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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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le cIrQUE rOManÈs
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THÉÂTRE JEAN-VILARVILLE DE VITRY-SUR-SEINE SAISON 2013-2014
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
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Écrire, écrire, Écrire
Pindorama, Transe, Le Mépris, La Maison aux esprits, La Lune et l’ampoule (acte II), Monstranum’s, Les Aveugles, Chantier Woyzeck… 8 créations, 8 aventures d’écritures, qu’elles soient inventées ou fruits d’adaptation. Le Théâtre Jean-Vilar, après le 40ème anniversaire de son ouverture, dessine de nouveaux horizons, tous ancrés profondément dans la réalité artistique et humaine du monde. Les spectacles en diffusion ne sont pas en reste, de la chanteuse rokia Traoré au Dialogue with Rothko de carolyn carlson.
Nous le savons en effet, notre humanité en est aux carrefours. ceux qu’ont découverts le peuple et les artistes athéniens lorsqu’il s’est agi d’inventer les premières formes d’une organisation démocratique, le peuple et les intellectuels français lorsqu’il fallut faire la première révolution, le syrien Abd al-rahman lorsqu’il dût quitter Damas ensanglantée par les Abbassides pour fonder la tolé-rante Al-Andalus, ou ceux que découvrent aujourd’hui nos amis tunisiens et, qui sait, peut-être nous-mêmes.
Écrire, écrire, écrire, et partager ces écritures dès leur origine, avec ceux qui, souvent sans s’en douter, écrivent patiemment l’Histoire. Notre force est bien là, non pas dans l’attente d’un écrivain prophète, qu’il soit homme ou femme de théâtre, de danse, de musique, de chanson, de cinéma, de poésie, mais dans notre communauté d’existence. À nous donc.
Gérard Astor, directeur
Plus fort que mon Père / JeAN-Louis sAgoT-DuVAuroux / FrANçois HA VAN / cie BLoNBA 16
les histoires de rosAlie / MicHeL ViNAVer / ANDré LoNciN / Le PeTiT THéâTre 22
le méPris / ALBerTo MorAViA / JuLieN BouFFier / cie ADesso e seMPre 24
hubert Au miroir / DoMiNique ricHArD / coLLecTiF râ 26
lA mAison Aux esPrits / isABeL ALLeNDe / MicHAeL BATz / cie Yorick 32
lA lune et l’AmPoule - Acte 2 / DArio Fo / LuciANo TrAVAgLiNo / LA girANDoLe 34
trois PAs dehors / FrANçois cHANAL / FrANçois gérArD / LA MANiVeLLe THéâTre 36
monstrAnum’s / LeïLA TouBeL / ezzeDDiNe gANNouN / THéâTre eL HAMrA 38
les AveuGles / MAurice MAeTerLiNck / DANieL JeANNeTeAu / sTuDio-THéâTre De ViTrY 40
THÉÂTre
nil / PLATeAux De LA DANse / LA BriqueTerie – cDc 6
trAnse / FouAD BoussouF / cie MAssALA 11
PindorAmA / LiA roDrigues / FesTiVAL D’AuToMNe 12
isrAel GAlvÁn / « LA eDAD De oro » / cAsA esPAñA 17
roméos et Juliettes / séBAsTieN LeFrANçois / cie TrAFic De sTYLes 18
incertAin corPs / cLAire JeNNY / cie PoiNT VirguLe 37
désordres / 3 èMe éTAge / DANseurs De L’oPérA De PAris / FêTes Du LiLAs 43
cArolyn cArlson / « DiALogue wiTH roTHko » 46
tyrAns / kAriNe PoNTies / LA BriqueTerie – cDc 47
daNse
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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cHaNsON - rap - HumOur
113 / coNcerT Des 15 ANs 7
rokiA trAoré / FesTi'VAL De MArNe 8
Aldebert / FesTi’VAL De MArNe JeuNe PuBLic 10
tété / « Nu LÀ-BAs » 15
soPhiA ArAm / « crise De Foi » 31
des voyAGeurs dAns tA voix... ferré / Léo Ferré / sANDrA ALiBerTi 34
Peer Gynt, une AdAPtAtion folk / eDVArD grieg / coLLecTiF Les cLés De L’écouTe 14
WAdAdA leo smith'S Golden quArtet FesTiVAL soNs D’HiVer 20
l’oiseAu de feu / sTrAViNski, rossiNi, MozArT, MAHLer, sAAriAHo / orcHesTre NATioNAL D’ÎLe-De-FrANce 23
les quAtre sAisons / ViVALDi / PiAzzoLLA / orcHesTre NATioNAL D’ÎLe-De-FrANce 42
chAntier Woyzeck / AuréLieN DuMoNT / DoriAN AsTor / MireiLLe LArrocHe / LA PéNicHe oPérA 44
PArcours Avec les Artistes cArte scènes en seinerendez-vous AssociAtifs, écoles municiPAles Artistiquessortez en fAmille, en tribu, entre AmisbilletterieAccès - contActAbonnement
48-49
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27-30
spectacles à voir en famille
musique - OpÉra - jazz
Rendez-vous professionnel largement ouvert au public, les Plateaux du CDC du Val-de-Marne offrent aux chorégraphes la possibilité de présenter leurs projets les plus innovants.Deux journées de découvertes à la Briqueterie, à la MAC de Créteil et au Théâtre Jean-Vilar qui accueille lors d’une soirée composée en deux temps, Nil de la Compagnie 7273.Le fleuve au puissant pouvoir de suggestion a inspiré Laurence Yadi et Nicolas Cantillon, qui envisagent une chorégraphie tout en courbes et en méandres. Les corps déliés sont comme flottants, irréels, lointains, à la fois seuls et ensemble, ils semblent en apesanteur, fusionnant avec l’espace, comme portés par la crête d’une vague. La compagnie 7273 nous convie à délasser nos corps en descendant le Nil. Une gestuelle toute en fluidité berce notre embarcation. Les danseurs nous envoûtent accompagnés par une musique qui s’installe imperceptiblement, aussi mystérieuse que l’Orient.La Compagnie 7273 a reçu le Prix Suisse de la Danse et de la Chorégraphie 2011.
compagnie 7273daNse
VeNDreDi 27 sePTeMBre 21hdès 19h, assistez à de courtes formes chorégraphiques.
sPectAcle b
Nil
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concept et chorégraphie laurence yadi, nicolas cantillon interprétation luc benard, nicolas cantillon, Gildas diquero, Anusha emrith, lola kervroedan, margaux monetti ou laurence yadicollaboration artistique Graziella Jouan, karelle ménine composition musicale sir richard bishopenregistrement et mixage nicolas field création lumière Patrick riou régie technique Arnaud viala ou Patrick riou réalisation des costumes Philippe combeau collaboration artistique Graziella Jouan, karelle ménine
Pho
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Production cie 7273. coproductions ADc et cND. La cie 7273 est soutenue par La Loterie romande, Fondation Fluxum, sophie und karl Binding stiftung, zuger kulturstiftung Landis & gyr, Artephila stiftung, Pour-cent culturel Migros. La cie 7273 a bénéficié de la mise à disposition de studios de la part de l’ADc et du Ballet du grand Théâtre de genève, ainsi que du cND. La cie 7273 remercie M. Barbaroux, s. Bidegain, P. cohen, A. Davier, M. Décaillet, s. Dhuyvetter, P. eberhardt, s. Favez, N. Field, M. kridi, T. Lebrun, Y. Lee, F. Mamie, r. Noël, c. ratzé, H. shérif – Pro Hevetia Le caire, N. simon-Vermot, s. Vinciguerra, les studios d’hébergement aux Halles de l’Île du Département de la culture de la Ville de genève et de la Villa Bernasconi - service culturel de la Ville de Lancy.
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Le 113 a vu le jour à Vitry. C’est en 2000 que Rim’K, AP et Mokobé, amis d’enfance, signent leur premier album, immédiatement vendu à plus de 400 000 exemplaires et couronné d’une victoire de la musique. Menant en parallèle des projets personnels, ils sont tous trois membres du collectif francilien Mafia K’1 Fry. Surnommés les Princes de la ville ils incarnent la modernité du hip-hop français, avec des rimes et des flows qui répondent aux questionnements de toute une jeunesse, celle des quartiers notamment. Après trois ans consacrés à travailler sur leurs projets en solo, Rim’K, AP et Mokobé se retrouvent enfin pour une date unique au Théâtre Jean-Vilar. Un concert exceptionnel pour fêter les 15 ans d’un groupe qui a su marquer de son empreinte le rap français.
concert des 15 ans
sAMeDi 5 ocToBre 21h
sPectAcle bouverture des réservations le 3 septembre
113
7
rap
Rien dans les poches
sPectAcle Atarifs Festival 20 € et 12 €ouverture des réservations le 3 septembre
MercreDi 9 ocToBre 20h30
FesTiVal de marNe
Elle chante en bambara, en français ou en anglais, sa guitare électrique en bandoulière, un pied au Mali, dont elle cultive les sonorités acoustiques traditionnelles, l’autre en Occident, qui l’inspire dans ses harmonies : en quinze ans, Rokia Traoré, récemment récompensée par le prix Babel Med Music 2013, s’est forgé son propre style, une sorte de rock mandingue dépouillé, très folk, très blues, très contemporain. Devenue, en quatre albums seulement, l’une des grandes représentantes de la scène musicale africaine, la chanteuse revient avec un cinquième opus et une nouvelle tournée. Dans Beautiful Africa, Rokia Traoré révèle avec merveille les liens du sang et du son qui la raccordent à Billie Holiday comme à Ali Farka Touré, à la chanson française comme à la famille du rock ou des songwriters anglo-saxons.
