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MELA N GES. Les t'onlrees di Nord. An nmomnent oji l'attention pu- b)lique est fixde sur les projets de voyage et d'exploration vers le po- le Nord, et que dt qj l'expedition anglaise et l'expddition allemande sont en route pour cette destina- tion, on lira avec intdret les ren- seiguenmeuts qui suivent sur Ies con trees septentrionales, aux a- bords desquelles les explorateurs devront arriver. Le Spitzberg est le pays le plus septentrional que nous connais- sious; ii est aussi le plus froid, et l'air y est tris vif durant l'6te; le soleil y reste plis de quarante jours sur l'horizon, mais ses ray- ons out si peu de force que l'apre- t6 du froid n'en est que tres peu diminude. Ce paps n'est habir6d que par des ours blanes i pieds palm6s, d'une grosseur et d'une force considerables, par des re- nards gris et des rennes surchar- gds d'une graisse qui a la funeste propri6t6 tie donner la dyssente- rie a ceiLX qui en mangent, et par des canards de diff6rentes cou- Le sol ne produit ni arbres ni arbrisseaux. Ce pays n'est point habit6 par l'homme. La Nouvelle Zemble, grande ile an Nord de l'Asie, dans la mer gla- ciale, est le plus misbrable pays de I'univers; ii est rempli de monta- gnes et presque entierement cou- vert de neige.. Elle u'est point habitie, mutis elle est fr6quent•e par les Samoyedes qui y passent vers le milieu de Mai, et qui s'y, occupent tout le't6 a la chasse et i la peche. Les Hollandais, qui aborderent sur la cote orientale de cette lie en 1597, ceesfrent de voir le soleil depuis le 4 de Novembre jusqu'au 20 Janvier 1598. Ils le virent on crurent le voir i. cette derniere da- te. Ils ne devaient pourtant l'a- pereevoir que quatorze jours plus tard, d'apres les riglcs de 'astro- nomie. Ce que ces navigateurs prirent pour le soleil n'dtait qu'u- ne parhelie. Lo Groculand, grande presqul'i- Ie aln Nord-est tie l'Amrnrique sep- teutrionale, no produit aucun ar- bre, si ce n'est vers le Sud, et les soeuls qui y croissent sont des sau- les, des bouleaux, des aulnes, quel- ques buissons tide genievres, de gro- seillers et de ronces qui ne portent que tie mauvais fruits. Mais les lichens y sont en quantitd; ils sont tIe s nourrissants et ils y engrais- sent cll pen de temps les animaux. On y rencontre quelques lqua- illrupbdes, beaucoup de poissons: la balohle, le harangi et la morue y abondent. I1 n'y a an Groen- land aucun serpent ni reptile ve- Ilimeux, non plus qlue dats Spitz- l)erg et l'Islande, et commle dans I tous les pays oii ii fait ul frioid ex- traontinalire. Le froid y est d'une telle inten- situ qu'il fait geler les liqueurs les plus fortes, mnme dans les en- idroits les plus rechauff•s. Ce qu'il y a de remarquable, c'est qu'il aug- imente d'auide en anude, et que cette ile oii l'on semait du b16 et qui &tait encore couverte de fortts ii y a quclques centaines d'anndes, ne possede pluls que des arbris- seaux rabougris. Depuis le commencement de .Juin jusqu'au commencement du mIois d'Aofit, le soleil y est chaud, trbs brillant et ne quitte pas l'ho- rizon, de sorte que les Groenlan- dais u'ont pas de nuit. A la tin d'Octobre, jusqu'en Janvier, ii ne larait pas du tout, onu seulement deux on trois heures. Un crepus- cule de plusieurs heures r6pand uneelart6 qui dddommage de l'ab- sence du soleil, et l'aurore bordale suiccde chaque jour an cr6puscu- le. Elle brille tout lhiver et jette une lueur qu 1 surpasse le plus beau clair de lune. Les Groenlandais ne different en aucun point des Esquimaux qui habitent le Nord de 1'Ambri- que septentrionale; ilsconstituent ensemble un m6me peuple et une meme race d'hommes, dont l'idio- me, les mleurs, les usages et la fi- gure se ressemblent. Ces peuples sont lestes, adroits et infatigables A la chasse et A la pcehe; les femmes ledisputent aux hommes en force et en adresse; ils ne vivent que de viande et de poisso"-. I/eau pure, l'huile de poisson forment toute leur bois- son. Les environs de la baie d'Hud- son, la plus considdrable de celles del'Am6rique septentrionale, pr6- sentent le coup-d'Peil le plus af- freux. De quelque c6tes que 1'on porte seS regards, on n'aper oit que des terres incultes et st6rdles, ieeomcohers escarp6s qui s'6lvent fJisqu'aux nues, enfin des ravnes profondes et des vall6es toujours couvertes de neiges et de glaaons. Danes ces contrues, le soled no .se Ilve i•e ne se couchejamais sans nn grand c8ne de lumiere. I/au- ppre bor6ale succede A ce ph6ao- mine et r6pand un eelat qui a'est pas mAme effae6 par la pleine lu- ne. N6ianmoins, le ciel y est assez s• •. Qitque les 8 laenrs soient assez vives pendant deux mois de f'te, le tonnerre et les eclairs s'y manifestent rarement. Les habitans de ces malheureux pays ne diff"rent pas des Groen- landais. Tout s'y ressent de la sterilit6 de la nature. On n'y voit tde toute part que l'eftit (l'une fai- blesse d'.organisation et d'un froid qui resserrent et contrarient le dd- velopplement des orgalncs. Quoiqlue dans le voisinage des pules, le froid semble arrter lc progrbs de la vie veg6tale et ani- male, la nature, pourtant, y est animde en apparence. La mer a reu en compensation ce qui man- que i la terre. La nature y dd- pense antant de forces ' aniumer les baleines, les phoques, les in- nombrables essaims de harengs et de morues et ces nnues d'animaux aquatiques qui obscurcissent la surface de l'Ocean glacial, qu'elle en eimploie ailleurs pour organiser les plantes, les arbres et une vari- t6 prodiigieuse d'etres vivants. EV" Le philosophe Duclos croy- ait avec raison que les exercices du corps d6lassaient la pensie. II venait tous les jours faire sa plei- ne ean dans la Seine. Intrepide nageur ii se livrait a des assauts et a des plongeous de nature a 6- gayer la galerie. Une aprbs-midi, dles chevaux, efliayds par ses exer- cices, p)rirent le mors-aux-dents et s'dlancerent dans la direction du fleuve. Ils allaient s'y precipiter avec la voiture qu'ils trainaient, quand Duclos, sortant de l'eau (lans le costume d'Adam avant la faite, se jette i~ leur tate et rtus- sit i~ les arreter. Une femme, qui se trouvait dans la voiture, deman- :ait a grands cris qu'on lui ouvrit Ia portiere. Le philosophe obeit ai cette invitation et lui offrit sa main. La dame alors de se rejeter en arribre, epouvant6e. -Oh! pardon, Madame, dit Du- clos, excusez-moi si je n'ai pas de gants. Et refermant la portiere, ii alla faire un nouveau plongeon. BON PETIT NEGRE.-L'aUtre jour, vers 6 heures du matin, un jeuna negre passait dans Pearl Street, portant sur ses 6paules un enorme paqaet de cordes. Un officier de police lui ayant demand6 old it avait trouve cette corde, le negre repondit qu'il I'avait trouvee a Syracuse, et que la police de Buffalo n'avait rien A voir dans une trouvaille faite si loin des limites de cette ville. L'explication ne parut pas suffi. sante au policeman. qui arreta I'homme noir. Traduit devant un magislrat, il avoua qu'il eavait pris la corde, mais il ajouta qu'il ne croyait pas I'avoir vo!e. Le juge, qui est radical, se laissa convain- cre par cette magnifique defense et ordon. na la mise en liberte du prisonnier, qui, en sortant du tribunal, trouva myen de reprendre la corde, qui avait ete deposee dans tin coin. Arre•b de nouveau, au moment ocl it cherchnait a la vendre, ii re- parut devant son juge qui, cette fois. se montra fort irrite. Les choses prenaient I evidemment une mauvaise tournure pour 4 le negre, lorsquitl s'avisa de faire un speech sur les nialheurs de sa race .... et de promettre de donner sa voix a Grant aux prochaines lections. Le juge fut touche, et lui rendit sa liberte et sa corde. Phare des Lacs, Buffalo N. Y. LE PLUS PETIT HOMME DU MONDE.-II y a en ce moment, A Washington, tn nain , applele Charles Derker, qui est age de 20 ans, qui n'a que 31 pouces de haut, et qui ? nie pbse que 45 livres. Son corps est bien forme, et son esprit tres dtveloppe. II gagne la vie de sa mnre et la sienne en t vendant son portrait et I'histoire de sa vie. c II a toute la tete de moins que le commo- c dore Nutt, et est par consequent beaucoup s plus petit que Tom Pouee. II est ne dans le Mississippi et habite le Tennessee. II 4 est venu faire ine visite au President, qui s I'a tres bien requ.