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Programme du Théâtre municipal de la ville de Cahors. Saison 2004-2005.
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1
Une politique culturelle cohérente, en matière de spectacle vivant,
doit être le fruit d’une réflexion menée à partir de plusieurs critères
incontournables : la notion d’offre et de diversité culturelle sur un
territoire, l’exigence absolue de qualité, la connaissance d’un public afin de
répondre le plus possible à ses attentes tout en lui proposant de nouvelles
pistes artistiques et, en tant que collectivité publique, l’aide à la création
et le soutien aux associations.
La saison 2004-2005 du Théâtre Municipal de Cahors répond à toutes
ces exigences et vous propose une programmation riche.
Les Festivals poursuivent l’objectif d’ouvrir et de clore la saison dans un
esprit de fête, de dialogue et de partage. Les grands textes (Sophocle,
Beckett, Tchekhov, Brecht) côtoieront les écritures contemporaines. La
danse montrera tous ses visages (ensembles et solos). Saluons égale-
ment la venue du chanteur Dominique A et des « Petites Faiblesses »
pour que vivent à Cahors la chanson française et la musique de notre
temps. Les plus jeunes et leurs familles ne seront pas oubliés non plus à
l’occasion des spectacles de cirque, marionnettes et chanson.
Je vous invite donc à vous laisser charmer par cette nouvelle saison du
Théâtre Municipal de Cahors qui satisfera, j’en suis sûr, le plus grand
nombre par sa diversité et son exigence de qualité et de créativité.
Marc LECURU, Maire de CahorsPrésident de la Communauté de Communes du Pays de Cahors
2
date spectacle genre lieu page
septembre
27 sept au 3 oct sept/oct Festival Visages du Mali 42
octobre
19, 20, 21, 22 octobre Djulnolo en famille théâtre 30
novembre
16, 17, 18,
19, 20, 22, 23,
24, 25, 26, 27 novembre Stabat mater furiosa théâtre docks 08
18, 19, 20 novembre Le soufleur d’Hamlet théâtre théâtre 09
23, 24, 25, 26 novembre Dés/équilibres théâtre docks 10
25 novembre Amiour théâtre théâtre 12
26 novembre Comme ça théâtre théâtre 13
27 novembre Haute-Garonne théâtre théâtre 13
décembre
01, 02 décembre L’accident linéaire théâtre théâtre 11
01, 02, 03 décembre Les aventures de Bosco en famille docks 31
17 décembre Battements d’elles musique docks 36
janvier
07 janvier Si tu veux, je tue le chat danse auditorium 24
13 janvier Comédie, la dernière bande théâtre théâtre 14
14 janvier Dix dramaticules théâtre théâtre 15
15 janvier Le dépeupleur théâtre théâtre 15
17, 18, 19 janvier De l’autre côté en famille docks 32
programme chronologique
3
février
01 février Givré théâtre théâtre 16
03 février Le saint jongleur François théâtre théâtre 16
05 février Inutile de tuer son père… théâtre théâtre 17
07 février Ajax théâtre théâtre 18
mars
01 mars L’augmentation théâtre théâtre 19
05 mars Solidocks danse docks 25
16 mars Hugues Pluviôse / Dominique A en groupe musique théâtre 37
29 mars La forêt des filles théâtre théâtre 20
30 mars Oncle Vania théâtre docks 20
avril
05 avril La bonne âme de setchouan théâtre théâtre 21
mai
12 mai La pente de l’épaule, mesure 1 danse théâtre 26
juin
du 10 au 12 juin Festival Les Nuits du Sud : 43
Les abattoirs, fantaisie danse 27
La petite fille âgée / Histoire amère… en famille 33
Mon dieu quel bonheur musique 38
Cantilènes musique 39
saison 2004|2005
théâtre | pages 6 à 21
danse | pages 22 à 27
en famille | pages 28 à 33
musique | pages 34 à 39
festivals | pages 40 à 43
4
Ecritures d’aujourd’hui avec Siméon Deutsch Cagnard Moyon Gautré /
Beckett Comédie La dernière bande Le Dépeupleur Les 10 dramaticules /
Un théâtre – un acteur Pierre Ascaride Philippe Lelièvre Gilbert Ponté /
et aussi Sophocle Perec Tchekhov Brecht / Corneille ce sera pour 2006
On fêtera les 10 ans du CDC – Toulouse avec La Zampa / Les Solidocks courtes
performances solistes et une scène ouverte aux amateurs / Hervé Koubi
Abattoirs Fantaisie en coproduction / Michèle Rust en séjour chez nous La
pente de l’épaule / et une super collaboration avec L’ADDA – Conseil général
Manolo en résidence au théâtre pour la création de Djulnolo et
musique on l’aime beaucoup lui / les chansons de Grimal pour noël /
De l’autre côté une création très originale du Balsamique Théâtre / La
Petite fille âgée et Prêt-à-Porter du beau cirque qui parle de la vie
Battements d’elles une soirée pour s’envoler avec Isa Lagarde chansons
réalistes Laura Campagnet des mots et un corps et Amélie les crayons elle
décoiffe / Hugues Pluviôse et Dominique A « la chanson française » / Les
petites faiblesses un trio d’enfer / Padovani et les voix du Sud
Ouverture et clôture de la saison avec des artistes dans toute la ville / en
septembre Visages Francophones – Visages du Mali un pays étonnant si
pauvre si riche / en juin Les Nuits du Sud musique danse parcours insolites
fanfares et bal musette on mangera on boira aussi ça va bouger
5
« J’appellerai beaucoup de songes à mon secours… »
Quelle étrangeté que les derniers mots des Mémoires d’Outre-tombe
pour saluer cette nouvelle saison !… « Nous devons continuer à
vivre », dit en écho Sonia à son oncle Vania tandis que Téléguine
joue doucement de la musique dans un coin du salon.
Aujourd’hui, artistes et techniciens du spectacle vivant (s’) interrogent,
comme un ultime refus de l’exil, sur l’exercice de leur métier, la forma-
tion, les rapports de la création avec les publics, le rôle des institutions.
Et, plus largement, qu’apportent les créateurs et les poètes à la cité ?
Des résidences d’artistes, pour quoi faire ? Et les actions culturelles en
direction des publics scolaires, des quartiers ?…
Nous sommes tous devenus bien humbles et d’une certaine manière, c’est
tant mieux ! Conscients des contraintes économiques et sociales, mais à
l’ambition incandescente intacte de parler au meilleur de chacun, dressé
contre le ciel, plate-forme d’envol vers l’autre, le proche ou l’étranger.
Oui, quel rapport entre Chateaubriand et René Char, pour qui rendre
compte de toute réalité constitue une « effraction » : « comme la vie est
lente et comme l’espérance est violente » répond, au lourd pas de la glèbe
des tranchées, Apollinaire.
José Sobrecases, Directeur du Théâtre
8 | théâtre
mardi 16, mardi 23 et samedi 27 novembre 2004 | 20h30 aux docksmercredi 17, samedi 20 et mercredi 24 novembre 2004 | 18h00(scolaires : jeudi 18, vendredi 19, lundi 22, jeudi 25 et vendredi 26 novembre | 14h00)
Jean-Pierre Siméon dans « Stabat mater furiosa » pousse un cri, il alerte le monde et toutes
ses guerres ; il essaye d'arrêter à sa façon « la spirale infernale ». Et pour cela, il se sert
d'une femme, d'une mère. Peut-être espère t-il réanimer en nous nos « racines premières ».
