N° 1 | JANVIER / FÉVRIER 2017

Union Départementale CGT de Lot-et-Garonne - Bourse du Travail - 9 et 11 rue des Frères Magen - 47000 AGEN - ✆ 05 64 25 01 01 - Mail : contact@udcgt47.fr - Site : www.cgt47.frDirecteur de la publication : Laurent JACQUELIN • N° CPPAP : 1021 S 05925 • Impression : Imprimerie Graphic Sud à Boé

Journal bimestriel de l’Union Départementale CGT de Lot-et-Garonne

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syndicale

Union Départementale CGT de Lot-et-Garonne - Bourse du Travail - 9 et 11 rue des Frères Magen - 47000 AGEN - ✆ 05 64 25 01 01 - Mail : contact@udcgt47.fr - Site : www.cgt47.frDirecteur de la publication : Laurent JACQUELIN • N° CPPAP : 1021 S 05925 • Impression : Imprimerie Graphic Sud à Boé • N° 1 • Janvier/Février 2017 | 1 • N° 1 • Janvier/Février 2017 | 6

SOMMAIREÉDITORIAL ..................................................................................................p 1STEICO en lutte ! ...............................................................................p 2Elections professionnelles chez Creuzet ........p 2Travailleurs sociaux dans l’Administration Pénitentiaire .................................................................................................p 3Dernière minute ......................................................................................p 3Les Assises de l’Industrie............................................................p 3Sondage .............................................................................................................. p 4-5Communiqué TPE ..............................................................................p 6Epinglé de fin d’année 2016 .................................................p 6

Après les primaires de la droite, 2017 s’ouvre avec celles du parti socialiste et des écologistes.Rien de bien nouveau à proposer aux salariés : pas d’augmentation du SMIC, pas de contraintes liées aux aides aux entreprises, pas de grandes réformes nécessaires qui devraient répondre aux besoins de salariés.Cela ne doit pas nous surprendre ! N’avons-nous pas entendu un ancien ministre se plaindre de ne pouvoir mettre d’argent de côté avec des revenus supérieurs à 5 100 € par mois ?Ces gens sont complétement déconnectés de la réalité et peuvent même agir en totale impunité.Madame Lagarde, patronne du FMI, déclarée coupable de négligence mais dispensée de peine par la cour de justice de la république.Le tribunal d’Amiens vient de rendre son verdict dans le procès en appel des Goodyear :Une relaxe totale pour l’un des huit ex-salariés et des peines de prisons avec sursis jusqu’à 12 mois pour les sept autres, avec une mise à l’épreuve de cinq ans et l’inscription au casier judiciaire :Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour

vous rendront blanc ou noir (La Fontaine).

C’est dans ce contexte que nous attendons le délibéré de la cour d’appel d’Agen dans l’affaire qui nous oppose au député Costes.Les camarades de Steico à Casteljaloux sont toujours en lutte contre le nouveau plan de licenciement de 9 salariés. Près de 200 personnes étaient présentes lors de la manifestation du samedi 7 janvier.

Aujourd’hui, 13 janvier 2017, dernière journée de vote pour les élections dans les TPE. L’Union Départementale remercie tous les camarades, toutes les unions locales qui se sont investi(e)s dans cette longue campagne pour que la CGT reste 1ère organisation syndicale et représentative pour les salariés.

Je terminerai par souhaiter, au nom de l’Union Départementale de Lot-et-Garonne, nos meilleurs vœux de luttes, de résistances, de conquêtes à tou(te)s les adhérentes et adhérents.

Laurent JACQUELIN, Secrétaire Général

ÉDITORIAL

AGENDAFORMATION SYNDICALE

Du 24 au 26 janvier : formation professionnell9 février : Evolutions du droit du travail

2 et 3 mars / 13 et 14 mars / 27 et 28 mars : Outils du trésorierDu 6 au 10 mars : Niveau 1 UL Villeneuve

5 et 6 mars : Accueil UL Marmande9 et 10 mars : Accueil UL Agen

Du 13 au 17 mars : Eco/CEDu 20 au 24 mars : CHSCT

Du 27 au 31 mars : Conseillers du Salarié

DATES À RETENIR22 février : Assises nationales sur l’Industrie

2 mars : AG Institut d’Histoire Sociale 13 juin : Congrès de l’Union Syndicale des Retraités

19 et 20 octobre : Congrès de l’UD

Adhésions COGITIEL 2016 : 119

L’ÉPINGLÉ DE FIN D’ANNÉE 2016

L’expression de la démocratie n’est pas chose qui va de soi pour tout le monde ! Un de nos camarades qui distribuait des informations sur les élections TPE dans la commune de Laroque Timbaut peut en témoigner.