-Phare des Lacs. -M. le comte de X....... s'est ruine en chevaux et en biches. c II vit aujourd'hui un peu par-ci, un peu c par-la, rucoltant les diners qu'il a semts r autrefois. Hier, il arrive cilez un journahste juste A I'heure du repas: -Faut-il le recevoir? d -Recevons-le tout de meme, dit I'&cri- vain..... bien que ce soit un comte rendu parasite. -- ueIques petits renseignements pari. siehs dane la ebronique de Ia Situation: "Les cola trbs eleves qui guillotinent lea oreilles s'appellent des Cols Sansom, "Ces enormes nceu d s qoe led• femnies portent au bas de la taille, dans le dos, el qui se complctent par deux rubans tres lar. ges et tr~s longs retombant s'appellent des Pince, moi Ca. "'Enfin, lee anciens 8uivez-moi, jeune homme, que lesa jeunes filles n'ont peas a. bandonnes, ont etd d6baptisas pour s'ap. peler des Prot*gez-moi, mon P•dr." -Deux ivrognea trebuchant & toes les caillou et ase tenant etroitement embras. ses, s'arancent sur le boulevard Montper- nasse, ii Paris. Le premier s'arrate, et de la voi- que vous connaissez: -T'es mon ami, toi ? L'autre repond: -Oui,j'suis ton ami..... Its reprennent leur marche, et an bout d'un moment: -T'es mon ami, n'est-ce pas I -Oui, j'suis ton ami...... -Eh bien! ta fetnme Nros tromnp. On dolt faire attentioniuot aetions les plus itnsiguifiantes qai affectenitle crd. dit d'u hommeo. Le bruit de votre mar. teau entendu i cinq heurme d matin ou & neuf heure. du soir, par un er6aacisr, le read facile pour six mais de plus.. Mais, s'il vous voit i on billardhou s'il enteud votre ve x d . anaune taveOi quand sone devre'zire t 'ouvr,~je it envole chercher son argent tole iidenaina, et le demandeenblb, avant l'hchbance. Franklin. COUR DE PAROISSE. PAROISSE ST. LANDRY.-No. 3221. \/FANON JEAN LOUIS, de la Paroisse St. I.V Landry, ayant present6 une p6tition dans le but d'etre nomme administrateur de sla sneces- sion de feu Joseph Antoine, affranchi, d6c6de, de la Paroisse St. Landry;- En consequence, avis est par le pr6sent donne aux interesses dans t.tre succession. d'avoir a deduire. par ecrit, au Greffe de ladite Cour. dans les dix jours qui suivront la date du preseint avis, les raisons. si aucune ils lot, pour lesquelles ii ne serait pas fait droit a ladite petition. JOS. I). RICHARD, Greffier. Opelousas 14 Novembre 1868. COUR IDE PARIOISSE, Paroisse St. Landry.-No. 3214. A DEOLE MALLET, de la Poroisse St. Lan. dry. ayant enregistr6 nne petition deman- dant a itre nomme administrateur de la succes- sion de feu Azslie Mayer, 6poise diced&e de Thbogkne Stelly, dernierement de la Paroisse St. Landry;- En consdquence, avis est par le present donnd aux interesses dans cette succession, d'avoir a deduire, par ecrii, au Greffe de ladite Cour. dans les dix jours qui suivront la date du present avis. les raisons, si aucune uil out, pour lesquelles ii ne serait pas fait droit a ladite petition. JOS. D. RICHARD, Grefiler. Opelousas 14 Novembre 1]88. COUR D:E PAROISSE, PAROISSE ST. LANDRY.-No. 3215. F RANCOIS P. DOBCET, h. c. I de la Pa- roisse St Landry, ayant enregistr6 une pe- tition a l'effet d 6tre nomme administrateur de la succession de feu Pauline Demaiet, affranchie, son 6pouse d6c6d6, dernierement de la I'aroisse St. Landry ; En cons6quence, avis est par le pr.sent donna aux interess6s dans cette succession, d'avoir a deduire, par 6crit, an Greffe de la susdite Cour, dans les dix jours qui suivront la date du present avis, les raisons, si aucune ils ont, pour lesquel- les ii ne serait pas fait droit a ladite petition. JGS. D. RICHARD, Greffier. Opelousas 14 Novembre 1868. COUR DE PAROISSE, Paroisse St. Landry-No. 3216. JOSEPH L. CARRIERE, de la Paroisse St Landry, ayant enregistr nune petition a I'effetd'etre nomm6 Administrateur de lasucces- sion de feu Cleste Doucet, dec6dee, dernibre- ment de la Paroisse St. Landry ; En cous6quence, avis est par le present donne aux interessas dans cette succession, d'avoir a d6duire, par ecrit, an Greffe de la susdite Cour. les raisons, si aucune ils ont, pour lesquelles ii ne serait pas fait droit a ladite petition. JOS D. RICIIARD, Greffier. Opelousas 14 Novembre 1866. BOTTES POUR ENFANTS, D E tons les numeros, chez Phillips, rue Main, pros le bureau du Cour- rier des Opelousas. AVIS. L ES pcrsounes qui ont des reclama- tions contre la succession d'Eugi- nie Fuselier, 6pouse dice6dde de fen Louis Soilean, sent par le present requises de lea presenter au soussiguB on A Messrs. Moore & Morgan, avocats, A Opelousas, pour en faire une classification.-Et cel- lee qui doivent A ladite succession sont 4galement averties d'avoir A venir payer sans delai. E. DUBUISSON, Administrateur. Washingtcn 7 Novembre 1868. 22-2t GRtOSSES BOTTES A $4 la paire, chez Phillips, rue Main pr6s de chez M. Ealer. Taxe! Taxe!! N vertu de la loi, Ies contribuables de la Paroisse St. Landry sont par ie present asertis que je suis des aujourd'hui pret 6 recevoir, a man bureau, a Opelou. sas, la taxe d'Etat d'un pour cent sur I'e- valuation au comptant de toutes proprie- trs mnobilires et immobilibrts de I'Etat, conformnament no tableau d'assessernent pour I'annee 1967. Les instructions aux Collecteurs des taxes disent. "ouns additionnerez ensem- ble le montant porte dans la colonne sur le tableau des taxes de 1867 intitule "MJontant total de's propi i0ds taxables de chaque personne, compagnie, corporation, 4-c. compris dans les hurt colonnes prdcE. dentes" et le montant indique dans les co- lonnes intitulees: "Manta. I total des pri- mes gagndes chaque annie par des Com- pagnies d'assurance itrangeres qui n'ont pas obtenu de charte de I'Etat, svjet a la taxe d'unpourccnt," s'il y a un montant quielconque porte dans I'une ou I'autre des dites colonnes, et sur le montant total ain si pris, collecter une taxed'un poutr cent." En paze nent de cette taxe, je suis au- -tpris6 a recevoir tous les coupons d',nteret s•ur les bons d'Etat qui sont dris ou qmt se- ront ddus le ler Janvier 1869, sur les bons emis avant le 26 Mars 1867, les warrants -mis contre des appropriations faites pen dant les annde 1866, 1867 et 1868, les certifica's d'Etat 6mis en vertu de l'acto No. 5, de 1866, et les warrants de la Con- vention 1868, soit qu'i4s aient 6t6 6mis pour millage, per diem des membres, la pate des officiers, les impressions ou les depenses contingentes. JAMES G. HAYES, ShCrif et Collecteur. Opelousas 24 Octobre 1868. 20tf Vetements faits, _Pdur enfants et pour hommes, i ven- dre chez Phillips, rue Main, ti 50 pour cent au-dessons da prix ld'achat i New- York. MARCH lNDISES NOUVELLE8 I L ES soussignns appellent I'attention de leurs amis et du public en g6neral A leur grand assortiment de marchandises d'Automne et d'Hiver, que none vrenons de recevoir de Il Nou. velle Orleans, et que nous. ofrons A ven. dre A bas prix pour du comptant. BOIS DE CHARPENTE. Nous avons toujours en main un assor. timent considerable de bois de charpente, pieux etc. que nous veondrons Agalemnent A bon march6. Ceux qui voudront faire de bons mar. chos feront bien de venir examiner nos marchandises et nos prix avant de se ren. dre ailleurs. E. DUBUTSSON & Co. 17 oct. Washington, Lne. Le jour est arrive! L ES eontribuables qui n'ont point encore J payg lears taxes d'Etat de 1867 et lea licences pour 1868, soot avertis queje com- menierai, Iundi preehain, 12 Oetobre, A lancer des notices A toua les dlinqaents, et A Hollecter aves frais , . :AS G. HA YES, shar o C' olt&er des tales 4 . Opelousas 1( Octobre 1868. Im PRES DE LA MAISON DE COUR, OPELOUSAS, Lne. Nouvelle Pharmacie. M EDICHMENTS FRAIS, A PPROVISIONNE de nouveau cha- J que semaine avec des drogues pu- res dui pays et de l'Ptranger. On y trou- ve toutes les medecines patentPes les plus renommees. VINS DE CHOIX, et liqueurs pour preparations mbdieales. PARFUMERIE et articles de fantaisie pour toilette. Peintures, Huiles,. Verrnis, et teintures. Cigares de la Hlavane, Ta- hac Li chiquer, qualit6 superieure, tabac a fumer, Perique et Maryland; Graines de jardinage de. Landredth. Papier et Livres blancs &c: &c. Solution effer- vescente de citrate de magnesie prdparde par moi-mime. Les mrdecins, les habitants et lea mar- chands sont respectueusement sollicitns. "Le Soleil luit pour tout le monde." Attednt que e ne pui; aeheter t erddit, il faut que je vende A U COMPTANT. CLAUDILS MAYO, 30 mai.-51tf Apothicaire. A VENDRE. 6,00 PIEUX de 9 pieds. . lln S'adreaser i M. Bertrand Pona on, Savon et Chandelles. LE soussigne. fabricaut de savon et de chandelles, informe le public qu'il 'prendra du suif en Echange de sa marehandise. Ceux qui out besoin de ces articles se tronveront bien de 1'Pchan- ge libdral qu'offre lIe soussignd. 11 garan- tit que ses chandelles de 6 h Ia livre, dureront 9 heures. A. BORME. Opelousas 12 Sept., 1868. 3m On demande. , EVX qui out tdes meubles de secon- de main tels que bois de lit, mate- lats, tables, chaises &c. A vendre, pour- rorut s'en d6faire en s'adressant immddia- telent au soussignd. A. L. PLOUGH. h la rdsidence de James G. Hayes. Opelousas 24 Oct. 1868. 20-2t A VENDIRE. T-TN REVOLVER A 6 coups. S S'adresser au bureau du Courrier. 24 Octobre 1868. 20tf B(EUF! B EUF! D ES anjourd'hni nous pouvons detailler la viande de beuf i la Halle a meilleur mar- che qu'habituellement. Dorenavant nous la d1taillerons A raison de six cents ia livre, et par 50 ou 100 livres, au-dessous de ce taux. Nous osons nous flatter de ponuvoir satisfaire (tant sons le rapport de la quaiitd de Ia viande qu'autre- meat) tons ceux qui voudront bien nous encour- ager. C. COMEAU & J. G. HAYES. Opelousas 20 Juin 1868. 