« J'imagine un espace presque nu, peut-être seule, au sol une matière ocre, peut-être
une forme de désert. Derrière une présence fantomatique : celle d'un homme de guerre
et ses machines. Et si celui-ci était un musicien qui tout au long du spectacle déversait
sur nous "les cris d'un monde." J'imagine là une femme seule, simple et élégante, qui
traversant ce lieu sans nom, nous déverse sa longue supplique. Peu de mouvements,
quelque chose de tenu et d'explosif à la fois. Une parole à laquelle nous ne pouvons
échapper. Comme une sculpture de Giacometti nous force à nous regarder nous-même,
cette femme nous forcera à plonger dans notre plus intime. J'imagine peut-être aussi
quelques silhouettes projetées, quelques images de vie… »
Kristian Frédric
durée : 1h15 | Mise en scène, Scénographie, Costume : Kristian Frédric. Comédienne : Annabelle Stefani.
Création son : Marc-André Nicolao. Création Eclairage : Yannick Anché. Chorégraphe : Thierry Escarmant.
Réalisation vidéo : Dominique Piollet. Photographe plateau : Jean-Paul Guimbretière. Traduction langage des
signes : Florence Hamaïde.
stabat mater furiosa
de Jean-Pierre Siméon | Compagnie Lézards qui bougent
> écritures d’aujourd’hui
Un théâtre d’État qui se fissure, un directeur tyrannique et désespéré, un metteur en scène
rêvant de monter un Hamlet infilmable, un souffleur à bout de souffle, une mystérieuse
tragédienne dont le talent n'est récompensé que par une vaine célébrité due à un spot
publicitaire, une concierge qui étouffe dans sa loge sans fenêtre, des ouvriers chargés
d'agrandir le théâtre en dancing, pris à partie par un acteur insondable et pathétique...
Dernière création de la compagnie L’Oeil du Silence, cette quadrature joyeusement déses-
pérée, mise en scène par Anne Sicco, est interprétée par des comédiens à l'agilité étonnante
dans le geste et l'esprit. Véritable consolation face à la montée de l’insignifiance. Le
Souffleur d’Hamlet fait écho à la phrase d’Epicure : « il faut ensemble rire et philosopher ».
durée : 2h30 avec entracte | Mise en scène : Anne Sicco. Comédiens : Olivier Copin, Aurélia Marceau et
Christophe Seval. Scénographie/lumières : François Klère. Costumes : Groupe « Dévastée ». Avec le concours de
la Préfecture du Conseil régional de Midi-Pyrénées - Direction Régionale des Affaires Culturelles. Avec le soutien du
Conseil régional Midi-Pyrénées et du Conseil général du Lot. Co-production : les Tréteaux de France / Festival Théâtral
de Figeac,Théâtre de Cahors / Ville de Cahors.
théâtre | 9
jeudi 18, vendredi 19, samedi 20 novembre 2004 | 20h30 | au théâtre
le souffleurd’hamlet
de Michel Deutsch | Compagnie L’Oeil du Silence
écritures <d’aujourd’hui
10 | théâtre
mardi 23 et vendredi 26 novembre 2004 | 18h30 aux docksmercredi 24 novembre 2004 | 17h00 et 20h30(scolaires : mardi 23, jeudi 25 et vendredi 26 novembre | 15h30 || jeudi 25 | 10h30)
Dés/équilibres met en scène le trajet d'une grosse boule qui, une fois libérée, ne s'arrête
plus et provoque de nombreux désordres. On ne mesure pas la force qu'elle a sur son
passage et les perturbations qu'elle déclenche, à travers huit univers plastiquement
différents.
Y aurait-il un chemin que l'homme devrait suivre afin de maintenir le monde à son point
d'équilibre ? L'installation explore les mécanismes de transmission en laissant sa chance
au hasard. En mettant ainsi en cause les paradigmes de la science, elle provoque le spec-
tateur et l'interroge sur le rôle qu'il peut jouer dans cette course folle.
Il s'agit donc d'une approche pluridisciplinaire qui, parallèlement à l'univers plastique
spécifique de la compagnie, met en scène des images animées et une création sonore, tout
en faisant appel à l'interactivité du public.
durée : 0h30 | Mise en scène : Joëlle Noguès. Conception musicale : Rodolphe Bourotte. Vidéo : Pierre Noguès.
bres
de Jean Cagnard | Compagnie Pupella Noguèsparcours installation
dés/équiliécritures <d’aujourd’hui
durée : 1h00 | Création : Françoise Tartinville. Mise en scène : Valérie Moyon. Comédiennes : Anne
Cammas, Françoise Tartinville. Création vidéo : Eric Ménard,Thomas Rathier. Création musicale : Adrien Amey
de TTPKC et le marin. Textes extraits de « La Machine de l’Etre » de Jean-Noël Hislen. Lumières : Pablo Chapas.
Coproduction : Silémo et Hypothèse-Théâtre.
« L’accident linéaire »
est une mémoire du corps qui
revisite l’expérience de la sépa-
ration et du deuil pour se tourner
vers la vie. La ligne comme fil conduc-
teur entraîne le spectateur dans un jeu de
perceptions abstraites et poétiques qui touchent
à l’indicible.
Le geste, le son, la vidéo et le texte se contrastent dans
un langage transdisciplinaire qui développe la thématique du
fil comme « ligne de vie » en référence aux « Parques ».
« L’accident linéaire » ne donne pas à représenter la thématique
mais à la ressentir.
théâtre | 11
mercredi 1er et jeudi 2 décembre 2004 | 20h30 | au théâtre
l’accide
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12 | théâtre
jeudi 25 novembre 2004 | 18h00 et 20h30 | au théâtre
Depuis trois ans, Pascale Bessard travaille avec les jeunes du centre Gényer et leur pro-
pose des rencontres avec les différentes pratiques artistiques ainsi que les étapes et les
exigences d’une création. En mai et juin 2004, elle a collaboré avec Alain Gautré, dans
le but de rencontrer leur imaginaire, à partir d’un éventail de moyens d’expression :
masques, improvisations, écriture... A l’issue de ce travail, Alain Gautré a écrit des
textes – fragments de paroles, de cris, de silences étouffés, en respectant leur intimité.
La mise en scène participera à cette sublimation en rendant ces jeunes gens acteurs de
leur propre histoire.
L’ADDA du Lot a accueilli Alain Gautré en résidence en mai, juin, juillet et août 2004. Cette résidence s’est
articulée autour de la rencontre « de voisinage », avec un auteur et ses oeuvres. Ceci à travers des stages pour
les comédiens et auteurs professionnels ou amateurs, l’écriture et la création d’un texte théâtral original avec
un groupe de jeunes de l’IME Gényer, des interventions en milieu scolaire, l’accompagnement de compagnies
professionnelles du Lot, des rendez vous publics pour des lectures et démonstrations.
