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Le pool publicitaire et éditorial regroupant le canton de Neuchâtel, Bienne et le Jura bernois Prix et prestations 2013

Tarifs Arcpresse 2013

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arcpresse 2013

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Page 1: Tarifs Arcpresse 2013

Le pool publicitaire et éditorial regroupant le canton de Neuchâtel, Bienne et le Jura bernois

Prix et prestations 2013

Page 2: Tarifs Arcpresse 2013

Cette région a du succès

Les produits imaginés et développés ici sont reconnus et réputés dans le monde entier. A l’heure des nanotechnologies, la région Arc Presse doit sa réussite à son génie historique de la précision et de la miniaturisation. Les talents qui permettent aux merveilles horlogères de naître et de rayonner de Pékin à New York sont également à l’origine des succès actuels de la région Arc Presse dans les biotechnologies, la micro-électronique et les technologies médicales. Ce succès se retrouve chez les 107 000 lecteurs d’Arc Presse, consommateurs actifs qui investissent dans les loisirs, la mode, la mobilité, l’habitat et l’électronique.

Page 3: Tarifs Arcpresse 2013

L’avenir nous appartient

De Louis Chevrolet à Le Corbusier, la région Arc Presse n’a jamais manqué de génies visionnaires. Aujourd’hui comme hier, l’un des atouts de cette région réside dans sa capacité à allier les innovations les plus radicales à une tradition ancestrale. La recherche fondamentale universitaire se marie aux réalités du marché, ainsi qu’en témoignent les investissements récents des plus grands noms de l’économie mondiale. Terre de contraste, la région Arc Presse a modelé ses habitants à son image: résolument tournés vers l’avenir, conscients de leur valeur, attentifs à leur qualité de vie. Avec un concept éditorial et graphique entièrement renouvelé, Arc Presse vous assure une pénétration sans égale dans une région essentiellement urbaine de plus de 210 000 habitants.

Page 4: Tarifs Arcpresse 2013

Données médias Valable dès le 1.1.2013

Tirages (REMP 2012) 42 087 ex. 12 364 ex. 9 945 ex. 19 778 ex.

Sommes des lecteurs (REMP 2012-2) 116 000 38 000 24 000 54 000

Structure du lectorat SexeHommes 50% 49% 50% 54%Femmes 50% 51% 50% 46%

Age14–34 ans 27% 31% 29% 23%35–54 ans 36% 31% 38% 37%55 ans et plus 37% 38% 33% 40%

Revenu du ménage< de Fr. 4000.– 19% 21% 16% 21%de Fr. 4000.– à Fr. 8000.– 44% 45% 52% 39%Fr. 8000.– et plus 37% 34% 32% 41%

Conditions générales ASSPConditions générales régissant les relations entre annonceurs et sociétés suisses de publicité ASSP (www.publicitas.ch).

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Page 5: Tarifs Arcpresse 2013

Région Arc Presse

Pénétration nette:

Pénétration ZE 13: 55%Pénétration districts Jura Bernois etLes Franches-Montagnes: 44%Pénétration agglomération Neuchâtel: 53%Pénétration agglomération Bienne (fr): 47%Pénétration agglomération La Chaux-de-Fonds: 61%

Zones de diffusion Valable dès le 1.1.2013

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Page 6: Tarifs Arcpresse 2013

Tarification publicitaire Valable dès le 1.1.2013 Annonces Volume minimal Prix/mm Prix/mm Prix/mm en mm noir/blanc noir + 1 couleur quadrichromieAnnonces couleur: 200 mm / noir/blanc 2 col. 30 mm Fr. 2.65 Fr. 3.98 Fr. 5.30Réclames 1 colonne 35 mm Fr. 11.16 Fr. 16.74 Fr. 22.32Annonces offres d’emploi 140 / 2100 / 3200 mm Fr. 3.401 Fr. 4.932 Fr. 6.463

Annonces Samedi emploi-cadre 140 / 2100 / 3200 mm Fr. 3.721 Fr. 5.412 Fr. 7.093

Annonces immobilières 140 / 2100 / 3200 mm Fr. 3.071 Fr. 4.452 Fr. 5.833

Annonces sous-texte Hauteur min. 70 mm/max. 220 mm Fr. 3.71 Fr. 5.56 Fr. 7.42Annonces satellites et multi-angulaires Fr. 3.71 Fr. 5.56 Fr. 7.42Annonces panoramiques Min. 14 colonnes 100 mm Fr. 2.65 Fr. 3.98 Fr. 5.30

Formats fixes catégorie «Annonces» Format noir/blanc noir + 1 couleur quadrichromie1/2 page 288 mm x 218 mm Fr. 5 700.– Fr. 8 300.– Fr. 10 450.–1/1 page 288 mm x 440 mm Fr. 10 900.– Fr. 16 000.– Fr. 20 250.–2/1 page (panoramique) 607 mm x 440 mm Fr. 24 500.– Fr. 33 400.– Fr. 41 900.–

Rabais sur le chiffre d’affaires sur une période de 12 mois Echelons en Fr. Rabais en % Echelons en Fr. Rabais en %

Fr. 5 000.– 3% Fr. 150 000.– 15%Fr. 10 000.– 4% Fr. 175 000.– 16%Fr. 15 000.– 5% Fr. 200 000.– 17%Fr. 20 000.– 6% Fr. 250 000.– 18%Fr. 25 000.– 7% Fr. 300 000.– 19%Fr. 30 000.– 8% Fr. 400 000.– 20%Fr. 40 000.– 9% Fr. 500 000.– 21%Fr. 50 000.– 10% Fr. 750 000.– 22%Fr. 65 000.– 11% Fr. 1 000 000.– 23%Fr. 80 000.– 12% Fr. 1 500 000.– 24%Fr. 100 000.– 13% Fr. 2 000 000.– 25%Fr. 125 000.– 14% Fr. 2 500 000.– 26%

Les rabais sur le chiffre d’affaires et de répétition ne sont pas cumulables.

Rabais de répétition sur une période de 12 moisNombre de parutions Rabais en %

3x 2,5% 6x 5%13x 10%26x 15%52x 20%

Bénéficient du rabais de répétition les annonces qui paraissent plusieurs fois dans un intervalle de 12 mois, sans changement de format (changement de sujet possible qu’avec livraison d’un matériel plein). L’ensemble des dates doit être connu avant la première parution. Le changement de texte pour les annonces offres d’emploi et immobilières n’est pas admis, même avec la livraison d’un matériel plein.

Suppléments

Emplacement prescrit + 20% du prix brutDate fixe + 20% du prix brutTaxe sous-chiffre Fr. 40.–

Commissions (non cumulables)

CC 5%RACHA 5%

Rabais et suppléments

TVA en sus

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Page 7: Tarifs Arcpresse 2013

Emplacements spéciaux Valable dès le 1.1.2013

TVA en suspage 6

Bandeau Pavé haut droite Réclame - Page 2 Réclame

Der 1er cahier Réclame Réclame

Une Forum 1re page 2e cahier

Magazine Economie La Der

Format 280 x 50 mm 43 x 60 mm min. 1 colonne 50 mm/ 3 col. 60 mm / 2 col. 60 mm max. 2 colonnes 80 mm noir/blanc Fr. 3500.– Fr. 1075.– Fr. 11.16/mm Fr. 1630.– / Fr. 1090.–noir + 1 couleur Fr. 3500.– Fr. 1075.– Fr. 16.74/mm Fr. 1630.– / Fr. 1090.–quadrichromie Fr. 3500.– Fr. 1075.– Fr. 22.32/mm Fr. 1630.– / Fr. 1090.–

Format min. 1 colonne 60 mm/ 3 colonnes 60 mm max. 2 colonnes 100 mm noir/blanc Fr. 11.16/mm Fr. 1630.– noir + 1 couleur Fr. 16.74/mm Fr. 1630.– quadrichromie Fr. 22.32/mm Fr. 1630.–

vous invitent à l’ouverturede leur nouveau magasinle samedi 19 février 2011à la rue du Seyon 26 à NeuchâtelCorrado Prospero tél. 032 727 15 00

&

Le fisc n’oublie pasde taxer les indemnités

BOUDRY Stella Ficot a dépassé la cinquantaine. Déjà mère, elle souhaite offrir unbébé à son mari de 37 ans. Le don d’ovocyte - insémination d’ovules d’une autrefemme - étant interdit en Suisse, le couple s’est rendu à Prague. Eclairage. PAGE 7

CASINOLa dépendanceau jeu peutcoûter très cherà la société

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SUISSEBerne prépareune nouvelleentorse ausecret bancaire

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L’union peutfaire la forceà la MaladièreLa passation de pouvoirs à Neuchâtel

Xamax se dessine avec des contours tou-jours plus nets. Daniel Knöpfel, aidé parun investisseur européen, pourrait re-prendre le club à Sylvio Bernasconi. Cen’est pas encore fait mais les négocia-tionsontdebonneschancesdeseconcré-tiser ce printemps. Avec l’accord etl’appui de l’entrepreneur des Geneveys-sur-Coffrane, qui apprécie le sérieux del’offre du directeur des garages Facchi-netti. Un point essentiel car sans SylvioBernasconi, Xamax n’existerait plus ouvégéterait en ligues inférieures. Il n’estpas inutile de le rappeler à tous les «’y aqu’à» à la critique facile. Avec l’argentdes autres…Mais le président actuel s’en est lui-

même rendu compte: pour progresserencore, le club a besoin de sang, d’idéeset de fonds neufs. Et un apport financierde l’étranger ne doit pas effrayer ceuxqui, à La Chaux-de-Fonds, Lausanne ouGenève,n’ontpasgardédegrands souve-nirs des passages d’Antonio Tacconi,Waldemar Kita ou autreMarc Roger.L’investisseur en question ne serait pas

tout-puissant. La direction serait claire-ment suisse avecPascalZuberbühler à lavice-présidence. Et Walter Gagg, quis’est officiellement retiréde lacourseà laprésidence, reste à disposition, du hautdeson infinieexpérience internationale.Tout comme Sylvio Bernasconi, prêt àfaciliter la transition en aidant, si besoinest, financièrement Xamax sur trois ansencore.Une succession en douceur, dans l’uni-

té avec des forces vives qui s’addition-nentau lieudesecombattre.Unrêvequipourrait bientôt devenir réalité.L’investisseur en question ne serait pas

tout-puissant. La direction serait claire-ment suisse avecPascalZuberbühler à lavice-présidence. Et Walter Gagg, quis’est officiellement retiréde lacourseà laprésidence, reste à disposition, du hautdeson infinieexpérience internationale.Tout comme Sylvio Bernasconi, prêt àfaciliter la transition en aidant, si besoinest, financièrement Xamax sur trois ansencore.Une succession en douceur, dans l’uni-

té avec des forces vives qui s’addition-nent au lieu de se combattre.

