Faire plus avec moins d’électricité

Supplément commercial n’engage paS la reSponSabilité de la rédaction

21 novembre 2014

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Des huit mois durant lesquels nous chauffons – de septem-

bre à avril – les mois de décembre, janvier et février repré-

sentent en moyenne 50% de la facture. Il importe que votre

installation au mazout soit en parfait état avant d’affronter

ces trois mois froids. Votre système de chauffage vous as-

sure une température intérieure agréable et l’eau chaude

sanitaire à la température souhaitée, mais doit également

- en cas de vague de froid - pouvoir donner le coup de pouce

supplémentaire nécessaire pour garantir le confort attendu.

Faites entretenir préventivement votre système de chauffageUn entretien régulier n’est pas seulement une obligation lé-

gale. Il fait en sorte que votre installation de chauffage fonc-

tionne de façon optimale, ce qui vous permet d’économiser

jusqu’à 10% sur votre facture énergétique. Plus le brûleur

est économique dans son fonctionnement, moins vous

consommez de mazout. Mais un bon entretien ne se limite

pas à un bon réglage du brûleur. Libérer la cheminée des

nids d’oiseau et dépôts de suie est au moins aussi important

car ceux-ci empêchent une bonne évacuation des gaz de

combustion. N’oubliez pas également de purger les radia-

teurs. La diffusion de chaleur reste ainsi optimale et vous

évitez toute surconsommation. L’air dans les radiateurs ou

les canalisations empêche en effet une bonne diffusion de

la chaleur. Enfi n, après la purge, contrôlez la pression de

l’installation sur le manonètre à côté de la chaudière. Celle-

ci doit, en principe, se situer entre 1,5 et 2 bars pour être

suffi sante. Si la pression est inférieure, ajoutez de l’eau.

Isolez votre réservoir et vos con-duites d’alimentation Les citernes de stockage et réservoirs enterrés ou siués en cave sont automatiquement protégés contre le froid. Votre réservoir à mazout est hors sol et donc à l’air libre ? Isolez alors réservoir à mazout et conduites. Cela empêchera que le mazout ne gèle en cas de grand froid.

Additifs hiverLe mazout est protégé toute l’année contre des températu-res allant jusqu’à moins -10 °C. Le mazout livré entre le 1er décembre et le 28 février bénéfi cie d’une protection sup-plémentaire contre des températures jusqu’à -15 °C. Si vous souhaitez renforcer la protection jusqu’à -20 °C, demandez à votre fournisseur d’ajouter des additifs spécifi ques hiver à votre mazout.

Passez commande à tempsN’attendez pas que le froid s’installe pour commander votre mazout. Vous serez ainsi assuré d’être rapidement appro-visionné. Le mazout vous permet à tout moment de choisir la quantité que vous commandez, auprès du fournisseur de votre choix et à un prix convenu préalablement. Vous avez le choix entre le paiement au comptant ou échelonné, sur base de la consommation annuelle estimée. (Rendez-vous sur www.informazout.be/fr/differentes-facons-de-payer-votre-mazout). Informez-vous auprès de votre fournisseur sur les modalités de paiement qu’il pro-pose. Les familles aux revenus modérés peuvent solliciter une subvention auprès du Fonds Social Chauffage. Plus d’informations sur www.fondschauffage.be.

L’hiver est à nouveau à nos portes. Si vous n’avez pas encore pris les précautions d’usage, il est temps de s’y mettre. Pensez à faire le plein de mazout et faites contrôler et entretenir votre installation de chauffage – pas seulement la chaudière mais également la chemi-née, les radiateurs et les conduites d’alimentation. Cela vous évite toute surconsommation et vous assure une maison bien chaude. Vous souhaitez économiser davantage ? Suivez le guide !

Vendredi 21 novembre 2014 SUPPLÉMENT à L’AVENIR 3

R é A L I s A T I O n Editeur responsable: Hans De Loore – Product management: Manou Van der BremptMise en page et rédaction: Violette Goethals, Cécile Holvoet – Production: Content Connections – Coordination: Delphine Buyle

Tous ensemble, setsudons !

