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Caractéristiques générales du système de chauffage Production de chaleur Chaudière Combustible : Mazout Date de fabrication : 01/01/1999 Puissance : 35,808 kW Distribution de chaleur Par eau Par air Émission de chaleur Radiateur Chauffage par le sol, plafond ou mur Systèmes par convection Air Régulation & Programmation Vannes manuelles Vannes thermostatiques Thermostat d'ambiance Sonde de température extérieure Informations disponibles Attestation d'entretien Documentation technique Factures de consommation Remarque(s) S.0. Données et sources des informations Système - CC Adresse du bâtiment : Neuville XXXX, 6690 Vielsalm Date : 12/11/2008 Auditeur (nom, prénom) : Eppe, Jean-Pol Version (logiciel) : 1.0.5

Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

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Page 1: Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

Caractéristiques générales du système de chauffage

Production de chaleur

Chaudière Combustible : MazoutDate de fabrication : 01/01/1999Puissance : 35,808 kW

Distribution de chaleur

Par eauPar air

Émission de chaleur

RadiateurChauffage par le sol, plafond ou murSystèmes par convectionAir

Régulation & Programmation

Vannes manuellesVannes thermostatiquesThermostat d'ambianceSonde de température extérieure

Informations disponibles

Attestation d'entretienDocumentation techniqueFactures de consommation

Remarque(s)

S.0. Données et sourcesdes informations Système - CC

Adresse du bâtiment : Neuville XXXX, 6690 Vielsalm Date : 12/11/2008

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Évaluation Rendement[%]

Installation dans son ensemble 64,0Améliorable

Les performances énergétiques globales du système de chauffage dépendent du rendementdes éléments qui le composent: il faut prendre en compte les rendements de production, dedistribution, d'émission et de régulation.

Rendement de production

86,6

Rendement de distribution

82,8

Rendement d'émission

95,0

Rendement de régulation

94,0

S.1. ÉvaluationSystème - CC

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Les propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent.

Cependant, différentes considérations liées au contexte du bâtiment sont ensuite prises en compte pour orienteravec un maximum de réalisme le demandeur vers les mesures les plus adéquates.

En effet, le coût de réalisation des travaux, la difficulté de mise en œuvre, les projets du maître d'ouvrage et lesinconnues qui pèsent sur certaines estimations, sont appréciés par l'auditeur qui pointe ainsi les projets les pluspertinents. Les calculs qui suivent sont basés sur des hypothèses standardisées de température et de donnéesclimatiques. On tient cependant compte de la consommation réelle du bâtiment pour évaluer l'ampleur deséconomies. Ces économies doivent être regardées comme des ordres de grandeur, les valeurs réelles dépendenten grande partie du comportement des occupants.

Les économies d’énergie présentées ici sont valables pour chaque mesure prise individuellement. En particulierces économies supposent qu’aucune adaptation n’est réalisée au niveau de l’enveloppe du bâtiment.

Vous retrouvez sur la fiche G1 la synthèse des valeurs présentées ici ainsi qu’une estimation des économiesréalisables en combinant l’ensemble des mesures liées à l’enveloppe et à l’installation de chauffage.

Veuillez consulter la fiche G1.2 en ce qui concerne l’interprétation des valeurs reprises ci-dessous.

Conseil n° Portant sur Économie Économie Économies Temps ded’énergie d’énergie estimées retour

[kWh] [%] [€] [année]

1 Isolation des conduits 4.182 11,4 397 0,42 Installation d' un thermostat d' ambiance 1.962 5,3 186 0,83 Entretien brûleur 729 2,0 69 1,14 Prévoir une alimentation permanente en air dans

le local de chauffe0 0,0 0

Évaluation du système de chauffage en situation rénovée

Énergie épargnée Temps de retour[%] [année]

18,1

S.2. Propositionsd'amélioration Système - CC

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Fiches techniques S.3 Système

Ce document contient une première amorce pour formuler des mesures visant à améliorer le système de chauffage. Il faut souligner toutefois qu’une évaluation plus détaillée et la détermination des mesures nécessaires seront idéalement réalisées par l’installateur chauffagiste.