Le texte d’AMIOUR est publié en novembre par les éditions Urgence de la Jeune Parole, il sera disponible le
jour de la représentation. Cette action est mise en place en partenariat avec : le Théâtre de la Digue, le Théâtre
de Cahors, L’Institut Médico-Educatif Gényer, La DDASS, l’école de musique du Pays de Cahors, le Conseil
général du Lot, la DRAC Midi-Pyrénées, l’Union Européenne.
durée : 0h50 | Mise en scène : Pascale Bessard. Comédiens : Kevin Bougnol, Aristhène Bailleau, Marjorie
Carcassès, Mickaël Do-Vale, Benjamin Falret, Jean-Michel Fustié, Julianah Julia, Aziza Ouali, Sandrine Pirodon,
Violaine Soleilhavoup, Maxime Seite, Marie-Julie Yvora. Scénographe : Michel Brissaud. Plasticienne :Françoise Utrel.
amiour d’Alain Gautré
entrée libre
> écritures d’aujourd’hui
écritures contemporaines | théâtre | 13
vendredi 26 novembre 2004 | 20h30 | au théâtre
samedi 27 novembre 2004 | 17h30 | au théâtre
comme ça d’Alain Gautréune sélection d’ANETH (Aux Nouvelles Ecritures Théâtrales) | lecture théâtralisée
Poèmes, fragments, ballades, comptines, scènes, clowneries... s'enchaînent dans un univers
de fête foraine à l'abandon, peuplé de créatures hybrides, les Ogranges. Anges /ogres ratés,
ridicules et dérisoires, les uns ne savent pas voler, les autres ne savent pas faire peur.
Victimes de leur destinée et prisonniers de leur identité, les Ogranges dansent la ronde
de la jalousie, des menaces et monstruosités, des lamentations et désespoirs durant une
centaine de tableaux.
durée : 1h30 | Direction d’acteurs : Alain Gautré. Comédiens : Pascale Bessard, Emilie Cadiou, Gaston
Castelain, Martine Costes Souyris, Maxime Durin, Marie Lor, Olivier Leuckx.
haute-garonne d’Alain Gautréune sélection d’ANETH (Aux Nouvelles Ecritures Théâtrales) | lecture théâtralisée
Dans la grande maison de famille, aux environs de Toulouse, se côtoient cinq généra-
tions de femmes, de l'arrière-grand-mère à l'adolescente. Par bribes, au jour le jour, sur-
git entre elles le refoulé, au gré des crises qui surviennent d'une génération à l'autre.
Secrets de famille, histoires d'argent, abandons, adultères, exposés au grand jour dans ce
lieu clos aux troublants parfums de femmes, font éclater cet univers protégé. Une trame
tissée serrée, riche en péripéties où l'ordinaire tourne au drame, sans jamais perdre de vue
le plaisir de conter tous ces destins imbriqués.
durée : 1h30 | Direction d’acteurs : Alain Gautré. Comédiens : Nadine Boyals-Joseph, Arlette Lalie, Fanny
Lechevallier, Gilles Palazy, Camille Pasquier, Garance Prevost, Dominique Rouffart, Béatrice Roussel, Fanny Toudic.
entrée libre
entrée libre
écritures <d’aujourd’hui
écritures <d’aujourd’hui
14 | théâtre
jeudi 13 janvier 2005 | 20h30 | au théâtre
Un mari volage, une épouse trompée, une maîtresse en trop… Il n'en faut pas plus pour
que, dans Comédie, Beckett retourne comme un gant parodique et féroce le traditionnel
triangle amoureux du théâtre de boulevard, et fasse entendre l'étrange bruit que fait le
langage quand il se vide de son sens et rend l'âme. Les trois protagonistes de cette tra-
gédie de la parole finissent peu à peu par perdre pied et basculer dans le tourniquet sans
fin du ressassement et de l'effroi. Avec La Dernière Bande, Krapp, un vieil homme de
soixante-neuf ans, se penche sur son passé en réécoutant à satiété d'anciens enregistre-
ments où, trente-neuf ans plus tôt, il consignait certains événements de sa vie intime.
Liturgie dérisoire d'un vieux clown lunaire qui tente de retenir entre ses doigts le sable
refroidi d'un temps où l'amour illuminait ses étés de jeunesse.
durée : 1h35 | Mise en scène : Isabelle Luccioni. Comédiens : Séverine Astel, Philippe Bussière, Catherine
Froment. Pour La Dernière Bande :René Gouzenne. Assistant à la mise en scène :Alexandre Trijoulet. Création
lumière : Christian Toullec. Projections : Bruno Wagner. Sculptures : Michel Gaucher. Coproduction : Le
Parvis/Scène Nationale de Tarbes, Théâtre de la Digue, Cave-Poésie de Toulouse, Eté de Vaour. Partenaires :
Ministère de la Culture et de Communication/Drac Midi-Pyrénées, Conseil régional Midi-Pyrénées, Conseil général de
la Haute Garonne, Ville de Toulouse.
comédie,la dernière bandede Samuel Beckett | Compagnie Isabelle Luccioni
entrée libre
Après Shakespeare et Prévert, les comédiens de Boissor et Pousiniès chemineront en com-
pagnie de Beckett.Claude Martinez,metteur en scène, fait le pari avec ces comédiens si par-
ticuliers d’imaginer une rencontre possible avec l’univers et l’écriture de Samuel Beckett.
durée : 1h00 | Mise en scène : Claude Martinez. * IME CAT de Boissor à Luzech. ** CAT Foyer de
Pousiniès à Saint-Étienne de Tulmont.
théâtre | 15
vendredi 14 janvier 2005 | 20h30 | au théâtre
Serge Merlin a travaillé avec les plus importants metteurs en scène. Quant au Dépeupleur,
il compte parmi les chefs-d'œuvre moins connus de Beckett. A partir des ingrédients les
plus simples – un étrange lieu clos en forme de cylindre et sa maigre population, tournant
en rond en quête de son « dépeupleur » – est conduite une étude scrupuleusement détaillée
sur les mœurs, les croyances, les mouvements, des habitants de cet étrange microcosme, jus-
qu'à un dernier paragraphe que Beckett mit plus d'un an à écrire, comme si l'auteur lui-même
ne parvenait pas à trouver l'issue qui le délivrerait de son Dépeupleur.
durée : 1h20 | Production : Odéon-Théâtre de l'Europe. Scène Indépendante Contemporaine (SIC).
samedi 15 janvier 2005 | 20h30 | au théâtre
dix dramaticulesde Samuel Beckett | Compagnie du Lièvre de Mars*
| Compagnie Théâtre d’Ici**
le dépeupleurde Samuel Beckett | par Serge Merlin
le saint jongleur françoisinterprétation : Gilbert Ponté un inédit de Dario Fo | Au moyen-âge, la vie d'un saint qui décoiffe !
Quand le plus grand auteur italien vivant, Dario Fo, Prix Nobel de Littérature en 1997,
s'empare de la personnalité fantasque et généreuse de Saint-François d'Assise, cela
donne un témoignage follement truculent et profondément humain par lequel FO s'inter-
roge sur l'état du monde aujourd'hui (le pouvoir, l'argent, la charité, l'écologie, la mondia-
lisation), à travers le prisme du XIIIe siècle italien, celui qui vit l'avènement des mar-
chands… Un spectacle rythmé, drôle, émouvant et poétique.
durée : 1h20 | Mise en scène : Stéphane Aucante. Mise en musique : Béranger et Lacroix. Traduction : Valéria Tasca.
mardi 1er février 2005 | 20h30 | au théâtre
jeudi 3 février 2005 | 20h30 | au théâtre
givré interprétation : Philippe LelièvreSeul sur scène,Philippe Lelièvre joue quinze personnages tous plus givrés les uns que les autres.