« Beautiful Africa est le disque le plus rock que Rokia Traoré ait jamais enregistré. (…) Mais l’énergie et le mordant dont fait ici preuve la chanteuse répondent sûrement à une nécessité plus profonde. La louange au beau continent n’est pas exempte d’inquiétude, alors même que l’album a été conçu avant que ne commencent les troubles au Mali. Et si les paroles de Rokia professent toujours la même sagesse, on les sent déterminées par une urgence nouvelle, une veine plus radicale. “Dans mes veines d’afro-progressiste, le sang bambara, chargé d’espoirs, brûle” chante-t-elle dans Beautiful Africa. Puissent ces espoirs ne jamais l’abandonner. » Les Inrocks
En première partie, le multi-instrumentiste réunionnais René Lacaille offrira un concert détonnant, savant mélange de séga, de maloya, de blues et de samba.
rOkia TrAoré
Beautiful Africa
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Pho
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azzo
guitares et chant Aldebert accordéon, claviers et chœurs christophe darlot batterie, percussions et chœurs cedric desmaziere multi-instrumentiste et chœurs hubert harel basse et chœurs Jean-cyril masson régie générale claire oliveau son christophe Gaiffe lumières Philippe mouille
sPectAcle btarif Festival 6 €
petits et grands ouverture des réservations le 3 septembre
DiMANcHe 13 ocToBre 16h30scoLAires Le 14 À 10h eT 14h30
Enfantillages 2
aldeberTFesTiVal de marNe jeuNe public
Aldebert a concocté un deuxième opus d’Enfantillages, véritable phé-nomène familial avec 80000 albums vendus, un disque d’or, plus de 300 représentations à travers la France et la récompense du « meilleur album Jeune public 2009 ». Peuplé de nouveaux personnages, parmi lesquels des fakirs, des rappeurs, des voisins musiciens ou encore des parents débordés, ce nouveau spectacle, haut en couleurs, mêle chanson, théâtre, jeux d’ombres ou instruments farfelus. Dès 14h, le théâtre ouvre ses portes pour la deuxième édition de la J-Mômes. Animations, expos, ateliers mais aussi concerts sont au pro-gramme. Les plus jeunes pourront découvrir un spectacle spécialement pour eux, tandis que les plus grands dès 9 ans pourront se rendre au Sub (Scène de Musiques Actuelles de Vitry) pour se régaler du slam poétique et humoristique du « Petiloquent Moustache Poésie Club ». Un après-midi unique et festif !
6 anset +
10 illus
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Fouad Boussouf / cie Massala
VeNDreDi 18 ocToBre 21hscoLAire À 14h30
sPectAcle bdurée 1h10
« Toute mon enfance j’ai été bercé par les grands classiques de la musique arabe du siècle dernier, du Maghreb au Moyen Orient. Teintée de nostalgie, cette musique me renvoie à un imaginaire construit de souvenirs aussi doux qu’innocents, en total contraste avec mon adolescence, rythmée par la musique et la danse hip hop. Aujourd’hui j’ai envie de questionner cette double culture, un héritage à la fois sociétal, linguistique et musical en confrontant sur scène deux identités qui me constituent, à travers mon écriture chorégraphique. Les événements récents du «printemps arabe» ont été déclencheurs dans ce choix. Il s’agit d’aborder la question de la métamorphose sans parler nécessairement de révolution. » Fouad Boussouf
Originaire du Maroc, Fouad Boussouf arrive en France en 1983. C’est à Vitry-sur-Seine qu’il installe la Cie Massala à sa création. Avec Transe, pièce chorégraphique pour sept danseurs, il trace une danse lancinante, envoûtante et ronde d’où émergent des scènes de vie singulières sur fond de musiques orientales et occidentales savamment arrangées en électroacoustique. Un éternel aller-retour entre les deux rives de la Méditerranée, entre danse hip hop et danse contemporaine.
TraNse
chorégraphie fouad boussoufinterprétation dorine Aguilar, soukaina Alami, fouad boussouf, Guillaume chan ton, in hoon Galmin, david rodrigues, teddy verardocréation lumière leslie sozanskycréation sonore marion castorcostumes fabienne Gauthiervidéaste réalisation teaser floriane Pinard
daNse / crÉaTiON
Avec le partenariat du centre chorégraphique National de La rochelle, du conseil général de l’essonne dans le cadre de l’aide au projet, du conseil général du Val-de-Marne dans le cadre de l’aide à la création, du Théâtre de Fontenay-sous-Bois. Aide à la résidence au Maroc institut Français du Maroc et région ile-de-France dans le cadre du projet Méditerranée. Avec l’aide de l’ADAMi et de la Ville de Vitry-sur-seine. soutiens / Prêt de studios centre de Développement chorégraphique du Val-de-Marne – La Briqueterie, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-seine, Pôle culturel d’Alfortville, Théâtre de Longjumeau.
Parcours en milieu éducatif et associatif (voir p47)
11 Pho
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VeNDreDi 15 NoVeMBre 21hsAMeDi 16 NoVeMBre 21hDiMANcHe 17 NoVeMBre 16h
sPectAcle bdurée estimée 1hnavette Ar depuis châtelet vendredi et samedi
piNdOrama
12
création lia rodriguesdramaturgie silvia soter collaboration artistique Guillaume bernardicréation lumières nicolas boudierphotographie sammi landweerassistante chorégraphe pour le répertoire Amalia limadistribution en cours
Par quels chemins explorer, une fois encore, les façons possibles d’être ensemble ? Le mélange des individus unis jusqu’à la fusion ? L’affirmation de ses limites et de ses singularités ? Quels rituels, quels sacrifices et quels pactes seraient-ils nécessaires pour donner forme à un corps collectif, même s’il ne devait durer qu’un moment ? Et quels paysages créer pour cette nouvelle pièce intitulée Pindorama, littéralement «terre de palmiers» d’après le nom originel du Brésil avant l’arrivée des colons européens ? C’est le territoire qu’explore le troisième volet du triptyque entamé avec Pororoca en 2009 et poursuivi avec Piracema en 2011.
Cette saison sera l’ultime étape de notre compagnonnage avec Lia Rodrigues, après avoir présenté – et par trois fois coproduit – ses spectacles, après avoir bâti entre Vitry et Rio une histoire commune réunissant artistes et équipe du théâtre, publics, partenaires associatifs, à partir de rencontres multiples et du voyage de vitriots à Rio en 2009 et 2013, au moment où la chorégraphe bâtissait dans la favela de Maré un Centre d’art et créait ses trois dernières pièces.
daNse / crÉaTiON Lia rodrigues / Festival d’Automne
vendredi 15 : rencontre après spectacle avec lia rodrigues, silvia soter (dramaturge) et eliana souza silva (redes da maré)
12
résidence de création au Théâtre Jean-Vilar de Vitry, dans le cadre d’un compagnonnage soutenu par le conseil régional d’ile-de-France. coproduction : Festival d’Automne à Paris, Théâtre national de chaillot, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-seine, La Briqueterie/cDc du Val-de-Marne , kiNg’s FouNTAiN., kunstenfestivaldesarts. en coréalisation avec le kaaïtheater (Bruxelles) HeLLerAu-european center for the Arts Dresden/germany. Lia rodrigues companhia de Danças est sou-tenue par Petrobrás et le Ministère de la culture du Brésil, dans le cadre du programme Petrobrás cultural - aide au projet de fonction-nement et création 2012/2013. en partenariat avec redes da Maré. coréalisation Festival d’Automne à Paris / Théâtre national de chaillot / Théâtre de la cité internationale.
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Pho
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Ecrit en 1867 par Henrik Ibsen à partir de contes populaires norvégiens, Peer Gynt est un poème dramatique épique et romanesque retraçant le parcours de cet anti-héros prétentieux et aventureux, parti défier le vaste monde. Une quête initiatique et identitaire qu’Edvard Grieg met en musique quelques années plus tard. L’œuvre devient alors totale et reçoit un accueil triomphal à sa création en 1876. Le collectif Les Clés de l’écoute, en propose aujourd’hui une toute nouvelle version, sous la forme d’un conte musical. Une double gageure, littéraire et musicale. Sur scène, le quatuor à cordes Equinoxe, l’ensemble Carpe Diem, Jacques Mazeran, récitant et Kate Stables, chanteuse et guitariste anglaise donnent à voir et entendre une adaptation moderne de Peer Gynt et permettent au jeune public de découvrir le patrimoine laissé par Grieg et Ibsen.
edvard grieg / collectif Les clés de l’écoute
MArDi 26 NoVeMBre 19hscoLAires 26 NoVeMBre eT 10 DéceMBre 14h30
sPectAcle bpetits et grands durée 1h10
texte henrik ibsen musique edvard Grieg direction artistique Géraldine Alibertiadaptation et mise en scène hélène bensoussanarrangements Géraldine Aliberti, baptiste bouquinrécitant Jacques mazeranvoix, guitare kate stablesensemble carpe diem flûte Akitsu oriihautbois, cor anglais Jean-Pierre Arnaudcor eric du faÿguitare, basse électrique Guillaume magnepercussions quentin dubreuilquatuor equinoxe violon clara Abou, Pauline dangleterrealto loïc dourouxvioloncelle emile bernard
peer gYNT uNe adapTaTiON FOlk
cONTe musical
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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cHaNsON
sAMeDi 30 NoVeMBre 21h
sPectAcle A ouverture des réservation le 1er octobre
TÉTÉ
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« Nu là-bas »
Né au Sénégal en 1975, Tété arrive en France deux ans plus tard. Adolescent, il se voit offrir une guitare et commence à composer, influencé par Jimi Hendrix, Lenny Kravitz, Bob Dylan ou Keziah Jones. C’est dans les bars qu’il se forme à la scène, avant la sortie de son premier album en 2001. En 2003, le titre A la faveur de l’automne le propulse sur le devant de la scène musicale dont il est aujourd’hui une véritable référence. Dix ans plus tard et après mille concerts et un demi-million d’albums vendus, Tété, songwriter à la française, compose un cinquième album, Nu là-bas, qui navigue entre pop, folk, rock, blues et bayou fiévreux. Mais c’est sur scène qu’il se découvre le mieux : Tété gronde, bondit, explore, se livre comme jamais, avec un art de l’authenticité qui ne se cherche pas d’excuse.
« J’ai toujours évité de me retrouver enfermé dans un style, un son. Je suis soul, je suis pop, je suis funk et je suis rock. Parce que je suis créole, métissé » Tété
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Sur scène, un balafon, instrument traditionnel africain, une vieille porte de voiture accrochée à un tas de ferraille et une grande palissade, symbole de la division entre les générations au Mali. Deux univers qui font l’Afrique d’aujourd’hui se confrontent. D’un côté le jeune Sidi – alias Ramsès –, rappeur bamakois. De l’autre, son père, Idrissa Soumaoro, l’un des chanteurs traditionnels les plus singuliers du pays. Tout semble les opposer. A commencer par la musique pratiquée par Ramsès, teintée de culture américaine, loin de l’appartenance à un peuple, à un destin, à une lignée…
« Au-delà du portrait du rappeur Ramsès, Plus fort que mon père démontre la difficulté de deux générations qui échouent parfois à s’accorder. Une génération ancienne encore ancrée dans la fondation de l’Empire du Mali du XIIIe siècle et la nouvelle génération qui ne cesse de respirer la nouveauté et qui a grandi avec internet. Malgré tout, et c’est la force de cette pièce, le dialogue s’installe. À découvrir ! » Africultures
Créée en 1998 par Alioune Ifra Ndiaye et l’écrivain Jean-Louis Sagot-Duvauroux, BlonBa est une compagnie bamakoise qui a produit une douzaine de créations depuis 1998. Plus fort que mon père est le second volet du projet « Le chant du Mali », série de portraits d’artistes maliens.