2tf Louis STAGG. Mms. A. HINCKLEY. Hinckley & Stagg, Marchands commissionnaires et Expedi- tionnaires, Washingtob, (einpla. cement Hinckley & fils.) QSONT prets i expedier tout le fret qui k• pourra leur 4tre eonsignu. et achete. ront au plus haut prix le coton des habi. tants, on feront des avances en argent on en provisions, si ce coton est expedi4 par leur intermediaire. rGrPLouis Stagg a egalement ouvert sne Grocerie au mxmae emplacement, ch ii se fera un plaisir de fournir des Grocerie, pro. visions d'habitation, cercles, corde et toile d'embahlage, wagons &c. &c. aux prix de la Nouvelle Orleans. Washington 10 Octobre 1868. 18tf INSTITUT ST. CHABLES, Dirig6 par Madame Clara Lefranc. PENSIONNAT ET EXTERNAT POUR LES JEUNES DEMOISELLES. Nos. 104 et 106, rue Bourbon, Nouvelle-OrlIans. L A reouverture des classes a eu lieu dans . cette institution le Jer Septembre. Aux professeurs de musique, et si favorable- ment connus, attaches a l'Institut, la Direetrice vient d'adpoindre M. Eugene Prevost. a qui elle a confi4 le solfige, l'harmonie et le chant. Cet 4minent professeur commencera ses cours le ler Octobre. Les jennes personnes qui ne sont pas 6i6ves de I'Institution seront admises & see cours. L'auglais est enseign6 avec Ia mime sollicitude que l• Frangais par des professenrs de grande experience. Four lea conditions. et pour prospectus, s'a- dresser ' la Ditectrice, on par lettre "Boite de la Renaissance Louisianaise" Nile.-Orleans. 17 Octobre 1868. tf A vendre ou a louer, ALa belle propri6td aitude u l'en- coignmre Main et Bellevue, Ope- lonsas, consistant en une belle maison BA tage, avec 9 appartements, l'un desquels est install6 en magasin. S'adresser sur les-lieux & CHS. PLAISANCE. Opelousas 26 Sept. 1868., 3m A VEND RE. 2U BOUGOAUTS de charbon de Pittsburg S'adresser It O. HINCKLEY & fils. 2' aout.-11-3t] Washington, Lne. PAQUEBOT REGULIER ENTRE Opelousas et la Nouvelle-Orleans. Le IBatealk1-vapelur fin mar- cheur et d'nn fail. tirant d'e4au J. G. BLACKFORD, Capitaine C. C. PICKETT, Coumis, J. B. SmarMir, P ARTIRA de Washington le D)iman- che nmatin , 10 heur.es. et de 1a Non- velle-Orlans le 3lercredi soir .t 5 hcures. Le fret et les passagers scront trans- porths h aussi bas prix qu'aucun autre bateau dans la meme navigation. Les affaires seront fiites st,'ictement pour du comptant. AGENTS: A Opelousas, Thdodore Chachere. A Washington, Pitre & Carrii re. Au Port Barre, Raymond I)eshotels. C. Comeau. 28 Dlcembre 1867. 29tf Paquebot Regulier ENTRE OPELOUSAS ETLA N. ORLEANS. Le Steamer CLEONA, Capitaine B. R. SPLANE, ayant fte coin. pletement rtpare, fera reguliirement un voyage par semaine entre notre port et la Nouvelle-Orleans, partant de Washington le MIercredi . 10 heures du matin, et de la Nouvelle.Orleans le Samedi soir , 5 heu. res Le prix du fret et du passage sera le me- me qu'a bord des autres bateaux. Washington 17 Octobre 1868. AVIS. Cours de Paroisse de la Paroisse St. Landry. LE troisieme Lundi de Novembre pro- chain, je tiendrai une session regulibre de la Cour de Paroisse pour ia Paroisse St. Landry, a la Maison de Cour de ladite Pa- roisse, pour l'audition de toutes les classes de causes str lesquelles ma juridiction s'd- tend;-et le troisieme Lundi de Decembre prochain, je tiendrai une session rdguliere de cette Cour pour l'audition des affaires de successions et pour la disposition des causes dependant de la Cour des Preuves et qui necessitent une decision en Cour siegean- te. Et par la suite, les sessions rkgulibres de ces Cours auront lieu le troisieme Lun- di de chaque mois, jusqu'a nouvel ordre. A. GARRIGUES, Juge de Paroisse. Opelousas 10 Octobre 1868. A VENDRE. Un wagon neuf, venant d'e. tre acheve. On le cedera a tres bon marche. Aussi: Un char-.ibane neuf, un Buggy decouvert et on autre char-A-banc leger, de seconde main. S'adresser a P. GOSSELIN. Opelousas 4 avril 1868. 43 A vendre a l'amiable. UTNE propriete consistant en uue peti- te maison de r6sidence et deux ter- rains, situes dans la ville d'Opelousas. Pour plus amples informations s'adres- ser au bureau du Courrier. 28 mars 186i. 42tf-LDV A VENDRE A L'AMIABLE. UTNE jolie residence situde en la ville d'Opelousas, consistant en un ter- rain, une excelleute maison, un magasin, cuisine &c. Aussi: Un fonds de Grocerie, meubles de maison, &c. Pour les particularites s'a :esser sur les lieux A ELEONORE LESASSIER. OIpelousas 11 Janv. 1868. 31tf Avis. LES amateurs de I'tdlve des chevaux sout pr1venas que TO M, issu de DICK, sera livre an public pour Ia saison qui commencera le Samedi, 4 Avril 1868. Pour la facilitd des ~leveurs, cejeune 6talon, si avan- tageusemente eonnu, et qui ai fait ses prenveos, quand a la beaut* et ai la suptriorit6 de ses pro- duits, stationnera les Samedis et Dimanches de chaque semaine, 1 l''curie de M. John Reed, i Washington, les Mercredis et Jeudis chez M. Ur- sin Cormier. an Caran.ro, et les Lundis et Mar- dis, chez son propridtatre, M. Joseph L. Carribre, au COteau die Plaquemines. 7 Mars 1868. Chevaux et Mulets a Vendre. Le soussignti a constam- ment en main un lot de chevaux et de mulets Ai vendre it bon marche pour du comiptant. On peut les voir en tout temps it l'habi- tation de Dupre & Comeau, (ancien ha- bitation de Joseph Gradenigo.) A vendre aussi, Juments farouches. S'adresser au soussigne, A Opelousas. ALCEE DUPRE. Opelousas, 17 Aofit 1867. 10tf. PENSION BOURGEOISE. L E soussign6 ouvrira, ie ler de Fevrier prochain, dans les bitisses de la Vieille Banque, prbs de la Maison de Cour, i O- pelousas, une Pension Bourgeoise pour la convenance du public et des families, soit par jour, par semaine ou par mois. II espbre par ses soins et la modicite de ses prix, satisfaire taus ceux qui voudront bien le favoriser de leur encouragement. JAMES G. HAYES. Opelousas 25 Janvier 1868. 33tf A VEDRE. U NE residence agrBable, situee en cette ville. S'adresser a JOHN POSEY. Opelousas, 10 Octobre 1868--n1m. AVIS. LE propri6taire du cheval dont suit ]a descrip- tion pent avoir de ses nouvelles en s'adres- sant a William McDaniel on Jack Bass, sur le Calcasieu, dans la Paroisse des Rapides. Description: un beau, gros cheval bai (rouge) haut de 15 a 16 paumes, marqu6 sur l'6paule droite R criniere et queue noires. Ce cheval a et6 arrate an commencement d'aont dernier. 17 Octobre 1868. Im Aqo s amis et Clients. L ES soussignes ont l'honneur d'an- noncer a leurs amis et clients deia Paroisse St. Landry qu'ils ont 4tabli, chez Pitre & Carrilre, a Washington, et chez Michel Emonet et Joseph Camy, a Gros Chevreuil, des depots de toile, corde, cer- cles en fer et ficelle, pour l'emballage du coton, oh ils pourront obtenir la quantite qu'ils desireront. BERAUD & GIBERT. Nlle.-Orlisns ler Septembre 1868. .3m _... - -- - -- - _-- PROFESSIONS ET ME TIERS. A. BAILEY & E. D. ENTIL 9,II'I'TE, AVO('ATS, P RATIQUERONT dlais C• (mur re l'a- roisses St. La:idry. lifayett , Virvintnilh,, ('aleasieo , St. M artin, Ste. laria et Avo .ell,... John H. Overton, S\()CAT-JC[:HISC((INS['1TE. nreup ris a pro fussion et exervera 41;t1-, fu.. ('ours ,[•s 711c. et Sine. 11isri tsjiuliciniw> di ,c t Elt:t. S4., Ino- rel n est is ( Opelous.as. rl He li t u . 1" I;n .1ui uon de Cou '. [1$ Ih:nt JOHN `M. TAYILOI, AVOCAT, O:LtrrSAS. Lne. -EXERCERA dans les Cours dnuI[uitilfe District Judiciaire ainsi que dans la Parnisse St. Martin. Les affaires quii lui seriiat rottices recevront uneprompte solliciitude. et nlle atten- tion particuliere sera appliqgn& i la colleetiou ides reclamations et .t la poursuite des affaires ,,nt on voudra bien Is charger. [15 Sept 1 6(;. JOSEl!1 31. 3)OORE JuHN J. M11LGAN MOORE & MORGAN, OPEfLOUSAS, LNE., O NT fornmd ine sociut•t. et i'xcrc1ront leur profession dLans les ParoisBCi de St. Lan- dry, Calcasieu, LafLyette, Avoyelhls i't Pointe Coulpe. [17 Aoiat 1s6i7--li tf WILLIAMI MOUTON, Avocat. i XERCERA sa profeission dans lea Paroi•Aes Laltyette, Vel-unillon, St. Landry., St. Mar- till et Calcasiun. Bureau i Verunillourille. Arc. D)ELANSc. RoTr .S. PEurY. DEBLANC & PERRY, Avocatw, E XER(ERONT dans les Paroisses St. Mar- till. Ste. Marie. Veruiillon, Lafayette et St. Landry. Bureau as St. Alartinville. LouIs J. GARK. GABRIEL A. Focurx:Er. Gary & Fournet, Avocats a St. 