C'est l'histoire d'une bande de comédiens hétéroclites aux caractères fantasques qui essayent
de monter « Pataquès » une pièce d'humour. Problème : la pièce écrite n'est pas drôle et se
révèle être un exécrable vaudeville.Tension, « pétages de plomb », règlements de compte…
durée : 1h00 | Mise en scène : Arnaud Lemort. Création lumières : Philippe Sazerat.
16 | théâtre
> 1 théâtre / 1 acteur
> 1 théâtre / 1 acteur
théâtre | 17
Dans « Inutile de tuer son père, le monde s’en charge », Pierre Ascaride se met en dan-
ger. Il rampe par terre, il chante à plein poumon, il raconte et avoue que des anecdotes
dérisoires de ses douze ans le hantent encore.
« Mon père n’a jamais rien réussi. Un vrai manche. Il a raté une carrière de coiffeur,
il n’a jamais osé vraiment être chanteur ou comédien et a détesté toute sa vie d’être
représentant chez l’Oréal. Lui qui passait un temps fou à bricoler, n’a jamais réalisé
que des faux plafonds qui s’écroulaient. » On s’attend à un one man show tendre et
mièvre qui jouerait de l’accent marseillais et du communisme comme de violons. Hé
bien Non. Sous son air de petit monsieur, Pierre Ascaride dissimule un coffre et une
puissance qui surprend.
durée : 1h30 | Mise en scène : Ariane Ascaride assistée d’Anne-Marie Giacalone. Travail vocal : Chantal
Galiana. Conseils chorégraphiques : Blanca Li. Lumières : Laurent Castaingt. Scénographie : Thibaut Fack.
Production : Théâtre 71, scène nationale de Malakoff. Coproduction :Thécif – Région Ile-de-France. Avec la par-
ticipation artistique du jeune Théâtre National.
samedi 5 janvier 2005 | 20h30 | au théâtre
inutile de uerson père…texte et interprétation : Pierre Ascaride
1 théâtre / 1 acteur <
18 | théâtre
lundi 7 février 2005 | 20h30 | au théâtre
« Aujourd’hui, Ajax m’apparaît comme une des plus grandes pièces jamais écrite sur la
violence. Sur les rapports de la violence et du théâtre. Au commencement de l’histoire que
Sophocle nous raconte, il y a la violence fratricide de la guerre de Troie et les massacres
funestes qui ne veulent pas cesser. Sur un rivage de la Méditerranée, il y a des troupes exi-
lées, blessées. Fatiguées des crimes qui engendrent la gangrène. Fatiguées des Atrides qui
les ont embarquées dans cette guerre. C’est de cette violence projetée que naît le théâtre
d’hommes qui va substituer le langage à la violence primitive des armes. Sur la scène, le
chant partagé du poète va remplacer les cris du bouc émissaire. Ainsi, Ajax nous regarde,
nous les mortels, et ouvre en nous la brèche de la douleur, du doute, de la perte, de la
mort, de l’exigence d’avenir – dont seront toujours exempts les immortels. Et l’on assiste,
par effet de miroir, de reconnaissance de soi dans cette béance de l’autre, à une forme de
contamination. C’est cette façon d’être touché par le théâtre grec qui nous a guidé dans la
rencontre avec cette terre, corps, matière tragique. »
Bérangère Jannelle
durée : 1h30 | Mise en scène : Bérangère Jannelle. Comédiens : François Loriquet, Camille Grandville, Cyril
Anrep, Scali Delpeyrat, Arnaud Churin, Katia Lewkowicz, Raphaëlle Gitlis, Emanuela Pace. Scénographie et cos-
tumes : Francis Biras. Créateur costumes : Luc Druez. Lumière : Christian Dubet. Son : Jean-Damien Ratel.
Assistante à la mise en scène : Emanuela Pace. Assistante décor et costumes : Manuelle Bauduin-Sy. Peinture
du décor : Julie Terrazonni. Direction de production : Clara Rousseau, assistée de : Séverine Péan.
ajaxde Sophocle (traduction Bérangère Jannelle)
« Comment, quelles que soient les conditions sanitaires, psychologiques, climatiques,
économiques ou autres, mettre le maximum de chance de son côté en demandant à
votre chef de service un réajustement de votre salaire. »
Georges Perec nous fait partager le vécu douloureux d'un employé confronté à un bal-
let d'hypothèses et d'alternatives qui ne cessent de retarder l'obtention d'une augmen-
tation. Son texte propose une multitude de situations loufoques et délirantes au travers
desquelles nous est dépeint le quotidien d'une entreprise.
Jacques Nichet a proposé ce texte aux jeunes comédiens, chanteurs et musiciens de
l'Atelier volant (Atelier de recherche et de formation professionnelle du Théâtre National
de Toulouse).
durée : 1h05 | Mise en scène : Jacques Nichet. Création musicale : Hervé Suhubiette. Avec les comédiens,
chanteurs, musiciens de l'Atelier Volant Promotion 2004-2005 : Elise Beckers, Olivier Berthelot, Caroline
Champy, Nicolas Giret-Famin, Blandine Gueguen, Nidal Quannari, Hugues Soualhat. Collaboration Artistique :
Caroline Chausson et Jean Michel Vives. Scénographie : Pierre Crousaud. Environnement Sonore : Aline
Loustalot. Lumière : Celso Domeque. Production : Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées.
théâtre | 19
mardi 1er mars 2005 | 20h30 | au théâtre
l’augmen-tation
de Georges Pérec
20 | théâtre
mardi 29 mars 2005 | 18h30 | au foyer du théâtre
mercredi 30 mars 2005 | 20h30 | aux docks
oncle vaniad’Anton Tchékhov | Compagnie des PossédésQu’est-ce qu’une vie ? Entre une vie et la vie s’étend le tragique. L’intolérable. Nous
vivons dans l’intolérable. Pour toute consolation nous griffonnons en secret les contours
abstraits d’une vie idéale, celle qu’on ne vivra pas, ou bien qu’on a déjà vécu enfant; les
seuls paradis étant ceux qu’on a perdus définitivement. La vie n’en finit pas de se dérober
et cependant nous continuons à la vivre. Pourquoi ?…
durée : 2h00 | Mise en scène : Rodolphe Dana. Comédiens : Simon Backouche, Katja Hunsinger, Maire Roig,
Liliane Nataf, David Clavel, Rodolphe Dana, Nadir Legrand.
la forêt des fillesnouvelles d’Anton Tchékhov | Lectures par le Grenier Théâtre« Une nouvelle qui n’a pas de femmes, c’est une machine sans vapeur » écrivait
Tchekhov. L’espace d’un moment, vous pourrez vous laisser charmer par ces lectures de
quelques nouvelles sur les femmes, rares petites perles de quelques feuillets.
durée : 1h00 | Comédiens : Sylvie Maury, Corinne Mariotto, Hocine Boudjemaa, Frédéric Baron, Jean-
Baptiste Artigas.
entrée libre
« La pièce ? Une jeune prostituée, Chen Té, est choisie par trois divinités venues sur terre
trouver une "bonne âme". Recevant une forte somme d'argent pour faire le bien, elle
prouvera ainsi que la nature humaine est généreuse. Hélas ! Tout se dégrade, Chen Té est
aussitôt la proie de solliciteurs mal intentionnés. Elle doit se blinder, contre son gré.