Pour des informations plus détaillées, vous pouvez consulter plusieurs manuels en la matière :

• Manuel pour le placement d’installations de chauffage au mazout, CEDICOL (www.cedicol.be) ; Informazout/CEDICOL, Rue de la Rosée 12, 1070 Bruxelles

• Manuel des applications au gaz naturel, ARGB (www.gasinfo.be) ; ARGB, Rue Rouge 125, 1630 Linkebeek

• Dimensionnement des installations de chauffage central à eau chaude, CSTC (www.wtcb.be) ; CSTC, Av. Pierre Holoffe 21, 1342 Limelette

Introduction

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Fiches techniques S.3 Système

Les prix des différentes mesures varient fortement en fonction de la marque, du moment, du type et des spécifications d’exécution. Il est difficile dès lors de donner des prix par mesure et des observations économiques ont déjà été mentionnées dans les fiches techniques. Le tableau ci-dessous reprend un aperçu général de l’ordre de grandeur des coûts, de la technicité (expertise requise) et des économies réalisables sur le plan énergétique et donc sur le plan des coûts de l’énergie(potentiel).

Production de chaleur

Mesure Coût Technicité Potentiel

Entretien/réglage € XX +

Remplacement du brûleur €€ XXX +

Remplacement installation de chauffage €€€ XXX +++

Clapet d’air dans l’évacuation € XX +

Régulation du brûleur par thermostat d’ambiance € XX ++

Régulation du brûleur par sonde extérieure €€ XXX ++

Canalisations et émission calorifique

Mesure Coût Technicité Potentiel

Isolation € X ++

Fonctionnement de pompe interrompu € XX +

Feuille alu dernière les radiateurs € X +

Système de purge € X(X) -

Système de régulation

Mesure Coût Technicité Potentiel

Vannes thermostatiques € XX +

Système modulaire poêles €€ XX ++

Évaluation économique

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Fiches techniques S.3 Système

DescriptionLe réglage du brûleur consiste essentiellement à régler la pression correcte de la pompe et le surplus d’air adéquat. Une mesure (de préférence constante) des principales caractéristiques de combustion telles que les émissions de CO et CO2, les gaz de fumée, la température de la chaufferie et de la quantité de suie est indispensable pour contrôler le bon réglage.

Dans quels cas cette technique est-elle préconisée ?Appareils de chauffage central au mazout non conformes qui ne remplissent pas les conditions suivantes :• pas de certificat d’entretien en cours de validité • certificat d’entretien datant de plus de 15 mois• certificat d’entretien non conforme à la législation

(POUR PLUS D’INFORMATIONS VOIR FICHE G.3) :

Caractéristiques de combustion selon l’âge de la chaudière

Âge chau-dière

avant 1988 1988 - 1997

1997- aujourd’hui

Bacharach 2 1 1

CO2 % 10 11 12

ηro 85 88 90

Sur les brûleurs à ventilateur aussi, il est possible de régler le surplus d’air, mais ce type d’appareil est peu fréquent sur le marché belge du logement. Les brûleurs/chaudière à gaz atmosphériques ne peuvent pas être réglés. Le réglage est scellé par le fabricant !

Techniques utiliséesPour le réglage correct du brûleur, il convient d’utiliser des appareils de mesure électroniques pour les analyses de fumée nécessaires.

Avantages• Intervention simple au coût limité.• Peut être conjugué à l’entretien annuel obligatoire des

chaudières au mazout.

Inconvénients• En cas de problèmes fondamentaux d’arrivée d’air,

de cheminée ou de choix de combinaison brûleur/chaudière, cette mesure n’apportera pas de solution.

• Nécessite une formation adéquate (technicien qualifié) pour exécution correcte.

Expertise requiseFaire effectuer par un technicien qualifié (en vertu de l’arrêté royal du 06 janvier 1978 tendant à prévenir la pollution atmosphérique lors du chauffage de bâtiments à l’aide de combustible liquide ou solide, le réglage et le contrôle du brûleur doivent obligatoirement être effectués par un technicien qualifié, reconnu à cet effet).

POUR TOUTE INFORMATION COMPLÉMENTAIRE NOUS RENVOYONS À LA LISTE DES DOCUMENTS DISPONIBLES PRÉSENTÉS SUR LA FICHE G.3.

Production de chaleurRéglage du brûleur

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Fiches techniques S.3 Système

DescriptionL’entretien d’une installation de chauffage consiste à nettoyer (enlever les dépôts de poussière, de mazout, de suie ou de goudron) les diverses parties de l’installation, c’est-à-dire le brûleur (ventilateur, gicleur, électrodes, …), la chaudière (échangeur de chaleur, chambre de combustion) et le conduit d’évacuation des fumées (cheminée).

Dans quels cas cette technique est-elle préconisée ?• Chauffage central au charbon et au mazout :

obligatoire annuellement (à réaliser par un technicien agréé) ; le dernier entretien doit être vérifié sur le certificat obligatoire.

• Pour les poêles au charbon et au mazout : non obligatoire, mais recommandé annuellement.