Après le séisme de Tohoku, en 2011, suivi de la catastrophe de la cen-trale nucléaire à Fukushima, le Ja-pon a décidé de débrancher les 50 réacteurs nucléaires restants pour

une inspection de sécurité approfondie. Le pays a alors perdu 30 pour cent de l’approvisionnement national en électricité. Des black-out massifs semblaient inévitables. C’était sans compter avec les Japonais. Dans les mois qui suivirent la ca-tastrophe nucléaire, ils sont parvenus, grâce à la campagne ‘setsuden’ – qui signifie ‘économie d’électricité’ – à diminuer leur consommation énergétique de plus de 20 pour cent. Trois ans après la catastrophe, les pics de consommation se situent à 49 gigawatts, alors qu’auparavant, ils culminaient à 60 gigawatts. Si les Japonais sont en mesure d’atteindre un résultat aussi phénomé-

nal, nous devons, nous aussi, en être capables ! À tout le moins, nous devons tenter de nous en approcher. L’arrêt de certaines centrales nucléai-res est planifié et les arguments visant à alourdir notre facture d’électricité s’avéreront d’actualité. Souvent, consommer moins d’électricité n’est qu’une question de bon sens : ne pas laisser la lumière allumée inutilement, éteindre les ap-pareils au lieu de les laisser en mode veille, ache-ter des appareils et lampes économiques… Même si vous n’habitez pas dans les zones de délestage, soyez solidaires et limitez votre consommation, d’autant plus entre 17 et 20 heures, lorsque la de-mande en électricité est la plus élevée. Encoura-gez voisins et amis, famille et collègues à en faire autant. Nous éviterons ainsi, tous ensemble, une pénurie énergétique et nous manifesterons notre sens civique ; notre facture énergétique et notre

environnement en sortiront gagnants. De plus, des mesures d’économie d’électricité offrent une solution non seulement pour cet hiver, mais aussi pour ceux à venir. « Nous savons qu’en pratique les familles faisant attention à leur consommation d’électricité, éco-nomisent en moyenne 10% », affirme la Ministre flamande de l’Énergie Annemie Turtelboom. « Sur www.onoff.be, des conseils très concrets pour agir préventivement à court terme afin d’éviter les pénuries. Nous devons toutefois aller plus loin, en modifiant notre comportement de façon durable et pas seulement au moment d’une me-nace de pénurie. Cela ne demande pas de gros efforts. C’est juste une question d’approche et de quelques adaptations structurelles. Si 2,5 milli-ons et demi de familles chaque jour supprimaient la consommation passive de leur décodeur TV,

l’économie annuelle se chiffrerait à 42,5 millions d’euros ou 212 millions de kWh. À toute heure du jour, cette consommation exige une capacité de production d’électricité de 25 MW. »Notre consommation d’électricité est plus éle-vée d’octobre à mars. Durant cette période, nous devons allumer plus souvent la lumière, utiliser plus fréquemment le sèche-linge et l’on regarde nettement plus la télévision. C’est précisément à ce moment-là que la possibilité d’économiser de l’électricité est la plus grande.

Éclairage : • Possédez-vous encore des lampes à incandes-

cence ou halogènes ? Remplacez ces lampes par des ampoules économiques ou par des lam-pes LED encore moins énergivores dans les piè-

4 conStruction & RENOVATION

Mesurer pour savoirRelevez régulièrement le compteur d’électricité. Ainsi, vous saurez quand les grands consommateurs d’énergie sont à l’œuvre. Un moyen utile, le compteur de consommation d’énergie. Placez cet appareil entre la prise de contact et l’appareil dont vous souhaitez mesurer la consommation d’énergie, laissez-le le temps d’un programme (lave-linge, sèche-linge, lave-vaisselle) ou pour une durée déterminée (24 heures pour le réfrigérateur ou le congélateur) et notez la consommation. Comparez ensuite les données avec celles du tableau de con-sommation. Il y a déjà des compteurs d’énergie pour moins de 30 euros.

ces souvent occupées. À l’intérieur, privilégiez

les lampes LED blanc chaud. Elles sont plus

conviviales que les lampes LED blanc froid. Il

y a également moyen d’installer l’éclairage LED

sur variateur.

• La lampe la plus économique est et reste celle

qui n’est pas utilisée. Lorsque vous quittez une

pièce, éteignez toujours la lumière, également

les lampes LED ou économiques à moins que

vous ne reveniez tout de suite.