Jean-Louis sagot-Duvauroux / François Ha Van / cie BlonBa cONTe d’aFrique d’aujOurd’Hui
sAMeDi 7 DéceMBre 21hen collaboration avec le secours Populaire Français et avec le soutien de l’Association Artistique Musi-cale, qui donnera à 20h un concert.
scoLAires 5 eT 6 DéceMBre 10h eT 14h30
sPectAcle bpetits et grands durée 1h
texte jean-louis sagot-duvaurouxavec sidy soumaoro et michel sangarémise en scène François Ha Van assisté de Fleur albertmusique et chansons idrissa soumaoro, ramsès, issiaka kanté
plus FOrT que MoN Père
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l’homme aux six noms, dédié à l’histoire du rappeur lassine coulibaly, sera présenté hors-les-murs.
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Le flamenco d’Israel Galván ne se contente pas de séduire les puristes du genre, il ensorcelle tout autant les passionnés de danse. Fils de danseurs sévillans, cet enfant de la balle possède le don exceptionnel d’associer tradition et innovation. C’est avec La Edad de Oro qu’il se fait connaître en France en 2005. Dans ce solo, entouré de Fernando Terremoto au chant et d’Alfredo Lagos à la guitare, Israel Galván revisite l’histoire du flamenco, en mêlant les époques, les canons et les styles, pour en livrer une version dépouillée, épurée, pleine de rigueur et d’intériorité. D’une modernité époustouflante.
« Loin de l’imagerie virilement tendue du flamenco, Israel Galván en extrait une énergie nouvelle, une euphorie quasiment aphrodisiaque.» Rosita Boisseau - Télérama
La Edad de Oro / casa españa
sAMeDi 14 DeceMBre 21h
sPectAcle Adurée 1h15
directeur artistique pedro G. romero chorégraphie et danse israel Galvánchant david lagos guitare alfredo lagos son pedro leónlumière rubén camacho
isrAeL GalVáN
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FlameNcO
Production A Negro Producciones
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Avec Roméos et Juliettes, Sébastien Lefrançois propose la première version hip hop du drame shakespearien. Mêlant danse et théâtre, il réécrit dans une esthétique contemporaine cette histoire d’amour et de clans. A l’image du pluriel des prénoms des amoureux de Vérone, la chorégraphie propose un scénario à plusieurs entrées dont les héros se démultiplient au gré des variations. Sept danseurs hip hop, un circassien et un acteur revisitent ainsi des scènes emblématiques de la pièce, au milieu d’un dispositif scénique astucieux, tandis qu’une création musicale électronique se superpose à la musique symphonique originale. À la virtuosité des mots et des répliques de Shakespeare répond l’engagement physique des corps et c’est toute une troupe qui nous fait partager, avec l’énergie de la danse d’aujourd’hui, cette histoire d’amour mythique.
« Une création intelligente, respectueuse de la narration et dotée d’une vraie force dramatique (…). En réussissant à traduire l’ambiguïté et la fragilité de la condition humaine, Sébastien Lefrançois prouve que le hip hop était sorti de son berceau des banlieues et pouvait, lui aussi, toucher à l’universel. » ClassicaRépertoire
sébastien Lefrançois / cie Trafic de stylesdaNse Hip HOp
MercreDi 18 DéceMBre 19hscoLAires Les 19 eT 20 À 14h30spectacle offert pour le Noël des enfants handicapés « Handicap on dit cap »
sPectAcle bpetits et grands durée 1h15
chorégraphie sébastien lefrançoismusique laurent cousoninterprétation jann Gallois, Giovanni léocadie, john degois ou jean-charles zambo, Hakim Hachouche, céline lefèvre ou estelle manas, Otuawan Nyong ou sandrine monar, Feroz zhoulamide ou julian rouyre, laurent paolini ou sébastien lefrançois, cyrille musyassistance chorégraphique céline lefèvrescénographie Giulio lichtnerdramaturgie magalie lériscréation costumes mario Faundezcréation lumière Tom klefstadcréation électronique Vincent artaud
rOmÉOs eT julieTTes
18Production cités Danse connexions, suresnes cités Danse 2008. coproduction Théâtre Anne de Bretagne–Vannes, espace Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois, La comète- scène Nationale de châlons-en-champagne
rencontre avec l’équipe artistique après la représentation du 18 décembre.Ateliers et actions de sensibilisation. Parcours de création avec le monde dutravail (voir p47)
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Festival des musiques d’aujourd’hui, Sons d’hiver est, au moment où est réalisée cette brochure, lancé dans la composition minutieuse et passionnée de l’édition 2014. Il ne faut voir là nulle volonté de secrets mais celle de prendre le temps d’écoute et des rencontres avec les artistes, pour donner à découvrir créations et inédits au plus près des voies nouvelles qu’un festival se doit d’offrir. La musique est un art non figé en quête de l’expression de nos sensibilités riches et inexplorées. Elle nous permet de ressourcer nos imaginaires dans une rencontre, confrontation artistique qui refuse les fades répétitions de l’attendu pour se retrouver dans les étonnantes surprises de l’inattendu, art vivant du rythme et des échanges entre jazz, improvisation, rock, hip-hop, musiques populaires et savantes. Ce cocktail détonnant apportera à coup sûr une soirée musicale interpellant beautés insoupçonnées et sons du présent.
C’est le Golden Quartet du compositeur et trompettiste américain Wadada Leo Smith qui ouvrira la soirée, avec son projet Teen Freedom Summers, un travail musical issu des recherches et réflexions du jazzman sur l’histoire philosophique, sociale et politique liée au mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, dont Martin Luther King fût la figure centrale.
La session sera suivie d’une seconde programmation, en cours d’élaboration.
Festival sons d’hivermusique
sAMeDi 25 JANVier 20h30
sPectAcle b
Wadada leO smiTH'S goLDeN quArTeT
20www.sonsdhiver.org
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
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Les histoires de Rosalie, ce sont d’abord des récits de Michel Vinaver d’une simplicité désarmante et d’une infinie séduction qui racontent les aventures de sa grand-mère, cette petite fille née en Russie, qui voulait tout goûter, tout essayer, qui n’était pas ce qu’il est convenu d’appeler une enfant sage mais à qui personne ne pouvait résister. Sur scène, des paravents de bois ajourés, une série de photos jaunies, un tapis d’orient, un vieux fauteuil rouge au velours usé et au milieu de tout ce décor digne d´une pièce de Tchekhov, un homme nous conte les histoires de Rosalie. Des histoires de loup, de violon, de longue robe de dentelle noire et de trésor…Anne-Marie Collin adapte pour le théâtre les récits de Michel Vinaver, tandis qu’André Loncin met en scène les retrouvailles entre cet homme et son adorable grand-mère. Des artistes fidèles au Théâtre Jean Vilar, déjà accueillis avec des spectacles pour le jeune ou le tout public : Quelqu’un qui travaille, Le roi Balayeur, Monsieur Salomon ou Le cercle de craie caucasien…
Michel Vinaver / Anne-Marie collin et André LoncinTHÉÂTre
MercreDi 29 JANVier 15hscoLAires Les 28 À 14h30 eT 30 À 9h30, 10h45 eT 14h30
sPectAcle bpetits et grands durée 40 mn
texte michel Vinaveradaptation anne-marie collinmise en scène andré loncinavec sylvie artel et andré loncinmusique originale roland dormans interprétée par Olga et mikhaïl bezverkhnycostumes anne-marie collin et Tatjana Verdoniklumières rodolphe Hazodécor emmanuelle sage
Les HisTOires De rOsalie
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Autour de l’écriture de michel vinaver, rencontres avec les enseignants des écoles primaires et ateliers dans les classes (voir p47)
coproduction Le Petit Théâtre, ricochets – Festival des arts pour les enfants, La Ferme du Buisson – scène nationale de Marne-la-Vallée. remerciements au Théâtre romain-rolland de Villejuif et au Théâtre Dunois à Paris. Le Petit Théâtre est subventionné par le ministère de la culture et de la Francophonie et par le conseil général de seine et Marne.
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« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Par ses chants clairs et répétés, l’oiseau s’approche le mieux de la musique humaine, pouvant même être traduit en notes, cité dans les partitions. Ainsi dans les Chants d’un compagnon errant, les chants d’oiseaux stylisés apparaissent dès que le texte parle de nature : une nature forestière, poétique, nostalgique. Mais pour Mahler, l’oiseau est aussi le symbole de l’élévation. « Je m’efforce, écrivait-il à sa femme Alma, d’arracher aux griffes de la banalité tout ce qui caractérise les côtés positifs et productifs des choses, que souvent je distingue ainsi de plus haut, comme un vol d’oiseau… ». Mozart n’avait pas d’autre but quand, dans sa Flûte enchantée, il déguisait en oiseau le personnage de Papageno, en apparence pour faire rire l’auditoire, mais aussi pour montrer que ce personnage possédait l’un des trésors les plus difficiles à obtenir : la joie naturelle. Pour Stravinski, enfin, l’oiseau est un être magique. Son Oiseau de feu est merveilleux : il apparaît « tout d’or et de flammes », insaisissable, guidant le héros vers le royaume de l’immortalité et le sauvant à la fin des êtres maléfiques. Sa musique est à la hauteur de cette magie : scintillante, étourdissante, fascinante…
stravinski, rossini, Mozart, Mahler, saariaho / orchestre national d’Île-de-France
sAMeDi 1er FeVrier 21h
sPectAcle Aouverture des réservations le 3 décembre
durée 1h
direction enrique mazzolabaryton markus Werba
Gioacchino rossiniLe Voyage à Reims - ouverture Wolfgang amadeus mozartLa Flûte enchantée - extraits Gustav mahlerLes Chants d’un compagnon errant kaija saariahoForty Heartbeats - création françaiseigor stravinskiL’Oiseau de feu - suite 1945
L’Oiseau De Feu40èMe ANNiVersAire De L’orcHesTre NATioNAL D’ÎLe-De-FrANce
musique
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« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Endetté par l’appartement qu’il a acheté à la belle Emilia, Riccardo met de côté ses ambitions d’écrivain et travaille comme scénariste. Quand un producteur lui propose d’adapter L’Odyssée, ses problèmes d’argent semblent réglés. Mais sa femme a cessé de l’aimer et le méprise. Après The Misfits et Hiroshima mon amour – que nous avions reçu en 2009 – Julien Bouffier se tourne vers un nouveau monument du cinéma mondial. C’est en s’appuyant sur ses souvenirs de spectateur du film de Jean-Luc Godard, mais également sur le texte de Moravia qu’il construit sa nouvelle création. Le spectacle interroge le rôle du théâtre et du cinéma dans notre société du désir et du divertissement. Chaque personnage illustre les rapports entre l’art et l’argent : l’artiste refusant le compromis artistique, l’intellectuel qui pour des raisons matérielles renonce, un temps du moins, à ses aspirations personnelles, et le producteur imposant qui cherche à dicter au metteur en scène et au scénariste sa propre vision. « Mettre en scène Le Mépris me permet de continuer cette recherche que je mène autour de la théâtralisation du cinéma. Comment rendre sur un plateau de théâtre les si belles images de Jean-Luc Godard, les présences de Brigitte Bardot, Michel Piccoli, Jack Palance, Fritz Lang, prises au piège dans l’île de Capri face à l’immensité de la Méditerranée ? Comment les oublier pour les réincarner, vivants, dans d’autres acteurs, face à nous ? Provoquer ainsi notre imagination dans son travail de refiguration met en jeu notre capacité de spectateurs à se défaire du formatage que l’on voudrait nous imposer. » Julien Bouffier
Alberto Moravia / Julien BouffierTHÉÂTre / crÉaTiON
VeNDreDi 7 FéVrier 21hsAMeDi 8 FéVrier 21hDiMANcHe 9 FéVrier 16h
sPectAcle bdurée estimée 1h30navette Ar depuis châtelet vendredi et samedi
mise en scène julien bouffieravec david ayala, marc baylet et Vanessa liauteyscénographie emmanuelle debeusscher et julien bouffiervidéo laurent rojol
Le mÉpris
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Production cie Adesso e sempre. coproduction Théâtre Jean Vilar de Montpellier, Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-seine, espace 1789 à saint-ouen, Théâtre de l’onde à Vélizy-Villacoublay.