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L’ÉDITOEMANUELE [email protected]

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5° 12°

MÉTÉO

Rue de la Pierre-à-Mazel 39, 2002 Neuchâtel / Tél. 032 723 53 00 ■ Abonnements 032 723 53 90 – E-mail: [email protected] ■ Rédaction 032 723 53 01 – Fax 032 723 53 09 – E-mail: [email protected] ■ Annonces 032 729 42 42 – E-mail: neuchâ[email protected]

A 52 ans, elle part se faireinséminer à Prague

VENDREDI 18 FÉVRIER 2011 | www.arcinfo.ch | N0 000 | CHF 2.50/� 1.60

MONDIAUX

La dernièrecourse

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MÔTIERSL’élevage detruites étaitillégal

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NEUCHÂTEL XAMAX Daniel Knöpfel a trouvé un investisseur pour son projet PAGE 23

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PUBLICITÉ

ENERGIZER Une employée licen-ciée l’an dernier témoigne: elle adû consacrer la moitié de sonindemnité à payer ses impôts.

TAUX PLUS DOUX étroitement liéesau 2e pilier, les conditions pourbénéficier d’un taux préférentielsont draconiennes.

DÉFISCALISATION Pour le fisc,tout revenu doit être imposé,sous peine de créer de nouvellesinéquités. PAGE 3

L'EXPRESS VENDREDI 18 FÉVRIER 2011

16 MAGAZINE

CHRISTINE SAVIOZ

Il est demandé partout. Il a été reçu sur le plateau de Canal Plus, a fait la une du «Monde», sans compter tous les médias romands. Avec «Le philosophe nu», son dernier livre, Alexan-dre Jollien (35 ans) a pris sa place. Une grande place. Sans doute n’aimera-t-il pas lire cela. Car l’homme se veut plu-tôt modeste. Enfi n, il essaie de ne pas se laisser emporter par le tourbillon et de garder les pieds sur terre. «Je vise une vie plus intérieure», lance-t-il en souriant, l’air serein dans son appartement de Lausanne.

De la pièce d’à côté montent les cris de joie de ses deux enfants, Victorine (6 ans) et Augustin (4 ans). Deux petits bouts de chou pleins de vie qui comblent Alexandre Jollien. «Avant cette interview, nous avons été pique-niquer avec eux. Pour moi, vivre mon rôle de père de famille à fond, c’est très important», souligne-t-il.

Contourner la routineL’homme apprécie tout ce

qu’il a reçu de la vie. L’amour de sa femme, celui de ses enfants et de ses amis. «L’amour au quotidien, c’est un apprentissage de l’acceptation de l’autre tel qu’il est. C’est ne pas se laisser détruire par la routine, par les préjugés et voir sa femme tous les jours comme si c’était la première fois. Je m’emploie à être dans l’instant présent, sans être nostalgique ni ligoté au futur.» Vivre ici et maintenant, le leit-motiv du trentenaire. Il avoue y parvenir par la méditation notam- ment.

Pour éviter de se retrouver dans le tourbillon des passions. «La passion, c’est la fasci- nation amoureuse, la colère, la tristesse, la joie... C’est ce qui fait le sel de la vie mais qui peut nous conduire à un enfer quand on est trop attaché, quand la haine nous assèche...», souligne Alexandre Jollien.

Lui-même a expérimenté la jalousie. Quand il voit un beau jeune homme, il avoue l’envier. Envier son corps. Il a osé le dire dans son dernier livre, «le plus diffi cile à écrire, car le plus intime». Alexandre Jollien se dit encore en proie avec la jalousie, alors qu’il est adulé par les médias et les lecteurs de ses bouquins. «La jalousie apparaît davantage maintenant qu’il y a moins de lutte. J’ai remarqué qu’il faut autant de travail intérieur quand tout va bien que quand tout va mal.»

Et puis, même s’il a du suc-cès en librairie, le trentenaire doit toujours affronter la moquerie des gens. Quand il prend le métro ou le bus à Lau-sanne. Quand il marche dans la rue. Quand il emmène ses enfants à l’école comme n’im-

porte quel autre papa. Mais Alexandre Jollien a expliqué son handicap à ses enfants qui le vivent bien. Il leur enseigne aussi à vivre la joie au quoti-dien. Comme lui s’efforce de le faire. Car l’homme est conscient que l’on peut se gâcher le plaisir de l’instant, tout seul. En ima-ginant tout à coup un malheur qui pourrait arriver aux siens. En se disant que tout peut s’ar-rêter. «On se sabote trop sou-vent.» En imaginant tout à

coup un malheur qui pourrait arriver aux siens. En se disant que tout peut s’arrêter. «On se sabote trop souvent.» A l’aide de la méditation, Alexandre Jol-lien a de moins en moins peur de tout perdre. «Si on vit dans l’instant présent, on n’est plus ra- vagé par l’angoisse. Ce n’est pas forcément la philosophie des livres et la théorie qui soignent, mais juste l’expérience de l’aban-don.» L’exercice se fait cha- que jour pour lui. Il se donne

le temps de méditer. Pour évi-ter de laisser les sentiments passionnels – la colère, le jalousie,.. tout peut s’arrêter. «On se sabote trop souvent.» A l’aide de la méditation, Alexan-dre Jollien a de moins en moins peur de tout perdre. «Si on vit dans l’instant présent, on n’est plus ra- vagé par l’angoisse. gagner du terrain. «Il ne faut pas attendre d’être en pleine mer pour apprendre à nager. On nous fait croire que le bonheur est

soit de troubles de la motricité. En raison de ce handicap, il est placé dès l’âge de 2 ans dans l’institut Notre-Dame de Lour-des à Sierre. Il y restera jusqu’à ses 20 ans. «Cela a été un arra-chement à la famille, c’était très douloureux». Les blessures ne guériront jamais. «Il faut juste les accepter». Pour Alexandre Jollien, rien ne sert de vouloir guérir ce qu’on n’a pas reçu dans le passé. «Parce que pen-dant qu’on essaie de guérir du passé, on se coupe du présent.»

«Mais vous voulez vraiment pas un café?», demande-t-il soudain, réitérant une de- mande faite en début d’entre-tien. Il est comme ça, Alexan-dre. Son esprit est vif et re- vient sans cesse à la réalité concrète du moment. «Eh bien pourquoi pas après tout?», s’en-tend-t-on lui répondre.

Et quand Corinne, la femme d’Alexandre, arrive dans le bureau avec des tasses de café fumantes et des calissons, on se dit que c’est ça, le bonheur au quotidien… Ex eriuscincil ullum in ut vero commodi-gnibh ea cor alismol estrud magna facillut e guérir ce qu’on n’a pas reçu r il ut ing eugait alismol estr tien. Il est esprit est vif et re- vient sans cesse à la réalité concrète du moment. «Eh bien ud magna facillut aut vero dipsum dolo-bor il esequat. Cum eu facin ulput la facipsusto corerci nci-pit wiscil dolor susto alismol estrud magna odignim.

dans la possession ou dans le paraître, mais j’essaie de revenir à l’intériorité.»

L’éloge de l’abandonEssayer. Alexandre Jollien

utilise souvent ce mot. Pour malicieux et un humour omni-présent – sans doute sa plus grande force. Soudain, sa fi lle Victorine passe devant le bureau en paradant dans une robe de princesse rose fuchsia. Elle virevolte, rigole, court, rejointe bientôt par son petit frère Augustin. Une bonne odeur de viande en sauce se diffuse peu à peu dans l’appar-tement. Tout respire la vie familiale harmonieuse. Tout ce qu’Alexandre Jollien n’a pas pu connaître dans son enfance.

Né avec le cordon ombilical serré autour de son cou à la naissance, il souffre d’athétose,

ALEXANDRE JOLLIEN Rencontre dans son appartement à l’ambiance harmonieuse.

« Ne pas attendre d’être en mer pour apprendre à nager »

Le philosophe nu, éditions du Seuil, 394 pages, 25 francs

INFO+

La passion, c’est la fascination amoureuse, la colère, la tristesse, la joie… C’est ce qui fait le sel de la vie mais qui peut nous conduire à un enfer quand on est trop attaché, quand la haine nous assèche…» PATRICK FELLAM «TÊTE PENSANTE» DE CHARLOTTE PARFOIS

1975 Naissance d’Alexandre Jollien de la Planta à Sierre le 26 novembre. Etranglé par son cordon ombilical à sa naissance, il souffre de troubles moteurs.