• Pour les appareils au gaz avec brûleur à ventilateur : recommandé chaque année.

• Pour les appareils au gaz avec brûleur à mélange préalable : recommandé tous les 2 ans.

• Pour les appareils atmosphériques au gaz : recommandé tous les 3 ans.

Outils utilisés• Des brosses spéciales sont indispensables pour

certains appareils (échangeur de chaleur, cheminée).

Avantages• Mesure que le propriétaire peut effectuer lui-même

sauf pour le chauffage central au charbon et au mazout.

• Accroît le transfert de l’échangeur de chaleur en éliminant les dépôts de suie.

• Réduit le risque de feu de cheminée.• Améliore l’arrivée et l’évacuation d’air.

Inconvénients• Les résidus qui se libèrent lors du nettoyage de la

chaudière/brûleur et de la cheminée ne sont pas des déchets ménagers ordinaires et doivent en principe être évacués de manière appropriée.

• Dans certains cas, une brosse ordinaire ne suffit pas (ex. élimination du goudron).

Expertise requisePour le chauffage central au charbon et au mazout faire effectuer par un technicien qualifié (en vertu de l’arrêté royal du 06 janvier 1978 tendant à prévenir la pollution atmosphérique lors du chauffage de bâtiments à l’aide de combustible liquide ou solide, le réglage et le contrôle du brûleur doivent obligatoirement être effectués par un technicien qualifié, reconnu à cet effet).Pour les autres types d’installations l’entretien peut être effectué par le propriétaire lui-même. Il existe toutefois une association belge des ramoneurs qui regroupe des spécialistes pour cette tâche.

POUR TOUTE INFORMATION COMPLÉMENTAIRE NOUS RENVOYONS À LA LISTE DES DOCUMENTS DISPONIBLES PRÉSENTÉS SUR LA FICHE G.3.

Production de chaleurEntretien du poêle ou de la chaudière/brûleur

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Fiches techniques S.3 Système

DescriptionSituation de départ : le brûleur est régulé par le thermostat de la chaudière. Nouvelle situation : la chaudière est régulée par le thermostat d’ambiance avec programme hebdomadaire jour/nuit et le thermostat de la chaudière fonctionne uniquement comme limite maximum. Cela nécessite une modification de l’électronique de régulation de l’ensemble chaudière/brûleur.

Dans quels cas cette technique est-elle préconisée ?La régulation du brûleur par le thermostat d’ambiance (le brûleur se coupe quand la température intérieure désirée est atteinte) est indiquée lorsque :• La régulation actuelle du brûleur se fait par le

thermostat de la chaudière ;

• surtout pour les chaudières de plus de 10 ans. Avec les chaudières modernes, l’économie est relativement limitée ;

• pour une chaudière spécialement conçue pour fonctionnement à basse température.

• pour une chaudière à échangeur de chaleur en fonte : la régulation doit être accompagnée d’une limitation inférieure de la température de la chaudière : 60°C pour les chaudières au gaz, 50°C pour les chaudières au mazout ;

• pour les chaudières à échangeurs de chaleur en tôle d’acier, peu d’utilité (en effet, la limite inférieure doit se situer à environ 65°C et 55°C respectivement pour le gaz et le fuel).

Techniques utilisées• Thermostats d’ambiance avec régulation jour/nuit ou

programme hebdomadaire et réglages du brûleur.

Production de chaleurRégulation du brûleur par le thermostat d’ambiance avec programme hebdomadaire jour/nuit

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Fiches techniques S.3 Système

Avantages• La température moyenne de la chaudière est

considérablement réduite, pendant la nuit par exemple ou d’autres périodes durant lesquelles la demande de chaleur est moindre. Les pertes à l’arrêt de la chaudière sont ainsi limitées. La différence de consommation est considérable surtout pour les anciennes chaudières.

• Intervention simple et investissement limité.• Confort accru : température intérieure adaptée au

mode de vie : réduction de jour par exemple pour les ménages où les deux conjoints travaillent, réduction de nuit avec possibilité de réglages pour le week-end (programme hebdomadaire), avec possibilité d’écarts temporaires par rapport au programme.

• Énergie : limitation des pertes de transmission de l’habitation par une température intérieure inférieure avec un investissement limité. Une réduction de 1°C de la température moyenne peut entraîner une diminution de 6 à 8 % de la consommation d’énergie.

Inconvénients• Danger de corrosion selon le type de chaudière

(échangeur de chaleur) avec nécessité d’une limite inférieure de la température de l’eau dans certains cas (voir plus haut).

