité au sein des organismes internationaux de conception, d’élaboration et d’application de décisions concernant les stratégies mondiales.

Interpeller les Africains et la Diaspora sur ce qu’ils ont fait, font et feront dans les divers domaines de l’activité humaine : science, art, technique, technologique :

- combien y a-t-il de savants africains, qu’ont-ils découvert et quelles sont les applications ?

- les Africains ont-ils écrit ou élaboré des théories scientifiques, et dans quels domaines ?

- les Africains ont-ils écrit des ouvrages de médecine, de droit, d’économie, de géographie, d’histoire, de géologie, de physique, de chimie, de mathématiques, de religion et de mœurs ?

- les bibliothèques scolaires et universitaires, municipales et nationales sont-elles constituées principalement par les œuvres des Africains ?

- y a-t-il une véritable politique scientifique, culturelle, économique, artistique de création et de compétition digne d’être théorisée en vue de contrer les influences idéologiques nocives et nuisibles à l’équilibre du Continent ?

Les Africains doivent y réfléchir et « ces travaux » leur sont spécialement ouverts. Nos travaux se veulent scientifiques et culturels pour le développement auto- centré de l’Afrique.

A quand les physiciens, les chimistes, les économistes, les artistes, les scientifiques africains dignes du prix Nobel ou d’autres distinctions exhortant le génie de l’Afrique. Enfin trois rares littéraires africains après quatre-vingt-cinq années de l’existence de la Fondation européenne des prix Nobel.

Bien sûr, l’Afrique peut tout à fait créer un système de récompense pour des travaux de portée universelle pour motiver et encourager l’éclosion du génie dans tous les grands domaines des connaissances et du savoir-faire ou du faire-savoir.

Patrice LUMUMBA, dans son testament, n’a-t-il pas engagé les Africains dans cette voie en écrivant notamment que « l’Histoire de l’Afrique doit être écrite par les Africains … ? » et le Président Kwamé N’KRUMAH d’ajouter que « l’Afrique doit s’unir ? ».

Ainsi, nous insistons en rappelant que, seule l’union fait la force. Mais la force pourquoi faire, pour travailler, créer, réfléchir, chercher, inventer, pour que l’Afrique puisse naître à la science et à la technique ; pourtant rien ne sera possible sans l’éducation aux Droits de l’Homme et à la Démocratie libérant l’imagination créatrice !

Africains, que de capacités et de compétences sommeillent en nous !

Exprimons-les !

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On ne peut répondre à ces impératifs qu’en s’inspirant des œuvres édifiantes, éducatives et formatrices de nos grands devanciers, tels que, entre autres, Aimé CESAIRE, Frantz FANON, Cheikh ANTA DIOP, surtout en se rappelant que nous sommes tous des héritiers de Toussaint LOUVERTURE de Haïti, de Marcus GARVEY, de W.E.B. DU BOIS, de GHEZO, du Roi d’ABYSSINIE d’Ethiopie, de MOHAMED V et Medhi BEN BARKA du Maroc, d’Amilcar CABRAL, de SAMORY TOURE de Guinée, de SOUNDJATA du Mali, de Martin LUTHER KING des Etats-Unis, de la Reine Abla Pokou de Côte d’Ivoire, UM NYOBE, Félix Roland MOUMIE, Ernest OUANDIE, OSSENDE AFANA du Cameroun, de la Reine RANAVAIONA III de Madagascar, de Latt DIOR et DOUTA SECK du Sénégal, entre autres, etc, etc.

Aussi, la Société Savante des Encyclopédistes africains présente le Projet panthéonisant les grandes figures historiques de l’Afrique et de la diaspora et de codification de nos valeurs civilisationnelles génératrices de progrès dans tous les domaines de la connaissance :

L’ENCYCLOPEDIE POLITIQUE, ECONOMIQUE, SOCIALE ET CULTURELLE DE L’AFRIQUE CONTEMPORAINE ET DE LA DIASPORA

Conçue en 12 tomes contenant 240 volumes qui appelle la collaboration de toutes les compétences requises et les moyens nécessaires pour y parvenir. Nous sommes convaincus que le Monde à la recherche de la PAIX UNIVERSELLE, y pourvoira dans le cadre de la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme (Ontologie -Anthropologie – Sociologie – Langues - Civilisation – Histoire - Art – Culture).