1977 Il est séparé de ses parents et reste à l’institut Notre-Dame de Lourdes jusqu’à ses 20 ans.

1993 Il s’inscrit dans une école de com- merce pour «assurer ses arrières» et apprendre un métier.

1997 Il entre au collège.

1999 Il publie son premier ouvrage, «Éloge de la faiblesse».

2004 Il obtient une li- cence en lettres à l’Université de Fribourg. La même année, sa fi lle Victorine voit le jour

2006 Naissance de son fi ls Augustin

2010 Sortie du « Philosophe nu »

PROFIL

vous invitent à l’ouverturede leur nouveau magasinle samedi 19 février 2011à la rue du Seyon 26 à NeuchâtelCorrado Prospero tél. 032 727 15 00

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Le fisc n’oublie pasde taxer les indemnités

BOUDRY Stella Ficot a dépassé la cinquantaine. Déjà mère, elle souhaite offrir unbébé à son mari de 37 ans. Le don d’ovocyte - insémination d’ovules d’une autrefemme - étant interdit en Suisse, le couple s’est rendu à Prague. Eclairage. PAGE 7

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Xamax se dessine avec des contours tou-jours plus nets. Daniel Knöpfel, aidé parun investisseur européen, pourrait re-prendre le club à Sylvio Bernasconi. Cen’est pas encore fait mais les négocia-tionsontdebonneschancesdeseconcré-tiser ce printemps. Avec l’accord etl’appui de l’entrepreneur des Geneveys-sur-Coffrane, qui apprécie le sérieux del’offre du directeur des garages Facchi-netti. Un point essentiel car sans SylvioBernasconi, Xamax n’existerait plus ouvégéterait en ligues inférieures. Il n’estpas inutile de le rappeler à tous les «’y aqu’à» à la critique facile. Avec l’argentdes autres…Mais le président actuel s’en est lui-

même rendu compte: pour progresserencore, le club a besoin de sang, d’idéeset de fonds neufs. Et un apport financierde l’étranger ne doit pas effrayer ceuxqui, à La Chaux-de-Fonds, Lausanne ouGenève,n’ontpasgardédegrands souve-nirs des passages d’Antonio Tacconi,Waldemar Kita ou autreMarc Roger.L’investisseur en question ne serait pas

tout-puissant. La direction serait claire-ment suisse avecPascalZuberbühler à lavice-présidence. Et Walter Gagg, quis’est officiellement retiréde lacourseà laprésidence, reste à disposition, du hautdeson infinieexpérience internationale.Tout comme Sylvio Bernasconi, prêt àfaciliter la transition en aidant, si besoinest, financièrement Xamax sur trois ansencore.Une succession en douceur, dans l’uni-

té avec des forces vives qui s’addition-nentau lieudesecombattre.Unrêvequipourrait bientôt devenir réalité.L’investisseur en question ne serait pas

tout-puissant. La direction serait claire-ment suisse avecPascalZuberbühler à lavice-présidence. Et Walter Gagg, quis’est officiellement retiréde lacourseà laprésidence, reste à disposition, du hautdeson infinieexpérience internationale.Tout comme Sylvio Bernasconi, prêt àfaciliter la transition en aidant, si besoinest, financièrement Xamax sur trois ansencore.Une succession en douceur, dans l’uni-

té avec des forces vives qui s’addition-nent au lieu de se combattre.

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A 52 ans, elle part se faireinséminer à Prague

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20 ECONOMIE

Bonhôte-Arbitrage 11303.00 1.1

Bonhôte-BRIC 147.84 0.7

Bonhôte-Immobilier 115.90 -0.4

Bonhôte-Monde 138.90 4.4

Bonhôte-Obligations 105.31 1.1

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ALIMENTATION Le numéro un mondial a réalisé une performance solide,notamment grâce à la vente d’Alcon au groupe pharmaceutique Novartis

Nestlé a réalisé un bénéficede 34,2 milliards en 2010ALEXANDRE BEUCHAT

Nestlé a réalisé l’an dernierune performance solide. Le nu-méro un mondial de l’alimenta-tion a vu son bénéfice net bon-dir et est parvenuàaccroître sonchiffre d’affaires malgré la forcedu franc et la volatilité du prixdesmatières premières.Le groupe a multiplié par plus

de trois son bénéfice net à 34,2milliards de francs. Un bond quis’explique par la vente de la par-ticipationrestantedans le leadermondial des produits ophtalmo-logiques Alcon au groupe phar-maceutique bâlois Novartis.Sans cette cession, qui a rappor-té 24,5milliards de francs, le ré-sultat ressort cependant en re-cul de 6,7% à 9,7 milliards. Lechiffre d’affaires a lui augmentéde 2% pour s’inscrire à 109,7milliards.Considérées à l’aune des seules

activités poursuivies (sans Al-con), les ventes s’affichent à104,6 milliards (+4%), pourune croissance organique de6%. L’effet des taux de change adiminué les ventes de3,8%, tan-dis que les acquisitions, nettesdes cessions, y ont contribuépour 1,8%.

Pas de recette magiquePaulBulcken’a pas caché sa sa-

tisfaction hier. «Nous avons réa-lisé de bons résultats dans unenvironnement qui n’est pour-tant pas simple», a souligné lepatron de Nestlé. Les incertitu-des se sont aggravées ces derniè-res années, a-t-il reconnu. Laforce du franc fait partie desnombreux défis à surmonter.Les effets monétaires ont ainsipesé à hauteur de 4 milliards defrancs,anoté lechefdes financesJim Singh.Nestlé ne dispose pas de re-

cettemagiqueàcetégard.«C’estau-delà de notre zone d’in-fluence», a-t-il ajouté. Le groupeprofite toutefois de sa diversifi-cation géographique. Certaines

devises des marchés émergentsse sont renforcées, précise JimSingh.Nestléestaussi confrontéà lavolatilitéduprixdesmatièrespremières. Selon Paul Bulcke, iln’y a pas de réponse unique àcette question. Il faut être atten-tif aux tendances de fond, or latendance actuelle est à lahausse, a relevé le Belge. Nestléentend ainsi assurer son appro-visionnement à long terme pardes investissements massifs. Legroupe mise également sur l’in-novation et la lutte contre le gas-pillage.

Nespresso en croissanceLamultinationale vaudoise bé-

néficie en tout cas de la large as-sise de sa croissance. Toutes lesrégions et secteurs d’activité ontaffiché une hausse de leurs ven-tes.Unefoisdeplus,Nespressoa

réalisé une croissance impres-sionnante malgré la concur-rence. Lamarque a franchi pourla première fois l’an passé le capdes 3milliards de francs de chif-fre d’affaires, à 3,2 milliards,grâce à une croissance organi-que de plus de 20%. Nestlé en-tend également tirer profit dudynamismedes pays émergents,qui représentent 80% de la po-pulation mondiale. «D’ici 2020un milliard de consommateurssupplémentaires entreront dansl’économie réelle, il y a là un po-tentiel de développement im-

portant», a ajouté Paul Bulcke.Fort de cette performance, legroupe va une nouvelle foischoyer ses actionnaires. Le con-seil d’administration va propo-ser lors de la prochaine assem-blée générale une hausse dudividende de 15,6% à 1fr.85.Le patron du groupe alimen-

taire vaudois Nestlé, PaulBulcke, a vu sa rémunérationaugmenter l’an dernier. Il a tou-ché au total près de 10,6 mil-lions de francs, contre unmon-tant d’un peu plus de 10millions en 2009. Le présidentdu conseil d’administration,Peter Brabeck, a pour sa partperçu une rémunération totalede 8,3 millions de francs, aprèsun montant de 7,5 millions en2009. Son salaire de base estresté au même niveau, à 1,6million.

Ces prochaines années, Nestlé entend tirer profit du dynamisme des pays émergents, qui représentent 80%de la population mondiale... et un milliard de consommateurs supplémentaires. [KEYSTONE]

MATIÈRES PREMIÈRESGéants minierstoujours plus richesLes géants mondiaux du secteurminier ont enregistré une envoléespectaculaire de leurs bénéficesen 2010. Profitant à plein de lanouvelle flambée des matièrespremières, ils restent optimistespour la suite, encouragés par lacroissance effrénée de l’Asie. Legéant anglo-australien Rio Tintoet l’anglo-sudafricain AngloAmerican ont quasiment tripléleurs profits annuels, à 14,3 et 6,5milliards de dollars. Le groupesuisse Xstrata a quant à luimultiplié ses bénéfices par sept à4,7 milliards de dollars. A côté, lesrésultats 2010 du numéro unmondial, l’anglo-australien BHPBilliton, semblent presquemédiocres, avec une hausse deseulement 72% de son bénéfice,à 10,5 milliards. Cette mannedevrait permettre une hausse desinvestissements.

ÉLECTRICITÉLéger reculdu bénéfice pourAlpiq en 2009L’entreprise Alpiq, dont le siègeprincipal se trouve à Neuchâtel, apâti l’an dernier de la faiblesse del’euro et de la baisse des prix surle marché de l’électricité. Legroupe énergétique né de lafusion entre Atel et EOS(Electricité Ouest Suisse) a affichéun bénéfice consolidé en recul de4,6% par rapport à l’exercice 2009,à 645 millions de francs.

Le chiffre du jour

3,2 milliards de francs: la marqueNespresso a connu une croissanceorganique de 20%.

LE CHIFFRE

8,3millions de francs,c’est la rémunération

du président Peter Brabecken 2010.