'lartinville, Lne., EXEIWCERONT leur profession daiii les l 'a roisscs St. Martin, Ste. Ma.rie. Lafayette et Vernillon. [2 Fev. ly ED. E. MIOUTON, Avocat, E X R:CERA sa profession dans lea Paroisses it. Landry. Lafayette, Vermuillon. St. Mar- tin et Caleasieu. liBureau Vermillonvi ille. Leonce F. Lastrapes, ENCANTEUR PUBLIC dans et pour la Paroisse St. Landry. Bureau a Opelousas. Opelousas 18 avril lS68tf J. K. DIXON, Notaire Public. Bureau k Opelousas, Lne. [20t avril. Charron. SE soussignn informe respectueusement L les citoyens d'Opelousas et de ses en virons qu'il a ouvert un atelier de charron sur la rue Dumaine, pres de la forge de 1M Jobin, ofi ii est prdpare a executer tous les travaux dependant de sa profession avec promptitude et a des prix moderes. ALFRED PERRY. Opelousas, 7 Mars 1868. 89-3m College Jefferson Ste. Marie, Paroisse St. Jacques, Lue. LA session prochaine de ce College commen. cera le ler Octobre. Les Peres Maristes. 9 ui le dirigent, soat a mime de donner a leurs elIves une education Franaise, Anglaise, Ma. th6matique et Classique complete. PRIX-payable d'avance-$90 en or, (on son Iquivalent) pour mi-session de cinq mois. Pour plus de details, s'adresser an PrEsident on a MM. Poursine & Co., rue Natchez, Nou- velle Orleans 10 Octobre 1868. Im Bois de Charpente. 30 000 pieds de BOIS DE CHAR- S . PENTE a vendre a bas prix et a des conditions avantageuses. S'adresser a E. PHILLIPS. pros M. Ealer, 19tf. J Rue Main, Opelousas. 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U•NE BELLE HABITATION daS800 arpents de terre tres fertile, situde au Petit Bois, sur le Bayou Tdche, Paroisse St. Landry, dont ,me partie boisde;-le tout exempt de coco. Aussi:-UN TERRAIN, situd dans la ville d'O- pelousas. [IPour les conditions et autres particulari- t(s, s'adresser au soussigui, our l'habitation plus haut d6signde. J. F. RAVIOL. Petit Bois 21 mars 1868. 41-tf TERRAIN POUR LA FO1RE. CELUI qui possede un morceau de terre C de 4 a 10 acres de superficie dans le voisinage de ia ville d'Opelousas, et dont ii voudrait disposer, voudra bien s'adresser au soussignd, A Opelousas. A. L. PLOUGH. 22 Aout 1868. lltf A VENDRE, 1600 Arpents de Terre. UTN certain morceau de terre. is ldans at Pa- U roisse St. Landry, sur le cAtet onest du Bois Mallet, i environ 10 milles de la dille d'Opelou- sas, an quartier communimcent appeld I'Anse Bourbeuse, consistant en la section 7, Township 6 sud, rangde 2 est, contenant 1362 acres et qua- tre eentibmes, 4tant 6gaux a 160 arpents, dlont environ un tiers eat terre bien boisde. Cette terre est la mime qui fut eonel6Pe et confirmnde t Ia veuve de feu Antoine Boisdor&. par acte di Congres. et rapportie par les Commissaires, dans leur certificat B, No. 1109. et consistant en qua- tre morceaux de 400 arpents chaeun. Le mor- cean e-utier de 1600 arpents sera vendu d'un seul lot on divis6 en morceaux de cinq arpents de face sur quarante de profonideur, de mraniBre . favoriser les acqubreurs. Le plai de cette terre pourra Atre examini an bureau du juge Martel, 1 Opelousas, qui donuera toutes les informal ions v relatives. La situation cat excellente pour y Itablir un moulin a scie. Cette terre sera vedndue par lots de 37 aresr !hacnn. I1 y a 36 lots. dont 19 lots de terre de irairie, 7 lots de terre et bois, et 10 lots de terre Conulitions:-Un cinquib"me comptant et le sur- llus it no et deux aus. JULIEN A. PROVET, 21 Dec. 28tf Alminis.traterte. ANNONCES BE LA N.DR ,ANS, P. CA~ju A1A H AND e rn.pIov itsinsvi &ec. No. 16ere (onti, 1) i11.` raioii . l. l.. ('4m Ii LI' Marchand CommisaionnairP bI . ( onti eOt ('I' N}o. U t e i l 1 l ent sproduits ni ni Se, 1,I aIle. itt tern ,M 2l1ga lie*' r 0. . b hauilage ar le' 01)1)) (y i dcVr. Ini itre rXpedi' '0i !~ 7 _____. _ t Bloch Freres, Y akC I:1]l, de (:oto et Mna1`01an~l4 ("arnrn I' icnnlairea, No. Ir i ie(1 sCnuam ir O ),rle ':\s, apporte nle trie td r i i tCkrnn 'xpeitionll noisaes ehleZ .1. Bloc)h A ('o, a (i)r. ItO)ss. i T1 ront nIln promptpi. i11 tLruI) Isaacson, Seixas & Co., jj 1 AhHIMC IY'nS eitndr deou Co tblb Ihest t1," Grrocerie 41e lr fk iiij t importatrnis de vim t tins, ILisellls it liitrienrs. No. i rn' de la 'm manoe. NOIUVELLE OI(LELA\5 A L6". 11. TSAMOO.i',N. HENRYK O. Si txS. J [Se'pt. 2x2. I1i(;fjlr J. A. Bonitafon, 71/r4RC HArND COM BI SP8ONNAIRA1G n p, pI n"ral et marchand do Vln 0 " Easx.d *Vir, I Cordianx, 5 c.. No. 20 Rue Conti, e't~y Cayr- tres et Vielle , evbe, Nov:it 1t).onFA\.Sb Nouvelle.-Orleans, 3(t Septembe ]IJ(B A. biF::ZMnARE, MARCIAND COMIIWISSIOITAIRn I.-r 0---- FACTFUIt EN COTQNy No. 5G. rte C(aronntldet. July 1--3] NOUVELLE ORLEA',. Joseph Beraud. 5 P. G. Gibert. Opelousas. I Nouvelle Orleanss BERAUD & GIBERT, F AC I'EI'IP de coton et Marchandis Commis. sionnaires, No. '21 rue Cnrondelet, entre les rues Canal et Communie. a lor ,tage, NOUVELLE ORLEANS. N. B.-Par procuration sleciale, MM. Pierre Ry a le droit de thire usage' du nomr de la Societe. 8 Septmbre 18;66. ly L. MOI LOR, SUCCEISSEIR DE J. B. L.ANG, No. 5:l rue Vieille Lever, encoignore Bienvile, et 141 rit da Chartres, encoignmre Tonlolse. If ANUIFACTUTRE i lai vapenr de tabae a ._i1 f[nmer et a priser. .t importateur de touti espice de Cigars de la ]lavane. tahac . ehiqiuer, pipes. &e. NLLE.-OILEANS. it. . 'INlNEI . I -Nutchlituehc, M. Labusquiere & Co. -,fARCHANDS COMMISSIONNAIRES et 1i1 expedrtirnniaires, pour la vente de toute sorte de produits, No. 17 rue St. Philippe. pres du Depot du Rail Road des OpCloisas. Oct 24-(im N.-Orleans. J. P. Sarrazin, Mallufacture de Talll ei la i vapeur, Nos. 91 et 93, encoinnr Chllartres et Conti. NOUVELLE-ORLEAtNS. TMPORTATION directe de Pipes Franiaises, 1 Allemnanldes et Anglaises. Toujours en mains un bel assortiment de tabac en feuillbs pnur ei- garres, ainsi qu'ull chuix des plus onmplets de Cigarres dn pays. at de la Havane. Nos cigarres de la Havane sont l'importation directe et des marques lea plus favorisies. Le soussign Informie se's amis de Ia campagne qu'il a toujours en miains nn excellent stock de Tabac a fumer et a chiquer, pret a SIre delivrc snr commasde. $Su PIPES DE MEARSHUM, de racie e Brrnybre, de Caontcn'iec et de terrn, ne peuvent titre surpassees a Is Nouvelle Orle- ans quant aux prix et anx qialitis. Ses anciln- nes et ulouvelles pratiques itonveront tn grand avantage en vtsitant sa me)nufibture 0h vapeur, ainsi que seas sales de vente. EllIs s'rt irbs con- nuels n Louisiane et dans les antres Etats. et de- fient toute coumpetition. J. P. SARRAZIN. 4 Janvier 1868. Ia Frrblantier. L E stu•ssignF allllncelll respllletlelsllemllt i Res mluis et an pulblic en gll ural quil es6t ]pr t ,i ftire l rt;lparr tolute esp i ee t ' unvrlge de ferblttleri ori x l pluls i• u llt r6 at tlans le plus bref delai. oln atelier eat rue Main. JOS. SAIIRAIL. I lpeloias, 19! Scpt. l1C,( . i1 PI'1EMI1ER IPRIX ET MEDAILLE D')10 Accord6 au Poole de Cuisine dit BUCKS PATENT BRILLANT STOVE. A PRES deux jours d'essais a la Faire I do I'Etat de la Louisiane, tenue a la Nouvelle-Orleans, en 1868, contre torts les meilleurs poeles manufactures iux Elats. Unis, le Poele de Buck a obtenn le Icr prix et une midaille d'or. II a anssi ob. tenu le premrier prix a toutes les Foires de St. Louis depuis 1866. Plus de 300,000 de ces poles out etre vendus, dans leas .- Unis aeulement, et tous ont donne satis- faction generale. Une reduction liberale sera faite sut agents dans I'ipttrieur de I'Etat. H. HALLER, agent. No. 49 rue du Camp, Magasin de depot No. 18", rue Tchoupi- toulas. 20 Jnin--la] NLLE..ORLEAN% ]lP-Loris DE.BREST agent, Opelousas. M. S. SHIRK, PROPRIETAIRE de la psatente et marchasnd en drail, du FLUIDE E DE PETOLE paterte, de Lampes,garnitures de lampes, Ver. rerie, &c. No. 139 rue Poydras, entre le rues du Camp et St. Charles. NLIE.-ORLEANS. 3 .Tons les ordres seront promptement remplis. FLUIDE DE PETROLE. Ce fulidi nre fume pas; it ne repand lletine manvaise odeuren briidant, et ne peut pas faire explosiou. II nt graisse ni les mains ni le linge. Anicume matiere griasse ni sale nee se forme a l'exterieur de Is lampe. II brule avec un elat plus brillant, plus stable et plus agr6able qu'aucuue autre huil de echar- bon. On s'en sert avec toutes les lampesa qui out I'appareil de Marcy, ou celui de I)iamond ou de Light House Burner. [19 Sept. 18•" Le Courrier des Opelousas, Publie le Samedi par JOBL H. SANDOZ. CON LDI'IONS: L'•tlonnmemcnt sera do quatre piastres par an, payabl's dl'avaie, on inq p r p aiia psyabllis la fin de I'ann e. Celui qui desirera susp•tldir sol abounnelllnlt devra en dlonner avis par eclit,- Seel ce ffet, et payer lea arlelragea: it ailcru abuiti IIInniet li0e sire slsp.jldll si lea alrirrertgt nI sent rigles, a inmins qne I'editeur ne le jngie a pops: ; Les uais s ' paieront CeinliuaIt' cents par caire pl"r 'ch nque insertwu . luit lign .s oin lO e.ty coinstillierlnt an carre. Les avis quli srront e.lvoytiS pr enr publ'ii seront inseres en Frani:.air et en A •glais (it Ilnll"S qulll'i l' suit autrtelnelt ullundne) Iu•qul t e qIll t'6diteur juge a I propos de les disiconutillinr. Les cant.idnts anx t~.rears pmsliiqu.es J,-vrei paver qiiZII e pihlstr dL av:,l i, s il, vul, it ti 51111,)11" i S.