Est-il possible d'être bon dans notre monde ? La réponse n'est pas donnée. A nous d'es-
sayer de la trouver. » Nicole Manuello, France Soir
« Ce n’est pas l’homme qu’il faut changer, pas soi-même, c’est le monde : il faut créer,
recréer un monde où il soit possible d’être soi-même, de l’être pleinement, avec les
autres et non contre eux. Brecht s’adresse non à notre faculté d’acquiescement mais à
notre liberté ». Bernard Dort
durée : 3h00 avec entracte | Mise en scène : Lisa Wurmser. Comédiens : Pascale Blaison, Pierre Alain
Chapuis, Jean Louis Cordina, René Hernandez, Nathalie Joly, Denis le Turcq, Léon Napias, Maryse Poulhe,
Vittoria Scognamiglio, Bruno Boulzaguet, Marius Yelolo. Scénographie : Laurence Bruley. Costumes : Maire
Pawlotsky. Musique : Peter Ludwig. Direction vocale : Nathalie Joly. Lumière et direction technique :
Philippe Sazerat. Masques et maquillages : Cécile Kretschmar. Marionnettes : Pascale Blaison, assistée de :
Einat Landais. Accessoires : Emmanuelle Daverton. Chorégraphie : Gilles Nicolas. Création et régie son :
Yvan Blanloeil. Régie plateau : Pascal Vitrou. Assistante : Catherine Drouillet. Construction décors : Les
Artisans du Spectacle. Administration : Julietta Barret. Chargée de production : Elisabeth Tréhard. Production
: Comédie de Picardie,Théâtre de la Véranda. Coproduction : Thécif - Région Ile-de-France,Théâtre de Corbeit -
Essones, Centre des Bords de Marne, Le Perreux. Coréalisation : Théâtre de la Tempête. Avec le soutien de : la
DRAC - Ile-de-France, Ministère de la Culture, Conseil général de Val de Marne, l’ADAMI et la SPEDIDAM.
théâtre | 21
mardi 5 avril 2005 | 20h30 | au théâtre
la bonne âme de setchouan
de Bertolt Brecht (traduction François Rey)
24 | danse
vendredi 7 janvier 2005 | 20h30 | à l’auditorium
« Un héros, c’est quelqu’un qui part et qui ne dit pas quand il va revenir. C’est le départ
qui compte… ». Nous explorons le paradoxe de la relation entre le choix et l’obliga-
tion. Il fonde notre rapport à l’action, imposant un ajustement permanent entre la ten-
tation de l’identique et une forme d’équivalence. Un tel mouvement n’est pas sans hési-
tation, ni frayeur. Pourtant cette peur profonde d’animal désirant, oblige à agir… Que
faire d’un corps encombré, pas préparé ? Comment le repère t-on ? Nous l’auscultons,
âpre, gâté ou vainqueur. Sans réponse, il s’absente.
durée : 1h00 | Chorégraphie : Magali Milian, Romuald Luydlin. Assistant : Loran Chourrau. Danseurs : Loran
Chourrau, Romuald Luydlin, Magali Milian, Christel Olislagers, Hélène Rocheteau. Scénographie : Magali
Milian, Romuald Luydlin, Pascale Bongiovanni Assistante : Véronique Pourrinet. Lumière : Pascale Bongiovanni.
Musique : Patrick Codenys, Radiohead. Régie son : Valérie Leroux. Costumes : Patricia Vernadat. Recherche,
documentation : Jérôme Mathias Bel. Production, diffusion : Pierre Duprat. Production : La Zampa.
Coproduction : L’Estive/Scène Nationale de Foix, DSN/Scène Nationale de Dieppe, Ballet National de Marseille.
Avec le soutien de l’ADAMI.
si tu veux,je tue le chat
triptyque | Compagnie La Zampa
danse | 25
un petit moment de faiblesseCompagnie Heddy Maalem« Parfois, tout est désert, alors il faut apprendre àvivre dans le silence des pierres. »
durée : 0h10 | Interprète : Aline Azcoaga. Chorégraphe :Heddy Maalem. Musique : Henryk Gorecki.
est-ce.o.elle.oCompagnie Lastiko« La pluralité d’un seul corps ? Croire et faire croireau nombre. »
durée : 0h30 | Chorégraphie et interprétation : SamuelMathieu. Conception et réalisation son et vidéo : SamuelMathieu. Lumière : Olivier Balagna.
parler après le bip sonore Compagnie Ground Zéro« La permission d’un passage du silence à la parole,du corps inerte au corps dansant, comme l’étrangerqui présente son visa. »
durée : 0h10 | Chorégraphie et interprétation : ElinoarZakai-Werbner.
papy Estelle Delcambre« Je sais, la mort serait ta délivrance mais avant,j’aimerais te donner l’envie, le plaisir, le désir… legoût de la vie. »
durée : 0h10 | Interprétation et chorégraphie : EstelleDelcambre.
malgré moi Emmanuelle Santos« Je passe d’une situation à l’autre… Sensationd’abandon : me laisser faire par ce qui arrive, mal-gré moi… »
durée : 0h10 | Chorégraphie et interprétation :Emmanuelle Santos. Montage musical : Laurent Gibeaux.
Circon c is David Wampach « se souvenir, oubli r en rgistrer ffacer echerche
ouvrir fe mer »
durée : 0h25 | Conception et réalisation : David Wampach.Collaborations artistiques : Rachel Garcia, VirginieThomas, Jean-François Olivier.
RegardsTosh« Les regards et les corps : ce qui reste… encore… »
Solo chorégraphié et dansé : Abdramane Diabaté dit Tosh.
A partir de 18h30, quelques danseurs amateurs
issus des écoles de danse du département présente-
ront l’aboutissement d’un travail accompli avec le
chorégraphe Samuel Mathieu. En partenariat avec
l’ADDA.
Il sera possible de se restaurer sur place.
samedi 5 mars 2005 | 20h30 | aux docks
solidocks
Ce qui est sûr, c’est que croire n’est plus croire en un autre monde ni en un monde trans-
formé. C’est seulement croire au corps, c’est rendre le discours au corps, et, pour cela,
atteindre le corps avant le discours, avant les mots, avant que les choses soient nommées.
Gilles Deleuze
« Je pars du costume, en tant
que vêtement, deuxième peau,
élément proche du corps, placé
juste à la périphérie. Ce cos-
tume mis à plat est un objet
qui donne un nouvel éclairage
de l’être, une autre formula-
tion, “avant les mots” pour
reprendre la pensée de Gilles Deleuze. Parler de la marque que porte le corps, de
l’empreinte que laisse le corps… »
Michèle Rust
durée de la soirée : 1h15 | Spectacle chorégraphique conçu par Michèle Rust. Distribution en cours. Avec
la collaboration de Dominique Fabrègue, Guillemette Grobon et Jean Humpich. Lumière : Sylvie Garot.