EN IMAGE

SPORTS D’HIVERUn coup de pouce pour remonter la pente Le Conseilfédéral a pris mercredi une série de mesures pour lutter contre leseffets de la cherté du franc.Il a notamment décidé de libérer 12millions de francs de plus par an pour la promotion touristique dela Suisse en 2011 et 2012. Le décalage entre l’évolution des tauxde change et celle de la demande touristique pénalise la branche,fait valoir le gouvernement. [KEYSTONE)

DEVISES BILLETS

Change achat vente achat venteavec CHF 1

j’achète

Euro (1) 1.3568 1.0959 1.3568 1.0959 0.77 EUR

Dollar US (1) 1.0959 1.0788 1.0959 1.0788 0.878 USD

Livre sterling (1) 1.6248 1.3568 1.6248 1.3568 0.585 GBP

Dollar canadien (1) 1.0788 1.3568 1.0788 1.3568 0.888 CAD

Yens (100) 1.3568 14.2752 1.3568 14.2752 79.14 JPY

Cour. suédoises (100) 14.2752 1.3568 14.2752 1.3568 6.60 SEK

INDICESSLI ß1005.4 134%NASDAQ COMP. ƒ1005.4 134%DAX 30 ß1005.4 134%SMI å1005.4 134%SMIM ß1005.4 134%

DJ EuRo Stoxx 50 ß1005.4 134%FTSE 100 ß1005.4 134%SPI ß1005.4 134%Dow Jones ∂1005.4 134%CAC 40 ß1005.4 134%Nikkei 225 ©1005.4 134%

MARCHÉ SUISSE (cours en CHF)SMI 21/6 préc. haut bas

(52 semaines)ABBLtd N 21.39 20.73 24.08 15.52Actelion N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Adecco N 337.80 320.60 346.30 161.00CS Group N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Holcim N 21.39 20.73 24.08 15.52Julius Baer N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Lonza Group N 337.80 320.60 346.30 161.00Nestlé N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Novartis N 21.39 20.73 24.08 15.52Richemont P 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Roche BJ 21.39 20.73 24.08 15.52SGS N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Swatch Group P 337.80 320.60 346.30 161.00Swiss Re N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Swisscom N 21.39 20.73 24.08 15.52Syngenta 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Synthes N 337.80 320.60 346.30 161.00Transocean N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00UBS N 21.39 20.73 24.08 15.52Zurich FS N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70

AUTRES 21/6 préc. haut basVALEURS (52 semaines)Alpiq Hoding N 21.39 20.73 24.08 15.52BC Bernoise N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70BC du Jura P 337.80 320.60 346.30 161.00BKW/FMB Ener. 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Cicor Tech N 21.39 20.73 24.08 15.52Feintool N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Komax 337.80 320.60 346.30 161.00Meyer Burger N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Mikron N 21.39 20.73 24.08 15.52OC Oerlikion N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Petrolus N 21.39 20.73 24.08 15.52PubliGroupe N 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Schweiter 337.80 320.60 346.30 161.00Straumann N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Swatch Group N 21.39 20.73 24.08 15.52Swissmetal P 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Tornos Holding N 337.80 320.60 346.30 161.00Valiant N 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Von Roll P 21.39 20.73 24.08 15.52Ypsomed 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70

FOND/FONDATION DE PLACEMENT SWISSCANTO

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MARCHÉS ÉTRANGERS 21/6 préc. haut bas

(52 semaines)Autodesk (�) 21.39 20.73 24.08 15.52Bulgari (�) 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Baxter ($) 337.80 320.60 346.30 161.00Celgene (�) 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Johnson & J. ($) 21.39 20.73 24.08 15.52LVMH (�) 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70

21/6 préc. haut bas (52 semaines)Movado (�) 21.39 20.73 24.08 15.52Nexans ($) 1531.00 1506.00 1539.00 1167.70Philip Morris ($) 337.80 320.60 346.30 161.00PPR (�) 1695.00 1727.00 2162.00 1640.00Stryker ($) 21.39 20.73 24.08 15.52

dernier % 1.1.10

(CH) BF CHF ...................................... 186.32 ................................. -5.2(CH) BF Conv. Intl. ......................... 265.98 ................................... 0.4(CH) BF Corp H CHF ......................... 95.52 ................................. -3.8(CH) BF Corp EUR .......................... 356.64 .................................... 7.8(CH) BF Intl ........................................ 186.32 ................................. -5.2(CH) Commodity A ....................... 265.98 ................................... 0.4(CH) EF Asia A .................................... 95.52 ................................. -3.8(CH) EF Emer. Mkts A ................. 356.64 .................................... 7.8(CH) EF Euroland A ........................ 186.32 ................................. -5.2(CH) EF Europe ............................... 265.98 ................................... 0.4(CH) EF Green Inv A .................... 186.32 ................................. -5.2(CH) EF Gold ..................................... 265.98 ................................... 0.4(CH) EF Intl ............................................ 95.52 ................................. -3.8(CH) EF Japan .................................. 356.64 .................................... 7.8(CH) EF N-America ....................... 186.32 ................................. -5.2(CH) EF Sm&MC Swi. .................. 265.98 ................................... 0.4(CH) EF Switzerland ....................... 95.52 ................................. -3.8(CH) EF Tiger A ................................ 356.64 .................................... 7.8(CH) EF Value Switz. ................... 186.32 ................................. -5.2(CH) SMI Index Fd ........................ 265.98 ................................... 0.4(CH) SPI Index Fd .......................... 186.32 ................................. -5.2(LU) BI Med-Ter CHF ................... 265.98 ................................... 0.4(LU) BI Med-Ter EUR ...................... 95.52 ................................. -3.8(LU) BI Med-Ter USD ................... 356.64 .................................... 7.8

dernier % 1.1.10(LU) EF Climate B .......................... 186.32 ................................. -5.2(LU) EF Sel Energy B .................. 265.98 ................................... 0.4(LU) EF Sel HealthC ..................... 186.32 ................................. -5.2(LU) EF Sel Intl B ........................... 265.98 ................................... 0.4(LU) EF Sm&MC NAm ................... 95.52 ................................. -3.8(LU) EF Sel Tech B ........................ 356.64 .................................... 7.8(LU) EF Water B .............................. 186.32 ................................. -5.2(LU) MM Fd AUD ........................... 265.98 ................................... 0.4(LU) MM Fd CAD .............................. 95.52 ................................. -3.8(LU) MM Fd CHF ............................ 356.64 .................................... 7.8(LU) MM Fd EUR ........................... 186.32 ................................. -5.2(LU) MM Fd GBP ........................... 265.98 ................................... 0.4(LU) Sic. II Bd CHF ........................ 186.32 ................................. -5.2(LU) Sic. II Bd EUR ........................ 265.98 ................................... 0.4(LU) Sic. II Bd USD ........................... 95.52 ................................. -3.8Eq. Top Div Europe ...................... 356.64 .................................... 7.8Eq Sel N-Amerca B ..................... 186.32 ................................. -5.2Eq Sel Europe B ............................ 265.98 ................................... 0.4Bond Inv. AUD B ............................... 95.52 ................................. -3.8Bond Inv. CAD B ............................ 356.64 .................................... 7.8Bond Inv. CHF B ............................ 186.32 ................................. -5.2Bond Inv. EUR B ............................ 265.98 ................................... 0.4Bond Inv. GSP B ............................ 186.32 ................................. -5.2Bond Inv. JPY B .............................. 265.98 ................................... 0.4Bond Inv. USD B ............................... 95.52 ................................. -3.8Bond Inv. Intl. B ............................. 356.64 .................................... 7.8Ifca .......................................................... 186.32 ................................. -5.2Ptf Income A .................................... 265.98 ................................... 0.4Ptf Income B .................................... 186.32 ................................. -5.2Ptf Yield B .......................................... 265.98 ................................... 0.4Ptf Yield EUR A .................................. 95.52 ................................. -3.8Ptf Yield EUR B ............................... 356.64 .................................... 7.8Ptf Balanced A ................................ 186.32 ................................. -5.2Ptf Balanced B ................................ 265.98 ................................... 0.4Ptf Bal. EUR A .................................. 186.32 ................................. -5.2Ptf Bal. EUR B .................................. 265.98 ................................... 0.4Ptf GI Bal. A .......................................... 95.52 ................................. -3.8Ptf GI Bal. B ....................................... 356.64 .................................... 7.8Ptf Growth A ..................................... 186.32 ................................. -5.2Ptf Growth B 265.98 0.4Ptf Growth A EUR ............................ 95.52 ................................. -3.8Ptf Growth B EUR ......................... 356.64 .................................... 7.8Ptf Equity A ....................................... 186.32 ................................. -5.2Ptf Equity B ....................................... 265.98 ................................... 0.4Ptf GI Eq. A EUR ............................. 186.32 ................................. -5.2Ptf GI Eq. B EUR ............................. 265.98 ................................... 0.4Valca ......................................................... 95.52 ................................. -3.8LPP 3 Portfolio 10 .......................... 356.64 .................................... 7.8LPP 3 Portfolio 25 .......................... 186.32 ................................. -5.2LPP 3 Portfolio 45 .......................... 265.98 ................................... 0.4LPP 3 Oeko 45 .................................... 95.52 ................................. -3.8

TAUX DE RÉFÉRENCE (en%)dernier préc

Rdt oblig. CH 10 ans ............................. 1.65 ...............................1.61Rdt oblig.US 30 ans .............................. 4.15 .............................. 4.14Rdt oblig. CH 10 ans ............................. 1.65 ...............................1.61Rdt oblig.US 30 ans .............................. 4.15 .............................. 4.14Rdt oblig. CH 10 ans ............................. 1.65 ...............................1.61

MATIÈRES PREMIÈRESdernier préc

Prix du brut (NYME $ par baril) .................... 1.65 ..................1.61Huile de chauffage par 100 litres ............ 4.15 ................. 4.14Prix indicatif 3000 6000 litres

OR ARGENT PLATINE

Métaux achat vente achat vente achat vente

Once/USD 1371.2 1375.2 30.7 30.9 1823 1848

Kg/CHF 42628 42878 952.9 964.9 56645 57645

Vreneli 20.- 244 274 - - - -

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L'EXPRESS VENDREDI 18 FÉVRIER 2011

