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Tangsudo Le tangsudo (/ , en transcription anglaise : Tang Soo Do, prononcé tangsoudo), « la Voie de la Main de Chine », est un art martial coréen traditionnel. Cet art martial met l'accent sur la discipline et sur la pra- tique de katas et des mouvements d'autodéfense. Hwang Ki, le fondateur de cet art, a affirmé qu'il l'avait créé à par- tir de la lecture de vieux textes de subak (un art martial coréen plus ancien) tandis qu'il a vécu en Mandchourie durant la décennie de 1930. Le karaté japonais et les approches internes chinoises peuvent avoir influencé le Tangsudo. Dans beaucoup d'aspects, le Tangsudo est semblable au karaté et au taekwondo, sauf un très petit accent sur des compétitions sportives. 1 Histoire du tangsudo 1.1 Époque ancienne Le nom Tang su do, qui signifie « la Voie de la Main de Chine », fait référence à la Dynastie Tang qui régna entre 618 et 907. Les techniques chinoises furent incorporées à des techniques coréennes pour créer ce nouvel art martial, lequel ne présente que peu de similarités avec le tangsudo moderne. 1.2 Renaissance moderne Dans la péninsule coréenne, beaucoup d'écoles d'arts martiaux avaient été interdites par l'envahisseur japo- nais durant 35 ans. Les maîtres cependant continuaient d'entraîner des disciples et ils purent, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale développer les arts martiaux coréens modernes. Certains décident de fonder le Tang- sudo moderne. La première école de tangsudo à être ouverte fut celle de Cheongdo-gwan, fondée en 1944 par Lee Won Kuk. Après la libération de la nation coréenne, le 15 août 1945, quatre autres écoles aussi furent ouvertes : Mudeok- gwan, Songmu-gwan, Chido-gwan et Changmu-gwan. Les autres écoles (“gwan”, en coréen) ont été ajoutées à la liste après la fin de la guerre civile entre le Nord et le Sud (1950-1953). En décembre 1955, avec l'approbation du président de République de Corée du Sud, Rhee Singman, une réunion avec les directeurs des principales écoles eut lieu. Le but de cette réunion était d'unifier les différentes écoles, et de donner un nom et une forme à cet art martial national. Le nom ne devrait avoir aucune relation ni avec la Chine, ni avec le Japon (“Tangsu” signi- fie “Main de Chine” et en langue d'Okinawa se prononce “karate”). Parmi tous les noms proposés, il y avait « taekwondo », proposé par le général Choi Hong Hee (Choe Hong-Hi). En 1961, l' « Association Coréenne de Taesudo » est créée. Les écoles Mudeok-gwan (de Hwang Ki) et Ido- gwan (de Byong Yeon-Koe) sont restées ancrées dans la tradition. La nouvelle organisation a démembré l'héritage technique du vieux tangsudo en 1962. Le combat spor- tif avec l'usage de sauts, de coups de pied et de coups de poings ont formé le taesudo brièvement. D'autre part, les techniques de « naegong » (le travail interne, chin. : neikung), qui concernent le contrôle de la respiration, de l'énergie (Ki) et de la concentration mentale, devinrent peu perceptibles. En 1964, l'organisation a changé son nom de nouveau en « Association Coréenne de Taekwon- do ». C'est ce nom qui sera définitivement adopté. En 1966, « la Fédération Internationale de Taekwondo » (ITF) est née. Son but était d'étendre la discipline sur le monde. Son fondateur est le général coréen Choi. En 1971, le taekwondo devient le sport national de la Co- rée du sud par le décret présidentiel du Président Park Chung Hee (Bak Cheong-Hi). En 1973, « la Fédération Mondiale de Taekwondo » (WTF) est née, sous la pré- sidence du Dr Kim Un-Yong, en opposition avec l'ITF. L'ITF, après plusieurs épisodes de changements conti- nuels, obtiendra le soutien de la Corée du nord. Pendant ce temps, le WTF de Kim atteint les Jeux Olympiques : à Séoul, en 1988, à Barcelone en 1992. Ainsi le taekwon- do devient un sport Olympique officiel et non plus un art martial. Les écoles, qui étaient fidèles à tangsudo devait choisir d'émigrer, en s’installant à l'extérieur de la Corée, en Amérique, en Europe, en Afrique Méridionale, etc, pour maintenir inchangé le message des Sages anciens d'Orient. Le grand maître Shin Jae-Chul était un étudiant de cet art et il l'a apporté en États-Unis. Auparavant, le taek- wondo était vraiment devenu populaire. Shin Jae-Chul a commencé la première école de tangsudo à Burling- ton, New Jersey. En 1984 il a fondé la World Tang Soo Do Association, afin d'égaler la popularité du taekwon- do. L'association est basé à Philadelphie, en Pennsylva- nie. Le grand maître Pak Ho-Shik est huitième Dan de tangsudo, et président de la Hwa Rang World Tang Soo Do Federation, dans le Parc de Canoga, en Californie. Il a publié différentes méthodes d'entraînement au tangsudo, y compris des vidéos, des livres et un cd-rom. Son livre “Complete Tang Soo Do Manual (le Manuel Complet de 1

