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Synthèse de la journée « Femmes & Numérique » du 14 octobre 2014 à l’Athénée municipal Joseph Wresinski, dans le cadre de la #SD BX4. Par Bérengère Erouart Grand rendez-vous numérique de la métropole bordelaise, la Semaine digitale consacre chaque année un temps fort aux femmes. Au sommaire de cette 4ème édition : oser au féminin grâce au web, réussir en misant sur les réseaux sociaux et le networking, se familiariser avec les emplois féminins de demain. En 3 conférences plénières et 7 interventions « flash », retour sur la journée Femmes & Numérique du 14 octobre. > Ouverture de la journée « Femmes & Numérique » pa r Virginie Calmels, adjointe au maire, chargée de l'économie, l'emploi et la croissance du rable. Dans le contexte économique actuel, le numérique, encore peu féminisé, représente une formidable opportunité pour les femmes (télétravail, flexibilité en termes d’emploi du temps…). Si l’internet se féminise, en Europe le PIB fera un bond de 9 milliards d’Euros. Or, en témoigne la parité dans les équipes municipales, le maire Alain Juppé est très attaché à faire vivre le Bordeaux professionnel au féminin. La cité bordelaise connaît un bel essor digital : 7000 emplois créés en 2013, et 36 000 autres d’ici 2018. L’obtention du label « French Tech" (qui distingue et fédère les lieux phares de l’économie numérique en France), mettrait un important coup de projecteur sur cette dynamique locale… verdict attendu sous peu. La Ville étant de plus en plus attractive, se pose avec force la question de l’emploi local. D’où l’importance accordée aux projets numériques en cours, aux Bassins à Flot notamment, et au rapprochement entre entreprises, écoles et citoyens - car le digital est désormais à l’intersection de toutes les activités économiques. > Conférence plénière « Osez au féminin grâce au we b » Grâce aux nouveaux réseaux grand public ou d'entreprise, les femmes tissent enfin leur toile, gagnant une place et une influence souvent réservées aux hommes dans les médias plus traditionnels. Le Web 1.0 a été très masculin, le Web 3.0 sera féminin ! Avec : • Marine Deffrennes , auteur de "Elles ont réussi dans le digital" Ed Kawa 2014. • Isabelle Juppé , Directrice déléguée au développement durable, groupe Lagardère, auteur

de « La femme digitale »., Ed JC Lattes 2008 • Anne Lataillade , créatrice du top blog www.papillesetpupilles.fr, 50 000 visiteurs uniques /

jour. • Elodie Rousseau , directrice du développement de aufeminin.com, commissaire générale

de Happy Happening. Isabelle Juppé le mesure depuis son livre écrit en 2007 : ces 10 dernières années, le numérique s’est considérablement diversifié - blogging, réseaux sociaux, percée de la vidéo, des smartphones, des mooks… Le monde de l’éducation et de l’emploi s’en trouve peu à peu modifié.

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Le réflexe de chercher un emploi « établi » dans une entreprise ou un service public, cède progressivement le pas à l’initiative personnelle. Événements, prix et trophées se multiplient autour des femmes dans le numérique, signe que nous sommes en bonne voie, même si la route est encore longue. Pour Marine Deffrennes, les rencontres avec celles qui « ont réussi dans le digital » ne laissent aucun doute : dans les temps à venir, plus que les parcours d’études, ce sont les passerelles rendues possibles par le net qui détermineront les opportunités d’emploi. À une condition : oser. Elle cite à ce titre la trajectoire emblématique de Maëlle Gavet, directrice générale du site Ozon.ru (filiale russe d’Amazon) : une carrière exemplaire dans un univers numérique dont elle méconnaissait les codes. Or, c’est un fait : enclines à mettre au point des solutions ingénieuses pour faire face aux contraintes de la vie quotidienne, les femmes regorgent d’inventivité. Ainsi Anne Lataillade, mère de 2 enfants allergiques, ayant eu l’heureuse idée de partager ses recettes spécialisées en créant le site papillesetpupilles.fr, aujourd’hui incontournable dans l’univers de la table : le digital est une arme de choix pour concilier vie familiale et professionnelle. Le monde digital se conquiert à condition de croire en soi : Élodie Rousseau (aufeminin.com) a elle aussi franchi le pas en quittant l’univers de la pub pour celui d’internet, après un intermède professionnel qui lui a permis de se réaliser en tant que femme - notamment à travers le théâtre- , la poussant à recentrer son activité sur ses sujets d’intérêt. Constat unanime : l’engagement féminin explose grâce aux réseaux sociaux (les printemps arabes, les femmes d’Arabie saoudite défendant leur droit à conduire, la défense de l’avortement en Espagne…). Les femmes doivent se penser en actrices, et non en simples utilisatrices d’un monde qui change. C’est en s’appropriant les outils numériques et, pour les plus jeunes, en n’hésitant pas à rejoindre les filières scientifiques et techniques, que les stéréotypes et les doutes finiront par tomber.