Production : Marie Alverde. Partenaires : Le Théâtre Municipal de Cahors, L’Athanor, Scène Nationale d’Albi, Le
Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse, L’ADDA du Tarn. L’ADDA du Lot propose avec La Milonga
des actions de sensibilisation dans les collèges du département.
jeudi 12 mai 2005 | 20h30 | au théâtre
26 | danse
l a pente del'épaule,
mesure
1
par Michèle Rust | Compagnie La Milonga
en première partie
Gaspard,Melchior et Balthazar | Compagnie La Milonga« La danse est un espace laissé au corps. Ce corps qui
a ses sens, ses besoins, ses désirs et cette intelligence
de la vie. Quel guide merveilleux ! » Michèle Rust
Solo chorégraphié et dansé par Michèle Rust. Conception :Guillemette Grobon et Michèle Rust. Musique : Olivier Angèle
et Marc Chalosse.
danse | 27
du 10 au 12 juin, date & heure à déterminer
« Lorsque je suis tombé amoureux il y a cinq ans des Musiques Traditionnelles du
Centre France, qui m’étaient jusqu’alors totalement inconnues, je n’aurais jamais ima-
giné à quel point elles auraient pu me remettre autant en question. A travers “Les abat-
toirs, fantaisie…”, je voudrais faire partager un regard sensible mais aussi critique sur
ce qui me touche et sur les éléments qui ont pu m’inspirer et me construire. Le Hameau
de la reine à Trianon, les discothèques ou les rave-parties, les bals populaires, les vidéo-
clips… pourraient être autant de formes de représentation – « cliché » ou exacerbées
– d’une société. Cependant je me demande sans cesse ce qui pourrait se cacher derrière
l’apparente réalité de ces quelques images que nous nous faisons des rassemblements
ou phénomènes qui nous semblent parfois étrangers. » Hervé Koubi
durée : 1h00 | Chorégraphie : Hervé Koubi. Danseurs : Aline Courivaud-Jaulin, Olivier Durif, Guillaume
Gabriel, Grégory Jolivet, Mamajung Kim, Jean Malbernard, Guillaume Marie,Thomas Régnier, Rolando Rocha,
Laurent Rousseau. Assistants chorégraphiques : Guillaume Gabriel et Frédérique Pauvert. Création lumière :
Claire Debar. Techniciens : Thierry Diganet, Christophe Marraud. Production : Compagnie Hervé Koubi/Ville de
Brive-la-Gaillarde / Ville de Cannes. Co-production : Ballet National de Marseille Centre Chorégraphique
National, Ballet Biarritz Centre Chorégraphique National,Théâtre du Puy-en-Velay, Sémaphore de Cébazat Scène
Conventionnée,Théâtre D’Aurillac. Dans le cadre de cette résidence, l’ADDA du Lot propose des actions de sen-
sibilisation auprès des collèges et des écoles de danse du département.
les abattoirs,fantaisie
création chorégraphique | Compagnie Hervé Koubi
mercredi 20 et vendredi 22 octobre 2004 | 18h30 | au théâtre (scolaires : mardi 19 et jeudi 21 octobre | 10h00 et 14h30)
Ce spectacle est une première étape dans la rencontre entre ce jongleur et ce musicien
qui confrontent leurs univers à partir des compositions jonglées de Manolo.
Ils nous emmènent en voyage vers un imaginaire poétique et ludique, tendre et sauvage,
tissé de cordes et de souffles venus de multiples ailleurs, toujours en mouvement, tour-
noyant, vibrant, rebondissant de sphères et de notes.
Avec humour et générosité, les deux acteurs tentent de vivre et de nous faire vivre des
instants suspendus entre rêve et réalité…
durée : 0h50 | Jongleur : Emmanuel Anglaret (massues, balles, ballons). Musicien : Julien Bouttard (guitares
manouche et classique, percussions). Lumières : Fonjek Borelle.
djulnolo| Compagnie Manolo and Co
30 | en famille
Embarquement immédiat, le capitaine, les mousses, le pirate, sans oublier Bosco en
véritable maître de ballet, entraînent tous les enfants dans une immense farandole
autour de la Terre.
Le bateau est sans équipage, nos chères têtes blondes deviennent alors des mous-
saillons, pour aller de port en port, de pays en pays, à travers mer et océan, au rythme
de salsa, samba, reggae, rap, chacha, musique orientale, africaine.
Chaque escale est prétexte à une danse endiablée sur fond de percussion.
jeune public (6 à 8 ans)spectacle debout
durée : 1h10 | Paroles : Gérard Grimal. Musiques : Gérard Grimal, Tony Margaléjo, Jean-François Batisde,
Thierry Roques. Musiciens : Gérard Grimal (chant-percussion),Tony Margalejo (guitare, chœurs), Eric Bouad (gui-
tare basse-chœurs), Jean-François Bastide (piano-synthétiseur),Thierry Roques (accordéon-claviers), Eric Delclaux
(batterie). Sonorisation : Cyril Comte. Lumière : Yannick Bouzou.
mercredi 1er décembre 2004 | 18h30 | aux docks(scolaires : jeudi 2 et vendredi 3 décembre | 10h00 et 14h30)
en famille | 31
les aventures de bosco
| association Musique en Liberté
mercredi 19 janvier 2005 | 18h30 | aux docks(scolaires : lundi 17 et mardi 18 janvier | 10h00 et 14h30)
Deux hommes dans une rue, commerçants et par dessus le marché voisins, n'ont jamais
eu l'idée de se parler. Cela existe!
Une mystérieuse livraison bouleverse le statu quo.
Chacun dans le royaume de sa boutique s'épie et complote. Les clients s'impatientent.
Jalousie, rivalité.
Rien ne va plus… Tout cela peut mener très loin.
Pourtant la tendresse n'est pas si loin. Mais où et comment la trouver ?
Un petit drame au quotidien.
A partir du conte philosophico-comique de Michael Ende, l'équipe du Balsamique
Théâtre, a conçu un décor en deux territoires où deux acteurs manipulateurs croisent le
fer par le jeu de marionnettes, d'ombres, d'images et d'objets.
durée : 1h00 | Mise en scène : Aleksander Jochwed. Marionnettes et scénographie : Anna Louhelainen, Oswald
Basten, Lone Nedergaard. Jeu :François Boulay, Lone Nedergaard. Régie plateau et lumières :Loïc Wauquier-Dusart.
32 | en famille
de l’autre côtéd’après le conte de Michael Ende « La soupière et la louche »
| Compagnie Balsamique Théâtre
côté
du 10 au 12 juin, date & heure à déterminer
la petite fille agéeen première partie | Compagnie du Vide
Ce spectacle commence dans le vide parce qu’il parle de solitude, ou simplement pour ne
pas dévoiler l’endroit où nous sommes… Sans pouvoir pour autant en sortir. Un univers
tirant vers le pathologique nous plonge dans l’atmosphère d’un personnage troublant ou
plutôt troublé, aux actes déraisonnables, surprenants et excessifs loin très loin de toutes
normalités. Un spectacle de Jonglage dansé avec du Théâtre.
durée : 0h30 | Comédienne, Jongleuse, auteur des textes : Julie Font. Metteur en scène : Sylvain Cousin.
Travail soutenu en Studio Création Lido, Centre des Arts du Cirque de Toulouse.
histoire amère d’une douce frénésie
| Compagnie Prêt à porterUn porteur et deux voltigeuses ; du marivaudage acrobatique où tout peut arriver. Et
justement, le pire survient : L’une des deux meurt. Et c’est là qu’ils vont trop loin.
Au lieu de s’alourdir, la situation s’envole, folle et débridée. Jusqu’au fauteuil rouge. En
utilisant le main à main, Prêt-à-Porter vous entraîne dans une scène proche du vaudeville
avec un zeste de cirque en plus. C’est touchant et acrobatique. Ca fait parfois grincer des
dents. C’est drôle aussi, souvent. Du cirque de boulevard ? Presque.