• Démarrage plus lent des chaudières à grande capacité d’eau parce que l’eau est refroidie à la température du mazout (sans limitation minimum).

• Économies d’énergie limitées pour les chaudières modernes correctement dimensionnées.

• L’installation d’un thermostat d’ambiance et de vannes thermostatiques dans une même pièce n’est pas indiquée. La régulation intermittente de l’installation peut en être la conséquence. Cela signifie que le chauffage s’enclenche et s’éteint à bref intervalle, parce que les 2 systèmes de régulation s’opposent. Cela peut être source de problèmes en fonction de l’importance de l’installation et de l’inertie thermique des pièces.

• L’emplacement du thermostat d’ambiance doit être soigneusement choisi : pas directement exposé au rayonnement solaire, pas à proximité d’une source de chaleur interne ni des portes (courants d’air), pas sur les murs extérieurs, à une hauteur représentative (1,2 m par exemple).

• S’il fait chaud dans la salle de séjour et que le thermostat d’ambiance ne demande plus de chaleur, le brûleur peut s’arrêter et les autres pièces (avec vannes thermostatiques par exemple) ne sont plus chauffées. Certains utilisateurs règlent la question en réglant le thermostat d’ambiance à une température très élevée et en laissant la régulation de toutes les pièces (y compris le living) aux vannes thermostatiques. Il faut signaler toutefois que la chaudière fonctionne alors à température d’eau constante pendant la journée.

Expertise requiseVoir problème de corrosion. Si le thermostat d’ambiance commande le brûleur, il faut s’assurer de la résistance à la corrosion de la chaudière, car la température de l’eau de la chaudière baissera dès qu’il n’y a pas de demande de chaleur. Les basses températures de l’eau peuvent être source de corrosion, notamment dans les chaudières en tôle d’acier. Le choix, l’installation et le réglage corrects du thermostat d’ambiance doivent de préférence être confiés à un installateur qualifié.

POUR TOUTE INFORMATION COMPLÉMENTAIRE NOUS RENVOYONS À LA LISTE DES DOCUMENTS DISPONIBLES PRÉSENTÉS SUR LA FICHE G.3.

Production de chaleurRégulation du brûleur par le thermostat d’ambiance avec programme hebdomadaire jour/nuit

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Fiches techniques S.3 Système

DescriptionDans les locaux non isolés et/ou non chauffés (vide ventilé, cave, grenier non isolé), on place des tubes d’isolation préformés de 2 cm d’épaisseur minimum autour des canalisations du chauffage. Il faut veiller aussi à isoler le mieux possible les vannes, pompes, …

Dans quels cas cette technique est-elle préconisée ?À conseiller dans tous les cas suivants :• les canalisations se trouvent dans des locaux non

chauffés (vide ventilé, grenier non chauffé, cave, garage) ;

• canalisations non isolées ou isolation en très mauvais état ;

• la température de l’eau dans les canalisations est constante (pas de réglage de température variable de l’eau) ; en cas de réglage de température variable (vanne 3 voies automatique ou régulation du brûleur par sonde extérieure), l’effet est moindre.

Matériaux utilisés Coquilles à coller et à emboîtement

AvantagesRéduction des déperditions de chaleur par les canalisations.

InconvénientsL’isolation aux endroits difficilement accessibles (certaines parties du vide ventilé, par exemple) peut coûter cher.

Expertise requiseL’utilisateur peut mettre en place lui-même l’isolation des canalisations en veillant à la bonne finition (raccordement sur le tuyau, des parties de l’isolation entre elles, isolation des vannes, …).

POUR TOUTE INFORMATION COMPLÉMENTAIRE NOUS RENVOYONS À LA LISTE DES DOCUMENTS DISPONIBLES PRÉSENTÉS SUR LA FICHE G.3.

Canalisations et radiateursIsolation des canalisations dans les espaces non chauffés

Page 11: Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

Fiches techniques S.3 Système

DescriptionEn vertu des normes NBN D51-003, NBN B61-001 et NBN B 61002 il faut prévoir une aération supérieure et inférieure. Un contrôle régulier de ces ouvertures non obturables doit être effectué et les grilles doivent être nettoyées si nécessaire.

RemarquePour les locaux abritant des appareils de combustion (poêle) il est également nécessaire de prévoir une ventilation suffisante. Les normes évoquées ci-dessus décrivent en détail les prescriptions relatives à ce type de locaux.

Dans quels cas cette technique est-elle préconisée ?La ventilation correcte de la chaufferie n’est jamais superflue.L’arrivée d’air est indispensable pour :

• les appareils ou poêles atmosphériques non étanches ;

• les appareils installés dans une pièce habitée ;• en cas d’étanchéité élevée des portes et fenêtres.