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> Les Expertes : 15 minutes flash pour tout savoir • Twitter : une conversation mondiale : avec Amélie N ollet, community manager free lance, Aquinum. Tweeter est à la fois un vecteur de tendances, qui donne le pouls de la planète en instantané, et un relayeur d’idées (ex : la campagne « Not in my name »). Il offre une prise de parole directe. Quelques chiffres : 500 millions d’abonnés twitter dans le monde, dont 117 millions d’assidus, et 5 millions en France. 300 milliards de messages créés depuis le lancement de tweeter, le 21 mars 2006. Un tweet comporte 140 caractères. Bordeaux est le 4ème hashtag de France. Justin Bieber est l’abonné le plus suivi. Quelques conseils : Tweeter est une carte de visite : • Créer un bandeau qui vous ressemble, nommer vos centres d’intérêt, rester vrai. • Citer ses sources, soigner la rédaction. • Ne pas dépasser 100 caractères par message (en retweetant, le nom de l’envoyeur vient s’ajouter au texte). • Utiliser les raccourcisseurs de liens, et la recherche thématique. • À noter que le SAV de nombreuses entreprises telles que Dell est - bien plus - accessible via tweeter. • "Webdoc", nouvelle forme de narration et de communi cation, avec Sonia Moumen, auteur et réalisatrice. Initié en 2008 par les photographes, le webdoc est un documentaire en ligne destiné aux écrans individuels (ordinateur, tablette, smartphone…). Enrichi des multiples possibilités numériques, il offre une nouvelle forme de narration, non linéaire, de type exploratoire. L’intérêt du webdoc réside dans la diversité des contenus, et la forte interactivité avec le spectateur. Ainsi, dans le webdoc « Faire la montagne » de Sonia Moumen, voyage transmédia sur les traces de 8 bergers du Haut-Béarn en estives (lieux de pâturage en altitude), l’internaute construit son propre parcours de narration, en cliquant au choix et dans l’ordre qui lui chante, sur les différents liens proposés ( La montagne au féminin, la fabrication du fromage, etc…). Une création qui, pour 3H30 de contenus cumulés et 150 séquences, a nécessité 90 vidéos, 18 mois de travail, et les talents d’une dizaine de collaborateurs. À découvrir sur : fairelamontagne.tv7.com -> accès au webdoc de Sonia Moumen fairelamontagne.fr -> accès au projet dans sa globalité • Facebook : le réseau social le plus utilisé en F rance : avec Emmanuelle Audebert, consultante formatrice, community manager. Star des réseaux sociaux, Facebook est à la base un trombinoscope étudiant qui s’est peu à peu élargi. Vu et être vu de toutes sortes de catégories humaines : c’est la révolution créée par Facebook, qui a fait de nous des médias humains, producteurs et relayeurs de contenus.