The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1868-11-21 [p ]

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Page 1: The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1868-11-21 [p ]

MELA N GES.

Les t'onlrees di Nord.

An nmomnent oji l'attention pu-b)lique est fixde sur les projets devoyage et d'exploration vers le po-le Nord, et que dt qj l'expeditionanglaise et l'expddition allemandesont en route pour cette destina-tion, on lira avec intdret les ren-seiguenmeuts qui suivent sur Iescon trees septentrionales, aux a-bords desquelles les explorateursdevront arriver.

Le Spitzberg est le pays le plusseptentrional que nous connais-sious; ii est aussi le plus froid, etl'air y est tris vif durant l'6te; lesoleil y reste plis de quarantejours sur l'horizon, mais ses ray-ons out si peu de force que l'apre-t6 du froid n'en est que tres peudiminude. Ce paps n'est habir6dque par des ours blanes i piedspalm6s, d'une grosseur et d'uneforce considerables, par des re-nards gris et des rennes surchar-gds d'une graisse qui a la funestepropri6t6 tie donner la dyssente-rie a ceiLX qui en mangent, et pardes canards de diff6rentes cou-

Le sol ne produit ni arbres niarbrisseaux. Ce pays n'est pointhabit6 par l'homme.

La Nouvelle Zemble, grande ilean Nord de l'Asie, dans la mer gla-ciale, est le plus misbrable pays deI'univers; ii est rempli de monta-gnes et presque entierement cou-vert de neige.. Elle u'est pointhabitie, mutis elle est fr6quent•epar les Samoyedes qui y passentvers le milieu de Mai, et qui s'y,occupent tout le't6 a la chasse eti la peche.

Les Hollandais, qui aborderentsur la cote orientale de cette lieen 1597, ceesfrent de voir le soleildepuis le 4 de Novembre jusqu'au20 Janvier 1598. Ils le virent oncrurent le voir i. cette derniere da-te. Ils ne devaient pourtant l'a-pereevoir que quatorze jours plustard, d'apres les riglcs de 'astro-nomie. Ce que ces navigateursprirent pour le soleil n'dtait qu'u-ne parhelie.

Lo Groculand, grande presqul'i-Ie aln Nord-est tie l'Amrnrique sep-teutrionale, no produit aucun ar-bre, si ce n'est vers le Sud, et lessoeuls qui y croissent sont des sau-les, des bouleaux, des aulnes, quel-ques buissons tide genievres, de gro-seillers et de ronces qui ne portentque tie mauvais fruits. Mais leslichens y sont en quantitd; ils sonttIe s nourrissants et ils y engrais-sent cll pen de temps les animaux.

On y rencontre quelques lqua-illrupbdes, beaucoup de poissons:la balohle, le harangi et la moruey abondent. I1 n'y a an Groen-land aucun serpent ni reptile ve-Ilimeux, non plus qlue dats Spitz-l)erg et l'Islande, et commle dans Itous les pays oii ii fait ul frioid ex-traontinalire.

Le froid y est d'une telle inten-situ qu'il fait geler les liqueurs lesplus fortes, mnme dans les en-idroits les plus rechauff•s. Ce qu'il

y a de remarquable, c'est qu'il aug-imente d'auide en anude, et quecette ile oii l'on semait du b16 etqui &tait encore couverte de forttsii y a quclques centaines d'anndes,ne possede pluls que des arbris-seaux rabougris.

Depuis le commencement de.Juin jusqu'au commencement dumIois d'Aofit, le soleil y est chaud,trbs brillant et ne quitte pas l'ho-rizon, de sorte que les Groenlan-dais u'ont pas de nuit. A la tind'Octobre, jusqu'en Janvier, ii nelarait pas du tout, onu seulementdeux on trois heures. Un crepus-cule de plusieurs heures r6panduneelart6 qui dddommage de l'ab-sence du soleil, et l'aurore bordalesuiccde chaque jour an cr6puscu-le. Elle brille tout lhiver et jetteune lueur qu 1 surpasse le plus beauclair de lune.

Les Groenlandais ne differenten aucun point des Esquimauxqui habitent le Nord de 1'Ambri-que septentrionale; ilsconstituentensemble un m6me peuple et unememe race d'hommes, dont l'idio-me, les mleurs, les usages et la fi-gure se ressemblent.

Ces peuples sont lestes, adroitset infatigables A la chasse et A lapcehe; les femmes ledisputent auxhommes en force et en adresse; ilsne vivent que de viande et depoisso"-. I/eau pure, l'huile depoisson forment toute leur bois-son.

Les environs de la baie d'Hud-son, la plus considdrable de cellesdel'Am6rique septentrionale, pr6-sentent le coup-d'Peil le plus af-freux. De quelque c6tes que 1'onporte seS regards, on n'aper oitque des terres incultes et st6rdles,ieeomcohers escarp6s qui s'6lventfJisqu'aux nues, enfin des ravnesprofondes et des vall6es toujourscouvertes de neiges et de glaaons.

Danes ces contrues, le soled no.se Ilve i•e ne se couchejamais sansnn grand c8ne de lumiere. I/au-ppre bor6ale succede A ce ph6ao-

mine et r6pand un eelat qui a'estpas mAme effae6 par la pleine lu-ne. N6ianmoins, le ciel y est assezs• •. Qitque les 8 laenrs soientassez vives pendant deux mois de

f'te, le tonnerre et les eclairs s'ymanifestent rarement.

Les habitans de ces malheureuxpays ne diff"rent pas des Groen-landais. Tout s'y ressent de lasterilit6 de la nature. On n'y voittde toute part que l'eftit (l'une fai-blesse d'.organisation et d'un froidqui resserrent et contrarient le dd-velopplement des orgalncs.