B – PRÉAMBULE - STATUTS de la FONDATION Kapet de BANA PRÉAMBULE Les représentants de la conscience de la diaspora des peuples d’Afrique, réunis en collectif de recherche des moyens de réhabilitation de la dignité bafouée des populations victimes de l’esclavage, de la traite négrière, de la colonisation et de la dictature néocoloniale; après avoir analysé le poids des guerres européennes aux conséquences mondiales génocidaires, les causes du blocage du développement et de l’émancipation des peuples spoliés et marginalisés d’Afrique, des Antilles, de l’Océan Indien, d’Amérique et du monde soumis, ont proclamé leur foi et leur détermination à œuvrer pour que les mesures soient prises partout et par tous, en vue de promouvoir le rétablissement de la justice et la réparation des préjudices subis. Considérant que tout au long de l’Histoire humaine, depuis les temps immémoriaux à nos jours, des peuples victimes de massacres, déportations ou assassinats collectifs ont toujours été indemnisés, réhabilités par le pardon proclamé des génocidaires avérés. Considérant que l’inoubliable mémoriel, et ce à juste titre, des repentirs des nations complices du génocide du peuple juif, arménien et autres, vient à point nommé et doit s’étendre aux victimes de la traite négrière reconnue comme Crime contre l’Humanité. Considérant que la politique actuelle des puissances occidentales esclavagistes concernant l’endettement des pays pauvres est un non-sens dès lors qu’elle ne prend pas en compte les causes du retard du développement des nations africaines ainsi appauvries comme conséquences directes de la traite négrière et de la colonisation européenne. Considérant qu’il convient dès lors de parler plutôt de l’inversion de la dette et d’exiger que les Etats esclavagistes d’Europe et du Moyen-Orient restituent à l’Afrique les richesses pillées et s’engagent à mettre en œuvre un plan « MARSHALL » de reconstruction du continent appauvri, marginalisé et retardé dans son émancipation et son développement technique et scientifique.

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Pour ce faire, la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme pour le respect de la dignité des peuples africains et la reconstruction des sociétés victimes est créée en vue de la concertation et de l’interpellation permanentes des Etats et de la conscience universelle. Aussi, la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme (Ontologie -Anthropologie – Sociologie – Langues - Civilisation –Histoire - Art – Culture) créée dans le cadre de la Société Savante des Encyclopédistes africains et du Conseil Mondial de la Diaspora Panafricaine, fonctionne aux termes des statuts ci-après.

STATUTS

ARTICLE 1 : Il est fondé, sous le parrainage des illustres personnalités de réputation mondiale et internationale cooptées et dont les opinions, les manifestations ou les combats, la bienfaisance, contribuent positivement à l’émancipation des peuples d’Afrique et de la diaspora africaine à travers les cinq continents, entre les adhérents aux présents statuts et ceux à venir, une Fondation panafricaine humanitaire de solidarité et de coopération à but non lucratif, loi 1901, dénommée : Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme (Ontologie -Anthropologie – Sociologie – Langues - Civilisation –Histoire - Art – Culture)

ARTICLE 2: BUTS La Fondation a pour buts :

- la réalisation des objectifs et des programmes prévus par les statuts de la Société Savante des Encyclopédistes africains, articles 1 à 24, Association loi 1901- Déclaration légale n°92/54 – 102910P auprès de la Préfecture de Police de Paris, le 07 janvier 1992.

- l’évaluation de l’apport et de la part de l’Afrique dans le Patrimoine Commun de l’Humanité. - la promotion du rayonnement de l’Afrique dans le monde. - les études des voies et moyens de participation à divers niveaux aux actions, décisions et stratégies mondiales visant au développement de l’Afrique et/ou impliquant le destin du continent. - l’interpellation de toute organisation ou de tout Etat et Etablissement dont l’activité est en rapport avec les buts de la Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les Droits de l’Homme. - défendre les intérêts de la Diaspora Panafricaine à travers le monde. - assurer la représentation effective de la Diaspora auprès des Etats d’Afrique, des organisations régionales, internationales et mondiales relevant des Nations Unies, de l’U.A. ou du Conseil des Communautés Européennes, et des Etats Arabes, ou d’autres organisations d’Asie et d’Australie etc… ARTICLE 3 : DÉFINITION

La Fondation Professeur Kapet de BANA pour la Renaissance africaine et les

Droits de l’Homme est une fondation panafricaine humanitaire non gouvernementale d’interpellation des Etats, des Institutions et des Organisations en rapport avec les intérêts de la diaspora panafricaine, impliquant le rayonnement de l’Afrique au plan civilisationnel. Son action est axée sur la préservation, la promotion, le développement et la défense des intérêts de la Diaspora dans le monde et le rayonnement de la civilisation africaine, des peuples et des populations d’origine africaine dans le cadre de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme des Nations Unies, de la Charte africaine des Droits de l’Homme et des Peuples et des pactes et conventions internationaux démocratiquement élaborés et proclamés par toutes les nations concernées.

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ARTICLE 4 : LE SIÈGE SOCIAL Le siège social est fixé au 85, Boulevard Saint Michel – 75005 PARIS.

ARTICLE 5 : HAUT PARRAINAGE d’HONNEUR

La Fondation est placée sous le haut parrainage d’Honneur coopté, à titre exceptionnel, du Président Barack OBAMA, premier Président des Etats-Unis d’origine africaine.

