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AMAD Adel
RETEAU Florian
BGVN1
Sujet n°3 : Réseaux sociaux
et influenceurs : de
nouveaux ambassadeurs de
l’écologie ?
Enseignants référents :
PORTE Charles-Henri
SIREUIL Rodrigue
SOMMAIRE
Introduction……………………………………………………………………………………1
I) Influenceurs…………………………………………………………………………………2
II) Réseaux sociaux………………………………………………………………………….3
III) Problèmes et limites………………………………………………………………….5
IV) Les solutions………………………………………………………………………………7
Conclusion……………………………………………………………………………………….8
Summary in english…………………………………………………………………………8
Annexes…………………………………………………………………………………………..9
Bibliographie………………………………………………………………………………….11
INTRODUCTION :
Depuis ces dernières années, les réseaux sociaux se sont diversifiés et ont pris de grandes ampleurs.
Comme le montre un article de francoischarron.com, Facebook est accessible à tous depuis 2006 et a
cette année 2,4 milliards d’utilisateurs actifs mensuels (voir Annexe 1, tiré du site
blogdumoderateur.com). À côté de ce monstre, d’autres se sont développés tel qu’Instagram, créé en
2010 et regroupant 1 milliard d’utilisateurs actifs mensuels. Mais également YouTube, créé en 2005 et
ayant énormément de contenu mis chaque minute (400 heures de vidéos mise en ligne par minute,
selon webrankinfo.com).
De ce fait, certaines personnes se sont créé une communauté de « fans » qui les suivent sur ces
réseaux. Ces personnes peuvent donc influencer leur communauté en leur partageant leur point de
vue, ce qui peut modifier celui des membres de cette susdite communauté, expliquant leur surnom d’
« influenceurs ».
Ces personnes ont donc la possibilité de sensibiliser un public important sur les thèmes tournant
autour de l’écologie, que ce soient des techniques pour se rapprocher du zéro déchet comme la chaîne
Les Astuces de Margaux, ou des astuces pour devenir végétarien comme Swann Périssé, ou que faire
pour limiter notre empreinte écologique comme Coline Balfroid.
On peut donc se demander si les réseaux sociaux et les influenceurs peuvent être de nouveaux
ambassadeurs de l’écologie.
De ce fait, nous avons tout d’abord une première partie sur les influenceurs, où nous avons envoyé
un sondage à 140 influenceurs pour connaître leur point de vue et leur intérêt envers l’écologie. Nous
traiterons dans cette grande partie, les actions qui ont été mise en place par certains d’entre eux et ce
qui pourrait être fait à l’avenir. Nous verrons ensuite, ce qu’il en est pour les réseaux sociaux et plus
précisément les groupes qu’on peut y trouver, et leurs différences par rapport aux influenceurs. Pour
finir, on étudiera quels sont les problèmes et les limites que peuvent engendrer ces deux groupes et si
des solutions peuvent être envisagées.
https://www.youtube.com/watch?v=W9YdvRcdE60
1
I. INFLUENCEUR
Pour cette partie, nous allons nous intéresser à un sondage que nous avons envoyé à plus
d’une centaine d’influenceurs francophones et pat la suite, nous allons voir des événements
qui ont été mis en place par certains d’entre eux.
La première question permettait de savoir si pour eux, leur rôle d’influenceurs était de paire
avec le rôle d’acteur de la problématique de l’environnement. Le résultat (voir Annexe 2)
obtenu montre qu’un peu plus de la moitié pense que c’est le cas, le reste est plus dans
l’optique que ces deux rôles n’ont pas de lien, et il ne faut pas forcément être influenceur pour
être acteur de cette problématique. On voit donc d’entrée de jeu que la plupart des influenceurs
font partie de cette génération qui se rend compte des dangers qui pèsent sur nous. Mais,
dans les deux cas, une grande majorité des interrogés souhaitent à l’avenir, de parler plus
d’écologie dans les temps à venir sur leurs réseaux sociaux pour sensibiliser un minimum leur
communauté.
Nous leur avons demander ce qu’ils voudraient ou allaient faire concrètement et qui ferai
parti de leur contenu, pour sensibiliser ou agir autour de cette problématique. Voici quelques
réponses proposées :
- AidenShow (suivi par 1,44 million abonnés) souhaite participer cette année à des
actions écologiques, mais sait qu’il faut être nombreux pour que des changements
apparaissent
- Dr Nozman (suivi par 3,4 millions abonnés) en a déjà parlé dans plusieurs de ces
vidéos comme son voyage en Islande et dans des vidéos de son format « Vrai ou
Faux » où sa communauté lui pose des questions sur un thème donné et où il démêle
le vrai du faux. Il souhaite donc continuer sur cette lancée.