Avantages• Limitation du risque d’intoxication au CO.• Garantir une combustion optimale (pas de particules

non brûlées).• Fonctionnement impeccable de l’appareil.

Inconvénients Aucun.

Expertise requiseUne expérience et une connaissance approfondie des exigences d’aération pour les chaufferies sont requises.

POUR TOUTE INFORMATION COMPLÉMENTAIRE NOUS RENVOYONS À LA LISTE DES DOCUMENTS DISPONIBLES PRÉSENTÉS SUR LA FICHE G.3.

Amenée/évacuation d’air dans la chaufferieInstallation de grilles d’entrée et d’évacuation d’air + entretien régulier

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Caractéristiques générales du système

Volume de stockage 160 litrePrésence de pommeaux de douche économique nonPrésence d’un chauffe-eau solaire non

Remarque(s)

Évaluation de l’installation existanteÉvaluation Énergie consommée

[kWh/an.personne]

Installation dans son ensemble 1.193Améliorable

Les performances énergétiques globales du système de production d’eau chaude sanitairedépendent du rendement des éléments qui le composent. Il faut prendre et compte lesrendements de production, de stockage et de distribution.

Rendement de production

Rendement de stockage

Rendement de distribution

S.4.1 Évaluation et améliorationeau chaude sanitaire Système - Bâtiment

Adresse du bâtiment : Neuville XXXX, 6690 Vielsalm Date : 12/11/2008

Auditeur (nom, prénom) : Eppe, Jean-Pol Version (logiciel) : 1.0.5

Page 13: Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

Améliorations proposées

Veuillez consulter la fiche G1.2 et ce qui concerne l’interprétation des valeurs reprises ci-dessous.

Conseil n° Portant sur Économie Économie Économies Temps ded’énergie d’énergie estimées retour

[kWh] [%] [€] [année]

Évaluation en situation rénovéeÉvaluation Énergie consommée

[kWh/an. personne]

Installation dans son ensemble 1.193Améliorable

Total des économies réalisables [kWh] 0Total des économies réalisables [%] 0,0

S.4.2 Évaluation et améliorationseau chaude sanitaire Système - Bâtiment

Adresse du bâtiment : Neuville XXXX, 6690 Vielsalm Date : 12/11/2008

Auditeur (nom, prénom) : Eppe, Jean-Pol Version (logiciel) : 1.0.5

Page 14: Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

Fiches techniques S.5 Système

Ce document contient quelques conseils visant à formuler des mesures d’amélioration du système de préparation d’eau chaude sanitaire. Il faut souligner toutefois qu’une évaluation plus détaillée et la détermination des mesures nécessaires seront réalisées de préférence par l’installateur.

Pour des informations plus détaillées, vous pouvez consulter plusieurs manuels en la matière :

• Manuel pour le placement d’installations de chauffage au mazout, CEDICOL (www.cedicol.be) ;

• Manuel des applications au gaz naturel, ARGB (www.gasinfo.be) ; ARGB, Rue Rouge 125, 1630 Linkebeek

• Dimensionnement des installations de chauffage central à eau chaude, CSTC (www.cstc.be) ; CSTC, Av. Pierre Holoffe 21, 1342 Limelette

• Code de bonne pratique pour l’installation des chauffe-eau solaires, CSTC (www.cstc.be) ;

CSTC, Av. Pierre Holoffe 21, 1342 Limelette

Eau chaude sanitaireIntroduction

Page 15: Système - CCLes propositions d'améliorations sont classées par rapport aux économies d'énergie qu'elles entraînent. Cependant, différentes considérations liées au contexte

Fiches techniques S.5 Système

Les coûts des différentes mesures varient fortement selon les marques, le moment, le type et les spécifications d’exécution. Il est difficile dès lors de donner des prix par mesure (cfr. fiches techniques). Le tableau ci-dessous reprend un aperçu général de l’ordre de grandeur des coûts, de la technicité (expertise requise) et des économies d’énergie réalisables (potentiel). Il n’a pas été tenu compte de subventions éventuelles.

Evaluation économique de mesures techniques

Mesure Coût Technicité Potentiel

Besoin en eau sanitaire

Pommeaux de douche économiques €€ XX ++

Production de chaleur

Chauffe-eau solaire €€€ XXX +++

Remplacement de la chaudière €€€ XXX +++

Stockage

Isolation du réservoir de stockage € X ++

Canalisations et débit calorifique

Isolation € X +

Eau chaude sanitaireEvaluation économique