ciné-débat et livr’échange, en partenariat avec les 3 cinés robespierre et la bibliothèque nelson mandela
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Hubert est un jeune garçon narcissique. Tout le monde est amoureux de lui, et lui n’aime rien tant que son reflet dans le miroir. Mais Hubert grandit, change et ne se reconnaît plus. Au fil de journées de plus en plus loufoques, il tente de se réconcilier avec son père, de faire le deuil de sa mère et d’accepter d’entrer dans l’adolescence, grâce à l’aide d’un entraîneur de foot poète et d’un professeur fantaisiste...Dominique Richard traite avec délicatesse et humour du moment où l’enfance bascule et se mue en une adolescence intense et parfois douloureuse. Si le monde créé par l’auteur est parfois brutal, il n’est jamais noir. C’est un univers profondément poétique et ludique évoqué par petites touches, avec une écriture très maîtrisée et d’une grande musicalité. Déjà entraperçu dans Le journal de Grosse Patate, que nous avions accueilli mis en scène par La Manivelle Théâtre, Hubert est un des personnages récurrents des pièces de théâtre de Dominique Richard. Jusqu’alors personnage secondaire, il est ici au centre de l’œuvre.
Dominique richard / collectif râTHÉÂTre
MArDi 11 FéVrier 19hscoLAires Les 13 eT 14 À 10h eT 14h30
sPectAcle bpetits et grands durée 1h10
texte et mise en scène dominique richardscénographie Vincent debatsconseil artistique madeleine Gaudichelumières William lambertrégie générale paul eric Vezardrégie lumière dominique painconstruction du décor philippe Guilloux et agnès billardavec arnaud appréderis, Élisabeth boulanger, louis caratini, philippe Fauconnier, dominique richard
HuberT Au Miroir
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soutiens cNT, Drac centre, ADAMi, conseil général de l’indre et Loire, Ville de Tours, Ville de Joué-Les-Tours. Partenaires espace Malraux (Joué-Les-Tours), La Manivelle Théâtre (wasquehal), Théâtre de l’envol (Viry-châtillon), les éditions Théâtrales.
rencontres et parcours en milieu scolaire et associatif (voir p47)
9 anset +
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Abonnement ou cArte liberté
tArif réduit (sur présentation ou envoi impératif de justificatifs) etudiants, lycéens, collégiens, demandeurs d’emploi, intermittents, retraités, familles nombreuses, personnes en situation de handicap.
choisissez votre formule :
Hors abonnement abonnement (Prix PAr sPecTAcLe)
carte liberté(19 €)
tarif plein tarif réduit –12 ans tarif plein tarif réduit
spectacles A > 23,50 € 15 € 7,50 € 15 € 12 € 15 €
spectacles b > 12,50 € 7,50 € 5,50 € 7,50 € 5,50 € 7,50 €
Vous êtes intéressés par 4 spectacles ou plus sur la saison, dont au moins 2 spectacles B, l’abonnement est fait pour vous. Nominatif, il vous permet de réserver une place par spectacle au tarif le plus avantageux.
Vous ne bénéficiez pas de tarif réduit, vous souhaitez plus de souplesse dans le choix de vos spectacles, achetez la carte liberté à 19 €. Valable toute la saison, elle vous permet de bénéficier de deux places tarif réduit par spectacle.
et quelle que soit la formule choisie, vous êtes prioritaires sur les réservations et pouvez compléter librement votre abonnement tout au long de la saison. Vous pouvez également réserver simultanément des billets - de 12 ans et êtes invités sur certaines initiatives.
sPecTAcLes DATe Abo 1 Abo 2carte
liberté– 12 Ans
sPectAcles A CochezIndiquez le nombre de
places par représentation
rokiA trAoré mercredi 9 octobre 20h30
tété samedi 30 novembre 21h
isrAel GAlvÁn – cAsA esPAñA samedi 14 décembre 21h
l’oiseAu de feu samedi 1er février 21h
lA mAison Aux esPrits samedi 8 mars 15h
lA mAison Aux esPrits dimanche 9 mars 12h
soPhiA ArAm dimanche 16 mars 16h
les quAtre sAisons dimanche 11 mai 16h
désordres vendredi 23 mai 21h
cArolyn cArlson dimanche 8 juin 16h
sPectAcles b
PlAteAux de lA dAnse vendredi 27 septembre 21h
113 samedi 5 octobre 21h
Aldebert dimanche 13 octobre 16h30
trAnse vendredi 18 octobre 21h
PindorAmA vendredi 15 novembre 21h
PindorAmA samedi 16 novembre 21h
Tableau à compléter et à retourner au Théâtre, accompagné des justificatifs de réduction et du règlement (chèque à l’ordre de « régie Théâtre Jean-Vilar », cB ou espèces). Pour chaque abonné, choisissez 4 spectacles (ou plus) dont au moins 2 B. Pour la carte Liberté, indiquez le nombre de places (2 maximum) souhaitées par spectacle.
sPecTAcLes DATe Abo 1 Abo 2carte
liberté– 12 Ans
sPectAcles b CochezIndiquez le nombre de
places par représentation
PindorAmA dimanche 17 novembre 16h
Peer Gynt mardi 26 novembre 19h
Plus fort que mon Père samedi 7 décembre 21h
roméos et Juliettes mercredi 18 décembre 19h
WAdAdA leo smith'S Golden quArtet samedi 25 janvier 20h30
les histoires de rosAlie mercredi 29 janvier 15h
le méPris vendredi 7 février 21h
le méPris samedi 8 février 21h
le méPris dimanche 9 février 16h
hubert Au miroir mardi 11 février 19h
cAbAret léo ferré et dArio fo samedi 22 mars 20h
trois PAs dehors samedi 29 mars 15h
monstrAnum’s dimanche 6 avril 16h
les AveuGles vendredi 11 avril 21h
les AveuGles samedi 12 avril 21h
incertAin corPs mercredi 30 avril 10h
chAntier Woyzeck vendredi 16 mai 21h
chAntier Woyzeck samedi 17 mai 21h
chAntier Woyzeck dimanche 18 mai 16h
chAntier Woyzeck lundi 19 mai 20h30
tyrAns vendredi 13 juin 21h
mme m. nom :
Année de nAissAnce :
Prénom :
Adresse :
cP ville :
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Année de nAissAnce :
Prénom :
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ABoNNeMeNT TAriF PLeiN > … x 15 € = … ABoNNeMeNT TAriF réDuiT > … x 12 € = …sPecTAcLes A rokiA TrAoré > … x 12 € = … cArTe liberté > … x 15 € = … BiLLeTs -12 ANs > … x 7,50 € = …
ABoNNeMeNT TAriF PLeiN > … x 7,50 € = … ABoNNeMeNT TAriF réDuiT > … x 5,50 € = …sPecTAcLes b ALDeBerT > … x 6 € = … cArTe liberté > … x 7,50 € = … BiLLeTs -12 Ans > … x 5,50 € = …
ToTAL A + b ………. €
Abonné 1
Abonné 2
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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le cIrQUE rOManÈs
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Avec Crise de foi, Sophia Aram entraîne le public dans une visite décalée des religions, un monde dans lequel Dieu est le chef de l’homme et l’homme est le chef de la femme. De la création à l’apocalypse, l’humoriste revisite les textes sacrés en s’interrogeant librement : Moïse avait-il inventé le premier iPad ? Jésus est-il mort du tétanos ? Peut-on embrasser son mari s’il a mangé du saucisson ?Entre fausse naïveté, flèches satiriques et personnages finement brossés, celle qui sévit également sur France Inter brocarde avec allégresse mais toujours dans le respect, les trois religions monothéistes. Un spectacle irrésistible !
« Voici longtemps qu’on attendait qu’un humoriste, avec talent, avec tranchant, soulève la chape de plomb sur un sujet tabou ».Le Monde
Crise de foi
DiMANcHe 16 MArs 16h
sPectAcle Aouverture des réservations le 16 janvier
durée 1h30spectacle déconseillé aux moins de 10 ans
sOpHia ArAM
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HumOur
Pho
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Chef d’œuvre d’Isabel Allende, La maison aux esprits est une fresque romanesque, une grande saga familiale. Quatre vies de femmes forment la trame de ce grand roman populaire, véritable succès mondial. Dans un pays d’Amérique du Sud, nous suivons la destinée de la famille Trueba, du début du XXe siècle aux années 70. Entre les différentes générations, entre la branche des maîtres et celle des bâtards, entre le patriarche, les femmes de la maison, les domestiques, les paysans du domaine, se nouent et se dénouent des relations marquées par l’absolu de l’amour, la familiarité de la mort, la folie douce ou bestiale des uns et des autres. Reflet des vicissitudes d’un pays passé en quelques décennies des rythmes ruraux et des traditions paysannes aux affrontements fratricides et à la férocité des tyrannies modernes. Tantôt enchanteur, tantôt mordant, le roman d’Isabel Allende est à inscrire parmi les révélations de la littérature latino-américaine d’aujourd’hui. Après avoir créé avec succès une adaptation londonienne il y a une quinzaine d’années, Michael Batz relève le pari osé d’une re-création en français et met en scène un spectacle épique pour 18 comédiens-chanteurs, du théâtre de troupe, enlevé et généreux. Ces dernières saisons, il a présenté Chansons pour le Chili, La Femme fantôme, Bones, Working girls et Ardente patience au Théâtre et hors-les-murs.