- Cédrik Jurassik (suivi par 73 300 abonnés) souhaite sensibiliser sa communauté en
parlant de plus en plus de la faune actuelle qui disparaît à « vitesse grand V », pour le
citer, en sachant que son format de vidéo de base est porté sur la faune préhistorique.
- Les grandes autres idées tournent autour de la présentation de « produits bon pour la
planète » comme l’a proposé Juste Zoé (suivi par 1 million abonnés) ou en expliquant
dans quelques vidéos que le moindre geste peut avoir une grande conséquence, mais
comme précisé par certains, si le contenu de base ne tourne pas autour de l’écologie,
un flux important de vidéos sur ce thème peux ne pas être compris par la communauté
qui arrêterait de suivre cet influenceur.
Un autre problème qui pourrait rendre la communauté de certains influenceurs mécontents
est la notion de consommation d’écologie. En effet, comme le mentionne Lutti, un streamer
suivi par 92 800 personnes, le fait de faire des lives (ou « directs » en français) consomme de
l’énergie et favorise la pollution numérique. Ce qui pourrait être vu par certains comme étant
une ironie des choses.
Ce qui dégage de ce sondage est le fait que de plus en plus d’influenceurs (principalement
sur YouTube et Instagram) prennent de leur temps pour créer du contenu, en sachant que
pour créer une vidéo sur YouTube beaucoup de temps est à utiliser, entre l’écriture,
l’enregistrement et le montage. Montrant l’implication réelle de ces personnes.
2
A côté de cela, des événements beaucoup plus importants ont également était mis en place.
« On Est Prêt » est un mouvement dont la vidéo d’annonce a été publié le 6 Novembre
2018. Ce mouvement a été lancé par 65 youtubeurs (tels que Natoo, Norman, PV Nova et
Baptiste Lorber) sur la période du 15 Novembre au 15 décembre 2018. Leur but était de donner
des défis importants chaque semaine (comme manger végétarien pendant une semaine) à
leurs communautés et de les inciter à faire des petites actions qui permettent de diminuer
l’impact de l’Homme sur la nature, comme ramasser des déchets dans la nature ou mieux
gérer son chauffage par exemple. A noter que l’action a été relancé à partir du 9 décembre
2019. À la suite de cet événement, une page Instagram a été créé, et est toujours active. On
peut y retrouver des liens pour voir des conférences autour de l’écologie ou alors, voir ce qu’il
se passe durant des manifestations pour le climat (comme celle du 15 mars 2019 où 2052
événements sur le globe ont été recensé selon le site Fridaysforfuture.org, voir Annexe 3).
Plusieurs youtubeurs sont encore affiliés à ce compte comme Axel Lattuada, de la chaîne Et
tout le monde s’en fout, qui est également réalisateur, auteur et comédien.
« L’Affaire du Siècle » a été lancé via une vidéo publiée le 18 décembre 2018 où une
trentaine d’influenceurs (Youtubeurs (ex : McFly&Carlito), Acteurs et Comédiens (ex : Marion
Cotillard), Chanteurs (ex : Shaka Ponk) et Humouristes (ex : Ellie Semoun)) ont porté un
message en disant qu’ils allaient attaquer l’Etat français en justice car il ne respecte pas ses
engagements liés à l’écologie, comme l’ont déjà fait certains pays comme la Belgique, le
Pakistan ou le Canada. Le but comme dit dans cette vidéo est de mettre l’Etat français face à
ses responsabilités via la justice. Pour que cette mobilisation soit organisée, les personnes
voulant faire partie du mouvement sont représentées face à la justice par 4 associations : Notre
Affaire à Tous, la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France et
Oxfam France. Le 20 mai 2019, ces 4 associations ont déposé leur mémoire complémentaire,
c’est-à-dire leurs arguments pour justifier cette attaque juridique contre l’Etat français.
L’audience et le rendu du jugement devraient se passer entre la fin de l’année 2020 et le
printemps 2021.
II. RESEAUX SOCIAUX
Pour commencer cette partie, il faut préciser que ce ne sont pas les réseaux sociaux en tant que tel
qui peuvent avoir le rôle d’ambassadeurs, mais bien les utilisateurs de ces réseaux qui peuvent être de
simples utilisateurs de la plateforme, des influenceurs (comme vu précédemment) et des groupes.