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Quelques chiffres : 1,3 milliard d’utilisateurs dans le monde. 42% des Français actifs sur le site. Facebook représente 20% du temps passé sur internet. 80% du trafic sur Facebook est véhiculé par les smartphones. Quelques conseils : • Facebook possède un algorithme qui permet de détecter vos préférences en analysant vos « like », d’où les suggestions ciblées que le site vous envoie (« untel a publié telle information », « aimez la publication de tel abonné »…). Et donc, gare à votre mode de navigation : c’est l’image de vous qu’il renvoie. • Soyez régulièrement connecté, réagissez en temps réel, osez solliciter les 2ème et 3ème cercles d’ « amis » pour constituer avec eux des communautés d’intérêt. • Contrairement à tweeter, formaté autour de 140 caractères, Facebook offre un véritable espace narratif : demandez-vous si dans 5 ou 15 ans, vous assumerez toujours le message que vous rédigez en ce moment… • Les réseaux sociaux professionnels avec Stéphani e Laporte, web entrepreneur, (otta.fr) spécialiste des réseaux sociaux À eux seuls, Linked’in et Viadeo rassemblent 8 millions d’utilisateurs. Le premier, davantage focalisé sur un profil international et de « décideurs », concentre plus d’opportunités. Le second, davantage « tous publics », attire plus de cadres moyens, de PME et TPE, et de chercheurs d’emplois. Quelques conseils : • 1ère règle d’or concernant les réseaux professionnels : remplir son profil en entier, pour multiplier ses chances de resurgir sur les moteurs de recherche. • Éviter le « duplicata content », ou copier-coller : créer du contenu inédit. • Songer à utiliser les recommandations, et les alertes d’emploi. • Penser à ajouter dans votre cercle les collègues d’amis, qui peuvent s’avérer être des décideurs. • Oser aller au-devant de nouvelles relations avec des informations pertinentes susceptibles de

les intéresser (analyser leurs centres d’intérêt) • Ne pas sous-estimer les groupes et les hubs, générateurs d’opportunités professionnelles • Rester en contact avec vos anciens collègues : certains stagiaires montés en grade pourraient

un jour vous être utiles…

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> Conférence : Réussir grâce aux réseaux sociaux e t au networking Les nouveaux réseaux du web ont changé le monde et continuent d'évoluer : en tant que femme, comment et pourquoi les rejoindre ? Quelle utilité pour réussir ? Avec : • Béatrice Duboisset , tweetbosses, TedxWomen • Laurence Lafont , directrice Microsoft secteur public • Marlène Schiappa, créatrice de mamantravaille.fr, 1er réseau des mères actives, auteur

de "Pas plus de 4 heures de sommeil" Editions Stock 2014 D’âges et de profils variés, les intervenantes ont ce même point commun : les réseaux sociaux ont été leur tremplin pour entrer dans la vie professionnelle, ou l’indispensable courte-échelle qui a réorienté ou fait évoluer leur carrière . L’énergique Marlène Schiappa qui, à partir d’un sujet d’intérêt personnel (concilier vie privée et professionnelle), a tiré une activité à temps plein - conférencière, animatrice du 1er réseau de mères actives -, souligne « la formidable caisse de résonance des réseaux sociaux », et l’inestimable autonomie que lui confère, en tant que mère, le travail à distance. Les dirigeant(e)s français(e)s prennent peu à peu conscience de l’incroyable levier de communication que représentent les réseaux sociaux. Ils/elles sont de plus en plus nombreux sur le fil tweeter tweetbosses, qui vise à les faire connaître auprès de leur communauté professionnelle, affirmant ainsi leur leadership. Identifier les personnes dont les idées changent le monde, c’est aussi le sens de TedxWomen, une déclinaison au féminin de la conférence TED (Technology Entertainment Design), qui réunit l’élite de l’économie, des arts et des nouvelles technologies. « L’idée est de donner l’exemple : elles ont osé, vous le pouvez aussi », explique Béatrice Duboisset, importatrice du concept en France. Mais, insiste Laurence Lafont, « compte tenu des potentialités et des méandres des réseaux sociaux, il est très utile de se faire coacher. À l’instar de chez Microsoft, les groupes de mentoring ont vocation à se multiplier ». Et d’ajouter que le géant américain met un point d’honneur à interdire les mails de travail en-dehors des heures de bureau, « le numérique étant présent partout à toute heure, il est capital d’assurer la séparation entre vie professionnelle et privée ». Constat unanime : la solidarité féminine fonctionne très bien au sein des réseaux sociaux - qui ont par ailleurs tout intérêt à s’appuyer les uns sur les autres, pour multiplier les angles de rencontre et éviter l’enfermement catégoriel. Quelques conseils : • Tester plusieurs réseaux, à commencer par les réseaux féminins (entre semblables, on est plus à l’aise pour développer des réflexes), avant de rejoindre les réseaux mixtes… ou en créer de nouveaux ! • Oublier que le réseautage est traditionnellement masculin : oser !