ARTICLE 6 : PARRAINS d’HONNEUR COOPTÉS

La Fondation est placée sous le parrainage d’honneur à vie, des héros cooptés de la libération de l’Afrique et des peuples d’origine africaine des Antilles et des Etats-Unis (panthéon électronique : « Mémoire d’Afrique » http://africa.smol.org) :

1. Roi d’Abyssinie d’Ethiopie, Père inspirateur de l’Organisation de l’Unité Africaine. 2. Roi Duala MANGA BELL (Cameroun), Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de

l’Afrique, inspirateur de l’Unité africaine. 3. Roi Latt DIOR (Sénégal), Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de l’Afrique,

inspirateur de l’Unité Africaine. 4. Roi MORO NABA, Roi des Mossi (Burkina Faso), Roi guerrier contre la colonisation,

libérateur de l’Afrique, inspirateur de l’Unité africaine. 5. Roi MOKOKO du Gabon, libérateur de l’Afrique. 6. Roi TAFFOU HAPY (Royaume Bana), Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de

l’Afrique, inspirateur de l’Unité africaine. 7. Roi JOYA (Roi de Bamoun – Foumba), Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de

l’Afrique, inspirateur de l’Unité africaine. 8. Reine Abla Pokou de Côte d’Ivoire, héroïne du combat contre l’esclavage. 9. Reine RANAVAIONA III de Madagascar, première résistante et exilée contre la

colonisation. 10. Ernestine POTOWSKI Rose, première femme à prendre publiquement la parole contre

l’esclavage. 11. Roi GHEZO du Dahomey, Père inspirateur de l’Organisation de l’Unité Africaine. 12. Roi BEHANZIN, Roi du Dahomey, résistant, pionnier de la libération africaine. 13. Emir Abdel KADER d’Algérie, libérateur de l’Afrique. 14. Soundjata KEITA, Roi du Manding (Mali), Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de

l’Afrique, inspirateur de l’Unité Africaine. 15. Roi Alpha YAYA, Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de l’Afrique, inspirateur de

l’Unité Africaine. 16. Almamy SAMORY TOURE, Roi guerrier contre la colonisation, libérateur de l’Afrique,

inspirateur de l’Unité Africaine. 17. Empereur Haïlé SELASSIE, Père fondateur de l’Organisation de l’Unité Africaine. 18. W.E.B..DU BOIS, pionnier du mouvement panafricaniste. 19. Marcus GARVEY, pionnier du mouvement panafricaniste. 20. Georges PADMORE, pionnier du mouvement panafricaniste. 21. William Lloyd GARRISON, pionnier du mouvement antiesclavagiste de la Nouvelle

Angleterre. 22. Abbé Henri GREGOIRE, héros de la Révolution française, pionnier du mouvement

antiesclavagiste. 23. William WILBERFORCE, pionnier du mouvement antiesclavagiste en Grande Bretagne. 24. Toussaint LOUVERTURE, héros de la lutte antiesclavagiste d’Haïti. 25. Cheikh ANTA DIOP, savant anthropologue, précurseur de la négritude et du panafricanisme. 26. Sylvère et Jules ALCANDRE, avocats guadeloupéens anticolonialistes. 27. Félix EBOUE, premier gouverneur noir. 28. Christian LARA, célèbre cinéaste guadeloupéen, grand auteur réalisateur de films sur le

combat d’émancipation des peuples antiesclavagistes. 29. Aimé CESAIRE, poète soleil, humaniste visionnaire, auteur du célèbre « Discours sur le

colonialisme ».

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30. Frantz FANON, Médecin psychiatre et philosophe, auteur des « Damnés de la terre ». 31. Marcel MANVILLE, avocat, défenseur des Peuples Noirs, ancien Président du Cercle Frantz

FANON. 32. Christiane TAUBIRA, députée de Guyane, grande femme politique et combattante de la

liberté contre l’injustice et les discriminations. 33. Maryse CONDE, écrivaine, combattante de la liberté. 34. George PAU – LANGEVIN, députée de Paris, grande combattante antiraciste. 35. Kwamé N’KRUMAH, ancien Président de la République du Ghana, pionnier du mouvement

des Etats Unis d’Afrique. Fondateur de l’Organisation de l’Unité Africaine. Auteur de « L’Afrique doit s’unir ». Compagnon d’exil du Professeur Kapet de BANA en Guinée Conakry.

36. KOFI ANNAN, ancien Président africain des Nations Unies. 37. Paulo TJIPILICA, Ancien Ministre de la Justice d’Angola. A invité le Professeur Kapet de

BANA pour la formation des juges de la Cour Suprême d’Angola (1998). 38. Ernesto ANDRADE (Angola), pionnier de la révolution angolaise, compagnon d’exil du

Professeur Kapet de BANA en Algérie sous le gouvernement du Président BEN BELLA. 39. Sekou TOURE, Premier Président de la République de Guinée Conakry. 40. Diallo TELLI, premier Secrétaire général de l’Organisation de l’Unité Africaine. Compagnon

de cellule du Professeur Kapet de BANA dans la sinistre prison politique du Camp BOIRO du régime Sekou TOURE en Guinée Conakry.