3
Ces derniers permettent à des personnes qui ont de mêmes idéaux et/ou points de vue sur certains
sujets de se regrouper afin de créer une communauté où les membres peuvent mettre en place des
actions concrètes ou des salons de conversations afin d’échanger entre eux et de débattre, ou de se
partager des conseils.
La hiérarchie dans ces groupes est au minimum la présence de modérateurs (ou administrateurs) qui
ont pour rôle d’éviter des débordements au sein des groupes.
C’est le cas du groupe « France Nature Bushcraft » qui regroupe actuellement 4 843 membres en
étant un groupe privé, et de ce fait, une demande pour être membre est à remplir avec comme
question « Comment avez-vous connu la page ?» et « Pourquoi voulez-vous être membre ? ». Cette
demande montre bien qu’il s’agit d’un groupe sérieux qui n’accepte que les personnes intéressées par
le contenu proposé. La page tourne autour du « bushcraft » qui est un style de vie qui se rapproche de
la survie en nature mais qui n’en est pas réellement. C’est en réalité un style de vie en lien avec la
nature et « dans le respect de l’environnement et de la législation » comme précisé dans la description
de la page. Ici, les membres partagent leur expérience dans la vie en nature (très souvent sur des
périodes d’un week-end), et en donnant alors des conseils comme par exemples, comment créer un
abri isolé à partir de branches et de mousses ou, partager des livres permettant d’identifier la flore
comestible et toxique. Le but est donc de former gratuitement les membres à une vie en nature en
donnant un niveau de sécurité élevé et dans le respect des lois françaises.
Le groupe « 1 déchet ramassé, nature préservée » regroupe 720 membres et est quant à lui, un projet
écocitoyen où le but, comme précisé dans le nom de la page est de ramasser un déchet par jour, ce
qui à l’échelle de la population française est énorme. Les membres sont donc indépendants et n’ont
pas d’actions précises à réaliser à part de dépolluer un minimum les espaces urbains et ruraux. Certains
membres partagent leurs actions, et on remarque que la plupart ne ramasse pas qu’un seul déchet
mais nettoie leurs rues de manière plus importante. La page partage également des dates de collecte
de déchets afin que les déchets ramassés ces fois-ci sont certains d’être recyclés. Leur but est donc de
sensibiliser la population à la collecte des déchets.
Mais certains groupes ont une hiérarchie plus prononcée, où les actions menées sont pour la plupart
voire la totalité faites en collectif, et où une organisation est nécessaire. Ces groupes plus organisés
sont pour certains le fruit d’associations ou d’organisations qui existaient avant l’arrivée de cette page,
et donc avait déjà une structure hiérarchique présente.
Par exemple, l’association à but non lucratif « Sea Shepherd » a été créé en 1977 et la page Facebook
de la filière Française a été créé en 2006. Ses buts, comme énoncé dans leur site Internet, sont :
- Ne pas seulement protester mais également agir de manière non violente face aux abus et aux
actions illégales envers la vie marine et les écosystèmes marins.
Photo prise par un des
membres du groupe « 1
déchet ramassé, nature
préservée » et présente
sur la page Facebook du
groupe.
4
- Montrer les abus et les pratiques non durables qui touchent aux milieux marins.
- Sensibiliser l’opinion publique avec des interventions en écoles, en festivals ou en organisant
des conférences, des expositions ou des publications.
Elle est fière de dire qu’elle est 100% indépendante et qu’aucune subvention ne lui est donnée et de
ce fait leur liberté de parole et d’action sont maximales.
Mais la notion de « non-violence » n’est pas toujours vraie ou du moins pour certaines filières.
Premièrement, Paul Watson, le fondateur de l’association se qualifiait de « Pirate des océans » comme
on peut le voir dans le titre de son livre « Moi, Capitaine Paul Watson, Pirate des océans » publié en
2016. Secondement, plusieurs fois et principalement contre des baleiniers japonais, des navires de Sea
Shepherd ont été lancé contre ces navires.
(lien de la vidéo : https://www.lemonde.fr/planete/video/2013/02/25/collision-d-un-bateau-de-sea-
shepherd-avec-un-baleinier-les-images_1838490_3244.html)
De ce fait, cette association que 544 620 français suivent sur Facebook a, à la fois une belle idéologie
mais, a par moments des actes qui justifient que certains les surnomment comme étant des
« écoterroristes ».