• Limitez le nombre de lampes et choisissez leur

intensité lumineuse en fonction de ce que vous

voulez faire (cuisiner, lire, regarder la TV…)

• Dans le hall d’entrée, le garage ou la cave, vous

pouvez faire installer un détecteur de mouve-

ments. Dès que vous approchez, la lumière

s’allume automatiquement. La lampe s’éteint

d’elle-même en fonction de la durée préréglée.

Chauffer et refroidir • Enfilez un pull (supplémentaire). Vous éparg-

nez 7% de votre consommation énergétique en

baissant votre chauffage de 1 °C.

• La nuit, ou si vous n’êtes pas présent la jour-

née, baissez la température dans les espaces de

vie jusqu’à 15 à 16 °C.

• Le chauffage d’appoint électrique peut s’avérer

utile pour rapidement chauffer la salle de

bains. Tâchez d’en limiter l’utilisation.

• Le soir, fermez les tentures ou les volets rou-

lants.

• D’application moindre en hiver, mais à ne pas

perdre de vue : un système de climatisation est

ultra énergivore. Utilisez-le le moins possible.

Lessiver, sécher, repasser• Tous les gros appareils électroménagers sont

munis d’un label énergétique. Ce label four-nit de l’information sur leur consommation d’énergie. Un appareil pourvu du label A+++ est, dans sa catégorie, le moins énergivore. Les appareils avec un label G sont les moins économiques. Un sèche-linge au label C con-somme à chaque fois de 3 à 4 kWh, ou environ 0,75 euro. Cela signifie 150 euros par an pour quatre machines par semaine. Entre-temps les sèche-linge munis d’un label A+++ ont fait leur apparition et consomment 5 fois moins (!) d’électricité que la plupart des sèche-linge actuels. Cela équivaut à une économie de 120 euros par an.

• Même en dehors des mois d’été, il est possible de pendre le linge à l’extérieur, sur un séchoir ou une corde à linge. Un peu de soleil et de vent suffit. Les jours de pluie, il suffit de rentrer le séchoir.

• En moyenne, un lave-linge pourvu d’un label énergétique A+ consomme environ 0,5 à 0,75 kWh (ou 10 à 15 euros cents) par machine. Les lave-linge les plus économiques consomment environ 100 kWh par an (ou 20 euros) pour 4 machines par semaine. Un lave-linge ancien modèle consomme en moyenne 200 à 300 kWh par an (40 à 60 euros par an).

• Pour le linge blanc, 60 °C est en général une température largement suffisante. Lessivez à plus haute température uniquement lorsque c’est vraiment nécessaire.

• Faites tourner le lave-linge lorsque vous avez suffisamment de linge pour avoir une machine pleine. C’est plus avantageux que de faire deux demi-machines.

• Essorez convenablement le linge (de 1.200 à 1600 tours/minute) avant de le mettre au sèche-linge. Vous économisez ainsi en séchage 20 à 25% d’énergie.

• Les particules de poussière empêchent l’évacuation de l’air chaud, humide. Le sèche-

linge consomme alors plus d’énergie. Nettoyez convenablement le filtre à poussière entre cha-que utilisation.

• Évitez le repassage en pliant immédiatement le linge sec, et repassez uniquement les vête-ments trop froissés. Une heure de repassage consomme 1,5 à 2 kWh soit 30 à 40 euros cents.

Dans la cuisine• Depuis juillet 2012, seuls les réfrigérateurs et

les congélateurs munis d’un label A+ ou plus peuvent encore être vendus. A+ est 20% plus économique que A ; A++ est 40% plus écono-mique que A et A+++ est 60% plus économique que A. Un réfrigérateur de 350 litres des années 90 avec un label C coûte environ 60 à 80 euros par an en électricité (300 à 400 kWh), avec un label A plus récent, ce serait 40 à 50 euros. Les appareils pourvus d’un label A+++ consom-ment à peine l’équivalent de 15 euros (75 kWh) par an.

• Ouvrez le réfrigérateur le moins longtemps pos-sible et n’y mettez pas de nourriture chaude. La consommation du congélateur monte éga-lement en flèche dans ce cas. Faites d’abord refroidir au réfrigérateur les produits que vous voulez congeler. En hiver, vous pouvez les met-tre au préalable un moment à l’extérieur.

• L’inverse est également vrai : faites dégeler les produits congelés dans le réfrigérateur. Ils ai-dent ainsi à garder votre réfrigérateur froid.

• Ayez de l’ordre dans votre congélateur. Vous re-trouvez ainsi tout rapidement et vous ne devez pas laisser le couvercle ou la porte trop long-temps ouvert.