41. André LEWIN, ancien Ambassadeur de France à Conakry. 42. Madera KEITA, ancien compagnon d’exil du Professeur Kapet de BANA en Guinée

Conakry. 43. Ould DADA, Premier Président de la République de Mauritanie, Père de l’Indépendance. 44. Fatimata MBAYE, avocate, Présidente de l’Association Mauritanienne des Droits de

l’Homme. 45. Aïssata SATIGUY SY, Vice-présidente de l’U.I.D.H. pour l’Afrique du Nord. Fille

spirituelle du Professeur Kapet de BANA. 46. Barthélémy BOGANDA, ancien Président de la République centrafricaine. 47. Thomas SANKARA, ancien Président de la République du Burkina Faso. Héros de la

révolution burkinabé. 48. Madame Veuve Thomas SANKARA, héroïne de l’Indépendance du Burkina Faso. 49. Joseph KI-ZERBO, célèbre écrivain et homme politique burkinabé. 50. Madame Veuve Robert TOUGMA, Présidente de l’Association Internationale pour le

Développement. 51. Sylvanius OLYMPIO, ancien Président de la République du Togo, héros de l’Indépendance. 52. Amilcar CABRAL, héros de l’Indépendance de la Guinée Bissau. Compagnon d’exil du

Professeur Kapet de BANA en Guinée Conakry. 53. Martin Luther KING, héros de la lutte antiségrégationniste aux Etats Unis d’Amérique. 54. Madame Veuve Martin LUTHER KING, héroïne de la lutte antiségrégationniste aux Etats

Unis d’Amérique. 55. Malcom X, pionnier de la lutte pour les Droits civiques des américains noirs. 56. Ahmed BEN BELLA, Premier Président de la République algérienne. Membre fondateur de

l’Organisation de l’Unité Africaine. 57. Mehdi BEN BARKA, homme politique marocain, Président de la Conférence tricontinentale

du Tiers Monde. 58. Jomo KENYATTA, Ancien Président de la République du Kenya. 59. Léon MBA, Premier Président du GABON, héros du combat contre le colonialisme. 60. Hélène PAKO, journaliste gabonaise, pionnière de la radio internationale AFRICA N°1. (a

interviewé le Professeur Kapet de BANA à sa sortie du Camp de concentration BOIRO de Conakry).

61. Abdelaziz BOUTEFLIKA, Président de la République algérienne. 62. Mohamed BEJAOUI, ancien Ministre de la Justice de la République algérienne, ancien

Président de la Commission de la Décolonisation des Nations Unies. 63. Habib BOURGUIBA, Héros de la Révolution tunisienne. 64. Bechir BEN YAMED, Président fondateur de l’hebdomadaire « JEUNE AFRIQUE »,

pionnier de la révolution et de la libération africaine.

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65. Roi MOHAMED V du Maroc, Père fondateur de l’Organisation de l’Unité Africaine. Héros de la Libération et de l’Indépendance du Maroc.

66. Abdel Gamel NASSER, ancien Président de la République arabe unie. Héros de la Révolution égyptienne.

67. Naguib MAHFOUZ (Egypte), Prix Nobel de littérature (1988). 68. ANWAR EL-SADAT (Egypte), ancien Président de la République d’Egypte. Prix Nobel de

la Paix (1978). 69. Djibo BAKARY, ancien Président du Conseil de gouvernement du Niger. Compagnon d’exil

du Professeur Kapet de BANA en Guinée Conakry. 70. Julius NYERERE, héros de l’Indépendance de la Tanzanie. 71. Houphouët BOIGNY, ancien Président de la République de Côte d’Ivoire, médecin, Père

fondateur du Rassemblement Démocratique Africain (RDA). 72. Tano BROU, ancien Ministre de l’environnement de la République de Côte d’Ivoire du

Président d’Houphouët BOIGNY dont le Professeur Kapet de BANA fut le conseiller technique.

73. Laurent GBAGBO, Président de la République de Côte d’Ivoire. Pionnier de la lutte pour l’instauration de la démocratie en Côte d’Ivoire.

74. Simone Ehivet BGAGBO, Héroïne du combat des femmes pour la démocratie en Côte d’Ivoire.

75. Bernard DADIE (Côte d’Ivoire), l’un des premiers grands écrivains africains de renommée internationale.

76. Félix Roland MOUMIE, Ancien Président de l’Union des Populations du Cameroun (U.P.C.). Héros de la Révolution camerounaise.

77. Ruben UM NYOBE, Héros de la Révolution camerounaise. 78. Afana OSSENDE, Héros de la Révolution camerounaise. 79. Abel KINGUE, Héros de la Révolution camerounaise. 80. Ernest OUANDIE, Héros de la Révolution camerounaise. 81. Marthe MOUMIE, Héroïne de la Révolution camerounaise. (Prix MOUMIE 2010) 82. Marthe OUANDIE, Héroïne de la Révolution camerounaise. (Prix MOUMIE 2010) 83. Elise OSSENDE, Héroïne de la Révolution camerounaise. (Prix MOUMIE 2010) 84. Jean Marc ELA, grand écrivain sociologue, célèbre anthropologue et théologien missionnaire

visionnaire camerounais, combattant pour la liberté, les Droits de l’Homme et le respect de la dignité humaine, titulaire du Prix Moumie 2009.