En voulant déposer les tracts explicatifs dans l’établissement « VELLARD » il s’est vu expulsé « manu militari » et injurié par la personne présente dans ce magasin. On devine que c’était le patron.

Ce citoyen doit penser que casser ou intimider du militant CGT était chose normale !!! Je vous laisse deviner ce que deviendraient nos libertés si des personnages de cet acabit (ou ceux qui les représentent) avaient le pouvoir... !

Jean-Pierre Salabert

Militant de l’Union Locale de l’Agenais

« VELLARD » AIME LES ELECTIONS DANS LES TPE !

L’Union Locale CGT de l’Agenais se mobilise depuis la fin de l’été pour aller à la rencontre des salarié-es des Très Petites Entreprises (TPE), pour les informer et les convaincre de voter lors des élections professionnelles qui devaient se dérouler du 28 novembre 2016 au 12 décembre 2016.

Le gouvernement a fait le choix de reporter ces élections sur une période peu propice à une échéance électorale : du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017, témoignant du mépris pour les 4 millions de salarié-es concerné-es.

Pour autant, la CGT continue d’occuper le terrain et informer les 25 000 salarié-es du département malgré le manque d’engagement du pouvoir politique pour favoriser ce moment démocratique.

Grâce à la bienveillance des mairies d’Aiguillon, de Laroque Timbaut, du Passage d’Agen, de Roquefort et de Port Sainte Marie, nous avons pu afficher sur des panneaux électoraux de l’information visant à faire voter les salarié-es. Certaines mairies, que nous ne qualifierons pas, nous opposant une impossibilité règlementaire. D’autres ne jugeant pas utile de répondre à notre demande axée pourtant sur la nécessité d’un affichage «propre» et digne de la Campagne de ces Élections Professionnelles.

Le 5 janvier au matin, malgré les frimas de l’hiver, plus de 20 militants se sont encore déployés sur des entrées d’agglomération pour informer jusqu’au bout les salarié-es et les inciter à s’emparer de ce qui constitue leur seul outil de représentation syndicale.

Cet engagement est un acte politique fort de la CGT qui continuera d’occuper le terrain auprès de tous les salarié-es.

Philippe LAPEYRÈRESecrétaire Général Union Locale CGT de l’Agenais

TPE : Communiqué de l’Union Locale CGT de l’Agenais 4. Je suggère à des collègues la lecture d’un article du journal : Toujours Souvent Parfois Jamais

5. J’aimerais voir s’ajouter une nouvelle rubrique à La Vie Syndicale : Oui Non

Si oui, de quel genre ?

6. Il m’arrive de revenir sur un ancien numéro pour consulter : Oui Non

7. Certains articles peuvent me conduire ou m’ont conduit à modifier mon opinion : Oui Non

8. Mon appréciation globale pour l’ensemble du magazine : Très satisfaisante Satisfaisante Peu satisfaisante Pas du tout satisfaisante

9. Chaque numéro me donne envie de lire le prochain numéro ? Oui Non

10. Comment je préfère lire la Vie Syndicale ? Par voie postale Par envoi sur ma boîte mail Consultable sur le site de l’UD

11. Mes remarques :

Salle comble le 8 décembre pour la 1ère diffusion du film LA SOCIALE aux Montreurs d’Images à Agen. Nous vous recommandons d’aller voir ce film dans les prochaines projections des cinémas du département !

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A l’automne 2015, ainsi qu’au printemps 2016, deux plans de

licenciements sur la base du volontariat ont conduit 18 salariés vers

la porte de sortie de l’usine STEICO de Casteljaloux, s’ajoutant à la

vingtaine d’ouvriers intérimaires remerciés juste avant cette période.

Novembre 2016, au moment où le marché du bâtiment pour les

panneaux isolants que nous fabriquons remonte et que nous devons

honorer des nouvelles commandes providentielles, la direction du

site nous annonce une nouvelle vague de 9 licenciements pour des

motifs économiques et de restructuration du personnel.

Il est absolument intolérable d’imposer la précarité pour les licenciés

alors que la situation du groupe est excellente et qu’en cette fin

d’année les actionnaires du groupe STEICO vont encore se partager

des millions d’euros de bénéfices !!!