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> Conférence : Des emplois au féminin pour demain Education, formation, reconversion, création : le web a tous les pouvoirs pour aider les femmes à bâtir et concrétiser leur projet. Lycéennes, étudiantes, professionnelles : les métiers du numérique s'ouvrent aux femmes ! Comment les encourager à saisir toutes ces nouvelles opportunités ? Avec : • Viviane Chaîne-Ribeiro , présidente de la Fédération Syntec, PDG de Talentia Software,

éditeur de logiciels • Agnès Grangé , Déléguée Régionale du Groupe La Poste en Aquitaine, Présidente de

Formaposte Midi Atlantique • Sylvie Mercier , professeur, créatrice de l'université des aidants • Christine OSullivan , IBM, executive architecte, Responsable France du réseau Women in

technology • Céline Patrier , PDG de originby.com Parmi les emplois qui existeront demain, 4 sur 5 n’ont pas encore été inventés : ils dépendent à la fois de nos futurs besoins et des possibilités digitales, qui ne cessent de s’amplifier. La métropole bordelaise compte 7300 entreprises numériques : « le label French Tech serait une bonne occasion de les fédérer, car certaines, très petites, doivent être accompagnées », souligne Viviane Chaîne-Ribeiro, présidente de la Fédération Syntec, qui concerne quelque 80 000 entreprises. D’autant que l’on peut être une simple citoyenne avec une bonne idée, créer une micro-entreprise, et gagner rapidement de l’influence : en témoigne le parcours de Céline Patrier dans la confection de vêtements, dont le passage par un incubateur installé à Darwin « s’est révélé crucial en termes de coaching, notamment pour repérer les outils numériques adéquats et me développer en conséquence». Créer les conditions techniques du numérique, c’est la fonction de Christine O’Sullivan qui, après 25 ans passés chez IBM à divers postes, est aujourd’hui architecte dans le cloud computing : « qui dit web ne dit pas forcément « développement numérique », et il y a toutes sortes de passerelles possibles dans la technologie, y compris pour les femmes. Des réseaux tels que Women In Technology s’attachent à promouvoir cette branche scientifique auprès des jeunes filles ». Les secteurs traditionnels sont tous révolutionnés par le numérique. Exemple : la Poste, concurrencée par la croissance exponentielle des e-mails. Agnès Grangé y voit un formidable challenge : «le rôle de facteur peut par exemple glisser vers celui de médiateur dans les services à la personne » observe celle qui se destinait initialement à une carrière de trader. En effet, avec le vieillissement de la population, le rôle d’accompagnateur et d’aidant, sera fondamental dans les années à venir. C’est sur ce constat que Sylvie Mercier a fondé l’université des aidants : un réseau de formation, d’échanges de pratiques et de conseils. Constat unanime : le numérique n’est ni une affaire de « geeks », ni une affaire d’ « hommes ». Tous les métiers s’y convertissent peu à peu, dont le secteur social, où les femmes sont très représentées. La « formation tout au long de la vie » est la réalité professionnelle de demain. Comprendre les besoins des utilisateurs devient un métier à part entière. Transversalité, créativité : l’univers numérique est un monde sur mesure pour les femmes… alors osez !