85. Pius NJAWE, éminent journaliste pionnier patriote, Directeur fondateur du journal camerounais « Le Messager », grand quotidien national d’information de combat pour la liberté, la démocratie, la bonne gouvernance et la paix sociale. Prix MOUMIE 2008.

86. Frank GARBELY célèbre cinéaste – journaliste, grand reporter suisse pour son film sur les causes de l’assassinat du Dr MOUMIE. Prix MOUMIE 2008.

87. Mboua MASSOCK, grand patriote combattant résistant, titulaire du Prix MOUMIE 2007. 88. SOPO PRISO, ancien Président de l’Assemblée Nationale du Cameroun, progressiste

favorable aux mouvements d’indépendance. 89. Michel NGINE, ancien résistant du système néocolonial du Cameroun, progressiste favorable

aux mouvements d’indépendance. 90. Mamadou DIA, premier Premier Ministre du Sénégal, héros de l’Indépendance du Sénégal. 91. Amadou Mahtar M’BOW, ancien Directeur Général africain de l’UNESCO. 92. Abdoulaye WADE, Président de la République du Sénégal. Parrain d’Honneur de la Société

Savante des Encyclopédistes africains. 93. Ousmane SEMBENE, cinéaste, compagnon d’exil du Professeur Kapet de BANA en Guinée

Conakry pour son film « Le Mandat ». 94. Madame DIOP, directrice de la maison d’éditions « Présence Africaine ». 95. Alioune DIOP, pionnier, fondateur de la maison d’éditions « Présence Africaine ». 96. Maître Sidiki KABA, ancien Président et Président d’Honneur de la F.I.D.H. (« Fils

spirituel » du Professeur Kapet de BANA). 97. Abdou DIOUF, Ancien Président de la République du Sénégal. Président de l’Organisation

Internationale de la Francophonie. 98. Laurent Désiré KABILA, ancien Président de la République du Congo – Zaïre. Héros de la

Révolution congolaise. 99. Patrice LUMUMBA, Héros de la Révolution congolaise (Zaïre). Pionnier du panafricaniste.

11

100. Pascal GAYAMA, ancien secrétaire adjoint de l’Organisation de l’Unité Africaine, chargé de l’éducation.

101. Nelson MANDELA, ancien Président de la République d’Afrique du Sud, Prix Nobel de la Paix avec Frederik de Klerk (1993). Héros de la lutte contre l’apartheid.

102. Winnie MANDELA, femme politique, membre de l’ANC en Afrique du Sud. Pionnière de la lutte contre l’apartheid.

103. THABO MBEKI, ancien Président de la République d’Afrique du Sud. Pionnier de la lutte contre l’apartheid.

104. Monseigneur DESMOND TUTU (Afrique du Sud), Prix Nobel de la PAIX (1984). Héros de la lutte contre l’apartheid.

105. Nadine GORDIMER (Afrique du Sud), écrivaine, Prix Nobel de littérature (1991). 106. Myriam MAKEBA (Afrique du Sud), chanteuse, militante de la lutte contre l’apartheid

en Afrique du Sud et héroïne de la libération africaine. Compagne d’exil du Professeur Kapet de BANA en Guinée Conakry.

107. Dulcie SEPTEMBER, militante de la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud, morte pour la liberté (assassinée en plein cœur de Paris).

108. Max THEILER (Afrique du Sud) Prix Nobel de Physiologie et de Médecine (1951). 109. Angela DAVIS, célèbre chanteuse, héroïne du combat contre la ségrégation. 110. Harriet TUBMAN, pionnière de l’affranchissement des esclaves noirs américains. 111. Joséphine BAKER, grande artiste noire américaine, résistante et militante de la lutte

antiraciale et antisémite. 112. Kimpa VITA, première femme révolutionnaire contre la traite négrière au Congo. 113. Wolé SOYINKA, écrivain. Premier auteur noir lauréat du Prix Nobel de littérature

(1986). 114. Mouammar El KHADAFI, Guide de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et

socialiste. Ancien Président de l’Union Africaine. Pionnier de la lutte pour l’Unité africaine et le gouvernement des Etats Unis d’Afrique.

115. Modibo KEITA, ancien Président de la République du Mali. Père fondateur du Rassemblement Démocratique Africain (RDA).

116. Amani Toumani TOURE, Président de la République du Mali. Père de la démocratie malienne. Pionnier du combat pour l’Unité africaine et le gouvernement des Etats Unis d’Afrique. Parrain d’Honneur de la Société Savante des Encyclopédistes africains.

117. Aminata TRAORE, ancien Ministre de la Culture du Mali. 118. Maître DEMBA DIALLO, avocat, bâtonnier au Barreau de Bamako (Mali), membre

fondateur de l’U.I.D.H., Président d’Honneur, Membre d’Honneur du C.R.E.M. 119. Maître Bam N’DOURRE DIARRA, Médiatrice de la République du Mali. Membre

fondateur de l’U.I.D.H. Marraine d’Honneur de la Société Savante des Encyclopédistes africains, chargée de mission.