Affaibli par le manque d’investissements, on voit mourir à petit feu

notre site de Casteljaloux tandis que STEICO préfère remplir ses

usines flambant neuves de Pologne représentant 60 millions d’euros

d’investissement ces 2 dernières années et 45 millions en 2017.

Il faut noter que suite aux différents mouvements de grève les

remontrances de la direction allemande dans des communiqués

sont humainement dégradantes à notre encontre : exemple : « NE

MORDEZ PAS LA MAIN QUI VOUS NOURRIT », entre autres. Nous

sommes des salariés, pas leurs chiens !!

Quel avenir nous réservent ces actionnaires qui ne nous respectent

pas ?

Toutes les statistiques démontrent que pour 1 emploi industriel

sacrifié, ce sont 4 emplois induits qui disparaissent.

Quel avenir pour l’activité des commerçants, des artisans, des

services publics si l’emploi continue à disparaître !

La CGT se bat au quotidien auprès des salariés. [Extraits du tract

CGT Steico]

Le 7 janvier, près de 200 personnes étaient présentes à la manifestation a l’appel de la CGT.

La CGT a demandé aux élus politiques présents (Maire, Conseiller Général, Conseiller régional, secrétaire d’Etat) de prendre leurs responsabilités pour sauver les emplois et l’outil de travail.

Dernières nouvelles : STEICO aurait « trouvé » 7 volontaires sur 9 pour se faire licencier... et les 2 restants : 2 syndiqués CGT dont le secrétaire du CE… Une table ronde aurait lieu le 26 janvier 2017.

Laurent JACQUELIN

Dans le prolongement de leur victoire sur les salaires en avril 2016,

les salariés de l’entreprise Creuzet/ Lisi Aéronautique à Marmande

ont donné leur confiance à la CGT aux élections professionnelles des

17 novembre et 1er décembre 2016.

En effet, la CGT Creuzet reste largement majoritaire affichant un

résultat de 65%. Près de 75% au CE 1er collège avec une progression

de + 3 % aux dépens de la CFDT. La CGT garde le poste de secrétaire

du CE. Une confiance accordée par les salariés grâce à un travail de

tous les jours sur le terrain. Déjà majoritaire au mandat précédent,

malgré un petit nombre de syndiqués, le syndicat a toujours

fonctionné le plus démocratiquement possible. Pendant le conflit du

mois d’avril, toutes les décisions importantes ont été prises sur le

parking, à mains levées, par les salariés présents aux assemblées

générales provoquées par notre seul syndicat. C’est ce qui nous

renforce ! Même si nous voulions que plus de salariés y participent

car nous n’avons jamais eu la totalité, forcément, avec des horaires

de travail en 3x8, c’est toujours un peu compliqué. Mais, il s’est avéré

plusieurs fois que nos choix décidés collectivement respectent la

volonté de la majorité du personnel.

La dernière lutte a été payante ; lors des NAO, 6 jours de grève 24h

sur 24 animée par la seule CGT pour une augmentation générale de

27 € nets pour tous, mais surtout pour dénoncer les conditions de

travail dues au « Lean Manufacturing », à un management exécrable

dans certains secteurs. Les salariés se sont soudés et ont bien

compris le sens de la lutte collective. Pour une majorité, beaucoup de

jeunes, c’était une première !

Ce mouvement a marqué les mémoires. Le nombre de syndiqués a

quasiment doublé ainsi que le nombre de candidats dans nos listes

pour les élections.

Nous saluons l’élection d’un camarade au 3ème collège, et d’une

femme au 1er collège comme déléguée du personnel. Une première

dans l’histoire de notre entreprise que nous avons fêtée en Assemblée

de syndiqué(e)s le 2 décembre en présence de l’UL, de l’UD et de la

Fédération ! Un bel élan de prise de conscience de l’ensemble des

salariés pour construire l’avenir !

Mickaël ORSINIDélégué Syndical CGT Creuzet Marmande

STEICO EN LUTTE !

ELECTIONS PROFESSIONNELLES CHEZ CREUZET : NOUVEAU SUCCES POUR LA CGT !