Auteurs : Prêt à Porter. Interprètes : Laurence Boute, Caroline Le Roy, Michaël Pallandre. Mise en scène : Albin
Warette. Costumes : Véronique Gély.
en famille | 33
36 | musique
battements isa lagarde > chanson
« Parler-moi d’amour »Chanter, jouer, rire et pleurer, se griser de mots et de notes au fil des époques, tel est
l’univers où nous entraîne Isa Lagarde qui tourbillonne dans l’ombre de Joséphine
Baker, Boris Vian, Barbara,Prévert et swingue au rythme de Monsieur Trenet.
Chant : Isa Lagarde. Piano : Sabine Héraud.
laura campagnet > théâtre
« Une Femme qui conte… »Cette création bat comme un cœur, celui des femmes, au travers de l’histoire et des cul-
tures humaines. Conteuse mouvante, émouvante : Laura Campagnet glisse, tressaille, sou-
rit, pénètre de la voix et du geste le corps de ces femmes et danse au rythme de leurs vies.
Textes et chorégraphie : Laura Campagnet. Mise en espace et en jeu : Marie-Laure Denoyel.
amélie-les-crayons > chanson
Amélie-les-crayons vous entraîne dans son petit monde drôle et poétique où le sexe faible
n’est pas forcément celui que l’on croit.
Des chansons simples et fraîches qui font rire ou rêver, un trio de musiciens farfelus autour
d’une chanteuse touchante et originale, un piano magique (qui recèle bien des surprises), des
effets spéciaux, de l’humour et de la tendresse : la recette des jours de pluie…
Chant/piano : Amélie. Piano/clarinette : Heiko. Contrebasse : Laurent. Accordéon : Michel.
vendredi 17 décembre 2004 | 20h30 | aux docks
d’elles
musique | 37
mercredi 16 mars 2005 | 20h30 | au théâtre
en première partie hugues pluviôseHugues Pluviôse propose une chanson intimiste mêlant électronique et accoustique.
« Présence intense et charme magnétique, voix d’ange désolé, Pluviôse le ténébreux sait cap-
ter un public… (et) possède un univers bien à lui. Désenchanté et totalement attachant. »
Ouest-France
Machines : Hikit. Contrebasse : Jérôme Cahagnier.
dominique A en groupe
Douze ans après ses premiers pas, un petit synthé en bandoulière, le chanteur a pris ses
marques au sein de la scène française. Fort de son envie initiale de revendiquer une autre
tradition que celle proclamée par le rock alternatif , il est devenu à son tour une réfé-
rence incontournable pour les jeunes artistes.
Nouvelle formule scénique. Magnifique auteur compositeur interprète, une maîtrise incon-
testable de l’écriture, de la musique et de la scène.
Guitare et voix : Dominique A. Claviers et samples : David Euverte. Cuivres : Daniel Paboeuf et Jérôme
Benssoussan. Contrebasse : Vincent Guérin.
38 | musique
du 10 au 12 juin, date & heure à déterminer
Trio de guêpes musiciennes au charme de sirènes homériques, les « Petites Faiblesses »
aiment par dessus tout les voyages, et le plus beau de tous : chanter !
Ecrites par elles-mêmes et chantées à cappella, leurs chansons marient avec jubilation
la passion des mots, la séduction des timbres et des rythmes, les secrètes magies du quo-
tidien blafard, le burlesque et l’incongru la pétillante fluidité des nuances, un ton d’éro-
tisme persifleur qui caresse nos oreilles dans le sens du frisson…
Ça bruisse, ça grince, ça s’engorge, ça s’esbaudit, ça s’époumone, ça arbaudiche les sal-
bunelles : Un vrai bonheur !
Auteurs, compositeurs, interprètes : Christelle Boizanté, Nathalie Vinot, Emmanuelle Yacoubi. Mise en scène :
Laurence Katz.
mon dieu quel bonheur
Les Petites Faiblesses
musique | 39
du 10 au 12 juin, date & heure à déterminer
Musiciens : Houria aichi (voix), Monica Passos (voix), Maja Pavlovska (voix), Jean-Marc Padovani (saxophones), Alain Bruel
(accordéon), Gilles Chabenat (vielle), Frédéric Monino (basse), François Laizeau (batterie).
Saxophoniste, compositeur, arrangeur, Jean-Marc Padovani est présent partout, dans le jazz, en soliste avec
Louis Sclavis, Dave Liebman, Paul Motian, Jean-Marie Machado, avec son quartet, au cinéma, au théâtre
avec Enzo Cormann, et dans la chanson. Padovani, et son quartet, Chants du Monde, ont aussi beaucoup
relu, avec bonheur le flamenco et les musiques traditionnelles.Ils revisitent les musiques traditionnelles du
monde entier en les confrontant au jazz, tout comme dans cette nouvelle création “Cantilènes”. Elle est
basée sur l’échange et le rapprochement, mettant en valeur la mélodie et l’interprétation, d’une part et de
l’autre l’improvisation et le son. Cantilènes est une vraie promenade avec trois vocalistes d’identité forte et
de traditions musicales différentes. Un véritable chant d’amour et de tolérance. Jean-Marc Padovani a
choisi trois voix exceptionnelles : Houria Aichi est chanteuse chaouie de la région des Aurès, en Algérie. La
brésilienne, Monica Passos, a une voix volupteuse et puissante, c’est une vraie diva qui possède une vitalité
exubérante et une présence envoûtante sur scène. Maja Pavlovska, jeune Macédonienne, très tôt s’est orien-
tée vers l’art lyrique, même si la comédie musicale et la variété l’ont un temps attiré.
cantilènesJean-Marc Padovani Quintet
Monica Passos (Brésil) Houria Aichi (Algérie)
Maja Pavlovska (Macédoine)
42 | festivals
Cette année, pour la troisième édition du Festival Visages Francophones, le Mali est à
l’honneur ! Pays à l’histoire très riche qui réussit à harmoniser deux mondes, le monde
animiste et le monde musulman, deux traditions, celle de l’oralité et celle de l’écriture.
Un état parmi les plus pauvres du monde et pourtant important producteur d’or et de
coton. Un pays, qui malgré les 23 ethnies et langues différentes a toujours développé
une culture de tolérance, hospitalité et partage.
Ce festival invite à un voyage où l’on découvre les réalités multiples du Mali aujour-
d’hui, où les artistes font entendre leurs voix dans la pluralité et la diversité de leurs
expressions :
- Musique : grandes voix griottes comme Amy Koïta, groupe traditionnel (Sénoufo)
avec balafon et kora, jazz africain de Cheick Tidiane Seck, le rock de King Babah
Salah, des Go de Koteba ou de Djeneba.
- Danse : Le Sacre du Printemps (Heddy Maalem), Garibouts, chorégraphie par Tosh, Le
Jeune Ballet d’Afrique Noire.
- Cinéma avec des films de Souleymane Cissé et Cheik Omar Sissoko.