Logo de Sea Shepherd
Le groupe « Run Eco Team » est suivi par 27 304 membres et n’est pas du tout controversé. Leur but
est de préserver l’environnement via la course à pied. Les membres sont donc des coureurs et ils sont
invités à ramasser les déchets qu’ils croisent pendant leur footing ou leur entraînement. Ils mettent en
place des événements comme par exemple : actuellement, le fait de créer des dessins en 3D sur le
thème de Noël avec les déchets ramassés. Ils mettent aussi en place des événements dans des grandes
villes de France où ils se regroupent et courent ensemble en ramassant le plus de déchets possibles.
Sur cette page, on retrouve donc majoritairement les photos des membres qui montrent leur collecte
de la journée. Leur but est donc de sensibiliser une population de coureurs, qui pratiquent en extérieur,
sur le fait de nettoyer les rues et de lutter contre la pollution en ville.
III. PROBLEMES ET LIMITES
Bien sûr de nombreux problèmes se posent que ce soit pour les influenceurs que pour les groupes.
Ce sont des problèmes distincts mais qui ont tous un impact sur les personnes qui les suivent.
5
Pour les influenceurs, les problèmes tournent autour de la véracité de leurs propos. En effet, ce sont
rarement des personnes réellement du milieu de l’écologie et préparent donc les informations qu’ils
veulent partagées via Internet comme tout le monde. Il se peut donc qu’ils prennent en compte une
information fausse ou qui a été réfuté et la partage à leurs communautés. C’est ce qu’il s’est passé
durant le mois d’octobre 2018 où Squeezie, le premier YouTubeur de France, a fait une vidéo intitulée
« CES THEORIES VOUS FERONT TRANSPIRER » et accumule près de 7 millions de vues à ce jour. Elle
porte sur le thème des pyramides, où il développe une théorie totalement fausse en se basant sur un
documentaire qui se base lui-même sur aucune information vraie. Suite à cela, les personnes
connaissant le sujet ont réagi en disant que ce n’était pas du tout la réalité des choses. Une chance
donc que ce soit passé sur un sujet où un grand nombre de personnes s’y connaissaient, car que ce
serait-il passé si personne n’avait réagi ? Ici, ce n’est pas encore trop grave, mais le partage de fausses
informations, sur certains sujets, peuvent être vu comme de la propagande qui est justifiée par des
arguments qui ne sont pas basées sur des vérités. On peut prendre comme exemple historique, le PCF
(Parti Communiste Français) qui se disait être « le parti des fusiliers » soit le parti des résistants à partir
de 1945 alors que peu des résistants étaient communistes et étaient seulement des personnes qui
voulaient la liberté de leur pays et qui n’avaient pas forcément de point de vue politique identique.
Dans le cas des groupes sur les réseaux sociaux, le problème se tourne plus sur l’intention réelle de
ces groupes et de l’ampleur de leurs actions. Depuis quelques années des causes nobles comme le
véganisme, la volonté de non-violence contre les animaux ont pris de l’ampleur au point que certains
groupes, plus ou moins grands, se sont formés et mettent en place des opérations choquent qui
peuvent mettre en danger les membres soit via l’action en elle-même, soit via les débordements qui
peuvent arriver face aux forces de l’ordre. Cet été, de nombreuses boucheries ont été attaqués par
des groupes de végans extrémistes comme le groupe 269 Libération Animale.
Vidéo de Squeezie
Une des vidéos de réponse, à l’occurrence,
celle de la chaîne Les Revues du Monde
6
Mais ici, la cause est réellement en faveur de l’écologie et/ou du bien-être animal, mais il est possible
que certains groupes utilisent l’image d’une cause juste pour l’écologie, mais qu’en réalité, les
créateurs de cette page, souhaitent seulement amenés des personnes à les rejoindre et à les manipuler
de façon à ce qui suivent leurs réels idéaux. Ces derniers peuvent n’avoir aucun lien réel avec l’écologie
et être seulement politique. Leur but est seulement de créer une armée de « fidèles » qui pourraient
faire tout ce qui leur est demandé. Cette façon de procéder est celle utiliser actuellement par les
membres de l’islamisme radical afin d’embrigader de nouveaux adeptes.
IV. LES SOLUTIONS
Face à ces problèmes des solutions sont envisageables.
Pour la fiabilité des informations, nous pouvons penser à la mise en place d’un Internet
véridique. Développons cette idée. Ce serait en fait, une immense banque de données
scientifiques avérées par des experts. De ce fait, les informations qu’on y retrouvera seront
vraies à un instant T, et non pas indéfiniment, car le réel but de la science est de voir si une
affirmation scientifique précédente peut-être réfuté. Et c’est ainsi qu’évolue la science et que
nous passons ainsi de l’affirmation que la Terre est plate, qu’elle est en réalité ronde, et qu’au
final, elle est pour être précis ellipsoïdale. Cette banque de données sera donc mise à jour
continuellement en suivant l’arrivée des nouvelles découvertes et précisions apportées par la
science.