L’administration pénitentiaire (AP) affiche depuis 1945 une double mission : la garde et la réinsertion. La mission de garde est confiée aux personnels de surveillance, celle de réinsertion relève des Services Pénitentiaires d’Insertion et de Probation (SPIP) créés en 1999.Cette administration dirige l’ensemble des travailleurs sociaux (TS) auparavant répartis sur deux services : ceux travaillant en détention et ceux accompagnant les libérés.Les SPIP, au nombre de 103, ont une compétence départementale et se composent de TS, de personnels administratifs et de direction. Les TS interviennent en milieu « ouvert » (hors détention) ou en milieu «fermé» (dans les prisons, 187 établissements au 1/01/2016). Cette administration qui compte 37 800 agents ne comporte que 5 000 personnels d’insertion et de probation, 3 000 sont des travailleurs sociaux.Élément d’importance, les personnels de l’AP sont soumis au statut spécial, hérité de 1958 qui prive les agents du droit de grève et de garanties disciplinaires en cas de contestation.

Les TS réalisent un accompagnement socio-éducatif auprès des personnes détenues et celles à l’extérieur – maintien des liens familiaux, préparation à la sortie par l’organisation de permissions pour rencontrer un employeur potentiel, accompagnement à l’adaptation aux évolutions de la société après une longue détention ou travail sur les addictions pour sortir de la délinquance.

Vis à vis du magistrat mandant (juge d’application des peines ou juge d’instruction), le TS a un rôle d’aide à la décision judiciaire : il n’est ni avocat ni accusateur dans ses comptes rendus au juge. Parfois les objectifs assignés par la justice sont trop difficiles à atteindre pour la personne condamnée et elle reviendra devant le tribunal, cette nouvelle condamnation sera l’occasion de réfléchir avec la personne sur ce qui s’est passé pour qu’il n’y ait pas réitération d’un acte délinquant. Souvent, ce sont l’âge, une stabilité affective et une certaine confiance en ses capacités professionnelles qui sont les clés d’un terme de la vie délinquante.Il s’agit donc avant tout de relations humaines, de communication, d’éducation et surtout de temps, facteur essentiel d’accompagnement, ce dont malheureusement les TS disposent le moins compte tenu de charges de travail démesurées.

Au 1/10/2016, il y a 68 514 personnes incarcérées, le taux de sur-occupation est donc de 117% (seules les maisons d’arrêts sont surpeuplées, les autres établissements ont un numerus clausus).En parallèle aux personnes détenues se trouvent celles condamnées mais soumises à une restriction de leurs droits dans le cadre d’une mesure de justice de milieu ouvert, soit un peu moins de 190 000 personnes. Ainsi, selon les lieux, les travailleurs sociaux peuvent avoir jusqu’à 190 personnes à accompagner – rendant quasi impossible tout travail de qualité.

Créé à l’automne 2014, le Collectif Insertion Probation représente les syndicats constitués dans les SPIP.Eu égard à l’évolution et à la complexification de notre métier depuis plusieurs années (forte inflation de la réponse pénale amenant de nombreuses lois), l’accès à la catégorie A est une juste reconnaissance statutaire et indemnitaire de ce qu’est devenu notre travail au quotidien.En décembre 2015, alors que les personnels de surveillance et administratifs obtiennent une revalorisation de leur prime, les personnels d’insertion et de probation sont « oubliés ». Devant cette inégalité flagrante, les services se sont mobilisés sur l’ensemble du territoire.Privés du droit de grève, nous ne pouvons que faire celle du zèle et nous avons été nombreux à refuser d’obéir à des ordres, aujourd’hui, une centaine de collègues se sont vus signifier la retenue d’un trentième de leur traitement pour « service non fait ou mal fait ».

Cette mobilisation historique a rassemblé plus d’un millier de travailleurs sociaux dans la rue le 10/5/2016, soit un tiers de la profession et, enfin, les 22 et 26/7/2016, nous avons signé avec le garde des sceaux puis le président de la république un protocole d’accord, actant notamment une revalorisation indiciaire, l’accès à la catégorie A, les négociations devant commencer en janvier 2017.

Au comité technique du 18/10/2016, le nouveau directeur de l’administration pénitentiaire nous annonce le report du protocole car la priorité est à la lutte contre la radicalisation. Il est donc temps, selon lui, de surveiller tout et tout le monde. Les travailleurs sociaux doivent faire du renseignement et signaler des personnes radicalisées ou en voie de l’être !!

Sans nier la gravité du contexte actuel, nous alertons le gouvernement depuis plusieurs mois sur les lourdes atteintes aux libertés individuelles, qui remettent en cause les fondements mêmes de notre démocratie et nous nous opposons fermement à la torsion forcée de notre métier vers celui d’agent de renseignement.