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ÉNERGIE VERTEUn challengepour l’industrieJeme rappelle avoir lu un articlequi proposait d’investir dans despanneaux photovoltaïques lesquelquesmilliardsde francsdes-tinés au nucléaire pour produirel’électricité du futur. En cou-vrant lamoitié des toits disponi-bles en Suisse par des panneauxphotovoltaïques et en amélio-rant le rendementdesusineshy-drauliques et des appareils con-sommateurs, on pourrait sepasser du nucléaire. Une idéeextraordinaire! Mais attention,une loi fédérale devrait alorsobliger les Suisses àmettre à dis-position leurs toits pour lemon-tagedecespanneaux.Lesorgani-sations de protection dupatrimoine architectural vonts’opposer avec raison à ces pan-neaux peu esthétiques, défigu-rant déjà quelques toits de mai-son par-ci par-là.Solution: l’industrie suisse doitcréer des panneaux photovoltaï-ques en forme de tablettes ayantune texture similaire à une cou-verturepardes tuiles.Ces tablet-tes, ayant par exemple une sur-face de 2m2, devraient pouvoirêtre posées directement sur lelattage existant après l’enlève-ment des tuiles. Ces panneauxd’une apparence soignée, ser-vantà la fois à l’étanchéitédutoitet à la production d’électricité,pourraient être combinés avecdes tuiles conventionnelles afindepasser inaperçus.Chaque toitphotovoltaïque serait connectéau réseau électrique par un con-vertisseur dont la fabrication se-rait également intéressantepourdes entreprises suisses. Ce nou-veau type de panneaux photo-voltaïques pourrait donc êtremonté même dans les centres

historiques des villes, sans pro-voquer ni le soulèvement desprotecteurs de l’environnement.

Pierre Eberli, Colombier

HOOLIGANISMEComportementde mauviettesUn article relatant quelqueséchanges de politesse entre lesforces de l’ordre et des suppor-ters sédunois attira toute monattention. D’abord parce que lavoiture qui figurait sur la photoaccompagnant le texte est lamienne et ensuite parce que lecontenu de l’article me fit meposer cette question pour laénième fois: «Quand est-ce quenos autorités vont arrêter de secomporter comme desmauviet-tes face à ces abrutis?» Bienqu’ils aient épargné mon véhi-cule, le texte précisait qu’il yavait pour des dizaines de mil-liers de francs de dégâts dans lesecteur et que personne n’avaitété interpellé. Plus loin, on lisait

également que ces mêmes sup-porters avaient saccagé un ma-gasin de la gare avant de repren-dre tranquillement le train. Si jene savais pas depuis longtempsqu’il n’y a que les automobilistesqui aient à craindre la répressionpolicière, je me serais sûrementpincé pour vérifier que je ne rê-vais pas. Jusqu’où va-t-on des-cendre dans le laxisme, la fai-blesse, voire la lâcheté? Il estpourtant simple de mettre unterme rapide et presque définitifà ces déprédations systémati-ques, il suffit de sanctionner lesresponsables plutôt que de tou-jours taxer le contribuable. C’estundevoirdecitoyendepayer sesfactures,mais un droit de ne paspayer celles des autres. Imagi-nonsque sur200courageuxma-nifestants encagoulés et enivréscausant pour 100000 fr. de dé-gâts, la police en arrête quatre etqu’une fois au poste, on leur an-nonce simplement qu’ils de-vront s’acquitter chacun d’unedette de 25000fr. s’ils ne dési-rent pas croupir en prison plu-sieurs mois, il y a deux choses

dont je suis sûr: ils ne recom-menceront pas et les 196 autrescasseurs iront vomir leurs bièreset leurhainedansuneautre villejusqu’à ce qu’elles adoptent en-fin toutes la même politiqueferme et juste envers ces parasi-tes.Il est aberrant de constater quel’onparle toujoursdepréventionen matière de circulation rou-tière et que c’est toujours la ré-pression qui est appliquée, alorsque l’on parle de répression enmatière dedélits et qu’on se con-tente de prévention sommaire.Enfin, pour ma part, ces événe-ments ont été positifs sur deuxpoints: 1) ma voiture, bienqu’entourée de tessons de bou-teilles et de résidus de pétards,n’a pas eu une égratignure; 2) lapolicen’apaspuêtre répressiveàmon égard, j’avais mis mon dis-que de stationnement. Sinon,j’aurais été la seule personne,bien qu’absente au moment desfaits, à avoir été verbalisée.«La liberté et la justice sont in-compatibles avec la faiblesse»(Vauvenargues).

MARIAGE VERT ET ROUILLE Alliage de plantes et d’acier capté par Marius Thobor, de Cornaux.Pour l’envoi de vos photos, visitez les sites: www.arcinfo.ch et www.journaldujura.ch

La plupart des musées ont longtemps fonctionnécomme des lieux de consécration des savoirsacadémiques et des pouvoirs en place. Depuisles années 1990, un nombre croissant d’institu-tions adoptent des points de vue plus dérou-

tants, voire s’orientent vers la fiction pour amener leursvisiteurs à percevoir l’aspect construit, mouvant et mêmefragile des théories qu’elles exposent. C’est notamment lecas de l’exposition «Brazul» (2011), présentée au Muséeromain de Vidy jusqu’au 25 avril et qui fait l’objet d’uneévocation satellite dans l’espace d’accueil du Musée d’eth-nographie de Neuchâtel.L’argument de «Brazul» renvoie à la découverte par des

chercheurs lausannois d’une société amazonienne dispa-rue au VIIe siècle après J.-C., à la présentation de ses vesti-ges et à la formulation d’hypothèses quant à son développe-ment, son apogée et son déclin tragique. En filigrane, leMusée romain renvoie à des problèmes de société nette-ment plus contemporains menaçant l’avenir des sociétésindustrielles comme l’emballement économique, la courseau profit et l’épuisement des ressources naturelles.Ajou-tant une couche à la fable développée à Vidy, l’ethnomusi-

cologue Christian Denisart développe parallèlement unethéorie du Prix Nobel de physique Georges Charpak, selonlaquelle il serait possible de retrouver dans certaines céra-miques des sons du passé encodés par le poinçon du potier.Mieux: Denisart construit une machine capable d’effec-tuer ce type de relecture sur des vestigesramenés d’Amazonie. Mieux encore: ilprête la machine concernée à des spé-cialistes en paléophonie neuchâteloise,qui ont ainsi l’occasion d’«écouter» desobjets du Laténiumet duMusée d’ethno-graphie.Les résultats sont sidérants et sans

doute susceptibles de remettre encause plusieurs théories solidementétablies. Alors qu’ils sont considéréspar les archéologues du Laténiumcomme des outils, des récipients ou des pendeloques, plu-sieurs objets découverts sur le site d’Auvernier - La Saune-rie et datant de la période Auvernier Cordée (2700-2400avant J.-C.) évoquent un système archaïque de diffusiondu son. Il n’est effectivement pas impensable de reconnaî-

tre dans ce qu’on prenait jusque-là pour une «épingle per-forée en bois de cerf» et pour une «pendeloque perforée endéfense de sanglier» les aiguilles qui servaient à lire deuxvases retrouvés entiers. Cette déduction permet d’envisa-ger sous un jour nouveau les deux artefacts nommés par les

archéologues «pioche à perforationtransversale» et «ébauche de hache-marteau»: ne s’agit-il pas plutôt dubras et du contrepoids de ce qu’il fautbien considérer comme le premierphonographe de l’histoire de l’huma-nité?Poussant le bouchon plus loin, la lec-

ture des vases retrouvés entiers par laversion Denisart de la machine deCharpak bouscule la datation de Neu-châtel telle qu’elle fut proposée par

Jean-Pierre Jelmini. Des vestiges découverts à Auverniervieux de plus de 4000 ans diffusent en effet des ambiancessonores laissant penser à une cérémonie anniversaire de lalocalité voisine, qui ne peut être que... Neuchâtel. L’infor-mation restera confidentielle jusqu’en septembre 2011.

Le murmure des céramiquesL’INVITÉ

MARC-OLIVIERGONSETHDIRECTEURDU MUSÉED’ETHNOGRAPHIEDE NEUCHÂTEL

(...) la lecturedes vases retrouvésentiers bouscule ladatation deNeuchâteltelle qu’elle fut proposéepar Jean-Pierre Jelmini

COURRIERDES LECTEURS

LE CLIN D’ŒIL

Pour nous contacter par courrier: 13, rue de l’industrie, 1950 Sion Tél.: 027 32975 11 Fax: 027 329 75 78. Par mail: [email protected]

INFO+

LAQUESTIOND’HIER NON 76%

OUI24%

RÉACTIONS

A chacun son boulotUn conseiller d’Etat n’est pas là pour faire plaisiraux autresmembres de son parti. Il est là pouradministrer le canton en collaboration avec sescollègues. Son parti n’a pas à s’immiscer dans sontravail autrement que par l’intermédiaire duGrandConseil un point c’est tout.

Maurice Bardet (Saint-Aubin-Sauges

Le PLR réinvente le centraAlors que lemur de Berlin est tombé depuis plusde 20 ans, voilà que le PLR réinvente lecentralisme «démocratique» qui était si cher auxSoviets. Le bureau central du PLR sait-il qu’unmagistrat est élu pour servir la République et nonle parti ?