Tang Sudo

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Page 1: Tang Sudo

Tangsudo

Le tangsudo ( / , en transcription anglaise :Tang Soo Do, prononcé tangsoudo), « la Voie de la Mainde Chine », est un art martial coréen traditionnel.Cet art martial met l'accent sur la discipline et sur la pra-tique de katas et des mouvements d'autodéfense. HwangKi, le fondateur de cet art, a affirmé qu'il l'avait créé à par-tir de la lecture de vieux textes de subak (un art martialcoréen plus ancien) tandis qu'il a vécu en Mandchouriedurant la décennie de 1930. Le karaté japonais et lesapproches internes chinoises peuvent avoir influencé leTangsudo. Dans beaucoup d'aspects, le Tangsudo estsemblable au karaté et au taekwondo, sauf un très petitaccent sur des compétitions sportives.

1 Histoire du tangsudo

1.1 Époque ancienne

Le nom Tang su do, qui signifie « la Voie de la Main deChine », fait référence à la Dynastie Tang qui régna entre618 et 907. Les techniques chinoises furent incorporées àdes techniques coréennes pour créer ce nouvel art martial,lequel ne présente que peu de similarités avec le tangsudomoderne.

1.2 Renaissance moderne

Dans la péninsule coréenne, beaucoup d'écoles d'artsmartiaux avaient été interdites par l'envahisseur japo-nais durant 35 ans. Les maîtres cependant continuaientd'entraîner des disciples et ils purent, à la fin de laDeuxième Guerre mondiale développer les arts martiauxcoréens modernes. Certains décident de fonder le Tang-sudo moderne.La première école de tangsudo à être ouverte fut cellede Cheongdo-gwan, fondée en 1944 par Lee Won Kuk.Après la libération de la nation coréenne, le 15 août 1945,quatre autres écoles aussi furent ouvertes : Mudeok-gwan, Songmu-gwan, Chido-gwan et Changmu-gwan.Les autres écoles (“gwan”, en coréen) ont été ajoutées àla liste après la fin de la guerre civile entre le Nord et leSud (1950-1953). En décembre 1955, avec l'approbationdu président de République de Corée du Sud, RheeSingman, une réunion avec les directeurs des principalesécoles eut lieu. Le but de cette réunion était d'unifier lesdifférentes écoles, et de donner un nom et une forme àcet art martial national. Le nom ne devrait avoir aucune