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> 15 minutes Flash pour tout savoir • Le Networking au féminin : avec Nathalie Dujardi n, Digitale Attractive, fondatrice de Drôles d’entrepreneurEs Le networking, ou réseautage, permet de faire instantanément connaître son activité aux 4 coins du monde. « Il y a 6 ans, à ma première création d’entreprise, les réseaux sociaux féminins n’existaient pas », se souvient Nathalie Dujardin. Aujourd’hui, on recense dans notre pays près de 450 réseaux féminins, fréquentés par 56% des Françaises. Chaque type de femme peut y trouver des expériences et des problématiques répondant à ses propres interrogations, notamment via les réseaux thématiques - et même solidaires, tels Force Femmes. On y trouve des modèles inspirants, du réconfort, voire des opportunités de collaboration. Nous avons tous des « réseaux » : voisins, amis, amis d’amis, anciens camarades de classe ou collègues. Mais « réseauter » s’apprend ! De plus en plus de réseaux sociaux proposent un accompagnement en ce sens : ne pas hésiter. Quelques conseils : • se demander ce que l’on recherche exactement • privilégier la qualité à la quantité des contacts : « less is the new more » ! • proposer des idées, des services : pour recevoir, il faut donner ! • être régulière, assidue, honnête • Comment gérer son e-réputation ? avec Suzanne Ga ly, animatrice éditoriale web Sur les réseaux sociaux, nous existons à travers les images que l’on poste et les commentaires des internautes. L’e-réputation, c’est un peu le miroir de Blanche-neige : chaque individu court après l’auto-portrait le plus flatteur possible. Or, il importe de construire une image de soi cohérente par rapport à la stratégie visée : sur quel(s) point(s) veux-je paraître positive ? 55% des recruteurs passent les candidats au peigne fin de Google, et 30% d’entre eux ont déjà embauché suite à des traces positives laissées sur internet. D’où l’importance de projeter l’image de soi la plus honnête et la plus fidèle possible d’un site à l’autre : des informations contradictoires brouillent automatiquement la perception de votre personnalité. À noter qu’un guide édité par la Maison de l’emploi aide à la construction d’un espace internet bien pensé. • Le CV digital avec Gabrielle Denis, directrice a ssociée d’Editoile La 1ère qualité d’un Cv en ligne est la cohérence : si dates, photos et informations vous concernant sont concordantes d’un site à un autre, vous avez plus de chances d’apparaître dans les 1ers résultats des moteurs de recherche - qui catalysent 31, 24% des clics. Les principaux outils pour bâtir un CV en ligne : • Linkedin, Viadeo • DoYouBuzz : personnalisable avec portfolio, documents, vidéos… Bien référencé sur Google • Google + (pages profil communautés actives, forums…) • Blogs (à condition d’être assidu) • tumblr : photos, vidéos, docs sous forme de journal personnalisé, facile d’utilisation • slideshare : pour mettre en ligne ses supports d’intervention (cours, powerpoint etc)

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• tweeter : éviter d’utiliser des pseudos (mal perçu) • Scoop.it : pour rediffuser des contenus sur une interface magazine Les 7 points importants à retenir : • créer des profils sur Linkedin, Viadeo et DoYouBuzz, pour toucher différents publics, et n’en investir réellement qu’un seul, en fonction de sa recherche. • remplir toutes les cases, privilégier les mots clés, plus facilement repérables par les moteurs de recherche, et rédiger une présentation courte et personnalisée de votre vision du métier qui vous distinguera de vos homologues • être proactif : partager son actualité, penser à cerner le profil d’une entreprise en consultant les pages de ses employés •partager sa veille sur smartphone en utilisant twitter, scoop.it, feedly. Produire des contenus sans s’éparpiller pour faire ressortir un profil plus « expert » • faire son « personal branding » : publier ses propres contenus, diversifiés et multiples (PPT sur

slideshare, blog sur WordPress pour les rédacteurs aguerris, CV vidéo sur YouTube) • Travailler sa e-réputation : acheter et utiliser des URL à ses nom et prénom (+- 10€/an) en y

associant un mot clé (compétence ou métier). S’auto-googliser régulièrement. • Ne jamais cesser de renseigner son CV, y compris lorsque l’on est en poste (ex : tel mook

obtenu) : il n’est pas rare de changer d’emploi aujourd’hui…