Eric Augsburger (Peseux)

En toute indépendanceLesmembres d’un gouvernement, fédéral,cantonal ou communal doivent gouverner,indépendamment de leur parti. Cela dit, larécente prise de position sur le nucléaireme

Dans l’intérêt du citoyenLes conseillers d’Etat doivent travailler dans l’intérêt ducitoyen. Ceci dit, ils ont bien eu besoin du soutien de leurparti pour être élu. Les électeurs attendent donc égalementqu’ils défendent plutôt les principes et idées pour lesquels ilsont votés.

Raymond Huguenin (Boudevilliers)

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Les conseillersd’Etat doivent-ilsobéir à leur parti?

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ÉNERGIE VERTEUn challengepour l’industrieJeme rappelle avoir lu un articlequi proposait d’investir dans despanneaux photovoltaïques lesquelquesmilliardsde francsdes-tinés au nucléaire pour produirel’électricité du futur. En cou-vrant lamoitié des toits disponi-bles en Suisse par des panneauxphotovoltaïques et en amélio-rant le rendementdesusineshy-drauliques et des appareils con-sommateurs, on pourrait sepasser du nucléaire. Une idéeextraordinaire! Mais attention,une loi fédérale devrait alorsobliger les Suisses àmettre à dis-position leurs toits pour lemon-tagedecespanneaux.Lesorgani-sations de protection dupatrimoine architectural vonts’opposer avec raison à ces pan-neaux peu esthétiques, défigu-rant déjà quelques toits de mai-son par-ci par-là.Solution: l’industrie suisse doitcréer des panneaux photovoltaï-ques en forme de tablettes ayantune texture similaire à une cou-verturepardes tuiles.Ces tablet-tes, ayant par exemple une sur-face de 2m2, devraient pouvoirêtre posées directement sur lelattage existant après l’enlève-ment des tuiles. Ces panneauxd’une apparence soignée, ser-vantà la fois à l’étanchéitédutoitet à la production d’électricité,pourraient être combinés avecdes tuiles conventionnelles afindepasser inaperçus.Chaque toitphotovoltaïque serait connectéau réseau électrique par un con-vertisseur dont la fabrication se-rait également intéressantepourdes entreprises suisses. Ce nou-veau type de panneaux photo-voltaïques pourrait donc êtremonté même dans les centres

historiques des villes, sans pro-voquer ni le soulèvement desprotecteurs de l’environnement.

Pierre Eberli, Colombier

HOOLIGANISMEComportementde mauviettesUn article relatant quelqueséchanges de politesse entre lesforces de l’ordre et des suppor-ters sédunois attira toute monattention. D’abord parce que lavoiture qui figurait sur la photoaccompagnant le texte est lamienne et ensuite parce que lecontenu de l’article me fit meposer cette question pour laénième fois: «Quand est-ce quenos autorités vont arrêter de secomporter comme desmauviet-tes face à ces abrutis?» Bienqu’ils aient épargné mon véhi-cule, le texte précisait qu’il yavait pour des dizaines de mil-liers de francs de dégâts dans lesecteur et que personne n’avaitété interpellé. Plus loin, on lisait

également que ces mêmes sup-porters avaient saccagé un ma-gasin de la gare avant de repren-dre tranquillement le train. Si jene savais pas depuis longtempsqu’il n’y a que les automobilistesqui aient à craindre la répressionpolicière, je me serais sûrementpincé pour vérifier que je ne rê-vais pas. Jusqu’où va-t-on des-cendre dans le laxisme, la fai-blesse, voire la lâcheté? Il estpourtant simple de mettre unterme rapide et presque définitifà ces déprédations systémati-ques, il suffit de sanctionner lesresponsables plutôt que de tou-jours taxer le contribuable. C’estundevoirdecitoyendepayer sesfactures,mais un droit de ne paspayer celles des autres. Imagi-nonsque sur200courageuxma-nifestants encagoulés et enivréscausant pour 100000 fr. de dé-gâts, la police en arrête quatre etqu’une fois au poste, on leur an-nonce simplement qu’ils de-vront s’acquitter chacun d’unedette de 25000fr. s’ils ne dési-rent pas croupir en prison plu-sieurs mois, il y a deux choses

dont je suis sûr: ils ne recom-menceront pas et les 196 autrescasseurs iront vomir leurs bièreset leurhainedansuneautre villejusqu’à ce qu’elles adoptent en-fin toutes la même politiqueferme et juste envers ces parasi-tes.Il est aberrant de constater quel’onparle toujoursdepréventionen matière de circulation rou-tière et que c’est toujours la ré-pression qui est appliquée, alorsque l’on parle de répression enmatière dedélits et qu’on se con-tente de prévention sommaire.Enfin, pour ma part, ces événe-ments ont été positifs sur deuxpoints: 1) ma voiture, bienqu’entourée de tessons de bou-teilles et de résidus de pétards,n’a pas eu une égratignure; 2) lapolicen’apaspuêtre répressiveàmon égard, j’avais mis mon dis-que de stationnement. Sinon,j’aurais été la seule personne,bien qu’absente au moment desfaits, à avoir été verbalisée.«La liberté et la justice sont in-compatibles avec la faiblesse»(Vauvenargues).

MARIAGE VERT ET ROUILLE Alliage de plantes et d’acier capté par Marius Thobor, de Cornaux.Pour l’envoi de vos photos, visitez les sites: www.arcinfo.ch et www.journaldujura.ch

La plupart des musées ont longtemps fonctionnécomme des lieux de consécration des savoirsacadémiques et des pouvoirs en place. Depuisles années 1990, un nombre croissant d’institu-tions adoptent des points de vue plus dérou-

tants, voire s’orientent vers la fiction pour amener leursvisiteurs à percevoir l’aspect construit, mouvant et mêmefragile des théories qu’elles exposent. C’est notamment lecas de l’exposition «Brazul» (2011), présentée au Muséeromain de Vidy jusqu’au 25 avril et qui fait l’objet d’uneévocation satellite dans l’espace d’accueil du Musée d’eth-nographie de Neuchâtel.L’argument de «Brazul» renvoie à la découverte par des

chercheurs lausannois d’une société amazonienne dispa-rue au VIIe siècle après J.-C., à la présentation de ses vesti-ges et à la formulation d’hypothèses quant à son développe-ment, son apogée et son déclin tragique. En filigrane, leMusée romain renvoie à des problèmes de société nette-ment plus contemporains menaçant l’avenir des sociétésindustrielles comme l’emballement économique, la courseau profit et l’épuisement des ressources naturelles.Ajou-tant une couche à la fable développée à Vidy, l’ethnomusi-

cologue Christian Denisart développe parallèlement unethéorie du Prix Nobel de physique Georges Charpak, selonlaquelle il serait possible de retrouver dans certaines céra-miques des sons du passé encodés par le poinçon du potier.Mieux: Denisart construit une machine capable d’effec-tuer ce type de relecture sur des vestigesramenés d’Amazonie. Mieux encore: ilprête la machine concernée à des spé-cialistes en paléophonie neuchâteloise,qui ont ainsi l’occasion d’«écouter» desobjets du Laténiumet duMusée d’ethno-graphie.Les résultats sont sidérants et sans

doute susceptibles de remettre encause plusieurs théories solidementétablies. Alors qu’ils sont considéréspar les archéologues du Laténiumcomme des outils, des récipients ou des pendeloques, plu-sieurs objets découverts sur le site d’Auvernier - La Saune-rie et datant de la période Auvernier Cordée (2700-2400avant J.-C.) évoquent un système archaïque de diffusiondu son. Il n’est effectivement pas impensable de reconnaî-

tre dans ce qu’on prenait jusque-là pour une «épingle per-forée en bois de cerf» et pour une «pendeloque perforée endéfense de sanglier» les aiguilles qui servaient à lire deuxvases retrouvés entiers. Cette déduction permet d’envisa-ger sous un jour nouveau les deux artefacts nommés par les

archéologues «pioche à perforationtransversale» et «ébauche de hache-marteau»: ne s’agit-il pas plutôt dubras et du contrepoids de ce qu’il fautbien considérer comme le premierphonographe de l’histoire de l’huma-nité?Poussant le bouchon plus loin, la lec-

ture des vases retrouvés entiers par laversion Denisart de la machine deCharpak bouscule la datation de Neu-châtel telle qu’elle fut proposée par

Jean-Pierre Jelmini. Des vestiges découverts à Auverniervieux de plus de 4000 ans diffusent en effet des ambiancessonores laissant penser à une cérémonie anniversaire de lalocalité voisine, qui ne peut être que... Neuchâtel. L’infor-mation restera confidentielle jusqu’en septembre 2011.

Le murmure des céramiquesL’INVITÉ

MARC-OLIVIERGONSETHDIRECTEURDU MUSÉED’ETHNOGRAPHIEDE NEUCHÂTEL

(...) la lecturedes vases retrouvésentiers bouscule ladatation deNeuchâteltelle qu’elle fut proposéepar Jean-Pierre Jelmini

COURRIERDES LECTEURS

LE CLIN D’ŒIL

Pour nous contacter par courrier: 13, rue de l’industrie, 1950 Sion Tél.: 027 32975 11 Fax: 027 329 75 78. Par mail: [email protected]

INFO+

LAQUESTIOND’HIER NON 76%

OUI24%

RÉACTIONS

A chacun son boulotUn conseiller d’Etat n’est pas là pour faire plaisiraux autresmembres de son parti. Il est là pouradministrer le canton en collaboration avec sescollègues. Son parti n’a pas à s’immiscer dans sontravail autrement que par l’intermédiaire duGrandConseil un point c’est tout.

Maurice Bardet (Saint-Aubin-Sauges

Le PLR réinvente le centraAlors que lemur de Berlin est tombé depuis plusde 20 ans, voilà que le PLR réinvente lecentralisme «démocratique» qui était si cher auxSoviets. Le bureau central du PLR sait-il qu’unmagistrat est élu pour servir la République et nonle parti ?