Quoiqlue dans le voisinage despules, le froid semble arrter lcprogrbs de la vie veg6tale et ani-male, la nature, pourtant, y estanimde en apparence. La mer areu en compensation ce qui man-que i la terre. La nature y dd-pense antant de forces ' aniumerles baleines, les phoques, les in-nombrables essaims de harengs etde morues et ces nnues d'animauxaquatiques qui obscurcissent lasurface de l'Ocean glacial, qu'elleen eimploie ailleurs pour organiserles plantes, les arbres et une vari-

t6 prodiigieuse d'etres vivants.

EV" Le philosophe Duclos croy-ait avec raison que les exercicesdu corps d6lassaient la pensie. IIvenait tous les jours faire sa plei-ne ean dans la Seine. Intrepidenageur ii se livrait a des assautset a des plongeous de nature a 6-gayer la galerie. Une aprbs-midi,dles chevaux, efliayds par ses exer-cices, p)rirent le mors-aux-dents ets'dlancerent dans la direction dufleuve. Ils allaient s'y precipiteravec la voiture qu'ils trainaient,quand Duclos, sortant de l'eau(lans le costume d'Adam avant lafaite, se jette i~ leur tate et rtus-sit i~ les arreter. Une femme, quise trouvait dans la voiture, deman-:ait a grands cris qu'on lui ouvrit

Ia portiere. Le philosophe obeitai cette invitation et lui offrit samain. La dame alors de se rejeteren arribre, epouvant6e.

-Oh! pardon, Madame, dit Du-clos, excusez-moi si je n'ai pas degants.

Et refermant la portiere, ii allafaire un nouveau plongeon.

BON PETIT NEGRE.-L'aUtre jour, vers6 heures du matin, un jeuna negre passaitdans Pearl Street, portant sur ses 6paulesun enorme paqaet de cordes. Un officierde police lui ayant demand6 old it avaittrouve cette corde, le negre repondit qu'ilI'avait trouvee a Syracuse, et que la policede Buffalo n'avait rien A voir dans unetrouvaille faite si loin des limites de cetteville. L'explication ne parut pas suffi.sante au policeman. qui arreta I'hommenoir. Traduit devant un magislrat, ilavoua qu'il eavait pris la corde, mais ilajouta qu'il ne croyait pas I'avoir vo!e.Le juge, qui est radical, se laissa convain-cre par cette magnifique defense et ordon.na la mise en liberte du prisonnier, qui,en sortant du tribunal, trouva myen dereprendre la corde, qui avait ete deposeedans tin coin. Arre•b de nouveau, aumoment ocl it cherchnait a la vendre, ii re-parut devant son juge qui, cette fois. semontra fort irrite. Les choses prenaient Ievidemment une mauvaise tournure pour 4

le negre, lorsquitl s'avisa de faire un speechsur les nialheurs de sa race .... et depromettre de donner sa voix a Grant auxprochaines lections. Le juge fut touche,et lui rendit sa liberte et sa corde.

Phare des Lacs, Buffalo N. Y.

LE PLUS PETIT HOMME DU MONDE.-II ya en ce moment, A Washington, tn nain ,applele Charles Derker, qui est age de 20ans, qui n'a que 31 pouces de haut, et qui ?nie pbse que 45 livres. Son corps est bienforme, et son esprit tres dtveloppe. IIgagne la vie de sa mnre et la sienne en tvendant son portrait et I'histoire de sa vie. cII a toute la tete de moins que le commo- cdore Nutt, et est par consequent beaucoup splus petit que Tom Pouee. II est ne dansle Mississippi et habite le Tennessee. II 4est venu faire ine visite au President, qui sI'a tres bien requ.-Phare des Lacs.

-M. le comte de X....... s'est ruine enchevaux et en biches. c

II vit aujourd'hui un peu par-ci, un peu cpar-la, rucoltant les diners qu'il a semts rautrefois.

Hier, il arrive cilez un journahste justeA I'heure du repas:

-Faut-il le recevoir? d-Recevons-le tout de meme, dit I'&cri-

vain..... bien que ce soit un comte renduparasite.

-- ueIques petits renseignements pari.siehs dane la ebronique de Ia Situation:

"Les cola trbs eleves qui guillotinent leaoreilles s'appellent des Cols Sansom,

"Ces enormes nceu d s qoe led• femniesportent au bas de la taille, dans le dos, elqui se complctent par deux rubans tres lar.ges et tr~s longs retombant s'appellent desPince, moi Ca.

"'Enfin, lee anciens 8uivez-moi, jeunehomme, que lesa jeunes filles n'ont peas a.bandonnes, ont etd d6baptisas pour s'ap.peler des Prot*gez-moi, mon P•dr."

-Deux ivrognea trebuchant & toes lescaillou et ase tenant etroitement embras.ses, s'arancent sur le boulevard Montper-nasse, ii Paris.Le premier s'arrate, et de la voi- que

vous connaissez:-T'es mon ami, toi ?L'autre repond:-Oui,j'suis ton ami.....Its reprennent leur marche, et an bout

d'un moment:-T'es mon ami, n'est-ce pas I-Oui, j'suis ton ami......-Eh bien! ta fetnme Nros tromnp.

On dolt faire attentioniuot aetionsles plus itnsiguifiantes qai affectenitle crd.dit d'u hommeo. Le bruit de votre mar.teau entendu i cinq heurme d matin ou &neuf heure. du soir, par un er6aacisr, leread facile pour six mais de plus..Mais, s'il vous voit i on billardhou s'il

enteud votre ve x d .anaune taveOi quandsone devre'zire t 'ouvr,~je it envolechercher son argent tole iidenaina, et ledemandeenblb, avant l'hchbance.

Franklin.

COUR DE PAROISSE.PAROISSE ST. LANDRY.-No. 3221.

\/FANON JEAN LOUIS, de la Paroisse St.I.V Landry, ayant present6 une p6tition dans lebut d'etre nomme administrateur de sla sneces-sion de feu Joseph Antoine, affranchi, d6c6de,de la Paroisse St. Landry;-

En consequence, avis est par le pr6sent donneaux interesses dans t.tre succession. d'avoir adeduire. par ecrit, au Greffe de ladite Cour. dansles dix jours qui suivront la date du preseint avis,les raisons. si aucune ils lot, pour lesquelles ii neserait pas fait droit a ladite petition.

JOS. I). RICHARD, Greffier.Opelousas 14 Novembre 1868.

COUR IDE PARIOISSE,Paroisse St. Landry.-No. 3214.

A DEOLE MALLET, de la Poroisse St. Lan.dry. ayant enregistr6 nne petition deman-

dant a itre nomme administrateur de la succes-sion de feu Azslie Mayer, 6poise diced&e deThbogkne Stelly, dernierement de la ParoisseSt. Landry;-

En consdquence, avis est par le present donndaux interesses dans cette succession, d'avoir adeduire, par ecrii, au Greffe de ladite Cour. dansles dix jours qui suivront la date du present avis.les raisons, si aucune uil out, pour lesquelles ii neserait pas fait droit a ladite petition.

JOS. D. RICHARD, Grefiler.Opelousas 14 Novembre 1]88.

COUR D:E PAROISSE,PAROISSE ST. LANDRY.-No. 3215.

F RANCOIS P. DOBCET, h. c. I de la Pa-roisse St Landry, ayant enregistr6 une pe-

tition a l'effet d 6tre nomme administrateur de lasuccession de feu Pauline Demaiet, affranchie,son 6pouse d6c6d6, dernierement de la I'aroisseSt. Landry ;

En cons6quence, avis est par le pr.sent donnaaux interess6s dans cette succession, d'avoir adeduire, par 6crit, an Greffe de la susdite Cour,dans les dix jours qui suivront la date du presentavis, les raisons, si aucune ils ont, pour lesquel-les ii ne serait pas fait droit a ladite petition.

JGS. D. RICHARD, Greffier.Opelousas 14 Novembre 1868.

COUR DE PAROISSE,Paroisse St. Landry-No. 3216.JOSEPH L. CARRIERE, de la Paroisse St

Landry, ayant enregistr nune petition aI'effetd'etre nomm6 Administrateur de lasucces-sion de feu Cleste Doucet, dec6dee, dernibre-ment de la Paroisse St. Landry ;

En cous6quence, avis est par le present donneaux interessas dans cette succession, d'avoir ad6duire, par ecrit, an Greffe de la susdite Cour.les raisons, si aucune ils ont, pour lesquelles iine serait pas fait droit a ladite petition.

JOS D. RICIIARD, Greffier.Opelousas 14 Novembre 1866.

BOTTES POUR ENFANTS,D E tons les numeros, chez Phillips,rue Main, pros le bureau du Cour-

rier des Opelousas.

AVIS.L ES pcrsounes qui ont des reclama-

tions contre la succession d'Eugi-nie Fuselier, 6pouse dice6dde de fen LouisSoilean, sent par le present requises delea presenter au soussiguB on A Messrs.Moore & Morgan, avocats, A Opelousas,pour en faire une classification.-Et cel-lee qui doivent A ladite succession sont4galement averties d'avoir A venir payersans delai.

E. DUBUISSON,Administrateur.

Washingtcn 7 Novembre 1868. 22-2tGRtOSSES BOTTES

A $4 la paire, chez Phillips, rue Mainpr6s de chez M. Ealer.

Taxe! Taxe!!N vertu de la loi, Ies contribuables de

la Paroisse St. Landry sont par iepresent asertis que je suis des aujourd'huipret 6 recevoir, a man bureau, a Opelou.sas, la taxe d'Etat d'un pour cent sur I'e-valuation au comptant de toutes proprie-trs mnobilires et immobilibrts de I'Etat,conformnament no tableau d'assessernentpour I'annee 1967.