Comment notre travail, basé sur la confiance que nous créons avec les personnes suivies, est-il possible si tout ce qui nous est confié, sous le sceau du secret professionnel, est répété sans aucune connaissance de l’usage qui pourrait être fait de ces informations et aucun discernement?

Au vu de l’orientation actuelle du gouvernement soi-disant de gauche et de ce qui se profile à l’horizon de mai 2017, nous ne pouvons être que très inquiets sur le devenir de notre métier de travailleur social mais cela ne nous empêchera pas de continuer à lutter pour nous faire entendre.

Eglantine BOURGOGNONSecrétaire nationale Collectif CGT Insertion Probation

Quelle reconnaissance des travailleurs sociaux dans l’Administration Pénitentiaire ?Nous voulons faire en sorte que notre journal « La Vie Syndicale » réponde aux besoins de nos syndiqués. Pour ce faire, nous devons en apprendre davantage notamment ce dont vous avez besoin comme informa-tion, comment vous utilisez le journal, et comment nous pouvons l’améliorer. Vos remarques et suggestions nous sont utiles.Le questionnaire auquel nous vous demandons de bien vouloir répondre, ne vous prendra que quelques minutes. Merci de le retourner par courrier ou par mail (voir coordonnées en bas de page). Vous pouvez également y répondre sur le site www.cgt47.fr

Avec nos remerciements, Fraternellement.

1. Je trouve :a. Le choix des sujets Très intéressant Intéressant Peu intéressant Pas du tout intéressant b. Le contenu des articles Très intéressant Intéressant Peu intéressant Pas du tout intéressant c. Le style Très satisfaisant Satisfaisant Peu satisfaisant Pas du tout satisfaisant

2. Je trouve la présentation graphique :a. Moderne Tout à fait d’accord D’accord Pas d’accord Pas du tout d’accord b. Agréable Tout à fait d’accord D’accord Pas d’accord Pas du tout d’accord c. Claire Tout à fait d’accord D’accord Pas d’accord Pas du tout d’accord

3. Je lis La Vie Syndicale : A chaque fois que je la reçois Dès que je vois un article qui m’intéresse Dans mon syndicat Pas très souvent Jamais

SONDAGE SUR LE JOURNAL LA VIE SYNDICALE

Les Assises de l’Industrie Le 22 février 2017 à la Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris)La CGT ambitionne de réunir 1 000 militant(e)s afin de redynamiser sa campagne pour

reconquérir l’industrie dans notre pays en lien avec le développement des services publics.Non, la désindustrialisation, les délocalisations en France comme en Lot-et-Garonne ne

sont pas une fatalité !Les exonérations sociales, le CICE sont contre-productifs pour l’emploi.Les projets alternatifs, les propositions en matière de diversification portés par la CGT et

les salariés sont à prendre en compte comme nous l’avons fait chez Metaltemple, Tarkett et

continuons à les porter chez Steico Casteljaloux, Gascogne Wood et d’autres.Les Assises nationales lanceront une grande mobilisation coordonnée en territoire le 21

mars « le Printemps de l’Industrie ».Pour préparer les Assises et la mobilisation, l’UD a décidé d’organiser une rencontre des

syndicats des entreprises industrielles et des Services Publics le : Mardi 14 février à 14 heures dans les locaux de l’UD Fernand GONZALEZ, Bureau de l’UD

Dernière minute

DÉLIBÉRÉ DE LA COUR D’APPEL D’AGEN LE 19 JANVIER 2017 :

SUITES PROCÈS CGT/JEAN-LOUIS COSTES

La Cour d’appel d’Agen vient de confirmer le jugement du Tribunal Correctionnel du 13 juin 2016.

En résumé, il y a reconnaissance de la diffamation dans les propos de Jean-Louis Costes mais ce

dernier est relaxé au nom de la sacro-sainte liberté d’expression élargie que peut avoir un député.

Nous ne sommes pas logés à la même enseigne face à la justice. D’un côté, il y a les affaires de la

giffle de Valls, les GoodYear... et de l’autre côté, il y a les scandales Lagarde et maintenant Costes !

La Cour d’Appel a donc rejeté les 2 appels :

- le nôtre cherchant à faire condamner Jean-Louis Costes notamment par des dommages et intérêts,

- celui de Costes qui voulait effacer le caractère diffamatoire du premier jugement.

En concertation avec leur avocat, Me Laurent BRUNEAU, le syndicat Métaltemple, l’UD CGT 47 et

la FTM CGT, vont examiner rapidement les suites à donner. Une conférence de presse aura lieu.

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