120. Alpha Oumar KONARE, ancien Président de la République du Mali et ancien Président de la Commission de l’Union Africaine. Restaurateur et pionnier de la démocratie malienne.

121. Amadou HAMPATE BA, Doyen des écrivains humoristes africains, consultant international auprès de l’UNESCO.

122. Jakaya KIKWETE(Tanzanie), Président de la République de Tanzanie. Président de l’Union Africaine.

123. Olusegun OBASANJO, ancien Président de la République fédérale du Nigeria. 124. R.G. NICOLO, membre fondateur du C.R.E.M., ingénieur au Commissariat à l’énergie

atomique. Parrain d’honneur à vie du C.M.D.P. 125. Philippe NOUDJENOUME Professeur, membre correspondant de la Société Savante des

Encyclopédistes Africains à Cotonou. 126. Albert J. MVLTMBI LUTHULI (Zimbabwe), Ancien Président de l’ANC, Prix Nobel de

la Paix (1960). 127. Ellen JOHNSON SIRLEAF, Première femme Présidente de la République du Liberia et

en Afrique. 128. Maathai WANGARI (Kenya) Prix Nobel de la Paix (2004). 129. Boutros Boutros GHALI, 6ème secrétaire général des Nations Unies, Premier Secrétaire

général de l’Organisation Internationale de la Francophonie. 130. Danièle RATSIRAKA, membre fondateur du C.R.E.M. 131. Docteur Mathilde RABARY, Présidente fondatrice du mouvement des Droits de

l’Homme à Madagascar.

12

132. Professeur Raoera CHANDOUTIS, Professeur de Droit à l’Université d’Antananarivo (Madagascar). Expert international en Droits de l’Homme.

133. Norbert LALA RATSIRAHONANA, Ancien Ministre de Madagascar. 134. Colonel AZAZA ASSOUMANI, ancien Président de l’Union des Comores. 135. Sa Sainteté le DALAI LAMA, le chef spirituel des tibétains. Avec le Professeur Kapet de

BANA à la Conférence Mondiale des Nations Unies pour les Droits de l’Homme à Vienne et à l’Unesco à Paris.

136. Mère TERESA, sauveuse de vies des populations en détresse dans le monde. 137. Abbé Pierre, sauveur de vies des populations en détresse dans le monde, notamment en

Afrique. 138. Fidel CASTRO, Président de CUBA, Héros de la révolution cubaine et du tiers-monde. 139. CHE GUEVARRA, Héros de la révolution cubaine, ami de l’Afrique. Auteur de

l’ouvrage « La révolution permanente ». 140. Yasser ARAFAT, premier Président de la nouvelle Autorité palestinienne, Prix Nobel de

la Paix (1994). Ancien compagnon d’exil du Professeur Kapet de BANA à Tunis. 141. Nikita KHROUCHTCHEV, ancien Président de l’U.R.S.S., favorable aux luttes de

libération des peuples de l’Afrique. 142. Maréchal TITO, Ancien Président de la Yougoslavie et fondateur du mouvement des pays

non alignés. A reçu le Professeur Kapet de BANA lors de la Conférence mondiale de la paix et de la jeunesse à Belgrade.

143. Youri GAGARINE, premier cosmonaute russe. A reçu le Professeur Kapet de BANA lors du 7ème Congrès mondial de l’Union Internationale des Etudiants à Léningrad.

144. Général de Gaulle, Ancien Président de la République française. Auteur du célèbre discours de Brazzaville appelant l’Afrique au secours de la France occupée. A refusé de faire arrêter le Professeur Kapet de BANA à Orly, à la demande du gouvernement fantoche d’Ahmadou AHIDJO au Cameroun, en partance pour l’Assemblée Générale des Nations Unies (New York) consacrée à la réunification et l’indépendance du Cameroun (avril 1961).

145. Reine Elisabeth d’Angleterre. Favorable à l’Indépendance du Cameroun anglais et a reçu le Professeur Kapet de BANA à Londres avant la tenue de la 1115ème séance de la 16ème session spéciale de l’Assemblée Générale des Nations Unies consacrée à la réunification et l’indépendance du Cameroun anglais et français à New York.

146. Président John KENNEDY, l’un des grands Présidents des Etats Unis favorable aux luttes de libération des peuples d’Afrique. Le Gouvernement du Président BEN BELLA dont le Professeur Kapet de BANA a été le conseiller, a baptisé une « PLACE KENNEDY » à Alger dès l’annonce de la mort de ce dernier.

147. Simone VEIL, ancien Présidente du Parlement européen et Académicienne française. A invité le Professeur Kapet de BANA à participer à une Conférence sur les Droits de l’Homme au Sénat.

148. Angela MERKEL, Chancelière de la République fédérale d’Allemagne. A favorisé la tenue du « Tribunal en souvenir de la Conférence de Berlin 1884/1885 » dont le Professeur Kapet de BANA a joué le rôle d’avocat général accusateur (février 2010).