Les instructions aux Collecteurs destaxes disent. "ouns additionnerez ensem-ble le montant porte dans la colonne surle tableau des taxes de 1867 intitule"MJontant total de's propi i0ds taxables dechaque personne, compagnie, corporation,4-c. compris dans les hurt colonnes prdcE.dentes" et le montant indique dans les co-lonnes intitulees: "Manta. I total des pri-mes gagndes chaque annie par des Com-pagnies d'assurance itrangeres qui n'ontpas obtenu de charte de I'Etat, svjet a lataxe d'unpourccnt," s'il y a un montantquielconque porte dans I'une ou I'autre desdites colonnes, et sur le montant total ainsi pris, collecter une taxed'un poutr cent."

En paze nent de cette taxe, je suis au--tpris6 a recevoir tous les coupons d',nterets•ur les bons d'Etat qui sont dris ou qmt se-ront ddus le ler Janvier 1869, sur les bonsemis avant le 26 Mars 1867, les warrants-mis contre des appropriations faites pendant les annde 1866, 1867 et 1868, lescertifica's d'Etat 6mis en vertu de l'actoNo. 5, de 1866, et les warrants de la Con-vention 1868, soit qu'i4s aient 6t6 6mispour millage, per diem des membres, lapate des officiers, les impressions ou lesdepenses contingentes.

JAMES G. HAYES,ShCrif et Collecteur.

Opelousas 24 Octobre 1868. 20tf

Vetements faits,_Pdur enfants et pour hommes, i ven-

dre chez Phillips, rue Main, ti 50 pourcent au-dessons da prix ld'achat i New-York.

MARCH lNDISES NOUVELLE8 IL ES soussignns appellent I'attention de

leurs amis et du public en g6neral Aleur grand assortiment de marchandises

d'Automne et d'Hiver,que none vrenons de recevoir de Il Nou.velle Orleans, et que nous. ofrons A ven.dre A bas prix pour du comptant.

BOIS DE CHARPENTE.Nous avons toujours en main un assor.

timent considerable de bois de charpente,pieux etc. que nous veondrons Agalemnent Abon march6.

Ceux qui voudront faire de bons mar.chos feront bien de venir examiner nosmarchandises et nos prix avant de se ren.dre ailleurs.

E. DUBUTSSON & Co.17 oct. Washington, Lne.

Le jour est arrive!L ES eontribuables qui n'ont point encoreJ payg lears taxes d'Etat de 1867 et lealicences pour 1868, soot avertis queje com-menierai, Iundi preehain, 12 Oetobre, Alancer des notices A toua les dlinqaents,et A Hollecter aves frais ,

. :AS G. HA YES,shar o C' olt&er des tales 4 .

Opelousas 1( Octobre 1868. Im

PRES DE LA MAISON DE COUR,

OPELOUSAS, Lne.

Nouvelle Pharmacie.

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J que semaine avec des drogues pu-res dui pays et de l'Ptranger. On y trou-ve toutes les medecines patentPes lesplus renommees.

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Les mrdecins, les habitants et lea mar-chands sont respectueusement sollicitns.

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de chandelles, informe le publicqu'il 'prendra du suif en Echange de samarehandise. Ceux qui out besoin deces articles se tronveront bien de 1'Pchan-ge libdral qu'offre lIe soussignd. 11 garan-tit que ses chandelles de 6 h Ia livre,dureront 9 heures. A. BORME.

Opelousas 12 Sept., 1868. 3m

On demande., EVX qui out tdes meubles de secon-de main tels que bois de lit, mate-

lats, tables, chaises &c. A vendre, pour-rorut s'en d6faire en s'adressant immddia-telent au soussignd.

A. L. PLOUGH.h la rdsidence de James G. Hayes.

Opelousas 24 Oct. 1868. 20-2t

A VENDIRE.T-TN REVOLVER A 6 coups.

S S'adresser au bureau du Courrier.24 Octobre 1868. 20tf

B(EUF! B EUF!D ES anjourd'hni nous pouvons detailler la

viande de beuf i la Halle a meilleur mar-che qu'habituellement. Dorenavant nous lad1taillerons A raison de six cents ia livre, et par50 ou 100 livres, au-dessous de ce taux. Nousosons nous flatter de ponuvoir satisfaire (tant sonsle rapport de la quaiitd de Ia viande qu'autre-meat) tons ceux qui voudront bien nous encour-ager.

C. COMEAU & J. G. HAYES.Opelousas 20 Juin 1868. 2tf

Louis STAGG. Mms. A. HINCKLEY.

Hinckley & Stagg,Marchands commissionnaires et Expedi-

tionnaires, Washingtob, (einpla.cement Hinckley & fils.)

QSONT prets i expedier tout le fret quik• pourra leur 4tre eonsignu. et achete.ront au plus haut prix le coton des habi.tants, on feront des avances en argent onen provisions, si ce coton est expedi4 parleur intermediaire.

rGrPLouis Stagg a egalement ouvert sneGrocerie au mxmae emplacement, ch ii sefera un plaisir de fournir des Grocerie, pro.visions d'habitation, cercles, corde et toiled'embahlage, wagons &c. &c. aux prix de laNouvelle Orleans.

Washington 10 Octobre 1868. 18tf

INSTITUT ST. CHABLES,Dirig6 par

Madame Clara Lefranc.PENSIONNAT ET EXTERNAT POUR LES

JEUNES DEMOISELLES.

Nos. 104 et 106, rue Bourbon, Nouvelle-OrlIans.

L A reouverture des classes a eu lieu dans. cette institution le Jer Septembre.Aux professeurs de musique, et si favorable-

ment connus, attaches a l'Institut, la Direetricevient d'adpoindre M. Eugene Prevost. a qui ellea confi4 le solfige, l'harmonie et le chant. Cet4minent professeur commencera ses cours le lerOctobre. Les jennes personnes qui ne sont pas6i6ves de I'Institution seront admises & see cours.L'auglais est enseign6 avec Ia mime sollicitudeque l• Frangais par des professenrs de grandeexperience.Four lea conditions. et pour prospectus, s'a-dresser ' la Ditectrice, on par lettre "Boite de laRenaissance Louisianaise" Nile.-Orleans.

17 Octobre 1868. tf

A vendre ou a louer,ALa belle propri6td aitude u l'en-

coignmre Main et Bellevue, Ope-lonsas, consistant en une belle

maison BA tage, avec 9 appartements, l'undesquels est install6 en magasin.

S'adresser sur les-lieux &CHS. PLAISANCE.

Opelousas 26 Sept. 1868., 3m

A VEND RE.2U BOUGOAUTS de charbon de PittsburgS'adresser It O. HINCKLEY & fils.2' aout.-11-3t] Washington, Lne.

PAQUEBOT REGULIER

ENTRE

Opelousas et la Nouvelle-Orleans.Le IBatealk1-vapelur fin mar-

cheur et d'nn fail . tirant d'e4au

J. G. BLACKFORD,

Capitaine C. C. PICKETT,Coumis, J. B. SmarMir,

P ARTIRA de Washington le D)iman-che nmatin , 10 heur.es. et de 1a Non-

velle-Orlans le 3lercredi soir .t 5 hcures.

Le fret et les passagers scront trans-

porths h aussi bas prix qu'aucun autre

bateau dans la meme navigation.Les affaires seront fiites st,'ictement

pour du comptant.AGENTS:

A Opelousas, Thdodore Chachere.A Washington, Pitre & Carrii re.Au Port Barre, Raymond I)eshotels.

C. Comeau.28 Dlcembre 1867. 29tf

Paquebot RegulierENTRE

OPELOUSAS ETLA N. ORLEANS.Le Steamer

CLEONA,Capitaine B. R. SPLANE, ayant fte coin.pletement rtpare, fera reguliirement unvoyage par semaine entre notre port et laNouvelle-Orleans, partant de Washingtonle MIercredi . 10 heures du matin, et de laNouvelle.Orleans le Samedi soir , 5 heu.res

Le prix du fret et du passage sera le me-me qu'a bord des autres bateaux.

Washington 17 Octobre 1868.

AVIS.Cours de Paroisse de la Paroisse

St. Landry.LE troisieme Lundi de Novembre pro-

chain, je tiendrai une session regulibrede la Cour de Paroisse pour ia Paroisse St.Landry, a la Maison de Cour de ladite Pa-roisse, pour l'audition de toutes les classesde causes str lesquelles ma juridiction s'd-tend;-et le troisieme Lundi de Decembreprochain, je tiendrai une session rdgulierede cette Cour pour l'audition des affaires desuccessions et pour la disposition des causesdependant de la Cour des Preuves et quinecessitent une decision en Cour siegean-te. Et par la suite, les sessions rkgulibresde ces Cours auront lieu le troisieme Lun-di de chaque mois, jusqu'a nouvel ordre.

A. GARRIGUES,Juge de Paroisse.

Opelousas 10 Octobre 1868.

A VENDRE.Un wagon neuf, venant d'e.

tre acheve. On le cedera atres bon marche. Aussi: Un char-.ibaneneuf, un Buggy decouvert et on autrechar-A-banc leger, de seconde main.

S'adresser a P. GOSSELIN.Opelousas 4 avril 1868. 43

A vendre a l'amiable.UTNE propriete consistant en uue peti-te maison de r6sidence et deux ter-

rains, situes dans la ville d'Opelousas.Pour plus amples informations s'adres-

ser au bureau du Courrier.28 mars 186i. 42tf-LDV

A VENDRE A L'AMIABLE.UTNE jolie residence situde en la villed'Opelousas, consistant en un ter-

rain, une excelleute maison, un magasin,cuisine &c.