• La température idéale dans un réfrigérateur est

Vendredi 21 novembre 2014 SUPPLÉMENT à L’AVENIR 5

de 4 à 6 °C, et - 18 °C dans un congélateur. Une température plus basse engendre des frais éner-gétiques inutiles. Tout degré en moins revient à 5% de consommation en plus.

• À moins que le réfrigérateur le fasse automati-quement, il ne faut pas oublier de le dégivrer régulièrement. L’humidité qui se dépose sur les parois du réfrigérateur gèle. Une couche de givre se forme, le rendement du réfrigérateur devient insuffisant et la consommation d’électricité augmente. Le congélateur doit également être régulièrement dégivré. Une couche de glace de 2 mm induit une surconsommation de 10%, ce qui équivaut à 5 euros par an.

• Remplissez le plus possible le congélateur. Si nécessaire, comblez les espaces vides avec de la mousse de polystyrène. De cette façon, lors-que vous l’ouvrez, il y a moins d’air chaud qui s’y engouffre.

• La vaisselle à la main n’est pas plus économi-que que la vaisselle à la machine. Lorsque vous faites la vaisselle à la main, il vous faut de l’eau chaude pour laver et pour rincer. Vous allez plus que probablement changer au moins une fois l’eau parce qu’elle sera devenue trop sale ou trop froide. Vous consommez ainsi facilement 10 litres d’eau. Les meilleurs lave-vaisselle ac-tuels sont équipés de capteurs déterminant le degré de chargement et de saleté, et veillant al-ors à la quantité d’eau précisément nécessaire, à la bonne température et au programme de la-vage adéquat.

• Ne faites tourner le lave-vaisselle que lorsqu’il est tout à fait plein.

• Le petit boiler électrique (5 à 10 litres) est éga-lement très énergivore. Ne le branchez que lors-que vous avez besoin d’eau chaude.

• Les plaques de cuisson électriques chauffent encore un certain temps après arrêt. Éteignez-les avant la fin de la cuisson et utilisez la cha-leur résiduelle.

• Les plaques de cuisson électriques les plus éco-nomiques fonctionnent à l’induction. Les pla-ques à induction consomment 40% d’énergie en moins que les plaques de cuisson électriques classiques.

• Pendant la cuisson, n’ouvrez le four que lorsque c’est nécessaire et le temps nécessaire.

• Pour la préparation de petites quantités, le mi-cro-ondes consomme environ 50% d’énergie en moins qu’un four classique. Lorsque vous voulez réchauffer de grandes quantités au micro-ondes, il convient de répartir la nourriture sur un réci-pient plat. Les ondes pénètrent plus facilement jusqu’au cœur, ce qui réduit le temps de cuisson.

• Ne préchauffez le four que lorsque c’est vrai-ment nécessaire. Les fours à air chaud, par exemple, ne doivent être préchauffés que pour le rosbif et la pâtisserie fine. Éteignez le four quelques minutes avant la fin de la cuisson et profitez de la chaleur résiduelle dans le four pour chauffer les assiettes.

• Ne laissez pas votre percolateur trop longtemps branché. Versez le café chaud dans un thermos.

• Ne laissez pas la hotte allumée plus longtemps qu’il ne faut et ne la réglez pas automatique-ment sur la puissance maximale. Nettoyez ou remplacez régulièrement les filtres. La graisse empêche le passage de l’air et diminue le rende-ment de la hotte.

Détente• Jusqu’à 10% de la consommation d’électricité

d’une maison est passive : éclairages, indica-teurs d’heure sur les appareils qui ne sont pas totalement éteints. Les plus grands coupables sont les chargeurs, la TV, les modems, les déco-deurs... Tâchez le plus possible d’éteindre com-plètement ces appareils au moyen du bouton marche/arrêt ou au moyen d’une multiprise.

• Si vous achetez une nouvelle TV, sachez qu’une TV LED est nettement moins énergivore qu’une TV plasma.

• Les nouvelles télévisions doivent être équipées d’un label énergétique indiquant la consom-mation. Les données sur ce label sont basées sur les réglages d’usine (‘home mode’), mais ceux-ci ne donnent pas toujours la meilleure qualité d’image. Si vous modifiez les réglages, votre télévision consommera généralement plus d’électricité. Certains écrans plasma dont les réglages d’image sont effectués de façon optimale consomment 40 à 100 watts de plus qu’en ‘home mode’. Dans le cas des TV LED, la différence est en moyenne de 10 watts.