149. Michelle BACHELET, Première femme grande figure révolutionnaire. Présidente de la République du Chili.

150. Indira GANDHI, ancien Premier Ministre de l’Union indienne. Fondatrice du groupe des pays non alignés aux Nations Unies.

151. Pandit NEHRU, ancien Premier Ministre de l’Inde. Fondateur du groupe des pays non alignés aux Nations Unies.

152. Tommy SUHARTO, ancien Président de l’Indonésie. Fondateur du groupe des pays non alignés aux Nations Unies.

153. Stéphane HESSEL, diplomate, ambassadeur et ancien résistant français. Ayant participé à la rédaction de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (1948). Avec le Professeur Kapet de BANA dans les Conférences Mondiales des Droits de l’Homme.

154. Danielle MITTERRAND, Présidente de la Fondation France Libertés. Compagne du Professeur Kapet de BANA pour la défense des Droits de l’Homme, du Trocadéro (Esplanade des Droits de l’Homme) à Gorée (Esplanade des Droits de l’Homme).

155. Daniel JACOBI, ancien Président de la F.I.D.H., avec le Professeur Kapet de BANA aux différentes conférences des Droits de l’Homme de Dakar, de Casablanca, de Turin, de Paris, à Madrid, entre autres.

156. Nicolas SARKOZY, Président de la République française, ami de l’Afrique (Conférence de Bamako).

13

157. Robert BADINTER, ancien Ministre français de la Justice, avec le Professeur Kapet de BANA a pour la 1ère fois, posé le problème d’une Cour Pénale Internationale à la Conférence Mondiale des Nations Unies à Vienne en 1993.

158. Ségolène ROYAL, compagne du Professeur Kapet de BANA pour la défense des Droits de l’Homme (Forums Mondiaux des Droits de l’Homme de Nantes). Ancienne candidate à la Présidence de la République française.

159. Jean Marc AYRAULT, député Maire de Nantes Métropole. Initiateur de l’Association « Les anneaux de la Mémoire » avec le Professeur Kapet de BANA.

160. Taslima NASSREEN, combattante de la liberté, grande notoriété dans les forums internationaux des Droits de l’Homme avec le Professeur Kapet de BANA.

161. Irina BOKOVA, Première femme Directrice générale de l’UNESCO. 162. Françoise VERGES, Présidente du Comité pour la Mémoire de l’esclavage. 163. Maître Jacques VERGES, avocat défenseur, pionnier de la révolution africaine. Avocat

de l’Union des Populations du Cameroun (U.P.C.). S’est occupé du voyage du Professeur Kapet de BANA pour l’Assemblée Générale des Nations Unies en avril 1961 pour la réunification et l’indépendance du Cameroun.

164. Jean ZIEGLER, sociologue, homme politique, écrivain suisse, panafricaniste, grand défenseur de l’Afrique.

165. Professeur Roger MERLE, Professeur émérite de l’Université des Sciences Sociales, Directeur de l’Institut de criminologie de la Faculté de Droit de l’Université de Toulouse.

166. Doyen Gabriel MARTY de la Faculté de Droit de l’Université de Toulouse. 167. Professeur Pierre VELLAS, Professeur de Droit international de l’Université de

Toulouse. 168. Professeur Paul OURLIAC, Directeur de l’Institut des Etudes politiques de l’Université

de Toulouse. 169. Professeur Martin de LAMOTTE, Professeur de Droit civil à l’Université de Toulouse et

à l’école de Notariat. 170. Professeur SAINT ALARY, Professeur de Droit des affaires à l’Université de Toulouse. 171. Professeur Jean Jacques DUPEYROUX, Professeur de Droit et de Sécurité Sociale à

l’Université de Toulouse. 172. Professeur SAINT GENIEUX, Directeur de l’Ecole de Notariat de l’Université de

Toulouse. 173. Docteur Hélène DAFE, Présidente d’Honneur du COMEDE. 174. Docteur Elise KOSSOKO, chargée de mission du C.M.D.P. 175. Docteur Bernard GUEGUIN de l’Hôpital Hôtel Dieu à Paris. 176. Professeur GUILLEVIN de l’Hôpital Cochin à Paris. 177. Professeur SALMON de l’Hôpital Cochin à Paris. 178. Docteur FOIS de l’Hôpital Cochin à Paris. 179. Docteur MICHONNEAU de l’Hôpital Cochin à Paris. 180. Docteur DELOIN, chirurgien à l’Hôpital Cochin à Paris. 181. Madame HELLA VUONG de l’Hôpital Cochin à Paris. 182. Madame LUCIE GEORGEL de l’Hôpital Cochin à Paris. 183. Entre autres…..