Aussi: Un fonds de Grocerie, meublesde maison, &c.

Pour les particularites s'a :esser surles lieux A ELEONORE LESASSIER.

OIpelousas 11 Janv. 1868. 31tf

Avis.LES amateurs de I'tdlve des chevaux

sout pr1venas que

TO M,issu de DICK, sera livre an public pour Ia saisonqui commencera le Samedi, 4 Avril 1868. Pourla facilitd des ~leveurs, cejeune 6talon, si avan-tageusemente eonnu, et qui ai fait ses prenveos,quand a la beaut* et ai la suptriorit6 de ses pro-duits, stationnera les Samedis et Dimanches dechaque semaine, 1 l''curie de M. John Reed, iWashington, les Mercredis et Jeudis chez M. Ur-sin Cormier. an Caran.ro, et les Lundis et Mar-dis, chez son propridtatre, M. Joseph L. Carribre,au COteau die Plaquemines.

7 Mars 1868.

Chevaux et Mulets a Vendre.Le soussignti a constam-ment en main un lot dechevaux et de mulets Ai

vendre it bon marche pour du comiptant.On peut les voir en tout temps it l'habi-tation de Dupre & Comeau, (ancien ha-bitation de Joseph Gradenigo.)

A vendre aussi, Juments farouches.S'adresser au soussigne, A Opelousas.

ALCEE DUPRE.Opelousas, 17 Aofit 1867. 10tf.

PENSION BOURGEOISE.L E soussign6 ouvrira, ie ler de Fevrierprochain, dans les bitisses de la Vieille

Banque, prbs de la Maison de Cour, i O-pelousas, une Pension Bourgeoise pour laconvenance du public et des families, soitpar jour, par semaine ou par mois.

II espbre par ses soins et la modicite deses prix, satisfaire taus ceux qui voudrontbien le favoriser de leur encouragement.

JAMES G. HAYES.Opelousas 25 Janvier 1868. 33tf

A VEDRE.

U NE residence agrBable, situee encette ville. S'adresser a

JOHN POSEY.Opelousas, 10 Octobre 1868--n1m.

AVIS.LE propri6taire du cheval dont suit ]a descrip-tion pent avoir de ses nouvelles en s'adres-

sant a William McDaniel on Jack Bass, sur leCalcasieu, dans la Paroisse des Rapides.

Description: un beau, gros cheval bai (rouge)haut de 15 a 16 paumes, marqu6 sur l'6pauledroite R criniere et queue noires. Ce cheval aet6 arrate an commencement d'aont dernier.

17 Octobre 1868. Im

A qos amis et Clients.L ES soussignes ont l'honneur d'an-

noncer a leurs amis et clients deiaParoisse St. Landry qu'ils ont 4tabli, chezPitre & Carrilre, a Washington, et chezMichel Emonet et Joseph Camy, a GrosChevreuil, des depots de toile, corde, cer-cles en fer et ficelle, pour l'emballage ducoton, oh ils pourront obtenir la quantitequ'ils desireront.

BERAUD & GIBERT.Nlle.-Orlisns ler Septembre 1868. .3m

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P RATIQUERONT dlais C• (mur re l'a-

roisses St. La:idry. lifayett , Virvintnilh,,('aleasieo , St. M artin, Ste. laria et Avo .ell,...

John H. Overton,S\()CAT-JC[:HISC((INS['1TE. n reup ris a pro

fussion et exervera 41;t1-, fu.. ('ours ,[•s 711c.et Sine. 11is ri ts jiuliciniw> di ,c t Elt:t. S4., Ino-rel n est is ( Opelous.as. rl He li t u .1" I;n .1ui uon

de Cou '. [1$ Ih:nt

JOHN `M. TAYILOI,AVOCAT, O:LtrrSAS. Lne.

-EXERCERA dans les Cours dnu I[uitilfeDistrict Judiciaire ainsi que dans la Parnisse

St. Martin. Les affaires quii lui seriiat rotticesrecevront uneprompte solliciitude. et nlle atten-tion particuliere sera appliqgn& i la colleetiou idesreclamations et .t la poursuite des affaires ,,nt onvoudra bien Is charger. [15 Sept 1 6(;.

JOSEl!1 31. 3)OORE JuHN J. M11LGAN

MOORE & MORGAN,

OPEfLOUSAS, LNE.,

O NT fornmd ine sociut•t. et i'xcrc1ront leurprofession dLans les ParoisBCi de St. Lan-

dry, Calcasieu, LafLyette, Avoyelhls i't PointeCoulpe. [17 Aoiat 1s6i7--li tf

WILLIAMI MOUTON, Avocat.i XERCERA sa profeission dans lea Paroi•Aes

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St. Landry. Bureau as St. Alartinville.

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Gary & Fournet,Avocats a St. 'lartinville, Lne.,

EXEIWCERONT leur profession daiii les l 'aroisscs St. Martin, Ste. Ma.rie. Lafayette et

Vernillon. [2 Fev. ly

ED. E. MIOUTON, Avocat,E X R:CERA sa profession dans lea Paroisses

it. Landry. Lafayette, Vermuillon. St. Mar-tin et Caleasieu. liBureau Vermillonvi ille.

Leonce F. Lastrapes,ENCANTEUR PUBLIC dans et pourla Paroisse St. Landry.

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J. K. DIXON, Notaire Public.Bureau k Opelousas, Lne. [20t avril.

Charron.SE soussignn informe respectueusement

L les citoyens d'Opelousas et de ses environs qu'il a ouvert un atelier de charronsur la rue Dumaine, pres de la forge de 1MJobin, ofi ii est prdpare a executer tousles travaux dependant de sa profession avecpromptitude et a des prix moderes.

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presque A I'extr mit6 sud do cette rue.S'adresser an bureau da Courrier des 0-

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[IPour les conditions et autres particulari-t(s, s'adresser au soussigui, our l'habitation plushaut d6signde.

J. F. RAVIOL.Petit Bois 21 mars 1868. 41-tf

TERRAIN POUR LA FO1RE.CELUI qui possede un morceau de terreC de 4 a 10 acres de superficie dans levoisinage de ia ville d'Opelousas, et dontii voudrait disposer, voudra bien s'adresserau soussignd, A Opelousas.

A. L. PLOUGH.22 Aout 1868. lltf

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U roisse St. Landry, sur le cAtet onest du BoisMallet, i environ 10 milles de la dille d'Opelou-sas, an quartier communimcent appeld I'AnseBourbeuse, consistant en la section 7, Township6 sud, rangde 2 est, contenant 1362 acres et qua-tre eentibmes, 4tant 6gaux a 160 arpents, dlontenviron un tiers eat terre bien boisde. Cetteterre est la mime qui fut eonel6Pe et confirmndet Ia veuve de feu Antoine Boisdor&. par acte di

Congres. et rapportie par les Commissaires, dansleur certificat B, No. 1109. et consistant en qua-tre morceaux de 400 arpents chaeun. Le mor-cean e-utier de 1600 arpents sera vendu d'un seullot on divis6 en morceaux de cinq arpents deface sur quarante de profonideur, de mraniBre .favoriser les acqubreurs. Le plai de cette terrepourra Atre examini an bureau du juge Martel,1 Opelousas, qui donuera toutes les informal ions

v relatives. La situation cat excellente pour yItablir un moulin a scie.

Cette terre sera vedndue par lots de 37 aresr!hacnn. I1 y a 36 lots. dont 19 lots de terre deirairie, 7 lots de terre et bois, et 10 lots de terre

Conulitions:-Un cinquib"me comptant et le sur-llus it no et deux aus.

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paterte, de Lampes,garnitures de lampes, Ver.rerie, &c. No. 139 rue Poydras, entre le ruesdu Camp et St. Charles. NLIE.-ORLEANS.3 .Tons les ordres seront promptement remplis.

FLUIDE DE PETROLE.Ce fulidi nre fume pas; it ne repand lletine

manvaise odeuren briidant, et ne peut pas faireexplosiou.

II nt graisse ni les mains ni le linge. Anicumematiere griasse ni sale nee se forme a l'exterieurde Is lampe.

II brule avec un elat plus brillant, plus stableet plus agr6able qu'aucuue autre huil de echar-bon. On s'en sert avec toutes les lampesa qui outI'appareil de Marcy, ou celui de I)iamond ou deLight House Burner. [19 Sept. 18•"

Le Courrier des Opelousas,Publie le Samedi par JOBL H. SANDOZ.

CON LDI'IONS:L'•tlonnmemcnt sera do quatre piastres par an,

payabl's dl'avaie, on inq p r p aiia psyabllisla fin de I'ann e. Celui qui desirera susp•tldirsol abounnelllnlt devra en dlonner avis par eclit,-Seel ce ffet, et payer lea arlelragea: it ailcru abuiti

IIInniet li0e sire slsp.jldll si lea alrirrertgt nI sent

rigles, a inmins qne I'editeur ne le jngie a pops: ;Les uais s ' paieront CeinliuaIt' cents par caire

pl"r 'ch nque insertwu . luit lign .s oin lO e.ty

coinstillierlnt an carre.Les avis quli srront e.lvoytiS pr enr publ'ii

seront inseres en Frani:.air et en A •glais (it Ilnll"Squlll'i l' suit autrtelnelt ullundne) Iu•qul t e qIllt'6diteur juge a I propos de les disiconutillinr.

Les cant.idnts anx t~.rears pmsliiqu.es J,-vreipaver qiiZII e pihlstr dL av:,l i, s il, vul, it ti51111,)11" i S.