« Le réalisme d’Isabel Allende est superbement rendu par la direction de Michael Batz ». The Guardian
« Ce spectacle capte brillament la vision du livre. Les interprétations des rôles principaux sont d’une force rare. Huit heures de théâtre étonnantes, à ne rater sous aucun prétexte ! » Midweek
isabel Allende / Michael BatzTHÉÂTre / crÉaTiON
sAMeDi 8 MArs 15hDiMANcHe 9 MArs 12h
sPectAcle Adurée 8h30, accueil et pauses gustatives comprisesA voir en intégrale ou en deux parties, renseignements auprès de la billetterie.
Adaptation isabel allende et michael batzmise en scène michael batzmusique Victor jara et Violeta parradistribution en cours
la MAisoN aux espriTs
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Production cie Yorick
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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le cIrQUE rOManÈs
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illus
trat
ion
Dr
Le temps d’une soirée, le Théâtre Jean-Vilar se transforme en cabaret. Au menu, deux spectacles différents mais le même amour du verbe et de la langue. Avec Des voyageurs dans ta voix… Ferré, Sandra Aliberti donne à entendre quelques-unes des plus belles chansons de Léo Ferré avec une authenticité qui n’aurait sans doute pas déplu à l’artiste. Une interprétation musicale et vocale qui vise à l’épure, gommant les facilités d’usage : une voix, un piano, un violon et « le silence entre les mots de Léo qui s’échappent de chansons comme on en écrit plus ».
C’est ensuite à un petit tour du côté de l’Italie de Dario Fo que nous convient Luciano Travaglino et Patrick Dray. Il y a 20 ans maintenant, ils donnaient naissance à ce spectacle, dont ils proposent aujourd’hui une suite. En équilibre entre le théâtre et le cabaret, la variété et la chanson, sorti d’un univers burlesque et absurde, nourri aux sources de la Commedia dell’Arte, La Lune et l’Ampoule est un moment de bonheur, de poésie et de tendresse à l’atmosphère fellinienne.
« Piano et violon égrènent leur mélopée, une voix s’élève. Douce et fragile. Le ton est donné, Ferré nous sera conté sur le mode de l’intimité. D’une voix presque chuchotante, telle l’équilibriste sur son fil, Sandra Aliberti pose pourtant la note juste sur le verbe poétique du rebelle. » Yonnel Liégois – La NVO« C’est un régal de finesse et d’art comique délicat, servi par le jeu de clowns délicieux que sont Patrick Dray, pianiste émérite et Luciano Travaglino qui chante en français comme en divers patois d’Italie. » Jean-Pierre Léonardini – L’Humanité
Des voyageurs dans ta voix... Ferré et la Lune et l’Ampoule 2 - Acte 2cHaNsON / THÉÂTre
sAMeDi 22 MArs 20h
sPectAcle bdurée 3h15, entracte compris
des voyageurs dans ta voix… Ferréchansons et textes de léo ferré, Jean roger caussimon et louis Aragon voix sandra Aliberti piano bertrand ravalard violon lionel mendousse conception du spectacle sandra Aliberti arrangements musicaux bertrand ravalard et lionel mendousse création lumière Jacques besse
la lune et l’ampoule - acte 2textes dario fomusiques fiorenzo carpi, enzo Jannacciarrangements Patrick draytraduction et adaptation luciano travaglinomise en scène cathie biasin et luciano travaglinoavec Patrick dray et luciano travaglinocostumes igor mitrecejlumières Philippe cuveletteenregistrement studio Panthere blues
sOirÉe cabareT AVec Léo Ferré eT DArio Fo
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les deux spectacles seront également présentés hors-les-murs séparément.
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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le cIrQUE rOManÈs
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L’un veut découvrir le monde et l’autre rester dans l’abri douillet. Et c’est toute une histoire ! Chacun a ses arguments, jusqu’à ce que l’un pose un pied au dehors et que l’autre s’enferme... Au gré des séparations et des retrouvailles, nos deux compères réalisent peu à peu leurs différences.Mais voilà que le duo devient trio lorsqu’une demoiselle aérienne et facétieuse apparaît ! Se pose alors la question du partage. Comment partager un territoire, un objet, des connaissances, des émotions ? Trois pas dehors est un spectacle mêlant théâtre et mouvements de cirque, musique et visuel, dont la scénographie nous emmène dans un monde suspendu avec « abri-cabane » et « lianes-baluchons »…
Après avoir accueilli La Manivelle Théâtre avec quatre pièces de Suzanne Lebeau puis de Dominique Richard, nous présentons une nouvelle création de François Gérard destinée cette fois-ci aux tout-petits.
François chanal / François gérard / La Manivelle ThéâtreTHÉÂTre
sAMeDi 29 MArs 15hLe spectacle sera proposé aux enfants des écoles maternelles du 27 mars au 3 avril
sPectAcle bpetits et grands durée 50 mn représentation suivie d’un goûter
mise en scène et scénographie François Gérard assistante à la mise en scène Florence bisiauxavec simon dusart, célia Guibbert et Nicolas madrecki régisseur général et créateur lumières christophe durieuxcompositeur musique originale stéphane butruille concepteur vidéo philippe martini costumière-accessoiriste Gwennaëlle roué constructeur décor Thierry lyoen univers sonore, régisseur son jean-marie daleuxaide au mouvement, techniques de cirque sébastien peyre
TrOis PAs DeHors
coproduction La Manivelle Théâtre, Ville de wasquehal (59), Festival Théâtral du Val d’oise (95), Ville de wattrelos (59), comédie de l’Aa de saint-omer (62), Ville de Douchy-les-Mines (59). Avec nos remerciements aux editions La Fontaine (Lille).
la manivelle théâtre renouvelle l’expérience d’immersion dans une école maternelle (voir p47)
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressions et le plaisir de bien faire. Les garçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque TsiGaNe
sAMeDi 15 ocToBre 18hDiMANcHe 16 ocToBre 16h
sPectAcle Apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant délia et Alexandre romanèsviolon costelcontrebasse dangalasclarinette Gigelaccordéon mariusfunambule bettycontorsion mariatrapèze Alexandra, florina, rose reineruban kalijonglage florina, yvan, Aramiscerceau irinadanse mica, lenutsa, bobolana, Gouloum
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le cirque rOmaNÈs
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cirque TsiGaNe
De quoi le corps est-il composé ? Comment peut-il devenir une personne capable de bouger, de ressentir et d’entrer en relation avec l’extérieur ? Cette pièce chorégraphique pour les tout-petits donne à voir le corps dans tous ses contours, se dévoilant par petites touches au public placé au cœur du dispositif, devant, derrière, au milieu et même au dessus de lui... Les trois danseurs, guidés par le souffle d’un accordéon, s’amusent, pénétrés et impulsés par des allures joyeuses. Ils donnent forme à divers états comme la délectation, le sourire, l’enthousiasme, l’éclat de rire...
« Dans ce petit castelet (…) les trois danseurs explorent différents états du corps, mis en mouvement par leur spontanéité, leur enthousiasme et le plaisir de danser. Jusqu’à la bascule finale, où les corps, projetés dans le ciel des spectateurs, explorent leur envol, se dédoublent, et repoussent leurs propres limites. » La Terrasse
Depuis Touche à Tout en 1999, Claire Jenny a créé trois autres chorégraphies destinées au très jeune public, qui ont largement tourné en France.
claire Jenny / cie Point Virgule
MercreDi 30 AVriL 10hLe spectacle sera proposé aux enfants des écoles maternelles du 28 avril au 9 mai
sPectAcle bpetits et grandsdurée 35 mn
chorégraphie claire Jennyunivers sonore nicolas martz et florent thiantscénographie Pascal dibiliocréation des images Julien nesmecréation des costumes Agnès d’Atcréation lumière laurent labarrereaccordéoniste benoit feugereinterprétation marie barbottin, olivier bioret, natacha Garcin ou laurie Giordanio
iNcerTaiN corPs
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daNse
coproduction compagnie Point Virgule, service culturel de champigny-sur-Marne, communauté d’Agglomération du Val d’Yerres, villes de Yerres et de Brunoy, Le Prisme centre de développement artistique de l’Agglomération de saint-quentin-en-Yvelines, MAc de créteil. Avec les soutiens du conseil général du Val-de-Marne, du conseil général de l’essonne et des Ateliers de Paris – carolyn carlson.
2 anset +
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Nos monstres ne vivent pas dans des grottes, n’apparaissent pas la nuit, ne mangent pas les enfants, ne détruisent pas les maisons, ne crachent pas le feu. Nos monstres sont des hommes qui ont des pieds et des mains, des visages inattendus qui changent – avec le temps et les rebonds – de forme, de couleur et d’expression. Comment raconter autrement la révolution dans un pays qui se bat et se débat pour rester debout, en ce temps incertain et ambigu où vivre devient un luxe et résister un destin ? L’intrigue développée par le duo Leïla Toubel / Ezzeddine Gannoun du théâtre tunisien El Hamra accueilli avec The End en 2011 à l’occasion de la deuxième édition des Plateformes “Arts en Méditerranée”, nous met face à des monstres que nous nous efforçons d’ignorer, qui changent de robes au gré des conjonctures et s’accrochent à leurs fauteuils plus qu’à tout autre chose.