ARTICLE 7 : MEMBRES d’HONNEUR COOPTES. Madame Marie Louise Vidal de FONSECA (France) Madame Edwige MONTOR (France) Maître Brahima KONE (Mali) Docteur Emmanuel SANGO (Cameroun) Madame Corinne HAPPY (Cameroun) Madame Anastasie TOKAM (Cameroun) Monsieur Cottelon GUTEMBERG (Martinique), chargé de mission du C.M.D.P. Maître Boukounta DIALLO. (Sénégal), chargé de mission du C.M.D.P. Maître Kassoum KAMBOU (Burkina Faso) Maître Halidou OUEDRAOGO (Burkina Faso) Madame Céline TOUGMA (Burkina Faso) Maître N’Gouin CLAIH (Côte d’Ivoire), chargé de mission du C.M.D.P. Monsieur Pascal BONIN (Côte d’Ivoire), chargé de mission du C.M.D.P.

14

Maître Nicolas TIANGAYE (Centrafrique), chargé de mission du C.M.D.P. Professeur Khalid IKHIRI (Niger) Monsieur Saïd MEKKI (Algérie), chargé de mission du C.M.D.P. Madame Aïssata Raby WANE (Sénégal), chargée de mission du C.M.D.P. Monsieur Moctar KAMARA (Allemagne) Professeur Jacques RIVKINE (Suisse) Madame Carmen FEVILIYE (Congo) Monsieur Stéphane LECOURBE (France) Monsieur Nicolas LECOURBE (France) Madame Josiane GEENENS (France) Madame Anne Marie LEPREVOST (France) ARTICLE 8 : INSTITUTIONS et ORGANISATIONS PARTENAIRES

- Union Interafricaine des Droits de l’Homme (U.I.D.H) - Amnesty International - Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme (F.I.D.H) - Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture (A.C.A.T.) - UNESCO - Fondation Martin LUTHER KING - Fondation SANKARA (I.P.N.) - Fondation Abbé PIERRE - Fondation Georges POMPIDOU - Fondation François MITTERRAND - Fondation France Libertés - Fondation Aimé CESAIRE - Fondation Docteur MOUMIE pour les Droits de l’Homme - Fondation Gamal Abdel NASSER - Fondation des Nations Unies pour l’enfance - Fondation Amani Toumani TOURE pour l’enfance du Mali - Fondation Cheikh ANTA DIOP - Fondation SENGHOR

ARTICLE 9 : LA DIRECTION

La Direction de la Fondation est dirigée par un Comité composé de : - Un Président d’Honneur à vie, membre fondateur, - Un ou deux Vice-présidents, membres fondateurs, - Un ou deux Secrétaires généraux perpétuels, membres fondateurs, - Un Coordinateur international, membre fondateur, - Un ou deux trésoriers.

ARTICLE 10 : MEMBRES

- Les membres fondateurs dirigeants de la Fondation, - Les hauts Parrains membres d’honneur cooptés par le Comité des fondateurs, - Les membres bienfaiteurs.

ARTICLE 11 : CHARGÉS de MISSION

- Cinq chargés de mission désignés et mandatés par le Comité des fondateurs. - Deux chargés de relations publiques et de la communication auprès du secrétariat

permanent et de la coordination internationale.

ARTICLE 12 : RESSOURCES Les ressources de la Fondation sont constituées par les subventions et dons divers. L’utilisation des sommes ainsi recueillies et disponibles devra toujours être conforme à l’éthique et en accord avec les statuts de la Fondation.

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ARTICLE 13: RÈGLEMENT INTÉRIEUR Un règlement intérieur établi par le Comité des Fondateurs arrête les conditions de détail nécessaires pour assurer l’exécution des présents statuts.

ARTICLE 14 : DURÉE de la FONDATION

La durée de la Fondation est illimitée.

Le 24 mars 2010

Pour le Comité des Fondateurs cooptés:

Monsieur Victor TOKAM, chargé de mission, consultant. Professeur Kapet de BANA Madame LEADY- BE, chargée de mission. Monsieur Tene SOP, chargé de mission. Professeur Philippe LEGEIN, consultant. Monsieur Gérard GUINOT, consultant. Madame Sylvia XENA, consultante. Madame Sarah NGOM, consultante.

COORDINATION INTERNATIONALE PERMANENTE – DELEGATION en FRANCE 85, boulevard Saint – Michel - 75005 – PARIS - tél/fax : (+33) 143.258.050.

« Mémoire d’Afrique » : http://africa.smol.org Chargé de mission : Victor TOKAM : tokamkaptu@orange.fr

Correspondance nationale : - Fondation panafricaine des devanciers, héros et martyrs : Douala- Tel : 77 67 50 46/ 99 20 09 06 – acrpac@yahoo.fr

- Observatoire des Droits de l’Homme: Yaoundé – Cameroun tél. : +237. 976.00.56 – - Courriel : hsf@livenet.ch Site : www.odh.cmonsite.fr

- OS-CIVILE – Organe de la Société Civile - BP. 3 Kousseri. Cameroun Tél. (00237) 675 06 77/602 94 07 - Cameroun. : os_civile@yahoo.fr

- Correspondance à Genève : Association Maison de l’Afrique à Genève (MAGE) : 19, rue du Perron - 1204 Genève – Suisse tel : +41 22 311 26 30 +41 70 633 38 33 – mail : info@maison-afrique-geneve.org

Secrétariat permanent international : Anne Marie POTTIER : africa@smol.org