Pour les problèmes concernant les groupes, ils ne peuvent être résolu que si les différents
réseaux sociaux mettent fin à leurs actions. Ceci étant possible si les modérateurs du réseau
social suppriment leur page et font en sorte qu’une autre ne puisse pas être créée à nouveau.
Il faut aussi que les proches des personnes qui adhèrent à ces groupes, quand ils arrivent à
découvrir ce qui se passe, fassent en sorte de les sortir en leur en parlant, en contactant les
forces de l’ordre ou en demandant au réseau social concerné de supprimer la page (cette
dernière solution qui, on peut le noter, fonctionne rarement).
7
CONCLUSION :
De ce fait, on peut dire que les influenceurs ont un réel rôle d’ambassadeur de l’écologie et
sont un des axes de sensibilisation les plus importants de notre génération. Bien sûr, comme
vu précédemment, certains ne pensent pas qu’ils doivent être acteur de l’environnement car
ils sont influenceurs mais plutôt car ils sont des citoyens comme tout le monde, et n’ont pas
l’envie de porter le poids de la problématique de l’environnement comme les personnes
travaillant dans le domaine de l’écologie. Les groupes présents sur les réseaux sociaux ont
plus pour but de regrouper des personnes au sein d’une même passion ou d’une même idée
afin qu’elles se partagent des conseils et/ou des idées pour que notre mode de vie soit plus
en lien avec la nature, ou mettre en place des actions concrètes pour améliorer l’état de notre
environnement.
Mais des limites sont présentes comme vu précédemment, et des solutions doivent être
mises en place pour pallier les problèmes des « fake facts » et des groupes aux idéologies
et/ou aux actions assez obscures.
SUMMARY IN ENGLISH:
Influencers and social networks are getting more and more developed. They have the ability
to share some good everyday habits to save the planet or even show how to adopt an eco-friendly lifestyle.
A lot of french-speaking influencers know about today's problematic and they want to help by
sharing videos or posts on their social networks about the environment.
Social network’s groups have many objectives. These can be for example, advices on how
to reduce our plastic or water consumption, or even actions to clean up the streets.
However, they can sometimes get in trouble, as some influencers share some fake facts and
some groups can also be violent and/or have dark ideas.
Many solutions can be set up, such as a database with scientific facts only to avoid sharing
false informations, or the shutting down of dark groups to avoid manipulation of social network’s users.
8
ANNEXES
Annexe 1
Annexe 2
9
Annexe 3
10
BIBLIOGRAPHIE
- https://www.francoischarron.com/lhistoire-de-facebook-et-de-mark-zuckerberg/-
/qC6ZXEuNuT/ (Date création Facebook)
- https://www.blogdumoderateur.com/chiffres-facebook/ (Annexe 1)
- http://www.websuccessstories.com/instagram (Date création Instagram)
- https://www.webmarketing-conseil.fr/chiffres-instagram/ (Nombre d’utilisateurs mensuels
Instagram)
- https://www.webrankinfo.com/dossiers/youtube/chiffres-statistiques (Chiffres clefs de
YouTube)
- https://www.dailymotion.com/video/x6wqwr7 (Vidéo « On Est Prêt »)
- https://fridaysforfuture.org/statistics/graph (Annexe 3)
- https://www.youtube.com/watch?v=SISSUVzzn5U (Vidéo « L’Affaire du Siècle »)
- https://laffairedusiecle.net/laffaire/affaire-du-siecle-au-tribunal/ (Site de L’Affaire du Siècle)
- https://www.facebook.com/groups/614459052085544/ (Page Facebook de France Nature
Bushcraft)
- https://www.facebook.com/groups/231374394280909/ (Page Facebook d’1 déchet ramassé,
nature préservée)
- https://www.facebook.com/pg/SeaShepherdFrance/about/?ref=page_internal (Page
Facebook de Sea Shepherd France)
- https://www.seashepherd.fr/?fbclid=IwAR2dIKrRflXehf0MQI90WDj28xMohf-
P41CgUgZxTGW-qpYHE0OhVbXzjKw (Site de Sea Shepherd)
- https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-21-decembre-
2017 (Lien des livres de Paul Watson en bas d’article)
- https://www.marianne.net/societe/derriere-les-attaques-de-boucheries-une-radicalisation-
du-militantisme-vegan (Attaques de boucheries par végans radicaux)
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