Eric Augsburger (Peseux)

En toute indépendanceLesmembres d’un gouvernement, fédéral,cantonal ou communal doivent gouverner,indépendamment de leur parti. Cela dit, larécente prise de position sur le nucléaireme

Dans l’intérêt du citoyenLes conseillers d’Etat doivent travailler dans l’intérêt ducitoyen. Ceci dit, ils ont bien eu besoin du soutien de leurparti pour être élu. Les électeurs attendent donc égalementqu’ils défendent plutôt les principes et idées pour lesquels ilsont votés.

Raymond Huguenin (Boudevilliers)

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SERGE GUMY

Une nouvelle capitulation ouune simple adaptation techni-que? Depuis hier, à Berne, deuxinterprétations diamétralementopposées s’affrontent au sujetd’unmême fait: par la voix de saministre des Finances EvelineWidmer-Schlumpf, le Conseilfédéral a confirmé son intentiond’adapter les critères selon les-quels la Suisse accorde l’entraideadministrative à un fisc étran-ger. En clair, elle n’exigera plusforcément le nomet l’adresse dutitulaire d’un compte et le nomde la banque qui l’héberge.

DéveloppementéconomiqueC’est à nouveauunemenacede

figurer sur une liste, noire ougrise, des paradis fiscaux qui apoussé le gouvernement à agirdans l’urgence. En mars 2009,souslapressiondel’OCDE(Orga-nisation de coopération et de dé-veloppement économiques,sorte de gendarme des mar-chés), la Suisse avait déjà rognéen grande partie son secret ban-caire en acceptant d’offrir l’en-traide administrative non plusseulementencasde fraude,maisaussi en cas d’évasion fiscale.Mais l’OCDE en veut plus. Les

deux experts dépêchés en Suissepour un examen de routine par leForum mondial sur la transpa-rence (97 Etats, dont ceux del’OCDE et du G20) ont ainsi faitsavoir à Berne que les conven-tions de double imposition pas-sées à ce jour avec 31 pays po-saient des conditions troprestrictives à l’entraide adminis-trative.Alaclé,unultimatum:si laSuissen’adaptepasdouzeconven-tions de double imposition d’ici lafin dumois, elle risque de rater lapremière phase de son examen etde se retrouver sur une liste desparadis fiscaux. Seule. Bien quetrès chatouilleuse sur son secretbancaire, l’Autriche,aeneffet ren-du les armes.

Un numéro de sécuritéDe toute manière, explique-t-

elle, laSuisse l’adéjà fait aveccer-tains pays (Etats-Unis et France,notamment). Par ailleurs, unepersonne peut être identifiée de

manière sûre par d’autres biaisque sonnomou son adresse (quifigurent quandmême dans 95%des demandes d’entraide actuel-les). «Unnuméro de sécurité so-ciale est parfois une indicationplus claire qu’un nom.DesHansMüller, il y en a des douzaineschez nous», justifie la ministre.Autres indices qui pourraientêtre pris en compte à l’avenir: lenuméro de compte bancaire in-ternational (Iban)oudesmouve-ments réguliers et suspects d’ar-gent sur un compte en Suisse.Eveline Widmer-Schlumpf in-

siste: il n’est par contre pas ques-tion d’accepter des demandesgroupées ou au petit bonheur lachance («fishing expeditions»).Les Etats demandeurs devront

continuer d’étayer leurs soupçons.

Pas question non plus de passer àl’échange automatique d’informa-tions entre administrations fisca-les. La conseillère fédérale réfuted’ailleurs toute nouvelle conces-sion majeure à l’OCDE. «On nediscute pas du tout ici du secretbancaire, mais de la manière d’ap-pliquer l’entraide administrative.Et lesconcurrentsdelaplacefinan-cière suisse doivent respecter lesmêmes conditionsminimales.»

Mais l’OCDE en veut plus. Lesdeux experts dépêchés en Suissepour un examen de routine par leForum mondial sur la transpa-rence (97 Etats, dont ceux del’OCDE et du G20) ont ainsi faitsavoir àBerne que les conventionsde double imposition passées à cejour avec 31pays posaient des con-ditions trop restrictives à l’entraideadministrative.

Parlement sous pressionCes arguments suffiront-ils à

convaincre le Parlement? Missous pression, ce dernier veut sedonner le temps de la réflexionjusqu’en avril. La Suisse ne pour-ra donc pas tenir les délais fixéspar l’OCDE.Elleneseretrouverapas pour autant sur liste noire,rassure Jeffrey Owens. Le porte-

parole de l’organisation salue lamise à niveau de la Suisse auxstandards internationaux. «Etles changements annoncés neconcerneront qu’un nombre li-mité de cas.» Mais l’OCDE enveut plus. Les deux experts dépê-chés en Suisse pour un examende routine par le Forummondialsur la transparence (97 Etats,dont ceux de l’OCDE et duG20)ont ainsi fait savoir à Berne queles conventions de double impo-sition passées à ce jour avec 31pays posaient des conditionstrop restrictives à l’entraide ad-ministrative. Mais l’OCDE enveut plus. Les deux experts dépê-chés en Suisse pour un examende routine par le Forum sur latransparence (97 Etats, dontl’OCDE et duG20)

Les Etatsdemandeursdevront continuerd’étayerleurs soupçons

La Suisse sera moins exigeante avant de collaborer avec le fisc étranger. [KEYSTONE]

Des Winkelried àla petite semaineCapitulation! Génuflexion! Les partisbourgeois n’ont pas de mots assezforts po ur dénoncer l’assouplisse-ment des règles en matière d’en-traide administrative avec les fiscsétrangers. Mais leurs appels exces-sifs à la résistance omettent des élé-ments cruciaux de la réalité.Aux libéraux-radicaux, on rappelleraque la vraie défaite pour le secretbancaire a été concédée en mars2009, et que l’armistice a été signé parun des leurs, Hans-Rudolf Merz.Quant à l’UDC, elle feint de ne pas sesouvenir que ses conseillers aux Etatsont eux aussi mis genou à terre envotant jusqu’ici les conventions dedouble imposition révisées selon lescritères de l’OCDE.Il est certes compréhensible que leParlement refuse de se laisser mettresous pression et qu’il prenne le tempsde s’assurer que les changementsproposés ne recèlent pas de nouvel-les chausse-trappes. A première vue,Eveline Widmer-Schlumpf fournit tou-tefois des garanties suffisantes contrel’échange automatique d’informa-tions et les demandes groupées desEtats étrangers. Par ailleurs, les nouvel-les règles ne font que mettre la placefinancière helvétique au niveau deses concurrentes. Preuve qu’elle nedevrait pas en pâtir, les banquiers ontfait bien moins de bruit que leurs tra-ditionnels alliés sous la Coupole.Ces Winkelried feraient donc bien demettre la sourdine à leur indignationélectoraliste. Car en avril, ils le savent,ils n’auront d’autre choix que d’accep-ter les nouvelles exigences de l’OCDE.La fierté nationale en prendra uncoup de plus. Mais la résistance nemènerait à rien, sinon à des mesuresde rétorsion dommageables à notreéconomie. Et ce combat d’arrière-garde ne sauvera pas le secret ban-caire, qui a reçu l’estocade il y a deuxans. Les nouvelles règles ne font quemettre la place financière helvétiqueau niveau de ses concurrentes. Maisleurs appels à la résistance omettentdes éléments cruciaux de la réalité.

COMMENTAIRE

NICOLAS [email protected]

«J’espère que cette affaire ne deviendrapas une question électorale.» Les espoirsd’Eveline Widmer-Schlumpf risquentd’être déçus: hier, les partis de droite ont vi-vement réagi à ses propositions. «Le Con-seil fédéral s’est apparemment agenouillé»,dénonce l’UDC, qui parle d’une «tactiquedu salami pour affaiblir la place financièresuisse.»«L’OCDE nous condamne avant même

que nous ayons fait quoi que ce soit demal:les conventions de double imposition criti-

quées ne sont pas entrées en vigueur!»,tonne Fulvio Pelli, président du PLR. Chris-tophe Darbellay, président du PDC,s’étonne des nouvelles exigences de l’OCDEet de lamise sous pressionduParlement. Lacommission compétente du National a eneffet reçu les documents sur les nouvellesrègles en matière d’entraide lundi matinseulement, trois heures avant la discussionsur le sujet.Avant de trancher, les partis bourgeois

veulent donc entendre l’avis des banquiers.

Ceux-ci se disent disposés au changementet conscients «du grand risque pour l’éco-nomie nationale» si la Suisse est mise surliste noire. L’Association suisse des ban-quiers demande toutefois des garanties: pasd’échange automatique, pas de demandesgroupées ou de «fishing expeditions».La gauche, enfin, approuve lepas fait par la

Suisse, qui n’a pas surpris le conseiller auxEtats Alain Berset (PS/FR): «Depuis deuxans, nous gérons la disparition du secretbancaire tel que nous le connaissions.»

La tactique du salami pour affaiblir la Suisse

ASSURANCE MALADIEGratuité en vue pourles jeunes et les enfantsLa commission sociale du Conseilnational propose la gratuité desprimes maladie jusqu’à 18 ans ou 25ans pour les étudiants. p. 18

L’ACTUSUISSE | MONDE | ÉCONOMIE

FISCALITÉ La Suisse sera moins exigeante avant de collaborer avec les fiscsétangers. Le Conseil fédéral craint sinon que la Suisse soir mise sur liste noire.