“ Un récit sur une révolution révolue, une peinture sociale poussée à l’extrême, dont les traits sont aussi gros que le maquillage des acteurs. (…) Un texte clair, incisif et réaliste ; reflet satirique de notre société, la pièce captive son public dès les premiers instants et on se laisse prendre au jeu des acteurs, aux dialogues pétillants, aux petites chansons... Monstranum’S comme L’île aux esclaves de Marivaux ou Ubu Roi d’Alfred Jarry font réfléchir les hommes et contribuent puissamment au changement des sociétés puisqu’elles aident à transformer les mentalités. ” Kapitalis (Tunis), janvier 2013
Leïla Toubel / ezzeddine gannoun
DiMANcHe 6 AVriL 16h
sPectAcle bdurée 1h30
Monstranum’s d’ ezzeddine Gannountexte leïla toubel avec bahri rahali, rym hamrouni, bahram Aloui, cyrine Gannoun, oussama kochkarassistante mise en scène rayya laajimicréation vocale Alya sellamichorégraphie Alaa zrafirégie générale mourad mabkhoutson souheib oueslati régie sur-titrage mich
mONsTraNum’s
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THÉÂTre / crÉaTiON
rencontre avec les artistes après la représentation.Parcours théâtral (voir p47)
Production Théâtre eL Hamra, avec le soutien du Ministère de la culture tunisien. création donnée en avant-première à l’ouverture des 3e Plateformes “Arts en Méditerranée” à Tunis, coproduites par le Théâtre Jean-Vilar de Vitry, et reprise en janvier 2013 pour le deuxième anniversaire de la révolution.
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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« Douze aveugles en pleine nature attendent le retour d’un prêtre qui les a guidé jusque-là. Ils sont perdus, ils ne le savent pas encore. Dans ce poème visionnaire et très simple, presque immobile, la seule action réside dans la lente découverte, par un groupe disparate de personnes traversées par les mêmes sensations, de leur solitude dans un monde qu’ils ne comprennent pas, et de l’imminence de leur disparition. Agissant comme un piège pour l’imagination, la pièce produit l’effet d’un attentat, d’un acte brut : d’un coup, la mise à nu d’une vérité ultime, obscène, et pas de réponse. Tu vas mourir. C’est tout. De quoi regarder ce qui nous entoure autrement, et reconsidérer le prix de chaque chose. De quoi, peut-être, repenser la communauté.»Daniel Jeanneteau
Dans ce drame de Maeterlinck, la cécité se révèle à la fois métaphore et symbole d’une sensibilité à ce qui prolifère et se meut sous la surface des apparences. Sur scène, les seuls moyens à la disposition des interprètes résideront dans leur capacité d’imagination. Pratiquement aucun geste, aucun déplacement, aucune interprétation. Pas de mise en scène, pas de jeu d’acteur, mais une grande force psychique, un cerveau actif et à l’affût, tirant de chaque mot, de chaque silence et du rythme commun, la faculté de produire de la réalité.
Maeterlinck / Daniel Jeanneteau / studio-Théâtre de Vitry
VeNDreDi 11 AVriL 21hsAMeDi 12 AVriL 21h
sPectAcle bdurée 1h20Navette Ar depuis châtelet vendredi et samedi
texte maurice maeterlinckmise en scène et scénographie daniel Jeanneteaucollaboration artistique Jean-louis coulloc’hcréation son Alain mahéréalisation informatique musicale ircam thomas Goepferingénieur du son ircam sylvain cadarsassistant Jérémy tourneuravec solène Arbel, Jean-louis coulloc’h, Pierrick blondelet, Gaëtan sataghen, benoît résillot, Azzedine salhi, Anne-marie simons, nadir sonmez (distribution en cours)
Les AveuGles
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THÉÂTre / crÉaTiON
Production studio-Théâtre de Vitry. coproduction ircam-centre Pompidou
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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Tout le monde connaît et chantonne à tue-tête les passages les plus saillants des Quatre saisons de Vivaldi. Sa musique, descriptive, illustrative, donne à entendre les sonorités du « chien qui aboie » ou du « berger qui dort ». Mais au-delà du pittoresque, Vivaldi réussit à accéder à l’essence même de chaque saison, et ce, par l’invention et l’ingéniosité de son utilisation des instruments à cordes. C’est à cette virtuosité que fait écho Astor Piazzolla en composant de 1965 à 1970, comme en hommage indirect, ses Quatre saisons de Buenos Aires (Los Cuatro Estaciones porteñas). Alors que les saisons de Vivaldi sont pastorales et littéraires, celles du roi du tango argentin sont urbaines et liées à la vie de la célèbre capitale. Originellement composées pour son propre quintette, les Quatre saisons de Piazzolla ont été l’objet de nombreux arrangements. C’est celui de Leonid Desyatnikov qui a été retenu pour ce concert afin de pouvoir créer en alternance un jeu de miroir avec les saisons baroques de Vivaldi.
Antonio Vivaldi, Astor Piazzolla / orchestre national d’Île-de-France
DiMANcHe 11 MAi 16h
sPectAcle Aouverture des réservations le 11 mars
durée 1h
direction et Violon Ann-estelle médouze, Alexis cardenas
Antonio vivaldiLes Quatre Saisons
Astor PiazzollaLos Cuatro Estaciones porteñas - version Leonid Desyatnikov
Les quaTre saisONs
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musique
Pho
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
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Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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Le groupe 3ème étage, réunissant solistes et danseurs de l’Opéra de Paris, réinterprète à sa manière la forme du gala, à travers une succession de courtes pièces, souvent virtuoses, intégrées dans une mise en scène imaginative qui fait de l’ensemble un spectacle à part entière, portant pleinement la marque de son créateur, Samuel Murez. Des thèmes se nouent, des motifs se créent, des personnages reviennent. Pour un peu l’on pourrait croire que l’on assiste, non plus à un gala, mais à un ballet d’un nouveau genre, quelque part entre danse, cinéma, mime et théâtre. Entre débauche virtuose et explosion théâtrale, Désordres se déploie dans un jeu permanent entre sérieux et humour, convention et transgression, ordre et folie.Aussi doués qu’irrévérencieux, ces artistes que l’on peut voir au Palais Garnier dans les plus grands rôles des ballets classiques et les chefs d’œuvre de la danse contemporaine, se produisent dans cette formation à leur propre titre, avec l’aimable autorisation de Brigitte Lefèvre, directrice de la danse de l’Opéra de Paris.
3e étage / Danseurs de l’opéra de Paris / Fêtes du lilas
VeNDreDi 23 MAi 21h
sPectAcle Adurée 1h45 avec entracteouverture des réservations le 25 mars
3e étage – direction samuel murez interprétation 11 solistes et danseurs de l’opéra de Parischorégraphies ben van cauwenbergh, samuel murez, raul zeummesmusiques ludwig van beethoven, Johannes brahms après niccolo Paganini, Jacques brel et Jean corti, franz liszt d’après Giacomo meyerbeer, the misters, siegfried de turckheim, t.A. vitali, thom Willems, Andrea turra d’après franz liszt
dÉsOrdres
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En 1837, Georg Büchner meurt du typhus. Il n’a que 23 ans et laisse inachevé le manuscrit de sa dernière pièce de théâtre, Woyzeck. Ce texte d’une fulgurante modernité, disséminé en nombreux fragments, s’inspire d’un fait divers : en 1821, à Leipzig, un soldat pauvre du nom de Woyzeck assassine sa maîtresse infidèle. Méprisé par ses supérieurs, victime d’hallucinations, torturé par la jalousie, le jeune homme bascule dans la folie. En 1925, Alban Berg donne naissance à l’opéra Wozzeck, chef d’œuvre de l’avant-garde viennoise. Aujourd’hui, Mireille Larroche et les artistes de la Péniche Opéra s’emparent à leur tour des fragments de Büchner : Aurélien Dumont compose un opéra de chambre pour douze musiciens et huit chanteurs, un opéra pour notre temps.
« Nous autres, spectateurs, acteurs, créateurs, sommes aujourd’hui sous l’emprise du double chef-d’œuvre que sont le Woyzeck de Büchner et le Wozzeck de Berg. Le second a mis partiellement de l’ordre au premier, et marque de façon indélébile notre lecture de la pièce. Pourtant, il est essentiel de se poser à nouveau la question de la fascination exercée par Büchner, et du désordre de son Woyzeck. C’est ainsi qu’est née l’idée d’une commande : revenir aux fragments de Büchner afin d’en faire émerger la musique et le livret d’un opéra pour notre temps. Refaire le chemin inverse jusqu’à retrouver cette matière fulgurante, éclatée, dispersée, explosée. Remonter à un état du texte où les personnages ne se sont pas encore constitués en caractères psychologiques, mais flottent dans un état intermédiaire, en marge. Je devrais dire, où les personnages ne sont plus – ou pas encore - des sujets, rejetés qu’ils sont de et par la normalité sociale, rejetés de leur propre corps, de leur propre identité, condamnés à errer dans des no-man’s lands à la fois physiques et psychiques, espaces invisibles suppurés par nos sociétés. » Mireille Larroche
Aurélien Dumont, Dorian Astor, Mireille Larroche / La Péniche opéraOpÉra de cHambre / crÉaTiON
VeNDreDi 16 MAi 21hsAMeDi 17 MAi 21hDiMANcHe 18 MAi 16hLuNDi 19 MAi 20h30scoLAire Le 20 À 14h30
sPectAcle bdurée 1h30Navette Ar depuis châtelet vendredi, samedi et lundi
Chantier Woyzeck opéra d’Aurélien dumont d’après les fragments de Büchnerlivret et dramaturgie dorian Astor, d’après Georg büchnerdirection musicale Pierre rouillermise en scène mireille larroche, assistée de francesca bonnatoscénographie et lumières thibaut fack
cHANTier Woyzeck
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samedi 17 mai : conférence Art et sciencelundi 19 mai : les «lundis de la contemporaine», rencontre avec Aurélien dumont et dorian Astor. en compagnonnage avec le théâtre, la Péniche opéra fait escale sur le territoire (voir p47)
Production déléguée : La péniche opéra, compagnie nationale de théâtre lyrique et musical, subventionnée par la DrAc Île de France, la région Île de France, la Ville de Paris. coproduction : Péniche opéra, Théâtre Jean Vilar de Vitry, ensemble 2e2M, opéra de calais, Arcadi, conseil général 94, Fond de création lyrique.
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
www.cirqueromanes.com
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
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SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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C’est un véritable coup de foudre entre artistes qui est à l’origine de Dialogue with Rothko. Pour cette nouvelle création, Carolyn Carlson s’inspire de l’œuvre du peintre américain Mark Rothko, auquel elle avait déjà consacré un recueil de poèmes. Elle nous offre un solo épuré, poétique, d’une grande exigence artistique. Présent sur scène, le violoncelliste Jean-Paul Dessy répond avec finesse aux mouvements du peintre et de la chorégraphe américaine. Une création inspirée et tracée sous le regard de Yoshi Oïda, metteur en scène japonais, acteur emblématique de Peter Brook et de Peter Greenaway notamment.