- Littérature avec la présence de Moussa Konaté
Mais aussi théâtre, marionnettes, photographie, artisanat, animations diverses… Ce festival
consacré au Mali part à la découverte d’une certaine manière d’être au monde.
visages francophonesfestival
du 27 septembre au 03 octobre 2004
festivals | 43
Soirées avec des musiques du monde méditerranéen, concert spectacle de voix et danses
flamenco, rencontre de musiques traditionnelles avec les sons et les rythmes d’aujour-
d’hui, parcours dans la ville, concerts insolites, bals musette et fanfares cubaines : pen-
dant trois jours/nuits, Cahors va renouer avec cette mémoire qui est la sienne, d’un lieu
de rencontre d’artistes, avec une ville, du dialogue des créations et des architectures.
Espaces de convivialité mais aussi de fraternité, depuis le café kabyle jusqu’au tablao
espagnol ou le petit restaurant portugais, ces trois jours seront aussi l’occasion de
découvrir le si riche tissu culturel et associatif qui a fait l’histoire de cette ville, occa-
sion d’une fête du goût et des sons : une population s’approprie une ville dans toutes
ses facettes et dimensions.
Occasion aussi d’associer des artistes du Lot dont le talent et l’assise s’ancrent dans ce
territoire et le transcendent : Xavier Vidal et Jean-Marc Padovani. Mémoire et ouver-
ture contemporaine pour une vision très féconde de l’avenir.
les nuits du sudfestival
10, 11 et 12 juin 2005
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plan salle
LES TARIFS GÉNÉRAUX :
Placements/catégories (théâtre) plein tarif tarif réduit *
■ Parterre & 1er balcon 17 € 10 €
■ Strapontins (parterre) 10 €
■ 2e balcon de face & 1er balcon de côté 14 € 8 €
■ 1er balcon extrémités & 2e balcon de côté 7 €
« Hors les murs » (spectacles à l’auditorium et aux docks) 17 € 10 €
Enfants (moins de 12 ans) 7 €
Scolaires (gratuit pour les accompagnateurs) 5 €
LES TARIFS SPECTACLES JEUNE PUBLIC :3 €
Le spectacle « Les aventures de Bosco » est gratuit pour les scolaires.
LES TARIFS PARTICULIERS :
« Découverte » : Spectacles du mois de novembre : plein tarif tarif réduit *
Stabat Mater Furiosa, Le souffleur d’Hamlet, Dés/équilibre, L’accident linéaire 12 € 10 €
« Thématique » :Comédie, La dernière bande, Le dépeupleur le premier spectacle le second
17 € 10 €
LES TARIFS GROUPES :
À partir de 10 personnes (comité d’entreprise) la place
■ Parterre & 1er balcon de face 14 €
■ 2e balcon de face & 1er balcon de côté 10 €
LES TARIFS ABONNEMENTS :
■ Abonnement « complicité » (parterre & 1er balcon de face)
minimum de 5 spectacles à 15 € la place et 10 € la place des spectacles « Découverte »*
■ Abonnement « paradis » (2e balcon de face & 1er balcon de côté)
minimum de 5 spectacles à 10 € la place
■ Abonnement « jeune » (étudiants et moins de 25 ans)
minimum de 3 spectacles (7 € la place)
■ Abonnement « passeport » (parterre & 1er balcon de face)
minimum de 12 spectacles (10 € la place)
* moins de 25 ans, étudiants, RMIstes, CES, chômeurs de longue durée, minimum vieillesse | spectacles « Découverte » : Stabat Mater Furiosa, Le souf-fleur d’Hamlet, Dés/équilibre, L’accident linéaire.
45
tarifs
T h é â t r e d e C a h o r s
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au théâtrePour les abonnements :
- du lundi 8 novembre 2004 à la fin de la saison
Pour les billets à l’unité :
- À partir du lundi 8 novembre pour les spectacles compris entre le 16 novembre 2004 et le 19 janvier 2005
- À partir du lundi 13 décembre 2004 pour les spectacles compris entre le mardi 1er février et le vendredi 27 mai 2005
Des quotas de places seront réservés aux non abonnés pour
les spectacles.
par téléphone (05 65 20 88 60)
- À partir du lundi 8 novembre, du lundi auvendredi de 13h30 à 18h00
Toute réservation par téléphone devra être réglée dans les
48 heures, passé ce délai les places seront remises à la vente.
Les abonnements ne seront pas pris par téléphone.
par courrier- Remplir, découper et renvoyer le formulaire
d’abonnement à :Théâtre Municipal de Cahors - service LocationPlace François-Mitterrand - 46000 CAHORS
- Joindre au bulletin le règlement, par chèque uniquement, à l’ordre du Trésor Public.
- Les billets peuvent être retirés à la billetteriedu théâtre ou vous être envoyés par courrieren recommandé avec accusé de réception(supplément de 5 € pour frais d’envoi).
- Le soir de la représentation la billetterie seraouverte sur le lieu du spectacle 1 heure avantle lever de rideau.
Heures d'ouverture saison 2004-2005 :du lundi au vendredi de 13H30 à 18H00
Place François-Mitterrand - 46000 CahorsTéléphone billetterie : 05 65 20 88 60
Téléphone administration : 05 65 20 88 55Fax : 05 65 23 95 16
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réservations | billetterie Théâtre Municipal de Cahors
bulletin d’abonnement 04|05✂
« complicité » « paradis » « jeune » « passeport »
Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements :
dates spectacles16, 17, 20, 23, 24, 27 octobre Stabat mater furiosa x 10 € x 10 € x 7 € x 10 €
18, 19, 20 novembre Le souffleur d’Hamlet x 10 € x 10 € x 7 € x 10 €
23, 24, 26 novembre Dés/équilibres x 10 € x 10 € x 7 € x 10 €
01, 02 décembre L’accident linéaire x 10 € x 10 € x 7 € x 10 €
17 décembre Soirée « battements d’elles » x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
07 janvier Si tu veux, je tue le chat x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
13 janvier Comédie, la dernière bande x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
15 janvier Le dépeupleur x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
01 février Givré x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
03 février Le Saint François jongleur x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
05 février Inutile de tuer son père x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
07 février Ajax x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
01 mars L’augmentation x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
05 mars Soirée « Solidocks » x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
16 mars Hugues Pluviôse /
Dominique A en groupe x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
30 mars Oncle Vania x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
05 avril La bonne âme de setchouan x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
12 mai La pente de l’épaule, mesure 1 x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
Informations complémentaires :- Un unique bulletin peut être utilisé pour la commande de plusieurs abonnés domici-
liés à la même adresse et choisissant les mêmes spectacles aux mêmes dates.- Les abonnements sont nominatifs et incessibles.- Le nombre de places par spectacle choisi ne peut-être supérieur au nombre d’abon-
nement souscrits. Joindre au bulletin d’inscription le règlement par chèque uniquementà l’ordre du Trésor Public accompagné des justificatifs pour l’abonnement jeune.
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Conception graphique & illustrations : François Cadart 05 65 23 91 64
Photogravure : Colorys 05 65 53 24 46
Impression : Publi Fusion 05 65 22 03 03
L’équipe
| Directeur
José Sobrecases
| Équipe administrative
Cécile ArthuisSophie CamilottoAnne-Laure CzaplaFrançoise GalouOlivier Gomy
| Équipe technique
Yannick BouzouCyril ComteFlorent ÉrasmeFlorent Garcia
Avec le soutien deLe Conseil régional de Midi-Pyrénées
Le Conseil général du Lot
Et en partenariat avec Les hôtels Kyriad & La Chartreuse
Théâtre Municipal de Cahors
2004 | 2005saison
Théâtre Municipal de Cahors