relation ni avec la Chine, ni avec le Japon (“Tangsu” signi-fie “Main de Chine” et en langue d'Okinawa se prononce“karate”).Parmi tous les noms proposés, il y avait « taekwondo »,proposé par le général Choi Hong Hee (Choe Hong-Hi).En 1961, l' « Association Coréenne de Taesudo » estcréée. Les écoles Mudeok-gwan (de Hwang Ki) et Ido-gwan (de Byong Yeon-Koe) sont restées ancrées dans latradition. La nouvelle organisation a démembré l'héritagetechnique du vieux tangsudo en 1962. Le combat spor-tif avec l'usage de sauts, de coups de pied et de coupsde poings ont formé le taesudo brièvement. D'autre part,les techniques de « naegong » (le travail interne, chin. :neikung), qui concernent le contrôle de la respiration, del'énergie (Ki) et de la concentration mentale, devinrentpeu perceptibles. En 1964, l'organisation a changé sonnom de nouveau en « Association Coréenne de Taekwon-do ». C'est ce nom qui sera définitivement adopté.En 1966, « la Fédération Internationale de Taekwondo »(ITF) est née. Son but était d'étendre la discipline surle monde. Son fondateur est le général coréen Choi. En1971, le taekwondo devient le sport national de la Co-rée du sud par le décret présidentiel du Président ParkChung Hee (Bak Cheong-Hi). En 1973, « la FédérationMondiale de Taekwondo » (WTF) est née, sous la pré-sidence du Dr Kim Un-Yong, en opposition avec l'ITF.L'ITF, après plusieurs épisodes de changements conti-nuels, obtiendra le soutien de la Corée du nord. Pendantce temps, le WTF de Kim atteint les Jeux Olympiques : àSéoul, en 1988, à Barcelone en 1992. Ainsi le taekwon-do devient un sport Olympique officiel et non plus un artmartial. Les écoles, qui étaient fidèles à tangsudo devaitchoisir d'émigrer, en s’installant à l'extérieur de la Corée,en Amérique, en Europe, en Afrique Méridionale, etc,pour maintenir inchangé le message des Sages anciensd'Orient.Le grand maître Shin Jae-Chul était un étudiant de cetart et il l'a apporté en États-Unis. Auparavant, le taek-wondo était vraiment devenu populaire. Shin Jae-Chula commencé la première école de tangsudo à Burling-ton, New Jersey. En 1984 il a fondé la World Tang SooDo Association, afin d'égaler la popularité du taekwon-do. L'association est basé à Philadelphie, en Pennsylva-nie. Le grand maître Pak Ho-Shik est huitième Dan detangsudo, et président de la Hwa Rang World Tang SooDo Federation, dans le Parc de Canoga, en Californie. Il apublié différentes méthodes d'entraînement au tangsudo,y compris des vidéos, des livres et un cd-rom. Son livre“Complete Tang Soo Do Manual (le Manuel Complet de

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Page 2: Tang Sudo

2 3 L'ENTRAÎNEMENT EN TANGSUDO

Tangsudo)" fait autorité et couvre toutes les techniquesde la Ceinture Blanche au sixième Dan.

2 Les techniques de combat dans leTangsudo

2.1 Les postures

Il y a beaucoup de postures dans le tangsudo. Cer-tains d'entre elles sont basiques, par exemple “la posturede préparation" ; les autres requièrent plus un équilibre,comme “la posture sur un pied seul” ou “la posture de lagrue”.

2.2 Les techniques basiques

Les techniques basiques sont simples et efficaces. Les étu-diants apprennent toutes les techniques basiques (le blo-cages, les coups de poings, les coups de pied) qu'on peuttrouver dans l'art classique du Tangsudo. Dans les do-jang (le Lieu de la Voie, des écoles de Tangsudo), se sou-ligne “l'art”, non seulement le combat. Les techniques demain impliquent, entre autres, une variété de techniquesdu poing et de “main-couteau” (Sonnal, Sudo). Chacuned'elles a une forme et une application précises, et ellessont utilisés en blocage et en attaque. Le Tangsudo est unart martial qui met l'accent sur les techniques de jambeset la souplesse. Elles sont aussi utilisés pour bloquer etattaquer.

3 L'entraînement en Tangsudo

Dans la méthode traditionnelle, l'étudiant doit apprendretout d'abord les fondements (gibon), puis pratique le com-bat sur un pas (hanbon gyeoreugi) et le combat sur troispas (sambon gyeoreugi). Le combat d'un pas enseignecomme se concentrer, mais le combat de trois pas lui en-seigne comme bouger en avant et en arrière, ainsi quecomment utiliser la distance. Ensemble, ils donnent laconfiance dont l'étudiant a besoin pour bloquer et pourattaquer avec succès en combat libre.