« Pour Rothko, la peinture n’est pas simple exécution de formes ou application de couleurs, mais un moyen de communiquer l’expérience mystique de l’homme. Les dernières œuvres, sous forme de rectangles, constituaient une nouvelle manière de voir les esprits, de toucher le visiteur à travers une spiritualité plus élevée. ». Carolyn Carlson
Dialogue with RothkodaNse
DiMANcHe 8 JuiN 16h
sPectAcle Adurée 1houverture des réservations le 8 avril
chorégraphie, interprétation, textes carolyn carlsonmusique originale et violoncelle live Jean-Paul dessycréation lumières et scénographie rémi nicolasconseil à la mise en scène yoshi oïdacollaboration artistique et technique chrystel zingiro, Aleksi Aubry-carlson, Jarek frankowski, robert Pereira
carOlyN cArLsoN
Production centre chorégraphique National roubaix Nord-Pas de calais. coproduction Le Manège, Mons (Belgique), Le colisée-Théâtre de roubaix. Avec le soutien financier du crédit du Nord. remerciements editions invenit. inspiré de Dialogue avec rothko, carolyn carlson (ed. invenit, coll ekphrasis, Nov 2011).
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Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
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SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
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Le roi dans l’ombre du château et de son peuple, l’église et son fidèle dans celle du pape, le patron à l’ombre de l’ouvrier et de son usine. Trois tyrans dans le placard d’un monument abandonné, laissés seuls à l’exercice de leur langage, le registre codifié par la nature de leurs pouvoirs, respectivement temporel, spirituel, économique. Pour exercer, ils doivent soumettre ce royaume sans peuple et, tous souverains, paradoxalement se soumettre. Tyrans explore avec humour les lieux du corps, sa capacité à l’absorption du protocole, du code, sa résilience et sa réinvention perpétuelle. Karine Ponties est l’auteur de plus d’une trentaine de pièces dont Luciola, présentée à l’occasion de l’ouverture de la Briqueterie en mars 2013 . Ses pièces font le tour du monde et son univers est reconnu pour son sens de l’absurde, son exploration de l’intimité, de l’organique et des relations humaines.
Le spectacle est présenté dans le cadre du projet Métamorphoses, La Briqueterie / CDC du Val-de-Marne, Les Brigittines (Belgique) et le Centrum Kultury Zamek (Pologne). Ces derniers ont souhaité s’associer à des chorégraphes / danseurs pour questionner la réhabilitation de leurs bâtiments en lieux culturels particulièrement consacrés à l’art chorégraphique et au mouvement. Le projet se réalise entre octobre 2012 et octobre 2014 et se structure autour de productions artistiques transnationales sur la thématique des métamorphoses des lieux à travers le spirituel, le travail et le pouvoir.
karine Ponties / La Briqueterie
VeNDreDi 13 JuiN 21h
sPectAcle b
conception et chorégraphie karine Pontiesinterprétation mathieu desseigne ravel, eric domeneghetty, shantala Pèpeéclairagiste et conseiller artistique Guillaume toussaint fromentinmusicien david monceauadministratrice de production france morin
TyraNs
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Production Dame de Pic / cie karine Ponties. réalisé grâce au soutien du Programme culture de l’union européenne (projet Métamorphoses) et initié par la Briqueterie / centre de développement chorégraphique du Val-de-Marne, centrum kultury zAMek, Les Brigittines / centre d’Art contemporain du Mouvement de la Ville de Bruxelles. Dame de Pic / cie karine Ponties est conventionnée avec le Ministère de la culture de la Fédération wallonie-Bruxelles et reçoit le soutien de wallonie-Bruxelles international et de l’Agence wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse. La compagnie est en résidence administrative au Théâtre Les Tanneurs à Bruxelles.
www.damedepic.be
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parcOurs, reNcONTres, aTeliers aVec les arTisTes de la saisON 2013-2014
Actions et parcours sont en cours d’élaboration. retrouvez-les sur le site internet, rubrique « Parcours de spectateurs » et « Actus/projets ».
parcOurs « ÉcriTures jeuNe public »
Avec André Loncin et Anne-Marie Collin du Petit Théâtre autour des Histoires de Rosalie de Michel Vinaver (p22) ; proposé aux enseignants de la grande section au CE2 .
Avec Dominique Richard et sa pièce Hubert au miroir (p26) : atelier d’écriture avec l’auteur, parcours scénographie avec Vincent Debats, rencontre à la Biblio-thèque Nelson Mandela.
Avec François Gérard du théâtre de La Manivelle autour de Trois pas dehors (p36). Expérience d’immersion de la compagnie au sein d’une école maternelle.
parcOurs scÉNOGrapHieavec les étudiants en BTS Design d’espace du lycée Chérioux
Avec les équipes artistiques de la saison : de Julien Bouffier autour de la création du Mépris (p24) à Daniel Jeanneteau autour du spectacle Les aveugles (p40).
fouAd boussouf, choréGrAPhe et dAnseur de lA cie mAssAlA / «Transe» (p11) Ateliers de danse hip hop avec des lycéens et collégiens.
lA cie blonbA (mAli) / Plus fort que mon père (p16)L’homme aux six noms, spectacle musical hors-les-murs de la Cie BlonBa avec Lassine Couli-baly, rappeur, chanteur, comédien qui raconte ses aventures d’enfant et la naissance du mou-vement hip hop au Mali.
théâtre el hAmrA et ArAf center (tunis) / Monstranum’s (p38) : Parcours théâtral autour de l’écriture et la mise en jeu de récits proposé par le Centre ara-bo-africain de formation et de recherches théâtrales (Araf Center). Avec le metteur en scène Ezzeddine Gannoun, l’auteure Leïla Toubel et la comédienne Cyrine Gannoun du théâtre El Hamra (Tunis), et la collaboration de Nicolas Hocquenghem, metteur en scène et comédien (Compagnie Théâtrale de la Cité).> à PARTiR Du PRiNTEMPS 2014
parcOurs zerHOuN – bamakO – TuNis – ViTry
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sOrTie du liVre Théâtre Jean-Vilar de Vitry, 40 ans de flirt avec l’utopie208 pages, Éd. Dominique Carré, juin 2013 (25 €, en vente au Théâtre et en librairie).
PArcours-exPosition hors-les-murs l’exposition des origines du théâtre Jean-Vilar jusqu’aux « compagnonnages » et aux « terri-toires de l’art » ; les entretiens croisés d’artistes ; les maquettes de scénographie créées dans ce théâtre adaptable ; l’exposition des affiches de saison et de spectacles.
cOmpaGNONNaGe Avec lA Péniche oPérA / Chantier Woyzeck (p44) Après Hänsel et Gretel en 2012, La Péniche Opéra, en création d’un « Woyzeck » cette sai-son, jettera l’ancre en différents lieux du territoire, le quartier Balzac notamment. Le collège Paul-Valéry de Thiais l’accueillera en résidence.Rencontre et mise en bouche musicale sur la péniche. Conférence Art et Science (samedi 17 mai)«Les lundis de la contemporaine», rencontre avec Dorian Astor et Aurélien Dumont (lundi 19 mai).
André loncin, metteur en scène et Anne-mArie collin, AuteureMetteur en scène et auteure travailleront avec un groupe de lycéens sur l’écri-ture et la mise en jeu de récits, à partir de séquences de Grand-Peur et misère du IIIème Reich de Brecht.
sébAstien lefrAnçois, choréGrAPheLe théâtre accompagne Sébastien Lefrançois dans une nouvelle aventure de création, à partir de la rencontre avec le monde des entreprises. « Avec ce projet, j’accepte une autre façon de travailler, j’ai envie d’aller vers autre chose ».
isAbelle tAnGuy, metteur en scèneChantier de création autour de Dissident il va sans dire de Michel Vinaver, à découvrir hors-les-murs.
cHaNTiers d’ÉcriTure
cOmpaGNONNaGe Avec liA rodriGues / Pindorama (p12)Projet avec le Centre d’art de Maré en partenariat avec l’Académie municipale de danse de Vitry, Cultures du Cœur en Val-de-Marne et le CAC Jean-Vilar. Suite au voyage à Rio initié par le théâtre en avril 2013, un projet d’échange entre Vitry et Maré s’élabore pour 2013 et 2014 : la venue d’une quinzaine de jeunes de l’école de danse de Maré qui se forment depuis un an auprès de la Cie Lia Rodrigues, pour un échange avec les élèves et professeurs de l’Académie de danse de Vitry ; l’accueil d’éducateurs de Redes, ONG partenaire de Lia Rodrigues sur le Centre d’art de Maré, pour un échange axé sur la médiation culturelle.
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Dans les années 1960, la municipalité de Vitry choisissait de favoriser les conditions d’une vie culturelle foisonnante avant de construire le théâtre de la ville. Celui-ci n’était envisagé que comme réponse à sa propre nécessité. Position consacrée plus tard par Jacques Lassalle lorsqu’il écrivit : « Je tiens à ce que soit préservé […] un lieu qui fasse que le spectacle n’ait pas ses racines en l’air. » C’est ainsi que naquit en 1972 le théâtre Jean-Vilar, un espace dont la scénographie modulable inventait de nouveaux rapports entre spectacle et spectateurs. Creusant la démarche, en 1981, son directeur Gérard Astor entend « produire dans un même mouvement l’œuvre et son public ». En 1998, l’extension du lieu et l’accroissement de ses moyens permet une politique de compagnonnage avec des artistes et la production d’écritures neuves, avec notamment Kader Attou, Suzanne Lebeau et Lia Rodrigues en relation étroite avec les territoires. Ainsi se sont tissés de nouveaux liens avec les pays méditerranéens, le Brésil et le Québec. Faire vivre la métaphore du théâtre comme lieu de vie sociale, une utopie permanente dont ce livre rend compte.