• Un décodeur TV consomme environ 20 watts par heure, et encore toujours 12 à 14 watts en position veille. Si vous regardez chaque jour la TV pendant 4 heures et laissez le décodeur 20 heures en mode veille, cela revient chaque jour à environ 0,34 kWh. Au bout de 365 jours, cela grimpe jusqu’à 125 kWh ou l’équivalent de 25 euros par an. Environ ¾ de cette consommati-on est due à de la consommation passive ou en mode veille. Certains décodeurs ont un mode d’énergie intelligent limitant la consommation à environ 1 W. De cette manière, vous pouvez épargner tous les jours 0,24 kWh ou 87 kWh par an (17 euros).

800 euros par anPar an, une famille consomme à la maison en moyenne 4.000 kWh d’électricité. Cela équivaut à environ 800 euros ou largement 2 euros par jour.

Les postes de consommation principaux sont :• appareil de chauffage électrique• boiler électrique• congélateur• réfrigérateur• four électrique• climatisation • sèche-linge• lave-linge

• fer à repasser• lampes à incandescence et halo-

gènes• pompe de circulation du chauffage• toutes sortes de consommations

passives et décodeur TV• aquarium tropical, jacuzzi, sauna,

cabine à infrarouge...

sites web intéressantswww.ecoconso.be

www.energie.wallonie.be/fr/brochure

www.topten.be : vous trouvez sur ce site les appareils les moins énergivores.

www.test-achats.be : ce site propose des tests compara-tifs d’appareils électriques. Et il y a moyen de calculer la différence en frais de consommation entre un appareil économique et un appareil moins économique.

www.energivores.be : ce site vous permet d’évaluer la consommation énergétique de la plupart des appareils électroménagers électriques.

Pour en savoir plus sur ce qu’il faut faire avant, pendant et après une coupure de courant suite à une éventuelle pénurie d’électricité, surfez sur www.OffOn.be ou ap-pelez le 0800 120 33.

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Les chaudières de plus de quinze ans d’âge ont un rende-

ment de 88% seulement. Pour la toute dernière généra-

tion de chaudières à condensation, celui-ci grimpe jusqu’à

109%. Le fait que leur rendement est supérieur à 100%

vient du fait qu’elles exploitent également la chaleur pré-

sente dans les gaz de combustion, et cela en condensant

la vapeur présente dans les gaz de combustion. Dans le

cas de chaudières classiques, la chaleur si précieuse

s’échappe par la cheminée.

En outre, les chaudières à condensation à gaz actuelles ne

sont pas pourvues d’un simple brûleur marche/arrêt mais

bien d’un brûleur modulable. Cela signifi e que le brûleur

dans la chaudière fonctionnera plus ou moins fort en fonc-

tion de la différence entre la température effective de la pi-

èce et la température demandée. Plus la température de la

pièce approche la température demandée, plus la fl amme

du brûleur diminue. La chaudière consomme ainsi uni-

quement le strict nécessaire, elle a un meilleur rendement

et la condensation est optimisée.

SilencieuseLa toute nouvelle génération des chaudières à condensa-

tion est non seulement beaucoup plus économique mais

celles-ci font en plus nettement moins de bruit que les an-

ciennes chaudières. Elles sont pour ainsi dire silencieuses.

Compacte et tendanceGrâce à leur volume compact et à leur design attractif,

les toutes nouvelles chaudières au gaz à condensation

s’installent pour ainsi dire n’importe où : à la cave, au ga-

rage ou au grenier mais également à la cuisine ou à la salle

de bains, et donc à proximité des points de prélèvement

d’eau chaude. De cette façon, il n’y a qu’un minimum de

chaleur perdue.

SûreUne chaudière à condensation est un appareil fermé. Le ventilateur intégré fait en sorte que l’air extérieur frais est directement aspiré et que les gaz de combustion sont di-rectement rejetés vers l’extérieur. La chaudière n’est donc pas en contact avec l’air à l’intérieur de la maison.