3.1 L'entraînement mental

Les maîtres soulignent l'importance des Principes et leCredo du Tangsudo, les étudiants apprennent la disciplineet le respect. La confiance en soi, la concentration et lecontrôle sont aussi soulignée, parce qu'ils sont les aspectsimportants de la vie quotidienne.

3.2 La pratique des fondamentaux (kibon)

Les étudiants pratiquent les techniques basiques avecdéplacement pratiquement à chaque leçon. Ceci aide àcomprendre la dynamique d'un mouvement et raffine latechnique par la répétition. Les fondations enseignentl'étudiant le bon équilibre et la bonne posture.

3.3 Les formes (hyeong)

Les formes sont les séquences prédéterminées des tech-niques basiques. Les formes dans le tangsudo sont déri-vées de différents styles d'arts martiaux. En effet, la ma-jorité d'elles sont les versions de kata de karaté. Ellesdémontrent l'application de toutes les techniques ba-siques dans une variété de situations. Celui pratiquantde la forme s’imagine se défendant contre plusieurs ad-versaires. Les hyeong sont les modèles réglés de tech-niques que les étudiants pratiquent à tous les niveaux.L'apprentissage des formes augmente la compréhensionet la mémorisation des techniques. Les formes façonnentdes techniques basiques et elles enseignent la stratégie, lestactiques, la synchronisation et l'équilibre. Si le Tangsu-do est traité comme « l'art pour l'art », les formes s’ap-prennent avec facilité et ressemblent un type de dansedans la présentation. À mesure que l'étudiant fait des pro-grès dans la capacité, les hyeong sont devenus plus com-pliqués et deviennent un défi. Les formes sont une partiede l'entraînement de tangsudo qu'un étudiant peut prati-quer avec facilité presque partout.

3.4 Le combat (daeryeon)

Le combat d'entraînement donne l'occasion d'utiliser li-brement toutes les techniques contre un ou quelques ad-versaires. L'auto-contrôle est important. Le moment cor-rect, la position et les méthodes appropriées pour passerà travers les défenses d'un adversaire sont aussi pratiqué.Bien que les casques soient rembourrés, les gants et lesbottes sont disponibles. La règle d'éviter le contact est res-pectée.

3.4.1 Le combat d'un pas (hanbon-daeryeon)

Cet exercice applique les techniques sous forme d'auto-défense contre une attaque connue de manière contrôlée.L'objectif est le développement de ripostes automatiquesconditionnées par une certaine situation. Ils permettentd'apprendre la juste distance et synchronisation, qui sontles deux facteurs cruciaux dans un combat réel. Aussil'assurance et le contrôle sont la partie du procès. Ceciest une manière de pratiquer très contrôlée, sûre, et sanscontact.