25 eurosISBN : 978-2-915755-46-6
ThéâTRE JEAN-VILAR
DE VITRy
40 ANS DE FLIRT AVEC L’uToPIE
ThéâT re Jean-Vilarde ViT ry
40 ans de flirt avec l’utopie
Dominique Carré Éditeur
50
il est gratuit et vous permet de découvrir 4 spectacles dans 4 théâtres de la communauté d’Agglomération seine Amont (rassemblant les villes de choisy-le-roi, ivry-sur-seine et Vitry-sur-seine).le 1er spectacle est au tarif en vigueur dans le lieu d’achat du billet.les 3 autres spectacles sont à 10 euros. Vous avez la possibilité de choisir 1, 2 ou 3 spectacles.une navette vous attend devant le Théâtre de votre ville. elle vous conduit sur le lieu de la représentation.un moment convivial vous est proposé après le spectacle. Pour en savoir plus, contactez la billetterie de l’un des lieux de représentation.
le pass « scÈNes eN seiNe »
théâtre Antoine vitez d’ivry-sur-seine chAnts des ruescaratini Jazz ensemble
samedi 8 mars 20hDurée 1h 15 / 8 ans et +Patrice Caratini et son grand ensemble jazz nous présente un répertoire de chansons réalistes, chants de lutte et chansons de Jacques Prévert.réservations au 01 46 70 21 55http://theatredivryantoinevitez.ivry94.fr
théâtre des quartiers d’ivry Phèdresénèque / elisabeth chailloux
samedi 16 novembre 20h15 ans et + L’amour, la mort, Eros et Thanatos... le mythe de Phèdre explore le labyrinthe des passions. Dans une langue pure, magnifique, tranchante, Sénèque porte sur les hommes et la civilisation un regard moderne.réservations au 01 43 90 11 11 www.theatre-quartiers-ivry.com
théâtre Jean-vilar de vitry-sur-seinechAntier WoyzeckMireille Larroche / La Péniche opéra
samedi 17 mai 21hdurée 1h30 / public adulte
voir page 44réservations au 01 55 53 10 60www.theatrejeanvilar.com
théâtre Paul-eluard de choisy-le-roi obstinés lAmbeAux d’imAGescie Die Donau / Andrea sitter
vendredi 18 octobre 20hDurée 1h 10 / 10 ans et +La danseuse et chorégraphe Andrea Sitter s’associe à une funambule, un cochon philosophe et un homme de lettres dans une pièce chorégraphique haute en couleur naviguant entre légèreté, humour et gravité.réservations au 01 48 90 89 79www.theatrecinemachoisy.fr
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fête de lA PAix
orchestre eldJenAdiA
comité de JumelAGe / mArionnettes de klAdno
secours PoPulAire / « Plus fort que mon Père »
cAsA esPAñA / isrAel GAlvAn
fête de noël « hAndicAP, on dit cAP »
vœux du mAire
cAbAret de l’AssociAtion Artistique musicAle
PrésentAtion des chorAles scolAires de l’occe
concerts des élèves du conservAtoire municiPAl
sPectAcles des élèves de l’AcAdémie municiPAle de dAnse
21 sePTeMBre22 sePTeMBre
19 NoVeMBre 14h30 eT 19h7 DéceMBre 20h
14 DéceMBre 21h21 DéceMBre 14h
11 JANVier18 JANVier 20h30
20 MArs 31 MAi eT 1er JuiN
22 eT 29 JuiN
cAc Jean-Vilar, inspection Académique et rectorat de créteil, collège Jean Perrin, collège Paul-Valéry de Thiais, Lycée chérioux, Lycée romain-rolland, 3 cinés robespierre, Bibliothèque Nelson Mandela, centre culturel de Vitry, centres sociaux Balzac et Portes du midi, service municipal de la Jeunesse, galerie municipale Jean collet, écoles municipales artistiques, cultures du cœur en Val-de-Marne, cos Vitry, Association ensemble pour l’Avenir, Association Art’Monie, Association Les chimères du chevaleret, service Vie sociale, Pôle Musiques Actuelles et sub, MAc/VAL, office central de coopération à l’ecole (occe)…
Le Théâtre Jean-Vilar – théâtre de la Ville de Vitry-sur-seine – est conventionné par le conseil général du Val-de-Marne et par le conseil régional d’ile-de-France au titre de la permanence artistique. Depuis octobre 2012, il bénéficie d’une aide au projet du conseil régional au titre du « rayonnement international ».
assOciaTiONs, ÉcOles muNicipales arTisTiques
parTeNaires d’uN TraVail de TerriTOire
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des sPectAcles à voir en fAmille :2 ans et + incertain corps (p35)
4 ans et + Trois pas dehors (p34)
5 ans et + les histoires de rosalie (p22)
6 ans et + aldebert (p10)
7 ans et + plus fort que mon père (p16)
8 ans et + roméos et juliettes (p18)
9 ans et + peer Gynt (p15), Hubert au miroir (p26)
sortez en fAmille Avec le « billet Petits et GrAnds »Billet groupé 2 adultes et 2 enfants* (ou plus), le « Billet Petits et grands » est ouvert aux proches. Pour un spectacle B, c’est 5,50 € par billet pour tout le monde.Pour un spectacle A, c’est 12 € par billet et 7,50 € pour les moins de 12 ans.
* - de 15 ans
rePrésentAtions scolAiresVous êtes relais d’une école ou d’un centre de loisirs, vous souhaitez venir sur une représentation scolaire*, contactez la billetterie au 01 55 53 10 60 ou [email protected]*Aldebert, Transe, Peer Gynt, Plus fort que mon père, Roméos et Juliettes, Les histoires de Rosalie, Hubert au miroir, Chantier Woyzeck.
sortez Avec votre quArtier : 5 € association de quartier ou école, organisez une venue des familles et de vos adhérents au spectacle sur les représentations tout public, et bénéficiez de tarifs très préférentiels : 5 € par personne ! Les accompagnateurs sont invités. Valable sur tous les spectacles b.contactez l'équipe des relations avec les publics au 01 55 53 10 70.
sOrTez eN Tribu, aVec VOs amis, VOs VOisiNs
billeTTerie
réservAtions : 01 55 53 10 60
Du mardi au samedi de 14h à 18h45Pendant les vacances scolaires : du mardi au vendredi de 14h à 17h45
quand ? 2 mois avant la date de la représentation. Abonnés et carte Liberté : dès le 4 juin 2013.
comment ?• en ligne sur le site > www.theatrejeanvilar.com (paiement sécurisé)• par téléphone (règlement par CB) • sur place aux horaires de réservations et le soir du spectacle• par correspondance : précisez le spectacle choisi, la date et le tarif. Joignez un chèque à l’ordre de régie Théâtre Jean-Vilar et le cas échéant un justificatif de réduction. envoyez-les : 1 place Jean-Vilar 94400 Vitry-sur-seine
en détail sur www.theatrejeanvilar.com
Hors abonnement abonnement (Prix PAr sPecTAcLe)
carte liberté(19 €)
tarif plein tarif réduit –12 ans tarif plein tarif réduit
spectacles A > 23,50 € 15 € 7,50 € 15 € 12 € 15 €
spectacles b > 12,50 € 7,50 € 5,50 € 7,50 € 5,50 € 7,50 €
01 55 53 10 70 fax : 01 55 53 10 [email protected]
NOus cONTacTer
régie Théâtre Jean-VilarPrésidente sophie GermaDirecteur Gérard Astorsecrétaire générale nathalie huerta-chadufauxDirecteur technique dominique ébléresponsable relations avec les publics et communication béatrice fumetAction artistique et éducative catherine légerinformation et réseaux olivier vandeputteresponsable Accueil Billetterie claire meneguzzerBilletterie, secrétariat stéphanie lépineBilletterie, accueil des artistes claire hustésecrétariat, comptabilité Anna heimburger-réa Technicien polyvalent moussa elmezoued
régie générale renaud croizat, Philippe Jouyrégie son Alexis Gautier, maxime hellnerrégie lumière Patrick bouretz, leslie sozanskyrégie vidéo/son Jean-marc roubaultélectriciens Jean-Philippe bouretz, nicolas Priouzeau, valentin renaultMachinistes esteban sanchez, franck cochard, Gilbert delanoue, benoit noiretrégie compatable Patricia fléveauAgents d’accueil david Alibar, roberto cardozo, valérie Gomez, bettie lambert, charlie lambert, idalina miranda, Anna Pangrani, soraïa scicchitano, lynda terosiet, ludovic voltierPersonnel de l’entreprise de nettoyage léa évolution
navettes gratuites Ar depuis Paris châtelet sur certains spectacles. réservations 01 55 53 10 60
en voiture depuis Parisprendre la N305 à partir de la porte de choisy (sorties Bd Périphérique Porte d’ivry ou d’italie). Tout droit jusqu’à Hôtel de Ville, après la Place de la libération (statue Dubuffet). Le Théâtre est juste en face.parking gratuit sous l’Hôtel de Ville les soirs de spectacle.
Par les transportsrer c Vitry-sur-seine + bus 180 arrêt Hôtel de Ville–roger DerryM° ligne 7 Porte de choisy + bus n°183 arrêt Hôtel de VilleM° ligne 7 Villejuif-Louis Aragon + bus 180 arrêt Hôtel de VilleM° ligne 8 Liberté + bus 180 arrêt Hôtel de Ville–roger Derry
le Théâtre jean-Vilar est entièrement accessible aux personnes en situation de handicap moteur, sur tous les spectacles de la saison. stationnement possible à proximité du Théâtre. Deux places spécifiques rue clément Perrot. boucle magnétique (système d’aide à l’écoute pour sourds et malentendants) en fonctionnement sur certains spectacles amplifiés et sur réservation impérative.
1 place Jean-Vilar94400 Vitry-sur-Seine
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VeNir au THÉÂTre
Photo de la couverture et design du programme Pascal colrat, assistantes photo mélina faget, laëtitia lamblin, assistante graphiste esther Pailhou
Sur la piste des Romanès, le cirque se fait invitation au pays tsigane, haut en couleurs et en émotions. Ni lions ni éléphants, les seuls ani-maux savants sont une chèvre et un chat. Mais jongleur, acrobate, fildefériste, contorsionniste, femme serpent se succèdent dans une atmosphère enivrante, sur un rythme sans repos, au son des musiques et des chants tsiganes. On pense aux films de Tony Gatlif ou de Kus-turica. Mais on est au cirque. Subjugués, envoûtés. Hors du monde, hors du temps. Sinon celui des gitans.
« Contrebasse, accordéon, clarinette, tapis des Mille et Une Nuits, bougies, accueil en fanfare et ce clown postmoderne au visage lassé qui assure sans un sourire les transitions géniales. Pas de numéros chez Romanès, jamais d’exploit (la vulgarité même), simple syntaxe des entrées, des expressnst le paisie bien faire. Lesarçons arborent des falzars rayés et des chemises à paillettes dont on se demande qui les fabrique. Où ils les dénichent. Quelque usine secrète ? »
Le Monde
Rien dans les pochescirque Tsigane
SAMEDI 15 octobrE 18hDIMANcHE 16 octobrE 16h
spectacle apetits et grandsouverture des réservations le 1er septembre
chant Délia et alexandre Romanèsviolon costelcontrebasse Dangalasclarinette Gigelaccordéon Mariusfunambule Bettycontorsion Mariatrapèze alexandra, Florina, Rose Reineruban Kalijonglage Florina, Yvan, aramiscerceau Irinadanse Mica, lenutsa, Bobolana, Gouloum
www.cirqueromanes.com
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www.theatrejeanvilar.com / 1, PLACE JEAN VILAR 94400 VITRY-SUR-SEINE / T. 01 55 53 10 60in
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