Jusqu’à 75 euros par an en moins de frais d’électricité Les chaudières ecoTEC plus de Vaillant – depuis longtem-ps les chaudières à gaz à condensation les plus vendues sur le marché belge – sont équipées d’une pompe à haut rendement. Comparé aux chaudières munies d’une pom-pe standard, cela peut représenter une économie corres-pondant à 3.000 heures de TV ou 180 heures d’aspirateur, ou exprimée en avantage fi nancier, 75 euros par an. Grâce à une électronique modernisée, la perte d’énergie en position veille peut être ramenée à moins de 2 watts. Une radio non allumée mais dont le cordon est relié à la prise peut consommer le double en consommation passive.

Jusqu’à 35% d’économie sur vo-tre facture énergétique. Et plus écologique. Les nouvelles chaudières à condensation émettent égale-ment moins de gaz nocifs. Le brûleur de la nouvelle eco-TEC est équipé d’une régulation air/gaz électronique au lieu d’une régulation pneumatique. Cela permet une mo-dulation optimale et la chaleur est nettement plus écono-mique et écologique. Simultanément, la régulation électronique fait en sorte que la chaudière puisse fonctionner sur une capacité très faible. Ce qui la rend particulièrement adaptée au chauf-fage d’habitations à basse énergie – telles que les maisons quasi neutres en énergie – qui grâce à leur construction n’ont qu’un faible besoin en chaleur.

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Eco-brick:bien plus que simplementune ligne élancée

Jusqu’à 3,5 cm d’espace en plus pour l’isolation L’Eco-brick présente toutes les propriétés et avantages

d’une brique de parement céramique traditionnelle, mais

dans un format plus élancé. Eco-brick est jusqu’à 3,5 cm

plus étroite et prend dès lors jusqu’à 30% de place en

moins. En cas de construction neuve, vous pouvez aug-

menter l’épaisseur d’isolation – et réaliser dès lors une

belle économie sur votre facture énergétique – sans épais-

sir la largeur de mur. Et pour les habitations à basse éner-

gie en tout cas, dont l’épaisseur des murs oscille entre 35

et 40 cm, cela représente une différence sensible.

Plus d’espace de vie Étant donné que l’Eco-brick est jusqu’à 35 mm plus fi ne

que les briques de parement classiques, il vous est possi-

ble d’envisager une bonne isolation sans perte d’espace de

vie. 3,5 cm, cela ne semble peut-être pas beaucoup mais

sur la superfi cie totale de la maison, cela représente une

différence tangible.

Plus grande facilité de rénovationPost-isoler une façade de l’extérieur est la meilleure soluti-on d’un point de vue physique architecturale. Etant donné que le bouclier d’isolation peut être placé en continu, on évite (la plupart) des ponts thermiques. De plus, avec Eco-brick, l’épaisseur du mur reste limitée.

Plus légère L’Eco-brick est non seulement plus étroite, elle est éga-lement plus légère. Pour le placeur, cela veut dire grande facilité de manipulation. Les briques sont traitées selon les techniques de maçonnage ou collage classiques et avec un outillage traditionnel. Aucune connaissance ou expérience complémentaires ne sont requises. Plus la brique de parement est légère, moins elle consomme d’énergie lors de son transport. Il est possible de charger un plus grand nombre de briques par trajet. Moins de transport routier est synonyme de moins d’émission de CO2

.

Mutliples couleursLa brique est disponible en une grande variété de cou-leurs. Intemporelle ou tendance, choisir l’Eco-brick, c’est opter pour une habitation au style affi rmé.

Avec Eco-brick, Wienerberger a développé une brique de parement jusqu’à 3,5 cm plus étroite qu’une brique de parement traditionnelle. Cela permet en cas d’épaisseur de mur identique d’isoler jusqu’à 3,5 cm en plus, ou bien vous bénéfi ciez d’un espace intérieur plus vaste. La différence ne repose pas uniquement sur sa ligne élancée. La brique de parement plus étroite présente encore d’autres avantages.

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un combustible bien plus avantageux que vous ne le pen-

sez. Tant au rayon économies, qu’au niveau autonomie,

confort, sécurité, environne-

ment, mais aussi perspec-

tives d’avenir. Alors, pas de

doute, le bon choix, c’est

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Choisir les matériaux appropriés pour le gros oeuvre n’estpas évident. C’est cependant tout aussi important que leparachèvement intérieur. Le gros oeuvre constitue en effetl’ossature portante, mais aussi la carte de visite de votremaison. Qualité, esthétique, prix et confort jouent ici un rôletrès important.

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