Page 3: Tang Sudo

3.5 L'entraînement de auto-défense (hoshinsul) 3

3.4.2 Le combat libre (jayu-daeryeon)

Le combat libre permet de pratiquer les techniques contred'autres dans des conditions contrôlées. L'objectif est dese défendre dans une situation inconnue. Pendant tout cetemps la sécurité est soulignée. Selon l'approche tradi-tionnelle, l'étudiant n'a pas besoin de donner de coup àun sac lourd pour augmenter le pouvoir de ses coups etpour se préparer au combat libre parce que les étudiantspratiquent le contrôle, sans contact. Les étudiants arrêtentleurs coups très près devant leur but. Ainsi, si dans uncombat réel ils décident de frapper la cible, ils peuvent lefaire avec facilité.Selon la théorie traditionnelle, si l'étudiant fait le contactde façon constante, il sera difficile de contrôler ses tech-niques lorsqu'il en aura besoin. Mais s’il pratique toujoursle contrôle, il peut avec facilité choisir de frapper lorsqu'ilen aura besoin. Si l'étudiant fait de manière constante lecontact pendant le combat libre, son esprit deviendra sau-vage. Mais si l'étudiant pratique le combat contrôlé, sonesprit deviendra plus contrôlé. Les deux états de l'espritpeuvent se diffuser dans sa vie quotidienne. Parce quele contact plein est interdit, les étudiants n'ont pas la né-cessité d'utiliser des protections rembourrées résistantes.L'utilisation des gants de boxe et des protections épaissesde pied invitent à frapper fortement. Et quand ils frappenten portant ce genre de protections, ils ne sentent pas sileur technique est correcte. Pour éviter ce problème, lesmaîtres traditionnels doivent opter pour les protectionslégères aux poings et sur le dessus des pieds. Ils et suf-fisent pour empêcher la blessure quand le contact arriveaccidentellement.Selon l'approche moderne, le combat libre ressemble aucombat de kick-boxing. Les étudiants utilisent les gantsde boxe, les protections des pieds et les protections de latête.Si le combat libre est orienté vers la compétition ou lecombat de rue, l'étudiant doit s’efforcer d'améliorer sonendurance. C'est pourquoi il doit avoir de bonnes fonda-tions et de bonnes qualifications de combat sur un pas etsur trois pas ; ils développent l'endurance de l'étudiant.Il n'arrivera pas immédiatement ; cela prend générale-ment deux ou trois mois pour construire l'endurance.L'important, c'est une respiration adéquate. L'étudiantdoit respirer au juste temps quand il frappe et bloque. S'ilretient sa respiration quand il fait une technique, il peutencore faire la technique mais il deviendra graduellementfatigué au fur et à mesure que le temps passe. À la fin, ilperdra sa capacité de continuer. D'autre part, chaque foisqu'il inspire et expire correctement, il prolonge le tempsdurant lequel il peut combattre.

3.5 L'entraînement de auto-défense (ho-shinsul)

Cette activité enseigne à un étudiant la manière de se dé-fendre contre des saisies et des prises. Il contient aussi unenseignement sur la manière de traiter des situations oùil est nécessaire de se défendre sans causer de dommagepermanent à l'attaquant et l'usage de points de pression.Le jayu-daeryeon est parfait pour améliorer la capacitéd'auto-défense. L'étudiant peut combiner toutes les tech-niques : les coups de pied, les coups de poing, les coupsau pied, et les renversements.

3.6 La casse de planches (kyeokpa)

La casse de planches est l'activité préférée de beaucoupd'étudiants et des spectateurs. La casse prouve le niveautechnique des étudiants et aide à comprendre quel effetleurs techniques peuvent avoir sur une cible. Elle est uti-lisée pendant les tests de grade et la sécurité est soulignéeà tout moment. Cette activité enseigne à se concentrer,focaliser l'esprit et viser correctement. Ceci aide aussi lesétudiants à passer les barrières mentales et améliore leurconfiance.

4 Ressources• Trochet, Serge Mudo : les arts martiaux coréens

5 Voir aussi• Soo Bahk Do

6 Liens• (en) Histoire du Tangsudo

• (fr) Les arts martiaux Coréens et le TaekwondoL'histoire d'arts martiaux coréens

• (en) International Tang Su Do Academy

• Portail arts martiaux et sports de combat

• Portail de la Corée

Page 4: Tang Sudo

4 7 SOURCES, CONTRIBUTEURS ET LICENCES DU TEXTE ET DE L’IMAGE

7 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image

7.1 Texte• Tangsudo Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tangsudo?oldid=114923124Contributeurs : Phe-bot, Zetud, Gzen92, FlaBot, NecridMas-ter, Moez, Liquid-aim-bot, Rei-bot, VolkovBot, Ptbotgourou, BotMultichill, Jean.sebastien.bressy, Catalysebot, DumZiBoT, ZetudBot,Insanity tn, ArthurBot, Quakerman76, TKostolany, ZéroBot, MerlIwBot, OrlodrimBot, JYBot, Addbot et Anonyme : 15

7.2 Images• Fichier:Judo_pictogram.svg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/fa/Judo_pictogram.svg Licence : Public do-main Contributeurs : Travail personnel Artiste d’origine : Thadius856 (SVG conversion) & Parutakupiu (original image)

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7.3 Licence du contenu• Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0