Nouveau coup au secret bancaire

VENDREDI 18 FÉVRIER 2011 L’EXPRESS

Page 8: Tarifs Arcpresse 2013

Emplacements créatifs Valable dès le 1.1.2013

Format 1 colonne (25 mm)/440 mm 2 x 3 colonnes/440 mm 2 x 2 colonnes/440 mm noir/blanc Fr. 3585.– Fr. 27 540.– Fr. 18 360.–quadrichromie Fr. 7170.– Fr. 55 085.– Fr. 36 720.–

Marge centrale Stéréolithe pano. 3 colonnes Stéréolithe pano. 2 colonnes

Format 2 x 1 colonne/440 mm min. 7 colonnes (310 mm) x 150 mm 7 colonnes (310 mm)/440 mm max. 9 colonnes (408 mm) x 270 mmnoir/blanc Fr. 9 180.– Fr. 13.36/mm Fr. 27 540.–quadrichromie Fr. 18 360.– Fr. 26.73/mm Fr. 55 085.–

Stéréolithe pano. 1 colonne Panoramique centrée Page centrée sur pano.

TVA en suspage 7

Page 9: Tarifs Arcpresse 2013

Emplacements créatifs Valable dès le 1.1.2013

Format 2 x 3 colonnes/143 mm 2 x 2 colonnes/94 mm 2 x 2 colonnes/100 mm noir/blanc Fr. 16 050.– Fr. 6 230.– Fr. 6 695.–quadrichromie Fr. 32 100.– Fr. 12 455.– Fr. 13 395.–

Stéréo. rond 3 colonnes Stéréo. rond 2 colonnes Ilot centré stéréo.

Format 12 colonnes (606 mm) x 40 mm 2 x 1 colonne/143 mm + 2 colonnes/43 mm noir/blanc Fr. 9 110.– Fr. 7 600.–quadrichromie Fr. 18 215.– Fr. 15 200.–

Bandeau horizontal pano. Stéréo. L

TVA en suspage 8

Page 10: Tarifs Arcpresse 2013

Emplacements créatifs Valable dès le 1.1.2013

Format 1 colonne/143 mm + 6 colonnes/60 mm + 3 col./45 mm + 2 col./45 mm 2 colonnes/100 mm 1 colonne/100 mm 2 colonnes/43 mm 2 colonnes/60 mm + 1 colonne/45 mmnoir/blanc Fr. 3295.– Fr. 6 965.– Fr. 3920.– Fr. 2905.– Fr. 1450.–quadrichromie Fr. 6590.– Fr. 13 930.– Fr. 7835.– Fr. 5805.– Fr. 2905.–

Annonce L Podium Escalier Ascenseur 2 colonnes Ascenseur 1 colonne

Format 1 col./80 mm + 1 col./50 mm 3 colonnes/143 mm : 2 3 colonnes/143 mm 2 colonnes/94 mm 2 x 1 colonne/440 mm + 1 colonne/40 mmnoir/blanc Fr. 2470.– Fr. 3540.– Fr. 7 085.– Fr. 2700.– Fr. 9 180.–quadrichromie Fr. 4935.– Fr. 7085.– Fr. 14 165.– Fr. 5400.– Fr. 18 360.–

Satellite en rédactionnel Triangle Rond 3 colonnes Rond 2 colonnes Stéréolithe 1 colonne

TVA en suspage 9

Page 11: Tarifs Arcpresse 2013

TVA en sus

Emplacements créatifs Valable dès le 1.1.2013

Format 3 colonnes/440 mm 2 colonnes/440 mm 1 colonne/440 mm 4 colonnes/260 mm 6 colonnes (290 mm) x 40 mm noir/blanc Fr. 10 750.– Fr. 7 170.– Fr. 3585.– Fr. 8 280.– Fr. 4020.–quadrichromie Fr. 21 500.– Fr. 14 335.– Fr. 7170.– Fr. 16 560.– Fr. 8035.–

Monolithe 3 colonnes Monolithe 2 colonnes Monolithe 1 colonne Junior Page Bandeau horizontal

Format 2 colonnes/100 mm 1 colonne/440 mm + 5 colonnes/43 mmnoir/blanc Fr. 2905.– Fr. 9 650.–quadrichromie Fr. 5805.– Fr. 19 295.–

Ilot centré Grand L

page 10

Page 12: Tarifs Arcpresse 2013

Formats/Données techniques Valable dès le 1.1.2013

Largeur des colonnes en mmMiroir de page: 288 x 440 mm = surface de composition / 4500 mm facturablesNombre de colonnes 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10Annonces 27 56 85 114 143 172 201 230 – 288Réclames 45 94 143 192 241 290 – – – –

Nombre de colonnes 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22Panoramique 375 404 433 462 491 520 549 – – 607

Annonces panoramiquesFormat maximal: 607 x 440 mm (facturation 22 colonnes) / Format minimal: 404 x 100 mm (facturation 14 colonnes). Marge centrale: 29 mm

Prescription liées aux formatsHauteur minimale: 30 mm, largeur minimale: 2 colonnes annonce ou 1 colonne réclame, hauteur maximale: 440 mmLes annonces de 9 colonnes seront centrées sur 10 colonnes et facturées 10 colonnes. Pour les annonces de plus de 400 mm de hauteur, facturation de la hauteur totale (450 mm)

Spécifications de reproductionRésolution correcte en grandeur 1:1: pour une image = 200 ppi, pour un élément au trait = 1270 ppi ou vectorisé

Matériel numériquePour être parfaits, vos fichiers doivent être produits et transmis en PDF/X-3, selon les spécifications de PrintOnline ou le standard de la branche graphique (PDFX-ready). Vous trouverez les instructions exactes sous www.pdfx-ready.ch. Si vos fichiers ne correspondent pas à ces directives, vous devrez les modifier et les livrer à nouveau. Le service PAO de Publicitas peut aussi assurer ces modifications (avec votre accord) et vous facturer son intervention.

Transmission des données – Annonce mise en forme et terminéePar PrintOnline: la meilleure solution pour la transmission digitale de vos fichiers. Par ISDN: XAccess est l’entrée pour les annonces numériques vers Publicitas via ISDN.

Annonce partiellement composéeSes éléments doivent être produits au moyen des programmes suivants: Quark XPress, InDesign, Photoshop, Illustrator. Les textes peuvent être réalisés en Word. Votre conseil-clients Publicitas se tient à votre disposition pour tous renseignements complémentaires.

Directives importantes– Utiliser de préférence des polices de caractères PostScript type 1.– Les sources – logo et images – (en TIFF ou en EPS) sont à livrer sur le même support.– Attention: Ne pas utiliser le format DCS pour vos annonces. Il ne permet pas

la génération correcte de fichiers HighEnd PDF/X-3.– Joindre au fichier de l’annonce livrée une sortie imprimante couleur au format 1:1.

Spécifications d’impression La production s’effectue selon les normes ISO 12647-3-2004

Linéature de trame: 40 l/cm (point de trame elliptique).Grandeur des points min. 3% (premier ton visible sur l’imprimé).Grandeur des points max. 90% (dernier ton tramé avant l’aplat).Somme de l’UCR/GCR: 240% (C+M+J+N). Ecrasement des tons tramés: 26% (à 50%).Densités d’impression: cyan, magenta, jaune: 0.90/noir: 1.15 (+/–0.10).

Profils ICCNe pas inclure de profil ICC dans les fichiers fournis. Le cas échéant, l’utilisation d’un profil ICC autre qu’ISOnewspaper24v4.icc (téléchargement gratuit sur le site d’IFRA www.ifra.com) peut conduire à une importante différence entre le visuel de l’annonce et sa version imprimée, différence qui devra être acceptée par les annonceurs.

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Page 13: Tarifs Arcpresse 2013

Encarts Valable dès le 1.1.2013 Poids Format minimal Format maximal Tarif

de 6 à 25 grammes 148 x 210 mm 235 x 320 mm Fr. 15 550.–

de 26 à 50 grammes 148 x 210 mm 235 x 320 mm Fr. 21 600.–

de 51 à 75 grammes 210 x 297 mm 235 x 320 mm Fr. 28 950.–

76 grammes et plus 210 x 297 mm 235 x 320 mm Fr. 36 400.–

Supplément pour faire figurer sur l’encart de la publicité d’un ou plusieurs annonceurs: + 20% du prix brut

L’Impartial Le Journal du Jura L’ExpressExemplaires à livrer 14 000 ex. 13 000 ex. 22 000 ex.

Adresse de livraison Centre Presse L’Impartial Büchler Grafino AG - Druckzentrum Bern Centre Presse L’Express Pierre-à-Mazel 39 Warenumschlag Spedition Pierre-à-Mazel 39 2002 Neuchâtel Zentweg 7 - 3006 Bern 2002 Neuchâtel

Personne de contact M. Nilson De Menezes M. Nilson De Menezes Tél. 032 723 52 66 Tél. 079 286 44 53 Tél. 032 723 52 66 Fax 032 723 52 49 Fax 031 349 41 45 Fax 032 723 52 49

Délai de livraison 3 jours ouvrables avant la parution 3 jours ouvrables avant la parution 3 jours ouvrables avant la parution

Conditionnement des encarts selon document disponible sur le site www.arc-presse.ch

TVA en sus

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Page 14: Tarifs Arcpresse 2013

Délais ultimes de remise des ordres et du matériel Valable dès le 1.1.2013

2 jours ouvrables jusqu’à 12 h

Jour de parution Délais Avant

Lundi Jeudi 12 h

Mardi Vendredi 12 h

Mercredi Lundi 12 h

Jeudi Mardi 12 h

Vendredi Mercredi 12 h

Samedi Jeudi 12 h

Délais de réservation des encarts: 12 jours ouvrables

PrintOnline: La transmission via Print-Online ne modifie pas les délais ci-dessus.

Réservation préalable indispensable pour: Annonces/réclames en quadrichromie, annonces panoramiques, emplacements prescrits et/ou spéciaux

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Page 15: Tarifs Arcpresse 2013

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